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 Anna Orlov. Le Loup Blond. L'Epée d'Ambre.

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Anna Orlov. Le Loup Blond. L'Epée d'Ambre. Icon_1105 Anna Orlov. Le Loup Blond. L'Epée d'Ambre. Icon_1104

{ YOU ARE ALL GUILTY! }


      { WHO I AM ? YOUR MOTHER! ASSHOLE! }


    NAME & SURNAME }
    Orlov, Anna Kataryna Ivanovitch.
    DATE OF YOUR BIRTH } Née le 6 Décembre 1994, 15 ans.
    YEARS } Cinquième année.
    WANDS } Anna possède trois baguettes, dont deux par héritage. Selon Anna, les trois baguettes forment la Triade Lunaire. On remarquera que leur nom est en rapport direct avec la mythologie greque, faisant alors rapport à ce fameux Trio Lunaire. La première est celle qu'elle a reçu a onze ans. La deuxième est celle de son père, décédé en 1998. La troisième est celle de sa mère, alors dans le coma.
    }} La sienne, celle qu'elle a eut lors de sa première excurcion à Leningrad à la recherche de sa baguette, est appelée plus courament Artemis. Elle est faite d'un bois de jeune biche, chose rare. Elle renferme de surplus d'un poil de loup mouillé d'une larme de sombral. Elle est très fine, mais c'est à se tromper : elle est surement l'une des baguettes les plus résistantes au monde. Elle est rigide et mesure vingt sept centimètre. Elle est parfaite pour les sortilèges, ce qui fait d'ailleurs d'Anna une adversaire de taille en Duel. Elle représente le Croissant de Lune et à la Nouvelle Lune.
    }} Celle de son père est plus vieille de quelques dizaines d'années. Plus longue car atteignant les trente et un centimètre, elle est aussi plus souple aussi. Elle l'appelle plus simplement Hécate, la Déesse aux Trois Visages. Elle est faite d'un bois de peuplier noir, renfermant un poil de Cerbère d'Ukraine. Elle est parfaite pour la Métamorphose. Elle semble elle aussi fragile, mais reste sensiblement du même ressort qu'Artemis. Elle représente la Lune Décroissante.
    }} La dernière enfin est appelée Séléné par sa propriétaire, qui représente dès lors la Pleine Lune. Elle est faite en bois d'ébène et renferme un ventricule droit de Licorne. Elle fait aproximativement vingt six centimètre. Elle est très fragile, et c'est d'ailleurs une des raisons qui pousse Anna à ne pas s'en servir, malgré qu'elle réponde aussi bien qu'Artemis et Hécate à sa maîtresse.



« Vous savez, je crois que j'aurais aimé être quelqu'un de bien. Mais ne dit on pas que notre destinée est toute tracée ? Je ne dois de compte à personne. Je suis libre. Le seul a pouvoir m'en demander, il est mort, donnant cette place prévéligiée à Fenrir Orlov. Mon Grand Père. Hormis lui, qui a le droit de me juger ? Plus personne. Votre regard sur moi, quel qu'il soit, ne m'intéresse pas plus que votre personne même. Son regard à eux, voilà ce qui compte. La famille, c'est ce qu'il y a de plus cher. Sachez-le. Je ne suis qu'une Orlov. L'unique Orlov. »

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Dernière édition par Lycaon & Anna Orl le Mar 29 Avr - 0:54, édité 3 fois
 
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Anna Orlov. Le Loup Blond. L'Epée d'Ambre. Avril1to0 Anna Orlov. Le Loup Blond. L'Epée d'Ambre. Avril2wb2


      MY STORY IS POOR, BUT, I F*CK HER.

      « J'acheterais tout, a dit l'or. »


    La chambre a toujours été froide à son souvenir. Froide et blanche. C'est comme ça en Russie. Tout est d'un blanc de neige. Elle regarde nerveusement sa montre et pianote du bout de ses ongles l'accourdoit de bois qui accompagne son siège. Un peu plus loin, huit autres personnes se toisent, s'affrontent du regard avec un sourire en coin. Mais elle, elle n'est pas là pour rire. Elle soupira finalement. Dix heures sonnes, et avec ça, les visites. Elle se lève, nonchalande et grâce à la fois. On l'acceuille comme une reine, même si les huit autres restent à l'arrière. Elle approche peu à peu de la porte. Mon dieu. Plus les années passent, plus c'est dur. Elle déglutit péniblement et l'ouvre finalement. Le cliquetis de la chambre 99 est sonore, mais la porte ne grince pas. Un regard bref derrière elle, personne. Elle entre et referme aussitôt la porte pour s'asseoir en face du lit. Dedans, un corps vide d'âme se tient. Livide, pâle. Une enveloppe sans âme. Un camo artificielle. C'est un légume, pense la blonde, en haussant les épaules. Elle se posa sur la chaise, se laissant glisser à l'intérieur. Son visage alors froid et pâle prit quelques couleurs, pour esquiser une moue enfantine. La femme en face d'elle lui était identique. En tout point. Même cheveux blonds, même yeux bleux. Identique. C'était troublant de voir sa propre image, maigrie et fânée par les ans et le chagrin. Elle s'était laissée mourir pour lui. Elle la regarda et soupira. Elle allait encore parler pour rien. Si. Expulser tous ses sentiments en trop.

    ___« Toute rose est proie à l'hiver. Je crois que je n'ai pas toujours haït l'hiver. Avant, j'aimais bien la neige. Avant que l'accident n'arrive. Après... Oui, après je n'ai plus aimé la neige. Elle est trop froide pour moi. Elle me glace de l'intérieur. J'ai peur d'elle. Je m'en méfis comme eux auraient du s'en méfier. Non, je suis une menteuse. J'ai toujours menti de toute façon. C'est dans mon sang de mentir. C'est dans le nature même de l'humain que de mentir à son prochain. Pourquoi mentir ? Mais pour fuir. Courir au loin et oublier. Je serre cette main inerte qui s'offre à moi et je souris. Pendant un instant, pendant une période de ma vie, je n'ai plus aimé la neige. Car j'avais froid. Tu comprends ? J'avais vraiment froid. Mon coeur aurait pleurer si il n'avait pas été là pour moi. Tu comprendrais si tu m'entendais. Je le sais. Tu m'as toujours compris. Quand j'étais petite, tu te rappelles, j'aimais beaucoup la neige. Courir, c'était un passe temps. Je me sentais si libre dans l'air du temps. Je courais pour oublier, je courais pour vivre. Les points de côté me rendaient plus fortes. Soufrir, c'est vivre. Papa le disait souvent : « La souffrance, c'est la vie, Anna. Quand tu ne souffres plus, c'est que tu es mort. » Je crois que j'ai toujours eu mal alors.

    C'était une fâcheuse habitude, mais on la prenait rapidement, car c'était normal de soufrir. Tu crois que j'ai pleuré quand Papa est mort ? Je ne sais pas. Je ne m'en rappelle plus. Je me rappelle de tes pleurs, et des miens. Surtout des miens. Je ne voyais rien. J'avais les yeux remplis de larme, et je n'entendais que son rire. J'ai eu peur. Je n'ai jamais eu peur, tu le sais ça, mais cette fois... Oui. J'ai eu peur. Très peur. Il était là pour moi, mais... J'avais quand même peur. Ils sont venus le chercher mais j'étais encore jeune. C'était quand déjà ? En 1998 je crois. Oui, c'était vers 1998. Ils étaient venus faire un contrôle, à la maison. Papa sortait à peine d'une pleine lune. Il était encore un peu sur les nerfs. Le monsieur disait n'importe quoi. J'ai jamais compris ses hommes de toute façon... Pourquoi mon Papa ? Pourquoi ? J'ai pleuré. Tu le sais. Ils ont voulu nous prendre. Papa s'est mis devant, et après quoi ? Il est mort. Il est tombé. Il est recouvert de sang, et ils sont partis. « Ce meurtre n'est pas de notre responsabilité. Il a voulu nous tuer. Madame Orlov. Vous êtes commis au tribunal de Saint Petersbourg pour l'agression de deux représentants de la Justice Magique et répondra au nom du défunt Remus Orlov. » Tu avais beaucoup pleuré ce jour là. Plus que tous les autres après en réalité. Ca n'était pas eux qui t'avait fait pleuré. C'était papa, n'est-ce pas ? Il était mort. Tu m'avais regardé avec de tels yeux... « Anna. Tu ne pourras plus revoir ton père à présent. Ton Père est mort, Anna. » Il avait neigé ce jour là. Le corps de Papa était dans la neige. Voilà pourquoi je n'ai plus aimé la neige. Je me rappelle. Avant de mourir, il m'a regardé. Tu sais, avec ce regard qui glace les sangs. Il avait voulu parlé. Il a tendu vers moi sa main, mais il est mort, et elle est retombée mollement dans la neige.

    Tu crois que j'aurais du en vouloir à ses hommes ? J'étais trop petite pour comprendre. Je ne voulais pas comprendre. Je voulais mon Papa. Je voulais oublier. « Vous mentez. Vous mentez. » Si seulement ça avait pu être vrai. Si seulement vous n'auriez fait que mentir. Qu'avais-je fait pour mériter ça ? J'ai entendu tes cris. J'ai entendu tes cris qui résonnaient à l'enterrement. « Ne me l'enlevez pas. Il est à moi. Vous n'avez pas le droit. » Mais Maman... Papa était mort. N'avait il pas le droit au repos ? J'ai pleuré, tu sais, et j'ai haïs la neige car pour moi, il n'y avait qu'elle de coupable. Je n'ai jamais su qui avait ça, mais ce que je sais, c'est que Papi Fenrir a tout réglé. Il me l'a dit. « Ne t'inquiètes pas, ma petite Anna. Ton papa dors là haut, avec les Anciens. Il y est heureux. Il est avec son frère maintenant. Et les gens qui ont fait ça, eux, brûlent en enfer. Tu comprends ? On ne s'en prend pas aux Orlov sans en payer les conséquences. Sache le Anna. Si un jour quelqu'un te fait du mal, il y aura toujours un Orlov pour te venger. Tu comprends ? La famille, c'est ce qu'il y a de plus cher. » Je ne sais pas si c'est Papi qui les a tué, Maman, mais moi, j'étais heureuse. Papa dors encore avec Tonton Lupin. Il y est heureux, j'en suis sûr. Mais le plus malheureux, Maman, c'est que toi, toi, tu ne m'as pas aidé. Je ne t'en veux pas. Tu l'as tant pleuré. Je comprends que ça fasse mal. Et puis moi, comme ça, je pouvais jouer avec Lycaon, Vitaly, Sasha, Alekseï, Mikhaïl et les autres. Tu sais, j'ai beaucoup pleuré moi aussi, mais moi, j'ai toujours tout caché. Papa le disait souvent, tu sais. Il me le disait, et comme ça, j'étais forte. « Anna, tu ne dois pas pleuré. Pleurer ne changera rien. Arrêtes, reprends toi, et avances. C'est le meilleur que tu puisses faire. Respire. La vie est devant toi. » Il n'avait pas tord. J'aimais Papa autant que toi, mais toi, tu n'as rien vu. Tu es morte de chagrin, Maman. J'aimerais tant que tu ouvres les yeux, que tu me regardes comme avant.

    Regarde moi! J'ai amené des fleurs aujourd'hui. De jolis orchidées blanches et rouges, comme tu les aimes. Lycaon est avec moi. Aujourd'hui, j'ai quitté l'école de Leningrad. Je vais allé à Poudlard. Papi Fenrir veut que nous y allions tous ensemble. Wolfgang fait des bêtises, a dit Tonton Wagner. « Il n'en fera donc toujours qu'à sa tête! » C'est des histoires de famille, a dit Lycaon. Moi je ne comprends pas trop. Tu sais, Maman, moi, je ne veux pas comprendre. J'aimerais vraiment que tu te réveilles à nouveau, et que tu manges. Je ne veux pas que tu te laisses mourir, Maman. Tu as trop travaillé et souffert toute ta vie pour abandonner. Tu entends ? Il faut que tu sois forte, Maman, il faut que tu te lèves. J'ai besoin de toi plus que jamais. Je pars, il est l'heure. Je reviendrais Samedi prochain. Je reviendrais avec Lycaon et Vitaly. Peut être que Remus, Sirius, Alekseï, Mikhaïl et Sasha viendront...

    Tu sais, je t'aime maman. »

    Une larme perla sur sa joue. Comme a chaque fois. Elle regarda l'heure qui n'avait vraiment pas bougé. { 10 : 17 } La Orlov, l'unique Orlov, attrapa un livre dans son sac. Son regard se ferma doucement et elle reprit la lecture. Comme tous les samedis. Il fallait bien donner un peu de vie à ce cimetière blanc, organique, fait par l'homme, pour mieux faire soufrir cette petite fille perdue.

    « Good Hamlet, cast thy nighted colour off,
    And let thine eye look like a friend on Denmark.
    Do not for ever with thy vailed lids
    Seek for thy noble father in the dust.
    Thou know’st ‘tis common : all that lives must die,
    Passing through nature to eternity.  »
    ___________________Hamlet ; William Shakespear.


Dernière édition par Lycaon & Anna Orl le Mar 29 Avr - 0:55, édité 1 fois
 
MessageSujet: Re: Anna Orlov. Le Loup Blond. L'Epée d'Ambre.   
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Anna Orlov. Le Loup Blond. L'Epée d'Ambre. Avril7vv1 Anna Orlov. Le Loup Blond. L'Epée d'Ambre. Avril14bl1


      OH! ASSHOLE! LOOK AT ME!

      « Je prendrais tout, a dit l'épée. »


    Elle rentre dans la voiture. Elle y est calme, d'un calme divin. Son regard se pose sur le chauffeur qui la regarde de dans le rétro. Elle murmure entre ses lèvres le nom de la gare, qui est a bien des kilomètres de là. Il hausse les épaules et appuit sur l'accélérateur. La OAV ronronne doucement et part alors à travers les rues de Londres. Un embouteillage immobilise finalement la voiture de luxe dans l'avenue anglaise. Un regard de plus dans le rétroviseur. Il la fixe d'un regard étrange. Elle le fixe sans une once de peur, avec froideur. Les Orlov n'ont jamais peur.

    « Z'êtes pas du coin. De l'Est, non ? »
    « De Saint Petersbourg. »
    « Je vois. »
    « Une ville connue. » Elle haussa un sourcil quand il ouvre la bouche.
    « Vous êtes pressée ? »
    « Pas spécialement. » Il sourit, elle pas.
    « C'est beau la Russie. »
    « Très. »
    « Votre accent est très fort. Vous n'êtes pas ici depuis longtemps ? »
    « Deux ans. »
    « Pour le travail ? »
    « Les études. »

    La voiture connaît un petit tremblement et elle avance finalement, entraînant la blonde en arrière un instant, pour reprendre sa place, droite et fière à la fois. Elle dévit le regard pour le poser sur l foule qui s'agglutine dehors, derrière ses vitres teintées, derrière cette espace qui est le sien, qu'elle paye. Elle hausse les épaules, déconcertée. Encore une année. Une troisième à supporter. Auprès de ses cousins, fort heureusement.

    « La vie n'est pas rose, hein. » Elle hausse les sourcils, reportant son attention sur le chauffeur qui la regarde alors, la voiture encore immobiliser par les manifestations contre le pouvoir actuel. La Reine. A bas la Reine.
    « On peut dire ça comme ça. » Elle sourit faiblement.
    « Vous devez avoir une drôle d'histoire, Mam'zelle. »
    « Drôle ? Non. Etrange et triste à la fois. Vous connaissez l'histoire du petit loup blond ? » Il hausse les épaules, négatif. Il est curieux, elle a le coeur au bord des lèvres. C'est un petit Loup qui né de deux parents Loups. Il est heureux ce petit Loup, jusqu'au jour où Papa Loup meu...
    « Ca serait plus simple de parler à le première personne. » Elle tique. Elle n'avait jamais pour habitude de parler à Je de son histoire. Qu'importe. Elle le ferait, car de toute façon, il la connaissait déjà.
    « Je suis née en Russie, en Sibérie plus exactement. Dans la neige. Vous savez quelle est la sensation de votre épiderme qui picotte lentement ? Moi oui. C'est drôle. On a froid, pourtant notre peau brûle. Bref, je suis née là bas. J'ai rapidement été bien accompagnée. Sept cousins, tous plus ou moins grands. C'était drôle. J'aimais bien ma vie. J'aimais mon Père, j'aimais ma Mère. Réellement. Puis, en 1998, mon père s'est fait abbatre par un groupe d'homme. Quelques hommes. Jamais arrêté, jamais puni. Je leur en ai toujours voulu de s'en être pris à mon père plutôt qu'à d'autres personnes. Pourquoi lui ? Pourquoi Remus Orlov ? Car il était Riche ? Car il avait réussis ? J'ai jamais compris, et j'ai vite abandonné mes idées de vengeance en voyant l'état de ma mère. Elle s'est laissée mourir, vous savez. Pendant plusieurs semaines, elle mangeait un peu puis vomissait. Elle disait qu'elle était malade, mais elle se forçait. Psychologiquement, elle était au fond du trou. Elle n'était plus rien sans mon père qu'une âme en peine. Puis, un jour, je suis rentrée de l'école, et elle ne bougeait plus. Elle est tombait dans le coma. J'allais à l'école, j'étais grande, donc tout aller bien. Vous savez ce que l'on ressens quand on voit sa mère dans un lit qui ne parle plus, blanche comme une morte ? Un grand homme m'a approché ce jour là, et il m'a dit : Ta maman est un légume. Elle ne t'aimera plus. Je ne sais pas comment j'aurais du prendre ça, mais je l'ai mordu. Je lui ai arraché une phalange par la haine. Après, j'ai été confié à mon grand père. Un grand homme. Fenrir Orlov. » Il écarquilla les yeux.
    « Celui de Orlov & Völk ? »
    « Oui. Mon grand père donc. » Elle haussa les épaules, indifférente. Après, j'ai pas arrêté de voyager. Je suis allée partout avec mes cousins. Puis, un de mes oncles à mal tourner. Mon grand père disait qu'il aurait du le noyer quand il n'était encore qu'un louveteau, qu'il finirait mal. Et il a mal fini, bien qu'il ne soit pas encore mort. Je ne sais pas trop quoi en penser, moi. Je ne suis ni pour, ni contre. Je m'en fou pas mal. Moi, ce qui ne peine le plus, c'est l'état de ma mère. Tous les Samedis je vais la voir, et ça ne change pas. Et ses mots... Elle ne t'aimera plus. Ca a été la goutte d'eau en plus. Mais ça n'est rien avec ce qu'il va arrivé. Il haussa les sourcils, elle haussa les épaules, plissant le nez.
    « Et que va t'il arrivé ? »
    « La fin du monde. »

    La voiture s'arrêta pile à ce moment, elle ouvrit la portière et sortit. Il la regarda s'éloigner, peu à peu, jusqu'à la gare. Elle s'effaça dans les vapeurs de train, comme une Ombre, une simple Ombre...
 
MessageSujet: Re: Anna Orlov. Le Loup Blond. L'Epée d'Ambre.   
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    Je m'auto valide. Mouahahaha.

      RAVENCLAW


    What a Face
 
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