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Sujet: The Jetset Life Is Gonna Kill You { PV } // NC-17 Sam 4 Avr - 1:03
| | Invité
«Maman… Pourquoi tu restes à la maison aujourd’hui ? » « Tu ne veux pas que maman reste à la maison ? » « Non, mais bizarre. »
Maïka regardait Jack avec un léger sourire. Maïka avait décidé de ne pas retourner au travail. Elle pensait démissionner. Elle le pensait régulièrement à démissionner, mais maintenant, elle en était sûre de le faire. Pourquoi ? Elle n’avait aucune affinité avec les aurors, elle en avait plus avec les mangemorts. Jack était le fruit de plusieurs nuits partagées avec Tyler J. Carlson. Le dangereux mangemort lui avait fait un enfant pour lui rendre service. Pourquoi sait-elle qu’il est un mangemort ? Car elle a découvert que ce qu’elle soupçonnait était vrai, puisqu’elle s’est fait un peu beaucoup violenter. Elle avait eut sa leçon… ne jamais menacer un mangemort quand on n’était pas sur un terrain sur. Il ne fallait pas faire l’idiote, Maïka l’avait remarqué après cette soirée. Elle le savait depuis longtemps, mais parfois… Elle ne réfléchit pas à deux fois. Maïka est une femme impulsive. Elle ne réfléchit pas toujours avant d’agir. Bien souvent que ça lui a emmené des problèmes, mais parfois c’est ses coups de tête qui lui ont valu bien des chances. Maintenant, elle était une adulte, elle devait prendre les bons jugements. Malheureusement, elle semblait incapable de le faire, sauf face à son fils qui est sa vie pour elle. Elle se jetterait devant un train en marche pour sauver le petit. Son fils était tout ce qu’elle avait. Elle était une mère monoparentale, mais elle s’en fichait. Maïka se débrouillait très bien seule, même si elle sait que Jack a besoin d’une présence paternelle. Elle a demandé à Luke de le faire, même si elle ne lui fait pas totalement confiance. Elle verra en temps et en lieux ce qui se passera. Elle lui a dit sur un coup de tête, ayant bien pensé à son affaire, elle avait eut peut-être tort. Elle avait écouté ce que Tyler avait dit. Maïka savait que si son fils voulait être un mangemort, un auror, un professeur, un chirurgien… Elle ne pourrait pas choisir à sa place. S’il aimait les barbies et n’aimait pas les petites, elle ne pouvait encore rien y faire. Son fils allait choisir la voie qu’il désirait. Il était encore très jeune, mais elle savait que le manque d’un homme dans la maison allait se faire sentir un jour ou l’autre. Maïka sentit son fils monté sur ses genoux, ce qui la sortit de ses réflexions. Eh ! Oui. Elle était consciente de ses erreurs. La pauvre ! Parfois, nous sommes mieux de ne rien savoir et passé notre chemin devant nos erreurs. Maïka, elle, les constatait et elle devait vivre le jour, le jour au cas où que quelques choses arriveraient. Elle était un peu trop connue des mangemorts… Chain, Luke, Tyler… Edward. Rare sont ceux qui ne connaissent pas la Maïka chez les mangemorts. Elle allait parfois même en narguer quelques uns pour les avoir dans son lit. Sauf qu’elle savait qu’elle jouait avec le feu si jamais Jack y passait… ça serait la fin du monde pour la belle.
Maïka passa la journée avec son fils, rien de bien extraordinaire. Elle l’avait surveillé pendant qu’il s’amusait avec ses jouets avant de l’emmener sur la plage. À chaque fois que son fils courrait après les vagues ou encore cherchait les étoiles de mer, Maïka ne pouvait s’empêcher de sourire. Son fils était son bonheur. Il était un peu diable déjà à son âge. Il avait un mauvais caractère, mais doux comme un agneau envers les personnes qu’il aimait. Sa mère avait le droit au bon côté de Jack. Elle savait que c’est à l’adolescence que ses traits de caractère allait être défini, mais pour l’instant… ils ressemblaient à ses parents ; manipulateur, violent, agressif, colérique. Maïka avait souvent un sourire accrocher aux lèvres en pensant à son petit. Il ressemblait à son papa physiquement et intérieurement, mais il retenait un peu d’elle pour l’intérieur. Jack était sa petite fierté. Si on lui ôtait, elle voudrait tuer le salaud qui a fait du mal à son petit Jack. Tout au long de la journée, elle se sentit observer. Quand elle sortit dehors pour emmener Jack sur la plage, elle sentit ce sentiment encore plus que jamais. Elle regardait en arrière d’elle, un peu partout, mais ne voyait toujours rien. Elle donna l’ordre à Jack de rester le plus près d’elle aujourd’hui, Maïka voulait avoir à l’œil son fils, même si ce dernier ne le rendait pas heureux. Elle le surveillait de près. L’ex-Gryffondor n’aimait pas quand elle se sentait observer, comme si elle avait des mauvais pressentiments. Vous avez sûrement déjà ressenti ses sentiments où l’on ne veut pas croire que l’on pense que quelques choses de grave allaient se passer. Maïka n’aimait pas ça du tout, comme toute personne ayant une logique. Elle avait espéré toute la journée que rien n’arrivera, mais ce sentiment d’être observée ne changea pas pendant la journée.
C’est après l’heure du souper, qu’elle décida d’écouter un film avec Jack. Un film pour enfant bien sûr. Maïka était immensément riche et avait plusieurs films en sa disposition. Donc ce film était un enfant gâté. Ce n’est pas rare de voir Maïka avec des objets moldus. Il y avait plusieurs moldus qui passaient chez elle, elle devait être le plus normale possible. Elle ne voulait pas avoir de problème avec ses voisins, même si elle pourrait leur arrange la face s’il ne l’aimait pas. Mais pourquoi faire ça ? Maïka ne voulait pas s’Attirer plus d’ennui qu’elle en avait déjà. Elle en avait déjà avec certaines personnes donc, elle avait décidé qu’elle n’aurait pas affaire avec les moldus. Maïka regardait un peu partout, pendant que son fils regardait le film avec des yeux tous brillants. Maïka ne se rendit pas compte… que son fils s’était endormi contre elle, quand elle le remarqua, elle se leva et l’emmena dans sa chambre pour le border. Elle le coucha et revint dans le salon. Maïka éteignit la télévision. Elle rangea un peu la maison pour l’occuper, mais elle sentait toujours un « Regard » Poser sur elle. Maïka sortit, plus tard après avoir fait le ménage dans la maison, sur la terrasse. Le soleil s’était couché. Elle s’assit à la table et regarda le ciel étoilé. Elle écoutait le sons des vagues. Avant de…
« Qui que vous soyez, sortez de votre cachette. » Avait-elle lâché. Elle chercha tout autour d’elle, en attendant une réponse.
{ C'est nulle -.- j'essayerai de me reprendre promis }
Dernière édition par Maïka O. Allen le Mar 21 Avr - 4:39, édité 1 fois |
| | | Sujet: Re: The Jetset Life Is Gonna Kill You { PV } // NC-17 Mer 8 Avr - 4:18
| | Nombre de messages : 78 Age : 32 Beck E. Bones
Il l'avait suivi toute la journée, ou presque. Il avait mangé en la regardant, il avait marché sur la plage aussi, avec un sourire sur les lèvres, toujours. Maïka avait bien changé. L'adolescente généreuse avec qui il avait partagé un bout de son existence, aussi infime fut elle, s'était embellie avec le temps. Sa peau basané et ses cheveux noirs lui donnaient quelque chose de félin. Edward Clash l'aurait facilement qualifié de terriblement excitante si elle n'avait pas eu toute la journée son fils prêt d'elle. Alors qu'il rêvait de cette panthère depuis deux jours, le fameux fils de Tyler était là, la main dans la main avec cette femme, et regardait le monde, les vagues, et maintenant, un film pour enfant qui aurait endormi l'américain s'il n'était pas aussi absorbé par la vue de sa mère. Jack était le portrait de son père : on ne le lui avait pas mentit. Luke et Chain en avaient eux aussi parlaient, en plus de Tyler. Dans le fond, il y avait une pointe de jalousie. Ce corps qu'il avait jadis serré contre le sien, qu'il avait aimé, qu'il avait en quelque sorte chérit plus que les autres, lui accordant un semblant d'importance, s'était donné à ce Carlson... l'idée même que l'islandais ait pu l'aimé une nuit lui retournait l'estomac. Il n'avait pas pour habitude de faire le sentimental, mais là, il était blessé dans son égo. Le fait même de penser que Chain s'y intéressait, alors que le mangemort avait sa blondinette... non. Il grogna, en silence, dans l'obscurité. Il sursauta quand il la regarda se levait, le petit garçon de deux ans dans ses bras, et du se tapissait un peu plus dans le noir, afin de se fondre totalement avec l'obscurité. A première vue, elle ne s'en était pas tout à fait rendu compte. Si elle avait eu l'impression d'être observer, c'était normal. Qu'elle ne l'ait toujours pas trouvé, pour une auror, ça devenait presque un compliment qui lui était directement adressé. Elle partit border l'enfant quand il se dégagea du mur, se dirigeant dans la cuisine. Il devait maintenant choisir : la revoir, ou partir d'ici, sans faire d'histoire. Dans les deux cas, il y gagnait quelque chose, et en perdait une autre. D'une part, son exclusivité sur ce corps, de deux, un peu de plaisir dans cette fin de soirée hasardeuse où il n'avait pas pensé dire oui à Dino quand le mexicain lui avait demandé s'il venait, ou non, à la fête donnée à San Tonio. Autrement dit, il n'avait qu'une seule option : aller la voir, et la reprendre à tous. C'était un réflexe typiquement grotesque, après toutes ses années, mais Edward Clash n'avait jamais été vraiment prêteur de toute façon. Le regard du prédateur suivit la proie. Elle passa comme un songe, doux et délicat à la fois, et sortit vers la terrasse, donnant sur la mer, avec le bruit du clapotis. Cette ambiance était typique des films d'amour.. et Edward Clash détestait les films d'amour. Il pencha la tête, en sortant doucement de l'obscurité, bien décidé à faire une certaine « surprise » à son ancienne petite amie, un sourire sur les lèvres.
« Qui que vous soyez, sortez de votre cachette. » « Schttt. Tu n'as pas toujours eu peur de moi, Maïka... »
Arrivant dans son dos, un rire sur le bout des lèvres, il se retrouva face à elle, le visage à quelques centimètres du sien, les yeux plongés dans les siens. L'effet de surprise fut magnifique. Il la regarda le dévisager, surprise, étonnée. Elle l'avait peut être oublié? Si c'était cela, jamais il ne lui pardonnerait, et elle mourait ce soir même. Mère porteuse pour Carlson ou pas, qu'importe. Il réajusta ses lunettes sur ses tempes, les remontant dans ses cheveux et lâcha d'un air amusé :
« Alors? Je t'ai manqué? »
Son rire, clair et bref, se perdit dans le silence et le clapotis des vagues au loin. |
| | | Sujet: Re: The Jetset Life Is Gonna Kill You { PV } // NC-17 Sam 11 Avr - 1:49
| | Invité
Maïka avait senti une présence toute la journée près d’elle. Sauf qu’en cherchant du regard, elle ne trouvait jamais rien. Parfois, elle voyait un ombre, parfois elle croyait avoir aperçu quelques choses, mais jamais rien. Elle n’aimait pas ça. Elle avait toujours peur que quelques choses arrivent à son fils. Elle ne craignait pas pour sa vie, mais elle voulait que son fils vive. Maïka avait donc gardé Jack près d’elle. Ça la sécurisait un peu, mais elle savait que la personne qui se cachait était dangereuse vu qu’elle ne se montrait pas. Maïka craignait toujours que son fils meurt à cause de la vie qu’elle menait. Maïka avait une seule chose dans sa vie qui était importante plus que sa propre vie, c’était bien sûr Jack. L’ex-Gryffondor n’est pas le genre de femme à se soucier de la vie des autres, sauf ceux qu’elle apprécie vraiment comme Jack, Gavin… Elle avait besoin de savoir les gens qu’elle l’aimait et appréciait beaucoup en sureté. Elle était étrange et compliquée, mais elle n’était pas une mauvaise personne au fond. C’est loin d’être la meilleure aussi. Il n’y avait pas un équilibre dans la vie de notre ex-auror, je dis ex-auror, car cette dernière n’allait plus rentrer travailler… C’était décidé. Trop de danger pour l’instant ! Ce n’est pas qu’elle ne voulait pas affronter le danger, mais elle craignait pour la vie de son fils. Si quelqu’un le lui ôtait, elle tuerait tous ceux qui se mettront sur son chemin. Maïka ferait tout et n’importe quoi pour laisser vivre son fils et le voir bien heureux. Elle avait un grand cœur, mais les gens n’essayaient pas de le voir, ils s’arrêtaient qu’à ce qu’elle montrait son physique et ce qu’elle aimait… le sexe. Maïka ne voulait plus vivre comme elle le vivait, même si elle aime la vie qu’elle vit par moment. C’est un peu compliquer. Elle aimerait que des choses changent, mais elle ne pouvait plus faire marche arrière. Le temps défile… Elle ne peut le rattraper, car il a déjà filé. Toute la journée le temps avait filé, mais elle avait eut l’impression que le temps ralentissait pour qu’elle prend conscience d’un danger qui la guette. Peut-être était-elle simplement paranoïaque? Ça se pouvait très bien. Elle était juste effrayée par l’idée d’être attaquée par derrière. Un coup de salaud bien sûr, mais… ça se pouvait très bien. Peut-être qu’elle avait développé une maladie inconnue ses derniers jours ce qui la rend schizophrène. Maïka essayait d’oublier la présence, mais la présence l’inquiétait. La présence l’intriguait. Toute fois, elle se demandait qui était là… qui était la personne inconnue qui l’intriguait. Pourquoi cette personne la suivait. Tant de question sans réponse. Allait-elle avoir de réponse bientôt ? Cela ne reste qu’à voir.
Maïka avait bordé son fils avant de se diriger vers la terrasse. Elle le sentait dans la maison. L’intrus c’était introduit chez elle. Il était à l’intérieur. Maïka était terrifiée en même temps. Elle se dirigea sur la terrasse et s’installa sur une chaise. Puisqu’elle voulait entraîner l’intrus à l’extérieur. Elle espérait qu’il n’est personne. Elle souhaitait presque qu’elle soit folle. C’est con à dire, mais elle préférerait ça. Elle se sentirait peut-être plus en sécurité que maintenant. Elle s’assit à la petite table qui était sur la terrasse. Elle parla dans le vide. Elle demandait que la personne sorte de sa cachette. L’ex-Gryffondor était dos à sa maison, elle était face à la mer. Elle regardait le vide en entendant une réponse. Elle entendit très peu qu’elle entendit sa voix. Elle le reconnaissait. Impossible de ne pas se souvenir de lui. Comment oubliée quelqu’un comme lui ? Comment Maïka pourrait oublier cet homme avec qui elle a passé une été avec lui avant de s’être fait laisser tomber quand elle avait dix-sept ans ? Elle ne l’avait pas oublié. Elle reconnaissait sa voix. Sa présence était inquiétante. Elle le savait qu’est-ce qu’il était. Elle souhaitait que son fils allait bien. Puis qu’est-ce que Edward venait faire chez elle ?
« Schttt. Tu n'as pas toujours eu peur de moi, Maïka... » « Pourquoi tu m’as suivi toute la journée ? »
Demanda-t-elle avec une voix douce et calme. Elle essayait d’être calme le plus qu’elle le pouvait. L’ex-gryffondor regardait Edward qui venait de se placer face à elle avec son visage près du sien. Maïka regardait les traits du mangemort. Elle respirait doucement, elle sentait la respiration chaude d’Edward… Il était vraiment près d’elle. Maïka ne bougeait pas. Elle se méfiait encore un peu. Maïka le fixait. Elle ne pouvait pas beaucoup bouger puisqu’il était là. Est-ce qu’il voulait lui faire du mal ? Elle n’en savait rien. Il était mangemort et elle était une auror encore pour eux. Elle ne savait pas quoi faire face à eux. La jeune femme n’aurait jamais pensé que la présence qu’elle avait senti tout le long de la journée soit Edward Clash. Elle était extrêmement surprise, mais aussi terrifié… Qu’elle était les intentions d’Edward…
« Alors? Je t'ai manqué? » « Tu penses que tu m’as manqué quand tu as préféré les mangemorts à moi ? »
Dit-elle toujours aussi calme. Elle n’aimait pas qu’il soit aussi près d’elle. Maïka le repoussa tout doucement en appuyant un de ses pieds contre le ventre d’Edward. Elle appliquait une légère pression pour le faire reculer sans lui faire mal. Elle n’aimait pas qu’il soit aussi près. C’est normal. Qui aime se faire dominer ainsi ? Car oui, Edward était un homme dominant, il le faisait sentir assez facilement. Elle n’aimait pas ça et n’aime pas encore ça. Normal, non ? Ses goûts ne changent pas aussi facilement qu’un claquement de doigt. Maïka Regardait Edward en le faisant reculer. La jeune hawaïenne portait une simple camisole avec des shorts extrêmement courte, en dessous de ses vêtements, c’était son mini-bikini, puisqu’elle avait passé pratiquement la journée sur la plage. Une petite brise souffla. En arrière d’eux se trouvait la mer où on pouvait entendre les vagues.
« Et moi je t’ai manqué Edward? » Elle fronça les sourcils. « Oh c’est vrai j’oubliais, non tu es à la place que tu veux maintenant » Maïka avait été blessée qu’Edward la laisse comme ça neuf ans plus tôt. Elle en aurait des choses à lui dire. Pourquoi avait-il préféré les mangemorts à elle ? Elle n’avait pas aimé ce coup. C’est sur qu’au début, elle ne savait rien sur ce qu’il voulait faire, mais en étant une auror, elle a bien vite compris ce qu’Edward avait eut en tête. Pourquoi ne lui avait-il tout simplement pas dit la vérité ? « Es-tu venue pour me tuer ? » Elle le regarda sérieusement… Elle était toujours assise sur la chaise. Elle semblait ne pas avoir peur, mais elle stressait de plus en plus… |
| | | Sujet: Re: The Jetset Life Is Gonna Kill You { PV } // NC-17 Dim 12 Avr - 20:06
| | Nombre de messages : 78 Age : 32 Beck E. Bones
« Schttt. Tu n'as pas toujours eu peur de moi, Maïka... » « Pourquoi tu m’as suivi toute la journée ? » « Moi? Faire ça?... t'as du te trompé. A moins que ça t'es excitée et que tu te persuades que ce soit moi? »
Au fond de lui, il l'aimait bien. Maïka avait été avec lui durant son adolescence. Ils avaient vécu un été ensemble, un été qui avait semblait à un paradis. Toujours quelqu'un avec lui à son réveil, et si elle n'avait jamais été au courant de ses nombreuses maîtresses, elle resté tout de même quelqu'un sur qui il n'avait jamais voulu cogner. Ou pas vraiment. Les rares fois où il avait en colère, il avait prétexté avoir un rendez vous avec des amis pour mieux briser quelqu'un d'autre. Cette époque, pourtant, était révolue. Le jeune gringalet, mince et musclé, s'était mué en un homme, tout aussi imposant, mais d'avantage effrayant. A croire que les années l'avaient fait empiré. Il s'amusait avec elle comme jamais il ne l'avait fait avant... les années l'avaient changé en monstre ; c'était une certitude.
Son regard se fit plus perçant et son sourire moqueur.
« Alors? Je t'ai manqué? » « Tu penses que tu m’as manqué quand tu as préféré les mangemorts à moi ? » « Attends... me dis pas que tu m'en veux encore, quand même? Non... » Il eut un petit rire. « Ceci dit, le choix était facile à faire... maintenant, j'ai même le droit d'avoir une vie sociale. T'imagines? »
Edward avait dit cela sur un ton ironique. Il n'était pas de ceux qui se soucier d'avoir une vie en dehors du travail, car le travail était tout sa vie. Les petits à côté étaient satisfaisant, même sur le terrain. Clash se laissa pousser par son ancienne petite amie. Il avait toujours su qu'elle n'aimait pas être dominer, et ça ne datait pas d'aujourd'hui. Déjà au lit, elle se battait presque avec lui pour avoir la tête du couple, et au final... il l'avait toujours eu. Un peu plus loin d'elle, il la dévisagea. Il retrouvait le même regard qu'elle lui avait jeté, neuf ans en arrière, quand ils avaient rompu. Le coeur inexistant aurait pu battre, mais il était mort depuis longtemps. La seule chose qui le faisait battre était l'excitation, l'extase. Son bikini la mettait presque dans son plus simple appareille... un état qui le mettait, lui, hors d'état. Il eut un sourire. Ça lui rappelait vraiment le bon vieux temps.
« Et moi je t’ai manqué Edward? » Elle fronça les sourcils. « Oh c’est vrai j’oubliais, non tu es à la place que tu veux maintenant » « Maïka... j'ai toujours eu la place que je voulais. »
Edward ne mentait pas. Si il était partit, c'était car il le voulait. Sa relation avec la jeune femme était celle dont tous rêvaient. Elle était belle, il était beau, ils avaient une sexualité étonnante et s'entendaient bien. Le seul bémol, c'était -et elle ne l'avait jamais su-, Edward était « malade ». Il était accroc, et ça, il ne le lui avait jamais dit. On disait qu'il était un violeur? Un malade? Un de ceux qui ont des délires nécrophiles, sadomasochistes... trop de délires. Trop à cacher à Maïka, la jalouse. Il eut un sourire. Le lui cacher, porter le rôle de méchant ; c'était la seule chose de bien qu'il avait fait durant toute son adolescence. Si il était partit du jour au lendemain, c'était... comme ça. Edward était un chien sauvage, libre. Il allait là où il voulait, quand il voulait. Et ça n'avait pas changé.
« Es-tu venue pour me tuer ? » « Si j'étais là pour faire ce que je fais habituellement, tu serais déjà sur le ventre, la gorge ouverte, et ton mioche serait déjà froid. » Il eut un sourire carnassier. « Mais si tu veux mourir, ça peut s'arranger. »
Il eut un petit rire, sachant qu'elle n'était certainement pas suicidaire. Il recula de quelques pas et se posa sur une chaise, allongeant ses pieds devant lui. Il semblait réellement détendu. Il la regarda et arqua un sourcil.
« Alors May, on fait la tournante chez les mangemorts et même pas on m'invite? »
Un sourire aux lèvres. |
| | | Sujet: Re: The Jetset Life Is Gonna Kill You { PV } // NC-17 Lun 13 Avr - 4:56
| | Invité
« Moi? Faire ça?... t'as du te trompé. A moins que ça t'es excitée et que tu te persuades que ce soit moi? » « Ne me prend pas pour une Conne, Edward. C’est toi qui m’a suivi tout le long. Je suis sûre que c’est toi qui était excité tout le long de la journée. »
Elle croisa son regard. Elle parlait calmement. Pas besoin de crier ou de s’énerver. Il valait mieux pour elle qu’elle reste tranquille. Elle le connaissait depuis neuf ans, même si elle savait qu’il avait changé. Maïka l’avait réellement aimé, mais elle avait eut aussi de la peine quand il est parti. C’était tout à fait normal, quand on aime on ne veut pas voir son copain partir. Elle avait eut en tête qu’il reviendrait, mais il n’est jamais revenu avant aujourd’hui. C’était un choc pour la jeune femme, elle ne pouvait s’empêcher de ne pas le regarder, de le fixer… Il était toujours aussi beau. Pourtant, elle savait le danger qu’il représente. Elle avait toujours su qu’il était vivant à quelques part dans la nature, il avait tué bon nombre de gens. Maïka n’ignorait pas cela. Elle n’était pas ignorante de la situation. Elle savait qu’il est un homme dangereux. Maïka était attirée envers les hommes dangereux. Ô combien elle les aimait ! Edward était un de ses hommes. Maïka était heureuse de le revoir, mais effrayée à la fois, maintenant, elle avait un petit homme avec elle. Son fils était en danger, en même temps. Edward est un homme cruel, elle la vu par ses meurtres. Elle sait qu’il est possiblement plus dangereux que Tyler. L’ex-Gryffondor avait en tête de ne pas l’énerver ou encore de le menacer, elle avait été amplement punie par Tyler. Elle ne recommencera plus jamais. Maïka ne voulait plus jouer à ce jeu, donc elle n’avait pas envie de le menacer, car elle ne voulait pas se faire battre de nouveaux. Maïka regarda par réflexe le mur où sa tête s’est fait cogner par Tyler. Elle avait tourné la tête pour pouvoir regarder le mur, peu après elle regarda de nouveau Edward. La jeune femme préférait regarder ses visiteurs que de regarder ailleurs, surtout que ses visiteurs étaient généralement des personnes dangereuses. Maïka aurait envie de caresser le beau visage de Edward… C’était une envie peut-être bizarre pour certaines personnes, mais elle avait réellement de le toucher.
« Attends... me dis pas que tu m'en veux encore, quand même? Non... Ceci dit, le choix était facile à faire... maintenant, j'ai même le droit d'avoir une vie sociale. T'imagines? » « Oui je t’en ai vraiment voulu, Ed. » Elle marmonna. « Tu m’as même fait pleurer » Elle soupira avant de poursuivre. « Tu n’as pas de vie sociale. Tu es recherché… Comment peux-tu dire que tu as une vie sociale quand on est poursuivit toute sa vie. Ta vie doit être déjà plus excitante que la mienne. »
Elle devait s’avouer que sa vie n’était pas excitante. Maïka n’avait jamais été vraiment sur le terrain. Même si elle aurait aimé ça. Si elle n’avait pas eut autant de mangemort dans sa vie, elle aurait peut-être aimé d’être plus souvent dans sur le terrain, car si elle en tue un… Combien de mangemorts tenteront de la tuer ? Plusieurs. Elle savait que Luke n’hésiterait pas de la tuer. Elle le savait parfaitement. Elle savait que personne ne se souciait si elle était envie ou morte. Personne se souciait de personne que de leur petite personne. Alors comprenez que Maïka n’était pas vraiment aimée par personne. Les gens se fichaient d’elle, ce qu’ils voulaient c’était du sexe. Maïka aimait le sexe, donc les gens en tiraient profit et elle aussi. Elle aimerait avoir quelqu’un dans sa vie, mais… encore une fois personne n’était là pour elle. En plus, elle était une mère monoparentale. Qui voudrait d’une femme avec un enfant dans ses pattes ? Rare sont ceux qui la voudraient. Elle le savait très bien. Maïka n’était pas conne. Elle voyait les hommes la regarder puis ensuite détourner le regard en voyant son petit Jack. La seule chose qu’elle voudrait faire c’est des tuer. Elle les trouvait complètement con, mais ce n’est pas le sujet du jour. En ce moment, elle avait un de ses ex face à elle.
« Maïka... j'ai toujours eu la place que je voulais. » « Tant mieux pour toi »
Elle avait répondu sèchement, mais à la fois calme. Elle lui en voulait toujours. Elle avait souffert. Maïka aurait aimé vivre une plus longue histoire. L’ex-Gryffondor aurait aimé avoir plus longtemps avec ce dernier. Il était l’homme qu’elle aurait aimé avoir toute sa vie, mais elle ne le connaissait plus comme avant. Il était différent et ça elle le savait. Elle n’était pas conne pour autant. Il y avait un petit quelques choses en lui, qu’elle aimait toujours. Il était dangereux… Elle le voyait. Elle le savait. Pourquoi avait-elle envie de le toucher ? Aucune idée. C’était ses gouts et ses choix. Il ne fallait pas chercher. Comme toujours, elle n’aimait pas se faire dominer. Pourtant cet homme était un dominateur depuis toujours. Elle l’avait repoussé avec son pied délicatement, souhaitant ne pas le faire fâché. Elle n’avait pas envie d’une autre scène à la Carlson chez elle. Elle fit un léger sourire.
« Si j'étais là pour faire ce que je fais habituellement, tu serais déjà sur le ventre, la gorge ouverte, et ton mioche serait déjà froid. Mais si tu veux mourir, ça peut s'arranger. » « Sait-on Jamais, Ed. Tu aurais peut-être voulu me rendre dingue avant de me tuer… »
Elle avait raison, peut-être aurait-il voulu jouer avec elle avant de lui faire vraiment mal, avant de la tuer pour de bon. Peut-être que Edward était aussi méchant. Pour l’instant, il ne lui avait fait aucun mal. Pourtant, elle se demandait ce qu’il faisait ici. Ça l’inquiétait quand même, Edward pouvait la tuer sans crier gare. Elle en était consciente, en même temps, elle ne voulait pas qu’il parte. Wow ! Quel beau raisonnement ! Ce qui était dangereux, elle aimait. Donc Maïka était une folle… Une maso.
« Alors May, on fait la tournante chez les mangemorts et même pas on m'invite? » « Tu avais juste à venir plus tôt. Tu aurais pu faire comme tous les autres… venir me voir. »
Elle se leva et vint s’asseoir en califourchon sur Edward. Elle décida de l’embrasser dans le cou et elle laissa ses mains se faire baladeuse. Maïka le cherchait. C’était un jeu dangereux. Le savait-elle ? Je ne crois pas. Je pense plutôt qu’elle veut une nuit normale avec Edward Clash. Est-ce que ça existait ça ? Euuuh. On verra. Je n’en sais pas plus qu’elle-même si j’en sais plus que celle-ci. Maïka était ignorante sur certains points, mais elle était consentante.
« J’ai envie de vérifier si tes talents au lit… Ont disparu. Me battre avec toi… pour voir qui va gagner… Huuum » Elle laissa échapper un petit rire. Elle voulait faire sa coquine. Maïka avait un petit sourire coquin au visage. Justement, elle avait envie d’Edward. Elle souffla à l’oreille d’Edward… « J’ai envie de toi. Et toi, as-tu envie de moi ? » |
| | | Sujet: Re: The Jetset Life Is Gonna Kill You { PV } // NC-17 Mar 14 Avr - 5:44
| | Nombre de messages : 78 Age : 32 Beck E. Bones
« Ce qu'on appelle violence, ce n'est rien. La séduction est la véritable violence. » Gotthold Ephraim Lessing.
« Ne me prend pas pour une Conne, Edward. C’est toi qui m’a suivi tout le long. Je suis sûre que c’est toi qui était excité tout le long de la journée. » « Mais c'est qu'on peut rien te cacher à toi... »
Il eut un rire ironique. A vrai dire, pas vraiment excité, non... quoi que. Certes, elle était restée plutôt ravissante, avec ses courbes dignes des pin-up des pub coca-cola, mais de là à s'exciter sur une mère paniquée à l'idée qu'on la surveille de loin... c'était pas le gamin qu'il allait se taper, aux dernières nouvelles. Que croyait elle? Qu'il allait se mettre à genoux et allait la supplier de revenir auprès de lui? Elle avait vraiment échangé les rôles... à croire que neuf ans d'absence n'avait pas suffit à lui donner une bonne raison pour l'oublier et arrêter de penser qu'elle lui était particulièrement irremplaçable. Tout pouvait se remplacer, en réalité. Surtout une simple auror... une simple auror. Il avait passé plus d'un été avec elle. Pas assez pour qu'il s'en retrouva marqué, mais assez pour qu'il s'en souvienne parmi les autres. Maïka avait été la première et la dernière. Il n'avait jamais réessayé de former un « couple » après. La première impression avait été mauvaise ; la première impression avait été la bonne. Les couples fidèles, aimant la constance et les rapports chastes, ça n'était pas pour lui. Edward Clash violait les femmes et les hommes, parfois même ils les tuaient avant de « finir ». C'était un pédophile de surplus. En somme, c'était un monstre. Et elle le savait pertinemment.
« Tu n’as pas de vie sociale. Tu es recherché… Comment peux-tu dire que tu as une vie sociale quand on est poursuivit toute sa vie. Ta vie doit être déjà plus excitante que la mienne. » « C'est qu'en plus elle est pas bête, la p'tite! Attends... t'as pleuré? » Il eut un rire grave. « Je te l'avais dit, Maïka. Je suis pas doué dans les rapports humains... ceci dit, j'ai une vie sociale, je t'assure! Je joue au poker tous les soirs, et j'ai au moins deux relations sexuelles par soir, dont une consantante. Tu trouves pas ça magnifique? »
La rendre jalouse après toutes ses années? Oui. Il la regarda, un sourire moqueur sur le bout des lèvres. Il savait qu'elle allait marcher dedans, et même s'il n'avait pas menti, voir même minimiser ses loisirs nocturnes, il avait provoquer ouvertement. Et ça, il adorait. Son regard se fit plus perçant en la regardant, et son regard, une fois approché d'elle, la détaille de plus « près ». Sa peau avait perdu en éclat, mais elle était restée d'une forme athlétique parfaite. Irréprochable. Une poitrine généreuse et ferme, une peau qui semblait douce malgré les éternelles imperfections que chaque être humain cherche absolument à cacher... ça ne servait à rien, il le savait. D'ici, il sentait aussi son parfum. Une odeur de vanille et de fleur d'orchidée. Une odeur sauvage, peut être du gel douche. Il ne la voyait pas sortir et aller chercher une cascade pour faire la pub de tahiti douche en pleine cambrousse. C'était irréaliste.
« Tant mieux pour toi. »
Ça sentait la rancœur à plein nez. Il eut un sourire satisfait et commença à reculer, cherchant une branche pour se poser. Que de poème pour un géant comme lui, au coeur trop petit.
« Sait-on Jamais, Ed. Tu aurais peut-être voulu me rendre dingue avant de me tuer… » « C'est pas mon truc. Moi je viole avant de tuer... le reste, j'le laisse à Carlson… »
Il se posa sur la chaise et soupira de bien être. Il avait couru toute la journée... ça faisait toujours plaisir de se poser quelques secondes. Il adorait ça : se reposer. Edward... qui aurait cru qu'il aurait été, ce colosse, un chien qui, quand il a trop couru, aimer s'arrêter pour reprendre son souffle? Personne. On le pensait inépuisable. Il était humain... ou presque.
« Tu avais juste à venir plus tôt. Tu aurais pu faire comme tous les autres… venir me voir. » « C'est une invitation, May…? »
Il n'eut pas le temps de continuer sa phrase qu'elle se posait sur lui, à califourchon. Cependant, contrairement à d'habitude, il ne cilla même pas et la regarda, presque surpris de la voir se donner si facilement. C'était donc ça, sa partie de fin de chasse? Certes alléchant, mais terriblement fade... il la regarda un peu plus fixement. La lumière de la lune donnait à sa peau une délicieuse couleur, comme si elle avait un peau cuivré. Il posa instinctivement ses mains sur ses hanches, comme une réflexe qui reprenait le poids sur son éducation. Il la regarda se pencher sur lui et l'embrasser dans le cou, ses yeux toujours étonné, voir quelque peu dépité. Elle déposa ses lèvres sur sa nuque et il serra un peu ses mains sur les hanches de la demoiselle. Un bassin si petit avait pu faire naître un mioche si grand? La nature était quand même étrange, vraiment. Il rattrapa un râle qui aurait pu, neuf ans en arrière, être un « réflexe ». C'était faux. Il avait perdu depuis longtemps déjà chaque instinct qu'il avait avec elle. Il la laissa faire, la fixant d'un œil curieux.
« J’ai envie de vérifier si tes talents au lit… Ont disparu. Me battre avec toi… pour voir qui va gagner… Huuum. J’ai envie de toi. Et toi, as-tu envie de moi ? » « Non. »
Il la regarda, vraiment sérieux, et haussa les épaules. Quoi qu'elle dise, il n'en avait rien à faire. Qu'elle hurle, ça n'était pas la fin du monde... elle ne serait pas la première. Il n'enleva pas ses mains de ses hanches et la regarda plus fixement, un sourire pervers aux lèvres.
« ...à moins que tu fasses quelque chose pour me mettre en état de jouer avec toi... »
You are my toy. This is a game... a dangerous game.
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| | | Sujet: Re: The Jetset Life Is Gonna Kill You { PV } // NC-17 Mar 21 Avr - 4:59
| | Invité
« Mais c'est qu'on peut rien te cacher à toi... »
Maïka ignora la dernière réplique. Elle n’aima pas le ton qu’il avait pris. Ce qu’elle pouvait être chiante par moment, Maïka. Au moins, elle ne dit rien. Juste, un autre regard sur le mur qui avait toujours une trace de sang, elle comprit que mieux valait se fermer la gueule. Elle le pensait vraiment cette fois. Elle avait terriblement peur de se faire de nouveau violer ou encore se faire violenter, comme un vulgaire chiffon. Ce qu’elle détestait se faire violenter ou encore violer. Quelle phrase conne ! Pourquoi ? Parce que toute personne étant normale détesterait se faire violer. Peut-être était-elle une personne tout a fait normale ? Certainement, mais… peut-on qualifier une personne de normale, quand cette dernière aime follement un mangemort dans c’est plus grand secret ? Huum, je suis sure encore que ça dépend du mangemort, pourtant, elle aimait un mangemort complètement dangereux. Elle redoutait Edward. Elle le savait. Maïka connaissait le danger qu’il représentait. Pourtant, elle l’aimait. Elle était amoureuse de cet homme. Quoi ? Encore ! Oui, Maïka avait toujours des sentiments pour Edward depuis le temps. C’est sur que pendant neuf ans, elle l’a oublié, mais en le revoyant… Elle avait ressenti les sentiments qu’elle avait ressenti. Maïka voulait le ravoir pour elle, malgré le danger qu’il représentait. Était-elle folle ? Oui, elle aimait un être immonde et sans pitié. Maïka avait des drôles de goût, mais comment oublié une été inoubliable avec cet homme. Il n’a jamais été méchant avec elle, sauf quand il la quitté. Elle avait eut extrêmement mal quand il est parti. Elle s’était ennuyée de lui, pourtant elle avait réussi de l’oublier. Son cœur d’adolescente avait réussi à se réparer peu à peu. Elle était rendue une femme, son cœur ne souffrait plus, mais elle n’avait pas oublié, comment elle l’avait aimé comme une folle. C’est vrai que maintenant, elle prenait la peine de réfléchir. Elle n’avait pas envie de lui dire qu’elle était toujours amoureuse de lui, surtout avec le ton qu’il prenait pour s’adresser à elle. Elle était orgueilleuse, en plus. Comment dire des paroles difficiles à dire pour toute personne quand on est orgueilleux ? Huuum… Difficile.
« C'est qu'en plus elle est pas bête, la p'tite! Attends... t'as pleuré? Je te l'avais dit, Maïka. Je suis pas doué dans les rapports humains... ceci dit, j'ai une vie sociale, je t'assure! Je joue au poker tous les soirs, et j'ai au moins deux relations sexuelles par soir, dont une consantante. Tu trouves pas ça magnifique? » « Ça te dérange ? » Elle se tait quelques minutes. Elle aurait pu se fâchée, mais elle n’oubliait pas ce que Tyler lui avait fait. Maïka le regarda fixement dans les yeux. « J’ai lu beaucoup sur toi. Tu es une star chez les aurors. Tu peux le prendre comme un compliment, mais moi je ne fais plus parti des Aurors. Comme c’est dommage ! » Elle ferma les yeux quelques secondes avant des rouvrir. Elle réfléchissait tout simplement. « J’ai envie d’être une star comme toi. J’en ai marre de recevoir des ordres de Erlantz, il me fait chier à tout bout de champ. Prends-moi sous ton aile… Amènes-moi chez les mangemorts ! »
Elle venait de lui demander. Elle avait fait sa demande pour suivre la trace qui lui aurait été tracée si elle n’avait pas fait la tête de mule. Ses parents avaient espéré plus jeune, mais elle avait décidé de faire à sa tête d’être une bonne petite fille qui va dans le droit chemin, mais ses fréquentations l’ont amené sur le sombre chemin. Maïka avait fait exprès de ne pas écouter les commentaires sur ses aventures. Elle était jalouse. C’était de plus en plus pire, surtout envers Edward. Vous comprenez que la jeune femme est vraiment amoureuse d’Edward, mais elle ne voulait pas lui dire. Son orgueil serait atteint sans difficulté. Elle n’aimait pas ça. En plus, Edward la connaissait trop. Il savait comment elle réagissait, elle le savait en plus. Peut-être qu’il avait oublié quelques petits détails de son caractère. Maïka ne savait pas où elle en était rendue dans sa vie. Elle savait aussi qu’aimer Edward Clash allait lui apporter encore plus de problème. Juste le fréquenter était un jeu dangereux. Puis, son petit Jack allait peut-être être aussi en danger par les fréquentations de sa mère. Maïka était incompréhensible. Elle ne voulait pas qu’Edward touche à son bout de chou. Jack n’avait aucun rapport dans l’histoire, mais Maïka s’inquiétait. Elle était une mère aimante et extrêmement protectrice. En fait, Maïka était une bonne mère d’une manière ou d’une autre. Elle voulait que son fils vive plus longtemps qu’elle vivra dans un bonheur extrême.
« C'est pas mon truc. Moi je viole avant de tuer... le reste, j'le laisse à Carlson… » « Parle moi pas de viol ! » Elle regarda le mur avec la tache de sang « Et surtout de Tyler. Tyler et viol … Puis je sais ce que tu fais pas besoin de me le dire. J’ai lu. Pas besoin de plus pour savoir que tu es un violeur Edward. As-tu l’intention de faire ce que tu fais aux autres filles ?»
Elle laissa sa phrase en suspension pas besoin de poursuivre. Il y avait assez de mauvais souvenir pour la belle métisse. Elle n’aimait pas entendre le mot viol chez elle, surtout qu’elle en avait vécu un, il n’y a pas longtemps. Il faut comprendre que personne aimait être violée. C’est tout à fait normal. En tout cas, elle lui avait demandé. S’il en parlait tant pis. Elle s’assurait aussi s’il avait l’intention de lui faire du mal. Maïka ne laissa pas finir la prochaine phrase de l’homme qu’elle vint se poser en califourchon sur Edward et l’embrassait dans le cou. Il n’avait pas envie d’elle. Elle le regarda surprise sur le coup, mais recommença à l’embrasser dans le cou. Elle ne devait pas baisser les bras, mais elle ne voulait pas que ça finisse comme la dernière fois… La dernière fois, c’était celle de Tyler et Maïka. Elle sentait les mains d’Edward sur ses hanches parfois, il serrait ses hanches. Elle ne le croyait pas. Maïka croyait qu’il avait envie d’elle, mais ce dernier ne parlait pas.
« ...à moins que tu fasses quelque chose pour me mettre en état de jouer avec toi... » «Si tu penses m’avoir aussi facilement, tu te trompes. Je n’ai pas dit saute-moi ici sur la chaise. J’ai demandé si tu avais envie de moi… Si tu voulais jouer avec moi. » Elle le regarda essayant de se coller contre lui. « Mes jeux sont différents de ce qu’ils étaient que quand j’avais dix-sept ans… Je te ferai perdre patience. Oh que j’en suis sure ! Je sais que tu es impatient. Il est écrit dans ton front. »
Elle finit de parler. Elle détacha le pantalon de Clash d’une main habile. Elle avait si souvent aventuré ses mains dans ce coin. Maïka se leva un peu et baissa le pantalon d’Edward sur les cuisses de ce dernier. Elle s’attaqua par la suite au sous-vêtement d’Edward, elle le baissa un peu comme son pantalon. L’ex auror caressa l’intimité de l’homme. Elle avait l’entre-jambe d’Edward neuf ans plus tôt. Maïka regarda Edward avec un regard coquin. Elle vint coller ses lèvres contre les siennes. Elle l’embrassa langoureusement en continuant de le caresser. Maïka le regarda par la suite fixement.
« Tu veux jouer maintenant… Comme je te l’ai dit… Ta partie de chasse n’est pas terminée. Tu n’as pas fini. » Elle fit un sourire pervers. « Peut-être que tu préférerais violer les petites filles d’honolulu qu’une femme qui a changé depuis neuf ans… ? » Désolée c'est nulle -.- |
| | | | | | | The Jetset Life Is Gonna Kill You { PV } // NC-17 | |
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