Sourier Vous êtes filmer [Libre]

Sujet: Sourier Vous êtes filmer [Libre] Ven 16 Mai - 23:04

Le 6 Octobre 2010

Ce jour là je n'avais pas beaucoup dormis. De nombreux cauchemars ont peuplé ma nuit et a de nombreuse reprise j'ai dut me rendre dans la salle de bain me passer un peu un peu sur le visage tellement j'était transpirante à cause de la peur. Bien sûr a chaque fois je prenait bien soin de faire le moins de bruit possible pour ne pas réveiller le dortoir et ne pas éveiller les curiosité . Bien qu'a à mon avis les autres avaient plus intéressant à faire que de s'occuper de moi, comme vérifier qu'elle n'avait pas de bouton ou rendre le play boy du coin folle d'elle. C'est donc la nuit déconfite dut à ma nuit agité que je me trouver dans le parc. Comme toujours depuis la MDP on ne pouvait pas franchement dire qu'il y avait foule autour de moi. Mais peu importe, mon lecteur MP3 et par conséquence de la musique a fond dans les oreille ainsi qu' un bon magazine de rock me suffisait.

C'est alors que je vis approcher vers moi une fille qui avait des airs beaucoup trop sage pour que ce soit réaliste. J'ai toujours eut tendance à penser que les personnes trop « gentilles » avait quelque chose à cacher. Un peu comme un masque qui dissimuler les pires horreur possible. Il faut se méfier de l'eau qui dort comme on dit. Peut-être que celle qui s'avancer vers moi était une futur psychopathe ou quelque chose dans le genre. Quoiqu'il en soit cette fille ce diriger belle et bien vers moi a mon plus grand étonnant, tout sourire aux lèvres. J'crois que c'est à se moments là que j'ai penser que le sourire était vraiment une curiosité étrange. Certain ont leurs visage qui s'éclaire quand il sourit et d'autre ont l'air niais et stupide. Pour cette fille c'était la deuxième solution. Sa c'était moi tout cracher. Je ne l'a connaissait pas pour l'instant et pourtant je commençait a la juger et peut-être même a la détester . Mais aller savoir parfois le destin réserve bien des surprises....

En ce début de matinée, June était descendu dans le parc. Elle y avait donné rendez-vous à Ashley à la veille, et, pour une fois, n’était pas en retard. D’ailleurs, elle-même la première, il n’y avait pas le moindre doute à avoir. La chevelure rose vif de la jeune fille ne lui permettait pas la plus petite discrétion. Elle s’était levée de bonne heure, comme tous les matins, afin de ne pas perdre un instant. Pas une minute n’avait été perdue. Durant le mois de Septembre les affaires n’avaient pas été prolifiques pour les Prewett. Ainsi, la Serdaigle s’était dit ce matin, devant le tas d’invendu qu’il leur restait : « On va probablement pas vendre tout ça en Octobre. Ça fait quelques jours que je résiste pour faire plaisir à Charlie qui croyait pouvoir finir d’écouler, mais vu qu’on a pas réussi il va pas m’en vouloir. Allé, nom d’un troll, j’en prend un peu ça peu exploser les fayots ! ». Sur ce, elle s’était servie allègrement, n’ayant pas la même notion d’ « un peu » que le commun des mortels.
Ce fût donc dans un état légèrement second qu’elle avait, péniblement descendu les sept étages de Serdaigle. Pour une fois, elle ne s’en tirait pas trop mal, et presque sans égratignure. Elle aurait voulu trouver son frère, mais celui-ci était probablement encore en train de dormir en se moment. De toute façon, elle le verrait après. Là, elle avait Ashley à voir. Par chance, dans un éclair de lucidité aussi soudain qu’inattendu, elle avait pensé à se l’écrire sur la main avant de passer à son activité favorite. Bien qu’elle ai l’habitude, ayant été élevé dans un foyer où flottait à longueur de journée cette douce odeur, on ne savait jamais ! Il lui était arrivé de ne plus savoir ce qu’elle devait faire, ni qui elle était, alors qu’elle n’avait pas eu l’impression d’avoir spécialement forcé sur la dose. Quoiqu’il en soit, cette petite astuce était vraiment super. Elle songea qu’il faudrait désormais l’utiliser plus souvent.
Bref, ses pieds foulaient l’herbe encore humide de ses pieds, tout en marchant gaiement, et un peu un zig zag aussi, il fallait bien le reconnaître, même si ce n’était pas flagrant. Ashley arriverait probablement dans peu de temps. Quoique. Enfin, en attendant ce n’était pas désagréable de rester là. L’air était frais et vivifiant, la rosée recouvrait délicatement les pétales des fleurs. En un mot : parfait. La belle matinée par excellence.
Soudain, June aperçue une jeune fille assise par terre, des trucs collés dans les oreilles, et un magazine posé en travers des genoux. C’était une Gryffondor assez renfermée sur elle-même que la Serdaigle avait déjà vu, mais avec qui elle n’avait jamais parlé. Ou alors, elle ne s’en souvient plus, dans ce cas ci ce ne devait pas être une personne vraiment marquante. Mais il n’y avait personne d’autre aux alentours à cet instant, et June n’était pas avec son frère, elle était seule. Elle s’approcha donc d’elle, son éternel grand sourire fixé aux lèvres, renforcé par sa petite fumette matinale. Il parait que les drogues donnent l’air stupide. Qui sait, c’était peut-être vrai ? La jeune fille en doutait. Non, en fait elle s’en moquait totalement. Ben oui, vous croyez vraiment qu’elle va s’amuser à se regarder dans une glace ? Mais vraiment, quelle idée ! En y réfléchissant elle avait déjà passé des heures avec son frère à se faire des grimaces devant un miroir… ça pourrait compter alors. Mais, revenons plutôt à nos moutons. Elle était donc maintenant tout près, et s’était arrêtée à côté d’elle. Vraiment à côté. Elle lui posa une main sur l’épaule, et la regarda fixement pendant quelques secondes. En ce cours instant, une idée germa dans son esprit, et lui vint immédiatement aux lèvres sans passer par la case cerveau, qui était hors d’état de nuire de toute façon.

June | « Là bas, il y a un endroit en pente. On va y culbuter ?! »

La chose, dit comme ça, avait de quoi surprendre, surtout quand on vous le cri à moitié dans l’oreille. Cette proposition était des plus saines (bande de pervers xD), il s’agissait tout simplement de se placer en haut du bout de terre, et de se laisser rouler jusque en bas. Bleus, et salissage garantis ! C’était un jeu qu’elle avait l’habitude de faire. En plus, c’était vraiment la bonne période ! On était en Octobre. En cette saison, les feuilles tombent des arbres pour venir doucement se déposer au sol en des tapis orangés. Comme la rosée était encore là, et qu’il y avait des petites pluies par moment, le tout était humide. Donc, en dévalant ce vaste réseau végétal mort, on s’en relevait avec un manteau automnal des plus chatoyants. Un vrai plaisir pour les yeux, le corps, l’esprit, et l’odeur, le terre mouillée dégageant une agréable odeur.

J'ai ensuite réalisé que le sourire de la jeune fille avait la chance d'être égaillé par quelque chose que je connaissais bien : la cigarette. Dans le domaine du tabac et d'la cigarette on ne pouvait pas franchement dire que j'étais une débutante. J'avais largement prédestiné a faire mourir mes poumons dans d'atroce souffrance. Mais ce n'était pas vraiment le genre de chose qui me faisait peur. S'il y a bien quelque chose que j'ai compris lors de ma cinquième année c'est que : tout l'monde meurt, c'est comme ça . Il faut l'accepter un point c'est tout. On ne peut rien y faire . Et tant qu'a mourir un jour je préférais choisir ma mort au regret d'avoir put choisir correctement ma vie. J'ai toujours aimer avoir le choix et pouvoir n'en faire qu'a ma tête.

Écouteur dans les oreilles, j'essayai d'oublier l'environnement extérieur pour ne penser qu'a la musique . Mais c'était sans penser au gens qui ne pense qu'a eut et qui n'ont de cesse de vous laissez tranquille. Marrer de voir comme la terre entière s'obstine toujours à vous parler le jour ou vous avez inscrit en gros dans votre subconcient " FOUTEZ MOI LA PAIX " . Mais les gens ne pensent qu'a et rarement aux besoins de solitude des autres voilà pourquoi la fille tout sourire dehors, ne tarda pas à mettre sa main sur moi. J'ai toujours détesté se besoin qu'on les gens de vous toucher, un peu comme s'il voulait vérifier que vous êtes bien en cher et en os. Étrange. Puis je trouve que c'est beaucoup trop familier aussi et que c'est loin d'être hygiénique, ont se jamais où les mains des autres ont trainé .

Quoiqu'il en soit cette jeune fille me parlait comme si je la connaissait ou quelque chose dans le genre. Enfin je le supposer a l'expression de son visage et à ses lèvres qui remuer car la musique dans les oreilles je n'entendais pas une traitre mot de se qu'elle racontait. Une chance peut-être. J'enleva alors un des écouteur et la regarda d'un air pas vraiment ravie.

Rebelle ~ Quoi ?

On m'a toujours dit que j'avais l'art et la manière de parler au gens. Un p'tit truc qui fait que les autres ont toujours envie de m'en coller une. C'est p't-être vrai !

N’importe qui aurait compris que la Gryffondor n’était pas particulièrement ravie d’avoir été ainsi dérangée dans son profond moment de solitude. Mais pas June. A vrai dire, elle ne prêtait pas vraiment attention aux attitudes que les autres pouvaient avoir, tellement elle était concentrée sur sa personne. A vrai dire, si elle y avait réfléchit, elle ne serait tout de même pas partie. Rester seul, volontairement, à ne rien faire, sans bouger, n’est pas quelque chose de concevable pour elle. C’est un comportement qu’elle mettrait plutôt sur le dos de la timidité.
Quoique qu’il en soit, la jeune fille avait retiré un de ses écouteurs, et la regardait avec un air qui n’était pas des plus accueillants. Disons même, qu’elle avait l’air franchement antipathique.

Harmony | « Quoi ? »

Lorsqu’on est poli, il est préférable d’utiliser le terme « comment ». Que voulez vous, jeunesse jeunesse ! June n’en tint pas rigueur, et continu à la fixer intensément en souriant à s’en fendre la mâchoire. Avec sa musique dans les oreilles, elle ne l’avait, apparemment, pas entendue. Qu’à cela ne tienne, elle allait répéter, ça n’avait jamais fait de mal à personne !

June | « Là bas, il y a un endroit en pente. On va y faire quelques culbutes ? »

Là même chose, mot pour mot, ou presque. Et pour être sur d’être entendue cette fois-ci, elle lui avait littéralement hurlé dans l’oreille, tout en riant comme une demeurée. Elle c’était encore un peu plus rapprochée de la jeune fille, et se penchait vers elle, comme secouée nerveusement. Ashley devrait ne plus tarder maintenant… A cette pensée, elle se calma peux à peux, et se redressa, tant bien que mal, pour regarder droit dans les yeux la jeune fille dont elle attendait une réaction.
En fronçant les sourcils, elle fouilla dans ses souvenirs… ça commençait par un « H »… Hal ? Nan, pas possible… Harley alors ? ... Non plus... Son front redevenu, soudainement lisse, elle s’exclama, recommençant à rire :

June | « Yeaaah Heavy ! C’est bien ça ton prénom, non ? »

Très fière d’elle-même, elle lâche quelques secondes l’épaule de sa voisine, pour taper ses mains, tout en sautillant sur place. Il fallait être habitué à ce comportement d’hystérique excitée, légèrement débile et puérile. Heavy, elle s’appelait bien comme ça, ne donnait pas le sentiment de se comporter ainsi. Lorsque June l’avait abordée, elle n’avait rétorquée que par un mot sec, et n’avait quasiment pas bougé. Mais, la Prewett avait bien l’intention de la faire se bouger ! Ce n’est pas possible de rester amorphe comme ça, en faisant la tronche, tel l’adolescente dans toute sa splendeur. Ce qu’elle lui avait proposé était, après tout, une des activités les plus intéressantes qui soit, et il n’y avait aucune raison qu’elle refuse, c’est ça qui serait vraiment stupide comme réaction, rater une occasion pareille ce serait vraiment bête.

[ Désolé du retard ... ]

June ~ Là bas, il y a un endroit en pente. On va y faire quelques culbutes ?

Est-ce que j'avais l'air d'une gosse de six ans ou d'un ado attardé ? C'est ce que j'me suis demander a cet instant. Des culbutes sur une falaise . Quel idée étrange. Même lorsque j'avais six ans je ne me souviens avoir fait ce genre de chose. Il faut dire que j'ai toujours un enfants très et très dociles. Les jeux salissant ou un machin dans le genre ça n'a jamais était trop mon truc. Moi c'était plutôt les grandes en forêt, les coloriage et les bouquet de pissenlits pour maman. Typiquement le genre de truc qui me donne la gerbe a présent. Mais ce n'est pas pour autant que je m'occupe à faire n'importe comme des culbutes par exemples .

Rebelle ~ Pourquoi faire ?

J'avais pas vraiment motivé, c'est le moins que l'on puisse dire mais étant la situation actuelle il m'était de faire guère mieux. Puis de toutes façon je me fichait total de se que pouvais penser mon interlocutrice. Celà faisait bien longtemps que je me soucie plus du regard des autres.

June - Yeaaah Heavy ! C’est bien ça ton prénom, non ?

Un immense sourire est alors apparut sur mon visage. Un sourire comme j'aurai put en avoir si on m'avait annoncé la mort de Melle Gray ou que Poudlard était en train de brûler. Heavy. Là sur le coup la jeune fille venait d'être beaucoup plus intéressante à mes yeux. La plupart des gens font la grossière erreur de m'appeler Harmony . D'accord c'est mon prénom mais je l'ai toujours détesté . J'avais beau répété a tord et a travers dans tout le château que je m'appelle Heavy, ces abrutis s'obstiner à m'appeler Harmony . Surtout les profs d'ailleurs. Mais pas elle. Sur le coup la jeune inconnus avait grandement suscité mon intérêt.

Rebelle ~ Woé c'est ça ! Et toi ?

Une début de conversation, je n'avait pas l'air très enthousiaste mais c'était déjà un bon début pour moi . Et il ne fallait peut-être pas m'en demander trop.

[ HJ : Je crois que tu ne viens plus avec ce perso… et comme Ashley ne répond pas, depuis deux mois, je pense qu’il ne sert à rien de le laisser en cours. ]

Harmony | « Pourquoi faire ? »

Les yeux écarquillés, June regarda la jeune fille comme si elle venait, par un miracle quelconque, de se transformer en balais, ou n’importe quoi. Figée pendant plusieurs secondes, elle se mit soudain à rire, comme soulagée d’un affreux doute, ne se souciant guère de l’air peu motivé de Heavy.

June | « Ah ah t’es trop drôle comme fille ! J’ai fallu te croire, tu joues super bien la comédie, trop chouette, t’es hyper cool ! Ah ah, géniale ta blague ! »

Rappelons que June étant actuellement légèrement « shootée », elle avait le rire facile. Déjà qu’en tant normal elle se marrait pour un rien, là même entendre une blague comme « steak haché ! » serait en état de lui faire piquer une crise de fou rire interminable.
Etrangement, quand elle demanda à la Gryffondor si elle s’appelait bien Heavy, un immense sourire éclaira alors le visage de celle-ci.

Harmony | « Woé c’est ça ! Et toi ? »

Elle semblait enfin porter un intérêt à la conversation. Ravie que celle-ci se montre un peu plus conciliante, bien qu’elle aurait tout de même continué la conversation même si il n’y avait pas eu ce changement, June enchaîna rapidement, toujours souriante.

June | « Trop forte I am the boss !!! T’as une tête à t’appeller comme ça, ça aide aussi. Moi c’est June. June Prewett. T’as peut-être déjà entendu parler de mon frère, Charlie, il est préfet à Pouffsoufle. Célibataire, j’t’arrange une rencontre si t’es intéressée, y’a pas de souci, t’es super. »

Elle ne cherchait pas à tout pris à caser son frère, mais ça l’amusait d’essayer de trouver chaussure à son pied. Bizarrement, elle n’avait pas souvent une réponse positive à son affirmation, ce qui la laissait dans l’incompréhension la plus totale. Après tout, c’était une personne marrante, intelligente, au physique agréable, et qui en plus vendait de l’herbe !!! Elle, à leur place, sauterait sur l’occasion sans hésiter. D’ailleurs, elle regrettait qu’ils aient les mêmes parents, si ce n’avait pas été le cas, elle sortirait avec lui sans l’ombre d’un doute. Mais bon, ils étaient de la même famille, c’était donc presque comme-ci, avec l’avantage qu’elle pouvait avoir quelqu’un d’autre à côté sans risquer de se faire accuser de tromperie.
Retournant brusquement à la question précédente, sans crier gare, elle s’écria.

June | « C’est tellement évident, tu pouvais que plaisanter ! Ce serait vraiment encore plus génial que j’le croyais de culbuter avec toi ! »

Poussant un profond soupir, la Serdaigle regarda la jeune fille, un immense sourire scotché au lèvre, tel une apparition divine, un miracle tombé du ciel. Elle avait vraiment de la chance d’être tombée sur elle.

June | « T’es géniale, j’t’adore ! »

En s’exclament, elle avait passé ses bras autour du cou de la Gryffondor, la serrant amicalement. Grâce à cette fille au sens de l’humour si développé elle s’amusait follement, et avait complètement oublié que Ashley n’arrivait toujours pas. Peut-être qu’elle ne viendrait pas d’ailleurs, ce ne serait pas la première fois. Tout en la lâchant, riante, elle lui posa une dernière question, totalement prête à s’amuser.

June | « On y va ?! »

Tout en attendant la réponse, l’estomac de June se mit soudain à gargouiller. Il est bien connu que l’herbe était une chose qui ouvrait l’appétit… La jeune fille ne mangeait pas beaucoup, de manière générale. Mais lorsqu’elle en éprouvait le besoin, elle y remédiait immédiatement. Sans se faire prier plus longtemps, elle adressa donc un signe de la main à Heavy, tout en partant en courant, le plus droit qu’elle pouvait, vers le château.

June | « La prochaine fois on ira ! Je te ramènerais quelque truc ! Passe une bonne journée ! »

Elle partait aussi rapidement et soudainement qu’elle était arrivée. C’était ça June Amy Prewett, une tornade d’énergie, de bonne humeur, et de douce folie qui passait irrégulièrement, sans possibilité de prévision.

[ RP Terminé ]

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