nationalité : Anglaise.
né(e) le 23/03/1856 à St-Mangouste
réside au à quelques parts en sol anglais en dehors de la grande ville avec Oona.
scolarité : Il a complété ses études à Poudlard dans les prestigieuse maison de Rowena Serdaigle.
baguette magique : 26.75 fait de bois de noyer ayant comme composante un plume de phénix. La baguette est assez souple.
statut : En couple.
domiciliation bancaire :  Gringotts
permis divers : transplanage,

E.xamen de
M.agie
É.lémentaire
U.nifié

Les E.M.E.U sont des tests d'aptitudes magiques et de connaissance destinés aux sorciers comme aux moldus. Ils sont supervisés par l'Autorité des Examens Magiques représentée par sa respectable présidente, Griselda Marchbanks.

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session #2005-06-06

Un réveil brutal. Le souffle court. Le cœur me débattant dans ma poitrine nu. La sueur coulant sur mon visage. Je me réveillai à la suite d’un rêve étrange ; je n’avais l’habitude de me réveiller aussi brutalement. Mon corps avait réagi, il montrait l’épreuve nocturne qu’il venait de subir. Je m’étais donc levé m’assoyant dans le lit que  je croyais être celui qui m’accueillait habituellement dans la cabane du garde-chasse.  Je suivais toujours cette celte pas à pas.  Je ne faisais que mon humble travail bien que je me retrouvais souvent confronter à de la violence et des moqueries des autres petits cons de Poudlard alias le corps professoral. Je les avais profondément dans le cul surtout Cruz en particulier. Un latino atroce que je vomissais par chaque pore de ma peau.  Que j’haïssais cet homme qui ne respectait pas les mesures prises par le ministère. C’était une fourmi à écraser.  Bref, mon regard parcourait la pièce, mais je ne reconnaissais rien.  Où étais-je ?  Je ne reconnaissais rien ; ce n’était pas la cabane.  Je ne pouvais me laisser aller à une panique incontrôlée. Reprendre mes esprits étaient la première étape. Je m’assieds dans le lit cherchant désespérément un point de repère. Je ne reconnaissais rien. C’était quoi ce foutu bordel ?  Un coup d’œil vers la gauche… je découvris avec horreur une femme ! UNE FEMME !  Comment étais-je arrivé dans le lit de cette femme ? Je ne me laissais jamais avoir.   Pensif, je cherchais dans ma mémoire une quelconque réponse à cette énigme.  Euréka ! Elle m’avait droguée ; c’était surement une autre folle de femme de Poudlard qui m’avait servi une potion. Ah ! Ces femmes toutes les mêmes : méchantes, manipulatrices, trompeuses et hypocrites. Cette saleté de race que je devais aussi écraser avec la semelle de mon pied à côté du connard de Cruz.  Il fallait éliminer les indésirables : Cruz-le-coincé-du-cul et les femmes en faisaient parti ! L’humanité s’en porterait mieux, mais nous avions un problème sans femme… notre monde s’arrêtait net sans possibilité de voir notre œuvre se poursuivre. Je devais me résoudre à écraser que quelque unes que pour mon petit plaisir personnel, mais Cruz était sans importance, il pouvait  disparaître, je m’en porterai beaucoup mieux!

Curieusement, j’avais envie de voir le visage de cette femme qui m’avait trompé en me servant ma faiblesse soit de la nourriture ? J’étais persuadé qu’elle m’avait présenté un plat alléchant où je n’ai pu résister à la tentation. J’avais fait ma Ève qui croquait le fruit défendu.  Je m’étais déplacé presque au-dessus de la femme la dévisageant. J’étais presque nu, je devinais que j’étais intime avec elle. C’était quoi cette histoire sans queue ni tête. Je ne voulais pas être un suppôt de Satan. Ma vie en serait détruite. Je n’avais pu craquer aussitôt pour une femme. N’avais-je pas assez connu de souffrance vis-à-vis ces créatures ingrates qui n’avaient hésité à me poignarder ?  La femme brisait tout sur son passage laissant désolation. J’avais goutté à l’abandon d’une mère qui m’avait promis. Elle m’avait laissé aux mains d’un homme horrible qui n’avait hésité à briser mon enfance.  Saleté de chienne !  J’étais penché au-dessus de l’horrible femme qui m’avait soi-disant drogué. J’eus un mouvement de recul. Mes yeux étaient écarquillés.  Merde ! Je ne m’attendais pas à ça ! Pas à elle ! J’étais persuadée au départ qu’une folle à lier de Poudlard m’avait fait ce mauvais coup. Une professeure douée en potion aurait pu le surprendre, mais ce n’était pas cela.  C’était la celte ! Pas Aelys, l’autre qui avait débarqué un soir  de réconciliation avec Aelys.  Pourquoi Oona se tenait-elle nu dans le même lit que moi ? Eh merde ! Je ne voulais rien entendre.  Je devais partir. Vite !

Je me levai prêt à fuir les lieux. Je  me cherchais des vêtements. Mais où étaient mes vêtements de la veille ? Attendez ! Cela faisait combien de temps que j’étais drogué ?  Nous étions quelle date ? Je levai la tête en direction des différents meubles se trouvant la chambre. Par merlin, quel genre de créature vivait ici ? Je ne reconnaissais en rien quelques objets étranges qui étaient posés sur les étagères. J’avais cru que cette demoiselle à l’époque était une idiote naïve ne sachant un traitre mot de ma langue. Je vois… elle m’avait dupée.  Les femmes, comme je les haïssais de tout mon cœur.  Sans m’accorder un temps de plus pour me chercher mes vêtements, je sortis à moitié nu par la première porte que j’aperçus. « Aelys ?! C’est quoi ce manège ?  Tu as été assez fourbe pour me tromper ? Avoue que c’était dans tes plans ? » Je criais dans la demeure ne trouvant personne.  J’étais en colère. Terriblement en colère. Je ne comprenais rien du tout. J’ouvris une deuxième porte sans regarder la pièce. J’étais terrifié en même temps.  Mon égo ne voulait en dire d’avantage. Ce n’était pas très viril de trembler vis-à-vis une situation nouvelle. Non, j’étais cet agent du ministère  froid, calculateur et méticuleux. Je ne devais me laisser aller à la plus grande des paniques. Je devais absolument garder mon sang froid. La porte était grande ouverte que je baissais les yeux sur le journal que le facteur venait de me lancer aux pieds. Je le pris. « QUOI ?! 2005 ? »  Quelques têtes se tournèrent vers moi, je souris froidement en claquant la porte. Je retournai dans le lieu où j’avais ouvert les yeux soit la chambre à coucher.  « C’EST QUOI CE FOUTU BORDEL ? NE ME DIT PAS DE ME CALMER, ESPÈCE DE SORCIÈRE À LA CON.  TU M’AS FAIT À CROIRE QUE TU ÉTAIS UNE CELTE SAGE, TRANQUILLE ET QUI COMPRENAIT RIEN À MA LANGUE. »   Je repris mon souffle en disant. «J’ai cru que je pouvais te berner. Œuvre du démon. Arrière, ne t’approche pas ! » Je montrai les poings à la femme que je venais de réveiller en sursaut. Comment étais-je arrivé en 2005 en reconnaissant Oona ? Que se passait-il ? J’avais l’impression que j’avais oublié une bonne partie de ma vie, mais comment ?