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 Jane L. Maigny • There's a fine line between love and hate. { terminée }

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MessageSujet: Jane L. Maigny • There's a fine line between love and hate. { terminée }   
Jane L. Maigny • There's a fine line between love and hate. { terminée } EmptyJeu 26 Mar - 6:00



Invité
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Jane Laure Maigny.
16 ans.
Étudiante / 6e année.

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Spoiler:


Dernière édition par Jane L. Maigny le Jeu 26 Mar - 7:14, édité 2 fois
 
MessageSujet: Re: Jane L. Maigny • There's a fine line between love and hate. { terminée }   
Jane L. Maigny • There's a fine line between love and hate. { terminée } EmptyJeu 26 Mar - 6:52



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    Chapitre 1 ;
    C’est un beau roman, c’est une belle histoire.


    Notre histoire débute avec un nom : Maigny. Pourquoi ce nom ? Tout simplement parce que cette histoire raconte celle d’une famille et que cette famille porte ce nom. Simple, n’est ce pas ? Cela va de logique, je vous l’avoue. Bref, les Maigny sont une de ces anciennes familles dont la réputation n’est plus à faire. D’origine noble – on raconte même que l’un de leurs ancêtres était un baron, cette famille est parmi les plus riches et les plus influentes du monde magique. Elle débute par deux frères, Vivien et Rémy Maigny. Bien qu’ils étaient très liés, les deux frères étaient d’une différence facile à discerner, mais cela ne les empêchait pas de bien s’entendre. Tout d’abord, par leur union ; Rémy s’était marié avec une jeune femme qu’il avait lui-même rencontré dans le cadre de son travail, Vivien, quant à lui, avait eu affaire à un mariage de convenance, à sa propre demande. Seule ressemblance : les deux femmes étaient d’origines pures, c’était là la seule condition propre à entrer dans la famille Maigny, qui sans être dans les extrêmes, accordaient une très grande importante à la pureté.

    Vivien était des deux celui qui avait le plus fierté et il affichait clairement ces couleurs. C’était aussi celui des deux qui avait le plus d’ambition. Il n’est pas donc surprenant d’apprendre qu’aujourd’hui, il est en tête du entreprise multinational et qu’il excelle dans ses fonctions. Rémy, beaucoup plus discret, décida d’opter pour un poste au Département des Mystères, loin des fonctions administratives que pouvait encombrer un poste de direction.

    La dernière différente, qui n’en ai pas vraiment une, est cette envie d’exil qui poussa Rémy à quitter le manoir familiale – capable de recueillir plus d’une famille – pour aller vivre avec sa nouvelle épouse, Jacynthe Déry et leur enfant à venir, une petite fille qui porterait le nom d’Alizée, à Marseille. Héritant dès lors du manoir, situé à Londres, dont il devient le seul propriétaire, Vivien y fit une multitude de rénovations afin que sa famille, composé de sa femme Agnès de Beaufort, de son fils Ludovic Adrien et de sa petite cadette, Jane Laure, y soit complètement à l’aise.


    Chapitre 2 ;
    Le déni de l’évidence.


    Mais comme dans toute famille qui se respecte, les choses ne sont pas aussi parfaites qu’elles en ont l’air, n’est ce pas ? Et évidement, lorsqu’il s’agit d’un mariage de convenance, il va sans dire que l’amour réciproque est loin d’être acquis. Agnès de Beaufort aimait son mari, tendrement, passionnément… aveuglement, dirais-je même. Parce qu’à l’évidence –ce qu’elle refusait d’admettre – Vivien lui était totalement indifférent, et ce, même s’il lui avait fait deux magnifiques enfants. Non, Vivien était loin d’aimer cette femme qu’il avait épousé, c’est pour cette raison qu’il s’absentait aussi souvent qu’il le pouvait et qu’il cumulait les aventures, lors de ces voyages d'affaires à l’extérieur du pays. Cependant, à trop courir, il vint un jour où il tomba bien bas.

    En effet, l’une de ces conquêtes qui se prénommait Joséphine Cox tomba enceinte lors de l'une de ces petites galipettes amoureuses. Une mauvaise surprise qui n’était pas pour plaire à la dame qui, menant à terme l’enfant, l’abandonna dans les bras de Vivien. Elle ne désirait, pour nul au monde, s’encombrer d’un enfant et comme l’homme était le seul et unique responsable de son malheur, elle lui fit cadeau d’une troisième bouche à nourrir. Toutes femmes de ce monde aurait immédiatement mit fin à cette relation, n’est-ce pas ? Que votre mari voit d’autres femmes en cachette, tant que vous n’êtes pas au courant, d’accord. Mais si celui que vous aimiez vous rapportait l’enfant d’une autre en se disant père de ce dernier, que ferriez-vous, dites-moi? Agnès, d’une grande bonté de cœur, accueillit l’enfant en son sein sans se poser trop de question. Probablement qu’elle croyait qu’en agissant ainsi, elle s’accordait les faveurs de son époux. Mais il n’en était rien ; peu lui importait d’avoir un enfant avec une autre. Tant que ses enfants étaient dignes d’être des Maigny, ils les aimeraient. Et comme ce bébé avait encore beaucoup à vivre, il serait forgé à la manière des coutumes ancestrales. Et c’est ainsi que la jeune Claire Joséphine Maigny s’ajouta aux archives familiales des Maigny. Et croyez-moi, ce n’est pas cette incident qui arrêta Vivien de voir ces conquêtes… il est toujours coureur de jupons mais il a compris la leçon, cependant.

    Chapitre 3 ;
    Les jours de pluie


    La vie à cinq, au manoir des Maigny, se déroulait de la façon la plus normale pour une famille de ce calibre. Dès leurs plus jeunes âges, Ludovic, Jane et Claire furent éduqués aux bonnes manières et aux comportements dignes d’enfants de leur niveau. Et, bien entendu, leurs éducations était ce qu’il y avait de plus importants. Des tuteurs spécialisés dans des domaines bien précis passaient leur journée à apprendre aux enfants de Vivien tout ce qu’ils devaient savoir. Bien entendu, au fil des ans, chacun trouva une voie bien particulière. Pour Jane, se fut le piano qui devint son exutoire. Lorsqu’elle était triste, ou même heureuse, elle jouait, se défoulant sur les notes blanches et noires du magnifique piano à queue que lui avait offert son père. Elle devint rapidement une experte dans cet art et pour son père, ce fut une fierté de la voir assise derrière cet instrument lors de ces soirées pour les œuvres de charité dont il était le président d’honneur – il avait, bien entendu, une double vie dans le monde des moldus.

    Les liens entre les enfants Maigny se tissèrent aussi, peu à peu. Bien entendu, Laure était d’avantage proche de son grand frère Ludovic, car, toute jeune, dès qu’elle apprit que sa sœur n’en était pas vraiment une, elle avait ressentir une certaine pointe de jalousie à son égart. Mais, bien entendu, avec les années et avec l’âge, ce trait de son caractère s’effaça et Claire compte autant à ses yeux que Ludovic, désormais. D’ailleurs, avec ce dernier, une sorte de guerre s’est ouverte le jour où elle trouva dans son lit de petites couleuvres terreuses, alors qu’elle venait de s’y coucher. Elle avait alors six ans et cet épisode la marqua gravement ; en fait, elle a une peur chronique des serpents depuis ce même instant. Mais ne vous en faites pas, elle a largement eu le temps de se venger sur son aîné, principalement lorsque les parents n’étaient pas dans les parages.

    La relation entre Agnès et Vivien Maigny, cependant, n’était pas aussi belle que le prétendait les apparences. Bien entendu, Monsieur Maigny n’était pratiquement jamais chez lui, bougeant au gré des contrats qui lui étaient attribués. Et dans chacune des villes qu’il visitait, il y avait toujours une femme qui l’attendait dans sa chambre d’hôtel, à la fin de la journée. Même si ces femmes n’avaient en aucun cas le droit de communiquer avec lui, les enfants trouvèrent tout de même certaines lettres de ces amantes qu’ils montrèrent à leur mère, ignorant alors ce qu’il en retournait. Et Madame de Beaufort, dite de Maigny, continuait d’agir comme si cela n’était qu’une invention de leur part, une fausseté, un mensonge. Pourtant, même les plus idiots auraient pu voir la froideur qui régnait entre ces deux là lors des repas en famille – qui se faisait rare. Vivant dans la même maison, ils faisaient chambre à part, et ce, depuis toujours. Pourtant, dès qu’ils sortaient des murs du manoir, ils devenaient un couple heureux et Agnès se disait alors que ces efforts n’étaient pas vains. Elle vivait dans le mensonge mais elle s’y sentait à l’aise ; elle préférait se nourrir d’illusion que de réalité. Une triste réalité.

    Les enfants étaient gâtés, chouchoutés par leurs parents, ayant beaucoup plus d’amour de la part de leur mère et beaucoup plus de bien matériel de par leur paternel. Cependant, ils avaient appris à ne jamais dépendre de cette aisance et ils savaient qu’il fallait travailler pour atteindre ces buts. C’est une leçon qu’il avait tous retenu très facilement. Elle était, comme leur respect des sangs purs, incrusté dans leur fibre toute entière.
 
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Jane L. Maigny • There's a fine line between love and hate. { terminée } EmptyJeu 26 Mar - 7:10



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    Chapitre 4;
    Un endroit où pleurer.


    Alors que la jeune Jane s’approchait de sa huitième année de vie, un drame des plus déchirant vint semer le deuil au sein de Maigny. Une grand fête s’organisait au manoir de la riche famille qui, pour l’occasion, attendant de la très grande visite ; Rémy, Jacynthe et leur jeune Alizée venait passer quelques jours à Londres au plus grand plaisir de la fêtée qui était, à cette époque, déjà très proche de sa cousine. Personne, cependant, ne songeait que cette fête aurait pu être gâché par quoique ce soit. Mais le destin est bien malin.

    Forcer de prendre un moyen beaucoup plus conventionnel – une voiture – pour parvenir à leur destination, Rémy et sa famille furent coincés au milieu d’un carambolage qui lui couta la vie. Sa femme et sa fille, encore vivant lors de l’arrivée des secours sur place, furent transporter à l’hôpital moldu le plus près, où l’on constata, malheureusement, le décès de Jacynthe, quelques heures plus tard. Ne restait de cette famille que la jeune Alizée, sept ans, inconsciente et mal en point, à un point tel où l’on doutait pour sa survie.

    Vivien, sa femme et ses trois enfants arrivèrent rapidement au chevet de cette dernière qui se remettait, lentement, mais surement, d’une grave opération. Toujours inconsciente, les médecins ignorait si cette dernière reviendrait à elle, et surtout, quand ! Par chance, ce coma dans lequel elle était plongée ne dura que quelques heures. Le retour à la vie, cependant, fut beaucoup plus difficile – peut-être aurait-il mieux fallu qu’elle reste endormi, comme ses propres parents, afin d’éviter cette souffrance qui s’associait à la perte de ses parents.

    Il avait été décidé, avant même le réveil de la jeune fille, que cette dernière serait prise en charge par Vivien et sa femme. Il était hors de question qu’on mette en adoption cette enfant alors qu’elle était une fière descendante de la digne lignée des Maigny ; il ne fallait donc pas confier cette enfant à des étrangers. Non, ils allaient l’adopter et l’élever comme ils l’avaient fait pour Jane, Claire et Ludovic. La transition fut difficile, la peine et la douleur étant présent à chaque jour que le destin mettait devant eux. Mais les Maigny était une famille solide et ils se supportèrent l’un et l’autre ; Vivien, pour une fois, se laissa consoler par sa femme. Ludovic et Claire se rapprochèrent à cette époque. Et c’est Jane qui fut la bouée de sauvetage de sa cousine et nouvelle sœur Alizée.

    Chapitre 5;
    Dans la prison de Londres.


    C’est un bien drôle de surnom pour une institution tel que Poudlard, n’est ce pas ? Pourtant, lors de ces premières semaines de cours, c’est ainsi que Jane parlait de l’école de magie. En fait, un lieu où l’on vous envoyait pour les mois à venir, sans possibilité de sortir ou de visiter la famille sauf lors des vacances de Noël où lors des vacances estivales, ce n’était pas ce qui enchantait le plus Jane, elle qui détestait être séparée de sa mère trop longtemps. Et ce qui la chagrinait le plus, sans contredit, c’était d’être séparé de son magnifique piano à queue qu’elle ne pouvait hélas pas amener avec elle à Poudlard. Comment pratiquer et devenir toujours meilleure si votre instrument de travail se trouve indisponible et à des lieux de l’endroit où vous vous situez ? Et bien… c’est de cette façon que Jane a fait la découverte de la salle sur demande, mais nous n’entrerons pas dans les détails, vous savez tous le mode d’emploi de cette salle plus qu’extraordinaire.

    Donc, dès sa découverte de ce lieu si merveilleux où sa fratrie se réunissait parfois, afin de retrouver le peu de tranquillité qu’ils leur étaient possible d’avoir en dehors du manoir familial, la vie de Jane s’améliora et elle accepta, peu à peu, de vivre une bonne partie de l’année dans ce grand château qui avait tant à lui offrir. Elle échangeait, bien entendu, plusieurs hiboux avec sa mère, mais, au fil dans années, leur conversation écrite se firent de plus en plus rares, jusqu’à ce qu’elles s’oublient, peu à peu. Jane devenant plus femme qu’enfant au jour le jour. La jeune fille s’afférait à sa tâche d’étudiante avec beaucoup d’acharnement et d’application ( et elle réussissait haut la main à maintenir une excellente moyenne ). Certes, son plus grand bonheur était de faire plaisir à son paternel, cherchant sans cesse son approbation – après tout, il fallait qu’elle se démarque étant la seule et unique fille véritable du couple, son esprit de compétition ressortant faiblement dans ce domaine. Par contre, une grande partie de son temps libre était concentré à la pratique de son piano ; elle pouvait d’ailleurs passer des heures et des heures dans la salle sur demande sans que personne ne vienne vers elle. Mais elle appréciait aussi de passé du temps avec d’autres, bien qu’elle n’avait jamais eu beaucoup de facilité à tisser des liens avec les élèves de sa maison. Une seule chose, seulement, était prohibée dans son cercle : les Serpentard dont le blason lui donnait des sueurs froides. On dit les serpents mesquins et Jane était loin de vouloir s’encombrer de ce genre de relations.
 
MessageSujet: Re: Jane L. Maigny • There's a fine line between love and hate. { terminée }   
Jane L. Maigny • There's a fine line between love and hate. { terminée } EmptyJeu 26 Mar - 8:36



Nombre de messages : 173
Age : 31
Origine : Irlandaise.
Familier : Un fléreur blanc.
Lady Etàn D. Grey
Lady Etàn D. Grey
Jane L. Maigny • There's a fine line between love and hate. { terminée } Empty
    Fiche très belle et très fluide à la lecture!
    Je valide car il n'y a rien à redire <3

    Et il me semble que les Serdaigles seront le meilleur hôte que tu puisses avoir :3
    Voilà! Bienvenue parmi nous et bon jeu! =)
 
MessageSujet: Re: Jane L. Maigny • There's a fine line between love and hate. { terminée }   
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