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 Désirée O. McLaggen » Aimer ses péchés, c'est se damner.

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MessageSujet: Désirée O. McLaggen » Aimer ses péchés, c'est se damner.   
Désirée O. McLaggen » Aimer ses péchés, c'est se damner. EmptyJeu 12 Mar - 23:39



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Désirée O. McLaggen » Aimer ses péchés, c'est se damner. Vfghgfh
23 Ans
Mangemorte, Professeur de Potions.

_________________________________


Spoiler:

    Passeport de nom du personnage.
    • Prénom + Nom : Désirée Ohana McLaggen
    • Date de naissance : Un certain 12 Juin 1986.
    • Lieu de naissance : La demoiselle est né au Caire, en Egypte donc.
    • Origine Géographique : Cela ce voit à son teint pâle, elle n’a pas vraiment d’origine egyptienne. Mais elle porte en elle des origines anglaises, suédoise et sûrement Russe.
    • État civil : marié, veuf, célibataire, etc... Célibataire. Ou plutot, non définie.


    En profondeur, une esquisse.

    • Baguette magique : Longue d’exactement vingt quatre centimètres cinq, elle est d’une couleur plus blanche qu’une page vierge, et créée dans un bois de Bouleau ancien, elle est magnifiquement manipulable, souple et légèrement, elle permet sa détentrice un parfait contrôle de sa baguette. Son intérieur contient un cheveux de Vélane et un nerf de cœur de dragon.

    • École fréquenté durant l'adolescence : Désirée à toujours été Poudlard.

    • Si Poudlard, la maison dans laquelle il a été accueillit : Bien que cela en est surpris plusieurs, le chapeau avait fait un excellent choix en l’envoyant à Serpentard. Seul lui connaissait alors son caractère des plus…manipulateur.

    • Formation, curriculum vitae : A sa sortie de Poudlard, Désirée n’a tout d’abord rien fait, se contentant d’utiliser l’or familiale. Puis, suivant enfin son idée de départ, elle rejoignit les mangemorts, juste avant de se joindre au corps enseignant de la célèbre école de magie d’Angleterre.

    • pureté du sang : Plus pur, cela n’existe pas. Aucune tache ne vient pollué ce sang de choix, et il n’y a aucun doute la dessus. Et attention à qui osera l’attaquer là-dessus.

    • Origine Sociale : Or, Ô mon bel or. Désirée en à assez pour plusieurs vies, mais elle restreint ses dépenses depuis un certains temps. Plus riche on est, mieux l’on se porte.


    En quelques mots, c'est ça.

    • Caractère : Si physiquement Désirée est l’égale d’un ange, il n’en ait rien de son mental. Cette demoiselle sait parfaitement accorder son caractère en fonction de ce que l’on souhaite d’elle, et est ne excellente comédienne. Lorsqu’on ne la connaît pas, Ohana semble doucereuse, généreuse et prête à tout pour les autres. Ses sourires & ses rires si cristallins ont toujours su charmer et mettre en confiance quiconque. Etre naïf que vous êtes. Elle est le diable incarné dans une parure divine ! Désirée ne pense qu’à elle, elle-même, et personne d’autre. Elle cerne rapidement les autres et agit en fonction. C’est une manipulatrice, une grande joueuse dont le célèbre Game Over ne doit pas apparaître, une reine lorsqu’il s’agit de cacher sa vraie personnalité. Egoïste comme pas deux, ne toucher pas à ses affaires, où au pauvre pion qu’elle manipule si aisément puisse t-elle. Un sang froid sans égal la parcoure ; les émotions, elle ne fait que les jouer, elle ne les ressent pas. Tuer l’amuse presque. Sadique ? Sûrement. Si certains de ses confrères Mangemorts apprécie torturer leurs victimes, elle, elle préfère les anéantir mentalement, les contrôlant, les poussant à bout, avant de les achever. Oui, c’est là que réside la véritable jouissance. Charmeuse et séductrice plus qu’aucune autre femme, ce n’est pourtant qu’une sale habitude que de vouloir plaire. Coté cœur, il n’est que difficulté que d’essayer de la faire succomber. Par contre, du coté de son lit, c’est tout autre chose ; bien qu’elle les choisisse avec soin, ils sont nombreux à y être passé. Désirée accorde une importance à la qualité du sang, mais c’est une valeur familiale.La demoiselle est d’une nature totalement sauvage, et cela ce voit dans sa façon de bouger, d’agir. Cependant, elle ne sait s’arrêter de penser. Arrêter, c’est crever. Ohana ne supporte pas de ne pas contrôler une situation, et tente toujours de garder son calme, ce qui arrive à en énerver certains. Globalement, Désirée est une féline, douce d’extérieur, mais mordante quand on l’approche. A vos risques et périls, les jeux sont lancés.

    • Don, capacité, maladie particulier/ère : Désirée, en plus d’être une vélane est Legilimens, et croyez moi, découvrir tout vos petits secrets est un amusement sempiternel.

    • Physique : Ne nous mentons pas ; Désirée porte bien son nom. De longs cheveux havane, bouclé sur la fin, un visage aux traits fins. Et surtout, ce que nous pouvons noter sur ce dernier, ce sont ces deux yeux d’un bleus profondément lagon aux cils longs et recourbés peuvent être de vrai armes entres ses mains. Sa bouche pulpeuse et si souvent recouverte d’un rouge à lèvre des plus rouges embellit incontestablement sa peau plutôt pale. Son corps élancé est d’une minceur appréciable et ses longues jambes semblent sans fin. Ses mains possèdent doigts fins et manucurés et le bas de son cou – tel nommait-on la poitrine il y a de cela des lustres – est très loin de déplaire de part sa taille. Oui, cela est indéniable, Désirée est une vélane, et comme chacune d’elle, se mettre en valeur est un art, qui, pour elles, ne s’apprend pas.

    • Famille : Désirée a tout donnée pour elle, même si elle ne peut déclarer les aimer. Elle a été la grande sœur de deux jumeaux masculins terriblement agaçant, avec qui elle a due jouer le rôle de mère. Sa petite sœur, quant à elle, a tout pour devenir comme son aînée et c’est véritablement le double de Ohana. Quant aux parents ; Sa mère, la personne la plus stricte qu’elle n’est jamais vue, et sûrement la seule qu’elle est véritablement respectée. Le père, elle lui a réglé son compte elle-même. Enfin, si l’on peut dire ainsi. Et le reste de la famille, peut importe.


 
MessageSujet: Re: Désirée O. McLaggen » Aimer ses péchés, c'est se damner.   
Désirée O. McLaggen » Aimer ses péchés, c'est se damner. EmptyVen 13 Mar - 19:04



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Désirée O. McLaggen » Aimer ses péchés, c'est se damner. Dffg

Il y a des moments où l'on pète les plombs... Mais c'est plus une attitude de gamin ça : " j'ai six ans et j'envoie tout chier parce qu'il le faut" ! Sans raison. Juste par ce qu'il le faut. Qu'importe les autres, j'en fais ceux que je veut. Catin, séductrice ou encore Vil, peut importe qui je suis où comment je suis. Je suis, c'est tout. J'ai vingt trois pauvres années dans les jambes. Voilà que déjà, j'ai horreur de l'amour. Je ne peux pas le piffrer. Ce truc complètement dégueulasse. Tu sais, avoir ce sourire collé sur la gueule, le fait de ne plus s'endormir le soir dû à une dose excessive de bonheur enfin de ce truc un peu bidon. Il y a aussi les mains qui tremblent, le coeur qui bat et tout ça. Tout ce petit manège que notre corps prend plaisir à sentir... oui, ce petit manège que tout corps aime sentir, moi, je le déteste. J'ai appris à vivre seul. Et ça va de soit que quand on apprend à vivre seul. On arrive gentiment au point de ne plus rien ressentir pour personne et toutes les sortes d'affections. On arrive au point d'haïr l'amour. De le repousser. De le gerber même. Moi, stupide femme que je suis. J'ai créé des je ne sais quoi dans ma tête pour ne plus rien ressentir. Voir le fils de Satan avec les yeux perlés, le coeur battant, alors que d'habitude, il est mort, de voir ses mains trembler à ce sentiment inconnu, c'est un théâtre plaisant. C'est doux, pittoresque aussi. Et l'ange, je ne vous en parle pas, elle est là, à se griller les ailes, sa peau blanche devient, au contact de l'autre, plus sombre, ses plumes brûlent. Un jour viendra, nous aurons des rêves à nouveau. Et le cœur vierge de tout passé nous ouvrirons les yeux sur un monde nouveau. Et m'en exploser le coeur, j'en ai plus rien à foutre.
 
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    « Désirée, mon enfant, où es tu ? Allez sort de ta cachette ma belle…» Cette voix chantante, faussement doucereuse d’où s’échappaient les joies de l’alcool, qui vous donnait de froids frissons et n’inspirait aucunement confiance, elle la connaissait. Trop de fois elle l’avait entendue et été partit dans ses bras comme une enfant naïve & stupide. Mais c’était finit ça, elle grandissait, son intelligence avec. Qu’il aille au diable s’il ne l’est pas lui-même ! Désirée était étroitement serrée dans la cage d’escaliers, cherchant à échapper à son dangereux paternel. Elle entrebâilla la porte, juste pour voir où il était, et ce fut là son erreur. Un coup de pied fut lancé dans la porte, si bien qu’elle heurta la tête de l’enfant qui c’était penché pour voir dans son entrebâillement. Ne pouvant retenir un gémissement aigu, la porte se rouvrit et une grande main adulte la saisit par ses longs cheveux bruns et la tira hors de son repère. « Tu le savais, que tu ne pourrais pas te cacher bien longtemps n’est ce pas ? » Ohana cria si fort qu’elle du en créer des ultrasons, lorsque la main de celui qui l’élevait depuis déjà neuf années s’agrippa à sa gorge et commença à la serrer, doucement, puis plus fort, relâchent un peu la pression par moment, puis l’augmentant. Comme un jeu, où la souffrance dans les yeux de la fillette serait le gain, l’or. Le visage de Désirée perdait des couleurs, ses yeux se rougissaient, déjà physiquement cadavérique. L’air ne passait plus ; il ne jouait plus. Elle se sentait partir, doucement, mais sûrement. Ses yeux partirent dans le vide, et tout devint d’un blanc sans tâches.

    Il ne l’avait pas tué, bien entendu. Qu’aurait-il dit à sa femme ? Une fois sa fille au sol, il avait prit le temps d’aller se calmer ailleurs, ne voyant plus ici trace de souffre douleur potentiel. Sa femme ne rentrait qu’à l’heure prévue, comme d’habitude, et juste avant qu’elle n’arrive, il avait porté le corps de Désirée dans sa chambre, l’avait couchée dans son lit, feignant le bon père. Une histoire toute prête déjà en tête. La mère d’Ohana était une grande blonde aux yeux bleus, et était la femme la plus stricte que le monde magique eut du jamais porté. Elle était belle, et intelligente, mais pas assez pour se rendre compte de ce qui se passait sous son toit. Elle l’aurait tuée de ses mains, si elle avait su. Lorsqu’elle apprit l’état de sa fille, la jeune mère monta quatre à quatre l’escalier du spacieux manoir, et se précipita à son chevet. Désirée, elle, venait à peine d’ouvrir les yeux, la gorge douloureuse, et incapable de bouger, plongée dans une réflexion et une terreur qui lui semblait sempiternel. Lorsque sa mère fut près d’elle, elle força un sourire.
    « Ca va Ohana ? »
    « Oui oui…»
    « Je voudrais que tu fasses plus attention, s’il te plait. »
    « Attention à quoi ? »
    « Tu ne te souviens même plus ? Tu jouais avec le voisin, et il a serré ton écharpe autour de ton cou. Tu as perdu connaissance et ton père t’a retrouvé à temps. »

    C’était donc ça ? Désirée n’en pouvait plus. Il se donnait le rôle du héros. Elle avait eu le temps de réfléchir, et du haut de ses neuf ans et demie, elle se promit, se jura que plus rien ni personne ne s’en prendrait à elle sans en payer les dures conséquences. Qu’il se prépare, qu’il s’arme et mette son armure, la guerre est proche.

    Alors que son père était dans le salon, et sa mère quelque part dans le jardin, enceinte de la petite sœur de Désirée, cette dernière s’avança vers son paternel, les mains jointes derrière le dos, l’air d’un angelot directement tombé sur ciel. Effectivement ; elle arborait un sourire immense et ses pommettes étaient doucement rougit. Observant son enfant qu’il avait peu l’habitude de voir ainsi, l’homme fronça les sourcils et lui lança l’habituel regard du « Qu’est ce que tu me veut ? »
    « Tu sais, je ne suis pas aussi bête que tu le penses, et tout ce que tu as put me faire, je te le ferais payer. Oh arrête de rire, tu le regretteras, tout cela c’est finit. Bientôt, oui très bientôt, tu te rendras compte de ton erreur. »
    « Tu oses me menacer sale gamine ? »
    « Non seulement j’ose, mais j’assume, et j’accomplis.»

    Sur ce, elle se retourna, s’éloigna, et croyez moi, lui, n’avais vraiment plus aucune envie de rire. Le dos tourné à son paternel, elle avançait, et son sourire s’agrandit, son air de poupon devint celui du diable, si cornu, si vil, si sûr d’elle, que des flammes auraient put venir éclairer son passage.

    Le plan mis plusieurs mois à se mettre en route, elle peaufinait chaque détail, tout devait être réglé comme il le fallait. Elle n’avait qu’une chance, une seule, et si elle se loupait, les conséquences seraient désastreuses. Elle avait du fouiller, et avait trouvé des affaires pas très clairs que cachait son paternel. Elle avait toutes les pièces en main, et devait de toute sa force mentale retenir son empressement vis-à-vis de l’aboutissement de tout cela. Elle attendit patiemment le soir, alors que ses dix ans sonnaient. Toute la scène sembla se dérouler au ralenti, telle fut la façon dont elle la vécue en tout cas. Jouissante de sa réussite, chaque seconde était un délice. Deux hommes du ministère entrèrent, attrapèrent son père, en hurlant elle ne sait quoi, et tandis qu’il se faisait arrêter, il lança un sombre regard sur sa fille, assise dans l’escalier, qui l’observait, un sourire d’ange sur les lèvres. Le diable est un agneau. Soudain, elle l’effraya, il ouvrit la bouche, choqué. C’était elle, de sa faute, tout cela. Il allait se retrouver à Azkaban par la seule faute de sa propre fille. Ne serait-ce pas des cloches qu’elle entendait sonner en ce moment fatidique ? Ses yeux d’un bleu pur avaient un air si hautain, si calculateur, elle était effrayante, oui vraiment. Mais seul lui arrivait à le voir désormais qu’elle l’avait brisé. Pour les autres, elle était la pauvre petite Désirée Ohana McLaggen dont le père, mangemort de son état, c’est retrouvé en prison et y mourut peu de temps après, sois disant dénoncé par son voisin. C’était elle, qui l’avait poussé le faire. Agir, sans se salir les mains, s’il vous plait. Coup de maître. Elever un enfant c'est lui apprendre à se passer de nous.

    Voila, c’est ainsi que tout à commencé. Qu’elle a commencé. Qu’elle a apprit que pour s’en sortir, elle ne pouvait compter que sur elle-même, que la manipulation parvient toujours à ses fins si elle est rondement menée, qu’elle est doué pour cela, et que la jouissance que tout cela lui procurait était unique, une dose d’adrénaline, une poussée de confiance en soi, une drogue. Sa propre drogue, que seule elle arrivait à crée et à s’injecter, c’était meilleur que tout, et elle en voulait encore. Seulement, son passage à Poudlard risque de corser un peu les choses non ? Un véritable parcours de chasse, et la magie, putain mais qu’est ce que sa aide.
 
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    « Tu as reçu une lettre ma jolie.»
    « Laquelle de nous deux ? » Demanda Laïjandra, la petite sœur de notre chère Désirée. Les deux étaient jolies, et incroyablement identiques, de part leur caractère. Physiquement, l’une était blonde, l’autre brune, mais sinon, les différences étaient réellement minimes. Elle était complice, et il était rare de voir l’une sans l’autre. Parfois, lorsqu’elles parlaient et que quelqu’un venait à pénétrer dans la salle, elles se stoppaient immédiatement et attendaient que cette personne parte. Désirée l’avait prise sous son aile, décidant que sa sœur devait savoir comment obtenir ce qu’elle voulait, et que personne ne doive pouvoir lui faire du mal.
    « Pour Désirée, elle a onze tu sais, on en a déjà parlé. Vas me la chercher veut tu ? »
    Laïjandra disparut quelques minutes, avant de revenir, sa sœur aînée à ses cotés. Désirée avait bien grandit, elle était jolie, et gardait cette allure d’ange hautain qu’on lui connaissait si bien depuis quelques temps.
    « Poudlard ? » Demanda t-elle, quasiment sur de la réponse.
    « Oui, tu es admise, sans grand étonnement ! On ira t’acheter tout ce qu’il te faut demain après midi. Laïjandra, tu nous accompagneras. »
    Désirée lut la lettre rapidement puis la déposa sur le comptoir de la cuisine. Soit. Elle allait enfin intégrer Poudlard, la célèbre école de magie. Elle en savait énormément sur ce lieu, elle avait lut, avait demandé, et avait remplit un quota d’informations plutôt important.

    Plus tard, Désirée et sa sœur se rejoignirent dans la chambre de la brunette, toute deux assises sur le lit de cette dernière.
    « Je veut pas que tu partes.»
    « Je sais, mais c’est comme ça et je ne resterais pas.»
    « Je ne te manquerais donc pas ? »
    « Il faut savoir se détacher des gens. Nous seront toujours en contact, et même de là bas, je pourrais régler les problèmes qui surviennent face à toi. »
    « Je préfèrerais t’avoir près de moi.»
    « Tu te répètes. Et puis, on ne sera pas toujours ensemble. Tu dois apprendre à te débrouiller un peu seule, tu verras, tu te sentiras vite en contrôle sur tout ce qu’il y a ici.»
    « Bon, d’accord, c’est bon, j’arrête. Tu souhaites intégrer quelle maison ? »
    « Serpentard, bien entendu. La seule qui soit digne d’attention.»
    « Et si tu vas dans une autre ? »
    « Il ferait là une grosse erreur. Mais je doute joindre une autre.»

    Sur ses paroles, Désirée se leva et partit dans une autre salle, en pleine réflexion sur un sujet qu’elle seule connaissait.

    Le Poudlard Express. Le quai était bondé, et partout des élèves embrassaient leurs parents, avant de monter dans l’énorme train qui les mènerait à l’institution. Désirée, après un bref au revoir à sa mère, avec qui elle n’avait jamais été d’une tendresse folle, et d’une salutation envers sa sœur, elle y grimpa à son tour. Elle chercha un wagon vide, tranquille, où elle pourrait réfléchir peinardement. Simplement, au bout de plusieurs minutes, deux jeunes hommes et deux jeunes femmes firent leurs apparitions, et elle força un sourire angélique. Elle était douée en comédie, personne ne voyait jamais rien. Il fallait vraiment la connaître, pour voir ce qui se cachait sous sa carapace. Après de longues discutions avec les personnes qui avaient pris places dans son wagon, et en posant divers questions, elle en vint au fait qu’ils étaient purement naïf et ne se méfiait même pas d’elle contrairement à ce que cette dernière faisait. Elle joua le jeu jusqu’au bout, et finalement, à leurs arrivés, ils se jurèrent tous de ne pas se lâcher. Juré, juré, elle avait croisé les doigts. Ils seront des tests, juste histoire de se perfectionner dans l’art de la manipulation et voir jusqu’où elle peut aller.

    Grande salle. L’heure de vérité. D’après ses nouveaux amis, Désirée était une pure gryffondor. Elle le prenait comme une insulte, mais en même temps, se rassurait à savoir que c’était l’image qu’elle projetait. On ne se méfiait jamais assez de ses gryffondors non ? S’asseyant sur la chaise où tous était passés, elle semblait confiante en elle-même. Lorsque le choixpeau fut enfin installé sur sa tête, à peine l’avait-il effleuré, n’avait ne serait ce que toucher l’un de ses longs cheveux bruns, qu’il tonna ;
    « Serpentard ! »
    De là, elle entendit les exclamations de surprises de ceux à qui elle avait parlé en venant à Poudlard. C’était fait, elle était là où elle voulait, dans la maison qu’elle voulait, et les Serpentards seraient sûrement les seuls qu’elle pourrait venir à apprécier. Lorsqu’elle descendit de la chaise où de si nombreux élèves étaient passés avant elle, un sourire fier ne put être retenue. Seul sourire qu’elle était bien incapable de cacher, lorsqu’elle avait ce qu’elle souhaitait.
 
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