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- Aaaah... Je crois que là... S'en suivit un petit soupir d'extase, tandis qu'il se mordait la lèvre délicatement. Elle se releva doucement, avec un sourire. Alicante ne put s'empêcher de la suivre du regard, un petit air amusé sur ses lèvres. Elle passa délicatement sa main sur la joue du gitan avant de lui caresser doucement son petit bouc, avant de se relever complètement pour se retourner et s'en allait, accentuant bien son déhanché, qui laissa Alicante, complètement rêveur. La porte s'ouvrit, tandis que la jeune femme s'essuyait le coin des lèvres avec un petit provoquant devant Luo qui s'apprêtait à rentrer dans la pièce.
- Et bien... Je crois que je peux toujours rêver pour que mon cher frère se retrouve une femme, c'est ça ?
- Touché couler, beau gosse.

Luo eut un petit sourire. Il referma la porte du bureau d'Alicante tandis que Saul s'avançait vers Alicante qui reboutonnait rapidement les boutons de son pantalon. Le gamin déposa un bisou sur la joue de son grand oncle, avant d'ouvrir le tiroir pour récupérer quelques friandises. Luo, s'asseyant avec un sourire, reprit :

- Je vois qu'il a déjà quelques mécanismes...
- Chester et Vicente sont toujours fourrés ici, tu sais...
- Et ils s'occupent comme tu le fais ? Demanda Luo avec une petite grimace amusée.
- Non, eux, ils font les tâches ingrates... Répliqua Alicante avec un petit sourire, comme si c'était d'une évidence... Luo éclata de rire.
- Tant que tu ne maltraites pas mes deux fils...
- Aucun soucis... J'ai trop besoin d'eux..
- Heureusement que je te connais, sinon, je te prendrais pour le pire des connards...
- Tu me feras un peu de pub, en contrepartie, hein ? Alicante lui fit un clin d'oeil, tandis que Saul tendait la main vers l'un des couteaux d'Alicante. Tututu... Touche pas à ça, Hijo... Tu vas te couper, ven aquì.
- Si... Papi ? Fit Saul en regardant Alicante qui eut une grimace, comme si on venait de l'insulter. Luo éclata de rire. Ali' lui fit un doigt tandis qu'il finit son geste par montrer à Saul son grand père. Oui, mais tu es mon deuxième Papi... S'exclama le gamin, avec un sourire, tandis qu'il grimpait sur les cuisses d'Alicante qui semblait comme... Abattu.
- Bon, qu'est ce que tu veux... ?
- Tu pourras me montrer comment tu dis à Papa de faire quelque chose ?
- Ah ? Tandis que Luo semblait pas non plus comprendre où voulait en venir son petit fils.
- Bah, oui ! Toi, tu lui demandes d'aller chercher un livre, il y va. Moi, je lui demande d'aller me chercher un verre d'eau, il me fait ça. Saul refit le geste obscene de son père.
- Qu'est ce que j'ai fais au monde pour avoir une famille comme ça... Fit Luo, désespéré.
- Promets lui que tu lui offriras l'une de tes copines quand tu n'en auras plus besoin, ça marchera peut être !
- Ali' ! Enfin, il a 5 ans !
- Faut mieux commencer, un jour, non ?
- Ca fait quoi ?
- Rien... Viens ici, Saul.

L'on voyait très bien que Luo était plus posé, plus civilisé, dans le sens où il avait plus l'habitude de parler anglais et de vivre en ville que son frère cadet, Alicante.

- Bon, je venais voir si tu n'avais pas besoin d'un coup de main, parce que bon, tout le reste de la famille pleure, mais rien ne bouge. Tu as prévu quelque chose ? Fit il en prenant Saul sur ses genoux, tandis que le petit commençait à manger les friandises qu'il avait pris.
- Oui... Je prévois toujours, tout, Luo, tu devrais le savoir. Répliqua Ali', avec mysticisme.
- J'adore cet air... Vas y raconte...
- Arrange moi un contrat avec CHAOS pour Samedi 5 Décembre. Je les veux dans mon bureau, Luo... J'en ai besoin pour mon plan... Je peux compter sur toi ?
- Pour sûr... Mais faudra me laisser main basse sur le coffre... Et que tu m'es donné quelques détails sur ce qui se trame dans ta tête, Muchacho...
- Si tu savais...

Dans les deux Oleivera, l'on put voir avec malice, une lueur apparaître dans le regard. La même lueur coquine... De celles où l'on prépare un mauvais coup.

[...]

Alicante sortit doucement du bureau qu'il avait au dernier étage de l'immeuble ( car oui, non content d'avoir un local, il lui fallait le bâtiment pour être réellement tranquille et pour pouvoir faire ce qu'il y voulait, car ainsi, tout pouvait y entrer. Il l'avait rendu incartable, et il y avait mis les meilleurs dispositifs de détections, d'alarmes et de tous ce qui s'ensuivait, tandis que l'immeuble était sous surveillance magique. Dès qu'un sort était lancé, il était automatiquement noté sur un parchemin, tandis que l'on savait tout ce qui s'y passait, y compris les gens qui se prenaient tranquillement dans les chambres ou les toilettes de l'Elfike. Tout était fait en sorte que rien ne lui échappe et qu'il sache tout ce qui s'y passe. Prenant, la direction de l'Allée des Embrumes pour y chercher Syn', Alicante s'arrêta quelques secondes devant une vitrine d'objet sadomazochiste, quand soudain...

Oublier, tout oublier. Il avait une bouteille à la main. Il lut l’étiquette. « VODKÄ ».
Il mit le goulot contre ses lèvres et avala les trente centilitre restant d’un seul coup. Sa faute, tout était de sa faute, du moins, il le pensait. S’il avait mieux fait, s’il avait mieux soigné, s’il avait pu combattre en même temps, s’il avait pu… Et Lola, ou était-elle ?Elle devait déprimer, elle devait être malheureuse à cet instant, elle devait boire sans doute, comme lui. Il jeta sur le tas de bouteille celle qu’il venait de finir et il prit une décision, ce lever et s’habiller.

Miguel…Pourquoi maintenant ? Pourquoi n’était-il plus de ce monde ? Ils avaient tellement besoin de lui, encore plus maintenant, après l’attaque… Et puis, il était comme un père pour lui, c’était son mentor, au même titre qu’Alek. Il avait l’impression qu’on lui avait déchiré le cœur, il avait l’impression que quelque chose c’était brisé en lui et que jamais il ne le récupérerais, il ne serait jamais comme avant. Il était plus réfléchit, sentait plus les marques du danger et la crainte aussi. La haine, cette haine qui ne le lâchait plus depuis longtemps. Il avait oublier toute rancœur envers certaines personnes, elle c’était concentré sur un seul personne ou plutôt sur une seul entité. Wolfgang, les Mangemorts. Il n’arriverait plus à ce contrôlé comme avant et ce sourire qui ne le quittait jamais avant était entrain de disparaître, peut-être pour toujours, qui sait

Il finalement un pantalon, une chemise et une veste totalement noire, lui descendant jusqu’au chevilles. Il mit sa baguette dans sa poche et sorti. Son aspect c’était accordé avec son humeur sans qu’il n’ait besoins d’intervenir. Des cheveux longs, gominé et tiré vers l’arrière lui arrivait au niveau de la nuque. Sa face était sombre, une barbe de plusieurs jours c’était installé sur ses joues, lui mangeant le visage. Il semblait plus vieux, comme si, en une nuit, il avait pris des années. Ce n’était pas vraiment faux. Et surtout, ses yeux n’avaient plus cette étincelle, ce feu, celle de la jeunesse, de la fougue, de sa personnalité. Il semblait éteint.

Il sortie de chez lui et tout le monde se retourne sur son passage.

Le monde semble bien terne, la lumière elle-même semblait avoir perdu de sa superbe. Il mangea un morceau e il lui sembla que la nourriture avait un goût de cendres et la consistance de la terre. Le psychologique pouvait-il prendre vraiment le pas sur le physique ?

Cette aura était… Etrange, calme mais pourtant haineuse. Il avait une seule idée en tête, non deux. Comme un rocher en pleines tempêtes, c’était les deux seuls ne se mélangeant pas dans son esprit. La première n’était pas une véritable idée, la première c’était autre chose. Une ligne de conduite, un objectif. Celle-ci criait. « VENGEANCE ! »

La deuxième elle n’était pas encore vraiment développée et je ne peux vous la révéler. Je peux seulement vous dire qu’elle va à l’encontre de sa personnalité. Mais tout avait changé, la situation, la logistique, lui. Soudain, il vit qu’il «était dans l’allée de l’embrume. Que faisait-il ici ? Il ne savait pas, c’était ses pas qui l’avaient guidé jusqu’ici. Même dans cet endroit réputé pour abriter les pires sorciers, son aura noir, son aura de haine, son aura de vengeance impressionnait et faisait peur. Soudain, il sembla faire arrêt sur image. Dans le reflet d’une vitrine, il vit le visage de celui qu’il voulait voir –pour une fois- Alicante Caïne Jesus Oleivera…

Il le regarda dans les yeux dans le reflet de la vitrine de Sadomasochisme.

A travers la vitrine qui dispensait de très beaux matériels sadomazochistes qu'Alicante regardait plus par curiosité que par envie d'en user ( il se disait trop bon pour en avoir besoin pour envoyer au 7ème ciel. Pour lui, son pénis et sa manière de faire suffisait à faire jouir de plaisir et à le faire jouir, donc, où était le besoin d'instruments ? ), il ne vit pas tout de suite Cédric McAlastar appraître, non. Ses pensées divaguaient en tout sens, et mais il s'efforçait de ne pas penser à ses problèmes. Non, le gitan essayait de voir de l'avant. Il savait que Thomas, Léandro et Aldo étaient partit à la recherche de Miguel, tout comme lui, le faisait lorsqu'il ne remplissait les formalités que l'Elfike et la famille lui demandaient. Enfin, ce n'était plus qu'une question de temps puisque Luo et Alicante en étaient venus à une conclusion qui les avait fait sourire tous les deux, et qui libéré d'un poids les deux frères Oleivera. L'hispanique cligna des yeux, en relevant la tête doucement pour voir l'intérieur de la boutique et lorsqu'il aperçut le visage de Cédric, il ferma doucement les yeux, avant de les réouvrir pour se regarder droit dans les yeux.

- Dios mio... Porque mi ?

Alicante soupira, avant de tourner les talons. Le rouge montait doucement en lui. Il n'avait pas aimé la prestation du monsieur lors de la préparation pour la défense de Poudlard ( chose qui n'avait servit à rien ), et Alicante était quelqu'un de particulièrement rancunier. Devrait on ajouter, également, le fait qu'il sorte avec l'aînée de son meilleur ami ? De son frère de sang ? De l'homme, du seul homme qu'il embrassait lorsqu'il était bourré à cause d'un stupide pari ( En plus, de son frère, Antonio, et Diego, mais ce n'est qu'un détail, parmi tant d'autres ) ? Alicante avait une petite idée sur la question du POURQUOI LUI ? Il avait trop péché. Il n'était pas allé à l'Eglise pour la première fois de sa vie, ce dimanche ci, et il était trop impur... Comme quoi, couché avec Valendra et les autres, c'était pas approuvé par le saint des saints. Sachant pertinament que l'Auror allait le suivre, il ne prit même pas le temps de se tourner et il lui demanda :

- Que me vaut la malchance de ta rencontre ?

Pourquoi lui ? Alicante soupira. Si il ne faisait rien contre lui, c'était par soucis d'entente avec Aleksandr et Miguel. Du moins, de directe. Où était Syn', déjà ?

Le sang-froid. Cela ne veut rien dire n’est-ce pas ? Imagineriez vous une seconde ne pas être une être humain ? De ne pas avoir le sang chaud ? De ne pas pouvoir réguler la chaleur de votre corps ? Non, je ne pense pas. Alors ne venez pas me parler de « Sang-froid ». Le calme, oui, cela existe mais le sang-froid, non. Tout cela pour dire que Cedric resta calme, stoïque. Même lorsque le mexicain prononça sa petite phrase en Espegnol et qu’il comprenait parfaitement et ne le perda pas non plus lorsqu’il lui sortie sa petite phrase acide. Il n’était pas là pour cela, il ne voulait pas qu’il y est une guerre ouverte entre-deux même s’ils étaient rancuniers et entretenaient une querelles que je qualifierais de presque naturelle. Ils ne s’aimaient pas, c’était presque Physique, voir Chimique. Bref, il regarda Alicante, sans sourire bien que cela ne voulait pas dire qu’il avait quelques on que animosité envers Alicante. Il ne souriez plus beaucoup en ce moment, il s’en voulait beaucoup, il buvait beaucoup aussi. Mais là, il était dégrisé, la petite marche et la rencontre avec L’oncle de Lola fit descendre son taux d’inhibition très rapidement et il était quasiment sobre. Il faut dire qu’il avait l’habitude aussi.

Soudain, il perçut un mouvement sur sa droite et un homme apparut. Il en fit qu’un signe de tête à Alicante mais Cedric sentit tout le respect qu’il y avait dans ce geste puis, il était Auror, il savait qui était l’homme… Enfin, son nom, il ne s’en souviendrait jamais mais par contre, sa tête… il était chasseur de Prime ou un truc de ce genre. Et Cedric ne doutait pas que ce genre d’individu ne pu être qu’avec Ali. Sa le faisait chier qu’il soit là car il voulait lui parler de choses qui ne concernait que la famille Almadovar et Alicante. Il avait une ou deux questions et une demande à faire. Bon, ce n’était pas grave, il pouvait bien faire avec mais il devait prendre des précautions… Il sortie sa baguette qui crépita quelque instant de noire et argent puis une sort se mit en action. Un informulé. Un sort lui permettant de créer comme une bulle entre Ali, Cedric et l’autre gus. Il avança tout en rangeant sa baguette.

« C’est bon. Tu avais raison, je ne suis qu’un petit con et prétentieux en plus. »

Cela lui coûtait d’admettre qu’il avait tord mais si il ne le faisait pas, personne ne le ferait. Et surtout pas le mexicain, car il avait vu leurs ressemblance et leurs différences. Puis, il continua en lui disant :

« Je veux plus qu’on soi en froid, en ce moment cela ne sert à rien qu’on pense à se tirer dans le dos, cela ne serait pas bon pour que l’on gagne….Après, je ne sais pas, fait comme bon te semble mais j’aimerais que, même si ce ne sera jamais le grand « amour » en tre nous, on puisse se voir sans automatiquement se mettre sur la gueule… »

Il déglutit, cela n’était pas fini... Il avait des choses à dire. Un mince sourire étendit son visage.

« Et puis je tiens à ma vie moi ! Un trait d’humour, comme d’habitude JE voudrais bien pouvoir participer à ce qu’il se passe, je ne suis peut-être pas le meilleur mais un bras de plus, cela sera déjà ça, non ? »

Ouf, il l’avait dit c’est bon. Maintenant tout dépendrait d’Alicante. Et il espérait pas se prendre une baffe magistral en pleine gueule. Il avait fait preuve de tact, de maturité et il avait été cool, non ? A voir si cela suffirait…

Synyster apparaissait doucement dans le champs de vision du gitan. Un sourire carnassier se balada doucement sur les lèvres du l'hispanique qui croisait le regard du Chasseur de Prime. Un sourire qui ne présageait rien de bon, et qui semblait tout aussi rassurant de par le fait que c'était Alicante qui le faisait. Son visage était fait de sorte qu'on avait l'impression qu'il faisait l'un de ses sourires mystérieux, et particulièrement amusé. Alicante répondit à son signe de tête, respirant légèrement l'odeur de la cigarette de Syn' tandis que Cédric s'agitait à côté de lui. Alicante émit un grognement sonore lorsqu'il vit ce dernier rangeait sa baguette magique. Aussitôt, Alicante se mit à regarder autours de lui de façon imperceptible comme pour chercher la trace d'un sort. A son tour, il alluma une cigarette qu'il porta à ses lèvres doucement, tandis que Cédric disait :

- C’est bon. Tu avais raison, je ne suis qu’un petit con et prétentieux en plus.
- J'l'ai toujours dis...

Fit il, sans poser son regard sur l'Auror. Il s'en fichait un peu, et n'avait qu'un seul désir, c'était de crever ce type. Trop protecteur peut être... En faites, c'était surtout la provocation qu'il avait de travers et dont Cédric avait fait preuve durant le bal. C'était une chose qu'il ne parvenait pas à avaler... La provocation. Si l'on provoquait, Alicante finissait toujours par répondre... Dans le fond, Alicante aurait fait un excellent Serpentard avec ses manières ambitieuses et rancunières.

- e veux plus qu’on soi en froid, en ce moment cela ne sert à rien qu’on pense à se tirer dans le dos, cela ne serait pas bon pour que l’on gagne….Après, je ne sais pas, fait comme bon te semble mais j’aimerais que, même si ce ne sera jamais le grand « amour » en tre nous, on puisse se voir sans automatiquement se mettre sur la gueule…
- Tu veux, tu veux... J'en ai rien à battre de ce que tu veux, moi... Je ne fais qu'attention à ce que je veux, moi...

Il tira de nouveau sur sa clope tandis qu'ils se rapprochèrent de Syn' qui n'était pas si loin que ça. Alicante continuait de tirer doucement sur sa cigarette, tandis que Cédric reprenait :

- Et puis je tiens à ma vie moi ! Un trait d’humour, comme d’habitude. Justement ce qu'Alicante détestait. Cette impression de se foutre de sa gueule, ça passait toujours difficilement à travers la gorge. JE voudrais bien pouvoir participer à ce qu’il se passe, je ne suis peut-être pas le meilleur mais un bras de plus, cela sera déjà ça, non ?
- Tu es venu me branler pour ça ? T'en fais déjà partit ! Qu'est ce que tu viens me casser les couilles !

Il expulsa le mégot de sa cigarette devant lui, regardant ce dernier partir. D'un coup, il se stopa en plein vol pour tomber directement vers le sol. Alicante comprit directement le fait de sa baguette sortie. A son tour, il fit jaillir la sienne et réduisit l'enchantement de l'auror à rien.

- L'enchantement de l'impassibilité... Ils arrivaient à la auteur de Syn'. Hey, fit il avec un sourire à l'intention de Syn'. Puis, il reprit pour Cédric : je crois que tu n'as pas du tout compris, comment je fonctionne... Tu me casses les couilles. Je ne t'aime pas, et je pensais te l'avoir fais comprendre. Maintenant, étant donné que tu es présent, je te présente, Syn'. Il regarda Syn' avec un sourire, et il ajouta : Syn', je te présente Cédric. Ton nouveau contrat.

Alicante eut un léger sourire à l'intention de Cédric.

- Tu pourras aller baver à Aleksandr... Je doute qu'il soit disponible pour entendre pleurnicher, vu qu'il a besoin de calme... Moi, je ne veux plus te voir, sinon, ce n'est pas Syn' qui te tuera. C'est moi.

Enfin, il entra sa main dans sa poche de sa robe de sorcier pour en sortir une bourse pleine de gallions qu'il mit dans la main de Syn' tandis qu'il posait son autre main sur l'épaule du chasseur de primes. Alicante eut un sourire et il ajouta :

- Tu me ramènes sa tête, et je te donnerais ce que tu veux, en plus de ça, pour te prouver ma bonne fois.

Ali' s'en alla tranquillement le long de la rue et sans jeter un regard en arrière, tout en levant la main en l'air comme pour dire au revoir, il dit :

- Adiòs !

Et il se volatilisa en une espèce de fumée noirâtre, transplanant à des lieux et des lieux.