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 Sujet: Thomas Riley
Sam 31 Mai - 6:21
| | Invité
 }} What else ? ># Actrice, Acteur : Pen Badgley # Code du Règlement : {William} # Pseudo IRL :  # Comment voyez vous le forum ? La fiche de Présentation ? : Des plans pour dire qu’il est magnifique! Peuh! Non mais, c’est quoi cette question..!? C’est presque de l’autolâtrie votre truc! # Un Commentaire ? Je vous aime  # Nom, Prénom : Thomas Riley # Date de Naissance, Age : 16 ans, 13 Janvier # Année à Poudlard :6e # Baguette Magique : ( Composition ) Bois d'acacia et plume d'hyppogryphe. Elle a beau être tordue, elle détient une certaine élégance et semble parfaite pour de grandes mains. - Spoiler:
Écoutez bien les paroles puis lisez
Dernière édition par Thomas Riley le Sam 31 Mai - 6:31, édité 2 fois |
| | | | Sujet: Re: Thomas Riley
Sam 31 Mai - 6:26
| | Invité
Non, ne criez point surtout!
Un cri. Strident, venant du fond du cœur. Celui d’une femme, pour être plus précis. Elle s’époumonait, là, sur scène, comme une écervelée. Les spectateurs grimaçaient tous à la vue de ce carnage mais restaient cois, préférant attendre en silence le moment fatidique où cet hurluberlu d’illusionniste finirait de scier ce cercueil en deux. La pauvre femme - étaient-elle courtisane? – rejeta un dernier soupir puis devint soudain molle, quand la scie acheva son parcours dans le bois. Puis, elle releva la tête, toute souriante et sortie de sa cage d’érable pour venir saluer le public. Main dans la main, les deux firent une révérence face au tonnerre d’applaudissements qui emplissait désormais la salle. Un dernier bouquet d’étincelle et les deux jeunes gens s’affalaient dans une montagne de fleur. Des roses aux camélas, les parfums embaumaient les coulisses plus que jamais. La jeune fille se laissa choir dans les bras de l’homme et vint déposer un baiser sur ses lèvres, avant de venir chatouiller ses cheveux et d’y accrocher une rose rouge. L’illusionniste caressa doucement le ventre de la jouvencelle qui commençait déjà à avoir une belle forme arrondie.
Le temps d'un éther
- Violette? Vierge!? Tu veux rire! Elle aurait même pas assez de maturité pour tenir un bébé dans ses bras, la pauvre! Je voudrais pas l’imaginer au lit!
- Arrête de dire des bêtises, Bébette, ta sœur, elle au moins, sait faire preuve de discrétion!
- Et n’empêche qu’elle continue toujours de faire ces spectacles à deux noises pour impressionner les moldue! Si tu savais quelle tête elle fait sur scène c’est…
La dénommée Bébette coupa court à sa réplique lorsque sa mère lui envoya un regard furibond. C’était toujours la même cérémonie : l’une partait sur les difficultés que rencontrait Violette et l’autre tempêtait sur le point de vue opposé. C’était la folie furieuse entre la mère et la fille depuis que la benjamine de la famille, celle à la pureté si exaspérante, leur avait laissé ce gosse, sans dire réellement d’où il venait. L’une touchait pratiquement à la ménopause - et Dieu seul savait combien elle s’en trouvait affectée - pendant que l’autre ramenait tout les samedis des hommes n’ayant d’yeux que pour sa poitrine arrogante. Ce cirque n’échappait à sa mère qui tentait vainement, selon les apparences, de faire partir la donzelle vers un bercail plus adéquat à ses nombreuses fréquentations. Mais encore là, solitude aurait rongé la vieille femme qui n’avait, pour seul péché, qu’un caprice d’existence minimal.
Mais ce mignon petit Thomas lui offrait tout ce dont elle aimait dans la maternité : sourire édenté aux gencives apparemment douloureuses, gazouillements heureux et incontrôlables de même que ces minuscules petites pommettes rouge et saillantes. Une compagnie qu’elle ne pouvait tout simplement pas refuser!
Ce petit démon commençait déjà à avoir une crinière aussi noir que celle de son père. Ses deux billes bleues d’yeux le resteraient pour la vie, contrastant avec ce teint si pâle. Il serait grand, ni trop maigre, ni trop gros. Adolescent aux épaules larges, la vieille l’imaginait avec une voix d’une tonalité si douce, mais amusée. Pas cassée, joviale. Avec de longs doigts forts, des doigts de pianiste. Les siens d’ailleurs. Ah ça! Elle ne pouvait le nier : c’était la fierté familial que son talent au clavier!
Le fait est que la dénommée Violette gagnait sa vie sur scène, aux côté de ce ténébreux jeune homme au regard d’acier et à la taille si imposante. Ce qu’une nuit sans histoire avait fait d’eux deux simples amoureux, auparavant dépourvues de toute espérance d’une vie meilleure. On pouvait les voir sur des pancartes de Londres, l’illusionniste brandissant son chapeau haut de forme et la belle complice, les mains posées sur les hanches et ce regard suspicieux. Thomas, celui qui les unissait tous deux, se trouvait à être un poupon aux jeunes oreilles fragiles, qui ne toléraient pas les applaudissements sonores. Souvent aussi, on prétendait tout bas que Violette finirait par partir, et ne plus jamais revenir, laissant son enfant au bras de la grand-mère Nana… |
| | | | Sujet: Re: Thomas Riley
Sam 31 Mai - 6:26
| | Invité
Chapitre mille de son coeur
« Je te l’aime, tu me l’aimes : ils s’aiment! Et surgissent des noirceurs de la terre des cloches par milliers sonnent.
Il est pâmé, il n’a rien fait pour ça. Elle est aux anges, elle n’a rien fait pour ça. Quelque chose leur est arrivée qu’ils n’ont pas cherché. Ils subissent une pression, se laisse pousser. C’est lâche, c’est indigne! Il ne faut pas se laisser aller à aimer, c’est comme se laisser aller… »
Thomas ferma le livre qu’il avait entre les mains. Ses doigts glissèrent sur la couverture : La vallée des avalées… Un livre que sa mère lui avait apporté, la dernière fois qu’elle l’avait vu. Son père était venu, lui aussi. Ils s’aimaient tous les trois tendrement dans ces petits moments de réunions. Seul soucis, ses parents n’étaient toujours pas débarqués de ce rêve, celui de la scène. Sa mère avait beau avoir cette première ride au visage, son père, le poil blanc dans la chevelure d’ébène, ils restaient fidèles au poste et tâchait d’assouvir chaque jour cette soif de gloire. Ils n’étaient pas pauvres, pas riches non plus. Sa grand-mère était en bonne santé tout en prenant soin chaque jour de son petit-fils maintenant âgé de 16 ans.
Thomas était maintenant couché, devant sa maison, sur l’herbe fraîche qui sentait bon l’été. La fraîcheur de la nuit l’enveloppait, alors que les étoiles étaient toutes apparente juste sous son nez. Il émit un soupir de satisfaction.
Lui vivait un amour aveugle pour l’inconnue modéré et entrait toujours avec une ferveur passionnelle dans tout ce qu’il commençait. Pas plus brillant qu’il n’en faut, pas plus original non plus. Sans plus de charme, il était normal. Seulement, quelque chose en lui respirait la ténébreuse attitude de son père, la pureté soumise de sa mère et la bienveillance de sa grand-mère nana. Une nature véritable qui lui garantissait autant de plaisir, à la façon des gitans au temps médiéval. Il aurait été prêt à donner sa vie pour sa liberté, tenterait de déjouer les règles sans toutefois en subir les conséquences. Son but dans la vie? Le plaisir! Sans toutefois brandir l’égoïsme des gens à la pense trop bien remplie, il était prêt à le partager avec n’importe qui, n’importe quand, n’importe où.
Ses grandes mains étaient vouées à quelque chose de brillant. Il avait beau être extraverti, le courage ne lui allant vraiment pas, il préférait néanmoins amplement agir et penser ensuite. S’il jouait parfaitement avec les mots, il s’efforçait de faire des blagues qui faisait rigoler la galerie sans grand étonnement, vue son apparence peu masquée.
Que diraient les commères en le voyant? Qu’un homme avec de si bonnes manières mais aux idées folles ne mériteraient pas d’avoir une indulgence quelconque. Mais, selon Thomas, sommes-nous obligés de se retenir? Laisser aller les émotions telles qu’elles sont, sans retenue. Faire se qui nous passe part la tête sans se soucier des autres, vivre la vie comme elle se présente. Certains pensent que croire en des valeurs pareilles est malsain, les plus intelligents savent qu’il a raison. Et si chacun laissait aller son instinct comme bon lui semblait?
Il se mit à chantonner une ballade qu’il connaissait bien, celle d’un certain Mr. Hyde, considéré vile et fourbe puisque ses désirs gouvernaient sa vie. Au fond, il avait probablement plus de bon que de mauvais… On aurait pas pu en dire pareillement de la représentation amère qu’avait fait son créateur de lui… |
| | | | Sujet: Re: Thomas Riley
Sam 31 Mai - 10:18
| | Invité
Hey, Mr. Hyde ! Pourquoi te caches tu ? Ok, je sors >> Bref ! Bienvenue sur Ad Nox ! J'aime ton personnage ! Encore une histoire super original, mais cette fois, pas de mort, c'est cool, et ça change ! Bref, j'hésite énormement entre Poufsouffle et Gryffondor... Je te laisse donc, le choix de ta maison !  |
| | | | Sujet: Re: Thomas Riley
Sam 31 Mai - 18:36
| | Invité
Pour la cause et parce que ya pas meilleur maison j'vais prendre Poufsouffle!  |
| | | | Sujet: Re: Thomas Riley
Sam 31 Mai - 18:37
| | Invité
Et je rajoute 20 points pour Poufsouffle pour cela ! Oui, j'en ai envie, et je fais plaisir ! Va pour Poufsouffle ! Très bienvenue ! XD ! Et bon jeu !  |
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