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 The sun will shine. finish

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MessageSujet: The sun will shine. finish   
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The sun will shine. finish 16


    }} IdentiGénérale >

    # Nom, Prénom : Joleene Black.
    # Date de Naissance, Age : 26 Juin. 17 ans.
    # Année à Poudlard : Septième Année
    # Baguette Magique : Bois de saule, contenant des ailes de lutin. 28 cm.



    }} What else ? >

    # Actrice, Acteur : Alessandra Ambrosio
    # Code du Règlement : Dieu
    # Pseudo IRL : ^^
    # Comment voyez vous le forum ? La fiche de Présentation ? (L)
    # Un Commentaire ? eeeeeuh (L)


Dernière édition par Joleene Black le Dim 4 Mai - 15:12, édité 1 fois
 
MessageSujet: Re: The sun will shine. finish   
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}} Rôle Play Biographique >

« Prenez moi toute entière, le meilleur comme le pire. Mais n’oubliez pas que pour le pire, je suis la meilleure. »


« La vie n’est qu’une pourriture. Un simple tas d’ordures qu’il faut gravir tant bien que mal. Venir au monde est la pire chose qui me soit arrivée. Serieux, si je pouvais revenir en arrière, j’effacerai cette nuit où mes parents ont baisé et où je suis arrivée. Alors pour venger ce jour, je suis exécrable, je suis horriblement belle et je suis affreusement désirable. Je me sens comme une étrangère. Je ne ressens rien. Rien que la chaleur et rien que le froid. L’amour la haine tout ça, c’est bon pour les chochottes. Ça veut dire quoi en vrai ? Que dalle. Je ne vais pas me voiler la face. Il m’arrive d’aimer, il m’arrive de haïr. Mais rien entre les deux. Moi c’est l’extrême de l’extrême. Soit j’aime. J’aime à en crever, à faire n’importe quoi, à me morfondre d’amour. Soit j’haïs à en faire pâlir la mort. La mort. J’haïs la mort. Elle m’a enlevé ma mère. Elle me prendra mon père, mes frères et sœurs. C’est écrit, c’est une obligation. Et toutes ces conneries style on est maître de son destin si on fait les bons choix blah blah blah. Mon cul ouais. Quelque soit ta vie tu finis toujours par crever. Alors autant le faire de façon originale, histoire de marquer les mémoires. Être maître de son destin, c’est être maître de sa mort. On est tous prisonnier de notre fin. Alors pour venger la vie de s’être chier au point de non retour, au point où c’est la mort qui gagne, je suis un véritable poison. Je suis pire que du venin, je m’infiltre en vous et vous détruit. De l’intérieur. Et avec souffrances s’il vous plait. Je veux faire payer à la vie ce qu’elle m’a fait subir. Et tout ce mal que j’ai en moi, je le reverse sur tout ce que je haïs. Je détruirais la moindre parcelle de ce monde qui n’as pas eu assez mal, qui a gagné à la loterie de la vie et qui fait croire qu’elle souffre pour se fondre dans la masse. Pour qu’on s’occupe d’elle.

Moi je souffre. Moi je sais ce que c’est que de tout perdre. Moi. J’ai la haine. J’étais pas plus haute que trois pommes quand j’ai vu l’horreur de la vie pour la première fois. Je regrette le temps où j’étais toute gosse. J’avais l’insouciance. J’avais aucune idée des monstruosités qui m’attendaient dehors. Et là j’ai vu. J’ai vu que la vie avait doté l’homme d’un pouvoir extraordinaire, sur lequel chaque individu n’avait aucun contrôle. Encore quelque chose qu’on ne maîtrise pas. J’ai vu partir le coup. Mais du haut de mes cinq ans, qu’est ce que j’aurais pu faire. Je suis restée plantée la. Sous les yeux de ma mère remplie de larmes. Dans l’odeur de mon père rempli d’alcool. Et j’ai revu ça des milliards de fois. Je suis l’aînée, alors vous comprenez que je devais enseigner à mes frères et sœurs. Je devais les protéger du monde. Le plus longtemps possible. Quand ça reprenait mes deux imbéciles de géniteurs de se refaire une petite scène de ménage, je les emmenais. Ma chaire, mon sang. Je les cachais, je leur racontais tout et n’importe quoi plutôt que la vérité. Ils ont fini par comprendre oui, ils ont fini par comprendre qu’une pute et un ivrogne, ça n’était pas fait pour vivre côte à côte. Quelle belle famille. Je ne sais même pas si mes frères et sœurs ont le même père que moi. Je ne sais même pas si mon père est mon père. Je crois que les autres ne se sont jamais posés la question. J’ai réfléchit. Je suis loin d’être conne, je suis loin d’être une ignorante. J’ai compris. J’ai compris pourquoi mon père battait ma salope de mère. Parce qu’elle le trompait. J’étais pas fière quand je l’ai découvert. Mais à quoi je m’attendais ? Elle était con comme une chaise, elle avait pas d’éducation et fallait bien que quelqu’un ramène du fric à la maison pour payer les bouteilles d’alcool de papa. Et Mario était riche non ? Enfin ça c’est ce que je croyais. Qu’on était pauvre. Qu’on était dans la misère. Que maman n’avait pas d’autre choix.

Le monde semblait plus beau avec cette version. Mais la réalité, c’est que maman était rien d’autre qu’une courreuse. Une petite gosse de riche qui, pour combler un quelconque manque de merde dans sa vie avait décidé de faire de celle de son mari et de celle de ces gosses un Enfer. Mon Enfer à moi il est loin d’être pavé de bonnes intentions. Quand papa a su pour Mario, il a quitté maman. Il s’est barré. On a plus eu de nouvelles. Moi et les cinq autres gosses. On s’est retrouvé à la DASS. Un endroit horrible, bourré de moldus. Ça grouillait de partout, comme des rats, comme une marée de cafards. Et cette conne. La directrice de la DASS. Je lui en ai fait voir de toutes les couleurs. Qu’est ce qu’elle me faisait chier avec ces discours pourris. Il faut aimer les autres, il faut croire en le pouvoir de l’union et toutes conneries. Moi je m’aime et je crois en moi. C’est tout. Parce que c’est toute seule que je m’en suis sortie et c’est toute seule que je continuerai à m’en sortir. J’ai fait les beaux yeux à toutes les familles qui passaient, et j’ai trouvé le moyen, avec mes beaux cheveux châtain, avec mes sublimes yeux bruns, avec ma peau extraordinairement hâlée, d’être adopté par une putain de famille moldue. Pauvre par-dessus le marché. Comme si j’avais pas suffisamment été punie comme ça. Ah beh non hein. On t’a trouvé Joleene on continue sur notre lancée, on va pas s’arrêter là avec toi…

Merci j’avais compris. Et plus mon age avançait, plus je comprenais ce qu’était la vie. Vraiment. Je veux dire la baise et l’alcool. J’avais huit ans quand maman est réapparu comme par magie dans ma vie et dans celle de mes frères et sœurs. Elle sortait de cure de désintox. Tiens tiens… Pourquoi ça ne m’étonne pas qu’après nous avoir fait tellement souffrir, elle revienne pour finir ce qu’elle avait commencé ? Et vous devinerez pas le plus beau… les cinq autres morpions de la famille l’ont accueillie à bras ouvert, y a même la petite dernière qui a pleuré. Ce jour là, j’ai demandé à ma mère pourquoi elle m’avait fait. Est-ce qu’elle avait vraiment envie d’un gosse à ce moment là ? Elle m’a regardé, un instant j’ai presque vu de la compassion dans ses yeux et puis tout son visage à changé. Il s’est fermé puis allumé d’une lueur démoniaque. Et elle m’a répondu. »

« Regarde tous tes frères et sœurs. Comme ils sont beaux et gentils avec moi. Comme il m’aime. Je savais que l’aîné serait une catastrophe. Parce qu’il faut toujours un brouillon avant de réussir un chef d’œuvre. »


Dernière édition par Joleene Black le Dim 4 Mai - 15:17, édité 1 fois
 
MessageSujet: Re: The sun will shine. finish   
The sun will shine. finish EmptyDim 4 Mai - 15:12



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« Cool. Je suis un brouillon. Je suis que le vilain petit canard de la famille. Je m’attendais un peu à une réponse de ce style. Je voulais surtout voir si maman avait vraiment changé. Je me doutais que non. Et les cinq autres rejetons ? Que de la merde. Petite je les ai aimé. J’avoue. Mais du haut de mes huit ans, je savais qu’ils ne comprendraient jamais, ou bien qu’ils comprendraient trop tard. La réalité. La réalité c’était pas que maman avait à présent un important poste au ministère de la magie et qu’elle était bien sapée. La réalité c’était qu’elle avait couché pour réussir. Qu’elle était passé sous tous les bureaux du ministère cette salope. Comment croyez vous qu’on vous traitera dans le monde de la magie avec une putain pour mère ?

Un an plus tard. J’avais neuf ans que maman nous montrait enfin son vrai visage. Trois jours elle nous a laissé crever de faim tous les six dans l’appart. La porte fermée, aucune issue à part la fenêtre. Mais bon du sixième étage… Voila quoi. Elle est revenue comme une fleur, nous a embrassé et s’est affairée à la cuisine. Personne n’a pipé mot. Elle était folle, ma mère était une grande malade mentale. Je me tuais à le faire comprendre à mes frères et sœurs. Elle avait deux visages. Quand ils ont diagnostiqué sa schizo, j’étais fière. Fière d’avoir été la seule à voir comment elle était vraiment. Et j’ai vu. J’ai vu tous ces fils qui partaient de sa tête sur son lit d’hôpital. Je l’ai vu prise de convulsions. Je l’ai vu se transformer en légume, et devenir, encore plus con qu’une chaise. Je savais pas si je devais haïr ma mère d’être comme ça ou si je devais haïr les autres de l’avoir rendue comme ça. Inconsciente de tout ce qu’il se passait autour d’elle. J’avais dix ans lorsqu’elle est morte sur son lit merdique dans son hôpital merdique.

Ils ont retrouvé mon père. Ils nous ont envoyé à six dans sa baraque. Il faisait le mari amoureux et inconsolable. Moi j’y croyais pas une seconde. Lui non plus avait pas de temps pour nous. Comme c’est étonnant vous trouvez pas ? C’était moi qui nourrissait la flopé de gosses qu’il avait eu avec ma mère. Et mes ingrats de frères et sœurs. Vous croyez qu’une fois dans leur vie, qu’une seule fois ils m’auraient gratifié d’une simple « merci Jo. » Haha. Non c’est trop demandé. J’ai été une mère pour eux, je me suis occupé d’eux et voila le super résultat. Mes frères et sœurs étaient comme ma mère. Ils étaient comme mon père. Cons. Cons comme des chaises. C’étaient pas moi le vilain petit canard de la famille. Non. Moi j’étais le cygne né chez les canards, moi j’étais la rose au milieu des mauvaises herbes. J’étais la sublime orchidée que tout le monde enviait. La sublime orchidée qui a éclot pour ses onze ans. La consécration. Enfin elle allait quitter cette horrible maison. Pour Poudlard.

Le train, compartiment du fond. Je l’ai vu. Je l’ai aimé dés que je l’ai vu. Du haut de ses onze ans il m’a transpercé avec ses yeux bleus. Je me suis noyée dedans. Lui, c’était Paine. Rien que son nom me faisait sourire. On ne s’est plus jamais lâchés. C’était lui et moi. C’était moi et lui. Face au reste du monde, envers et contre tout. La première année, Painy et moi on est resté dans notre coin. On avait été réparti à Serpentard. Et des tous les Serpents, nous étions les plus beaux, nous étions les meilleurs. Nous étions royaux. On adorait les cours de métamorphose. J’ai tout de suite été douée. J’ai obtenue la meilleure note de tout Poudlard à l’examen de passage en deuxième année. Painy et moi, on était bien tous les deux. On avait besoin de rien à part de faire chier Lucy Strenger. La deuxième année a été plus marrante. A partir de là tout est passé tellement vite. Je n’ai rien vu filer. Paine et moi on s’entraînait à balancer des expeliarmus à tout va. C’était marrant. J’ai rencontré toute la bande des Vanna Syl cette année là. Et aussi quelques casse-couilles style Rose Strawberry. Rose et ces cheveux blonds, ses joues roses et ragh je ne la supportais pas cette pimbèche. Nunuche au possible. Troisième année. J’en suis pas fière mais je me suis pris une belle dérouillée par Aoron. J’avais essayé de noyer Strawberry dans les chiottes du deuxième étage… J’allais presque débarrasser le monde de cette pourriture mais bon. Rien de spéciale cette année. La quatrième par contre. Hoho un Poufsouffle. A croquer. Une bonne année pour une première fois non ? Le lit à tremblé je vous le dit. C’était fabuleux. Cinquième année. J’ai eu mes Buse sans problèmes. Je suis pas conne je l’ai déjà dit. Sixième année. Ça commence vraiment. J’ai rencontré Sara et Jake. Jake je me le suis fait comme il faut. Bref, depuis parfois j’ai des petites reduc’ ches Barjow et Beurk.

Je me suis amourachée de Painy aussi. La plus grosse erreur de ma vie. Pour oublier je me suis sauté un prof pendant trois mois. Lui j’en étais vraiment mais vraiment amoureuse. Et il m’a laissé tomber comme une sous-merde organique. Je le détruirais. Je le briserais, comme un vase qui dégringole de son pied d’estale. »


« Alors les jeunes ? Elle est pas belle la vie ? »
 
MessageSujet: Re: The sun will shine. finish   
The sun will shine. finish EmptyDim 4 Mai - 15:24



Invité
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    OUI! Comment ça on est pas à la Star Ac'? Nadaaaa!
    Validéééée! Serpentard! OUI! XD
 
MessageSujet: Re: The sun will shine. finish   
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