[RP parallèle de " Wanted " ]

Ouf ! De l'air ! Ah. Rien de mieux qu'un peu d'air. A parce qu'a l'impasse il y en as pas de l'air peut-être ? Si mais non c'est pas pareil . Ras le bal de passer son temps entre ces quatre mur. Euh .... Woé bof. On peut pas franchement dire que l'impasse soit minuscule.... Il s'en fou il trouve ça trop petit . Puis ce qui lui fait le plus chier c'est qu'il y voit toujours les mêmes visage. Toujours les même tête. Ras le bol. Alors voilà ce soir il prend ses clique et ces claque et il se taille. Tout seul ? Oui tout seul. Vous croyez quoi . Il a pas besoin d'une nounou . Non mais d'habitude il sort avec Asphodèle. Ah bon ? Non pas sortir comme ça . Oui oui sa va il sait, il vous taquiner . Donc oui il est tout seul. Il est assez grand pour se démerder tout seul. ¨

Puis Miss Vampirella va finir par en avoir ras le cul de l'avoir toujours collé a ses basques. Sans compter qu'un homme un vrai n'as besoin de personne. Donc voilà il se retrouve dans les rues de Londre. Où aller ? Aucune idée avec les Mangemorts surexcité et la tête de son père mise à prix il vaut mieux se faire discret. L'Elfik ? Woé pourquoi pas. Mais faut-il encore qu'il arrive jusqu'à là-bas. Ah bon ? Pourquoi ? Qu'est-ce qui cloche ? Ce qui cloche ce que William se trouve actuellement dans une ruelle sombre et qu'un mec qui as l'air louche approche. Mon petit doigt me dit que ça sent pas bon tout ça.

feat. Joad Slayers ( juste pour le moment, Dakota arrive plus tard ).
Gave it all away.

Le monde a toujours montré une source d'hétérogénéité exemplaire. La moindre molécule est différente, ce qui se répercute à l'état physique tel que nous le connaissons. Une plante A sera différente d'une plante B d'une même espèce, et il en va de même pour chaque animal appartenant à une même race, etc, etc... Ce qui en vient également aux hommes. Avec un grand H. L'homme se révèle être une des plus réussites de la nature, car il offre une mixité à tous les niveaux. Autant dans son comportement que dans sa façon d'être... Autant sur un plan physique, que sur un plan social que sur un plan richesse intellectuel, etc, etc... Mais il y a aussi, ceux qui souffrent de troubles du comportement particulièrement violent, et ceux à tous les degrés possibles. C'est ainsi que nous retrouvons Joad, sortant d'une de ses boîtes de nuits particulières où il est facile d'y tirer son coup dont la façon qui nous plaît le plus. Se passant avec délicatesse sa langue sur les lèvres, il ne pouvait s'empêcher de repenser à la douceur du corps de la jeune fille lorsqu'il la prenait de façon assez violente et sans aucun scrupule... C'était ça qu'il aimait... Opposé sa violence à la douceur d'un corps... Homme ou femme... Bon, il était vrai qu'il avait une préférence pour la femme car elles étaient toujours plus dociles qu'un homme. Joad se remit les couilles en place de façon très gentleman, il faut le dire.

Un regard autours de lui, l'on y voit dans ses yeux noirs, une lueur de folie qui lui est propre. Dans son long manteau noir, il regarde, il observe, il sent la peur et la terreur dans les rues de Londres, et ça... Ça, ça lui plaît. Ce plaisir d'effrayer... D'assouvir un besoin de supériorité maladif... Ce besoin d'entendre geindre, souffrir, demander de l'aide... Supplier qu'il s'arrête... Ça, c'était ça ce bonheur de ressentir la vie... De ressentir cette puissance qui réside dans chacun de nous, ce pouvoir que l'on a lorsque l'on voit qu'on peut retiré une vie d'une façon aussi simple que celle là... Mais le mieux, du mieux, c'était de voir la souffrance, la demande de grâce... Joad ferma doucement les yeux, se mordant la lèvre. Il prit son paquet de cigarette dans la poche de son pantalon et il en alluma une. Tirant doucement sur celle là, il ne put s'empêcher de prendre tout le plaisir qu'il pouvait y avoir à fumer. On pouvait également être sur qu'il exagérait la chose, en étant persuadé qu'elle n'en était que meilleure... Joad était quelqu’un de particulier, et ça… Tout le monde l’avait bien compris. Joad marchait doucement dans les ruelles sombres de Londres, l'esprit toujours aussi dérangé, repensant à des choses qu'il lui donnait des petits sourires en coin. Je ne préfère même pas détailler ses pensées et autres songes qui peuvent ainsi, traverser son esprit totalement fou, et mystérieux.

Des pas se font entendre à sa gauche. Il relève doucement son nez, humant l'air, avant de tourner son regard vers la ruelle d'où provenait les bruits de pas. Joad se tourna délicatement pour s'avancer en cette direction, pour voir qui c'était et ce qu'il s'y passait. Le seul truc, c'est qu'il fut rapidement dessus en ne voyant qu'une seule silhouette qui semblait tout bonnement perdu. Joad eut un sourire. Une proie. Un jeune garçon semblait il... Pas plus de 20 ans... Tout juste sortit de l'adolescence... Il se passa la langue sur ses lèvres. S'avançant doucement, il s'approcha du garçon, et ce fut lorsqu'il ne se fut que suffisamment approché, qu'il reconnut la personne... Le garçon... Le fils de son misérable frère, Thomas. Joad eut un léger sourire. Il en avait déjà l'excitation au creux du ventre. Doucement, il se mit à ricanner. Son rire, d'abords silencieux, prit du volume au fur et à mesure. Puis, il murmura doucement :

- William Slayers.... Comment vas ton chère père ?

Il s'approcha de ce dernier, tirant sur sa cigarette avant de reccracher doucement sa fumée sur le visage de William.

- Alors ? On ne dit pas bonjour à son oncle ?

Une esquisse d'un sourire. Dans son regard, une lueur apparait... Elle est folle...

Voilà il le savait. Il en était sûr et certain . Il l'avait présager. Quoi donc ? Bin que ça sentait as bon qu'un mec se pointe et qu'il aller se foutre dans la merde . Mais non mais non . Faut pas dire ça . Sa va s'arranger. C'est qui d'abord le mec qui vient d'arrivé ? C'est qui ??? C'est qui ?? Ah parce parce que vous le connaissait pas ??? Bin non. Ah bin bravo . Bande d'inculte . Bin il s'agit de Joad Slayers. Violeur, violent, ravagé du cerveaux et accessoirement psychopathe. Ah woé d'accord . Quand même . Woé . Attendez. Oui ? Slayers ??? Comme William Slayers ??? Non Slayers comme la tueuse de vampires ou le groupe de métal . Ah . . Bin oui Slayers comme William Slayers bande de tache . Non franchement vous êtes nul . Sa signifie que .... ? Oui oui . Sa signifie que William est parent avec cette chose en effet. Bravo. Pitié faite qu'il l'est pas reconnus. Aller. S'il vous plait.

- William Slayers.... Comment vas ton chère père ?

Loupé ! Putain de merde ! Pff . Respire Slayers Respire. Maman t'as toujours répéter qu'il valait mieux pas provoqué le frère de Thomas, que c'était un fou furieux. Donc on se calme . On respire et on omet le sous entendu de Joad sur la « gentille » question. Sous entendu ? Quel sous entendu ? Mais si vous savez :aie . La suite de cette phrase . Le PS . La partie coupé. Le truc qui aurait dit : « dommage qu'il ne soit pas mort » . La haine rien que d'imaginer qu'il aurait put le dire. Puis la question de Mr Traumatisant signifier bien que le monde des sorcier était au courant du retour de Thomas parmi les vivants.

William - Aucune idée, ça fait longtemps que je ne suis pas rendue sur son tombe.

Moais . Bin quoi ? Il allait quand même crier haut et fort : « youhou je suis avec mon père qui était parmi les gentil à l'attaque de Poudlard dans un camp de réfugier » . Il est pas suicidaire . Un peu quand même . Faut l'être pour mentir a un mec aussi ignoble . Euh woé peut-être . En effet . En tout cas William est pas franchement rassuré. Surtout qu'il se prend la fumée de sa clope dans la gueule. Pas top top comme truc.

- Alors ? On ne dit pas bonjour à son oncle ?

Franchement ? Non . Joad n'est pas vraiment le genre de mec à qui ont as envie de faire un calin. A part si bien sûr on est sado maso et friand de viol ou truc dans le genre. Putain mais q'est-ce qu'il lui as prit de sortir tout seul. Non mais quel crétin. Mais même en cette circonstance William garder cette petite assurance agaçante et arrogante. Ce petit air de bout en train insolent.

William - B'jour.... tonton dit-il avec un large sourire censé cacher son angoisse.

- Aucune idée, ça fait longtemps que je ne suis pas rendue sur son tombe.

Il se foutait de sa gueule. Joad eut un sourire, dévoilant toutes ses dents. C'était... Il se mordit doucement la lèvre. Non... Non, il ne fallait pas lui sauter dessus maintenant. Mais il en avait envie... William était arrogant, droit et fier... Quel plaisir, il y avait à retirer cela, en le callant contre un mur et à l'enculer comme il fallait pour le simple plaisir de lui montrer que c'était lui le plus fort, que c'était lui, le meilleur, et que William devait se mettre à genou et lui tailler une pipe pour que le plaisir n'en soit que plus intense. Et surtout qu'il l'entende geindre de douleur à chaque coup de rein dont il prendrait un plaisir mal sain à prendre tout son temps... NON ! Il eut un sourire... Pas maintenant... Attendons un peu, le plaisir n'en est que meilleur... Oh oui... Meilleur... Joad esquissa un léger sourire... En plus, c'était le fils aîné de son enculé de frère... Il n'y avait rien de plus jouissif. Jouons un peu.

- Alors ? On ne dit pas bonjour à son oncle ?

Joad gardait son sourire. Il hésitait. Devait il le prendre dans ses bras ? Devait il l'embrasser ? Joad eut un léger sourire... William en avait de la chance... Joad sentait le propre... Il sentait une douce odeur de rose. L'amour ? Non, il se foutait de l'amour. C'était ainsi depuis qu'il savait ce que c'était, et il en serait ainsi jusqu'à sa mort. Joad le regardait se débattre intérieurement... Hum... La trace qu'il en laisserait dans la tête de William après son passage n'en serait que meilleur... Ouh, le pauvre Thomas... Un fils devenu proie de son cher frère... Il s'en mordit la lèvre, encore une fois.

- B'jour.... tonton.

Cette fois, c'est un vrai sourire qui apparaissait sur ses lèvres. Joad venait de comprendre une chose, c'est qu'il se soumettait assez facilement... Pourtant... Il ne lui avait encore rien fait... La simple question qui lui posait, William lui répondait presque directement.

- Allons ! C'est comme ça qu'on salue son oncle, désormais ? Joad eut un sourire, avant de l'attirer vers lui et de le prendre dans ses bras. Bonjour, mon cher neveu....

Se mordant une tierce fois la lèvre, il se recula doucement de son neveu, le lâchant, tout en se mettant à tourner doucement autours de son neveu.

- Alors ? Ca t'a fait quoi de revoir ton père... ? Alors que tu le croyais mort ? Puis, il continua, tandis qu'il tournait autours de William. Frustration ? Rage ? Dégouté qu'il ait eut une autre vie durant 10 ans ? Quels ont été tes sentiments, William ? Hein ? Oh, le cher papa qui revient avec un gamin... Et ce dernier qui fait que te suivre... Je suis persuadé qu'il va sortir venir te chercher... Non ?

Ainsi joue le chat avec la souris.

Vous avez déjà vu quelqu'un de flippant ? De vraiment flippant !! J'veus dire le genre de personne qui vous fou la trouille rien qu'a vous regarder, qui vous donner la nausé rien qu'en posant les yeux sur lui ?? Le genre de mec qui vaut mieux pas chercher mais qu'il vaut mieux pas non plus lui montré qu'il est plus fort que vous ??? Non ??? Bin William oui . Il l'avait en face de lui . Et comme bien sûr comme William n'as jamais de bol, il se trouve que Mister L'Eventreur est son oncle. Merci papa du cadeau. Inspiration Expiration intérieur. C'est pas le moment de montré que t'as la trouille. Ce genre de mec comme Mister Ravagé ça cherche à dominé, s'il voit qu'il peut le faire t'es mal barré.

- Allons ! C'est comme ça qu'on salue son oncle, désormais ? Joad eut un sourire, avant de l'attirer vers lui et de le prendre dans ses bras. Bonjour, mon cher neveu....

Aaaaaaaaaaaaaah . Au secour A l'aide . Ah mais quel horreur . Beurk. Qu'est-ce qui as ? Joad venait de la prendre dans ses bras. Le cœur de William s'était accéléré et coller contre cette ignoble personne il se sentait tout de suite sale, comme son oncle était le mal personnifier ou un tas d'ordure grouillant. Fort heureusement la torture ne durant pas longtemps mais ça suffit à effrayer d'avantage William qui avait désormais un petit crispé sur les lèvres et qui ne semblait pas vouloir partir. Petit sourire censé dédramatisé pour lui la situation et l'empêcher de flipper totalement. A

près tout sa mère et Thomas n'avait eut de cesse de lui répéter que c'était un fou furieux mais rien ne signifier que c'était vrai. Peut-être qu'il était sympa comme mec . Peut-être même qu'il ne lui voulait aucun mal Moais . Pas convaincus ? Lui non plus . Mais là pour l'instant c'est plus facile pour lui de penser ça. Surtout qu'il se sent comme un animal en cage. Pourquoi ? Parce que l'autre sociopathe ( a ne pas confondre avec un psychopathe , un psychopathe ne fait pas la différence entre le bien et le mal alors que le sociopathe le fait mais qu'il préfère choisir le mal ) tourner autour de lui. William tourner la tête avec ses mouvements, le suivant du regard, déglutissant difficilement.

- Alors ? [...]Je suis persuadé qu'il va sortir venir te chercher... Non ?

Oh non ! Pourquoi fallait-il qu'en plus d'être flippant il sache appuyer là où sa fait mal ? Contrôle toi William . Contrôle. S'il se rend compte qu'il a toucher le sujet qui blesse il va pas arrêter d'appuyer dessus. Aller dépasse le fait que tu te retrouve tout seul dans un ruelle sombre et garde cette assurance d'un homme un vrai. Rien ne petit atteindre un homme un vrai. Rien . Absolument rien. N'écoute pas ce que Messieur Qui-Cherche-Le-Point-Faible a dit. C'est que des conneries. Ah woé ? Alors pourquoi ça l'énerve autant :-__-: ? . Respire Slayers Respire . Il eut un petit rire nerveux.

William - Désolé mais j'suis pas persuadé que les mort apporte souvent de l'aide au vivant. Il déglutit et eut de nouveau un petit rire nerveux. Puis de l'aide pourquoi ? J'vais bien. Tout va bien rajouta-t-il avec un sourire crispé.

Inutile de vous dire qu'il le prend pour un con et qu'il essaye juste de gagner du temps ? Woé . Mais c'est peut-être pas la meilleure réaction à avoir non ? Bin peut-être . Le problème avec William c'est qu'il se rend compte qu'il est dans la merde qu'une fois qu'il y totalement . Même dans la pire des situation il reste soit même il garde le sourire et un brin d'humour. Espérons juste que ça va pas énerver Mister Fou Furieux.....

William - Bon écoute c'était sympa.... Sa m'as fait plaisir de te voir.... Mais j'vais peut-être y aller..... Ma mère va s'inquiéter....

Il essaye de se défiler et de trouver une excuse pour se barré au plus vite ? Non Non Bien sûr que non

- Désolé mais j'suis pas persuadé que les mort apporte souvent de l'aide au vivant. Joad gardait son sourire, qui sonnait affreusement. Il était dans son domaine. Et il était à l'aise. Mauvais signe. Puis de l'aide pourquoi ? J'vais bien. Tout va bien.

Joad éclata d'un rire particulièrement horrible. Sadique à souhait, son rire ne passerait pas inaperçu, cela, c'était sûr. D'une autre part, on avait cette impression, de l'entendre dans tous ces films d'épouvantes où il y a une sorcière qui rigole. C'était quelque chose de vraiment effrayant. Joad regardait doucement William, l'examinant sous toutes les coutures...

- Bon écoute c'était sympa.... Sa m'as fait plaisir de te voir.... Mais j'vais peut-être y aller..... Ma mère va s'inquiéter....

Joad dégaina sa baguette magique plus rapidement que son ombre, et il la pointa sur William. Un sort informulé, et le voilà translocaliser juste à côté de William, qu'il saisit par le pull et il le souleva, le plaquant contre le mur avec force. La joue contre la pierre, William ne pouvait presque pas bouger. Joad s'approcha de lui, doucement, collant son bassin contre ses fesses, avec un sourire amusé. Doucement, il approcha ses lèvres du lobe de l'oreille de son neveu, et il lui murmura doucement :

- Non... Elle ne s'inquiétera pas... Je suis de la famille, non ? Puis, il posa doucement sa main sur l'une des fesses de William, la remontant doucement pour la foutre sous son pull, lui caressant la peau. Puis, t'es trop bien foutu... Ta peau est douce... Suave... Tu me donnes envie... Et puis... Il lui mordit le lobe de l'oreille, avant d'ajouter : Ton père serait furieux... Excellent...

Il fit balader la main sur la taille de William pour aller l'y plonger dans son caleçon et le caresser avec délicatesse sadique. A ce moment là, Dakota apparut non loin de là, posant sa baguette juste sur la tempe de Joad. Ce dernier éclata de rire, retirant doucement sa main du sexe de William.

- Super mangemort à la rescousse...
- Lâche, William, de suite. Le ton de la voix de l'hispanique parvint aux oreilles de Joad avec une violence particulière. Joad tourna doucement la tête vers le fils aîné de Miguel.
- J'ai toujours su que tu étais un traître, chez les mangemorts, Javier...
- Traître parce que je ne veux pas que tu violentes William ? Dakota saisit Joad par l'épaule et le propulsa contre le mur avec une certaine forme de haine. Avec cette même main qui avait servit à pousser Joad, il saisit William et l'attira contre lui.
- Je comptais m'amuser...
- Et le tuer ensuite ?
- Accessoirement.
- Fils de...

Joad sourit. Il retira doucement la manche de son pull, montrant ainsi la marque des mangemorts.

- Je vais te proposer un deal, l'espingouin... Soit, tu tues William devant moi, et je ne critiquerais plus ton engouement pour les mangemorts... Soit, j'appuis.

Cette fois-ci je n'avait plus du tout envie de rire. A trop jouer avec le feu on finit souvent par se brûler. Je n'aurait peut-être pas dût tenter le diable . Si je mettais tenu tranquille et que je n'avais rien dit il se serait peut-être lassé et il serait partit. Mais non comme toujours il avait fallut que j'ouvre ma grande gueule pour prouver que j'étais le plus fort. Hum. Sa me fessait bien rire à présent. Plaquer contre ce mûr froid avec cet enfoiré derrière moi je me sentais tous sauf fort. Au contraire je me sentais plus vulnérable que jamais et c'était peut-être le plus horrible dans cet situation. Parce que bien sûr comme d'hab je n'avais pas ma baguette sur moi. Pas la peine, j'étais invincible et j'avais le pouvoir du feu.

Mais là à cet instant, cet élément si protecteur semblait restait en moi, comme ma colère qui ne faisait qu'augmenter. J'avais une haie intense et indéfinissable pour cet homme qui ne faisait que de me salir d'avantage de seconde en seconde. Beaucoup plus fort physiquement que moi, je priait de tout mes forces pour que mon corps prennent feu et qu'il le fasse brûler lui aussi, tandis que mon bourreau me murmuré des choses à l'oreille, plus ignoble les une que les autres. Jamais je n'aurait imaginer que de banale phrase de séduction pouvait faire mal à se point, moi qui en user tant d'ordinaires. L'entendre ainsi parler de mon corps me donner envie de plonger dans un trou le plus profond possible et ne plus jamais en sortir. Il brisait la seule chose dont j'étais vraiment fier. Enfoiré !

Joad - Puis, t'es trop bien foutu... Ta peau est douce... Suave... Tu me donnes envie... Et puis...
William - Arrête....
Joad - Ton père serait furieux... Excellent...
William - Ta gueule !

Mes mots ne le stopperait pas, je le savais . Au contraire ça devait l'exciter encore plus et moi me dégouter d'avantage par conséquence. Mais les mots était la seule chose qu'il me restait pour manifester ma détresse. J'avais beau essayer de bouger, sa présence derrière moi me donner plus envie de me tenir tranquille qu'autre chose, de peur qui ne défasse son pantalon et qu'il ne souille d'avantage ma virilité. Mais le pire n'était apparemment pas passer, car Joad fit glisser sa main où jamais je n'aurais voulu que quelqu'un à part une fille ne l'y glisse. Quel honte. J'me sentais sale. Avec son geste il m'enlever le peu d'innocence qu'il me rester encore depuis ma rupture avec Rose. Je n'arrivais pas comprendre comment quelqu'un pouvait faire quelque chose d'aussi ignoble. Comment peut-on prendre du plaisir à faire autant souffrir les gens ?

J'avais littéralement envie de vomir mais paralyser par la peur et le dégout je ne bouger pas, des sanglots restait même coincé dans ma gorge. Je ne voulais que cette enculé prenne encore plus de plaisir en m'entendant gémir de peur , bouger ou le supplier d'arrêter. J'avais fermer les yeux pour terrasser mon dégout et ma peur faisant pleinement confiance au Phoenix . C'était toujours lorsque j'étais à fleur de peau que le feu prenait pleinement possession de moi. Il ne me restait plus que cette solution pour m'en sortir. Ça ou la mort. Le suicide ne faisait pas peur à cet instant. J'étais près à tout pour que ça s'arrête. Au plus vite.... Mais il devait rester une petite dose d'espoir en moi car le bout de mes doigt prirent feu, bientôt suivit par les main et se serrait ensuite au tour de mes bras. De sa position Joad ne pouvait rien voir mais bientôt il pourrait sentir mon feu et c'est lui qui souffrirait à son tour. Je prendrait tout mon temps à lui consumer la peau. Ce serait jouissif d'être à mon tour le bourreau. Ce feu ne me faisait pas de mal, il était comme une douce caresse, mais il pouvait en faire au autre.

Mais c'est à ce moment là, que cette enfoiré enleva sa main et qu'une personne dont je n'attendais plus rien depuis longtemps arriva..... pour me sauver en quelque sorte.... Je ne l'avais pas revue depuis l'attaque de Poudlard. Depuis qu'il m'avait abandonner, mon frère, lui qui avait promis de veiller sur moi le jour de la rentré des classes quand une bande d'élèves se moquer de moi. Il semblait changer et loin de celui que j'avais connu mais il gardait son charisme naturelle, qui donner envie de le respecter. Ils parlaient de mon sort comme si je n'était qu'un objet tandis que je m'éteignez d'un seul coup comme une bougie passer sous l'eau. Un objet. Comme j'aurais pouvoir aimer l'être à cette instant. Devenir une table ou un verre et ne rien ressentir. Enfin, Dakota éloigna Joad et m'attira vers lui pour me protéger. A cet instant je ne comprenais pas vraiment si j'étais ou non en de bonne main. Dakota semblait avoir tellement changer et il était présent du côté du mal.... Mais à choisir entre celui qui à ma plus honte à le même sang que mon père et qui répugnait au plus haut point et lui, le choix était vite fait.

- Je comptais m'amuser...
- Et le tuer ensuite ?
- Accessoirement.
- Fils de...

Je ne dit rien mais je n'en penser pas moins. La réaction de Dakota me rappela néanmoins qu'il ignorait tout de mon pouvoir sinon il n'aurait pas eut peur à se point là qu'on me tue. La mort me semblait tellement douce à côté des violences sexuelle que Joad pouvait me faire. Dak-Au-Dak risquait sa vie et sa couverture pour moi. Il n'était pas seulement un simple Mangemort, il était un agent double j'aurais dût le savoir. Il ne m'avais pas abandonné en fin de compte. J'aurais dût avoir confiance en lui et omettre le fait qu'il n'était pas partit avec moi à l'impasse et qu'il avait rejoins le camps ennemi. Car après tout le temps avait passé mais il n'avait pas tant changer que ça.

Je sentait le feu en moi et je savais que cette fois si je l'appeler il viendrais immédiatement, mais m'attaquer à Joad aurait eut pour conséquence que mon ami soit considéré comme un traitre. Mon oncle voulait ma vie et seulement cela suffirait à accorder à Dakota les bonnes grâce de se pervers et lui épargnerait d'être tuer par Wolfgang. C'est ainsi que j'eus une idée. Une idée qui ne pouvait marcher que si la confiance que Dak-Au-Dak avait en moi et qu'il m'avait dit avoir était sincère.

William - Tue moi. Fais moi confiance. C'est le seul moyen Dakota. Tue moi. N'aie pas peur. Si tu m'aime fais le.

Je lui avais chuchoter ces mots qu'il était le seul à pouvoir entendre, alors que je m'écartais de lui avec un air paniqué. On m'as toujours dit que je devrais faire du théâtre. Je voulais que Dak me tue mais pas seulement. Je voulais que Joad sache et croit que Dak n'avait aucun remord à le faire. Mais je n'avais pas le temps de lui expliquer que je ne risquerai rien et que je résusiterai. Je n'allais pas réellement mourir, je renaitrai de mes cendres comme le phoenix que j'étais, mais ça Dak l'ignorait. Je voulais le sauver des Mangemort comme il m'avait sauver de Joad. Tendant la main vers l'avant, paume vers le haut, une boule de feu apparut. Je regardait Dakota avec un air menaçant presque effrayer mais tout ça n'était que du bluff, destiner à faire croire à mon oncle que je n'était pas suicidaire. Puis on lui montrant le feu j'avais un petit espoir que Dak soit au courant pour Miguel et qu'il fasse le rapprochement avec mes paroles....

- Dakota ?
- Oui ?
- Je pense qu'on devrait tout se dire...

Dakota, qui était entrain de lui caresser doucement le bras, avec son doigt, se redressa sur son coude, dans le lit, le regard noir plongé dans les iris vertes d'Ashley. Une expression de stupéfaction se faisait voir sur son visage.

- Qu'est ce que tu veux dire ?

Ashley s'allongea sur le dos, regardant du coin des yeux, Javier. Cette dernière se gratta rapidement la main, avant de répondre.

- Je dois te faire un aveux. Stupéfaction accentué dans le regard de Dakota. Ton oncle m'a demandé de te surveiller. De te mettre le grappin dessus pour te faire passer certains messages.

A la fin de sa phrase, elle détourna, complètement, le regard du latino. Ce dernier s'assyea dans le lit, l'air con. Comme si il n'avait pas tout à fait compris ce qu'elle venait de lui dire.

- De quoi ?
- Oui, je...
- Tu te fiches de ma gueule ? Fit il, l'air particulièrement énervé.
- Non, je...
- Tout n'est que pipeau, ou quoi ?
- Non, non... C'est justement de ça que je voulais te parler, je...
- J'y crois pas...

Il mit son visage dans ses deux mains, ses bras tremblant de colère. Cela voulait dire qu'il se faisait manipuler depuis le début. Que depuis le début, il était le seul à réellement ressentir quelque chose, car elle lui faisait du charme ? Un charme dicté par son oncle ? Dakota ne disait rien... Plus rien. Sa respiration s'était accentuée car sa cage thoracique se levait de plus en plus rapidement.

- Dakota... ? Je...
- Tu callas.

Son ton de voix était dur, particulièrement dur. La noirceur de l'hispanique semblait sortir doucement par les ports de sa peau, tel un fin volute noir s'élevant dans la pièce. Il releva son regard, la fusillant littéralement du regard, et il lui dit :

- Je sais vraiment pas ce qui me retient de t'envoyer ad patres... Un con... Tss...

Il secoua la tête, avant de se rlelever du lit comme un furie pour attraper son caleçon qu'il enfila d'un trait. Chaussette, pantalon, chemise, pull... Il s'habilla en moins de temps qu'il faut pour le dire, alors qu'Ashley lui répétait sans cesse :

- Dakota ? Dakota, qu'est ce que tu fais ? Arrête... J'ai pas fini de te perler... Dakota ? S'il te plaît... Arrête...

Dakota ne la calculait plus. il avait trop mal au coeur. Il se releva doucement, après avoir mis ses chaussures et il lui dit :

- Quand je reviens, t'es parti. Compris ?
- Javier... Je t'en prie...

Il transplana. Elle s'effondra en larmes.



Quand Dakota n'allait pas bien, ou qu'il allait trop bien, il se tournait toujours vers une seule et même personne. William. Son besoin de le voir, à cette instant, était tel, que lorsqu'il transplana, il se retrouva dans une ruelle sombre de Londres. Au début, il ne comprit pas de suite, pourquoi il était apparut ici, et pas dans la maison de ce dernier. Il leva le regard, la pleine nuit. Il fronça doucement les sourcils, avant de tendre l'oreille pour entendre à quelques mètres des paroles d'un homme qu'il reconnaîtrait entre milles. Joad Slayers. Ce petit enculé de violeur. Aussitôt, il transplana pour réapparaître jsute à côté d'eux, et il tendit sa baguette directement sur la tempe de Joad.

- Super mangemort à la rescousse...
- Lâche, William, de suite. Le ton de la voix de l'hispanique parvint aux oreilles de Joad avec une violence particulière. Joad tourna doucement la tête vers le fils aîné de Miguel.
- J'ai toujours su que tu étais un traître, chez les mangemorts, Javier...
- Traître parce que je ne veux pas que tu violentes William ? Dakota saisit Joad par l'épaule et le propulsa contre le mur avec une certaine forme de haine. Avec cette même main qui avait servit à pousser Joad, il saisit William et l'attira contre lui.
- Je comptais m'amuser...
- Et le tuer ensuite ?
- Accessoirement.
- Fils de...

Joad sourit. Il retira doucement la manche de son pull, montrant ainsi la marque des mangemorts.

- Je vais te proposer un deal, l'espingouin... Soit, tu tues William devant moi, et je ne critiquerais plus ton engouement pour les mangemorts... Soit, j'appuis.

Dakota eut un léger sourire, après deux bonnes minutes de silence, où régnait la stupéfaction la plus intense. Il était le Phoenix. Miguel le lui avait dit. La réaction de Javier surprit Joad, qui cessa de sourire. Doucement, Dakota posa son regard sur William, et l'on y voyait une certaine forme de sadisme, qui se voila rapidement pour y exprimer un appel au secours. Il savait que William ne craignait rien, mais il n'en avait pas envie. D'une part, parce qu'il n'était pas en état, d'une autre part, parce qu'il n'était pas du genre à tuer ses amis aussi facilement que cela. Son regard reprit un air sadique, juste avant qu'il ne retourne le visage vers Joad, et il ajouta :

- Je te fais ça.

Javier donna un bref coup de baguette magique vers le sol, et aussitôt une cagette de bois, prit la forme d'un pieu particulièrement résistant. Joad s'avança de quelques pas vers la gauche comme pour voir la scène. Dakota posa son regard sur William, puis, il ferma délicatement ses paupières, comme si il ne voulait pas voir ce qu'il allait faire. Néanmoins, il entendit doucement :

- Tue moi. Fais moi confiance. C'est le seul moyen Dakota. Tue moi. N'aie pas peur. Si tu m'aime fais le.
- Sé... Yo sé...

Lorsqu'il réouvrit doucement ses yeux, une boule de feu venait d'apparaître dans sa main. D'après son père, il fallait viser la boîte crânienne pour être sur qu'il ne réapparaisse pas de suite. Qu'il fallait pour qu'il revive, qu'on lui retire le bout de bois, ou ce que l'on y avait planté. D'un coup, il transplana, pour apparaître derrière William, et il mumura juste avant de porter son coup.

- Pardonne moi... moi aussi, je t'aime, frérot...

SSSCCHHPROUT ! Le pieu entra dans l'arrière du crâne de William comme dans du buerre. Ce dernier tomba à genoux, les yeux grand ouvert, et comme tout mort, ils se voilèrent d'un fin voile blanc, presque laiteux. Dakota se força à sourire, regardant Joad avec une petite lueur de ravissement dans le regard.

- Alors ?
- J'appel le ministère... Tu as commis un meurtre... Ça craint, hein ?

Il se volatilisa. Dakota cracha au sol, se laissant tombé également à genou, posant ses mains sur les épaules de William pour l'attirer vers lui. A ce moment, il éclata en sanglot. Il se mit à pleurer comme un con. Il savait que le ministère ne bougerait pas. Mais il savait que comme cela, Thomas serait au courant que Dakota venait de tuer son fils. Il se mordit les lèvres, comme pour retenir un gémissement de douleur, avant qu'il ne se relève pour poser doucement le corps de William au sol, l'étendant de tout son long.

Doucement, il souleva la tête de William, n'osant poser son regard sur son visage. Il lui prit doucement le pieu, et il tira d'un coup sec. Enfin, il le jeta contre le mur avec rage, et dégainant de nouveau sa baguette plus vite que son ombre, il lança un sort qui explosa le pieu avant que ce dernier ne tombe au sol. Des brindilles tombèrent doucement au sol. Dakota, à genoux, posa l'une de ses mains sur le visage de William pour lui fermer doucement ses yeux. Enfin, il posa son front doucement sur son torse, et il se mit à prier. A prier comme un con, tandis que les larmes continuaient de couler, et que son sanglot, bien que silencieux, quoique... Continuait.

J'observait Dakota avec appréhension mais je n'avais jamais eut autant confiance en quelqu'un . Malgré ses mots et ses choix il restait mon meilleur ami et jamais je n'aurait était tel que je suis aujourd'hui sans lui. Je ne l'abandonnerai pas. Sans Dakota je serait sûrement toujours ce petit gosse timide qui se laisser torturé par les autres. Le p'tit Will qui pleurniche. Le rêveur toujours dans son coin et qu'on remarque à peine. Mais grâce à lui j'ai était mieux que ça. Je SUIS mieux que ça. Impossible pour moi de dire si Dak avait deviné pour le Phoenix ou pas mais quoi qu'il soit c'était clair et net qu'il souffrait à l'idée de se qu'il allait faire. Il n'aurait pas dût. Il y avait pas de quoi. Je savais ce que je faisais. La peine de l'Almadovar se ressentait sur moi et mon états d'esprit, parce que lorsque mon frère souffre je souffre avec lui, ça toujours était ainsi. Dak ne saura peut-être jamais à quel point je tiens à lui, à quel point il est une famille pour moi, mais peu m'importe. Moi je savais qu'il tenait à moi, qu'il est le courage de me tuer ou pas. J

'ai souvent douté en de nombreuse chose, en la vie, en l'amour, en moi même bien souvent. Mais à cet instant je ne doutais pas de lui. Il se devait de le faire et peu importe ce qui le pousserait à commettre cet acte, je ne lui en voudrais pas. Je préféré largement le savoir sain et sauf, même si cela devait me couter une vie, que en danger de mort par ma faute. Il avait un pieu en main et moi ma boule de feu. Je ne voulais pas le blesser mais je ne voulais que l'autre enfoiré sache pour mon sacrifice, qui n'en était pas vraiment un. Alors que faire ? Mais d'un seul coup Dakota disparut. Je n'eut pas le temps de comprendre se qu'il se passait, juste d'entendre ces mots :

Dakota - Pardonne moi... moi aussi, je t'aime, frérot...

Je ne l'avait pas oublier mais l'entendre me fit le plus grand bien. C'est alors que je ressentit un horrible douleur au cou. Une de ses douleurs insoutenable qui vous donne d'hurler. Ce que je fit malgré moi en fait. Enfin plus ou moins. Ma bouche s'était ouverte pour crier mais aucun son n'en sortit, comme si c'était rester coincé dans ma gorge. J'avais froid et je sentais déjà la mort venir me tendre les bras. C'était rapide et je n'eut pas à souffrir. Dakota avait choisit la mort la plus douce que j'aurait put avoir. Beaucoup moins agonisante que les croc du loup garou le soir du bal. Il m'est impossible de vous raconter ce qui s'est passer ensuite. Où j'étais pendant ma mort, ce qu'il s'est passer ou même ou j'étais. Tout cela reste toujours secret et très mystique . Mais je pense que mon corps à tout simplement prix feu mais sans réellement brûler toutefois . Il a dût prendre dans les flammes la force nécessaire pour me ramener à la vie. Je ne pense pas que mon corps soit tomber en cendre. Cela s'était seulement lorsque j'ai reçut le phoenix, à présent ce n'était plus nécessaire.

Quoiqu'il en soit j'ai ensuite rouvert les yeux. Ce n'était pas la première que ce phénomène m'arrivait mais c'était toujours aussi pénible, et c'était encore loin de devenir une routine. J'avais un terrible mal de crane comme si quelqu'un avait passer ma tête dans un mixeur, et toujours cet impression de me réveiller après avoir but tout la nuit. Nauséeux, absent et pas vraiment bien en bref. J'ai alors réalisait que quelqu'un avait poser sa tête sur son torse. Sourire. Il s'agissait de Dakota. Je me redressa alors avec plus ou moins de difficulté tandis qu'il se redressait à son tour. Il avait les yeux rougir et voir qu'il s'était mis dans un état pareil à cause de moi me fit énormément culpabilisé.En valait-je vraiment la peine ? Je n'en était pas certain..... Mais savoir qu'un homme tel que Dakota, d'une fierté hallucinante pouvait se mettre autant à nu pour moi ne toucha énormément. Mon estime pour cet homme, pour mon frère, ne fit qu'augmenter d'avantage à cet instant. Alors qu'il semblait vraiment triste, moi je le regarder avec un petit espiègle, comme si de rien n'était.

William - Pourquoi tu fais cette tête là ? Quelqu'un est mort ?

Moi et mon humour. Comme toujours ma plus grande force et ma plus belle arme contre les sentiments . Ma marque de fabrique. Pourtant ça ne signifier en aucun cas que je me moquer de lui. Au contraire, à sa place j'aurais réagit exactement pareil. C'est juste qu'a mon avis moi et mi hermano ont était identique ou presque. Et je savais qu'après avoir verser quelque larme, rien ne m'aurait fait plus plaisir que d'entendre une connerie pour me sentir moins con. Instinctivement je m'approcha de Dak et le prit dans mes bras, le serrant contre mon cœur.

William - Tout va bien Dak . C'est fini.... J'vais bien..... tout va bien.....

Doucement, quelques douces flammes apparurent, et je ne pus m'empêcher de me reculer doucement, contemplant ce spectacle dont j'étais l'un des rares privilégiés à en voir réellement les effets de cette pseudo-malédiction que mon père avait en partit inhiber lors du transfert de ce fameux phoenix. Je dois dire que j'en resta tout simplement baba, et ma bouche ne pouvait qu'être légèrement entrouverte. Je regardais doucement le corps de mon ami, de mon meilleur ami, celui que je considérais comme un frère de coeur, s'embrasait doucement, ne pouvant rien faire. Il fallait dire que je n'avais pas tellement envie de faire quelque chose. Je savais qu'il ne craignait rien mais voir un tel spectacle se présentait ainsi, devant mes yeux, je ne pouvais que rester curieux et légèrement surpris devant une telle magie démoniaque. Je ferma doucement les yeux, me mettant sur mes genoux, approchant mon visage de celui de William, tout en m'essuyant les joues des larmes qui avaient trouvé où se fossilisaient. Ses paupières tremblèrent légèrement, puis, je recula lorsqu'elle s'ouvrit, tant est si bien qu'il se redressa pour pouvoir apercevoir mon visage de stupéfaction intense. Je pense, que dans mon regard, il devait même y avoir une certaine forme de fascination pour ce garçon que j'aimais tant. Je ne dis rien, regardant ce dernier se redressait pour l'entendre dire :

- Pourquoi tu fais cette tête là ? Quelqu'un est mort ?

Mais quel trou du cul... Cependant, je ne pus m'empêcher d'éclater de rire, le coeur soudain léger et apaisé. Je gardais mon regard noir et plein de joie orienté vers le regard de William, pour lui répondre doucement.

- Si c'était pour t'entendre dire une connerie, je pense que j'aurais du te crever plus souvent... Celle là était marrante...

Et c'était reparti comme en l'an 40. Mon regard devint rieur, et un sourire vint se loger sur mon visage. Je baissa le regard, secouant la tête, l'air de nouveau tranquille, comme si les larmes que j'avais versé m'avait complètement vidé. Je me redressa doucement, me relevant tout en m'aidant de mes mains que j'apposai sur mes cuisses pour prendre appui.

- Tu sais que t'es séduisant quand tu dors... J'en avais presque envie de copier ton oncle...

Allez, ZBLAM ! Reviens sur terre, mon pote. Dans cette phrase, je voulais tout de même lui faire comprendre que j'avais eu mal de faire une telle chose. Je regarda doucement sa main où il y avait du sang de William, pour tenter de lui faire comprendre la douleur que j'avais ressentit au moment même où le pieu pénétrait sa boîte crânienne. Je serra les dents, fermant doucement les yeux. J'entendais de nouveau ce bruit que cela avait fait... Je laissa tomber doucement la baguette que je tenais dans mes mains pour laisser couler, de nouveau, les larmes le long de mes joues dorées dû à mes origines. Je me baissa, m'agenouillant doucement pour reprendre ma baguette et je la pointa sur ma main recouverte de sang. Du sang de William. Du sang de mon frère, et je le retira délicatement, avant de redresser doucement le regard, vers William.

- Plus jamais... Plus jamais, compris ?
- Tout va bien Dak . C'est fini.... J'vais bien..... tout va bien.....

J'esquissais un léger sourire, me redressant de nouveau, pour m'approcher de lui et l'attirer contre de moi, de façon à ce que je puisse l'entourer de mes bras et le sentir contre moi. Je me recula doucement, remontant mes mains sur le visage de William que je saisis, puis je tira doucement son visage vers le mien pour affronter son front du mien, histoire qu'on est nos regards l'un dans l'autre et que l'on ne puisse se mentir, bien que ce dernier point fusse inutile, tellement j'étais à des années de pouvoir penser qu'un jour, il me mentirait.

- J'en ai rien à battre que tu ailles bien... Tu ne sors plus de là bas, c'est tout... Je veux pas avoir à refaire ça, t'as compris.

Mon regard était sérieux, dur et plein de tristesse, cependant, la position que l'on avait me faisait trop rire. Elle me détendait trop pour que je puisse garder un air sérieux longtemps. Je posa rapidement mon regard sur ses lèvres, puis j'ajoutai :

- Non, parce que, après... Je souris. Ca me donne envie de te faire ça... Tsé, d'être aussi proche de toi... Ca m'excite...

D'un geste bref, j'inclina la tête pour déposer mes lèvres sur les siennes. Je transplanai l'instant d'après pour réapparaître un peu plus loin, histoire d'éviter un coup qu'il aurait pu me mettre pour me repousser, et j'éclatai de rire.

- T'es un bleu vieux frère ! T'avais ta baguette au moins, aujourd'hui ?

J'expira, l'air serein, mais pas moins con et fier de ma connerie. Mon sourire s'élargit.

- Si c'était pour t'entendre dire une connerie, je pense que j'aurais du te crever plus souvent... Celle là était marrante...

Inutile de demander pourquoi celle-là, et celle là seulement, je savais que cette phrase n'était faite que pour me chambré et me faire enrager. Et à vrai dire ça marcher plutôt bien parce que j'ouvris la bouche pour protesté avec le premier mot qui me vient à l'esprit : « Heeeeeeeey ! »

- J'te signale qu'elles sont TOUJOURS drôle dit-je avec faussement vexé.

C'est vrai quoi . J'avais pas totalement tord. S'il y as un truc qu'on peut décemment pas nier c'est que j'ai un charme fou et un sens de l'humour hors norme. Enfin c'est ce que je me prêter à faire croire aux autres pour ne pas révélez au grand jour mon manque de confiance de moi en fin de compte.

- Tu sais que t'es séduisant quand tu dors... J'en avais presque envie de copier ton oncle...

Cette fois-ci mon sourire retomba. Je ne sais pas trop si cette phrase était destiné à continuer notre petite joute verbale ou à me faire réaliser l'ampleur de l'acte qu'il avait commis mais ces mots eut pour l'effet de me refroidir. C'est étrange, mais j'avais presque zappé qu'il y a moins d'une heure Joad était là aussi. Son attouchement avait tellement était un choc pour moi que ma mémoire c'était fait un plaisir d'enfouir se souvenir au plus profond de mon être pour ne jamais le ressortir. Je me consoler un peu en me disant que cet enfoiré ne m'avait pas toucher.... enfin pas vraiment.... enfin j'veus dire pas se corps LÀ. Joad avait souillé celui qui était mort. Celui qui avait était purifier par les flammes. Je frissonna légèrement, ressentant la peur me compresser l'estomac pendant que je pensait à cet être ignoble. Pour me rassuré, j'ai regarder alors un peu partout afin d'être sûr et certain qu'il n'était plus là. Mon oncle, j'en avait terriblement honte. Comment quelqu'un d'aussi ignoble pouvait être de mon sang ? Surtout de celui de mon père qui était quelqu'un de tellement exceptionnelle quoi qu'il en dise. Je ne savais pas....

Quoiqu'il en soit j'étais plutôtcontent, ma p'tite connerie avait marcher à merveille et Dak avait retrouvé le sourire, oubliant ses larmes. Enfin ça marchait jusqu'à ce qu'il voit mon sang sur ses main. Je n'eut pas le temps d'affirmer que je trouvez cela étrange qu'il ne soit pas vert et que finalement j'devait belle et bien venir de cette planète que ses larmes recouler déjà. Alors plutôt que mon humour douteux, j'optais pour la tendresse, ce qui arrivait qu'avec des gens exceptionnelle à mes yeux, en le prenant dans mes bras, tandis qu'il répéter que ça n'arriverai plus jamais. Ses mots ne fendirent le cœur en deux tellement il était charger d'émotion, à croire qu'il avait eut plus peur que moi. Je sentais son cœur battre contre le mien pendant ce cour instant, et ça ne fit qu'augmenter mon rythme cardiaque.

Il s'écarta de moi avec un léger sourire avant de me prendre la tête entre les main et de coller son front contre le mien, me forçant à le regarder. S'il ne m'avait pas tenu j'aurais sûrement détourné le regard tellement je me sentais à nu face à lui, comme s'il pouvait lire en moi comme dans un livre ouvert. Il était un des rare à pouvoir le faire. Peut-être le seul ... Enfin de cette manière là. Sinon il y avait Asphodèle..... Du coup je restais con et je ne savais pas trop dire. C'était rare qu'on se montre qu'on tenait à l'un à l'autre tout les deux, comme des frères. Mais putain que ça faisait du bien.

- J'en ai rien à battre que tu ailles bien...
- J'apprécie ta sollicitude ça ne va droit au cœur dit-je avec un légère grimace mais je n'était pas stupide je savais très bien qu'il n'allait s'en tenir à ces mot là.
- Tu ne sors plus de là bas, c'est tout... Je veux pas avoir à refaire ça, t'as compris.
- J'ai compris Dak.... J'ai compris.

J'avais dit ces dernier mots de façon la plus sérieuse du monde, me rendant bien compte de l'importance que cela avait pour Dakota de savoir que je serais dorénavant en sécurité. Je lui avait promis de faire plus attention mais pas de ne pas ressortir. Pourquoi ? Tout simplement parce que je me connaissait que je savais que je ne l'as tiendrait pas. Même en fessant tout les effort du monde, et en me disant de pas le faire. Je n'étais pas un oiseau qu'on mettez en cage. Je suis de ceux qui cache leur émoi et ont besoin d'évasion pour se sentir vivre. Et le mensonge envers Dakota ce n'était même pas la peine d'y penser. J'ai était, j'ai et je serais toujours 100% honnête avec lui. En remerciement pour tout ce qu'il m'apporte et m'as déjà apporté. On était toujours très proche l'un envers l'autre, physiquement je veus dire, front coller, et si ce n'avait pas était lui j'aurai sûrement trouver ça très bizarre..... Mais pas avec Dak.

- Non, parce que, après... Ca me donne envie de te faire ça... Tsé, d'être aussi proche de toi... Ca m'excite...

A peine eut-je le temps de réaliser ce qu'il allait faire, que déjà il le faisait. Quel con !Il posa ses lèvres sur les miennes pour me donner un léger smack. J'crois que c'est à moment là que j'ai réaliser que Dieu existé ou qu'un ange veiller sur moi. Pas parce que j'avais rêver de se moment toute ma vie, oh que non, mais tout simplement que connaissant Dakota il aurait était assez gonflé pour oser, en plus de ça, me coller sa grosse langue dégoutante dans la bouche. Rien que d'y penser.... Beurk ! Dieu merci ça n'arrivera jamais. Inutile que j'me demande pourquoi il avait fait ça, la réponse était évidence. Parce qu'il était gai, qu'il était fou amoureux de moi et qu'il rêver qu'on se marient et qu'on aient des gosses ? Carrément pas ! Enfin du moins j'espère pas . Bon j'avoue cette idée m'avait traversé l'esprit l'espace d'une seconde, mais argh ! Quel l'horreur. Non il avait fait ça pour une seule et évidente raison : pour m'emmerder tout simplement !

Et à vrai dire ça marcher plutôt bien. Je restais là planter comme un con, la bouche ouverte réalisant à peine le coup foireux qu'il venait de me faire. Celui-là putain il perdais rien pour entendre, quel con. Mais putain comme je l'aimais. Il était comme moi. Enfin une version détérioré quoique.... peut-être j'pense plus amélioré pour être cent pour cent honnête. La surprise passait au bout d'une ou deux seconde, j'avais tendu les bras vers lui pour le pousser mais il avait déjà transplaner prévoyant surement ma réaction. C'est comme ça quand deux être se comprenne aussi bien, ils devinent tout l'un sur l'autre.

- Oh Putain !

Mot tout droit sortit du cœur. Y'avais que Dak pour me faire enrager comme ça. Pour faire monter en moi cette adréanaline qui me montrait que j'était belle et bien envie. Cette énervement qui n'en était pas vraiment un. Celui qui fait du bien. Il y avait que Dak qui savait faire ça. Et je ne voulais échanger ça pour rien au monde.

- T'es un bleu vieux frère !
- J'embrasse bien au moins ? réplique-je blazer.

Que pouvait-je dire d'autre ? Le plus rageant c'était peut-être pas le baiser mais les mots de drague avant. Il m'avait pris pour quoi ? Une grogniasse ? Est-ce que j'avais l'air d'une pétasse avec un pois chiche dans la tête ? Une Miss écerveler ? Une meuf avec un trop plein d'hormone qui hurler à la mort pour des pseudo rockeur genre Fuking Rockstar ? Une de celle qui avait l'air de chatte en chaleur et devenait des hystérique comme shooter à l'extasie, capable de jouir pour un arbre , dès que quelque chose de masculin se trouvait devant elle ? Tsss..... Non mais j'vous jure. On aura tout vu ! Enfin bref mes mots à moi sous entendez « J'espère que t'as bien savourez car ça n'arrivera plus ».

- T'avais ta baguette au moins, aujourd'hui ?

Pourquoi fallait-il qu'il pose cette question ? J'l'ai toujours dit : je n'ai jamais de chance. Bien sûr que je ne l'avais pas sur moi, c'est évident. Moi et mon égo. Moi et mon idée que je n'en avait pas besoin, qu'avec le Phoenix j'étais invincible.... Ce truc finirait un jour par me tuer. Pour de vrai cette fois.... Mais j'avais trop honte et j'étais beaucoup fier pour le lui avouer tout de suite. Depuis tout ce temps, je n'avais toujours pas changer et ça le fessait pas vraiment. J'voulais pas qu'il soit déçue par moi.

- Bien sûr . Pour qui me prend ? J'l'ai toujours sur moi.

Petit sourire en coin. Air fier. J'avais dit ça comme si c'était une évidence. Ce n'était pas un mensonge parce que je savais qu'il devinerai le véritable sens de mes paroles. Un brin d'humour encore et toujours. Prévoyant qu'il allait me passer un savon, je ne pût m'empêcher d'ajouter.

- T'inquiète j'en pas besoin. La véritable force c'est celle du cœur dit-je avec un air poser, sage et en posant mes deux mains sur mon propre palpitant . Puis je leva les yeux vers le ciel pour faire style de réfléchir, enlevant mes mains, avant de reporter mon regard vers Dak-Au-Dak. Non en fait ce genre de phrase mélo-dramatique ça me va du tout rajoute-je avec une grimace. Tu crois que je pourrais devenir philosophe ?

Pourquoi ce contenter d'une vie morne et terne quand on peut balancer de l'humour à tout va ? C'est ce que je me suis toujours dit! Voilà pourquoi je ne me suis jamais priver. Surtout que c'était aussi ma manière à moi de montré a Dak qu'il m'avait manquer. Je n'avais jamais était doué pour les mots mais ça ne changer rien au fait que le cœur y était.

- Bon maintenant que j'suis en vie, et sain et sauf.... j'vais pas tarder à rentré. Thomas ou Parker, très sexy faudra que j'te la présente à l'ocass, vont m'étripai s'ils se rendent compte que j'me suis barré. Sans compter sur Sawyer qui risque de péter sa durite lui aussi.

Sawyer. Thomas. Parker. Autant de gens que je côtoyer tout les jours depuis un bon mois et qu'il ne connaissait pas. C'est ça qui me fit réaliser que ça faisait trop longtemps que je ne l'avais pas vu.

- J'embrasse bien au moins ?
- Comme un chat mouillé, p'tite tête...

J'explosa de rire. Comment rester sérieux alors que c'est l'un de ses rares moments où je peux laisser libre cours à toutes mes émotions, sensations, sentiments, brimés, la plupart du temps pour faire le parfait mangemort ? 2 ans. 2 ans que je fais ça. Mais je sais que Papa sera fier de moi lorsqu'on en aura terminé. Et je sais aussi que je récupèrerais Enrique de mon côté, je sais que ça sera comment avant, c'est l'une de mes rares motivations... Puis, il y a cette figure de pain sucé, là... Tsss... Je le regardais avec une petite lueur amusé, secouant négligeament la tête. J'allais pas le comtempler encore trop longtemps sinon, il allait avoir peur de moi. C'est vrai qu'en même temps... J'inclinai doucement mon regard vers ma ceinture, un petit sourire mi-figue mi raison. Instrument de plaisir et de torture lorsque l'on a les caractéristiques des vélanes dans le sang. Une idée me parvint, quelques instants après.

- T'avais ta baguette au moins, aujourd'hui ?

Oui, ok... C'est vrai que j'y ai fais le rapprochement, cependant, je me sentais bien. Trop bien, comme si je venais de me bourrer la gueule, et que j'étais dans un état second. J'expirais doucement, l'air serein me gagnant. Je jeta un coup d'oeil autours de moi, regardant les alentours, et donc, la ruelle sombre dans laquelle nous étions, puis mon regard se reporta sur William qui répondait :

- Bien sûr . Pour qui me prend ? J'l'ai toujours sur moi.
- Ouais, c'est ça... On va te croire.

Regard blasé, un ton de voix ironique, une expression totalement exaspérée, c'est ce que j'arborais fièrement après la connerie de ce petit con qui se croyait toujours aussi immortelle que l'était Dieu. Sauf qu'il n'était pas dieu, et que d'après mon père, ce fut la pire erreur de sa vie... Quoique... Ah, non, il avait dit que sur l'échelle de ses 10 pires erreurs dans sa vie... J'en étais une. Mais quel erreur, fufu ? Bref, j'm'emporte. Puis, je sais que mon père se foutait juste de ma gueule... D'habitudes, il ne reconnaît jamais qu'il est pu faire des erreurs... Trop fier le daron.

- T'inquiète j'en pas besoin. La véritable force c'est celle du cœur.

Mes yeux, sur la silhouette de William. Je le regardais l'air totalement con, mes paupières se fermant, s'ouvrant et se fermant rapidement, un peu comme dans les dessins animés lorsqu'ils sont fortement surpris par la situation. Sauf que moi, la situation portée le nom de William, et qu'il ne pouvait s'empêcher de débiter une connerie à la seconde... Un jour, je le ferais pantin... Je me ferais un max de thune dans un des cirques qui traînent en Europe... En plus, j'ai le look du parfait forum avec ma ganache de hispanique.

- Non en fait ce genre de phrase mélo-dramatique ça me va du tout rajoute-je avec une grimace. Tu crois que je pourrais devenir philosophe ?
- Si 'est dans la connerie, j'crois que t'as même pas besoin de faire des études...

C'était que j'avais toujours l'air surpris voyez vous ?

- Bon maintenant que j'suis en vie, et sain et sauf.... j'vais pas tarder à rentré. Thomas ou Parker, très sexy faudra que j'te la présente à l'ocass, vont m'étripai s'ils se rendent compte que j'me suis barré. Sans compter sur Sawyer qui risque de péter sa durite lui aussi.

Bon, ok, j'avais encore l'air surpris. Ok, ça me cassait littéralement les couilles d'ailleurs, mais il faut dire que bon. Thomas, c'était son père. Ca, je le savais car je m'en souviens. Quand j'étais minot, il venait souvent à la maison. Je sais que d'Aleksandr et Thomas, Maman avait toujours préféré Thomas car il semblait beaucoup plus vrai et plus sincère. Quand à Parker... C'était qui ce gars là ? Et Sawyer ? Des bouffons ? Je ne pus m'empêcher de ressentir une jalousie cuisante dans le creux de mon estomac, et mon regard prit une teinte agressive, malgré l'air rieur de mon visage. Rien que pour cela, je ne lui demanderais pas qui c'est... Je ne lui ferais pas ce bonheur, je me renseignerais moi même.

- Ok, pas de soucis, Willynouchet... Faudra que je passe... un jour.

J'esquissais un sourire, attendant qu'il parte. J'étais venu pour discuter, et finalement, j'apprenais qu'il s'était fait de supers amis. Il est vrai que je n'avais pas bien entendu le ' la présenterais à l'occaz ' et il est vrai aussi que ça m'aurait sûrement permis de ne pas ressentir une jalousie aussi violente. Néanmoins, plus aucune trace de cette jalousie n'était visible, si ce n'est qu'elle bouillonnait en moi.

Dakota avait d'la chance que je ne soit pas en train de manger à se moment là. J'cois que j'me serais étouffer. Pincer moi . Je rêve !!! J'ai dit mal entendre. Il m'as appeler comment ? Willyquoi ? Willynouchet ??? Non ça va pas non ! Faut arrêter les bigorneaux (nemo <3 ) . Il est pas net. Il est ravager. Il est..... oooh il m'énerve quand il fait sa Et le pire c'est que je sais qu'il le fait expres :-__-: . Willychou !!! Pfff !! Alors d'abord il m'embrasse. Ensuite il me donne un nom ridicule et après quoi ? Il compte me donner une tape sur les fesses, me filer un tablier, me demander de l'épouser et que j'devienne sa femme au foyer ? Non ça va oui .

Tiens c'est bizarre je me demande ce que ça ferait d'être marié avec Dakota . Lui rentrait du boulot, s'affalant sur le canapé, mettant les pieds sur la table basse. Moi derrière les fourneaux en train de préparé des crêpes, le seul truc que je sais fai... non mais faut que j'arrête là. Je délire total. Marié a Dakota. Beurk . J'l'adore mais faut pas abuser là . Quel heure. Tiens d'ailleurs parfois je met fait peur moi même en réalisant jusqu'a où peut allait mon imagination. N'empêche totalement hors sujet, mais j'vois bien Dakota papa. P't'être pas marié avec vie de cadre ranger. Mais papa woé. Sa pourrait le faire. Quoiqu'il est en soit il était grand temps pour moi de rentré.

William- Willynouchet ? Rhoooo tu es decevant dit-il avec un air faussement déçue et thétrale comme toujours. Franchement tu aurait put trouver mieux . Tu te ramollie vieux, tu te ramollie. La prochaine fois essaye « Apollon » ,« Don Juan » ou même « Dieu ». Woé ça c'est des surnom qui me vont dit-je avec un sourire. Aller je file, j'te dit à plus Dak, merci pour .... enfin voilà ! T'as intêret d'me donner signe de vie. Tcho.

Je l'avais dit avec mon ton habituellement décontracte mais c'était vrai. Il avait interet a me donner des nouvelles. Bin woé c'est vrai quoi. C'est que mine de rien je m'inquiète pour lui moi. Et voilà maintenant direction la maison.

- Je me ramolli, ouais... Fit il, son sourire disparaissant de ses lèvres, alors qu'il tournait dos à William pour partir le long de la rue, les mains dans les poches, la mine toujours aussi soucieuse qu'il ne l'avait précédemment été.

C'est alors, qu'en marchant le long de l'une de ses grandes rues Londoniennes avec des tonnes de magasins, et surtout de moldus, et tout ce qui s'ensuivait, il s'arrêta doucement devant l'une des bijouteries les plus Huppés de Londres. Son regard ne put s'empêcher de se perdre dans les souvenirs de sa mémoire, se rappelant de cette fois là où Ashley lui avait montré une bague avec un petit sourire timide. A l'époque, Dakota n'avait pas réellement compris le sous entendu... Ne s'étant pas mis face à ses sentiments, il n'avait pas remarqué son amour pour cette dernière, alors que l'ancienne Serpentard, n'avait cessé de lui envoyer des signaux. Retirant les mains de la vitrine, sur laquelle, il les avait posé sans réellement faire attention, comme pris dans son rêve et ses pensées, il ne put s'empêcher de penser qu'il avait agi comme un con avec celle qui l'aimait, et il lui fallait à tout prix qu'il se rattrape... Qu'il ose lui formuler sa demande. Il savait à présent. Il savait qu'il l'aimait, et surtout, il savait qu'il voulait vivre avec elle pour le restant de ses jours. Doucement, un sourire se dessinant sur ses lèvres colorés, il ne put s'empêcher de ressentir une profonde sensation dans le creux de son estomac, montrant ainsi son humanité au delà même de son don de vélane. Lorsqu'il poussa les portes, ressortant les mains des poches, dans lesquels il les avait rangé après les avoir retiré de la vitrine, le gamin de 19 ans posa son regard autours de lui, avant de voir un homme habillé d'une façon bien distinguée et classe s'approcher de lui, sa main effleurant légèrement l'une des vitrines qui jalonnaient la pièce.

- Bonsoir, je peux vous aider... ?
- Euh... Ouais, je viens acheter une bague que vous exposeriez en vitrine.

Le visage du vendeur s'illumina légèrement, un sourire apparaissant sur ses lèvres, tandis qu'il détaillait Dakota du regard, comme si il cherchait un signe de richesse apparant. Chose que, chez Dakota, était des plus visibles. Non, pas par pur prétention, bien au contraire... Quoique... Mais parce qu'il aimait les belles choses, et qu'il savait que pour cela, il fallait y mettre les prix. Et avec la fortune de la famille, il n'avait aucun mal à se payer ce qu'il voulait, sans vraiment faire des caprices tous les quatre matins... Là, c'était une occasion particulière. Le vendeur lui passa devant tout en lui demandant :

- Vous venez... ?
- Oui. C'est celle là... Ajouta t il, après quelques minutes de silence, comme sortant de ses pensées d'un coup.

Le vendeur écarquilla doucement ses yeux, avant de saisir doucement le bijoux en question. Quelques minutes après, Dakota ressortait de la vitrine, un léger sourire sur ses lèvres, mais la boule de trac tout aussi grande qu'elle ne pouvait l'être chez un homme. En un clin d'oeil, personne ne le vit transplaner dans son petit volute de fumée noir montrant ainsi sa disparition pour réapparaître sur le pallier de son appartement. Posant doucement sa main sur la poignet, il ne put s'empêcher de croiser les doigts en espérant qu'Ashley serait encore dans l'appartement. Cette dernière s'actionna sans mal, puis, il pénétra dans l'appartement. Tout n'était que basar. Son coeur se serra, avant d'entendre du bruit dans la chambre où il couchait avec. Laissant presque tomber sa veste au sol, tout en gardant la bague dans la poche, il se mit presque à courrir, pour la retrouver dans la chambre, mettant ses affaires dans un sac. Quelques valises étaient déjà faites. Dakota s'approcha d'elle alors qu'elle levait son regard rougi par les larmes vers lui, et il posa ses mains sur les épaules de cette dernière tout en la faisant reculer.

- Ash'...
- Dakota, je...
- Chuuut... Il inclina doucement sa tête et il déposa ses lèvres sur les siennes. Il se recula légèrement, et il ajouta : Pardonne moi... Il me fallait juste un peu d'air... Je...

Le visage d'Ashley s'émerveilla, et cette fois, ce fut elle qui l'embrassa, avant de lui dire, tout en montant ses mains avec délicatesse au niveau du cou de Dakota.

- Chuuut... Elle réitéra son acte, mais cette fois, ce fut un vrai baiser. Echangeant leur langue avec passion, avec amour, elle fit glisser ses mains le long du dos de l'hispanique, qui, sentant les mains fraîche de cette dernière, eut un léger frisson, avant de se reculer d'un coup. Ashley l'interrogea du regard, puis, Dakota plongea doucement sa main dans sa poche pour en sortir une petite boîte de velour noir. Il releva son regard vers Ashley qui eut tout à coup les yeux larmoyants, comme si le bonheur venait de la submerger.

- Je... Ashley... Tu sais que... Enfin, chui pas fait pour les longs discours, et... Euh... Je... Il eut un sourire forcé, avant de baisser le visage au sol, se passant une main dans les cheveux à l'arrière de son crâne. Finalement, il posa un genou à terre, saisissant avec délicatesse la main d'Ashley qui tremblait tout autant que l'hispanique se mettait à trembler sous l'émotion. Ashley, Helori, June Elle... Veux tu m'épouser ? Moi, roi des cons, mais qui t'aime tout aussi purement que l'on peut aimer... ?

Ashley eut un frisson lorsqu'il lui tendit la bague avec grâce et romantisme. Cette dernière posa son regard sur l'anneau, portant sa main à la hauteur de ses lèvres.

- Oh, Dakota... Je... Ouii... Oui, oui, Dakota ! Je veux être ta femme ! Relève toi... S'il te plaît...

Il eut un léger sourire, après un long soupir de soulagement, le regard profondément amoureux. Tout semblait être redevenu comme avant. Il s'approcha d'elle, et cette dernière se jeta dans ses bras... Nous allons arrêter la pour l'instant. Ce qui va suivre est interdit au mineur.



C'était Dakota's life TV.
La meilleure chaîne au monde ! Fufu !
Benj arrive et tire Dakota par l'oreille vers la sortie.