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 ♣ Just One Thing * - El Tren de los Momentos.

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♣ Just One Thing * - El Tren de los Momentos. EmptyVen 29 Aoû - 12:06



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      ♣ Just One Thing * - El Tren de los Momentos. Sanz_310 ♣ Just One Thing * - El Tren de los Momentos. 14761110
      'RICO ALMADOVAR, CELIO ALMADOVAR.
      le texte ci dessous, les dialogues du moins,
      sont uniquement en espagnol.




      Alors qu'en Angleterre, il doit être aux alentours des 19h, au Mexique, c'est presque l'heure du repas de midi, bien qu'il doit être aux alentours des 14h. Une douce odeur de chili, avec cette subtile fragrance oranger qui s'y mêlé doucement à cause du vent qui s'engouffrait par les fenêtres ouvert, se répendait délicatement dans la maisonnet qui se situaient non loin du grand manoir Almadovar. Il fallait dire que tous les membres de cette famille semblait s'être cantonnée dans un coin du pays, et les familles Satellites, Oleivera, surtout, étaient souvent dans cette région là.


- Paaa...
- Papa !
- Non !
- Allez ! Dis le ! Paaapa !
- Non !

Enrique soupira. Il posa son gamin au sol, le regardant avec un regard des plus blasés, puis, il se retourna tout en disant :

- Et bien, va chier !
- Pas envie.

Il avait deux ans, et il ne le disait toujours pas. Ca le rendait fou. Pourquoi ? Enrique ne disait rien, ne montrant pas son énervement, bien qu'on le ressentait dans son aura. Chose que Celio parvenait à comprendre encore mieux que la parole dont il n'était habitué qu'à l'espagnol, et un peu d'anglais de par sa mère. Enrique, comme le reste de la famille Almadovar, Oleivera, ne cessait de lui parler en espagnol. C'était comme cela que leur père les avait maintenu dans la langue du pays lorsqu'ils avaient déménagé à Londres pour leur éducation dans cette meilleure école que le monde entier reconnaissait comme tel. Enrique se dirigeait doucement vers la cuisine, ouvrant le frigo pour saisir du jus de fruit. Dévissant la bouteille avant de porter le goulot au niveau de ses lèvres, il recracha le contenu de ce qu'il était entrain d'avaler devant lui lorsqu'il vit Celio apparaître dans le coin de la cuisine, le regard étrange. Son regard était malicieux, comme si il venait de faire une connerie. 'Rico se retourna doucement vers lui.

- Quoi encore ?
- Tu cris pas, hein ?
- Qu'est ce que t'as fichu encore ?
- Pas'que j'ai colorisé la table.

La faute de conjuguaison, son ton de voix qu'ont les petits gamins qui apprennent toujours à parler, il baissa le regard, et Enrique secoua la tête.

- Et alors ?
- C'est une bêtise non ?
- T'as décidé de me les briser, aujourd'hui, Celio Almadovar ?

Ce dernier baissa le regard, tandis qu'il reculait doucement, alors que son père rangeait la bouteille dans le frigo avant de passer devant lui, comme un vent soufflant fortement. Une clé jaillit du coup d'Enrique pour se mettre à voleter autours de lui. Dansant tout autours de son père, Celio la regardait doucement, les yeux remplis de rêve et de sérénité. Il porta sa petite main légèrement potelée à son cou pour saisir la clé que son père lui avait fait pour son premier anniversaire. Il arracha le fils et il se laissa tomber par terre, posant son regard sur la clé. Doucement, tout doucement, il ferma les yeux, mettant sa clé dans le creux de ses mains. Rien ne se passa. Rien, si ce n'est qu'une profonde joie l'envahit.

- CELIO ALMADOVAR ! VEN AQUI !

Enrique avait une voix dur. Celio sursauta, se relevant tout en remettant, avec l'aide de ses deux mains, la clé dans la poche de son pantalon. La joie avait laissé place à la peur, à la boule dans le ventre. Doucement ses petits pieds le menèrent doucement dans le salon. Enrique se tourna vers ce dernier au moment même où son fils passait le seuil de la porte.

- Tu me ranges, s'il te plaît, tes feutres ? Maman va pas tarder à entrer, et on va éviter de la faire crier.

Celio soupira de soulagement, avant de sourire doucement. Il s'approcha de son père qui lui ébourrifa les cheveux avant de prendre ses feutres et d'y mettre rapidement dans sa trousse. Enrique éclata de rire, alors que Celio mettait les trois quarts des feutres par terre, dans sa hâte de ranger rapidement pour pas que Maman crie. Celio éclata de rire, avant de dire :

- Ils sont vivants !
- Oui, c'est ça, oui !
- C'est pas bien de ranger.
- Ta mère est bien jolie, mais sa voix quand elle crie n'est pas terrible...

De nouveau Celio éclata de rire, alors qu'Enrique souriait, fier de sa connerie, une petite lueur attendrie dans le regard. Une fois que Celio eut rangé ses feutres, Enrique s'allongea dans le canapé, le regardant avec un petit sourire. Celio sa passa une main sur son petit torse nu, comme pour se retirer quelque chose qui était sale, puis, Enrique lui tendit ses bras, l'invitant à venir.

- Vienes ?
- Siii !

Celio, dans son petit short marron, avança rapidement, se donnant un coup dans la table.

- Ca va ?
- Bobo...
- Allez approche...

Lui passant ses mains sous les aisselles, il le leva à bout de bras, avant de l'assoir sur son torse, tandis que Celio s'allongeait de lui même posant sa tête sur le sein de son père. Le fait de sentir son fils contre lui, contre son sein, c'était toujours le même bonheur. Le petit palpitant de son fils résonnait contre sa peau, le ressentant doucement, sentant la vie qu'il avait enfanté avec Asphodèle avec douceur. Il baisa les cheveux de son fils, avant de poser doucement sa main dans le dos de son fils, le caressant machinalement. Rapidement, Enrique tomba dans un état de semi-torpeur, presque endormi, tandis que Celio se reposait doucement, refaisant du bout des doigts, le tatouage que son père avait. Une fine lueur orangé semblait suivre le doigt de Celio au fur et à mesure qu'il bougeait son doigt. La lueur ne restait que quelques secondes, avant de disparaître, comme à chaque fois, lui attirant, cependant, toute son attention.
 
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♣ Just One Thing * - El Tren de los Momentos. EmptyMer 3 Sep - 20:07



Invité
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Menoch- Je n'ai rien pu faire de mieux.

Asphodèle sourit en prenant le parchemin qu'elle lui avait remis quelques semaines plus tôt pour qu'il recueille l'approbation des anciens. Il y avait deux signatures en bas de page. L'une tracée à l'encre noire, d'une écriture fine et penchée. C'était celle de Menoch. Les lettres étaient nettes, bien distinctes. L'autre, signée de la même encre mais la main qui tenait la plume semblait beaucoup plus nerveuse et vive que celle de Menoch. Les lettres avaient les angles cassés et l'ensemble était somme toute peu appliqué voire carrément fragmenté.
Elle laissa son regard s'attarder là dessus, tentant vainement d'y lire un nom.

Lily-Je te remercie, ton aide m'est précieuse. Surtout en ce moment.
Menoch- Tu n'as pas à me remercier.
Lily- Cela ce fait.', répondit-elle courtoisement mais de sorte qu'elle l'invitait à ne pas la contredire.
Menoch- Enkil a refusé de le signer.
Lily- Je m'y attendais. Ce n'était pas correct de t'y envoyer à ma place. J'irai en personne.

Menoch sourit voyant ce qu'elle était devenue. Il était toujours curieux de la voir, de l'observer même de loin parce qu'elle était devenue pour la plupart des leur l'incarnation d'une contradiction qui ne pouvait que relever de la folie. Un vampire vivant. Et merveilleusement vivant. Elle était même capable de donner la vie simplement par amour. Finalement il s'était trompé au sujet d'Enrique. Non que le vampire eut douté de la puissance des Shamans (et encore celle d'Enrique n'avait pas de précédent), mais Menoch était d'un naturel trop romantique et mélancolique pour ne pas croire que l'Amour de sa protégée et du jeune Almadovar ne donnerait nul autre fruit qu'un tribus de larmes et de sang.

Menoch- C'est ainsi que tout chef de clan doit fonctionner. Si tu ne délègue pas un peu de tes obligations tu n'auras bientôt plus de ... vie.

Asphodèle sourit. Il était bien plus ancien qu'elle mais il continuait de lui montrer tout les signe de respect qu'on aurait donner à un chef. De plus c'était lui qui l'avait fait, et cette obédience envers elle la gênait quelque peu. C'était très différent des relations qu'elle pouvait avoir avec Changelin'.

Elle s'apprêtait à tourner les talons, ne voulant pas être en retard pour le dîner car comme il le disait lui même, elle avait une vie de famille, et elle se refusait à la faire passer au second plan. Cependant il y avait encore une chose sur laquelle elle aurait aimé les lumières du vampire:

Lily- Une dernière chose...je suppose que tu ne peux pas me dire qui c'est?

Il sourit et tourna les talons poliment. Elle observa la mystérieuse signature et transplana directement sur le pas de sa porte, continuant de marcher comme si rien ne l'avait interrompu. Comme si il n'y avait eu qu'une rue entre les quelques mille kilomètres qui la séparait de la maison où elle et Enrique avait fondé leur petite famille.
Elle sentait l'odeur du Chili et à quelques distances elle pouvait apercevoir une jeune femme à la longue chevelure lui faire signe avant de croiser les volets de la maison des beaux parents d'Asphodèle. C'était Lola, la sœur aîné d'Enrique. Elle était venu pour quelques jours avec son fils Lucas. Cela relevait du miracle parce qu'en trois ans Asphodèle ne l'avait encore jamais vu prendre de vacances.

Elle lui rendit son salut et poussa la porte de la maison qui était étrangement silencieuse. Tout doucement elle alla poser le contrat des anciens dans son bureau, dévêtissant bien vite son manteau qui l'encombrait beaucoup trop pour garder une simple robe mi-longue, qu' Enrique aimé beaucoup d'ailleurs.
Elle se dirigea dans le salon pour découvrir que ses deux hommes s'étaient tout simplement endormis sur le canapé. Le petit doigt de Celio était encore en train de tracer les tatouage de son père quand celui-ci avait du s'endormir.

Elle sourit s'approchant doucement. Celio avait le même sourire qu' Enrique quand il dormait, sa petite main potelée posée sur le torse de son père, il ouvrit un oeil allant directement chercher le regard de sa mère. Elle posa un doigt sur ses lèvres pour faire signe qu'il ne fallait pas réveiller papa.

Asphodèle s'accroupit sans faire de bruit près du canapé, posant les lèvres sur le front de son fils qui avait encore les yeux plein de sommeil. Elle eut un regard tendre pour son bel endormi que Celio ne manqua pas de remarquer:

Celio- Ayaaa...' il eut un petit rire étouffé de gamin, un de ces rires qui gazouillent, ' t'es amoureuse de paaa maman...
Lily- C'est papa, pa-pa. Allez répète après moi...'' chuchota-t-elle.

Celio la regardait avec de grands yeux scintillant de malice mais on voyait clairement qu'il était attentif à ce que sa mère lui disait quoiqu'il se contentait de mettre tous ses doigts dans sa bouche au lieu de répondre.
Asphodèle leva un sourcil parce que ces derniers temps elle ne faisait que de le reprendre pour qu'il arrête de faire ça. Le gamin la regardait avec malice, conscient qu'il faisait une autre bêtise, avant de retirer sa main de sa bouche, d'éclater de rire et de plaquer ses deux mains contre sa propre bouche avec de grands yeux.

Lily- Je crois que cette fois on t'as réveiller pour de bon mon amour,' fit-elle avec un sourire à l'intention d'Enrique, alors que leur fils arborait un large sourire.

 
 

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