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 sous un saul pleureur ( - 16 pr le moment)

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sous un saul pleureur ( - 16 pr le moment) EmptyMer 13 Aoû - 1:25



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* Apres son cour de métamorphose, qui pour être vraiment sincère n'avait absolument rien suivit, il sortit de la salle en traînant les pieds. Il avait un mal de crâne mais plus qu'abominable, cela avait commencé a repas de midi, a maint reprise il s'était touché le front il n'était absolument pas chaud, il n’avait ni mal dans ses membres et n'avait pas mal a la gorge non plus. Alors il estima que s'était un manque de repos. Pourtant l'heure de reprise des cours, l'avait complètement cassé. Il avait l'impression qu'on le martelait avec un énorme marteau piqueur. Pour passé se mal, il décida sur un coup de tête d'allé faire un petit tour au rivage du lac, l'histoire de respirer un peut d'air frais et pure. Il avait déposé ses affaires dans son dortoir comme un fantôme qui traverse un mur. Il se mit à courir dans les couloirs pour atteindre alors la grande porte. Par chance elle était ouverte il ne perdit donc pas de temps a s'arrêter, et accellera l'allure. C'est légèrement essoufflé qu'il arriva au bord du lac.

KCorentin se passa une main dans ses cheveux et fixa l'horizon d'un regard vide de toute expression. La seule chose qu'il aurait désiré à cet instant de retrouvé son animal, cela lui trottait toujours énormément dans la tête. Un scorpion ne pouvait vivre que 8 ans. Et lui il se voyait très ma en prendre un autre après que Thany soit mort. Car aucun scorpion même identique a lui ne le remplacera, s'était aussi bien inimaginable qu'improbable. Absolument rien ne remplacera Thany. Mais il devait se resoudre a ne plus le sortir de la salle commune ses jours etaient vraiment compter, le sortir, l'exposé au dehors pourrai tlui être fatal.

Dehors, au rivages du lac c'etait plus ou moins tranquille, Il faisait froid, humide, et quand on levait la tête, vers le ciel, celui était recouvert d'une légère brume. Pas un temps où l'on avait envie de sortir. Mais c'était connu et prouvé, Corentin était de nature contradictoire. Il aimait aller dehors quand il faisait mauvais temps. Même si tout le monde était dedans. Bref, on ne s'étendra pas sur ses envies et ses pensées car franchement... pas intéressant, et pas assez comprehensif pour y comprendre quelque chose.

Il tourna la tête et observa la forêt au loin, enveloppée de brume. Le danger l'avait toujours attiré d'une irrésistible manière, mais là... Là il avait quelque chose à faire, ici vers le lac. Il se pencha en avant et trempa ses doigts dans l'eau. Elle était gelée, tellement qu'elle brûlait presque. Il adorait cette sensation... Retirant sa main, il observa les légers remous à la surface. Un monstre ? Il n'y croyait guère, même si l'idée l'excitait plus qu'autre chose. Ses yeux balayèrent les alentours... Il n'y avait personne. Tant mieux. Ce qu'il comptait faire requérait une tranquillité absolue. Il s'installa bien au milieu de 2 arbres a coté du lac, il s'agissait la de 2 saul pleureur. Il avait envie de fumer, existait il du tabac autre que la pipe ici ?? Il poussa un profon soupire en regardant les branche de l'arbre tête levé vers le haut *


Dernière édition par Corentin Boyd le Dim 7 Sep - 3:20, édité 1 fois
 
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    Depuis l'attaque de ces enfoirés de mangemorts, la vie au château s'était largement dégradée. Rares étaient les moment où les élèves pouvaient se détendre sans crainte de se faire prendre pour telle ou telle raison, souvent dérisoire, et subir diverses tortures. Zahikel avait par miracle réussi à échapper à ces séances jusqu'à maintenant, mais ses amis Astaroth et Raziel n'avaient pas eu cette chance. Les sentiments de culpabilité, pour n'avoir pu les défendre, de haine, contre ceux qui les avaient torturés, de peur, que cela se reproduise, se mêlaient dans son esprit. Le joli sourire qui ornait généralement ses lèvres n'était pas réapparut depuis cette fameuse attaque, excepté lorsqu'Astaroth avait repris conscience après son coma. La peur se lisait parfois dans son regard, non pas la peur d'être attaqué par ces mangemorts, mais la peur qu'il arrive quelque chose à Astaroth, Raziel, ou Ashley, une de ses meilleures amies, ou d'autres encore. En fait il avait peur pour chacun de ses amis, surtout parce qu'il se savait incapable de les protéger. Il en était de même pour sa petite soeur, Kirieh, en première année, adorable gamine mais intrépide, Zahikel se doutait qu'elle allait sûrement facilement provoquer ces satanés mages noirs tant elle avait des réactions imprévisibles.

    Cet après-midi là, les cours étaient enfin terminés, mais Astaroth et Raziel avaient encore disparu. Avaient-ils simplement trouvé un petit coin agréable pour s'éclipser ? S'étaient-ils encore faits chopper par ces enfoirés ? Zahikel les chercha dans toute l'école, la panique commençait à l'envahir. Et si il leur était arrivé quelque chose de grave cette fois ? Nan il ne fallait pas qu'il pense ça sinon il allait paniquer encore plus, ils devaient simplement passer un bon moment tous les deux, à flâner et à discuter comme ils en avaient l'habitude. Après un tour à son dortoir pour laisser sa robe de sorcier et revêtir un t-shirt rayé de grandes bandes noires et blanches ainsi qu'un pantalon noir et une veste noire, tous deux ornés de diverses chaînes et boutons en argent, il ne put tout de même s'empêcher de les chercher et se mit à courir dans les couloirs, regardant par toutes les portes ouvertes, dans tous les coins qu'il connaissait, il ne les trouva pas.


    Mangemort – Hey il est interdit de courir dans les couloirs !!!

    Pfiouf... Zahikel avait tout juste eu le temps de se planquer derrière une haute statue avant que le mangemort ne le choppe. Il attendit alors que la voie soit libre pour sortir de sa cachette, mais cette atmosphère malsaine l'étouffait, il avait besoin d'air, besoin de se retrouver au calme, loin de la tumulte. Le temps dehors n'encourageait pas à sortir, mais cet endroit, leur endroit préféré, sous les saules pleureurs au fond du parc, près du lac, était le seul endroit qu'il connaissait ou il était sûr de retrouver cette quiétude. Personne à par Astaroth, Raziel et lui, à sa connaissance, n'allait à cet endroit, c'était un peu comme leur sanctuaire. Le blondinet parcourra donc rapidement mais discrètement la distance qui le séparait de la grande porte donnant sur le parc. Bien, personne ne le remarqua. Comme il s'y était attendu, le temps gris et froid avait découragé les quelques élèves qui avaient tenté de mettre le nez dehors. Zahikel frissonna mais ne renonça pas et pris le chemin de ce groupement de Saules pleureurs un peu plus loin. Loin de tout, ces arbres, au nombre de six et formant une étrange figure, présentaient une planque idéale pour qui voulait passer un moment agréable dans être vu. Les branches allant jusqu'à par terre offraient un rideau naturel coupant cet espace du reste du monde.

    Arrivé près des arbres, un regard circulaire lui indiqua que personne n'était à l'horizon. Le jeune serdaigle se faufila alors à travers les branches et se laissa tomber contre le tronc du saule le plus proche, légèrement essoufflé. Tendant l'oreille, il n'entendit aucun bruit, Astaroth et Raziel n'étaient donc pas là... Où pouvaient-ils être ? Il ne remarqua pas non plus l'autre élève assis entre les arbres, à quelques mètres de lui, probablement se serait-il enfui s'il l'avait vu et reconnu... Mais il ne l'avait pas remarqué. Poussant un soupir, Zahikel se cala bien le dos contre l'arbre et ferma les yeux, laissant sa tête posée elle aussi contre l'écorce. Le doux son apaisant du chant du vent calma ce sentiment de panique qui s'était emparé de lui, dû au fait de n'avoir pas retrouvé ses amis.
 
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* S'était dans des moment comme celui la que corentin faisait attentivement attention a se qu'il entourait. Certes les yeux fermé il ne voyait absolument rien, mais il était très attentif au bruit qui l'entourait. Le moindre bruit a proximité de lui, il l'entendait encore plus que parfaitement bien. Tout ce qu'il l'entourait que le bruit soit fort ou léger, il pouvait entendre. Du craquement de branche entre les 2 arbres où il était, que le bruit que faisaient les quelques courageux poissons qui sautaient a la surface de l'eau pour se laisser retombé dans celle ci. Au moindre plus petit bruissement d'herbe. En pleine méditation tous ses sens étaient ouvert a l'extérieur; Cependant celui qu travailler le plus et en outre le mieux était son ouie, depuis tout petit il avait eu un certain qu'était d'avoir l'ouie très fine, il pouvait entendre des sons que parfois les gens même ne pouvaient pas percevoir, enfin du moins n'y faisait aucune attention. En faite il avait juste eu un peu de chance, car l'être humain composé de 5 sens en avait un plus développé que les autres. Chez Corentin il s'agissait de l’ouie. De plus lors des petites attaques effectué par son père au temple, afin de le faire utilisé les 3 sorts qu'il avait appris la bas pour sa propre défense, l'utilisation de l'ouie était plus que primordiale. Cela permettait de detecter sans aucune difficulté apparente si quelqu'un se rapprochait ou non, l'ouie était comme un petit système d'alarme, qui déclenchait un état d'alerte dans le corps humain quand un bruit suspect parvenait aux oreilles.

Autrement dit la il en entendit un, s'était un bruissement d'herbe, puis après quelque secondes écoulées, c'est un léger soufflement qu'il entendit, mais vraiment très léger. Encore plus inaudible qu'une expiration. Il ouvrit alors d'une traite les yeux. Se pupille était toute dilatée, mais avec la lumière du jours, celle ce reprirent une taille a peut près normal. Il inspira un bon coup, tout en gardant sa positions actuelle pour évité d'affolé la personne qui a présennnnnt avait changé de place. Il se passa la langue sur les lèvres, et fini par se levé. D'un pas assez lent il se leva et fit le tour de l'arbre en frolant l'ecorce du bout de ses doigts. C'est alors que ses yeux croisèrent les cheveux blond d'un eleve, il fit le tour du 2 eme arbres pou voir s'il connaissait l'élève. Et en effet une fois son visage dans sa ligne de mire il le reconnu sans aucune difficulté, un sourire au levre il se demandait ce que Zahikel pouvait bien faire dehor.... Il se rapprocha lentement de lui puis se posta devans les bras croisé sur le torse *

La discrétion n'a pas l'air d'être ton maître mot
* dit il sur un ton a la fois sec et assez tranchant. Il venait d'arquer legerement un sourcil toujours cette immonde sourire qui lui colle aux lèvres. IIIl se baissa pour etre a la meme auteur que le rat vollant * Comment vas raziel? et les bras de ce tres chere astaroth? lui pese t'il encore une tonne??? d'ailleurs il etait un peu pathetique a voir au cimetierre, dommage que tu n'e saps été la.... Ca aurait été hummm plus marrant
 
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    Les yeux fermés, Zahikel se laissait bercer par le vent. Le chant du vent était une douce musique aux sonorités apaisantes. Ces notes légères, associées au silence régnant était le meilleur médicament pour se vider l'esprit de tous les tracas qui l'embrumaient. Enfin il commençait à se libérer de cette peur pour Astaroth et Raziel, enfin la panique qu'il ressentait commençait à s'estomper, enfin son esprit recommençait à s'envoler, à visiter des contrées que seul lui pouvait connaître, voire même imaginer. Un très léger bruit d'herbe piétinée ne parvint même pas à le déconnecter de cette vision de son monde imaginaire dans lequel son esprit se ressourçait. Le ton sec et tranchant d'une voix le fit soudain redescendre sur Terre.

    Corentin - La discrétion n'a pas l'air d'être ton maître mot

    Ouvrant les yeux brusquement, il ne reconnut pas de suite la personne placée devant lui à contre jour. La lumière venant du soleil voilé faisait comme une aura autour de cette personne à travers les feuilles. Le visage fin et agréable, la silhouette androgyne, une aura le cernant, cet être avait tout d'une vision angélique. Un ange descendu sur Terre. Mais pourquoi un ange parlerait-il de ce ton si sec, si tranchant ? Lorsque cet être se baissa pour être à son niveau, Zahikel reconnut sans difficulté, mais non sans horreur, Corentin. Ce serpentard sadique qui avait déclamé depuis longtemps qu'il en ferait son quatre heure. Il avait eu vent de plusieurs de ses exploits avec d'autres garçons qu'il avait aimé faire souffrir. Zahikel avait toujours réussi à lui échapper, à ne jamais se retrouver seul avec lui... Pourquoi avait-il fallu qu'il se trouve ici ? Dans leur sanctuaire ?

    Le reconnaissant, Zahikel eut un mouvement de recul, bien qu'il soit impossible de reculer lorsqu'on se trouve le dos collé au tronc d'un arbre. D'un regard circulaire, le serdaigle chercha un moyen de s'enfuir, de quitter cet endroit où cet infâme créature se trouvait. Malheureusement il ne trouva aucune échappatoire. Ce fut alors que Corentin se remit à parler...


    Corentin - Comment va Raziel? et les bras de ce très cher Astaroth? lui pèsent-ils encore une tonne??? d'ailleurs il était un peu pathétique a voir au cimetière, dommage que tu n'aies pas été la.... Ca aurait été hummm plus marrant

    Hein ? De quoi parle-t-il ? Pourquoi parle-t-il de Raziel et Astaroth ? Que s'était-il passé ? Quel cimetière ? Qu'avait-il fait à Astaroth ? Un sentiment de peur s'insinuait en lui mais sa voix se voulait dure, comme un ton de défi.

    Zah – De quoi tu parles ? Tu leur as fait quoi ???

    Malgré la peur qui s'emparait peu à peu de lui, il fixa le serpentard sans ciller, un regard froid et noir.
 
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Enfin devant lui, ça fait pas mal de temps qu’il voulait un petit tête à tête avec la petite tête blonde. Mais c’était assez dur, toujours avec Astaroth, et Raziel pas le moyen d’être seul avec lui tranquille. Et aujourd’hui, un jour qui semblait aussi ennuyant et banal que le précèdent voila qu’il s’offre a lui comme une fleure. Corentin lui tourne autour comme une guêpe autour d’une fleur gorgée de pollen jusqu'à ce qui se pose devant lui et a sa hauteur. Le regard du blondinet semble perdu dans le vague il détail le serpentard de bas en haut puis son regard se bloque sur le visage de Corentin un sourire mauvais se dessine sur ses lèvre en vu de sa réaction il l’a enfin reconnu. Qu’est ce qui a bien pu lui passé par la tête un cour instant. Il lui en a fallu du temps pour avoir un léger geste de recule, ralentit par l’arbre malheureusement vu qu’il était d’hors et déjà adossé a celui-ci. Corentin ne put s’empêcher d’éclater de rire, un rire si froid… Mais c’était tellement drôle le voir bouger ses yeux dans tous les sens limite stressé, on dirait une sourit piègé qui cherche par tous les moyens un échappatoire. Mais peut on vraiment s’échapper des mains du serpentard ?
Sachant qu’ils sont ses meilleurs ami il n’hésite pas a relaté quelques récent événement qui se sont passé il faut croire qu’il n’est pas au courrant du a tant d’interrogation en une seul phrase :
« - Zah – De quoi tu parles ? Tu leur as fait quoi ??? »
C’est tellement attendrissant de l’entendre s’inquiété pour ses amis et cette manière qu’il a de le regardé dans les yeux. Il a peur Corentin le sent, mai sil ne veut pas baissé les yeux, juste par fierté… Le serpentard l’empoigne par la gorge en penchant la tête légèrement sur le coté toujours cet immonde sourire collé aux lèvres puis le jeta sans aucune grâce par terre. Zahikel se trouve allongé par terre avant qu’il est pu se redressé Corentin s’asseya sur lui, sur ses cuisses en lui plaquant les mains au dessus de la tête contre le sol. *

Tu veux vraiment savoir ce que je lui est fait ??? * des poignets, les mains de Corentin glissèrent lentement le long des bras de zahikel et s’arrêtèrent sur le coté des clavicules et appuya dessus violement. Puis il se redressa en restant assis sur les cuisse du serdaigle, il n’avait pas arrêté de sourire, comment le pourrait il alors qu’il s’amuse comme un fou * Je lui est bloqué l’articulation des bras comme je vient de te faire j’ai défié raziel de le débloquer… Mais il a perdu. * il se mis a effleuré chaque partit du corps de zah’ qui comprenait un points pression plus ou moins fatal du bout des doigts * et je connais d’autres points que font mal… * Ses mains glissèrent le long des reins du blondinet et se baissa et caressa les lèvres de celui-ci avec le bout sa langue avant de lui appuyé a le point qui permet de lui débloqué les bras, puis il lui pausa son index sur la bouche de zah’* ne me repousse pas, ça m’embèterait de devoir…* il sortit sa baguette et la posa sur sa joue* abîmer ce jolie visage * il posa sa baguette juste a coté* laisse moi te découvrir avant de t’abîmer…
 
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    Dire que ce moment avait bien commencé, Zahikel seul, avec la nature, le chant du vent et le rythme lent et sauvage de Terre Mère, dans son endroit de prédilection. Quoi de mieux qu'un tel moment de communion avec soi-même sous le regard des éléments ? Tout aurait pu être idéal s'il n'y avait pas eu... la petite vipère qui se tenait à présent juste devant lui, à quelques dizaines de centimètres. Le sourire mauvais, sadique, du serpentard ne laissait présager rien de bon. Malgré un petit mouvement de recul, dû également à la surprise, mélangé à la peur qu'il lui inspirait, Zahikel essaya de garder une certaine constance en le fixant sans détourner le regard, un air noir dans ses yeux mauves. Le rire froid du serpentard ne l'aidait pas à garder cette expression de défi, mais il fallait qu'il tienne bon.

    Lorsqu'il évoqua Astaroth et Raziel, Zahikel marqua sa surprise par une question. Comment se faisait-il que ses amis ne lui aient rien dit de ce qu'il s'était passé dans ce fameux cimetière ? Et quel cimetière d'abord ? Hésitant entre l'inquiétude de savoir ce qu'avaient dû subir ses amis et la contrariété d'avoir été laissé hors de la confidence, Zahikel continuait de fixer le serpentard au visage d'ange mais au sourire de démon. Soudain Corentin l'empoigne par la gorge, Zahikel saisit cette main pour essayer de la repousser, mais en vain.


    Zah – Lâche moi !!!

    Pour le lâcher, le serpentard l'avait lâché, mais en le balançant par terre. Il en a une de ces forces malgré son physique frêle ce bougre... Le serdaigle se retrouve allongé par terre au pied de l'arbre. Hey il lui prend quoi à lui là ? Le bleu et bronze essaya de se relever mais avant qu'il ait pu faire un mouvement, il se retrouva avec une masse que les cuisse, il s'agissait en fait de Corentin. Aussitôt, Zahikel se retrouva les bras plaqués au sol au dessus de sa tête, maintenus par les mains du Serpentard. Lâchant une expression de surprise, il écarquilla les yeux en tentant de se défaire de cette étreinte. Rapide cette vipère.

    Zah – Lâche moi !!!
    Corentin - Tu veux vraiment savoir ce que je lui ai fait ???

    Zahikel ne répondit pas mais essaya de se dégager encore. Les mains de Corentin descendaient le long des bras du serdaigle qui voyait d'une mauvaise augure ce contact. Au moment où Zahikel sentit les mains de Corentin au niveau de ses épaules, il fit un mouvement pour le repousser, mais avant qu'il ait pu finir ce mouvement, le serpentard lui avait coincé les articulation des bras en lui explosant les points situés juste à côté des clavicules. Il ne put réprimer un cri, la douleur se diffusa comme une vague en lui, mais le pire était qu'il ne pouvait plus bouger les bras. C'était quoi ce truc ? Comment il avait fait ?

    Corentin - Je lui est bloqué l’articulation des bras comme je vient de te faire j’ai défié Raziel de le débloquer… Mais il a perdu.
    Zah – Qu'est-ce tu m'as fait ?

    Ne pouvant bouger ses bras, ni se dégager de ce psychopathe, Zahikel se sentait comme pris au piège, comme une souris aux prises avec un laborantin fou. Les mains de Corentin effleurèrent son corps, lui provoquant bon nombre de frissons, bien moins agréables que ceux qu'il avait ressentis avec Astaroth, il faut bien le dire, c'était plutôt des frissons de peur.

    Corentin - Et je connais d’autres points qui font mal…

    Chose étonnante, Zahikel ne doutait pas que cette dernière affirmation était réelle. Sentant les mains du serpentard descendre sur ses reins, le serdaigle détourna la tête en fermant les yeux, il se sentait vraiment mal à l'aise avec ce serpy assis sur lui et ainsi piégé. Au bout de quelques instants, très brefs mais semblant durer une éternité, Zahikel tourna à nouveau la tête pour fixer son regard mauve sur Corentin, ce fut ce moment que choisit celui-ci pour se baisser sur lui et lui caresser les lèvres avec sa langue. Vu de près il était encore plus mignon, parfaitement dans les goûts de Zahikel, sur le moment il hésita entre une envie de l'embrasser ou de lui arracher la langue avec les dents, mais il n'en fit rien.

    Enfin ses bras furent libérés mais encore tout engourdis. D'un geste rapide, il saisit les épaules du serpentard, voulant le repousser, mais celui-ci mit un doigt sur les lèvres de Zah, l'invitant à renoncer.


    Corentin - Ne me repousse pas, ça m'embêterait de devoir… Abîmer ce joli visage

    Sentant le bout de la baguette sur sa joue, Zahikel stoppa son geste et se figea. D'une voix agressive, pour masquer la peur qui l'envahissait, il reprit alors.

    Zah – Qu'est-ce tu me veux ?
    Corentin - Laisse moi te découvrir avant de t’abîmer…

    La phrase qui fait froid dans le dos... Des sensations étranges envahissaient le serdaigle, d'une part le charme androgyne de Corentin l'attirait, d'autre part cet être le terrifiait. Toujours est-il que son rythme cardiaque commençait à s'accélérer et qu'il était tétanisé, fixant le serpy d'un regard où se mêlaient tant d'expressions qu'il était difficile de le déchiffrer.
 
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* toutes les bonnes choses ont forcement une fin, on ne reste pas dans le calme et la sérénité éternellement surtout avec Corentin pas très loin dans les parages. Tout aurait du être parfait mais pourtant un élément perturbateur a tout fichu en l’air a tout chamboulé en faisant de cette banal journée une première journée en enfer. Son visage si fin est si sexy, et encore mieux quand il est en colère ou quand il a peur… Et pour aujourd’hui Corentin était la pour lui faire naître cette peur. Oui il n’est pas très apprécier ici mis a part de ceux qui a peu près la même vision de la vie que lui… Dans la tête d’autre personne ce n’était qu’un glaçon sans cœur, Joël avait raison il n’avait pas de cœur. C’était un taré, tordu voila qui pourrais bien le définir et d’ailleurs sil fait tout pour ne jamais démontré le contraire fière de ces atouts qui font de lui ce qu’il est dans la même optique que ses défauts, personnes ne peux l’éviter indéfiniment il fini toujours par avoir qui il veut et ce qu’il veut… Par méchanceté il n’hésite pas a relaté quelques uns de ses exploit vis-à-vis du corps de son meilleur ami. Mais de toute façon celui le plus a blâmer était astaroth lui-même qu’elle idée d’invité Corentin a un jeu tordu comme celui de donné n’importe quel défi. Corentin n’avait que suivi les règle du jeu il avait donné un défi insurmontable a raziel… C’est pour ça que les bras de ce pauvres astaroth on que très légèrement souffert de mon passage sur lui. Mais si on lui demandait il pourrait très facilement ce faire pardonné, peut être pas si facilement que ça mais il serait comment s’y prendre. Le voila encore et toujours dans la position de dominant, sur le pauvre zahikel a blablater sur ses pseudos exploits sur le corps des autres. Enfin non pas des autres que ceux dont zahikel est proche il y a du plaisir dans la douleur… ou peut être que c’est dans un autre style de douleur qu’on a du plaisir, peut importe…

Il aime cette place, il aime sentir cette peur qui envahit peu a peu le lac, Le rat volant doit ce demandé ce que le serpentard va lui faire, et bien juste lui faire découvrir les joies d’avoir un cerveau aussi tordu que le sien… Autrement dit juste lui montré la joie des points de pression, autant lui faire découvrir ce qu’a subit pendant une poignée de seconde son meilleur ami… Il a bloqué quelque micro seconde les bras de son compagnon de jeu du soir, suffisamment longtemps pour qu’il se demande ce qui lui arrive. Un magicien ne dévoile jamais ses secrets, ça fait mal, c’est désagréable ? Tout ça il le savait déjà, l’infligé aux autres étaient tellement drôle, leur tête est pire que si on leur disait qu’ils allaient mourir… Parce quand on va mourir on sais que c’est la fin, la on est bloqué sans pouvoir faire quelque chose, la panique surpasse tout le taux d’adrénaline est emplement dépassé, la peur vaincra la mort parce qu’elle est plus destructrice… La entre ses bras beaucoup vont défaillir aussi bien de la bonne manière que de la mauvaise, et la zahikel fait partit de ceux parmi tant d’autre qui tante l’expérience… Ayè le serpent c’est assez amusé il la vite débloqué pour passé aux chose sérieuse. Il ne s’agissait que de petites préliminaires…

Corentin se redressa, tout en restant assis sur le bas ventre du blondinet. Il donna quelques petits coups de bassin d’une manière plutôt douce comme pour mimer l’acter en lui-même, puis il se mit sensuellement a onduler du bassin comme pour essayer de l’exciter, mais avait il vraiment besoin de toute cette mise en scène pour l’exciter ? Il fait glisser ses main le long du torse et les arrêta au milieu, il s’empara de sa baguette et a l'aide du sort diffindo il dechira le t shirt, dont les lambeaux tomberent de part et d'autre du corps de l'androgyne. Passant la pointes de ses ongles sur la douce peau d’un blanc laiteux du serdaigle. Il utilisa une 2 eme fois sa baguette pour la meme chose, mais cette fois a meme la peau, avec sa main de libre il pris les poignets du serdaigle, et a l’aide d’un sort informulé, de diffindo encore une fois, il griffa la torse de son camarade. Du sang coula lentement de la plaie fraîchement faite, est ce que ça fait mal ? Il ne pu s’empêché de sourire. Puis Doucement il se baisse, fait glisser sa langue sur toute la longueur du torse de la plaie qu’il venait de lui prodigué, recueillant du sang a son sillage. Glissant son torse contre celui de zah’ toujours en faisant glisser sa langue sur la plaie, il s’arrêta une fois arrivée en haut… Sa langue immaculée de son propre sang glissa une dernière fois sur les lèvres du blondinet.*

Embrasse moi
 
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    Etre coincé là, à la merci du serpentard, dans l'impossibilité de même seulement se défendre, remémora au jeune Serdaigle quelques souvenirs douloureux, notamment cette soirée de festival, l'année de ses neuf ans, pendant laquelle il s'était retrouvé ainsi à la merci de sales mioches voulant imposer leur loi. Zahikel avait grandit entouré de musique, de douceur et de chaleur, aussi quand la petite bande le prit à partie et commencèrent à le frapper, il ne sut comment réagir, il ne connaissait pas la violence et la trouvait inutile, il valait bien mieux de parler pour régler les conflits qui auraient pu exister. Malheureusement pour lui, les autres ne l'entendaient pas ainsi, ils ne connaissaient que la loi du plus fort, et s'en prendre aux faibles étaient leur mot d'ordre pour montré leur puissance. Zahikel n'avait pu échapper à leur griffes, et à cinq contre un, ils avaient failli le tuer à force de le frapper, heureusement que son ange gardien était intervenu à ce moment là... Raziel... Le plus protecteur de tous les anges gardiens. Il s'en était sorti avec plusieurs côtes brisées, un bras et une jambe également cassés, le corps couvert d'écymozes, mais heureusement tout ceci avait guéri rapidement sans séquelles durables... Si ce n'était ce souvenir.

    Ce fut suite à cet épisode que Zahikel était devenu plus fermé, un peu moins souriant, plus timide... Jusqu'à ce qu'il retrouve Raziel, puis plus tard Astaroth, et qu'avec eux il retrouve ce goût de rire et laisse tomber cette timidité envers les gens. Mais en ce jour, ce contact avec Corentin, cette soumission qui lui était imposée, lui rappelait ce jour. Les mains toujours posées sur le épaules du serpentard, le serdaigle détourna la tête en fermant les yeux, attendant probablement le moment où le coup allait lui être asséné. Il essaya de se dégager, mais le serpentard le coinçait bien, impossible de se faufiler.

    Le poids sur ses mains disparut, Corentin venait de se redresser. Instinctivement les bras du jeune homme vinrent former comme une sorte d'écran devant sa tête pour parer un éventuel coup, qui n'arriva pas. Étonné, il sentit alors le serpentard donner quelques coups de bassin, plutôt doux, pourquoi ? Les bras de Zahikel s'écartèrent, et son regard se posa sur cet androgyne qui mimait parfaitement bien l'acte par ses coups de bassin. Le sentir bouger ainsi sur lui procura au serdaigle une vague de frissons bizarres. Etait-ce de l'excitation ? Etait-ce de la peur ? Etait-ce un mélange des deux? Etait-ce autre chose? Il n'aurait pu le définir lui même. Voilà alors le serpentard qui se mit à onduler sensuellement le bassin, vision de rêve dont le blondinet eut du mal à en détacher le regard un bon moment. Pourquoi ce contact et ce léger frottement lui procuraient tant de frissons alors que cet être le terrifiait ?

    Les mains du serpentard remontèrent alors le long de son torse, une décharge électrique lui parcourra la colonne vertébrale alors qu'il se cambra vers l'arrière, rentrant son ventre comme pour se soustraire à ce contact. Comme auparavant deux sentiments distincts se livraient bataille dans l'esprit et le subconscient de Zahikel. L'envie et l'excitation ou le dégoût et la terreur ? Lesquels allaient l'emporter ? Les mains s'arrêtèrent à mi hauteur. Pourquoi ? Que se passait-il ? Zahikel le regarda avec horreur prendre sa baguette et la pointer vers son torse... Nan mais hey ho... Fais pas n'import nawak hein ? Le blondinet eut un mouvement de recul, essayant de se dégager, et le sort lancé découpa son T-shirt préféré qui tomba en lambeaux. Grrr... satané Serpy nameo mon t-shirt préféré en plus nameo offert par mon Astachou adoré pour mon anniv en plus nameo Tssss !!! Laughing

    Le beau t-shirt tombé en lambeaux, le blondinet se retrouva avec les ongles du serpentard glissant sur sa peau. Ce contact quelque peu inattendu le fit sursauter et frissonner. Voyant la baguette se diriger une nouvelle fois vers son torse, Zahikel attrapa la main de Corentin comme pour l'empêcher de jeter le moindre sort. Malheureusement pour lui, le serpentard fut plus rapide et l'immobilisa une nouvelle fois en lui attrapant les poignets. Biensûr Zahikel aurait certainement pu se soustraire de cette immobilisation s'il s'en était donné les moyens, Corentin n'étant guère plus lourd qu'un fétu de paille, mais allez savoir pourquoi, tous ses efforts pour se dégager étaient vains. Y avait-il autour d'eux une force mystérieuse qui le privaient de ses forces ? Etait-ce le trouble dans ses émotions présentes qui l'empêchait de le repousser ? Que se passait-il vraiment ? That is the question...

    Les poignets immobilisés, incapable de bouger, le serdaigle ferma les yeux, s'attendant au pire qui se faisait attendre. Il n'entendit aucun son, aucune formule, mais une cuisante douleur, partant de son torse et se répandant jusqu'au plus profond de son être, lui fit échapper un cri de douleur. Cette sensation, comme si on lui avait tranché la peau avec un couteau, faisait encore plus mal, selon ses souvenirs, que ces coups qu'il avait reçu. Le petit serdaigle essaya une nouvelle fois de se soustraire de cette emprise qu'avait Corentin sur lui, se débattant plus, essayant de lui faire lâcher prise au niveau de ses poignets, mais c'est qu'il a une sacré poigne le bougre >_< . Il laissa échapper malgré lui quelques gémissements plaintif et marmonna quelque chose de difficilement compréhensible, il était même peu probable que Corentin l'ait réellement entendu ou compris.


    Zah – Ne m'approche pas espèce de malade...

    Le contact de la langue de Corentin sur sa plaie eut comme un effet calmant sur la douleur et lui procura un frisson incontrôlé, le faisant même sursauter. Ce geste, à la fois sensuel et gore, le troublait. Le rythme des battements de son coeur s'accélérèrent lorsqu'il sentit Corentin glisser sur lui, il se mordilla alors les lèvres pour empêcher un quelconque son de les franchir. Le regard mauve se posa sur l'androgyne alors que leur visage n'étaient qu'à quelques centimètres l'un de l'autre. Cette langue lui caressant les lèvres, maculée de son propre sang, le troublait de plus en plus, comme s'il était géné de ressentir autre chose que de la terreur à ce moment précis.

    Corentin – Embrasse moi

    Le temps qui suivit cette demande sembla durer une éternité infiniment courte. N'ayant plus aucune notion du temps, pour le jeune serdaigle les secondes s'écoulaient plus lentement que les heures, mais paradoxalement les minutes et les heures semblaient elles filer plus vite que les secondes. Bref, tout ça pour dire que le pauvre petit Zahinou était totalement perdu. Cette demande si inattendue avait été le plus efficace de tout pour le calmer dans ses tentatives d'évasion face à ce serpentard, il restait à présent immobile, à le regarder d'un air surpris.

    Quelques goûtes de sang coulèrent sur ses lèvres, puis au bout de quelques secondes/minutes (bah wé quoi il a plus aucune notion du temps), le blondinet répondit à la demande du serpentard en l'embrassant. Le goût métallique du sang dans ce baiser était une sensation inconnue pour le jeune homme. La langue de Zahikel vint titiller celle de Corentin puis ses lèvres. Une idée germa dans son esprit, pas question que ce serpentard s'en sorte sans rien, il lui mordit alors la lèvres jusqu'au sang, tout en continuant le baiser, ainsi leur deux sang étaient mélangés, il sembla à zahikel que celui de Corentin avait un goût légèrement différent du sien.
 
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sous un saul pleureur ( - 16 pr le moment) EmptyJeu 4 Sep - 12:32



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* Avoir la sensation d’être un faible, un moins que rien n’avais aussi loin qu’il s’en souvienne dans sa jeunesse jamais été un problème ou tout du moins son cas. Il jouait déjà les dominants avec son frère, puis a ses 6 ans quand il a eu Thany il faisait peur a tout le monde en les menacent de les faire piquer. Corentin a toujours été une peste a proprement parlé. Il savait toujours toucher la ou ça faisait le plus mal, de plus son père n’était pas une personne des plus inconnu, tout le monde le connaissait dans le village, s’il était craint c’était aussi a cause de cela. Un prêtre même sans pouvoir est très puissant, les incantations que l’on apprend là bas peuvent même dépasser la vraie magie. Corentin était le chouchou du père, il était rentré dans ses bonnes grâces alors que Joël, oui son jumeau avait choisi la voix de la faiblesse en choisissant le coté pacifiste de la chose. Pourtant il ne faut pas croire que Corentin n’était pas proche de sa mère, bien au contraire c’ets parce qu’il l’admire qu’il veut a son tour devenir un grand medicomage. Tout le monde pensait que Joël suivrait le chemin de la mère et Corentin celui de son père. Hors on peut voir que la préférence des parents ne joue pas forcement dans l’orientation. Dans la famille il y aura un soigneur d’animaux et un medicomage. Son père serait il fière de sa voix ? Lui qui espérait une descendance au temple… Est-ce que son père serait content de voir ce qu’il est devenu ? Heureusement que tout ce qu’on dit sur Corentin ne sort pas des 4 murs de ce château, heureusement que Joël à la maison garde tout ça pour lui. Papa ne serait pas content de voir son fils devenir… Enfin plutôt considéré comme une salope, une traîné, une garce, allumeuse voir pire…

Mais arrêtons la, il n’ets pas en inde, il s’en fou de ce qu’on pense de lui, la il est avec son petit blondinet, il veut s’amuser et passer une bonne soirée. Il sentait le serdaigle se crisper sous ses mains… quoi il n’allait pas se plaindre en plus, il venait de lui prodiguer un geste des plus doux et on aurait dit qu’il révulsait de contacte en rentrant le ventre. Pour une fois qu’il n’utilise pas son savoir à mauvais escient faut limite qu’il se fasse repousser. Ca n’allait pas du tout ça. Si c’ets dans le sang qu’il veut finirent et bien c’ets la ou nous arriverons. Avec sa baguette il coupa le haut de son compagnon, c’est toujours mieux quand sa saigne, préparant d’abord le terrain savoir quel coté de la peau serait la plus tendre a coupé, Corentin avait passé doucement ses ongles de part et d’autre du torse de Zahikel, il le sentit sursauté en dessous de lui, et il avait bien raison de sursauter. Pointant sa baguette le serdaigle ne mis pas long feu a réagir en retenant ses mains. Non non ce n’est pas comme ça qu’on joue avec corentin. Il lui substitua a nouveau les poignets et cette fois lui coupa la peau, pour faire apparaître ce sang si excitant, cette élixir de vu si rouge. Il le sentait se débattre mais comment se défendre quoi on a quelqu’un sur vos genoux qui vous maintient les poignet ? Normalement le faire basculer sur le coté mais encore faut il y penser… Absorber par ses faits et geste sil n’avait pas entendu le serdaigle dire cette phrase si dégradante mais pourtant si vraie…

Devant le visage de son blondinet il avait sollicité de lui un baisé, passant sans cesse le bout de sa langue sur les lèvres du serdaigle jusqu'à ce qui finisse par lui autorisé l’entrée… a peine sentit il la bouche de zahikel s’ouvrir que sa langue se faufila a l'intérieur pour se scellé a la sienne, il lui donna un baisé des plus doux, des plus langoureux, jusqu'à se qu’il sentit le rat volant lui mordre la lèvre jusqu’au sang. Il aspiré une grand bouffé d’air par le nez, butin ça mord ces choses la… Leur de sang était mélangé, il hésitait a le frapper ou a continué mais au points ou il en était le frapper pour si peut était un peu abuser, et puis ce n’est pas la première fois qu’on lui mord la lèvre jusqu’au sang lors d’un baisé. Puis doucement il se décolla rompant tout contacte entre le lèvres, il téta sa lèvre inférieur pour aspirer le sang qui menaçait de coulé et tacher davantage le blondinet. *

Quand tu mord, tu fait pas semblant butin… * puis il lui appuya sur la plaie * disons que maintenant nous somme quitte, tu saignes je saigne * il glissa ses lèvres a nouveau sur celle de zahikel en y déposant un léger kiss tout en enlevant la ceinture que celui-ci avait a la taille. Son bouton également fut enlevé avec habilité avec seulement le pouce et l’index. A nouveau il se décolla glissant son doigt sur les lèvres de son compagnon *
Ne bouge pas, laisse toi faire
* Il se baissa lentement retraçant avec sa langue la ligne qu’il avait faite avec sa baguette sur le torse du serdaigle, pendant que sa maint caressait au dessus du tissu la virilité du blond. Bizarrement elle était légèrement durcit est ce qu’il avait réussi a l’excité ? Ou c’ets parce qu’il bandait vite fait pour rien ?? Arrivé au nombril il rentra, puis sortit sa langue, une de ses main bien plus aventureuse sortit le sexe du serdaigle. Le bout de sa langue, vint titillé le bout du gland de zahikel, puis il fit glisser la bille de son piercing le long de sa verge, après quelque coup de langue, il revint vers le haut, il pris juste le gland en bouche qu’il suçait comme une glace alors que ça main allait et venait sur la verge du blondinet. *
 
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    Zahikel était totalement décontenancé par l’attitude du serpentard. Il lui connaissait la réputation de pervers sadique aimant faire mal à ses proies, un être sans cœur, sans le moindre sentiment, sans la moindre émotion… Avait-il seulement une conscience ? Cet être qui le terrifiait depuis le jour où il avait fait courir la rumeur qu’il voulait s’amuser avec lui, en faire sa parfaite petite victime… Combien de fois les serpentards qui le croisaient rigolaient en lui espérant de ne pas croiser Corentin seul, ou qu’ils aimeraient justement être là au moment où les deux se rencontreraient, juste pour profiter de ce spectacle si distrayant ? Tant de fois que le blondinet ne saurait les compter. Il avait depuis constamment cherché à l’éviter, ou de ne le croiser qu’en présence de Raziel ou Astaroth, redoutant ce jour où, par malheur, il se retrouverait seul avec lui… Et ce jour était arrivé… Il avait été tellement choqué de cette apparition terrifiante dans ce lieu qui était leur sanctuaire qu’il en avait été incapable de réagir. Mais pourtant…

    Pourtant le serpentard qui était avec lui ne ressemblait pas à l’image qu’il en avait… Ses gestes, son attitude n’étaient pas ceux d’un sadique avide de douleur. Certes il lui avait arraché un cri de douleur en lui tailladant le torse, mais le reste… Le reste ne ressemblait pas à ce qu’il redoutait. Sa façon de faire glisser sa langue le long de son torse lui avait procuré d’étranges frissons. Et ce baiser… Ce baiser avait été des plus doux et langoureux, il faut avouer que Zahikel n’avait que rarement été embrassé d’une telle façon. Malgré cette sensation agréable, il n’avait pas résisté pourtant à mordre Corentin jusqu’au sang, lui faire ressentir au moins un peu de douleur. Il avait senti alors le serpentard comme se crisper et respirer grandement comme pour calmer la douleur. Bien fait pour lui. Ce baiser ensanglanté était une première pour le blondinet, sensation bizarre d’un goût métallique et salé, mais pas si désagréable que ça.

    Lorsque le serpentard se décolla doucement de lui, aspirant le sang qui coulait encore de sa lèvre, Zahikel mit quelques instants à reprendre ses esprits. Il sentait sur ses lèvres un peu du sang de Corentin. Il en aspira un peu et essuya le reste du revers de la main.


    Corentin – Quand tu mord, tu fait pas semblant butin…

    Un ton de défi apparut dans la voix de Zahikel, alors même qu’il était presque transi de peur, il lui répondit du tac au tac.

    Zahikel – Bah wé qu’est-ce tu crois ?

    Le blondinet s’attendait à une revanche de la part du serpentard et se demandait comment il allait lui faire payer ce geste.

    Corentin – Disons que maintenant nous somme quitte, tu saignes je saigne.

    Le blondinet lui lança un regard étonné… Wow, serait-il vraiment si différent de la rumeur ? Il n’eut pas le temps de répondre, ni de cogiter bien longtemps que les lèvres du serpentard s’étaient à nouveau collées sur les siennes. Pendant ce léger baiser, il sentit une main de Corentin lui retirer sa ceinture et le bouton de son pantalon. Hein ? Quoi ? Il fait quoi là ? Le serpentard se décolla à nouveau du serdaigle.

    Zah – Que… ?
    Corentin - Ne bouge pas, laisse toi faire

    Sentant le doigt sur ses lèvres, Zahikel n’ajouta pas un mot. Toute cette situation commençait à l’exciter, Corentin avait un physique qui correspondait tout à fait à ses goûts et il semblait bien savoir s’y prendre pour exciter un mec. Mais voilà… Oui car il y a un mais… C’était Corentin, le mec que Zahikel redoutait le plus dans cette école, celui pour qui il ressentait la pire des aversions alors comment cela pouvait-il arriver ?

    A nouveau la langue de Corentin glissait le long de son torse. Ce contact provoqua un mélange d’excitation et de dégoût chez le serdaigle. Pourquoi fallait-il que ce soit ce serpentard qui soit à en ce moment même ? Un autre personne et ce moment aurait pu être parfait… Mais nan c’était lui… LUI !! Le blondinet sursauta quand il sentit la main de l’androgyne le caresser, et toujours cette langue qui glissait doucement sur son torse, jouant même avec son nombril, cette langue qui lui provoquait d’incontrôlables frissons mais aussitôt réprimés par l’aversion qu’il ressentait pour lui. Tant de batailles se livraient dans son esprit qu’il ne capta pas directement que cette mains qui le caressait avait été plus loin. Quand il sentit la langue de Corentin et la boule de son piercing glisser le long de son intimité, Zahikel se redressa brusquement jusqu’à se retrouver assis. Il essaya de repousser le serpentard et dit avec une petite note de panique dans la voix.


    Zah – Nan !! Laisse moi !! Arrête !!

    Mais déjà la bouche de Corentin s’était refermée sur le bout de son intimité. Cette sensation de succion, tandis la main du vert et argent le caressait en l’excitant tellement, provoqua chez le blondinet un petit gémissement qu’il ne put retenir. Il se mordit ensuite les lèvres pour empêcher d’autres sons d’en sortir. Comment pouvait-il être excité par un être tel que lui ?

    Zah – Nan Arrèt… Hmmm…

    Et voilà... Il n’avait pas pu dire un mot sans qu’un petit gémissement ne vienne l’interrompre. Il s’appuya alors sur ses mains posées sur l’herbe derrière lui, les yeux fermés. Il rougissait, presque honteux de ce qu’il pouvait ressentir face à ce serpentard, de ne pas réussir à lui résister.
 
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sous un saul pleureur ( - 16 pr le moment) EmptyMar 30 Sep - 18:41



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* mais ce qui est dit sur Corentin est relativement vrai, après tout il y a du plaisir dans la douleur. Bizarrement il n’avait jamais cherché à faire taire les rumeurs qui courraient sur lui, enfin les rumeurs non vu qu’il s’agissait la au plus grand désarroi de son jumeau de la simple vérité… Pas de cœur, pas de morale est ce que cela faisait de lui un simple automate qui vivait seulement selon ses envies et ses pulsions ? après réflexion peut être bien, mais méfiez vous du physique ce n’est qu’une enveloppe qui trompe lourdement seul l’intérieur compte… qui est l’imbécile qui a créer cette phrase ? Comment faire si l’intérieur est aussi pourri que l’extérieur ? Enfin… On juge le serpentard par son attitude, ses faits et geste, sa manière de faire de parler et tout. Mais si on faisait plus attention a lui on verrais qu’en faite il n’es pas si violent que ça… Certes beaucoup d’élèves son marqué, par ses ongles, des griffures faite au diffindo voir autre chose fait avec un outillage plus approprié… Mais regarder Joël vous verrez que lui n’a rien du tout aucune cicatrice faite de la main de Corentin… Un frère qu’il méprise, un frère qu’il déteste, un frère qu’il hait tellement mais un frère qu’il n’a jamais réussi a toucher Pourtant vu ce qu’il fait subir aux autre son pourrais croire que faire saigner son jumeau était un jeu d’enfant, mais non en faite ce qu’il ne pouvait faire sur son frère il se vengeait sur les autres. Ca fait partit d’une des raisons qui fait qu’il aime voir le sang coulé du corps de l’une de ses victimes. Certes il s’agit la de son frère on pourrais supposer que ce n’ets pas pareille, pourtant il ne considère même pas joel comme un membre de sa famille, ce petit objet qu’il se sert pour passer ses caprices, ce petit objet qu’il préfère détruire moralement que physiquement. En faite la vrai question était plutôt qui a fait de lui quelqu’un de violent ?

Sous ses coups de langue sur le torse de sa victime du soir il le sentait se crispé sous lui. Qu’ets ce que ça signifiait ? Ça lui faisait plaisir ? Du bien ? Il avait peur ? Cela le révulsait ? Qu’importe, Corentin se foutait totalement de son avis, ici il s’en fou des autres se ne sont que des objets qu’il utilise pour son bien être personnel ils n’ont pas vraiment le choix en faite alors vaut mieux être consentant passer « une bonne soirée » pas trop sanglante et on en parle plus. Pourquoi résister ? Indirectement Corentin savait qu’il plaisait au serdaigle sinon jamais il ne se serait laissé faire tout du moins aussi loin. Cette façon de se crispé a chaque coups de langue, cette façon que sont corps a de frissonner a chaque caresse prouve bien que ça ne le dérange pas. Mais comment faire quand le corps hurle oui et la tête non ? Qui aura raison a la fin ? Le désir, l’envie ? Ou la morale ? Un homme reste un homme l’envie passe avant la morale… Il commença le début d’une fellation qui sembla réveillé immédiatement notre serdaigle qui se redressa rapidement presque paniqué. Corentin ne comptait pas lui mordre ni lui arracher sinon avec quoi allait il jouer ? Sa bouche se referma sur ce sexe en érection alors qu’il lui demandait d’arrêter… C’était bien la première fois qu’on lui demandait d’arrêter mais bon jamais il n’avait écouté ce qu’on lui disait. Avec sa tête il commença quelque va et vient sur le sexe durci du serdaigle. Il l’entendit gémir, intérieurement il souriait pour ne pas dire jubilait, voila c’est pas si dure… A nouveau il lui demanda d’arrêter, mais un autre gémissement s’en suivi ; Faut savoir. Fallait il que Corentin arrête ou qu’il continue ??? Les paroles sont si contradictoires, il y avait une différence entre ce que le serdaigle disais et ce dont il avait envie. La tête de Corentin se mit a légèrement accéléré ses va vient… il rattrapa sa baguette a l’aide d’un sort informulé son pantalon se déboutonna en le faisant glissé le long de ses jambes et passa sa main dans son boxer pour rencontré sa propre virilité, doucement il commença a se masturbé.

Les yeux fermé son image lui vain en tête, c’est lui, pourquoi maintenant… Joël, il le voix dans sa tête, un sentiment de colère l’inonde jusqu'à ce qu’il se redresse complètement, arrêtant subitement la fellation. Il regardait d’un œil mauvais le serdaigle et lui décroché un uppercut droite dans le menton sa façon a lui de lui dire allonge toi. Sa baguette a la main il lui jeta sans attendre un incarcerem des liens sortit de nul par s’enroullerent autour des poignées et des chevilles de Zahikel. Il enleva son dernier vêtement avant d’être mis a nu et il s’empala sur le sexe encore gonflé de zahikel, un gémissement franchissa ses lèvres… il gifla violement le serdaigle * Estime toi heureux si tu t’en sort ce soir * ses mains se resserrèrent autour de son coup alors qu’il entamait des mouvement de va et vient avec son bassin * C’est a cause de lui tout ça * ses mains se resserrent davantage autour de la gorge du pauvre serdaigle alors qu’il accélerait a nouveau ses mouvements de bassin le souffle haletant il ne pouvait s’empêcher de gémir de plaisir, un sourire sadique sur ses lèvres alors qu’il était plus en colère qu’autre chose * tout comme lui tu n’es qu’un objet, un putin d’objet… sauf que toi je peux te faire saigner, je peux t’entendre crié de douleur… Me supplier d'arrêter * il fini par fermé les yeux, son cœur battait relativement vite mais il n’arrivait pas a relâché l’étreinte qu’il exerçait sur la gorge de zahikel * lui non je ne peux pas...
 
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    Le corps ou la tête ? La morale ou le désir ? La raison ou l'excitation ? Qui pouvait gagner ? Dans l'esprit du petit ange cette bataille régnait entre ce que lui tambourinait sa tête, de repousser ce cinglé de serpentard, et ce que lui hurlait son corps, de le laisser faire, de profiter de ce moment, de laisser place à l'excitation et au plaisir. Déchiré entre les deux, le petit ange était totalement perdu, ne sachant trop que faire ou que dire. Ce serpentard le terrifiait tellement et le dégoûtait, mais il l'attirait et l'excitait également. Finalement le corps eut raison de la tête, le petit ange laissa échapper un nouveau gémissement et n’opposa alors plus de résistance, laissant le désir monter en lui. La bouche de Corentin, enfin surtout ses mouvements, lui faisait un effet dingue, y'a pas à dire, il est doué ce serpy... Zahikel se sentait emporté dans un tourbillon étrange, une sensation d'ivresse incontrôlable. Oh oui il le voulait à ce moment là, ce serpy qui le terrifiait pourtant tellement. Finalement cette rencontre du troisième type n'allait peut-être pas être si mal. Cependant... Cependant... le pire restait à arriver...

    Tout à coup, Corentin s'arrêta et se recula vivement. Zahikel rouvrit les yeux et observa sans comprendre le serpentard et la raison de son regard si mauvais à son encontre. Son observation n'eut pas le loisir de se prolonger bien longtemps, un uppercut vint l'atteindre dans le menton. Le petit ange, sonné, retomba lourdement en arrière et se retrouva à nouveau allongé sur le sol. Trente six chandelles se mirent à danser devant ses yeux et le temps qu'il recouvre en partie ses esprits, des lianes s'étaient déjà enroulées autour de ses poignets et chevilles, l'immobilisant ainsi à la merci de Corentin. Son menton était encore engourdi lorsqu'il vit la silhouette floue du Serpentard ôter le reste de ses vêtements avant de s'empaler sur son intimité. Un gémissement s'échappa des lèvres du blondinet en même temps que l'androgyne brun en émit un également. Quelle sensation enivrante, presque comme une délivrance, que ressentit le petit ange, mais hélas elle ne dura pas longtemps. La violente gifle de Corentin le ramena illico presto à la réalité. Après la petite once de plaisir, la douleur. Argh...


    Corentin - Estime toi heureux si tu t’en sort ce soir

    Hein ? Mais il raconte quoi là ? Le petit ange n'eut pas le temps de tergiverser que les mains de Corentin venaient lui enserrer la gorge. La peur commença à le gagner, mais dans le même temps les mouvements de va et vient du bassin entamés par le serpentard provoquèrent une montée du désir et du plaisir. Ses sensations semblaient être amplifiées par le léger manque d'air.

    Corentin - C’est a cause de lui tout ça

    De qui parlait donc Corentin ? Les mains de Corentin se ressérèrent d'avantage, Zahikel commençait à avoir de plus en plus de mal à respirer, surtout que la situation en elle-même l'obligeait à respirer plus qu'à l'ordinaire. Autant dire qu'il commençait à avoir de plus en plus de mal. Il essaya de dégager ses mains, mais les liens étaient solides, de même pour les pieds. Il essaya de se débattre, de se défaire des mains de son tortionnaire, mais celui ci le tenait fermement, impossible de bouger.

    Zah – Lâche... moi...

    Corentin gémissait de plaisir, Zahikel aurait pu en faire autant s'il avait eu la gorge libre, mais le manque d'air le faisait souffrir. Il cherchait par tous les moyens de glaner le maximum d'air qu'il pouvait tout en se débattant comme il pouvait, mais c'était bien peu.

    Zah – Ar... rête...

    La voix de Zahikel commençait à se faire rauque et faible tandis que le serpentard serrait toujours plus fort son étreinte.

    Corentin - Tout comme lui tu n’es qu’un objet, un putin d’objet… sauf que toi je peux te faire saigner, je peux t’entendre crié de douleur… Me supplier d'arrêter. Lui non je ne peux pas...

    Zahikel commença alors à suffoquer, le manque d'air le faisait souffrir, des tâches noires commençaient à lui obscurcir la vue. Encore quelques instants comme ça et le petit ange allait tomber dans l'inconscience et pourquoi pas rejoindre ses amis les anges. D'une petite voix faible et saccadée, il parvint tout de même à parler, s'adressant à son tortionnaire.

    Zah – Ar... rête... Lâ... che moi.. Jt'en... prie...
 
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Sa récente dispute avec Joël l’avais plus touché qu’il ne le pensait ou tout du moins plus qu’il ne le laissait paraître… Alors qu’il en avait toujours eu rien a foutre de son existence, le simple fait que Joël est préféré le rattrapé plutôt que de le laissé tombé voulait en dire beaucoup. Généralement ce n’est pas le genre de chose au quel il fait attention, le genre d’événement qui se grave dans sa mémoire. Mais la Joël l’avait sauvé, il aurait du être content, mais c’est tout autre il est encore plus en colère a la limite d’éprouver a son égare une haine sans fin ni sans limite. Il avait faiblit, Corentin a faiblit le jour ou il a vu se sang coulé de la commissure de la bouche de son jumeau quand il a voulu le rattraper. Il n’aurais jamais du faire ça, il n’avait pas le droit, c’est tellement humiliant de baisser les bras un instant, de montrer un peu de compassion… Une seule petite marque de gentillesse et sa peu faire écroulé toute une vie de méchanceté et de débauche, se simple geste peut montrer qu’il avait peut être un cœur caché parmi toute sa prétention…. Il ferma les yeux les dents serrées non, il n’était pas comme ça, il n’était pas faible il le prouvait encore maintenant, en faisant le plus fort, avec un plus faible… Il le regardait suffoqué sans desserré son étreinte, jusqu'à ce que la voix du petit ange n’apparaisse que comme un murmure Oui les autres plaintes faites ; Corentin ne les avaient pas écouté ils étaient de vive voix le savoir presque sur le point de mourir était jubilatoire après un dernier coup de bassin et sans réussir a se contrôlé il fini par se vider sur le ventre nu du serdaigle.

Il se libera dans un dernier soupir puis relâcha l’étreinte qu’il exerçait sur le cou du blondinet. Il se releva les jambe tremblante et complètement essoufflé, il fit quelques pas en direction du saule pleureur et s’adossa a lui tout en se laissant glissé lentement au sol...
Recroquevillé sur lui-même il serrait sa tête entre ses mains. A voir le blondinet attaché, la position du serpentard on pourrais croire que Corentin regrettait, mais c’était absolument faux, le visage caché il souriait, son petit rire froid et cristallin commençait a ce faire entendre dans le silencieux parle qui avait engloutit pour lui seul les plaintes du pauvre petit ange a présent déchu… Un coup de main dans les cheveux pour se les mettre en arrière il se releva, attrapant son boxer, son pantalon, il se rhabilla comme ci rien était, comme s’il n’avait rien fait… Il avait l’impression d’entendre la respiration sifflante, haletant de sa pauvre victime… Oh quelle chochotte c’est bon il n’était pas mort, qu’il s’en estime heureux. Un sourire mauvais dressé sur les lèvres, il tournait autour du pauvre petit serdaigle. *

Mon pauvre Zahikel, regarde dans quel état tu es * il s’agenouilla et lui caressa le visage du bout des doigts * Je me demande ce que tu vas raconter a ton gay et l’autre travesti. C’est vrai, entre ta griffure au ventre, tes marques rouges au cou, ta bouche enflé, ça fait beaucoup de chose en une soirée… Mais bizarrement je sais que ça ta fait plaisir, tu a triqué comme un âne ma petite traînée… * il se releva et alla cherché sa baguette, avec le petit sort informulé du diffindo il trancha les liens qui laceraient les poignets du petit ange. Puis il rangea sa baguette * Tu es libre petit ange déchut, je pense en avoir fini avec toi juste pour se soir… A part si tu as autre chose à dire ? Autre méchanceté à me faire entendre de ta voix étranglée ? * Il croisa les bras en le regardant avec insistance Je ne veux pas que tu pense, que je suis a 100 % Pourri, il y a 1 % De lucidité chez moi, la preuve je suis près a t’écouter… Ma rhabille toi, avant que mon esprit est d’autre envie perverse * il se mordit sensuellement la lèvre inférieur *
 
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