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 Eres Tonto - Free

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MessageSujet: Eres Tonto - Free   
Eres Tonto - Free EmptySam 5 Juil - 21:40



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1er Post To Eileen Kleinman.

    Eres Tonto - Free Dvillaicon071 Eres Tonto - Free Spain59
    JAVIS, G. TAYLOR. IKER, X. EÑAUT.
    Stade d'Henri IV, Liverpool, Angleterre.


- VA TE FAIRE FOUTRE IKER ! TU ME FAIS CHIE T'FACON !

Au moins, c'était clair, précis, net et l'on ne pouvait faire plus directe à moins ce que Javis lui envoie son balai directement dans la gueule. Iker était mort de rire, et ça, c'était pire que tout. Si Jansen n'avait pas tendu le bras pour arrêter Javis qui s'avançait vers Iker pour lui foutre une dans la gueule, Javis aurait sûrement déclenché encore une bagarre qu'il aurait sûrement perdu face à Iker. L'entraîner, Joad Levingston sortit du vestiaire à ce moment là pour gueuler :

- JAVIS ! IKER ! AU VESTIAIRE ! VOUS COMMENCEZ A ME LES CASSER !
- Mais Monsieur ! Si Iker et Javis s'en vont, on s'entraîne comment ?
- Jansen... La prochaine fois, vous la fermez.

Javis contourna Jansen et se dirigea dans les vestiaires sans ajouter un regard à Iker qui, malgré tout, se méfiait de son jeune cousin. Ce dernier, même si il parvenait à le maîtriser, savait de quoi valait Javis. Ce n'était pas un super combattant, mais il savait frappé dans les endroits les plus douloureux et les plus mortelles. Javis claqua la porte derrière lui, obligeant Iker à la réouvrir doucement, avant d'entrer pour s'appuyer sur la porte. Javis était déjà sous la douche. L'eau coulant à côté de lui, il tendait l'oreille dans l'espoir d'entendre son cousin le provoquait, juste pour lui cogner un peu dessus, histoire de lui faire bouffer son air de Kéké Boy. Il entendit un casier s'ouvrir, et Javis donna un grand coup de poing dans la porte de fer, se mordant la lèvre pour ne pas geindre de douleur. il se mit sous l'eau froide, histoire de lui faire retomber la pression rapidement, avant de monter l'eau chaude. Quelques minutes après, une dizaine tout au plus, il ressortit avec une serviette en guise de pagne, tout aussi propre qu'on pouvait l'être après une bonne douche.

Iker le regardait avec un léger sourire, avant de retirer son tee shirt et de le lancer sur un banc à côté. Javis posa son regard sur le pendentif que son cousin avait autours du cou. Il avait toujours aimé le pendentif de son cousin. Ce dernier vit le regard de Javis sur son bijou et il eut un léger sourire avant de retirer doucement son collier du cou, le lui tendant :

- Tu le veux ?
- Je peux pas... C'est celui de ton père, Iker.
- Je sais... Mais, bon...
- Garde le. Y aurait pas tant de sentiments, je te l'aurais pris. Il fit un sourire, avant d'enfiler un caleçon et de retirer sa serviette.

Iker plongea son regard dans le collier, un petit sourire sur ses lèvres, tentant de se souvenir du visage de son père et de sa mère. Rien ne revenait, mais bon... Dans l'ombre, là bas, il eut comme un mouvement. Javis leva le regard, tandis qu'Iker remettait rapidement son collier. Un étrange sentiment vint à s'abattre sur la pièce... Iker se releva doucement, sortant sa baguette de sa robe de sorcier qu'il avait retiré un peu plutôt. Javis se pencha pour prendre la sienne. Ils se dirigèrent vers le fond du vestiaire jusqu'à ce qu'ils se retournent dans un sursaut lorsque l'entraîneur entra en trombe dans le vestiaire. Ce dernier poussa un cri de surprise levant les bras, faisant tombé ses notes au sol. Iker et Javis les baissèrent d'un coup, ainsi que le regard.

- Putain... J'aurais du croire Bonifacìo quand il me disait que ses poursuiveurs nationaux étaient de vrai calamité ! Rangez moi ça de suite ! Qu'est ce qu'il se passe, ici, bon sang ?

Javis et Iker retournèrent là où ils avaient été précédemment. Ils rangèrent leur baguette avant de s'asseoir. Javis était entrain de remettre ses chausettes, et Iker se grattait doucement le torse d'un air distrait, tandis que l'entraineur ramassa doucement ses notes avant de les regarder et de leur dire :

- Il faut que vous vous calmiez, les jeunes. J'ai besoin de vous, Samedi soir ! Par chance, Bride est malade, et ne jouera pas, ce qui nous laissera quelques bonnes ouvertures, mais, je vous en prie... Calmez vous, bon sang ! Chaque entraînement compte bordel ! Ca fait deux ans que les Tigres de Londres nous massacre ! Il faut qu'on les batte Samedi !
- Vous inquiétez pas...
- Vous m'aviez pas dans l'équipe aussi !

Iker et John ( l'entraineur ) regardèrent Javis d'un air blasé, puis, Iker s'écria :

- Le pire dans tout ça...
- C'est qu'il a raison...

Javis finit de s'habiller sans vraiment se la pété. En faites, pour lui, c'était tellement normal qu'il ne se la pétait même pas. Iker trouvait ça encore plus blasant. Enfin, John finit par exploser de rire, et il s'en alla en disant :

- Bonifacìo m'avait prévenu... Vous êtes des boulets... M'enfin, vous êtes attachant...

Iker soupira d'un air résigné, il se foutut à poil sans ménagement et alla se doucher tandis que Javis tentait de faire passer sa tête à travers son tee shirt. Finalement, lorsqu'il y parvint enfin, il attrapa son pull qu'il revêtit en sortant du vestiaire, sa baguette dans sa poche arrière de son pantalon, et il s'éclipsa en transplanant vers le pré au lard, sous l'appel du ventre et l'envie de manger des bonbons.

    Devant Honeydekus, Pré-au-Lard, Ecosse ( ? ).


ZBLAFM !

- Ouille !
- Ah, putain !
- Peu pas faire attention ?! Fit le passant, énervé, alors qu'il était au sol, sous Javis.
- Z'aviez qu'à faire attention ! Croyez que j'ai qu'ç'à faire ?

Et oui, si Javis était connu pour être d'une dextérité et d'une habileté sans pareil sur balai volant, c'était l'apothéose lorsqu'il s'agissait de se déplacer autrement que par balai. C'était... Lamentable. Peru était persuadé qu'on lui avait donné son permis de transplanage parce qu'il était un joueur de Quidditch excellent que pour autre chose. Javis se retira doucement, époussetant ses affaires pour retirer la pousisère de son pantalon, sans avoir dans l'idée d'aider le type. Il entra dans Honeydekus où cette fois, il faillit envoyer la porte dans la tête d'une jolie demoiselle...
 
MessageSujet: Re: Eres Tonto - Free   
Eres Tonto - Free EmptySam 12 Juil - 3:00



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    « J’avais cette légère pression au niveau du cœur, ces battements ne cessaient de se faire plus nombreux, mais malgré son poids lourd, je me sentais…apaisée. Un peu comme un papillon qui cherche sa lumière. Il sait qu’il n’est qu’éphémère, qu’il est condamné, mais il continue à rechercher l’espoir. Je suis un peu comme ce petit papillon, un être plein de grâce qui vagabonde, à la fois libre et insignifiant. J’aime cette sensation qu’on éprouve quand on peut faire ce qu’on veut. J’aime cette sensation de ne compter que pour moi, de ne pas être influente ; ça m’épargne les responsabilités…Et puis, je déteste être un poids pour les autres. Tu sais, cher journal, j’ai toujours réussis à être forte, quoi qu’il arrive. Retomber sur mes pattes tel un chat, et savoir apprendre de mes souffrances. Ca fait presque deux ans que je n’ai plus aucun nouvelle de Papa, et Maman perd espoir…Adam est grand, il est en âge de comprendre quel lâche lui sert de paternel…Je déteste mon père, mais quelque part, au fond de moi, je sais qu’il avait une raison. Oncle Charlie dit qu’il est certainement mort… »
    « Eileen ? Arrêtes d’écrire dans ce bouquin et ramène toi, on va manger. »

    La petite silhouette se leva comme une fleur, son regard émeraude fixant la fenêtre avec un air suspect. Andy était là, tapant du pied pour que la jeune Gryffondor se dépêche, mais la jeune Kleimann n’était certainement pas de cet avis. Ainsi, la jolie brune recula de quelques pas, jusqu’à se poser délicatement sur son lit, serrant son journal comme ci sa vie en dépendait. Elle l’avait refermé à vive allure, histoire que personne ne voit son écriture en patte de mouche. Elle était restait silencieuse, le cœur battant la chamade, mais ne cessant de sourire un peu naïvement, comme une petite fille innocente qui ne sait pas encore que la vie n’est pas rose tous les jours. Elle dissimule ses peines et ses craintes, avec cette fierté qu’on ne cessait de lui reprocher. D’un seul coup, et en y repensant, elle fixa sa jeune amie quelques instants, jusqu’à ce que cette dernière s’éclaircisse la voix. Andy semblait perdre patience, et il n’était pas question de la faire encore plus attendre. Eileen jeta un œil au sol, n’osant regarder la jolie blonde dans les yeux. Oui, ainsi, elle avait des allures enfantines, mais son sourire avait disparu pour faire place à une mine gênée, cette air qu’on voit sur tous les enfants pris en flagrant délit. On aurait pu croire que, dans un sens, elle lui demandait pardon…Et c’était d’ailleurs certainement le cas.

    « Excuse moi. Je n’ai pas faim, je pense que je vais aller à Pré-au-lard. »
    « Toute seule ?! Eileen, Eileen, Eileen… »
    « Oui ? »
    « Tu es bizarre, en ce moment. Tu restes toute seule, tu te mets à écrire dans un journal alors que tu disais que c’était complètement débile avant, et tu…ne viens presque plus manger… Est-ce qu’on a fait quelque chose de mal ? Tu es amoureuse d’Adam, c’est ça ? Le frère à Lili…Eileen, tu peux tout me dire, tu sais ! On a fait quelque chose de mal pour que tu nous évites tous comme ça ? Tu évites même Dean et Rose ! C’est absurde… »
    « Tu dis n’importe quoi, je vais très bien… Demain, c’est l’anniversaire de mon petit frère. Je pensais aller lui acheter quelque chose à Pré-au-lard, c’est tout. Et puis, combien de fois faut-il que je te répète que je ne ressens rien pour Adam ?! »
    « Tu es trop fière, Kleimann. Pire que Vanna Syl, Black et Perkins réunies. Tellement de fierté que tu te sens obligée de faire semblant, pour pas montrer que toi aussi t’as tes faiblesses. Mais tu sais, c'est les gens comme toi qui finissent par se donner la mort. T’es lâche. »
    « LACHE ? VRAIMENT ? JE NE SUIS PAS LACHE, T’ENTENDS ? JE NE SUIS PAS LACHE ! »
    « On sera à la Bibliothèque les filles et moi, on a un devoir de Méta’ qu’on arrive pas à finir. Ou au pire, on traînera vers le Lac. »

    La blonde tourna les talons, haussant les épaules en signe de défaite. Elle avait laisser la silhouette d’Eileen seule, et contre toute attente, cette dernière ne grogna pas, préférant de loin le silence que les poings. Andy était son amie, c’était indéniable, et c’était pour ça qu’elle n’avait rien rétorqué. Et puis, au fond, elle savait que la grande blonde avait raison : Eileen n’allait peut être pas si bien que ça, en vérité. Elle se voilait sans cesse la face en se répétant que c’était normal, que tout allait s’arranger. Mais il n’y avait rien à faire, et pour la première fois de sa vie, elle se laissa emporter par ses émotions. Ainsi, elle profita de sa solitude pour verser quelques larmes, enchaînant les sanglots comme pour rattraper le temps perdu. Elle avait tellement mal qu’elle lâcha son journal, se laissant glisser sur le sol pour enfin le percuter. Elle laissa traîner ses pieds nus sur le plancher grinçant, jusqu’à poser sa tête sur les lattes en bois. Le dortoir semblait s’être assombrit d’un seul coup, et la pluie ne cessait de s’abattre sur le château de Poudlard tout entier. Ou peut être était-ce le fruit de son imagination ? Elle semblait confondre le rêve et la réalité, ne distinguant plus le vrai du faux. La jeune Gryffondor lâcha un soupir, jusqu’à y repenser fermement. Etai-elle amoureuse d’Adam ? Non, elle savait bien que non. Mais son cœur semblait lui dicter quelqu’un d’autre, comme une évidence qu’elle n’avait pas prit le temps de voir. Lycaon ? A y réfléchir de plus près, il semblait être une des seules personnes à savoir la faire rire, et ce Bal… Non, il ne fallait plus y penser.

    « Je ne suis…pas lâche… »

    En étant ainsi, elle avait perdu toute crédibilité. Au fond, elle ne restait qu’un papillon, alors pourquoi ne pas sourire à nouveau, comme ci de rien n’était ? Alors qu’elle laissa échapper un dernier soupir, la jeune Gryffondor eut peine à se relever, le regard toujours dirigé vers le sol poussiéreux. Ces paroles à peine soufflées jouaient le rôle de morceaux de verre qui lui écorchaient la gorge, elle ne semblait pas y croire mais persistait à se faire entendre. Tout ça sonnait faux, trop faux pour qu’elle s’y attarde d’avantage. Prisonnière de ses songes, elle cessa de lutter et traîna son corps dans le dortoir, attrapant au vol un pull qu’elle enfila lentement. Tel un fantôme en quête d’une chose totalement inconnue, elle erra dans la salle commune jusqu’à sortir, toujours l’air ailleurs. C’était inhabituel de sa part, elle qui était pourtant si enjouée et « grande gueule », on ne l’avait guère entendu de toute la journée. Certes, celle-ci commençait à peine, mais Eileen semblait bien partie pour rester muette jusqu’à ce soir : car pour elle, impossible de rester sans rien dire durant des jours entiers. Elle dévala les marches une par une, jusqu’à se mettre à courir à toute vitesse… En chemin, elle percuta plus d’un élève, mais n’y fit pas attention, préférant de loin continuer que s’arrêter pour s’expliquer. « T’es lâche ». Les mots d’Andy résonnaient dans sa tête, comme une mélodie qu’on ne cessait de lui faire écouter. Plus la voix était forte, plus Eileen accélérait le pas. C’était donc indéniable : ce jour était très différent des autres…Un peu trop pour que personne ne le remarque.

    {…}

    Direction Honeydukes, le seul endroit où elle pouvait trouver de quoi satisfaire son petit frère. Il adorait les sucreries, d’ailleurs, il ne mangeait que ça du matin au soir. La jeune Kleimann arborait fièrement les ruelles de Pré-au-lard, hésitant entre y aller maintenant ou s’y rendre plus tard. Mais le choix était vite fait ; elle allait y aller pour ensuite être tranquille et pouvoir se poser au Trois Balais. Le temps semblait défiler à une vitesse affolante, et de ce fait elle accéléra, jusqu’à se mettre à courir en direction de la boutique tant chérie. Arrivée près de la porte, un jeune homme faillit lui envoyer en pleine figure. D’ailleurs, heureusement qu’elle avait beaucoup de réflexes – c’est dans ces moments là qu’elle aime tant le Quidditch et son poste de Batteuse -, car elle évita le pire et se contenta d’une légère douleur au niveau de la main, ce qui ne l’empêcha pas de rattraper le jeune homme qui était à l’origine de tout ça. Oui, c’était officiellement raté : son silence n’avait duré que quelques heures…seulement quelques heures.

      « TU PEUX PAS FAIRE ATTENTION ? C’est un manque de galanterie, ça ! Non mais…J’aurais pu me la prendre en pleine tête, et…et…Faire un traumatisme crânien ! »


    La jeune Gryffondor resta quelques secondes inerte, plantée comme un piquet. Elle n’osa plus rien dire, légèrement prise au dépourvu. Le fait qu’elle ait haussé la voix la partagea entre l’envie de rire et de vraiment se mettre réellement en colère…On voyait très bien qu’elle faisait semblant, toujours égale à elle-même. Mais le jeune homme qu’elle avait en face d’elle, elle le connaissait… N’osant plus le regarder dans les yeux, elle préféra baisser la tête, jusqu’à émettre un léger rire, presque inaudible. Comme une enfant, elle répliqua, l’air de rien :

      « Excuse moi…Je crois que j’exagères un peu… »


    Un sourire prit alors ses lèvres en otage, jusqu’à ce qu’Eileen relève la tête. Elle semblait avoir changer de comportement, voir même changer tout court. Ainsi elle avait complètement oublié ce qui la rendait si…différente des autres jours.
 
MessageSujet: Re: Eres Tonto - Free   
Eres Tonto - Free EmptyVen 25 Juil - 11:08



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    JAVIS, G. TAYLOR.


- TU PEUX PAS FAIRE ATTENTION ? C’est un manque de galanterie, ça ! Non mais…J’aurais pu me la prendre en pleine tête, et…et…Faire un traumatisme crânien !

Javis sursauta, tout simplement. Il fit un bond en avant, manquant de faire tombé la quasi-totalité du tonneau de sucettes de sang qu'il parvint à rattraper bien que la moitié se soit déversée sur le sol d'Honeydekus. Le gérant qui était au caisse, secoua la tête d'un air blasé avant de lever sa baguette en direction de Javis pour le relever doucement, accompagné des sucettes qui retrouvèrent leur place. Javis se retourna doucement, n'ayant même pas remarqué que le gérant lui avait jeté un sort pour l'aider à se relever et il regarda la jeune femme qui venait de lui gueuler dessus. La seule chose qu'il trouva à penser, c'est : Putain... Et dans ces moments là, Javis est complètement blasant. Au lieu d'être frappé par le physique de la jeune femme dans de tel situation qui font généralement les histoires à l'eau de rose dont toutes les femmes sont accros, lui, il la regarda, les yeux écarquillés, l'air totalement con. Quoi dire...

- Excuse moi…Je crois que j’exagère un peu…

Les mots entrèrent doucement dans les oreilles de l'hispanique qui commença doucement à se détendre, souriant légèrement. Il ne put s'empêcher de rire un peu avant d'ajouter :

- Exagéré ? Tu m'as carrément fais sursauté ! J'ai eu la peur de ma vie ! Quoique... C'est peut être la deuxième peur de ma vie dans le top des peur de ma vie...

Il y aurait eut Iker, il lui aurait mis une tape derrière la tête. Quand il parlait, il en rajoutait que de trop, et putain, qu'est ce qu'on s'en branlait... Javis avait cet art de dire les choses qu'on se fiche généralement. Allez comprendre pourquoi... Ce qui était bizarre, c'était qu'il pouvait être un super joueur de quidditch, le meilleur qui soit, mais alors lorsqu'il posait pieds au sol, c'était vraiment horrible. Un boulet... Peru aimait bien son frère pour cela justement. Car Javis avait cette innocence depuis son enfance. Faire toujours des trucs de fou sans réellement se rendre compte du danger, etc... Il n'a jamais été confronté au dur réalité de la vie. Peru y avait toujours veillé, comme son père Baal. Javis avait ce petit regard plein d'innocence, et de cette malice enfantine. Il avait 17 ans, mais c'était encore un gamin dans sa tête, bien qu'il ait une culture assez vaste ( et heureusement parce que sinon, son père l'aurait fusillé sur place étant donné qu'ils ont un marché entre eux ). C'était un peu pour cela que Peru ne lui avait toujours pad it pour son cancer et qu'il ne comptait pas réellement lui dire dans l'immédiat.

Les gens autours d'eux, regardaient la scène avec des regards étranges. Javis ne savait pas réellement pourquoi ils les regardaient d'un oeil aussi admiratifs et surtout impressionnés. Il regarda derrière lui. Peut être que derrière la vitrine, il y avait un saltimbanque... A travers la vitre, il n'y avait rien sauf lui. Il se jeta un regard l'espace de quelques instants avant de se retourner vers Eileen, et de lui dire :

- Je crois que je me suis pas excuser... Bah, euh... Excuse moi, j'aurais du regarder si y avait pas quelqu'un derrière moi.

Il eut un léger sourire, avant de lui tendre sa main pour l'a relever doucement. L'hispanique aurait pu passer pour un galant d'un point de vue extérieur. Mais lorsqu'on était omniscient et qu'on savait ce qu'il pouvait pensé, c'était vraiment lamentable. Au lieu d'en profiter pour tenter de la séduire, il agissait d'un naturel débordant. Javis ajouta :

- Moi, c'est Javis. Et toi ?

Euh... Je crois qu'elle a compris qui tu étais...
 
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