* Il était à présent 16h30. Son cour de botanique avait enfin pris fin. Les 2 heures de souffrances étaient enfin fini. Comment pouvait on supporter 2 heures un professeur qui ne parle que de plante non stop du début a la fin sans lâcher un bâillement? Cela remontait du parcours du combattant.
Enfin juste après être sortit de la serre, il était remonté vite fait dans son dortoir pour y déposer ses affaires de cours et reparti aussi vite avec quelques parchemins et un livre pour se diriger vers la bibliothèque.

Il avait traversé les couloirs de l’école, un air songeur au visage, limite heureux de voir le nombre de livres qu'il y avait. De sur 7 années ne suffiraient pas à tous les lire, à moins de sécher les cours. Il secoua furtivement la tête, non se n'était pas un mauvais élève, il n'aimait pas sécher. Son coeur s'accelera quand il arriva a coté de la bibliothèque.
Certes, cela n'avait rien d'exceptionnel, cependant il était mêlé entre la joie et l'empressement se qui le rendait encore plus hyperactif qu'il ne l'était déjà. Il poussa enfin les portes et pénétra dans la bibliothèque en prennent grand soin de refermer les portes derrières lui. Il couru jusqu'a la rangé de la nécromancie, et s'en sortit avec 2 gros pavés d'au moins 800 pages les 2. Il les posa doucement sur une table.

Pourquoi la necromantie? sujet fascinant que d'etudié la mort, il n'y avait quand dans les domaines magiques que l'on pouvait se procurer se genre de livre. Commencant ca lecture, les 300 première page passèrent en 1H. Puis un horrible mal de tête survenu apres en etre arrivé a 500 page du bouquin en un temps reccord, il les claqua d'un coup et les rangea. En dehors de la bibliotheque, puis en dehors des murs de l'ecole, il regardait le ciel, le voila prenant une teinte orangé. Regardant son agendat il vit qu'il avait des devoirs en astronomie arg fallait qu'il aille dans un endroit haut pour admiré les etoiles son choix se porta sur la tour. Marchant vers celle si il fut bousculé par une jeune fille en pleure, elle était completement trempé? La suivant du regard il arqua un sourcil, une pensée a part pauvre enfant? il secoua la tête en soupirant, et arriva enfin a la tour. Rien, pas un bruit, pas un oiseau... Penetrant dans la batisse il montait un a un les escaliers. Pour arrivé tout en haut. *

* La tête dans les étoiles serait le terme exact pour définir son état d’esprit. Il ne pensait à aucun moment qu’il pourrait y avoir quelqu’un ici. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il était tard, que tout le monde était censé rejoindre la salle commune ou autre pour faire leur devoir se changer ou un tas d’autre occupation. Quand il venait de pénétré dans la tour, au début il voyait clairement les marches, mais peu a peu sa vision des choses s’obscurcissait, il avait sortit sa baguette murmurant un vague « lumos maxima » pour avoir la lumière la plus pure et la plus éclairante qui soit. Coinçant sa baguette dans sa bouche, il continuait d’avancé, la tête baissé vers son parchemin il commençait déjà a rédiger l’introduction de son devoir, comme ça se serais chose faite, il n’aura plus qu’a observé le ciel cherché les astres les redessiner sur la feuille que la prof leur a distribué en cour puis tout était fait. Et comme par hasard distribué en un exemplaire, à croire que tout le monde avait des dons de dessinateur pour réussir bien du 1er coup

Il s’arrêta un instant dans les escaliers, un souvenir pas très lointain lui était revenu en tête. Il avait encore voulu faire son malin devant son homologue, et encore une fois Jeremy lui avait tenu tête puis posé des questions déplacées sur des thèmes qui en le regardait pas, comment faire pour tenté d’apprécier quelqu’un qui sans cesse fouine dans votre vie alors qu’il ne s’y intéresse jamais d’habitude ? Pourquoi s’intéressé soudainement a son changement de comportement alors qu’il ne s’en était jamais préoccupé avant ? Il se pinça les lèvres, comme pour resserrer l’étreinte qu’il avait sur sa baguette. Il baissa la tête et reprit son périple il ne devait plus y pensé, Jeremy était un fouineur de nature et jamais il n’apprendra quelque chose de la bouche de Quentin. Peut être pas assez malin contrairement à ce qu’il pense. Il arriva enfin à la porte qui le menait dans un arrière salle avant de l’emmener tout en haut de la tour. Tête baissé il ouvrit les porte reportant sa plume sur son parchemin et ouvrant la porte d’un petit coup de pied il était loin de s’attendre a se qui allait se passé.

Il se prit un « aguamenti » en plein dessus mouillant son parchemin, ses affaires son seul dossier pour ses croquis et même ses vêtement. Le jet lui avait fait perdre l’équilibre mais en lâchant ses affaires c’était rattrapé a la rambarde des escaliers. Quel était le crétin qui lui avait fait ça ? Se qui est sur c’est qu’il entendrait parlé de lui. Oui cet affront ne peu resté impuni. Alors qu’il marchait furieux vers la porte, sa baguette cette fois éteinte et entre ses mains. Il fut subitement attrapé et tiré à l’intérieur de la pièce. Il lui fallu quelque temps pour reprendre ses esprits, faire un points sur ce qui était arrivé. Ceci étant fait, la porte était déjà fermé a clés cette abrutit posté devant. Alors qu’il ouvrait la bouche pour répliquer quelque chose, ses vêtements furent séchés. Mais cela n’enlevait pas la colère qu’il éprouvait vis-à-vis de cet inconnu, il serrait davantage sa baguette dans sa main. *

J’peux savoir c’est quoi ton problème * Il pointa sa baguette devant le jeune homme puis devant le morceau de porte qu’il voyait. Il voulait jeter le sort « Bombarda » mais faire explosé la porte pourrait blessé l’élève qui est devant. Et ça c’est chose qu’il n’aime pas faire, blessé physiquement. Il baissa la tête, puis sa baguette qu’il rangea dans sa poche, * Tu as massacré mes devoirs, qu’est ce que j’vais dire a la prof d’astro, qu’un abrutit m’a mouillé mes feuilles ? Écarte toi, dégage de mon chemin j’vais essayé d’allé séché ce qui peu encore l’être. Ne t'y oppose pas, je ne veut pas me servir de ma baguette aujourd’hui. J’ai autre chose à faire que de l’utiliser avec des gens qui n’en vaille pas la peine. * dit il sur un ton sec et hautain, tout en relevant la tête *

* Oui il avait baissé sa baguette chose qu’il ne devrait pas faire. Jeremy lui en avait profité pour lui jeter un « silencio » preuve que ça ne lui avait pas servit de leçon vu qu’il commettait encore la même erreur. Mais si le sort pouvait blessé physiquement quelqu’un il préférait passé pour un faible, voir même un lâche parce qu’il ne s’amusait pas a faire du mal a quiconque en jettent des sort sans regarder les conséquences. Préférant nettement jeté un silencio qu’un bombarda. Oui il préférait voir impuissant face à sa non parole, que quelqu’un impuissant fasse à des résidus de bois qui lui aurait éclaté au visage. Triste état d’esprit n’est il pas ? Lui vu pourtant comme quelqu’un d’hautain de sans cœur et limite violent, il se refusait de blessé quelqu’un avec sa baguette. Lamentable situation. Puis l’entendit rire, en quoi cette situation était hilarante ? Il l’avait aspergé d’eau, massacré ses devoirs et trouvait le moyen de se bidonné comme jamais ? Putin mais il avait vraiment un grain celui la.
« - Oui t’a qu'a lui dire ça et donne lui mon nom aussi…Asmodeus Belial Way… »
Calme toi Quentin on répond au con par le silence. Il serrait fortement ses poings envie de meurtre goût de sang dans la bouche. Si les études pour cette incapable passaient après, Quentin lui y accordait une très grande importance. Il ne voulait pas ressemblé a ça, ce genre de chose bloquant une porte divagante sans aucune matière grise fonctionnant correctement
« - Qui te dis que je demande pas mieux que t’utilise ta baguette… »
Il se mordit la lèvre inférieur en respirant bruyamment signe non seulement d’un ennuis profond mais aussi d’une grande envie de repartir *

Je en me sert pas de ma baguette contre ceux que ne val rien. Regarde toi, tu es pitoyable, je n’ai pas que ça à faire que de perdre mon temps avec des personnes de ta catégorie

* Non Quentin ne répondrait pas a cette provocation gratuite il valait beaucoup mieux que s’abaissé a se niveau si déplorable. Croisant les bras sur son torse il arqua un sourcil :
« - Je t’ai dis que personne peut sortir d’ici…C’est trop dangereux…Désolé pour tes devoirs mais je te signale que je t’ai peut être sauvé la vie… »
Il venait de monter les escaliers jusque la sans croisé le moindre problème, il avait franchit le parc, le château sans rencontré le moindre danger. Soit il lui manquait une case soit il était complètement à coté de ses baskets à quand remonte la dernière fois qu’il est sortit celui la ? Où peut être, à quand remontait le dernier shoot ? Ce n’était pas encore la fin du monde, les élèves pouvait marché, respiré vivre quoi. L’enfer n’était pas encore installé sur terre, de quel danger pouvait il bien lui parlé…

Son regard change, l’expression de son visage change, il commence a l’effrayé ce gars.
Puis d’un coup. Le regard de Quentin changea, devenant colérique, haineux, voir même une pointe de jalousie pouvait se reflétait dans ses yeux
« - D’ailleurs ça craint pour ton frère …Il est dehors lui…Ce serait trop dommage qu’il arrive quelque chose à un si joli petit spécimen… »
Ne jamais parlé de Jeremy de la sorte, ce n’est pas un animal qu’on observe, son sourire, son regard, son piercing roulant sur ses lèvres…
Depuis combien de temps il l’observait comme ça ? Quel pensé malsaine pouvait bien lui passé dans la tête ? D’un pas rapide Quentin se rua sur lui s’empara de son col il le plaqua davantage contre la porte *

Si tu t’approche de lui, si tu le touche, et même si je te vois le regardé je te crève les yeux, je t’ôterais tes 5 sens pour que tu ne soit plus qu’une âme errante ici sans but encore plus que maintenant * il le décolla de la porte pour le re-plaqué violement dessus * TU M’AS COMPRIS, AI-JE ETE ASSEZ CLAIRE !! TU NE T’APPROCHE PAS DE LUI ESPECE DE TIMBRER

* Sa colère l’aveuglait, sa haine l’aveuglait. Certes il n’avait jamais été le meilleur des grands frères, mais jamais il n’aurait toléré qu’on s’approche de trop près de son frère. S’était sa chaire, son cœur, son sang, même sans attirance particulière. Sa sœur et Jeremy était tout ce qui lui restait le seul lien qui lui permettait d’être encore a peu près lucide. Savoir son frère épié de la sorte par cet être complètement disjoncté, le troublait pourquoi ? Pour la simple raison qu’il avait 2 années au dessus de lui, L’étrange serpentard avait beau donné l’impression de ne pas être lucide s’il était en 6 eme année c’est qu’il avait les compétences requise pour y être. Un simple 4 eme année ne peu résister longtemps face a eu, face a lui. Il ne pourrait pas protégé son frère comme d’habitude, et Quentin ne pouvait pas non plus le suivre dans chacun de ses mouvements, il a une vie a par son frère. Ses réflexions sortir de sa bouche comme instinctivement, il s’était rapproché de lui sans mesuré la conséquence de ses actes. Jamais il ne fonce tête baissé, mais la il s’était jeté a la première occasion sans même se posé de question. Cette attitude iréfléchit va lui causé un tord dont il ne mesure pas encore l’ampleur.

Aveuglé par sa colère et le sentiment de vengeance, il n’avait pas sentit le bras de serpentard s’enroulé autour de sa taille, c’est une fois qu’il fut contre lui, collé contre son corps qu’il se rendit compte de son erreur. Il commençait a se débattre pour s’échappée de son bras, mais plus il se débattait plus l’étreinte se resserrait. Quel force, il était pas humain celui la :
« - Faut dire que t’es pas mal non plus dans ton genre…Surtout quand tu t’énerve… »
A cette phrase ses jambes cédèrent sous son poids, mais il ne tomba pas a terre, il était retenu par se bras. Ce bras qui le troublait, ce bras qui le perturbait, ces gestes, ces paroles qui lui rappelait tant de mauvais souvenirs :

Ellipse (ou Flash-back BREFF)
- Tu sais que tu es mignon derrière une batterie Quentin
- …
Je sent une main se posé sur mes cheveux, a l’époque je n’ai pas encore de dread, je suis jeune je viens de commencé le solfège, je viens de commencé la batterie. Cette main glisse vers mon cou et s’éternise dessus dans des caresses faites sur le bout des doigts. Je ne me rendait pas encore compte que c’était mal, pour moi c’était normal. 2 mains se pose sur mes épaules, glisse le long de ma silhouette fine pour finir la course sur mes cuisses.
- Tu ne dira rien n’est ce pas…
(Fin du flash)
ses images lui étaient revenu en tête du a ce corps qu’il sentait collé contre lui, avant il ne savait pas que c’était mal d’être aussi proche de quelqu’un qu’on ne connaissait pas spécialement, maintenant il le savait. Il se sentait faible, impuissant a chaque tentative d’échappe il avait l’impression de sentir cette étreinte se resserré contre lui et se rapproché encore et toujours du serpentard de 6 eme année. Son regard a changé, la peur se lit a présent dessus non il ne veut pas revivre ce cauchemar qu’il aurait ardemment souhaité oublier. *

S’il te plaît arrête...
je t’en prie lâche moi


* Bizarrement il retrouvait les quelques formules de politesse qu’on lui avait appris jeune. Est-ce que cela servirait pour que le jeune homme le lâche, il aimerait que oui, il le souhaite. Ses jambes ne le supportait plus, la peur l’a envahit sans qu’il puisse y remédier, puis cette baguette, ce morceau de bois qu’il sent remonté le long de son torse le fait se cambré en arrière frissonnant. Un gémissement presque inaudible sortit de sa bouche quand la pointe de bois se posa sur sa nuque. Grimacent a nouveau quand l’étreinte fut a nouveau resserrer mais il voulait l’étouffé ou quoi ? La tête penché sur le coté il hésitait a le regardé, puis le serpentard se baissant respirant d’un ou dans le creux du cou de Quentin il se sentait défaillir. Tout s’enchaînait trop vite, la peur l’aveuglait, son corps inerte n’arrivait a se dégagé de cette étreinte, il voulait ne jamais être monté ici.
« - Est-ce qu’il sent aussi bon que toi ton frère ?... »
Il tourna la tête d’un coup croisant ses yeux sans expression, puis son ricanement sonore montrant que Quentin n’était même pas apte a protégé son propre frère. Il ne pu que baissé la tête et fermé les yeux. Le corps a corps il n’aimait pas sa, le corps a corps il en avait l’effroi parlé de Jeremy alors qu’il est dans un état second, un état dominé par la peur est cruel, et mesquin*

Jeremy… * Dit il en un seul soupir sans relever la tête * Laisse le, il n’a rien a faire avec toi…

* Flash-back
- Dit moi Quentin, ton frère, ou ta sœur ne son pas intéressé par un instrument
- pourquoi voulez vous savoir ça ?
- Comme tu es un bon élève, probablement mon préféré j’espérait que ton frère nous rejoigne.
- Laissez le tranquille, il n’a rien à faire ici
- Je voulais juste m’assurer qu’il n’avait pas un talent musical
- …
- Allez vient lève toi, vient avec moi dans l’arrière salle…
(Fin du flash-back)
Pourquoi toujours tout rapporté a son frère, pourquoi le déboussolé de la sorte pour le faire réagir… *

* cette situation était insupportable, elle était insoutenable, il avait l’impression de revenir plusieurs année en arrière bien avant son admission ici. Ses phrases étaient presque a l’identique que celle de son prof de musique quand il voulait quelque chose de Quentin. Il n’avait jamais compris pourquoi lui, il n’était pas mieux que les autres, pas meilleurs ni moins bon, il n’était pas plus mignon aussi. La seule chose qu’il avait et que les 4 autres enfants de cour de percussion n’avaient pas c’était un frère et une sœur.
« - Bravo…Tu viens de me donner son prénom…Ce sera plus facile pour l’aborder… »
Il se pinça les lèvres, punaise voila qu’il s’enfonçait encore plus dans la connerie. Pourquoi a-t-il fallu qu’il est un frère et une sœur, pourquoi n’aurait il pas pu être fils unique rien de tout ça ne serait arrivé. Etre semblable tout en étant différent faisait jubilée énormément le prof de musique même tête, même corps, mais a caractère complètement opposé cependant, savoir qu’il ne pourrait en avoir qu’un sur 2 il s’était contenté de Quentin, un jour le garçonnet était prêt a tout dévoilé a ses parents comment se faisait il qu’il retrait tard, pourquoi était il devenu le meilleur tout… Mais ce vil serpent a tout comme les autres utilisé Jeremy et Sanaël pour manipuler leur frère aîné. Ca a toujours été comme ça, utilisé les liens fraternelles pour le faire faiblir, et la encore on utilisait ce lien pour lui faire du mal, pour faire du mal.

Il avait du mal à faire main basse sur les paroles si poignante si blessante que celle du serpentard.
« - J’espère qu’il aime les garçons… »
Flash-back
- Quentin, tu aimes bien les garçons ?
- …
- Et ton frère est ce qu’il les aime ?
- Arrêtez
Je me bouche les oreilles ses paroles son malsaine, se n’est que du poison
- Je vais tout dire à mes parents
- Tu ne peux pas, qui croirais un enfant de 8 ans ?
- Mes parents me croiront
Il se rapproche a nouveau de moi, mon dos se plaque contre le mur, il se baisse je sent encore ses mains se glisser sous mon t-shirt. Sa tête glissant dans le creux de mon cou, il souffle sur mon oreille.
- Non tu ne leur dira rien, je connais quelqu’un, qui connais quelqu’un qui lui aussi connais quelqu’un… bref je ne vais pas te faire un dessin, mais pense a ton frère, pense a ta sœur se serait bête qu’il leur arrive un grand malheur surtout a leur age.
A nouveau mes jambes cède sous mon poids, je n’aime pas quand on évoque un possible mal envers mon frère ou ma sœur, je garderais le silence je ne veux qu’aucun mal ne leur soit fait. Il se baisse se met au dessus de moi, je sent que mon t-shirt est enlevé. Et lui… lui il se baisse encore une fois.
- NOOOON
(Fin du flash-back)

* Quentin secoue la tête non Jeremy n’aime pas les garçon il n’y a aucune chance. Il aurait pu lui dire de vive voix, mais quand il voulu ouvrir la bouche aucun son ne sortit… Il avait juste envie de vomir, faire survenir son passé comme ça d’un coup n’avait rien de bon sur son corps ou sur son état d’esprit a rajouté les gestes, et les paroles du serpentard, Quentin n’allait vraiment pas résisté longtemps. Il s’était retenu de gerber, de trembler et même de gémir, mais les événements trop précipités prenaient une ampleur qu’il n’avait calculé qu’il n’avait prémédité. Un léger gémissement de douleur sortit de sa bouche quand il lui enfonça davantage la baguette dans son cou. La véritable question était pourquoi ne sortirait il pas lui aussi sa baguette au lieu de se faire dominé si lâchement. La simple et bonne raison que, submergé par la peur, il ne contrôle pas ses gestes il ne réfléchit pu, l’objet dans les mains on pourrait croire qu’il a la maladie de parkinson tellement qu’il tremble, il serait capable de lâché se bâton de bois alors a terre ou dans sa poche elle ne lui était d’aucune utilité, il ne pourrait se défendre avec.
« - Peut être que tu peux trouver un moyen de me le sortir de la tête… »
Il secoua négativement la tête et déglutit *

Jette toi le sort oubliette et je peu t’assurer que tu l’oubliera tu oubliera même tout

* D’ailleurs pourquoi n’avait il jamais utilisé se sort pour lui ? Oublié son passé, son présent, c’est tentant il n’aurait plus a avoir a faiblir devant quelqu’un qui le colle de trop près, devant quelqu’un qui lui rappelle le monstre qu’a été son prof de musique. Mais n’ai se pas l’alternative des lâches ? Oublier pour mieux vivre ?
« - Tu m’a l’air d’avoir tout ce qu’il faut pour ça… »
Qu’est ce qu’il voulait dire par la ? Qu’est ce q’il sous entendait ? tellement de question dont il connaissait la réponse, tant que question dont la réponse ne ferais qu’ouvrir une plaie même pas encore cicatrisé, tant de question dont la réponse le referont encore plus replonger…
Les place furent changé Quentin avait eu la sensation de quitter le sol quand il fut plaqué a son tour contre la porte. Il grimaça a nouveau ça faisait quand même mal mine de rien, la baguette était toujours collé contre son cou, placent une jambe entre les siennes comme pour l’empêcher de partir, ou de tombé. Il ferma les yeux en baissant la tête un gémissement qu’il ne pu retenir quand la main du serpentard entra en contacte avec son corps. Son ventre se contracta son ce contact soudain qu’il aurait voulu évité. Sa respiration ne cessait de s’accelleré. Il porta ses mains sur le bras de jeune homme, pour l’empêcher d’allé plus haut, pour l’empêcher d’allez plus bas, pour sortir sa main de l’endroit ou elle n’y avait rien a faire*

Arrête… ta…ta…* il commença a tremblé de tout son être * ta main n’a rien a faire la, enlève la… je ne suis pas ta propriété * lui dit il en essayant d’enlevé cette main de son ventre *

* « - Tu tremble comme une feuille mais t’a encore le courage de faire de l’humour…Sache que même si je me jetait se sortilège se serait a nouveau foutu a l'instant ou je reposerais les yeux sur lui... »
Il avait raison, comment pouvoir oublier un être comme Jeremy. En le croisant a nouveau tout ce qui est oublié revient sans qu’on le demande, cette attitude se physique, cette manière sexy qu’il a de porté ses vêtements, se maquillage qui fait ressortir aussi bien les trait féminin de son visage que sa beauté naturelle, tout, il n’a pas encore conscience de l’effet qu’il peu avoir sur les autres. Avant Quentin ne l’avait pas remarqué, mais depuis que Jeremy avait changé, grandi, commencé a se maquiller, a s’habillé de manière provocante en portant des vêtements très moulant, il s’était souvent endormit en pensant a lui, puis plus tard dans la soirée se réveillé dans des état pas possible, en sueur rien qu’en pensant a lui et a son corps. Quel monstre, fantasmé sur le corps de son frère alors que le corps de Quentin en était presque similaire. C’était dur à dire, à lui dire mais maintes fois Quentin avait regretté d’être son grand frère. Maintenant le savoir épié par cet individu, lui faisait peur. Il n’avait pas le droit de s’en approcher, rien. Devait il prévenir Jeremy ? Devait il le mettre en garde contre ce timbré de serpentard ?
Il venait de se rapprocher de Quentin il pouvait sentir son souffle lui fouetter le visage, il venait de baisser les yeux il ne supportait pas le façon qu’avait le serpentard de le regardé, c’était insoutenable comme regard :
« - Je sais que tu n’est pas ma propriété mais je t’ai dis qu’il fallait que tu trouve un moyen que se soit pas ton frère qui y passe…Tu pourrais au moins te montrer un peu coopératif… »
Coopératif ? Il avait oublié se mot. Puis il sentit des lèvres se pressé contre les sienne a nouveau ses jambes cédèrent sous son poids, mais il était encore et toujours retenu. A cet instant il voulait le morde, lui arraché la lèvre comme il lui avait arraché le cœur et fait revivre certaines pensées qu’il aurait voulu oublié. Mais au moment ou il voulu attrapé cette lèvres pour la mordre jusqu’au sang, sentir se goût acide et amer dans la bouche, le serpentard se décolla. Quentin du simplement fermé la bouche, il se pinça les lèvres, ne voulant que ça recommence…

C’était horrible ce baisé, c’est horrible d’être touché par quelqu’un qu’on ne connais pas, que l’on déteste et surtout quand on en a pas envie. Cette main qu’il sent sur son torse le fait frissonner, Quentin sent cette chaleur l’envahir et empourpré ses joues. Il veut l’empêcher, il doit l’empêcher. Il doit enlever ses mains qui n’on rien a faire la. Sentant l’oppresseur enlevé sa main, Quentin laisse échappée un soupir de délivrance, soupire trop vite échappé. La baguette avait quitté son cou, une formule fut prononcé, puis baisse la baguette le long de son torse, son t-shirt se déchire dans le sens de la longueur il regardait, choqué, impuissant son t-shirt cédé sous la formue. Ses yeux se posèrent a nouveaux sur ceux du serpentard. Son haut glissait le long de ses bras, les lambeaux de vêtements tombèrent a terre, Il a peur, il est terrorisé, il regarde avec effroi l’autre élève enlevé son t-shirt. Son corps est différent de celui de Quentin, plus grand, plus musclé, le corps recouvert de plein de tatouage, il trouvait ça horrible les tatouages… Un autre gémissement de douleur franchit el seuil de sa bouche quand a nouveau les mains entre en contacte avec sa peau. C’est bon, il avait trop résisté, des larmes commencèrent a naître dans ses yeux, sa respiration était haletante, son cœur martelait sa poitrine il pris une profonde aspiration quand il sentit ses mains se poser sur son bas ventre, sur sa ceinture, qui commençait a l’enlever *

ARRETE !! * Hurla t’il tout en le poussant violemment avec toutes les forces qui lui restait, le serpentard recula d’un seul pas, laissant tombé Quentin lamentablement au sol. A 4 pattes par terre, il rampa torse nu jusque dans le coin de la pièce proche de la porte. Il s’était adossé contre le mur tout recroquevillé les mains sur les têtes, la tête enfoncée dans ses genoux en se balançant sur lui-même. Puis une idée*
(Flash-back)
Je suis déjà dans l’arrière salle, je l’attend, il est entrain de ranger le matériel, en l’attendant j’enlève mon t-shirt et mon pantalon, je me retrouve e boxer dans cette pièce froide, faiblement éclairé et sans chauffage. Puis je m’allonge en regardant le plafond
- Que fais Tu ?
- Je vous attends
- Comment ça ?
- Comme d’habitude
- Ne fait pas ton malin
- Ca ne vous excite pas de me voir comme ça ? Pourtant ça fait 3ans que vous ne vous en lassez pas.
J’ai compris la technique des pédophiles et des violeurs. Ils ne trouvent envie et satisfaction que quand une victime se débat, qu’elle se défend ou hurle sa douleur. La je lui montre un garçon consentant avec ce qu’il me fait subir, ça ne l’amuse plus. J’ai enfin gagné.
- Prend tes affaires, tire toi, à la semaine prochaine
Je me rhabille, et je m’en vais, j’ai joué à ce jeu pendant 1 mois, le jeu du petit garçon consentant. Mais il a compris que je me jouais de lui, qu’en faite ce n’était qu’une ruse pour qu’il arrête de me toucher, d’abuser de mon corps et e ma naïveté. Quand il e a eu conscience il me l’a fait amèrement regretter et tout a recommencé
(Fin du flash-back)
vient, ramène toi, tu veux de la coopération, je vais être coopératif. *Quentin se releva, il enleva sa ceinture, qui fit immédiatement tombé son pantalon au sol sans aucune retenu. Il enleva ses chaussures, puis son pantalon qui pendait a ses pieds. Il n’avait quitté le serpentard des yeux. Son regard avait changé, son expression de visage avait changé, il avait repris sa froideur de d’habitude, plus de crainte, plus de peur dans les yeux. Il était en boxer dans la tour, en boxer dans une pièce enfermé avec un timbré et pourtant rien ne l’empêcherait de mener son idée même si ça devait capoté. Il s’allongea sur le sol, en regardant le plafond, calme, limite décontracté une parfaite opposition a son état d’esprit de tout a l’heure. Puis il déglutit *

Vien tiré ton coup, vient prendre ton pied qu’on en parle plus * dit il d’un voie calme en regardant le plafond, son corps se met quand même a trembloté, ça ne se vois pas, mais intérieurement il a peur, il ne veux pas qu’il se rapproche. Il veut que cette technique face comme avec son prof de musique, qu’il ne trouve plus ça amusant et qui le laisse enfin partir. *
Allé, dépêche toi qu’on en finisse

* Il aurais tellement voulu que cela ne se passe pas ainsi, il aurait tellement voulu ne jamais avoir eu cette idée, il aurait du continué de résisté pour le si peux qu'il résistait. La il se sentait bien ridiculisé, que penserais Jeremy s'il le voyait ainsi? A moitié dévêtu, invité un homme a venir en lui... Oui le grand Quentin qui faisait peur aux enfants avec un seul regard, réduit a terre par de simples caresses c'était a ne plus rien comprendre. Mais quand on est choqué, quand on a subi bien jeune un traumatisme et que d'un coup a cause de cette caresse tout revient en tête on en peu que faiblir, qu'être paralysé par l'horreur de la chose et de la situation. Lui n'était pas spécialement paralysé, mais il n'arrivait plus a ce concentré, il était perdu, troublé, tellement rabaissé qu'il ne voulait qu'une chose que ça se finisse au plus vite, qu'il le laisse tranquille au plus vite...

Il ne le regarda pas s'approché, mais quand il le sentit s'accroupir près de son corps allongé sur le sol, Quentin serra les poings quelle humiliation. Son plan n'avait pas fonctionné, il fermé les yeux a nouveau des larmes coulèrent de ceux ci. C'est repartit, voila qu'il avait quitté sa vie passée pour revivre la même chose dans le présent. Il avait du mal a respiré, entre la sensation de manquer d'air et les pleure qui ne cessait, il avait vraiment la sensation d'étouffé. Quand il sentit le bout du doigt du serpentard lui effleuré le ventre un gémissement plaintif, craintif franchit ses lèvres, il se cambra tout en tremblant davantage. Bien sur que c'était faux, qui aurait envie de ce faire violé? (No comment)

" - Chuuuuut !! J’ai pas l’intention d’aller vite mais je te remercie pour cette coopération soudaine…Ce sera bien plus facile…. "
Ce doigt sur son front ne présageait rien de bon, il préférait garder les yeux fermés que de les ouvrir et de revoir encore les sévices qu'on infligeait à son corps. Un autre gémissement franchit ses lèvres quand il sentit le serpentard sur lui, il en pleura de plus bel. Son souffle s'accéléra, son corps tremblait de plus bel... son boxer fut enlevé s'ayè il était nu aux yeux du serpentard il se pinçait les lèvres, il fermait fortement les yeux. C'est un cauchemar il allait se réveillé. Il sentait les lèvres de celui ci se pressé contre son corps Quentin en avait des frisson, une chaire de poule avait fait son apparition. Il s'était surpris a bandé une fois devant son prof de musique mais juste après de longue préliminaire, depuis il en avait beaucoup de mal... *

Pense: C'est un cauchemar. Réveille toi Quentin...

* La séance de baiser est finie, oui s'était un cauchemar...
Non se n'en est pas un, il fut retourné violement mis sur le ventre le moment qu'il redoutait le plus était arrivé, il fut pénétrer violement sans aucune douceur ni aucune grâce. Il hurla à pleins poumons pleurant toutes les larmes qu'il lui était permis de versé. Mais rien aucun bruit, la pièce avait été insonorisé, e tune main lui couvrait la bouché. Il sentait le serpentard se mouvoir en lui, il se sentait mal, Quentin n'avait qu’une envie c'est celle de gerber... Apres un long moment, le serpentard avait enfin fini, restant allongé sur Quentin, il ne pouvait s'empêché de tremblé, le souffle haletant. C'était dure, éprouvant, puis le serpentard glissa sur le coté. Quentin quand a lui se mit sur le coté silencieux en se recroquevillant. Il tremble de plus belle, il veut juste oublié.

Quentin se relève, il a eu sa dose de péripétie pour la journée, ses fesses lui font mal, ses cuisses lui font mal ses reins lui font mal il est broyé pour la semaine. Encore le corps c'est rien, le moral en a encore prit un gros coup dans l'aile. Marchant vers son boxer son souffle était haletant, il titubait a ne presque plus tenir sur ses jambes. Son boxer enfilé, il se laissa tombé a genoux comme a bout de force, que dire, que faire? Rien il n'en avait même plus le courage, la vie? Il se demandait vraiment si elle valait la peine d'être vécu quand on subit cela... Puis il décida de mettre interne au silence*

Je ne dirais rien de ce qui c'est passé, je ferais comme ci je ne te connaissait pas, comme si je ne t'avais jamais vu et comme ci tu ne m'avais rien fait... Mais en contre partie tu ne t'approchera jamais de mon frère, pas un mot, pas un regard rien JAMAIS, JAMAIS, JAMAIS tu as compris ... Si j'ai le malheur d'apprendre que tu t'en est approché, je ne donne pas cher de ta misérable vie ... * il resta a genoux dos au serpentard, ce qu'il devait faire avant tout protéger son frère de se malade qui avait comme qui dirais jeté un petit dévolue sur lui. *

* Il fait froid tout d’un coup dans cette pièce. Le corps de Quentin ce refroidit peu a peu que cette étreinte par dans le passé, ses tremblements qu’il avait ne font que s’accentué au rythme que le temps s’écoule. Se rhabillé, il pourrait le faire, mais il n’en a plus la force, il n’en a plus le courage. Il est démoralisé, il se sent sale encore plus qu’avant. Comment réagir face à cela ? Il ne sais pas, il ne sais plus, il a cessé de réfléchir ou il avait sentit se corps étrange pénétré en lui. Même la, libéré, il ne savait plus quoi faire, ni quoi pensé. Toutes ses idées se bousculaient et quand il ne voulait pensée qu’à une seule, le trou noir. Est cela la frustration ? Un sentiment de mal être décuplé ? Alors la c’est même plus de la frustration qu’il ressentait, mais une envie de se suicidé, peut être que se soir rajoutera t’il une cicatrice a ses bras pour ne pas faire se qu’il n’a jamais eu le courage de faire… Mourir

Il l’entendait se rhabillé, Quentin n’avait pas encore trouvé le courage qu’il fallait pour se levé. Il préférait rester par terre recroquevillé à l’état de serpillière qu’autre chose. Il lui avait fallu déjà beaucoup de courage pour réussir a articulé quelque chose de compréhensible sans bégayé Quand il sentit la main d’Asmodeus se poser sur sa nuque, il ne pu s’empêché de se recroquevillé davantage voulant a tout pris ne plus être en contacte avec lui, un gémissement craintif franchit ses lèvres. Non il n’avait pas le droit de le toucher, il n’en avait plus le droit, trop de mal avait été fait. N’a-t-il donc pas le droit a un peu de repos ? Ses yeux étaient clos, il les ouvrit quand il entendit quelque chose tombé au sol.
« - Rhabille toi »
Alors que le serpentard s’éloignait a nouveau Quentin se redressa quand il l’entendit tombé a terre, signe qu’il s’était éloigné et qu’il s’était assis il s’empara de ses affaires, et les enfila d’une extrême lenteur. Il avait oublié que son t-shirt avait été déchiré, c’est en le mettant que ça lui revint à l'esprit :
« - Je te promets de pas l’approcher… »
Se rire, cette exclamation si méchante, fait frissonner Quentin, qui enlève son T-shirt
« - Tant que tu seras la pour combler le manque… »
Il se mordit la lèvre inférieur, en baissant la tête a nouveau des larmes coulèrent le long de ses joue… Voila tout va recommencé…
Il jette son T-shirt dans la direction d’Asmodeus sans pour autant se retourneR. Il aura beaucoup de mal a soutenir son regard sans fondre en larme… *

Répare le !! * certes il aurait plus le faire lui-même, mais en faite il ne se souvenait d’aucun sort pour l’instant, sa tête se refusait de pensé, se refusais de connaître et d’agir…*
Pour comblé le manque… * dit il d’une voix étouffé limite inaudible. Il se recroquevilla davantage sur lui-même, a croire qu'il n'etait bon qu'à ca, combler les manques, combler les envies* Du moment que tu n’approche pas mon petit frère je comblerais tous les manques que tu voudras… *C’est bizarre a quel points il est près a s’humilié n’importe ou, n’importe quand, n’importe comme quand la sérénité de son frère ou même sa sœur et en jeu. Pourtant a le voir on ne croirais pas qu’il se soucie de quelqu’un d’autre qu’a par lui-même. Même le plus mauvais des grands frères peut être protecteur.
« - Je devrais peut être te demander un serment inviolable au prix de ta vie… »
Il se mit enfin debout pour remettre son baggy, boucla la ceinture silencieux et se retourna affrontant enfin le regard du serpentard depuis ce malheureux accident. *
Mon serment inviolable a moi est un prénom et pas une formule. Je t’ai dit ma contrainte, tu m’as exposé la tienne. Tu ne t’approche pas de lui en contre partit je reviendrais a toi quand tu le souhaitera un points c’est tout. Pas de serment, pas de formule, juste ta parole contre la mienne. Tu n’e spa le premier qui me fait subir ça, qui utilise mon frère pour me faire faire quelque chose que je ne veux pas. Mais pour lui, rien que pour lui je suis près a me rabaissé au rand des bassesses de se monde tant qu’aucun mal ne lui est fait. Touche le ne serais qu’une fois, et je t’assure qu’aucune de tes mains, qu’aucun de tes gestes n’auront raison de moi … C’est une menace, je te conseille de la prendre au sérieux

PNJ: jeremy le frere de quentin qui intervient

Gryffondor et Serpentard...Deux maisons que tout oppose, deux êtres que tout sépare. Si autrefois la maison des rouge et or avait été un réel soulagement pour Jeremy, à présent, elle constituait généralement son cauchemard quotidien. Un cauchemard dont il ne sortait jamais, même en dehors du chateau, lorsqu'il retrouvait la douce quiétude de son foyer, il gardait toujours un lien avec la maison des serpents, de par son frère, qui lui faisait souvent remarquer sa différence, et son manque de niveau comparé au sien. Mais d'un certain point de vue Quentin avait raison sur ce point. Sans doute plus axé sur l'apprentissage de sortilèges divers que son frère, Quentin se révélait être un bien meilleur élève de quatrième année que lui. Jeremy lui, avait gardé cette part d'assurance et d'insoussiance de ses quatorze ans, alors que dès l'age de six ans, sans que Jeremy ne comprenne vraiment pourquoi, Quentin avait quitté les jeux de l'enfance pour s'enfermer dans un monde qui n'allait cesser de donner du fil à retordre à Jeremy et le reste de la famille. Un monde qui allait le changer en tout point. Entre eux, c'est comme s'il n'y avait plus de lien. Jeremy l'avait encore vu tout à l'heure, en cours de potions. Etant Gryffondor et jumeau d'un Serpentard, il constituait généralement une proie de choix pour certains de ses professeurs, et niveau bassesse, il était servi royalement. Cette journée qui aurait pu bien se terminer s'était ponctuée d'une retenue offerte gnéreusement par l'un d'eux. Les nerfs qui lache, cela faisait un moment que ca n'était plus arrivé. Mais Jeremy n'était pas fait de marbre, sa patience avait des limites... Et son professeur avait sû toucher ses points sensibles, sous le regard d'un Quentin, comme toutes les fois, impassible.
Il avait du terminer sa journée à nettoyer des fioles ayant servis pour le dernier cours de la journée. Mais ce que son professeur lui avait caché, c'est que l'eau mélangée à la substance qui se trouvait encore dans les fioles à nettoyer avaient des vertus particulièrement agressives pour la peau. Et c'est ainsi que Jeremy avait appris à ses dépens ce qui était une règle d'or selon son professeur : toujours mettre des gants lorsque l'on manipule des produits dont on ignore l'origine. Et comme Jeremy oubliait toujours les siens, il fut bien forcé de terminer sa vaisselle du mieux qu'il le pouvait. Je ne vous ferais pas un récit de l'apparence de ses mains après cela, mais cela faisait peine à voir. Et comme si ce n'avait pas été suffisant, son professeur lui avait fait astiquer fortement les étagères des cachots, ce qui avait eu don de faire éclater certaines cloques se trouvant sur ses paumes et la longueur de ses doigts, sous un sourire sarcastique dont un certain professeur Rogue avait le secret. Le jeune Gryffondor avait effectué sa retenue sans broncher et à présent que son calvaire était enfin terminé, il pouvait à loisir arpenter les divers couloirs du chateau. Tout ce qu'il voulait en ce moment, c'était s'éloigner le plus loin possible des cachots. Il aurait pu retourner dans la douce quiétude de sa salle commune, mais il n'en avait pas vraiment envie. Après tout, pour que faire? La compagnie d'autres personnes n'était pas vraiment ce qu'il désirait en ce moment, inspirant plus à de la solitude qu'autre chose. Etre seul avec lui-même, voilà ce qu'il lui fallait. Etre seul avec pour compagnie le martèlement de ses pas sur le sol du chateau qui semblait résonner entre les murs des couloirs.
Des cachots, il était rapidement passé au premier étage, pour grimper le second... Sans vraiment y faire attention. Tout les étages qu'il avait eu l'occasion de grimper, il les avait parcouru. Tant et si bien qu'il avait fini par se retrouver dans le couloir, menant à la salle d'astronomie et aux tours du chateau. Sur son chemin, il n'avait pas eu l'occasion de croiser quelqu'un, pas même un préfet éffectuant sa ronde pour s'assurer que chaque élève était bien présent dans sa salle commune à faire les devoirs du lendemain. Mais Jeremy n'allait pas s'en plaindre. Il avait poursuivi sa marche, jusqu'à se retrouver face à une porte ne lui permettant pas d'aller plus loin. Mais en ce moment, la franchir n'était pas trop ce qu'il désirait. Au contraire, il s'y adossa un instant pour se laisser glisser vers le sol, les genoux repliés vers lui pour reprendre son souffle. Mine de rien, les sept étages sans utiliser les raccourcis, ce n'était pas rien. Profitant de cette pause, il se libéra de sa cape de sorcier qui lui donnait plus chaud qu'autre chose et la replia pour la déposer à ses cotés. Là, ça allait beaucoup mieux. Petit à petit, il retrouva une respiration régulière et se demanda un instant pourquoi il était venu ici. Il s'était seulement contenté de suivre ses pas, et s'il n'y avait pas eu cette porte pour les arrêter, à coup sûr, il ne serait certainement pas assis en ce moment. Son souffle à peine récupéré, sa curiosité s'empara de lui alors qu'il se retournait pour observer la porte derrière lui. Où menait elle? Puis, des pas se firent entendre. Les pas de qui, il n'en savait rien. Tout ce qu'il savait, c'était qu'il voulait garder sa solitude, et dès lors, que faire d'autre à part se lever et disparaitre à travers cette porte? Cette idée lui semblait être la plus adéquate, oui mais voilà, si cette porte n'était pas verrouillée, les choses en seraient plus faciles. Et ces maudits pas qui continuaient de se rapprocher... Bon, reste calme Jeremy, tu vas trouver une solution. D'instinct, sa main droite se posa sur la poche de son pantalon, poche où se trouvait en permanence sa baguette. Et le simple toucher de ce morceau de bois eut don de le rassurer. Ses craintes le quittèrent aussi vite que sa baguette s'était pointée vers la porte et que la formule lui permettant de l'ouvrir franchisse ses lèvres. Un simple cliquetis, et le voilà en train de pousser la porte d'une main alors que de l'autre, il rangeait sa précieuse amie dans sa poche.
Le jeune gryffondor ne fit pas attention de suite à l'endroit dans lequel il venait de s'engouffrer, non, il referma la porte derrière lui le plus silencieusement possible et s'y adossa un instant dans un soupir. Son regard tourné vers un endroit vide de la pièce se tourna alors pour observer ce qui se passait aux alentour... Et se posa alors rapidement sur deux silhouettes dont une ne lui resta pas étrangère très longtemps : son frère, debout devant un autre élève qui lui présentait une barre de chocolat. Situation étrange, jamais il n'avait vu son frère aussi proche de quelqu'un qu'il l'était de ce dernier. Lui qui donnait en permanence l'impression qu'il ne souhaitait se laisser approcher de personne. Si Jeremy avait été à la place de cet élève, il était prêt à parier que la friandise se serait retrouvé au sol, et lui à l'extérieur de la tour en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Il y avait tout de même quelque chose d'étrange chez cet élève. Pourquoi ricanait-il ainsi? Et de quoi le remerciait il? Jeremy n'en savait rien, mais étant arrivé, il l'avait bien compris, comme un cheveu dans la soupe, il préféra rester contre la porte, les bras croisés contre son torse, son regard rivé sur son frère et l'autre élève, dans le plus grand des silences.

la on repasse a quentin

* Pas de s’il te plais, ni même un merci, il ne méritait aucune politesse de la part de Quentin après ce qu’il venait de lui faire. Se répare le, dit d’un façon froide, et hautaine comme un ordre que l’on donne a un chien pour qu’il vous obéisse avait franchit ses lèvres. Sans rien dire, sans broncher, Asmodeus venait de le lui réparer et lui renvoya. Quentin ne tarda pas a se rhabillé entièrement. Comment pouvait on faire une chose comme ça sans éprouvé de remord. Sans avoir envie de s’excuser, ou même se tuer ? Mais c’est vrai qu’on aurais eu beau lui déblatérer toutes les excuses qu’on voulait il n’aurait jamais pardonné, il ne sais pas pardonné il ne sais plus. Lui demandé pardon aurait été gâché de la salive pour rien parce qu’il ne veut plus écouté. Que des mensonges, des paroles mensongères. Maintes fois son prof de musique lui avait dit qu’aujourd’hui serait la dernière et il a toujours continué, pendant 5 ans il a continué. Voila pourquoi il ne croyait plus aux pardons des gens. Puis le silence, il avait entendu le serpentard se craquer les doigts, c’est la qu’il décida de se mettre debout et d’enchaîner avec sa tirade. Il regarda Asmodeus se levé, obligatoirement il eu un mouvement de recule… Le serpentard accéléra légèrement l’allure et passa son bras autour de la nuque de Quentin le rapprochant a nouveau de lui. Instinctivement Quentin posa ses mains sur le torse d’Asmodeus pour ne pas qu’il s’approche encore trop prêt.
« - Je prends ta menace au sérieux…J’aurais tord de te sous estimé… »
Les lèvres de Quentin s’était mise a tremblé, une autre gémissement plaintif franchit sa bouche quand il sentit une main descendre et se poser sur ses fesses, il ferma les yeux repoussant un peu plus le serpentard.
« - Tant que toutes les parts du marché sont respectées il ne devrait pas y avoir de problèmes entre nous… »
Asmodeus s’était approché et comme tout à l’heure avait pris une grande inspiration dans le creux du cou de quentin. Ses bras fléchissaient, pourquoi n’arrivait il pas a résisté, pourquoi se sentait il toujours aussi faible dans les bras de quelqu’un au point qu’il n’arrive même pas a se défendre. LA main qui était descendu semblait toujours sur ses fesses, alors que l’autre s’activait dans l’une de ses poches Il en sortit une barre de chocolat :
« - Tiens c’est pour te remercier… »
A nouveau il baissa la tête des larmes coulèrent a nouveau de ses yeux. Pourquoi tant de méchanceté se n’était pas assez dure comme ça ? Fallait il encore qu’il soit rabaissé et humilié. Etre violé et avoir comme récompense une barre de chocolat, mais où va le monde. Il ferma les yeux et se pinça les lèvres. Mais d’un geste violent de la main envoya la barre de chocolat par terre. Puis un cliquetis, suivit d’un grincement de porte. Enfin son sauveur allait arriver. Il se retourné s’apprêtant a sortir, quand ses yeux tombèrent sur des yeux bien familier… *

Jeremy… *il écarquilla les yeux. Avait il écouté quelque chose ? Avait il vu quelque chose ? Pris sur le faite il devait se demandé comme se faisait il qu’il était aussi proche de se gars, lui qui se refusait tout contacte avec les gens. A contre cœur il se colla contre Asmodeus, le plus proche qu'il pu. Prenant une des mains du serpentard la posant sur son ventre. Tant pi au points ou il en était autant se rabaissé encore plus.* Qu’est ce que tu fais la ?? je..je.. * Il déglutit et releva la tête vers Asmodeus, Il pris une profonde aspiration, pourvu qu’il joue le jeu.* Je croyais que tu avais correctement fermé la porte bébé. Si maintenant tout le monde peu nous prendre en flag on sera tranquille nulle part. *C’est con, mais c’est la seul idée qu’il eu pour que le fait qu’il soit si proche soit vrai. Mais tout sonnait faux, il le sentait, il le savait, mais Jeremy allait être très dur à convaincre.* Asmodeus, mon frère jeremy. Jeremy voila Asmodeu, c’est… c’est…C’est… * pourquoi était se si dure a dire ?* C’est mon petit copain. * Il se mit immédiatement a rougir pas a cause de la révélation, mais surtout qu’il avait du mal a mentir. Quand il mentait instantanément il rougissait. Il sentait a nouveau ses jambes fléchirent sous son poids. Non il n’avait pas le droit de tomber pas maintenant, pas tant que Jeremy ne goberait pas son histoire. Mais pourquoi avait il le mauvais pressentiment qu’il ne le croirait pas. Est-ce être jumeau ? Il déglutit espérons que tout se passe bien et qu’il puisse enfin lui aussi partir, s’éloigné de cette endroits. En tout cas plus jamais il ne remettrait les pieds ici. *

pnj: jeremy le petit frere

Sa présence n'était pas resté longtemps inconnue, et alors que son frère et l'autre garçon tournaient à leur tour leurs regards vers lui, Jeremy préféra rester contre la porte un moment. Il y avait quelque chose d'anormal ici. Quoi? il ne le savait pas. Mais quelque chose clochait. Première chose: la réaction de Quentin... Depuis quand se justifiait il ainsi auprès de lui? Et de deux, pourquoi acceptait il de se tenir si près de quelqu'un alors que d'habitude, Jeremy n'avait qu'à faire un pas vers lui pour qu'il recule? Pourquoi ne l'avait il pas renvoyé? Après tout, lorsqu'il voulait etre tranquille, c'était toujours comme cela qu'il agissait. Il n'avait pas l'habitude de mettre des gants avec son jumeau et le voilà qui le présentait à l'autre comme son frère. Il y avait de quoi tomber de nues. Non sérieusement, il y avait vraiment quelque chose d'anormal. Et cela se confirma par la couleur rougeâtre que prirent les joues de son frère. Il ne manquait plus que cela pour confirmer ses doutes. Quentin lui cachait bel et bien quelque chose. Il n'y avait plus de raison d'hésiter.
Son petit copain? Quentin qui ne sait pas se faire des amis à un petit copain... C'est une blague ou quoi? Quoique si c'en était une, elle ne faisait pas vraiment rire Jeremy qui continuait de les observer tour à tour avec l'impression que chacun de leurs gestes étaient calculés. Quand enfin Asmodeus vint à à l'aide à Quentin


Enfin Quentin tu vois comment tu balance ça…Tu pourrais le ménager un peu….


Le ménager? Là Jeremy pouvait se dire que ce jeune homme ne connaissait pas vraiment son "petit ami" car le jour où Quentin ménagerait Jeremy, les elfes de maison auraient droit à cent jours de congés sur l'année pour partir sur une île des Bahamas... Néanmoins, Jeremy ne dit rien sur sa façon de penser et continua d'observer le jeune Serpentard quis'adressait à lui avec un sourire. De mieux en mieux, on bats des records, depuis quand les Serpentard sont sympathiques avec les Gryffondor? Toutes ces délicates intentions ne faisaient que donner l'impressionn au Gryffondor qu'il devait se méfier. De l'un comme de l'autre.



Il doit être surpris après tout…Ce n’est pas vraiment ton genre d’avoir un ptit ami…

Là, le jeune homme avait visé juste. Cette révélation l'avait beaucoup surpris. Imaginer Quentin en couple avec quelqu'un, Jeremy ne l'avait jamais fait. Et maintenant, il devait se mettre devant le fait accompli que son frère était bien avec quelqu'un... Premier choc... Et qui plus est, un garçon... Deuxième choc.
Son regard se posa alors sur la barre de chocolat qui se trouvait être au sol. Une barre que Jeremy avait eu le temps de voir voler tout à l'heure des mains de son frère. Mais il ne posa pas de questions, et reporta presque immédiatement son regard sur les deux Serpentard alors que son interlocuteur s'avançait vers lui, la main tendue, en se présentant.



Je m’ appel Asmodeus Way…Et en quelques sorte je suis le petit copain de ton frère …j’espère que ça ne te pose pas de problème…

Le regard de Jeremy croisa le sien un instant alors qu'il ne faisait pas le moindre effort vis-à-vis du Serpentard. Il aurait pu s'avancer et aller lui aussi à sa rencontre, mais non, à la place, il le laissa venir à lui et ne prit pas la peine de venir serrer sa main dans la sienne. A la place, il se contenta de l'observer sans lui montrer la moindre marque de sympathie un long moment, avant de glisser délibérément ses deux mains dans les poches de sa veste et enfin, il consenti à lui adresser la parole, d'un air toujours aussi neutre

Depuis quand mon avis compterait-il? Si tu es vraiment avec lui, tu devrais le savoir...

Pour échapper au fait de lui rendre son sourire et de répondre à sa promesse, Jeremy tourna son regard vers Quentin et s'autorisa enfin à contourner Asmodeus pour s'avancer vers son frère, bien décidé à lui faire part de son comportement étrange


Si tu étais dans ton état normal , ca ferait déjà un moment que tu m'aurais mis dehors pour rester seul avec lui... Et tu n'aurais pas pris le temps de me le présenter... Encore moins de me présenter à lui comme étant ton frère. Je croyais que je n'étais rien pour toi... A quoi tu joues exactement?

nous repassons a quentin

* Comment pouvait on avoir un esprit aussi tordu, comment pouvait on mentir pour se sortir d’une situation délicate alors que se n’était absolument pas le cas de quentin. Il n’avait jamais mentit a Jeremy a part aujourd’hui, il n’avait tellement rien a se reproché, il parlait tellement peu que mentir pour lui était inconcevable. Caché la vérité est ce vraiment un mensonge pour la survie d’un individu ? Si cela se savait Quentin serait probablement mort. Mort de peur pour la suite des événements, mort de honte si sa se savait qu’il faiblissait aussitôt qu’on pose la main sur lui, affronté l’image de la mort elle-même si on touche a sa famille. Caché la vérité n’est pas un mensonge, c’est juste un moyen de préservé la vie aussi ignoble soit elle. Quentin a décidé comme sur un coup de tête de faire de son violeur son petit copain, grossière erreur car il ne pourrait pas tenir se rôle correctement. Dans les bras d’Asmodeus même de son plein gré, il avait maintes fois faillit fléchir, alors qu’il essayait de faire le vide pour se concentrer il sentit une main sur son épaule, il ferma les yeux en baissant la tête légèrement tremblant. Ca risquait d’être dure pour la crédibilité
« - Enfin Quentin tu vois comment tu balance ça…Tu pourrais le ménager un peu…. »
Il écarquilla les yeux en secouant légèrement la tête. C’est bon trop tard le plan allait tombé a l’eau. Quentin n’a jamais, au grand jamais ménagé quelqu’un. Selon lui la meilleur façon de se faire comprendre c’est d’allé directement au but sans passé par des chemins sinueux qui pourrais faire abstraction de toute compréhension du message. Il se tais, déglutit et regarde Jeremy… Déjà un mauvais point pour Asmo

Jeremy ne dit rien, Quentin fait exactement pareille, il se contente de le regardé et de voir comment asmodeus va rattrapé la chose et faire en sorte que Jeremy gobe tout ; Quentin avait foirée sa tentative en multipliant les erreurs espérons qu’il rattrape ses boulettes.
« - Il doit être surpris après tout…Ce n’est pas vraiment ton genre d’avoir un ptit ami… »
La il venait de marquer un gros, même énorme points. Ce n’est pas que ce n’est pas son genre, c’est il n’en JAMAIS eu. Sans lâcher Asmodeus ni Jeremy des yeux, il se pinça les lèvres, mordillant son piercing et jouant à le faire bougé avec sa langue ; Bon la Asmo venait de sauver une partie de cette histoire complètement ratée. Le regard de Jeremy change enfin, il donne raison a Asmodeus, Quentin déglutit il ne veut pas crier victoire tout de suite, il est encre trop tôt pour le dire
« - j’espère que ça ne te pose pas de problème… »
Un bruit de verre cassé dans sa tête, il faillit perdre l’équilibre et tombé par terre comme un con. Sa respiration s’accéléra, son rythme cardiaque aussi. C’est bon c’est foutu, jamais Jeremy ne sera assez stupide pour croire ça. Demandé son autorisation, demandé si ça ne le dérangeait, mais vraiment qu’elle idée lui était passé par la tête. Au lieu qu’ils s’en sortent, les voila a présent encore plus enfoncé qu’au départ. A nouveau il déglutit comme allait il faire pour rattrapé tout ça, rattrapé ce qui a été dit, rattrapé les boulettes s’était impossible…
« - Depuis quand mon avis compterait-il? Si tu es vraiment avec lui, tu devrais le savoir... »*

Pense : J’en était sur, c’est mort définitivement mort. Ne m’observe tu pas suffisamment pour savoir que l’avis d’autrui m’importe peu, pour voir que je m’en fou de ce que peuvent dire ou pensé les autres et encore plus quand il s’agit de mon frère. Je croyais que tu le savais… Je ne demande jamais avis a quelqu’un j’agis selon mes instincts et mes envies, les autres m’importe peu. Je suis égoïste c’est moi d’abord les autres après… Asmo, on est foutu

Quentin regarda Jeremy contourné le serpentard le laissant sur place bras tendu comme un con, à croire qu’il n’avait qu’une envie rabaissée quentin. Oh il aurait pu reculé, mais la c’est Jeremy qui s’avançait il n’a jamais reculé devant son frère le faire maintenant serait montré qu’effectivement quelque chose ne va pas. Quentin respira un bon coup tentant le plus qu’il pu de se calmé, retrouvé son visage froid et hautain tout en gardant sa voix calme de d’habitude. Mais l’a présence d’Asmodeus l’empêchait de se concentrer, Jeremy le perturbait énormément. Quand il fut suffisamment proche de lui son jumeau s’arrêta et commença alors a parlé. Quentin silencieux depuis le début ne pu faire autre chose que de l’écouter :
« - Si tu étais dans ton état normal, ça ferait déjà un moment que tu m'aurais mis dehors pour rester seul avec lui... Et tu n'aurais pas pris le temps de me le présenter... Encore moins de me présenter à lui comme étant ton frère. Je croyais que je n'étais rien pour toi... A quoi tu joues exactement? »
Pourquoi fallait il qu’il le connaisse autant, pour qui fallait il qu’il soit son jumeau et voit clairement en lui. Pourquoi est il entrain ici a se moment la. Quel horreur se justifié en mentant surtout quand on fait absolument tout foirée.*

Pense : je suis bloqué, il m’a bloqué, Qui peu m’aidé, je n’arriverais pas a me sortir seul de cette galère. Pourquoi faut il que tu me fasse ça, pourquoi lis tu en moi comme dans un livre ouvert, je suis donc si prévisible que ça ? Que tu en viens a calculé la moindre de mes actions qui ne serait pas le Quentin que je suis d’habitude ? Tu voulais un miracle, je voulais te montrée que les miracles existes même si ce ‘nets qu’un faut et pendant un certains temps. Je voulais savoir ce que sa faisait de t’appelé mon frère devant toi, et tu sais quoi j’ai frissonné, ça m’a fait tellement bizarre alors que d’habitude mes paroles envers son dur et sans accroche je suis vil et mesquin même avec toi… je ne veux pas te mentir tu le sais, mais je suis obligé pas pour moi mais pour toi. J’en est marre qu’on se serve de toi pour m’atteindre. Asmodeus c’est servi de toi pour que je m’approche de lui, regarde ou j’en suis-je te ment pour ne pas a avoir a te dire la vérité. Pour toi je passe comme quelqu’un qui n’en a rien a foutre de sa famille, qui n’a aucun sentiment et aucun cœur, tu n’as pas tord j’aime cette image de toi. Et pourtant je ferais tout pour toi pour vous toi, maman papa et sanael. J’ai besoin de vous seulement je ne peu vous le dire ni vous le faire savoir de peur d’en dire trop, j’espère juste que tu me pardonnera…

* J’arque un sourcil, en haussant les épaules, je reprend une voix sur et hautaine * Tu voix la dernière fois au couloir tu m’as reproché de ne pas avoir cherché a tisser de lien avec toi, ou te chercher comme tu l’as dit. Pour une fois que je te montre que peu a peu grâce a lui je change, qu’il a réussi a m’adoucir tu m’envoie ça en plein dans le visage. J’ai voulu pour une fois m’intéressé a toi, te faire partagé ma vie que tu connais a peine et la seule chose que tu trouve a dire c’est a quoi je joue ? Je suis profondément blessé par ton attitude, pour une fois je m’intéresse a la personne qui depuis la naissance se trouve être mon frère. C’est vrai je n’ai pas été le meilleur des grand frère, je tes fait peur, je t’ai fait mal je n’ai pas fait attention a ton… bref, la pour une fois que je te prouve que tu es une partie intégrante de m’a vie en te présentant a mon copain comme une personne d’exception tu me le reproche ? Il faut qu’on m’explique, que tu m’expliques. Quand je suis odieux tu me demandes ou je suis, et quand je t’ouvre un minimum mon cœur tu me le brises sans regarder ce que tu provoques. Mais que cherche tu ? Qu’attend tu de moi Jeremy ? Qu’est ce que j’ai fait de mal encore ? * il sent ses joues lui brûler, Quentin doit être écarlate tellement que qu’il a chaud, mais sa voix, son regard n’on pas changé il a toujours le même timbre et la même expression pour persuadé son frère que tout ceci est bien sérieux mais encore une fois le persuadé va en être que plus dure surtout s’il recommence a parlé avec ses constatation impasse et ses questions gênantes en vue de la réponse. *