* Comment faisait ils tous ? Voila la question qu’en se moment Quentin se posait. Soit c’est parce qu’il était tombé dans l’année la plus encombrante de devoir soit ça lui tenait beaucoup trop a cœur. Il n’avait aucun moment de libre, toujours entrain de faire devoir sur devoir, rédaction sur rédaction, et quand il ne croulait pas sous les parchemins c’était sous les livres qu’il se perdait. A croire qu’il était tellement overbooké qu’il avait a peine le temps de dormir. En même temps c’est temps si il était insomniaque. Son passé, celui qu’il croyait loin derrière lui-même si ça continue a le hanté allait revivre dans entre les murs de poudlard. Mais une chose était sur au moins, Jeremy lui serait épargné et même il peut enfin se défendre. Quoi que… Mais son insomnie ne vient pas que de la, pour la première fois de sa vie, pour la première fois en 8 ans, Quentin avait pleuré devant jeremy. Certes silencieusement et de dos, mais affalé par terre comme il l’avait été, tête baissé il n’était pas dur de comprendre dans quel état Quentin se trouvait. Alors pour s’épuisé, pour se défoulé il lisait, faisait ses devoirs et parfois même les refaisait pour pouvoir argumenté davantage un paragraphe. Voila son état d’esprit actuel. Il sortit de sa salle commune un livre de botanique dans les mains et 6 autres lui lévitant au dessus de la tête. Il se dirigea vers une salle de classe située dans le couloir du 2 eme étage généralement très peu fréquenté par les élèves.

Une fois dans la salle il posa ses affaires ainsi que ses livres sur la table. Les ouvrit tous à une page qui l’intéressait pour son devoir d’un coup de baguette magique. Avec cette baguette tout devenait possible dommage de devoir en être privé une fois de retour a la maison. Sinon il serait vraiment l’utilisé a très bon escient… Mais même à ses 17 ans il aura une dérogation spéciale lui interdisant d’utiliser sa baguette chez lui ; si par malheur rien n’est fait, dans 3 ans un malheureux événement, un triste accident surviendra, et peu pourront savoir que c’est lui qui a fait le coup. Son prof de musique allait enfin payer pour les préjudices qu’il lui a causés pour la dépression qu’il lui a infligé. Un sourire mauvais s’installé sur son visage jusqu'à ce que ses yeux se baisse sur la table et que sa tête le rappelle a l’ordre. Prenant place avec une plume, un encrier, des parchemins devant tous ses livres il était fin près a travaillé.

Puis un bruit, il pencha la tête sur le coté signe que le bruit le dérangeait grandement. D’après les couinements c’était un animal, un rat plus précisément. Quel tragédie paix a l’âme de se pauvres rat qui des a présent n’auras plus de maître. Enfin plutôt pauvre enfant qui tenait a son rat car bien il n’aurait plus son petit animal de compagnie. Faisant comme si ne rien n’était pour appâté l’animal il continua d’écrire. Sa baguette est pour droitier, parce que normalement il est droitier, mais a eu un petit quelque chose de sa mère. Quentin est ambidextre il peut aussi bien écrire avec aisance de la main droit que de la main gauche sa plume fait donc le voyage main droite/ main gauche puis du coin de l’œil guette l’animal. Tout comme l’araignée qui a fini dans la bouche de Jeremy, il fallait bien faire quelque chose de ce rat *

- Puricul Animae

* L’éclaire jaillit de sa baguette se ruant sur l’animal dans sa ligne de mire qui aussitôt le fait mourir dans un petit couinement. Rangeant sa baguette il se craque les doigts ainsi que les cervicale pour se remettre correctement au travail dans le silence le plus beau et le plus complet qu’il soit. *

* S’occuper l’esprit penser à autre chose voila tout ce dont il avait à faire pour occuper ses journées. Tant qu’il faisait quelque chose, lecture, devoir, apprentissage de sort voir même perfectionnement il ne pensait a rien. Lui n’avait pas de petite voix qui le poussait à faire ce qu’il ne voulait pas, mais ses pensées l’empêchaient de faire plein de chose. Quand il est seule dans la salle commune a regardé le feu crépité dont il se laissé facilement ensorcelé par cette danse enflammée ses pensées se tourne vers les moments noirs de son existence. Il pensait à son prof de musique et à Asmodeus qui reproduisait a peu près la même chose. Et il se détestait, oui Quentin se maudissait d’être aussi fort mais si faible, pourquoi savoir maîtrisé des sorts quand on perd pied aussitôt que quelqu’un vous porte la main dessus… C’est ce qui se passait avec les personnes de la gentes masculine. A bonne distance tout se passe plutôt bien. Mais aussitôt qu’on l’approche de trop près, qu’on l’effleure ou même le touche hormis pour le frappé, il pers toute crédibilité a s’en effondré par terre. La peur le paralyse et une mauvaise paralysie parce qu’à chaque fois elle l’empêche de faire tout mouvement. C’est ce qui c’est passé dans la tour, c’est ce qui a fait que pendant une après midi il était la marionnette du serpentard. Il n’aime pas qu’on l’approche, il n’aime pas qu’on le touche il n’aime que les rapport de force éloigné…

La assis derrière se bureau il ne pense qu’a une chose qu’a la note qu’il va obtenir, il veut que ça soit un O ça doit être un O. Il écrit sans regardé, écris, écris sans compter, tourne et retourne les pages des différents livres, sa tête est en surchauffe tant il veut faire plein de chose a la fois, sa main s’active sur le papier, ses yeux suive les lignes des livres puis lâche de temps a autre pour regarder ce qu’il écrit puis violement il tape du poing sur la table cessant tout mouvement. Sa main glissa vers ses cheveux le front collé contre la table ses cheveux laché lui tombait sur ses épaules, puis il passa mainte fois les mains dans les cheveux en se massant le cuire chevelu avant de descendre jusqu'à ses tempes. Il avait chaud, ses pommettes rougissantes étaient bouillantes tout comme son front, son souffle était haletant comme s’il venait de courir. Il regarda un instant le plafond les mains derrière la tête en se balançant sur sa chaise poussant alors un profond soupire. Puis après ce petit instant de détente il rebaissa la tête décidant de se remettre au travaille mais beaucoup plus calmement. Il n’avait pas sentit que quelqu’un le regardait. Bizarre car d’habitude il sent toujours quand un regard se pose sur lui, mais la l’absorption du devoir agis comme une barrière il ne se concentre que sur ça et sur rien d’autre.

" - Alors toi aussi tu a un penchant pour le fait d’infliger de la douleur aux autres…Je savais que tu avais du potentiel…"
Il écarquilla les yeux, lâchant sa plume subitement et cessant tout mouvement ; Cette voix, comment l’oublier… Il baissa la tête n’osant se retourné, son cœur se mit a battre a tout rompre, non par encore lui. Il ferma les yeux en espérant que se soit son subconscient qui lui joue des tours, que sa soit sa tête qui veux le déconcentré, pire le déstabilisé. Mais il sentait bel et bien une main sur son épaule. Cette main qui la retenu alors qu’il allait tombé, cette main qui lui a couvert la bouche pour masqué ses cris, cet être qui ne lui a fait que du mal… Il ne pu s’empêcher de frissonner. Doucement Asmodeus avait glissé sa main le long du dos de Quentin, qui d’ailleurs ne pu empêché un léger cambrement suivi d’un léger gémissement mélangeant, crainte et plainte. *

Tu as de la chance que je ne puisse faire la même pour toi
* « - Tu m’a tellement manqué tu sais… » *
La réciprocité n’est pas innée chez tout le monde. Disparait… * il faisait un effort surhumain pour ne pas sangloter, contenir son angoisse, mais le timbre de sa voix le trahissait énormément, elle était basse et plutôt tremblante, même si elle se voulait sèche et autoritaire, la peur prenait le dessus *
« - Ca c’est bien terminé avec ce chère Jeremy ? »*
Ce qui c’est passé dans la tour reste dans la tour avec ses multiples secret * Quentin se leva subitement de sa chaise, se contacte le dérangeait énormément, il le perturbait, le déstabilisait. Il poussa le serpentard en direction de la sortit *
N’as-tu pas meilleur chose a faire que m’infligé de ta présence ? Dégage de la Asmodeus tu fais tache sur ce magnifique tableau

* même si a poudlard la magie était autorisé il ne voulait pas que son apprentissage des sorts lui serve a faire du mal au gens. Pourtant la plus part savent qu’il en est hautement capable d’un points de vu connaissance, mais pour ce qu’il y est de mettre en pratique les instruction cela lui donne beaucoup de mal. Blessé quelqu’un sur le plan physique il n’y arrive que quand on le force vraiment, sinon il se contente de blessé sur le plan moral. Pourtant dieu seul sais tous ce qu’en ce moment il aurait envie d’infligé au corps d’Asmodeus, ses pensées resteront pensées, ses pensées ne seront jamais mis en pratique parce qu’il ne veut aucun problème, il arrive parfois que le geste surpasse la pensée espérons pour le serpentard que Quentin reste maître de son esprit et de ses pensées, sinon le résultat serait bien moche a admirer… Mais cela n’empêche pas que même s’il ne lui fera rien cela autorise Asmodeus de ce rapproché aussi près de Quentin. Surtout qu’en plus pour être vrai il n’aurait jamais voulu le revoir. Mais cela le forçait t’il a resté lié a lui de par la promesse qu’ils se sont fait mutuellement ? Quentin ne pu s’empêché d’avoir une grimace de dégoût, puis après lui avoir déblatéré un petit disparaît le serpentard avait lâché un de ses ricanement de mauvais présage, un ricanement froid qui a le on de vous faire avoir la chaire de poule. Mais le regard de Quentin ne baissait pas, il s’était fait humilié une fois cela suffisait.*

Dommage, tu es sur que tu ne veux pas que je t’aide ? L’histoire que ça rentre dans l’ordre naturel des choses ?

* Après cette petite phrase décalé et le geste déplacé de Quentin, Le jeune homme entra dans un colère des plus sombre, son regard en disait beaucoup, en même temps Quentin lui manquait un peu de respect et par-dessus il venait de le poussé provoquant la chut d’une chaise par terre il y avait de quoi être en colère. Mais envers Asmodeus, Quentin ne retiendrais presque aucun geste et aucune parole, il ne méritait pas avoir le respect du jeune poufsouffle. Le déshonneur était la, et rien ne pourrait le sauver de se déshonneur a par la lute que jamais cela ne recommence. Alors que Quentin était entrain d’assimiler ce qu’il venait de faire, la suite des événements prit une tournure qu’il n’aurait pas cru si rapide et si soudaine. A peine poussé, Asmodeus revint très rapidement à la charge sur Quentin le plaquant violemment contre un mur l’avant bras calé sous la gorge du serdaigle comme pour l’étouffer. Un gémissement de douleur franchit ses lèvres, par réflexe Quentin posa ses mains sur l’avant bras de celui-ci pour lui faire comprendre qu’il lui faisait mal, qu’il devait défaire son étreinte. Si seulement il avait les ongles de Jeremy il ne serait pas retenu de lui planté dans le gras du bras. Mais la, les ongles s’étaient plus que critique. D’être a moitié étouffé et compressé comme ça il avait l’impression que ses jambes quittaient peu à peu le sol :
« - Il me semble que t’a oublié les règles du jeu mon petit…T’a bien vu ce que j’ai fait avec toi alors imagine ce que je pourrait faire a ton frère…Bien pire croit moi. »
Quel monstre voila qu’il utilisait encore Jeremy, Quentin se mit a tremblé sous la main du serpentard ses yeux se plissèrent dans une moue coléreuse. Ses mains s’abaissèrent et tombèrent mollement le long de son corps. A la réflexion Jeremy pourrait bien faire partie de l’une de ses faiblesses…
« - Son joli visage pourrait ne plus jamais être le même … C’est toi ou lui mais j’en veux un des deux …C’est toi qui choisi »
Il le mitrailla du regard comme jamais, il venait de menacé de défiguré son frère en osant lui posé un ultimatum lui ou Jeremy, mais quel être humain peu faire cela ? La lèvre inférieur de Quentin tremblait par ces paroles qui sur son être était semblable a des coups de poignard rien que d’imaginé Jeremy se faire malmené le mettait dans une colère folle, une colère destructrice ne valait même pas pour lui qu’il mette son pseudo plan en exécution. Puis toujours silencieux a cet révélation après avoir poussé un autre cri de douleur du a l’étreinte qui s’était resserré sur sa gorge il fut projeté a terre. Y tombant lourdement, sans aucune grâce. *

C’est quoi cette vieille argumentation oratoire, pourquoi me demandes tu de choisir lui ou moi alors que tu sais très bien que je préfère que tu t’en prenne a moi qu’a lui, tu n’es qu’une pourriture Asmodeus tu le sais ?

* dit il le souffle cour en essayant de se redresser mais a peine fut il redressé que déjà le serpentard s’était accroupi près de lui ? Son cœur s’accéléra il avait la mauvaise impression, la sensation que tout allait recommencé, Asmodeus était debout, Quentin limite allongé ce qui donnait la même image que dans la tour… Puis il sentit qu’on lui saisis le menton pour le forcé a tourné la tête alors qu’il n’en avait nullement envie. Pourtant on lui tourna de force la tête faisant volé légèrement ses cheveux détachés :
« - Réfléchis bien…Tu pourrais le regretter… »
Il sentit qu’il resserrait l’étreinte sur son menton le faisait légèrement grimacé de douleur punaise pas il n’est vraiment pas doux ni délicat celui la. Puis leurs lèvres rentrèrent en contact. Un contact qui donnait à Quentin des nausées, Contact qui lui donnait envie de gerber. Pourtant il posa un de ses mains sur l’épaule d’Asmodeus pour qu’elle lui serve d’appuis. Quand subitement il lui chiqua la lèvre inférieure avec ses dents. La mordant tellement fort que quelques gouttes de sang se déversaient quand la bouche du serdaigle. Le contact fut rompu le souffle de Quentin était haletant. Il avalait le sang qu’il avait reçu et d’un coup de revers de main s’essuya la bouche *

Tu te rends compte que ça soit de l’intérieur ou de l’extérieur tu es complètement pourri ? Profite de Jeremy pour menacer son existence et me pourrir la vie, profite en bien car le jour où je trouverais ta faille comme tu as trouvé les mienne je ne te laisserais aucun répit

* Comment réagir normalement quand on menace l’une des dernières choses qui
fait qu’il tien encore debout, l’une des choses qui l’empêchait de mettre interne a cette vie monotone et sans fondement. Comment osé blasphémé sur son jumeau alors que c’est la seule chose pour lequel il se bat réellement. Sans Jeremy ici bas, sincèrement il n’y serait pas non plus. Pourquoi la famille même quand on croit qu’on éprouve rien vis-à-vis d’eux vous fait aussi mal, vous touchez autant ? Pourquoi l’utilisé lui pour parvenir a l’humilié ? Était se un autre moyen pour les serpentard de rabaissé un élève ? Utilisé la famille pour parvenir a ses fins ? Parce que dans ce cas la c’était hautement réussi. Quentin n’aimait pas qu’Asmodeus parle sans cesse de son jumeau comme si c’était une obsession, pourtant il devait se faire une raison tout le monde l’utiliserait pour l’atteindre, chose réelle mais qu’il ne pouvais concevoir, il devait être a lui. Oui Jeremy devait être a lui et a personne d’autre. Personne d’autre a par Quentin avait le droit de le protéger, de le toucher… Après leur engueulade dans les couloirs il avait eu une étreinte par son frère, son cœur semblait si léger a se moment la. Il passait yeux pour le mauvais frère alors qu’en faite il n’avait besoin que de cela.

A terre il avait du mal a se relever, c’est qu’il l’avait envoyé plutôt violemment. Asmo déposé un léger baisé sur les lèvres de Quentin qui s’empressait de le mordre comme il aurait souhaité le faire a la tour. La satisfaction qu’il en tira ? Entendre enfin un gémissement plaintif sortir de la bouche du serpentard. Bien sur qu’il était inutile, a quoi pouvait il donc servir a par orné les murs de poudlard ? Même son sang serait plus d’utilité que son corps. Asmo viens enfin de dire quelque chose de censé… Après la petite rixe, Asmodeus se redressa alors que Quentin resta a demi allongé par terre :
" - Crois moi je suis bien plus pourris de l’intérieur que de l’extérieur…Et malheureusement pour toi c’est de pire en pire chaque jour… "
Silencieux il ne pu s’empêché de secoué furtivement la tête sans le quitté du regard. L’intérieur comme l’extérieur était hautement équivalant. Une faille ? Ce prétentieux osait dire qu’il n’en avait pas ? Quand Quentin serait maîtrisé le sort legiliment c’est bien ce qu’on vera. Car rien ne pourra l’empêcher de rentrer dans sa tête. Alors que Quentin le regardait d’un mauvais œil toujours silencieux le serpentard s’était assis dos contre un mur, il réfléchissait ? Mais a quoi ? Soudainement plus rien, plus un souffle, plus une respiration, plus un bruit, il était mort ? Il s’était endormi ? Quentin se releva et se rua sur lui, le martelant de coups de poings d’abord au visage*

POURQUOI TU M’AS FAIT CA ASMODEUS POURQUOI, POURQUOI * ces mains baissèrent pour le martelé au niveau des épaules.* Si tu savais comme je t’en veux, comme je souffre, comme je souhaiterais que tu meurs * il descendit pour s’attaqué au ventre toujours en le martellant de coups * ma vie était déjà fichu, déjà détruite, et tu en a rajouté une couche, comme si ça ne suffisait pas. Pourquoi il a fallu que tu me viole * il colla son front contre l’épaule du serpentard pinçant fortement avec ses mains le gras des bras du serpentard. Ses yeux lâchèrent a nouveau le surplus de tristesse qu’il avait en lui. Pleurant a nouveau sur l’épaule de quelqu’un * est ce que tu veux de moi ce soir ? * dit il en balbutiant d’une petite voix entrecoupé par sa respiration haletante et ses larmes, limite inodible par la peur qui lui tenaillait le ventre, le corps encore tremblant par cette crise d’angoisse. C’était du suicide ce qu’il avait demandé. Mais il avait besoin de savoir comment finirais la plus part de leur rencontre. Le marché ressemblait a peu près a cela. Asmodeus ne s’approche pas de Jeremy en contre partit Quentin est en quelque sorte a lui, un pseudo jouet… un jouet ? Cette image le fit frissonné davantage. Il renifla bruyamment * JE T’AI POSÉ UNE QUESTION RÉPOND MOI * demanda t’il le pinçant de plus en plus fort* EST-CE QUE TU AS ENVIE DE MOI AUJOURD’HUI? * hurla t’il en le secouant limite dans tous les sens principalement dans le mur, pour le réveiller. Quentin sentait qu’aucun souffle ne lui caresse la joue, ni le creux du cou. Aucun souffle n’attestant qu’il vit ou qu’il respire. Aucun petit indice ou geste qui aurait pu faire frissonner le poufsouffle. Il avait pourtant besoin d’une réponse car plus rien ne le retenais ici*

* Pensait il que c’est en arrêtant de respiré que les choses allait s’arrangé ? Que c’est en faisant mine de se suicider que Quentin lui pardonnerait en le prenant par la pitié ? Mais il se gourait mais complètement. Quentin n’a jamais pardonné, il ne pardonne plus il ne pardonne qu’a son frère et encore c’était l’extrême limite. Et la Asmodeus lui montrait l’étendu de sa lâcheté, en voulant mourir… Tout du moins en retenant sa respiration il vient de démontré enfin devant les yeux du serdaigle sa culpabilité, pour la première fois Quentin le voyait rabaissé faible cette envie de mourir était un signe. S’il savait qu’il allait regretté pourquoi lui a t’il fait subir cette atrocité ? Pourquoi lui a-t-il souillé son corps alors qu’il n’est même pas capable de ne pas se sentir coupable de cette action barbare ? Asmodeus devait cacher quelque chose pourquoi des regret ? Pourquoi se laissait il martelé par le petit serdaigle ? Pourquoi se laissait il faire sans réagir sans le frapper sans faire son grand ? Plein de question a se moment sans réponse, et Quentin prenait pour une fois un plaisir a le frappé a le rué de coups déverser toute sa haine et sa colère sur le serpentard et lui il se taisait, ne disais rien il se contentait de viré au rouge.


Il avait mal a ses mains a force de le frappé, il avait collé son visage sur l’épaules d’Asmodeus en pleurant sans aucune retenue serrant entre ses mains les bras du serpentard, frissonna quand il sentit une main parcourir ses cheveux, enfonçant davantage sa tête dans l’épaule d’Asmodeus cambrant innocemment son dos non il n’avait pas le droit de le touché il n’en avait plus le droit le jour ou il avait franchit les limites. Il senti le jeune homme joué avec une de ses meches, Quentin ferma davantage les yeux non il ne voulait pas voir son visage. Il sentait à présent une main se baladé furtivement sur sa nuque, il se décolla en secouant la tête voulant se dégagé de ses mains, il entreprit même de se relevé, mais la main posé sur sa nuque avait glissé sur son cou introduisant 2 doigts dans le col de son uniforme, Quentin ouvrit les yeux et grimaça les mains posées sur les épaules d’Asmodeus il essayait de le repoussé et pourtant le jeune homme le tirait doucement vers lui et les bras de Quentin fléchissait sans qu’il ne sache pourquoi… pourquoi n’arrivait il donc pas a résisté un minimum ?

Le voila collé a nouveau contre lui mais cette fois contre sa volonté chose qu’il détestait, Asmodeus passa ses bras autour du corps du poufsouffle qui eu pour effet d’accentué les battement de son cœur et ses tremblement il était complètement paniqué car cette fois le serpentard avait ouvert les yeux :
" - Ce que je veux de toi ce soir c’est de l’affection… "
De l’affection et puis quoi encore ? Dans un geste des plus déplacé Asmodeus caressa la joue du poufsouffle, Quentin détourna la tête sur le coté non s’en était trop, s’était insoutenable, il bougea légèrement la tête pour chassé cette main de son visage :
" - Je veux avoir l’impression d’être important…indispensable pour quelqu’un…"
Et c’est de cette façon la qu’il pensait pouvoir être important aux yeux de Quentin en abusant de lui ? Non mais c’est le l’hôpital qui se fou de la charité, il se redressa subitement en colère sourcils froncé. Quand il eu fini de parlé, de prononcé toutes ses phrases qui faisait énormément de mal a Quentin notre poufsouffle ne pu s’empêcher de lui infligé une claque des plus magistral probablement la claque la plus forte qu’il est donné dans toute sa vie. La tête d’asmodeus était sur le coté on voyait très nettement les 5 doigts ainsi que sa paume dessine d’une rouge éclatant sur la joue du serpentard*

Comment oses tu me dire sa, comment ose tu me demandé d’être affectueux avec toi alors que non seulement tu as abusé de moi mais en plus tu as menacé de touché a mon frère ? Tu te fou de qui la Asmodeus * il tenta de le repoussa cette fois avec conviction mais il fut comme retenu par l’étreinte de celui-ci * tout a été dit, lâche moi maintenant, tu n’auras jamais rien de moi a par une haine des plus sincères. Je te hais, je te maudit, c’est plus compréhensible comme ça ?

* Il ne sait pas mentir, enfin Quentin a énormément de mal a faire semblant, il a réussi juste une fois mais après il en a été sévèrement puni. Faire semblant d’aimé, d’apprécier le serpentard était une tache beaucoup trop dur surtout pour lui qui avait pour habitude de détesté absolument tout le monde. Même avec tout on cœur et toute la volonté qu’il possède, ces gestes auraient été brut, sans douceur, son regard aurait été sois vide sois souligné par la peur, il n’aurais jamais pu être affectueux et aimant comme Asmodéus le souhaitais, il n’était pas comme ça, non ce n’était pas du genre du poufsouffle d’être quelqu’un de aimant, quand on voit qu’il rejette également son frère. Demandé l’affection de Quentin alors qu’il ne vous porte absolument pas dans son cœur c’est comme demandé a dieux un miracle comme ressuscité un mort. Quentin n’aime pas qu’on l’oblige, il n’aime pas quand on le force surtout quand il n’en a pas envie, et pourtant le serpnetard veux en quelque sorte l’obligé à faire quelque chose qu’il ne veut pas… C’est alors qu’une gifle est donnée, il a assez été rabaissé pour le moment. Même si cette gifle fut non réfléchit vis-à-vis des conséquence, il ne pu caché le bien fou que cela lui a apporté. Mais pas a tout le monde vu que presque immédiatement Asmodeus c’était saisi de ses poignets, il le tira violement ers lui tout en resserrant l’étreinte de ses poignets, il grimaça de douleur :
« - Tu ne comprends rien a rien….Tu préfère que je te viole encore une fois sauvagement sur le sol ? »
La lèvre inférieur tremblante les yeux se gorgeant a nouveau de larme il secoua négativement mais silencieusement la tête. Non il ne voulait pas être de nouveau violer, qui le voudrais ?

Tremblant il regarda Asmo lui lâché un de ses poignets il aurait pu le repoussé, se dégager de cette étreinte, mais cette peur le paralysait, rendant son corps aussi lourd qu’une énorme pierre de 10 tonne, il regardait la main du serpnetard se baissé pour oté sa ceinture, ses boutons. Les larmes perlèrent sans aucune retenu sur ses joues. Il était sur le point de mourir en retenant sa respiration et c’est pour une gifle qu’il va a nouveau salir le jeune poufsouffle ? Le monde est injuste et cruel :
« - C’est parfait ça me va aussi tu sais…Tu pense pas que c’était plutôt une chance pour toi ? Ta pas vraiment le choix je te le rappelle… »
Il n’y a pas a espéré, ou a cherché de midi a 14h jamais Quentin ne pourra donné a Asmodeus se dont il cherche ou se dont il a besoin c’était humainement impossible, son cœur était marbre, glace, entouré d’un mur une carapace qui le protégeait de l’amour, de l’amitié et de tout sentiment de bonheur. Quand on est bloque de pierre, on ne peu satisfaire quelqu’un qui en a besoin. Même si Quentin ne le veut pas la seul chose qu’il peu donné au serpentard c’est son corps. C’est vrai il n’a pas le choix, mais que pouvait il faire d’autre a par subir et se taire ? *

Ta philosophie c’est soit Tu m’oblige a me plier a ta volonté, soit je fais quelque chose que je ne sais pas faire et te faisant croire que je t’apprécie alors que je te maudit, soit tu abuse a nouveau de mon corps mais merde elle est ou la lumière de ma sortie dans tout ça ? Je ne peux pas te donné se dont tu as besoin, c’est pour moi humainement impossible, je n’ai pas de cœur, je n’ai pas les gestes qu’il faut, Je ne suis pas affectueux… * dit il d‘une voix faible masqué par ça gorge serré *

* Un gémissement plus craintif que plaintif franchit ses lèvres, se mordant alors la lèvre inférieure. La main d’asmo était sur l’ouverture de son pantalon même la main ici on pouvait déjà sentir les tremblement du corps de l’ado, puis doucement les mains du serpentard montèrent pour effleuré son torse du bout des doigts. Les yeux fermé mais toujours fermement tenu il se cambra vers l’arrière :
« - T’a aimé ça la première fois et t’en veux encore ? »
Il ouvrit subitement les yeux, il sentait en dessous les coup de bassin mimant l’acte, perturbé, il secoua encore une fois négativement la tête en essayant de se calmer mais sans succès. Il se revoyait tremblant, hurlant, le suppliant d’arrêté. Quentin pleurait, il pleurait continuellement, ses cris étaient masqués par sa main, par le sort assourdiato, il sent encore cette façon brutale de pénétrer en lui. Il referme les yeux ne pouvant empêché toutes les larmes de son corps de pleurer. Tout ces mots, toutes ses phrases se bousculait dans sa tête, se mélangeant à ses pensées tumultueuses, qui fait qu’il ne comprenait qu’un mot sur 2. Complètement a coté de la plaque dans sa tête il ne sortit de son comatage qu’une fois qu’il sentit la langue du seprentard parcourir sa nuque, il recroquevilla ses épaule mimant une mine de dégoût il poussait le jeu si s’en était un beaucoup trop loin. Oui c’est bon il avait gagné, Quentin avait peur, il était affolé, terrorisé, paralysé, il en tremblait, et en pleurait cela ne suffisait donc pas ? Pourquoi poussé se sadisme plus loin quand le plus méchant était fait ?
« - Alors maintenant tu me donne ce que je veux…Tu me donne l’illusion que je compte pour toi…Donne moi l’illusion que tu a envie de moi… »
La langue du serpentard lui parcouru la joue, a nouveau il ne pu retenir un gémissement plaintif. Non il n’aimait pas ça, il trembla davantage baissant davantage la tête, il commençait a avoir des vertiges, prise de têtes par des paroles aussi dure et cru, en ajoutant des nausées vis-à-vis de leur contacte rapproché cela n’avait pas bon ménage sur le corps, la tête et le subconscient du poufsouffle, cette dernière réplique l’acheva :
« - Sois bon acteur ou c’est le sol froid que tu embrasseras pendant que je m’occuperai de toi…. »
Soudainement tout fut noir, Quentin devient bien pale, même un linge d’un blanc des plus pure avait plus de couleur que le pauvre visage du jeune poufsouffle, son visage pale, crispé donnait l’impression d’être sans vie, son regard vide, toutes les partie de son corps molles quelque chose n’allait pas, ses finir par se fermé et il tomba de tout son poids sur le coté droit. Tous ses événements, le travaillait énormément surtension il avait trop encaissé. Quentin fini par s'évanouir, il perdi connaissance dans les bras d’asmodeus. *

* « - Ta lumière se trouve peut être dans la mort…Si tu a besoin d’aide a ce sujet je suis la pour ça… »
Fut la dernière phrase qu’il entendit sans y répondre avant de sombré. Il ne voit plus rien, il ne réfléchit plus, tout est noir, froid, il ne sent même plus rien de se qu’il entoure, jusqu'à oublié ou il était et dans les bras de qui il avait sombré. Il avait depuis trop longtemps résisté, la il n’en pouvait plus, s’en était trop pour son corps, sa tête. Tout le torturais de l’intérieur voila maintenant qu’on le torturais de l’extérieur. Ce qui devait arriver à la tour d’astronomie est arrivé dans la salle du 2 eme étage. Mainte fois il aurais voulu lui vomir dessus, ou tombé dans les pommes au moment ou il serait en lui. Mais dieux a voulu qu’il voit et ressente toute cette atrocité. Mais la les ange vénèrent a son aide, oui il y avait quand même quelqu’un qui guettait la détresse du poufsouffle sinon jamais son aurait permis un évanouissement aussi soudain. Seul dans ses mains c’est une marionnette. De toute façon éveillé ou endormi Quentin n’était pour Asmodeus qu’une marionnette qu’il manipulait habilement.

Il ne savait pas ce qui se passait ni se qu’on lui faisait il se laissé bercé par la simplicité de ne rien voir et ne rien sentir, il laissé ses yeux clos, son corps inerte il aurait souhaité que tout sois aussi facile. Combien est il resté dans cette état ? 1h peut être 2h mais il sembla que les heures avaient défilé à une grande vitesse. Allongé par terre dans une position des plus inconfortable il fini par ouvrir les yeux. Sa vu flouté au début lui donna le tournis. Il se redressa sa tête entre les mains. Il respirait lentement puis en se concentrant regarda l’étendu des dégâts, il était encore habillé. Devait il en jugé qu’il ne s’était rien passé ? C’est quand il passa ses mains sur son visage qu’il sentit quelque chose de mouille et de visqueux mais sur ses mains il n’y avait rien… Il regarda alors son uniforme qui était immaculé d’un liquide blanc qui selon les taches était sortit en petit jet. Pale et nausée il regardait écœuré les petites taches blanche. Cela ne pouvait provenir que d’une personne et d’un seul endroit…

Il déglutit, c’était il vraiment branlé en le regardant a moitié dans les vaps ? Ce pouvait il qu’il soit aussi ignoble. Quentin fini par se relevé, et marché d’un pas plutôt lourd et titubant vers ses affaires sa baguette était resté sur la table normalement, il fallait qu’il nettoie son uniforme au plus vite, il ne pouvait sortir avec des traces blanchâtre douteuse dehors. Ses yeux se posèrent sur un morceau de parchemin :
« - Tu auras bientôt de mes nouvelles… »
Il sera le morceau de parchemin entre ses mains ainsi donc il n’en aurait jamais fini avec lui. Jetant le papier par terre il fut pris d’un excès de colère, renversant la table violemment ou il travaillait par terre, se ruant sur le mur le plus proche, donnant mainte coups de poings jusqu'à trouvé du sang sur ses phalanges, il fini par tombé a genoux ses ongles s’enfonçant dans son crâne et dans son cuire chevelu. Se recroquevillant sur lui-même, il se trouvait bien pathétique mais que pouvait il faire d’autre. Il était poursuivi par un fou qui à chaque instant menaçait l’existence de son frère s’il avait le malheur de parler. Des larmes perlèrent a nouveau sur ses joues, trop de pression tue la pression *

* comment survivre, comment vivre la vie ? comment ne pas pensé au suicide quand chaque jour que dieu fait vous êtes rongé de l’intérieur, cette chose qui vous affecte aussi bien mentalement, physiquement que moralement. Depuis qu’il était entré ici, c’est vrai que certains problèmes étaient passé avec le temps, voila que ce qu’il avait si ardemment souhaité que ça s’arrête le poursuive même entre les 4 murs de se château. Etait ce donc ça destiné d’être rabaissé à simple jouet sexuel ? C’est vrai regardé il n’est rien d’autre qu’une marionnette. Comment aimé, comment être aimé ? Comment se faire apprécié quand on crains tout dérapement de la personne que l’on rencontre ? C’est ce qui c’est passé pourtant il récemment avec Asmodeus, Quentin avant malheureusement baissé sa garde en se ruant sur le serpentard 2 voir 3 fois mieux bâti que lui mais peu importe la corpulence, en utilisant Jeremy pour provoqué le jeune poufsouffle c'est le meilleur moyen pour qu'il se jette sur vous sans réfléchir. Quentin avait fait le malin sachant qu’il ne faisait pas le poids et il avait perdu. Et la nouveau il avait faibli dans ses braS. Mais pourquoi sa tête, et son corps se refusaient de bouger a chaque attaque de l’oppresseur ? Normalement quand le corps est en situation de danger, tous les sens sont en éveille permettant des reflex quasi instantanés, qu’est ce que ses parents avais mal foutu chez Quentin pour que sa peur le paralyse autant? Certes il n’aime pas frappé, mais merde il pouvait quand même se défendre, pourquoi rien n’était efficace face a quelqu’un qui physiquement l’impressionnait ? Resterais t’il chétif et peureux de ce coté la toute sa vie ?

Assis par terre les jambe en M il regardait les petites taches blanches qu’il avait sur sa robe de sorcier, putin du blanc sur du noir il était vraiment pas malin celui la. Il s’essuya les yeux a revers de main s’étalant du sang un peu sur les yeux et les pommettes. Pourquoi aussitôt qu’on posait la main sur lui, que se soit pour un coup, une caresse ou une simple poignée de main l’image répugnante de son professeur de musique lui revenait en tête ? Lui qui se croyait si invincible, lui qui avait repoussé mainte fois son jumeau, sa sœur et toute sa famille terrassé par une seule personne… Il y a des chose jeune qui vous marque, qui vous suive, vous hante et vos possède sans que vous puissiez allé a l’encontre de cela. On lui a souvent répété, ce qui blesse et qui ne tue pas rend plus fort. Mais voila que Quentin est mort depuis bien des année, ce n’est qu’une âme errante, une âme en peine, qui ne cherche ni amour, ni amitié, rien du tout, sa seul consolation ses seuls amis son d’un coté son instrument et de l’autre les livres. Eux au moins ne lui on jamais fait de mal et jamais ne lui en feront. Seul dans le coin de cette pièce assis par terre notre petit poufsouffle pleur et sanglote silencieusement. Si quelqu’un venait a l’entendre il s’avancerais certainement pour lui demandé ce qu’il a et se justifié ou raconté c’est problème au premier machin venu n’est vraiment pas son truc.
Puis un bruit, ses cheveux s’envole légèrement, il semblerait quelqu’un les quand même vu ou entendu. Les yeux embués de larme, il s’arrête de trembler, de respirer, Quentin reste silencieux en espérant que celui si le laisse tranquille. Il sentit une main se posé sur son dos, même si elle se voulait rassurante et chaleureuse, Quentin pris très mal se contact son dos se cambra :
« - Zah ~ Chuuuuttt calme-toi. Ca va aller. »
Il chassa sans aucune grâce la main qui s’était posé sur son dos. Tournant alors ses yeux rouge et gonflé vers se blondinet qu’il ne connaissait absolument pas. D’ailleurs il ne connais déjà même pas les gens de sa propre maison, c’est pas pour connaître ceux des autres.*

Non ça ne va pas aller, plus rien ne va. Donc tu es bien gentil et bien mignon mais tu te casses d’ici.

* dit il d’une voix des plus agressive. C’est ce qu’on appelle répondre du tac o tac mais littéralement a coté de la plaque. En faite il ne s’agit que du Quentin tout cracher *

La vie est injuste et cruelle, vaut elle vraiment la peine d’être vécu ? Pour ceux chez qui tout va bien, qui voient la vie en rose, qui n’on jamais rien vécu de dramatique oui il est facile de la vivre, mais pour ceux dont rien ne va, pour ceux qui regrette jusqu’à leur naissance, qui maudisse la vie, pour eux il est très dure de la vivre. Oui Quentin faisait partit de ceux qui maudissait la vie, mainte fois il aurait pu se suicider, c’est un geste banal, simple et facile a exécuter, l’idée lui avait déjà traverser la tête dire le contraire aurait été mentir seulement Quentin méprise ceux qui on recours a ce genre d’acte. D’accord on est libéré, on ne souffre plus mais on fait souffrir plein d’autre personnes : les mais, si on en a, mais surtout la famille… Même s’il ne connaisse pas Quentin, même si lui-même ne connais pas sa propre famille, même s’il a tout fait pour se faire détester, haïre, il sait au fond de lui que sa famille l’aime.

Flash Back
Je m’en souvient comme si c’était hier, j’étais dans le grenier je tape encore et toujours sur ma batterie, du matin jusqu’au soir, je provoque un brouhaha incessant me contre fichant de ma famille, de mes voisins. Les gens du quartier me connaissent tous, ils connaissent mon caractère, mon tempérament, ils savent aussi que je ne suis qu’un simple batteur, pas un voleur ni un garçon a problème. Mes parents aussi ne viennent jamais me voir, jamais ils ne me disent d’arrêter, ils ont peur de moi et de ma réaction alors je reste seul tout le temps. Sauf cette après midi la, j’enchaînais les riffes, les tablatures et partitions, j’avais oublié de fermer la porte a clé, quelqu’un frappe, elle s’ouvre laissant entre mon frère je cesse tout mouvement, je me demande ce qui a pu le motivé a monté la :
- Dit Quentin, apprend moi a jouer de la batterie
S’il avait su la fierté que j’avais ressentit ce jour la, on s’intéressait enfin a moi, a ce que je faisait, a ma passion… Intérieurement, je souriais, intérieurement j’étais heureux mais rien ne se montrait a l’extérieur, j’étais une ombre, un automate sans vie et plus froid que la mort, aucun sentiment ne se lisait sur mon visage toujours depuis lors resté inflexible, je suis sans expression, mes yeux sont tellement vide, je fait encore une de mes têtes qui lui font peur. Seulement lui il a réussi a combattre sa peur, vu qu’il ose m’adresser la parole, pas comme moi qui m’enferme dedans… Je pose mes baguettes sur le côté, je ne comprendrais jamais mon comportement vis-à-vis de lui, je m’approche, il recule, il a quand même peur, je l’attrape, l’empoigne violement par les cheveux et le traîne dehors. Mais il persiste, il veut rentré a nouveau pour que je lui apprenne a joué, méchant que je suis, je ferme la porte que dis je, je la claque fortement, ne prenant même pas en considération ses 2 doigts posé sur le coin. Je le lui casse, il pleur, cri de douleur, je ne fait rien, maman monte il tante encore une fois de me disculper de mon acte, il prend encore ma défense pour me protéger, mais maman n’est pas dupe, elle frappe fortement a la porte, mais cette fois je l’ai fermé a clé, ignorant je reprend la batterie sachant comme d’habitude que je ne répondrait pas elle arrête et se décide d’emmené Jeremy a l’hôpital. Le soir arrive c’est tendu a la maison, ils me regardent tous comme si j’étais un monstre, c’est mon père qui lance le débat :
- Pourquoi tu as fait ça ?
Je me lève violemment, je n’ai pas touché à mon assiette, mes poings heurtent la table
- Je vous hais
Je pars en courrant, je ne veux pas qu’on s’intéresse a moi, ça ne m’a apporter que des mauvaises chose, a cause de toi tout recommence…
Fin du flash back

Il est très doux, et très gentil cet élève, ce garçon, mais cela ne sera pas suffisant pour approcher le poufsouffle, Quentin le rejette, le repousse comme il le fait toujours avec tout le monde, il ne veut pas qu’on s’approche de lui, qu’on s’intéresse a lui, il veut qu’on le laisse seul, qu’on le laisse tranquille qu’il ne soit ici qu’une ombre que l’on ne peu pas remarquer. Tout tourne toujours mal, il doit être maudit et malchanceux. Ils sent encore cette élève a genoux a coté, mais que lui voulait il ? Quentin n’avait pas été assez clair ? Il n’avait pas été assez explicite sur le faite qu’il ne voulait être avec personne ? Lui et sa pseudo gentillesse a vomir, lui et son réconfort merdique, croyait il vraiment que c’est en parlant calmement, en le regardant comme ça ou ayant tout un tas d’attention qui changerais les choses, et que Quentin s’adoucirait ? Il se mettait vraiment le doigt dans l’œil jusqu’au coude, il n’aurais rien d’autre que son mépris, qu’il tente de le supporter sa mauvaise après tout Quentin en pouvait pas n’on plus lui ordonner de partir, les salles sont a tout le monde.

L’élève se lève enfin, Quentin soupire de soulagement puis lève la tête pour le suivre des yeux le serdaigle, qui au lieu de partir va tout simplement poser sa basse contre le mur pour revenir ensuite vers quentin. Il baisse de nouveau la tête et déglutit quand a nouveau le blondinet s’assoit a coté de lui. Il lui prend la main, c’est un geste des plus doux, mais qui gène le poufsouffle, instinctivement son corps se met a trembloter il a peur, tellement peur qu’il ne fait rien, ne dit rien il reste yeux fermé et tête baissé, un «Episkey» est lancé, il ouvre les yeux et tourne la tête, les plaies sur ses mains se referme laissant une vague trace de sang que le blondinet nettoie immédiatement avec un mouchoir, une fois fait Quentin retire presque immédiatement sa main comme s’il avait touché un charbon brûlant, tout en regardant le garçon de haut en bas. Il était plus âgé que lui, cela se voyait, il ne connaissait pas encore se sort :
« - Zah : Comment tu t'appelles ? Moi c'est Zahikel »
Il grimaça et ne répondit pas à la question posée. Quentin va même jusqu'à dévier du pseudo sujet de conversation lancé, il tourna puis baissa la tête puis lui demanda d’une voix limite inaudible : *

Tu es musicien ?

* Pourquoi les gens vois, sente que leur présence est gênante mais il ne font rien pour remédier a se gène ? En plus pour ne pas paraître, hypocrite Quentin le lui avait fait savoir qu’il voulait qu’il se casse d’ici, mais non rien il restait la a parlé, des mots dont Quentin négligeait le sens parce qu’il l’écoutait a peine pour ne pas dire qu’il ne l’écoutait pas, pourquoi les gens veule se rendre utile alors que rien ne pourra jamais changer, se serdaigle tout comme les autres élève ne pourrons jamais pour lui alors qu’il garde leur gentillesse a 2 noises pour eux et qu’on lui fiche la paix… Seulement voila il y avait 2 catégories d’élèves, les raisonnable et les sourd oreilles, il avait du tombé sur le plus bouché de tous les sourd oreille. Certes cela partait d’un douce et très gentille attention, mais Quentin lui voyait le mal partout, absolument partout surtout quand on était gentil avec lui. Il a peur d’absolument tout le monde, après tout pourquoi se serdaigle serait différent des autres ? S’il a été violé une fois ici qui dit que ça ne pourrait pas recommencer ? Avec quelqu’un d’autre ? Tout était possible et à prévoir ici maintenant…

Le moindre de ses faits et gestes avec et envers quelqu’un est tellement prévisible qu’il en est pathétique, comment peut on être terrorisé par le simple fait d’être touché ? Ci cela se savait il deviendrait probablement l’arrisé de cette école. Personne ne le sais a par 1 seule personne seule celui qui l’a fait replongé en enfer est au courrant de sa plus grande peur, même sa famille n’en on aucune idée ils le croient tous infaillible et pourtant… Mais personne ne doit le savoir. Bon c’est vrai que Quentin n’était pas très discret et ne cherchait pas vraiment a caché sa peur vu ses réaction. Quand le serdaigle lui avait pris la main, il a du le voir, le sentir que le poufsouffle révulsait ce contacte déjà de par son attitude : tête baissé, par son hésitation et surtout par ses tremblement. L’avantage pour le moment c’est qu’il ne pose aucune question. D’un côté tant mieux ça lui évite de devoir l’envoyer promener. Pour cela il utilise un stratège vieux comme le monde celui du changement de sujet. Manque de pot il a fallut qui tombe sur une vraie pipelette et un vraie musicien. Le voila qui lui raconte sa vie vis-à-vis de la musique se u’il en pense patati patata, Quentin secoue furtivement la tête en soupirant. *

C’est bon stop je t’es demandé si tu aimais la musique je t’ai pas demandé de me raconter ta vie, un oui ou un non aurait suffit

*Voila le serdaigle qui s’excuse, au moins il se rend compte que c’est un vrai moulin a parole ce qui n’est pas vraiment le cas de tout le monde. Le poufsouffle croise les bras en le regardant de haut en bas se demandant il comptait resté encore combien de temps ? Le voila qui se lève a nouveau Quentin le suis toujours des yeux mais ne se fait aucune illusion il va encore resté ici et parlé, parlé, parlé… remarque valait mieux qu’il parle et que Quentin réponde tant que le sujet n’était pas difficile a abordé sinon cela risquait de dégénérer… Le serdaigle est partit chercher sa basse, va-t-il jouer, un morceau ? Non il la ramène et la tend à Quentin, il la prend et observe l’instrument, c’est une superbe jolie basse, mais la rend à son propriétaire

Je ne suis pas bassiste, je ne sais pas en jouer, je suis batteur ça m’embèterais de te casser une corde… * il regarda encore le jeune homme* on ta déjà dit que tu ressemblais énormément a une fille ?

* comment allait il faire ? Oui Quentin se projetait déjà dans ses futures études. Dans l’université des sorcier ses sont des baraquements de 5 personnes… pourquoi n’en faisait il pas pour ceux qui voulait être seul ou se sentait mieux seul ? La il allait devoir parler a des gens, les supporté, être en contacte ou de loin ou de près en relation avec eux, il soupira. Il doit déjà supporté les gars de sa chambre enfin non il n’ pas a les supporté vu que quand la salle commune le soir est déserté il prend son oreiller et sa couverture et il s’installe dans le sofa en face de la cheminée… Mais son comportement est de loin celui d’un gamin perturbé, paumé que ne sis plus ce qu’il est, ce qu’il fait et ce qu’il devient. C’est un automate programmé pour envoyer chier son monde, resté seul, et bossé. Il veut être professeur, son rêve de devenir batteur professionnel c’est envolé le jour ou il a posé ses mains sur lui enfin… Beaucoup se sont demandé pourquoi ce caractère, pourquoi ces agissements les rares que ont osé venir le lui demandé on été disons sévèrement punis, personne ne dois le savoir, rien ne dois sortir de sa tête ni de sa bouche, tout doit resté secret comme quand il était encore enfant, et la gentillesse des gens ne résoudra rien du tout… Il essaye de détourner certains questionnements en posant au serdaigle d’autre question. Certes il s’en fou, mais il ne s’agit que d’une diversion pour qu’en retour il ne lui pose aucune question…*

Mais ça te va bien… * il baissa la tête et déglutit * Je sais ce que c’est d’être dévisagé, je ne fais pas non plus très virile… Tu es gay ?? * il se mordit la lèvre inférieur, voila qui était si finement demandé… Quoi qu’en réalité Quentin n’a jamais été réputé pour sa manière de caché les chose, mais plutôt pour sa manière de formuler ses phrase, la plus part du temps il les dit sans réfléchir et de façon plutôt direct*

* Puis il se perdit dans ses pensées. Peut être était ce a cause de sa qu’Asmodeus s’en était pris a lui. Rien que d’y pensé il frissonna… Non il fallait pensée à autre chose, il avait eu son quota de terreur pour la journée. Aujourd’hui il fallait tournée la page… A nouveau le serdaigle ce met à parler :
« - Zah – Dommage que tu n'aies pas ta batterie ici... On aurait pu jouer ensemble... Ca te dirait un boeuf ? Basse-Batterie... Ou si tu veux, je peux ramener mes amis Astaroth et Raziel, comme ça il y aurait la guitare et le chant en plus... T'en dis quoi ? »
Je lève la tête en fronçant les sourcils, en secouant négativement la tête *
Je n’aime pas le monde, et toi non plus je ne t’aime pas. Je ne veux rien avec les élèves de cette école. * je me lève subitement * je veux qu’on me laisse, qu’on m’oublie, qu’on m’ignore comme d’habitude. Toi et tes amis, faite votre musique mais moi vous me laissé tranquille… Je n’ai confiance en personne

* si Quentin avait été plus grand et beaucoup plus gros jamais on ne lui aurait de mal. C’est vrai s’il avait été un gros tas de graisse jamais son professeur de musique n’aurais : « flashé sur lui » et jamais asmodeus ne l’aurais touché… Bon peut être que la grosseur n’était pas forme de virilité, mais elle sauvait de pas mal de problème. D’ailleurs ce qui caractérise le poufsouffle mis a part d’être l’urne de pandore a lui tout seul et d’être un blond, mince aux yeux vert est bien sa façon dérangeante de dire les choses. C’est vrai déjà qu’il n’avait pas grand-chose on ne pouvait pas l’obligé en plus a demander les choses clairement. Ca question sur la sexualité du jeune homme était certes déplacé mais c’ets son coté curieux qu’il fallait assouvir. Un blond, plutôt mignon aux alors de filles ne pouvait qu’être gai, un androgyne herero… on aurait tout entendu et tout vu ><. Mais au lieu de se mettre en colère, de l’envoyé boulé par un : « de quoi ça te regarde » l’élève réponde d’une douceur et d’un calme impressionnant. A la fin de sa petite tirade Quentin ne pu s’empêcher de faire une moue avec ses lèvres *

blablabla… Tu parles beaucoup j’ai remarqué… Tu es bi si j’ai tout suivi… pourquoi tu fais des formules compliqué et tout un tas de jolies phrases alors qu’il y a beaucoup plus simple ? Tu aimes bien quand on t’envoie chié après ?

* on connaît aussi Quentin pour sa manière de vouloir faire bien mais aussi de tout foutre en l’air. Alors qu’il avait commencé une conversation normale sujet, verbe, complément… Qu’on essayait pas d’en savoir sur lui, qu’on ne menaçait ni son frère ni sa sœur, il faut qu’il se referme, que se mette en colère qu’il fiche tous les efforts qu’il venait d’accomplir en un claquement de doigt, c’ets ce qui venait de se passé alors que rien n’avait suscité cette énervement. Il se mit les mains sur les oreilles comme un enfant pour ne pas écouter ses bonnes paroles qui lui donnait la nausée. Non personne n’est de confiance ici, personne na l’oreille, personne na le cœur, et personne n’est dans son estime. Il fit les 100 pas a l’intérieur de la salle, et renversa par colère la table ou il travaillait précédemment *

Tes paroles sont du poison, tais toi, je ne veux pas t’entendre. Toi et tes bonnes paroles, tu ne sais rien des gens, de ce qu’ils ont vécu… Le monde où nous vivons est loin d’être une jolie histoire de compte de fée descend de ton nuage cupidon. L’amitié dont tu me parle est fait pour ceux qui ne peuvent pas vivre sans les gens, moi je peux… je n’ai eu besoin de personne en 14 ans, c’est pas maintenant que sa changera * sur ses mots il se dirige vers la porte et de la pièce en la claquant violement laissant ses affaires et ses devoirs éparpillés par terre, non il n’a jamais eu besoin de personne, les seul personne dont il a besoin son entre ses 4 murs et ça lui suffit amplement*