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http://psycotgirl17.skyblog.fr

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William soupira légèrement. Celà faisait à peine quelque heure qu'il était rentré de son escapade en Amérique. Finalement après plusieurs hésitation il avait pris la décision de reprendre sa vie en main et d'assumer ses actes en revenant après ce qui s'était passer avec Rose. Une semaine dans un autre pays, l'avait largement aidé à réfléchir et à savoir se qu'il voulait vraiment. A présent peu lui importait le regard que les autres avait sur lui. Il voulait vivre sa vie et être heureux un point c'est tout. Assit sur son lit William était en train de lire, mais pas n'importe quel livre, un bouquin de philo.

Cela faisait plusieurs heure qu'il révisait ardemment sans prendre la peine de faire une pause. S'il y avait une domaine dans lequel il excellait s'était sans aucun doute l'entêtement. Il avait un objectif en tête pour la première fois de sa vie, quelque chose d'important et qui l'aiderai dans l'avenir il en était certain, et il comptait bien arrivait au but. Son projet ? Réussir son examen tout simplement. Mais ce n'était pas tout. Non seulement il voulait le réussir mais en plus de ça, il voulait être le meilleur.

Sawyer lui avait affirmer que Thomas ne voulait plus entendre parlait de lui après tout cette histoire et William profondément triste avait alors eut cette idée. S'il obtenait son diplôme avec les meilleurs note de la faculté on entendrait sûrement parler de lui et sa redorerai le blason du premier ministre Anglais. Il faisait celà pour récupéré la fierté de son père mais pas seulement, il le faisait aussi pour lui et son envie de devenir quelqu'un de meilleur.

Il était bien loin derrière lui se gamin qui se faisait passait pour un cracmol et qu'il était à Poudlard. A présent, il savait qu'il était capable d'obtenir ce qu'il voulait parce qu'il avait la volonté de réussir, ce qu'il lui avait toujours manquer jusqu'à présent. Puis Slayers était un garçon plein de surprise qui vous étonnera toujours et qui vous en met plein la vue quand vous ne vous y attendez pas. Il était là en train de réviser tranquillement dans sa chambre sans prêter attention aux fait que la plupart des étudiant devaient se préparer a faire la fête. Pour l'instant presque personne était au courant de son retour....


Dernière édition par William Alex Slayers le Ven 5 Sep - 13:25, édité 1 fois
 
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La mine grisée, triste, et douloureuse, sans compté le stress, la fatigue, et cet envie de tout envoyer chier, Thomas était cloîtré devant la fenêtre de son bureau, regardant tristement, au dehors, la mine soucieuse. Entre le pays à remonter, et ses problèmes au sein de sa famille, il ne savait plus où donner de la tête, ni même où trouver un endroit où se poser, calmement, sans avoir à se prendre le chou. Mais là, n'était pas la question... Ces derniers temps, il n'y en avait qu'un de problème qui surpassait de loin les autres, et qui, en plus, en rajoutait énormément. Son fils aîné. William. Ce dernier n'avait rien trouvé de mieux qu'à se casser de la faculté de Kew, avant même que les cours ne reprennent réellement. Les mains dans le dos, le regard baigné de douleur, il baissa doucement ce dernier vers le sol, avant de le relever rapidement vers la porte d'entrée où quelques coups s'étaient fait entendre. Thomas s'écria, tout en tirant vers lui le siège pour s'asseoir et recevoir ainsi son interlocuteur.

- Entrez !

La porte s'ouvrit doucement, tandis que Thomas finissait par s'asseoir. Il releva de nouveau le regard, apercevant Vaan qui s'approchait tranquillement, le regard légèrement inquiet tout en refermant la porte derrière lui. Ce dernier, de sa démarche arrogante, mais classe, se mit à parler tout bas, regardant rapidement les murs de la pièce, projetant son aura, aux alentours comme pour vérifier que personne ne surveillait les lieux, par un quelconque moyen magique.

- Ton fils vient de rentré à l'université de Kew.

Le regard de Thomas prit une teinte violente et polaire. Vaan se retint de soupirer, se mordant la lèvre, l'air interrogateur.

- Vaan...
- Oui, Thomas ?
- Annule TOUS mes rendez vous des deux jours qui arrivent en plus de celui là.
- Je te fais ça.
- J'aimerais que tu t'occupes du ministère et des rendez vous important, durant ces trois jours. Tu peux compter sur Chase, et Ilario. Au pire, si tu as réellement un problème, tu sais où me joindre.
- Si tu as besoin, je suis là, Thomas.

Thomas se leva, tendant sa main vers Vaan qui la serra. Ils échangèrent un sourire, Las, pour le ministre et encourageant pour Vaan. Il saisit de la poudre de cheminette et il murmura à Vaan, un : Merci... avant de prononcer le nom de la bâtisse Slayers.

[...]


Un feu ronronnant dansait joyeusement dans le hall d'entrée de l'université de Kew. Tout d'un coup, les flammes prirent une violente teinte verdâtre aux teintes noirâtres. Une silhouette se dessina doucement, puis, Thomas sortit des flammes, un air violent sur le visage. Les instituteurs, et autres visiteurs ou élèves présent, ne se permirent même pas de le saluer comme le voulez la convenance lorsque l'on voyait un ministre. Ce dernier semblait se guider par son instinct. Le baraquement de son fils lui résonnait dans la tête, comme si on lui criait le numéro sans s'arrêter. Thomas sortait tout bonnement de ses gongs. Une manière à lui de montrer qu'il aimait, mais peut être pas dans le meilleur des sens. Lorsqu'il arriva devant la porte du baraquement de la chambre à son fils et ses camarades, il fit juste un geste de la main pour l'ouvrir, et cette dernière se décola tout bonnement des gongs de la porte pour aller se fracasser sur le mur opposé. Il jeta un regard rapide dans le salon, avant d'ouvrir chacune des portes de chambre du baraquement avec violence et sans respect. Et lorsqu'il ouvrit celle de William, il pénétra directement dedans, murmurant avec rage :

- Toi !

Encore un geste de la main, et il fit voler William contre le mur. Son aura prenait presque forme. Il n'avait pas réellement besoin de sa baguette pour éxécuter ses enchantements, tellement il était énervé, et haineux envers son fils aîné. Le maintenant contre le mur, il lui mit une claque avec une force phénoménal, et il lui dit :

- Tu t'es cru malin ? Hein ? HEIN ?

Il le saisit par le col pour l'approcher contre son visage, plongeant son regard noisette et polaire dans les yeux de son fils aîné avant de lui dire :

- Tu sais dans quel état tu nous as mis ? HEIN ?

Thomas balança William contre le mur sans aucun ménagement. Dans la pièce d'à côté, on entendit des objets tombés sous la force du coup. Thomas posa son genou sur son torse et posant ses mains sur le col de la chemise de son fils, le tirant vers lui, tout en appuyant son genou sur le torse de William.

- EST CE QUE TU REFLECHIS BORDEL DE MERDE ! QU'EST CE QU'ON A FAIT POUR QUE TU SOIS COMME CA ? HEIN ? TU VEUX TE CONDUIRE COMME UN HOMME, HEIN ?

Les larmes de rage et de douleur coulaient sur les joues de Thomas qui s'était fait un soucis monstre pour son fils. Comme si il n'avait pas eut assez de problèmes, il avait fallu qu'il se barre sans donner de signes de vie de lui. Et ce fut la pire semaine pour Thomas qui, en plus d'avoir des problèmes aux bureaux, se faisaient encore plus de soucis pour son fils qui se barrait comme ça. Là, il explosait, tout simplement.
 
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William leva la tête en entendant un lourd bruit de fracas mais il se dit que ça devait sûrement être Sandro qui était rentré où quelque chose comme ça. Les idées fixe il se reconcentra sur son livre au moment où la porte s'ouvrait avec une extrême violence.

- Toi !

William sursauta en apercevant son père à l'encolure de la porte. S'il y avait bien quelqu'un qu'il ne s'était attendu a voir s'était bien lui. Et surtout pas dans cet états. Il n'était pas du genre à flipper mais là William avait la peur qui lui tenailler l'estomac . Lui qui dédramatiser toujours tout n'avait plus envie de rire et appuyer contre le mur il reçut une claque monumental . Une claque. Beaucoup plus que le geste ça lui faisait mal au coeur. Son père ne l'avait pas giffler depuis l'âge de ses six ans, peu avant qu'il apprenne « sa mort ». Ce geste l'avait changer à vie et souvent influencer nombreux de ses actes par la suite. A prèsent Thomas recommençait son geste et il se sentait de nouveau comme un gosse. Mais il n'en était plus un. Il n'était plus ce gamin de six ans qui as droit de faire des erreurs, et c'est ce que Thomas semblait lui faire comprendre ou que William comprit plutôt. Il ne pouvait pas éternellement vivre dans le monde des bisournours , garder son sourire sur les lèvres et faire comme si tout aller bien. Il se devait de grandir et de prendre ses responsabilité. Il avait blesser son père, une personne pour qui il avait un amour infini et c'était une répercussions bien trop douloureuse. Physiquement et mentalement.

- Tu t'es cru malin ? Hein ? HEIN ?

William aurait aimé disparaitre à cet instant mais ce n'était pas possible. Il devait se montré fort , s'imposer pour pouvoir exister, et assumer ses erreur pour peut-être que son père arrive enfin à lui pardonner. Soutenir le regard de Thomas lui était presque impossible, le regard de William se faisait implorant et déceler une immense tristesse qui contraster a merveille avec la colère du ministre. Il ne s'était pas cru malin. Il savait pertinemment qu'il avait agit comme un idiot, mais il préférait laisser son père sortir sa colère avant de se lancer dans des explications qui n'excuserez en rien ce qu'il avait fait.


- Tu sais dans quel état tu nous as mis ? HEIN ?

Non, par contre ça sur le coup il ne l'avait pas sut. C'est idiot mais il avait penser qu'il n'aurait manquer a personne. Après tout la réaction de Thomas le lui montrer bien, il emmerder tout le monde et les énerver au plus haut point. Alors pourquoi il se se serait inquiéter de son départ ? Pourquoi auraient-ils voulut qu'il revienne alors qu'il avait l'impression de ne servir absolument a rien ? La conclusion que William en tira c'est que malgré tout, malgré son caractère de merde et son comportement parfois stupide ils devaient tous tenir quand même à lui. C'était ça non ? Oui c'était ça. Il le savait à présent. Il n'en restait pas moins toujours sous l'emprise de son père qui le balança contre le mur sans ménagement tandis qu'il restait toujours silencieux.


- EST CE QUE TU REFLECHIS BORDEL DE MERDE ! QU'EST CE QU'ON A FAIT POUR QUE TU SOIS COMME CA ? HEIN ? TU VEUX TE CONDUIRE COMME UN HOMME, HEIN ?

Ce conduire comme un homme. Il l'aurait tant aimé oui. Mais pour l'instant il n'était qu'un gamin avec de puérile et égoiste réaction il le savait. Mais ça allait changer et son père aurait de quoi être fier de lui, il s'en était fait la promesse.


- Je suis désolé.... Pardonne moi....


Il savait que ces mots ne calmerait pas son père. Il savait que ça ne serait pas aussi facile. Il savait qu'il allait lui en vouloir pour un très bon moment, peut-être éternellement.... Mais il avait besoin de le dire, besoin d'exprimer ses mots par respect pour l'homme qui avait le mériter d'arriver à le supporter. William ne s'excusait que très rarement et le nombre de fois qu'il l'avait fait pouvait se compter sur le bout des doigt tellement il était fier mais aujourd'hui il ravalait sa fierté car il savait que tout était de sa faute et voir Thomas dans un tel états le toucher profondément. C'était une manière typiquement Slayers, mais William savait qu'ainsi il lui prouvait qu'il l'aimait. Des larmes chaudes collèrent sur ses joues tandis qu'il restait sur le sol, assis contre le mur près a recevoir d'éventuelle nouveau coup qu'il avait largement mériter.
 
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Retour au Bercail [libre] Th_21Retour au Bercail [libre] Wanted06



Pouvez vous seulement imaginer ce qu'une mère peu endurer à chercher son fils sans relâche une semaine durant, sans jamais rien trouver? Certainement que non.
A Ariane rien n'était impossible. Elle pouvait survivre à tout. Apprendre à manier les armes des moldues, ce battre comme un homme et garder cette attitude de femme du monde... mais être l'un des meilleures éléments qu'Alicante avait sous la main ne l'avait pas aidé. Même Changelin' n'avait pas pu. Ils avaient pourtant traqué William mais sans résultat c'est pour ça que ce jour là, en recevant un hibou de Vaan, la première dame se leva d'un bond, empruntant le réseau de cheminée pour atterrir directement à l'Université de Kew.

Une très bonne université à laquelle elle et Thomas avaient jugé bon d'inscrire leurs enfants, dont William, parce qu'ils avaient jugé qu'ils méritaient ce qu'il y avait de meilleur. Elle se dirigeait à grand pas vers le baraquement de son fils, n'osant pas se réjouir d'avance, ni non plus songer à la punition exemplaire qu'elle prendrait pour son aîné, tout jeune adulte qu'il était. Elle releva le regard un instant sortant de ses pensées, c'est alors qu'elle vit par la fenêtre, son fils s'écraser violemment contre le mur, fermement maintenu par son père qui semblait fou de rage.

Elle se mit à courir vers le baraquement, entrant sans prêter attention à la porte qui était sortie de ses gonds.

Ariane- Thomas arrête, tu vas finir par le blesser

La panique transparaissait dans sa voix. C'était une femme très forte mais dès qu'il s'agissait de ses enfants ou de son mari... Les deux hommes étaient face à face, Thomas vociférant, les larmes coulaient sur son visage si habituellement doux mais qui avait cette fois pris une expression profondément haineuse. C'était là ce qui inquiété le plus Ariane.

Elle se précipita vers lui, posant sa main sur le bras de Thomas pour le retenir un peu...

Elle ne porta d'abord pas son regard sur son fils de peur de céder elle aussi à la colère. Il fallait d'abord qu'elle s'assure que Thomas n'allait pas l'étriper au sens propre du terme. Quand au figuré elle était totalement d'accord avec lui.

 
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- Thomas arrête, tu vas finir par le blesser !

Thomas ne répondit pas, n'arrivant plus à contrôler sa bouche. Il n'avait qu'une envie, c'était faire autant de mal qu'on lui en faisait au cours de ses journées, de ses pensées tortueuses et profondes, mais aussi, de cette longue semaine à se ronger les sangs tout en faisant que tout allait bien. Non, non, cela ne devait pas se passer comme ça. Fini, le Thomas qui se faisait marcher sur les pieds et qui disait Amen à tout. Non, non. C'était désormais, bel et bien fini. Thomas posa son regard sur Ariane, avant d'entendre William dire :

- Je suis désolé.... Pardonne moi....

Il voulut se contrôler, mais il n'y parvint pas, il sauta presque sur son fils, lui tirant la tête par le col, tout en tentant de l'approcher le plus possible de son visage pour lui cracher toute cette frustration de ne pas savoir où il était partit, comme ça, sans donner de nouvelle. Le Ministre Anglais ne ressemblait plus à l'image qu'il semblait se dégager de lui, continuellement. Non, non. Là, c'était un Thomas barbare, blessé qui n'avait qu'une envie, c'était faire autant mal qu'il n'avait eut mal, et même si il savait qu'il ne devrait pas s'en prendre comme cela à son fils, et en plus devant sa femme, il n'avait plus envie de faire dans la dentelle, de prendre des gants.

- Désolé... Pardonner... Mais tu te fous de ma GUEULE ! HEIN ?

Une violente douleur le prit au coeur. Il lâcha son fils, presque instantanément, se portant une main au niveau de son coeur, tout en se relevant. Il tituba quelques instants, la folie le rendant complètement saoul de haine. Il éclata d'un rire sans joie, d'où chaque son était emprunt d'une profonde douleur. Il tourna son visage vers son fils, le fusillant du regard sans une once de pitié dans le regard, si ce n'est cette profonde douleur qu'il semblait émaner de lui.

- Je suis désolé... Quoique, non. Je ne le suis pas. Tu le mérites. Et tu sais quoi ? Tu veux faire le grand ? Fais le grand. Vol de tes propres ailes, et viens plus me les briser. Compris ? Toi, moi, on en repalera un jour. Pour le moment, tu te démerdes. Tu ne viens même pas t'excuser, nous prévenir, que... TU SAIS COMMENT JE L'AI SU QUE T'ÉTAIS LA ? HEIN ? Par mon conseiller... Tout le ministère savait ton retour, et je ne le savais pas. Moi. Ton père. Tout comme ta mère. EST CE QU'UN JOUR TU ARRÊTERAS D'ÊTRE MOINS ÉGOÏSTE BORDEL DE MERDE !

Son coeur s'embalait. Il toussota, avant de reposer son regard sur William.

- Je sais plus quoi faire... Alors, je vais te laisser faire ton chemin, et me retirer du tiens, vu l'importance que tu as envers ta mère et moi... Ou même tes sœurs et ton frère. Je... J'en ai marre. Démerde toi. Moi, je me casse.

Et il prit la direction de la sortie, ne pouvant aller plus mal qu'il ne semblait l'être.
 
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Trop absorber à observer son père William ne se rendu compte de la présence de sa mère que lorsqu'il entendu sa voie. Elle était venu elle aussi. Pourquoi ? Tout le monde était-il au courant de son escapade aux états-Unis. Apparemment oui. Il aurait dut s'en compter. Toujours face à Thomas il prononçait des mots de pardon tout droit sortit du cœur mais qui ne fit pas le résultat escompté.

- Désolé... Pardonner... Mais tu te fous de ma GUEULE ! HEIN ?

Bizarrement il savait que Thomas réagirait ainsi. Il aurait peut-être eut la même réaction à sa place mais c'était plus fort que ces excuses il se devait de les prononcé pour essayer d'enlever de cette culpabilité qui lui rongé l'estomac. Il ne les avait pas dite pour se foutre de sa gueule. Bien sur que non. La peur se lisait sur le visage de Will et ses larmes avait stoppé car bloquer à l'intérieur. Il mourrait de trouille de l'énerver d'avantage avec ses sanglots . A peine Thomas avait crier sur lui qu'il le lâcha en se mettant un main sur le cœur. Celui de William se compressa, tandis qu'il se redressait légèrement mais toujours près du sol. Il aurait aimer porter secours à son père, de peur qu'il ne fasse un arrêt cardiaque alors il s'avança légèrement vers lui mais au dernier moment se recula se disant qu'il valait s'abstenir à moins de vouloir se prendre une nouvelle baffe. Il en avait dans l'idée que pour l'instant il avait perdu le droit de s'exprimer ou de s'inquiéter. Il frisonna lorsqu'il entendit Thomas rire, ça en était effrayant.

Thomas - Je suis désolé... Quoique, non. Je ne le suis pas. Tu le mérites. Et tu sais quoi ? Tu veux faire le grand ? Fais le grand. Vol de tes propres ailes, et viens plus me les briser. Compris ? Toi, moi, on en repalera un jour. Pour le moment, tu te démerdes. Tu ne viens même pas t'excuser, nous prévenir, que...

William avait écouter chaque mots sans rien dire, se contentant juste de se relever et de rester appuyer contre le mur froid en espérant légèrement qu'il serait peut-être aspiré par se dernier afin de ne pas avoir a supporter d'avantage celà. Parce que blesser son père comme il l'avait blesser c'était une immense douleur morale mais peut-être autant forte que celle que Thomas avait dut ressentir. Il n'avait pas penser qu'il s'inquièterait autant. A croire qu'il n'avait pas penser tout simplement.....

Thomas - TU SAIS COMMENT JE L'AI SU QUE T'ÉTAIS LA ? HEIN ? Par mon conseiller... Tout le ministère savait ton retour, et je ne le savais pas. Moi. Ton père. Tout comme ta mère. EST CE QU'UN JOUR TU ARRÊTERAS D'ÊTRE MOINS ÉGOÏSTE BORDEL DE MERDE !


Il baissa le visage, rouge de culpabilité, terriblement honteux de la répercutions de ses actes. Le ministères. Thomas était Ministres et les faits et geste de son fils était sûrement très surveillé et cruciale pour la réputations de son père. Merde. Il avait tout foiré. Qu'est-ce qu'il se sentait con !

- Je sais plus quoi faire... Alors, je vais te laisser faire ton chemin, et me retirer du tiens, vu l'importance que tu as envers ta mère et moi... Ou même tes sœurs et ton frère. Je... J'en ai marre. Démerde toi. Moi, je me casse.


Le cœur de William se serra d'avantage au bords de l'explosion et il prit alors son courage a deux mains pour oser dire quelque chose.

- ATTEND ! Non ne fait pas ça. ....Je t'en supplie pas ça. Crie moi dessus. Déteste moi. Frappe moi. Traite moi de tout les noms . Mais pas ça . Ne me renie pas. Ne m'abandonne pas. Pas encore..... Je sais que j'suis un abrutis, que j'fais jamais ce qui faut, que j'écoute jamais, que je ne suis qu'un égoiste, que j'ai merder lamentablement ..... Je sais tout ça et je ne cherche en aucun cas à me justifier. Tu m'en veus et c'est normal je l'accepte. Il est temps que je prenne mes responsabilité. Mais ne me renie pas . Ne me laisse pas là sans espoir qu'un jour tu me pardonne. Ne me fait pas plus de mal que ma culpabilité ne m'en fait déjà. N'as tu jamais fait d'énorme erreur à cause de l'amour que tu portait a Maman ? N'as jamais fait d'erreur tout simplement ? Enfin a part me concevoir j'veus dire.....

Je sais j'aurait dut penser aux conséquences de mes actes avant et que maintenant c'est trop tard. Je sais..... Mais je veus changer. Je dit pas ça pour te faire plaisir, je suis sérieux. Je veus devenir quelqu'un de meilleur et arrêter de me comporter comme un gosse en pensant qu'tu viendra toujours me sauver. Je sais qu'tu crois en moi, enfin j'espère, comme je crois en toi et j'vais y arriver. J'vais arriver à me surpasser et a devenir un fils dont on peut être fier. J'vais y arriver.... j'vais y arriver.... Aie confiance en moi.....


Il avait parler tout en ayant une boule au cœur. Sa voie était triste et on sentait qu'il était largement ébranlé par la réaction de Thomas, et qu'il était sincère. Jamais William n'avait semblait aussi sérieux et adulte. Alors que son père vouloir lui tourner le dos il se rendait enfin de compte que s'opposait à lui ne servait à rien et qu'il n'avait toujours agit que pour son bien. Il ne s'était pour l'instant pas trop préoccuper d'Ariane mais il se doutait que sa mère serait aussi intransigeante que son mari avec lui.
 
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William- Je suis désolé.... Pardonne moi....
- Désolé... Pardonner... Mais tu te fous de ma GUEULE ! HEIN ?

Ariane ferma les yeux un instant. Voir les réactions de William, son regard face à son père... Il se conduisait toujours comme ce petit garçon de 6 ans que Thomas avait quitté des années auparavant. Ca lui faisait mal de voir ça pas seulement parce qu'elle s'en sentait responsable puisqu'elle l'avait élevée mais parce que ça ne pouvait qu'handicaper son fils de se conduire de la sorte. La réaction de Thomas ne l'étonna pas le moins du monde, c'est surtout son geste, portant la main sur le cœur qui la fit s'inquiéter.

Elle ne pouvait pas décemment lui dire de se calmer. Il avait raison quoique dans la méthode il se faisait beaucoup de mal. Ariane approcha Thomas, l'interrogeant du regard. Allait-il lui faire une crise cardiaque? Il lui suffit d'un regard pour s'assurer que non mais elle ne pouvait être totalement rassurer. Surtout lorsque Thomas éclata de ce sombre rire qui leur donna froid dans le dos à William et à elle.
Elle écouta ce qu'il disait sans rien dire, en épouse obéissante et effacée comme elle l'avait toujours été sauf que depuis toutes ces années tant de choses avaient changées. Ariane n'était plus cette épouse docile que Thomas avait choisie, elle ne faisait que continuer de jouer ce rôle pour sa famille mais à l'intérieur elle savait très bien ce qu'elle aurait dit. Elle avait beaucoup plus de caractère même en tant qu'épouse. Mais ce n'était pas le moment.

William-- ATTEND ! Non ne fait pas ça. ....Je t'en supplie pas ça. Crie moi dessus. Déteste moi. Frappe moi. Traite moi de tout les noms . Mais pas ça . Ne me renie pas. Ne m'abandonne pas. Pas encore..... Je sais que j'suis un abrutis, que j'fais jamais ce qui faut, que j'écoute jamais, que je ne suis qu'un égoiste, que j'ai merder lamentablement ..... Je sais tout ça et je ne cherche en aucun cas à me justifier. Tu m'en veux et c'est normal je l'accepte. Il est temps que je prenne mes responsabilité. Mais ne me renie pas . Ne me laisse pas là sans espoir qu'un jour tu me pardonne. Ne me fait pas plus de mal que ma culpabilité ne m'en fait déjà. N'as tu jamais fait d'énorme erreur à cause de l'amour que tu portait a Maman ? N'as jamais fait d'erreur tout simplement ? Enfin a part me concevoir j'veux dire.....

La gifle partie toute seule. Ariane avait un instant le regard furibond! Jamais avant elle n'avait giflé un de ses enfants mais là...

Ariane- Je t'interdis tu m'entends William! J'ai mis six enfants au monde et je ne connais pas de plus dur combat alors je t'interdis de me ressortir un truc pareil!

Elle avait le même regard que quand elle sortait le soir avec Changelin' pour Alicante. Un regard parfaitement étranger, autant à William qu'à Thomas. Mais elle ne lâchait pas son fils des yeux. C'était un regard qu'on avait pas du tout envie de défier.

Elle tourna de nouveau ses yeux clairs vers Thomas tandis que William reprenait.

[color:7eca=darkredWilliam- ]Je sais j'aurait dut penser aux conséquences de mes actes avant et que maintenant c'est trop tard. Je sais..... Mais je veus changer. Je dit pas ça pour te faire plaisir, je suis sérieux. Je veus devenir quelqu'un de meilleur et arrêter de me comporter comme un gosse en pensant qu'tu viendra toujours me sauver. Je sais qu'tu crois en moi, enfin j'espère, comme je crois en toi et j'vais y arriver. J'vais arriver à me surpasser et a devenir un fils dont on peut être fier. J'vais y arriver.... j'vais y arriver.... Aie confiance en moi.....

 
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On ne pouvait plus dire que Thomas ne savait pas se reprendre, pour conserver un calme apparent, comme l'un de ses calmes qui se passent après la tempête alors que la douleur, elle, y est toujours. Cependant, il fallait se mettre à l'évidence, Thomas était parvenu à reprendre une profonde maîtrise de lui même. Néanmoins, il ne se retournait pas. Écoutant juste la suite des évènements sans pour autant y prendre part, bien que ce soit à lui que l'on s'adressait, le Ministre Anglais écoutait d'une oreille attentive, gravant chaque mot, chaque acte deviné, dans sa tête. Son regard légèrement baissé vers le sol, inclinant ainsi à peine son visage, il tenait avec sa main gauche l'encadrement de la porte, tandis qu'avec l'autre, il se gratouillait nerveusement la barbe. Une chose était sûre : Plus William parlait, plus il s'enfonçait. La preuve en fut. Ariane le gifla. Levant sa main de l'encadrement de la porte de chambre de William, il fourra les mains dans les poches de son costard particulièrement bien taillé, lui affinant sa silhouette assez carrée. L'air de rien, il s'en alla sans même reposer un regard en arrière. Lorsqu'il marcha sur le tapis d'entrée du baraquement de son fils, il venait de transplaner en direction...

... Autours de lui, ça sentait la chaleur, et il ne put s'empêcher, directement, de porter sa main vers son nœud de cravate pour se le déserrer quelques peu, tandis qu'il continuait d'avancer comme si il n'avait pas du tout transplaner. Posant chacun de ses pas sur ce beau marbre noir intense, Thomas avançait avec cet air de connaisseur, comme si il avait été de l'un de ceux qui avait crée cette puissante bâtisse qui sentait la chaleur, et cette petite fragrance de fleur d'agrumes qui s'engouffrait par les fenêtres du bâtiment. Ses pas résonnaient doucement, et il gravit, ainsi, rapidement les étages jusqu'à arriver dans les bureaux ministérielles, où l'on avait cette impression de pénétrer dans une sorte de sanctuaire particulier. Un guitariste était là, grattant doucement une fine et délicieuse chanson qui se mêlait gracieusement dans le fond. Il était payé pour cela, et il était vrai qu'il fallait être particulièrement passionné par la musique, mais il était là depuis des lustres, et au Mexique, une légende courait comme quoi, il serait âgé de plus de 2OO ans. Thomas inclina doucement sa tête vers ce dernier, et pour la première fois de sa vie, le guitariste coupa son morceau pour lui dire doucement :

- Vous devriez écouter du Blues ou un peu de Jazz... Fit il, dans un anglais particulièrement haché, le ton plein de chaleur, presque tout aussi musical que les notes qu'il sortait de sa guitare.

Thomas ne dit rien, baissant son regard avant de s'incliner doucement pour reprendre sa route sous un sourire bienveillant de ce dernier. Le guitariste se remit à jouer. Les sorciers-gardes à l'entrée, regardèrent Thomas arrivait avec des regards pour le moins écarquillé. Ces dernières ne demandèrent même pas à Miguel si ils pouvaient laisser entrée le ministre Anglais. Miguel leva tout juste son regard du parchemin qu'il était entrain de lire pour voir les portes se refermaient derrière son meilleur ami. Aussitôt, il se leva, un sourire enthousiaste sur les lèvres, tandis qu'il contournait son bureau pour aller à la rencontre de son ami qu'il serra dans ses bras. Thomas eut un léger sourire, avant de tirer une chaise et de s'asseoir. Miguel eut une expression pour le moins stupéfaite. Aussitôt, il s'agenouilla, posant une main sur le genou de Thomas.

- Que passa ?
- Mig'... Il releva le regard, les yeux larmoyant. Il commençait à craquer. Je foire tout... J'ai tout foiré...

Aussitôt, Thomas se laissa glisser en avant. Miguel le rattrapa tant bien que mal, le serrant dans ses bras, presque avec douceur.

- Parle... Je t'écoute, vieux.

[...]
 
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Retour au Bercail [libre] EmptyLun 22 Sep - 19:09


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Son père partit sans rien dire. William aurait penser que sa sincérité aurait suffit à le faire rester. Que cela aurait suffi à le pardonner. Il avait merder il le savait et maintenant de tout ça, Thomas, cet homme à qui il tenait plus que tout s'éloigner de lui. Il n'était pas un bon fils, il l'avait inquiéter et il l'avait souffrir alors que ce n'était pas se qu'il avait voulut. William s'était tout simplement sentit et avait voulut inconsciemment faire partager cette souffrance avec les autres en s'en allant. Il avait penser que leurs vies seraient plus simple sans lui mais il le savait a présent. Ensemble ont est beaucoup plus fort. Ensemble on est capable de soulever bien des montagnes. Il n'aurait pas dût prendre la fuite et maintenant il en payer le prix en voyant son père ravagé de tristesse à cause de lui. Le faire souffrir lui c'était pire que ce faire souffrir lui même pour William. Mais c'était trop tard. Il était partit....

Cependant ça ne changer rien pour William. Que son père l'aime, le haïsse, le déteste, l'adore il continuerait de l'aimer. Il se fit alors une promesse. Un jour, peut-être aujourd'hui ou même demain, mais un jour, un jour, Thomas serait fier de lui. De nouveau il aurait confiance en lui. De nouveau ils partageraient des moments inoubliables. De nouveau ils seraient comme un père et un fils. Il s'en fit la promesse et il ferait tout pour que ça arrive. Il laisserai le temps à son père de guérir de la blessure morale qu'il lui avait infliger mais il ne lui fermer pas son cœur pour autant, jamais..... Jamais. Jamais il ne pourrait faire ça. Plus que secouer William n'avait pas bouger et avec le même regard qu'il avait lorsqu'il était enfants, il regarde Ariane, entendant en silence qu'elle l'abandonne à son tour.....


RP TERMINER
 
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