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 Sujet: On récolte que ce que l'on s'aime [PV Rose]
Mer 10 Sep - 11:24 
| | Nombre de messages : 1470
Age : 37
Origine : Auror - Ancien Gryffondor
Préférence Magique : blanche
Familier : Picassiette
 William Alex Slayers
William souffla, petit geste sans importance qu'il faisait souvent ses dernier temps pour évacuer le stress. Il était revenu d'Amérique mais ce n'était pas aussi facile que ça. Il avait fait des erreur ( encore ) et il devait en payer les conséquences. Certes, il s'était déjà plus où moins expliquer avec Rose dans la lettre qu'il lui avait envoyer mais ce n'était suffisant. Il voulait lui parlait face à face, et s'excuser. Noter que William ne s'excuse quasiment jamais. Il est le plus beau, le plus fort, le plus intelligent....
Mais cette fois ci il se rendait bien compte qu'il avait merder et il compter bien faire un gros effort sur lui pour ravaler sa fierté. Adossé contre le mur froid du baraquement n° 3, il se trouvait dehors, sur le côté ( là où il avait donné un grand coup de point qui lui avait valu une main ensanglanté ) entrain d'attendre Rose. Il n'était certain qu'elle vienne. Après tout après la façon dont il s'était conduis, elle n'avait aucun compte à lui rendre. Toutefois il espérait qu'elle viendrait..... [très très court j'me rattrape après ]
Dernière édition par William Alex Slayers le Dim 12 Oct - 12:25, édité 2 fois |
| | | | Sujet: Re: On récolte que ce que l'on s'aime [PV Rose]
Mer 10 Sep - 15:57
| | Invité
HJ : t'en fais pas <3Il était indéniable de se dire qu’à présent, elle ne pouvait plus éviter William. Cela avait été si facile, durant ces deux ans, lui d’un côté logeant à l’impasse, et elle de l’autre, ayant délibérément choisi les murs clos de Poudlard. Aujourd’hui tout se compliquait, pourtant jusque là, Rose avait réussi à feindre la non existence du jeune Slayers avec un talent remarquable. S’essayer au théâtre avait du bon, il fallait croire. Elle devenait très bonne comédienne. Aussi, si elle voulait paraître indifférente face à William, la jeune Mandrake pouvait y arriver avec une facilité déconcertante. Preuve en était de cette fameuse soirée chez Misha, où elle avait considéré l’ancien Gryffondor rien d’autre que comme un fantôme. A présent c’était différent, car Rose devait s’avouer qu’elle se sentait amplement coupable du départ de son ex petit ami aux Etats-Unis. Etrangement, dans le fond, elle lui en voulait encore. Elle avait toujours cette rancune âpre et froide pour William, Rose avait beau tenter et recoller les morceaux avec lui, comme cité dans sa lettre, elle gardait en elle cette farouche colère lorsqu’elle le regardait. Les blessures au cœur demeuraient, quoiqu’on en dise. Pourtant ils ne pouvaient demeurer éternellement ainsi, à s’éviter. Ils se devaient de repartir sur de bonnes bases. Elle ne demandait pas à ce qu’ils deviennent les meilleurs amis du monde, mais au moins qu’ils se voient en tant que camarades respectés, afin qu’ils ne se tirent plus dans les pattes. Car si Rose souhaitait ardemment retrouver une complicité et une conversation normale avec William, elle doutait que la rancune qu’elle avait encore pour lui, permettrait une telle chose. A croire que le jeune garçon pensait la même chose, car alors même que Sandro continuait les préparatifs en compagnie d’Idris pour l’anniversaire de Romeo, il avait demandé à la jeune fille de le rejoindre au dehors. Cette dernière, d’abord surprise, suivit la silhouette du jeune Slayers du regard, qui dès lors avait passé le seuil de la porte. Mille pensées vinrent s’entremêler dans son esprit embrumé, elle ignorait si vraiment elle avait envie de le rejoindre, partagée entre le désir de tout remettre à zéro, et celui encore présent de ne plus jamais lui parler. C’était absurde, il lui fallait faire l’effort malgré tout.
Après de longues minutes durant lesquelles ses prunelles bleues s’étaient posées pensives au sol, ignorant si vraiment elle était prête à un face à face avec William, Rose daigna finalement le rejoindre, déterminée. Jamais on n’avait vu chez la jeune fille autant de volonté et de détermination, elle prenait des airs de vraie femme battante, une tigresse prête à sortir les griffes s’il le fallait. Elle n’était plus le petit chaton inoffensif qu’elle avait toujours été, dos au mur et patte de velours brandie. A son tour, la jeune fille passa le seuil de la porte qu’elle referma doucement derrière elle. Rose avait pour elle cette étrange assurance qu’on ne lui connaissait que peu, prête à mettre les choses au clair dans le calme le plus absolu. Mais face à lui, la jeune fille ne sut que dire. « Alors, tu voulais me parler ? » Bien sûr que oui, il ne lui avait pas demandé de le rejoindre pour une partie de Quidditch. « Comment tu vas ? » Oh très bien après tout, ce n’était pas comme si il était parti loin de l’Ecosse par désespoir, après avoir eu une incartade avec l’un de ses anciens amis, Dean. Au diable les questions de formalité, mieux valait aller droit au but. Et cette franchise qui parfois pouvait être blessante était un nouveau trait de la personnalité de Rose, qui aujourd’hui ne se laissait plus marcher sur les pieds. Le temps de la naïveté était révolu.
Rose - C’est une bonne chose que tu sois revenu, mais entre nous tu n’avais même pas à partir.
Traduction : Cela avait été absurde de faire un voyage aux Etats-Unis après leur dispute violente. Après tout, cela faisait plus de deux ans qu’ils n’étaient plus ensemble, aussi Rose avait eu du mal à comprendre la réaction excessive de William. Pire encore le mot « traînée » résonnait dans sa tête, cependant la jeune fille tenta de ne pas trop y penser. Pas parce que cela lui faisait de la peine, bien que William ne se soit excusé, mais parce que cela risquerait d’attiser sa colère. Et la jeune fille voulait à tout prix rester calme, douce et conciliante. S’énerver était de loin la pire des choses à faire. Cependant l’on ne sentait que trop qu’elle ne pardonnerait pas si facilement, tant ses yeux bleus se faisaient réprobateurs, malgré sons visage angélique. La partie était loin d’être gagnée… First Round… |
| | | | Sujet: Re: On récolte que ce que l'on s'aime [PV Rose]
Mer 10 Sep - 21:44
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William Alex Slayers
Rose - C’est une bonne chose que tu sois revenu, mais entre nous tu n’avais même pas à partir.
William - C'est gentil mais il le fallait.
Il avait dut mal à regarder la jolie Mandrake. La tête et le regard fixer vers ses pieds il se sentait très mal à l'aise. Il lui avait demander pour sortir pour parler mais il ne savait pas trop par où commençait. Il ne s'était attendu qu'elle rentre aussi rapidement dans le vif du sujet mais d'un autre côté un « salut sa va ? » n'aurait servit à rien et n'aurais faire que transpiré l'hypocrisie. Elle était venu. La jolie petit fleur qui s'était depuis longtemps bien épanouie semblait encore prête à sortir ses épines mais il devait se comporter en homme et lui accorder les explications et les excuses qu'elle méritait. Levant la tête vers elle, il semblait plus humble que d'ordinaire et Rose pouvait tout à fait reconnaitre le jeune homme sensible qu'il était lorsqu'il se trouvait dans ses bras. Envolé, la carapace, face à elle il était à fait lui même. Simple, sentimentale, tendre et sans aucun artifice ni carapace. Prenant son courage à deux mains, il respira un bon coup avant de se lançer.
William - Il le fallait car je ne pouvais pas rester après ce que je t'ai dit. Tu n'est pas une trainé Rose. Tu n'est est pas une et tu ne l'a jamais était . Tu es généreuse, gentille, aimante, souriante.... Des tas de chose mais tout sauf ça. Si j'ai dit ça c'est seulement à cause de la présence de Dean. Tu comprend toi et lui vous avez toujours partager quelque chose de particulier et j'ai toujours sut que quoi que je fasse tu n'aurai jamais autant de respect pour moi que tu en as pour lui.... Je ne te le reproche pas c'est ainsi... tu peut rien y faire.... Mais lorsque je l'ai vu torse nu.... Je sais pas Alors oui parce que j'étais fou de jalousie. Et oui, William Alex Slayers qui semble avoir le conscient sentimentale d'une petite cuillère peu être jaloux. Je sais c'est étonnant.....
Il baissa la tête et les yeux pour reprendre légèrement son souffle, ayant de plus en plus de mal à la regarder, sentant la culpabilité montant en lui.
William - Alors oui il le fallait. Il fallait que je parte.... J'ai pas l'habitude de ressentir autant de chose. Pour moi la vie a toujours était simple. Une blonde un soir. Une brune un autre. Un verre avec un pote. Un éclat de rire avec un autre. Pas de prise de tête quoi. Pas de réelle vie non plus.... Mais avec toi c'était différent. Avec toi j'avais retrouver le gout des choses et je ne faisait pas que survivre, je vivait. Et lorsque je t'ai vu à l'hôpital, aussi pâle et faible et que j'ai appris que tu allais mourir j'ai eut peur.
On voyait dans son regard que le souvenir de cette nuit qu'il avait passé à veiller Rose à St Mangouste, le cœur au bord des larmes étaient encore présent. Et que ça avait était un moment dur à passé.
William - La vérité Rose c'est que je ne suis qu'un lache. J'ai beau me donner des air d'homme invincible lorsque j'ai peur, vraiment peur, je prend la fuite..... Il y as deux ans j'ai eut peur. J'ai vraiment honte de l'admettre, mais oui .... j'ai eut peur. Terriblement peur. Tu vois la pire journée de toute ma vie c'est celle où j'ai appris que mon père est mort. . Tu sais ce que s'est, tu as vécu la même chose.....
Parler de l'absence de son père avait toujours était un sujet douloureux pour lui, et en parler Rose montrait bien a quel point il lui confiance. Malgré sa voix était chargé d'émotion et ses yeux était devenus comme des larmes allait apparaitre à l'intérieur de ses pupilles d'une seconde à l'autre. Il regardait la jeune fille, et se sentait visiblement troublé par ses propre propos.
William - Enfin bref, j'vais pas développer tu dois en avoir rien a foutre mais j'avais que six ans et c'était à horrible. Et ce jour là j'me suis promis que plus jamais, plus jamais.... , plus jamais, je ne revivrais un truc pareil. Alors quand j'ai appris par les médecin que tu aller mourir.....
A cet instant là il déglutit et ferma légèrement les yeux, se remémorant ce qu'il avait ressortit, cette immense douleur au coeur comme si on allait le lui arracher d'un seul coup. Une larme silencieuse coula sur sa joue qui ne tarda pas à disparaitre dans le creux de son cou comme si elle n'avait jamais était versé. Puis se ressaisissant il rouvrit les yeux fixant plus l'horizon que Rose a présent.
William - C'était au dessus de mes forces. J'pouvais pas rester là et attendre ta mort..... J'pouvais pas, j'pouvais pas....
Il déglutit de nouveau, avant de regarder de nouveau vers la jeune Mandrake.
William - Cool maintenant je parle presque autant qu'une fille, ait pitié achève moi dit-il avec un petit rire nerveux et un air qui se voulait dramatique comme d'ordinaire.
Mais de toute évidence le cœur n'y était pas. Cette connerie il était obliger d'la dire. C'était dans sa nature. Il venait entièrement de se montré à nu face à elle. Il lui avait dit ses doutes, ses peur, chose qu'il n'avait jamais faire et sans cette phrase il aurait était écrasé par la honte. Déjà il se sentait terriblement con. Elle devait sûrement ce dire qu'il n'était qu'un abrutis qui ne faisait que chouiner et se plaindre. Pathétique..... |
| | | | Sujet: Re: On récolte que ce que l'on s'aime [PV Rose]
Jeu 11 Sep - 19:49
| | Invité
Très peu pouvaient se vanter de connaître véritablement William Slayers, celui qui avait de véritables sentiments et qui ne s’en cachait pas. Rose pourtant en faisait partie, et elle n’avait jamais été surprise ni étonnée de le voir étaler ainsi ce qu’il ressentait, quoiqu’elle savait pertinemment que l’effort actuel de l’ancien Gryffondor était considérable. Ce tête-à-tête sentait fortement les excuses et les explications, chose tout de même remarquable de la part de William qui aurait très bien pu revenir dans un grand sourire et simplement offrir un « Hey ça va ? », à une Rose qui s’était sentie humiliée face aux assauts du jeune Slayers. C’était aussi pour cette raison que la jeune fille souhaitait rester calme, bien qu’il était évident que tout ne pourrait pas passer aussi aisément, cela aurait été bien trop facile. Néanmoins Rose le laissa parler sans jamais le couper, consciente qu’il serait sans doute difficile pour lui de s’expliquer. Autant donc le laisser y aller franchement plutôt que de le faire hésiter inutilement. Le regard bleu de la semi-vélane se posa avec intérêt sur William, c’était presque ce même regard qu’elle avait lorsqu’elle se trouvait en cours : pleine d’attention, elle buvait alors les paroles, s’arrêtant au moindre mot afin qu’aucun ne lui échappe. Elle s’étonna néanmoins de le voir regarder ainsi au sol, presque gêné et honteux, alors même que pour une fois, c’était elle qui souhaitait soutenir le regard du jeune homme. Il se mit alors à parler franchement, allant droit au but et n’hésitant absolument pas dans ses mots. L’on sentait que cela l’avait travaillé, tant William savait pertinemment ce qu’il se devait de dire. Néanmoins, lorsqu’il évoqua le mot « traînée », Rose détourna furtivement le regard, quelque peu froide soudain, croisant alors les bras d’un geste automatique. Malgré tous les compliments qui vinrent par la suite, la jeune fille n’était restée que sur ce mot : « traînée. » Les excuses pouvaient venir, mais les souvenirs, eux, demeuraient. Cependant tout espoir n’était pas perdu, car la jeune Rose esquissa un bref sourire amusé, reportant son regard sur William lorsqu’il évoqua Dean, qu’il avait vu torse-nu. Pour Rose, cela avait quelque chose d’hilarant, elle n’avait jamais été attirée par son meilleur ami, et le voir ou non sans T-Shirt n’affectait en rien ce qu’elle pensait. Et c’était là sans doute la première fois qu’un jeune homme se sentait menacé par un Dean Carlson torse nu, d’où le sourire de la jeune fille. Ce qu’elle comprenait moins cependant, c’était cet aveu particulier de William lui avançant qu’il avait été jaloux. Cela impliquait deux choses : soit sa fierté était trop bien placée pour qu’il accepte une telle chose, soit le jeune garçon avait encore des sentiments pour elle. Mais Rose raya aussitôt la deuxième option, après tout c’était lui qui l’avait quittée il y avait de cela deux ans. Quoique cette dernière petite phrase qu’il avait écrite dans sa lettre prêtait à confusion : « PS : I love you. »
Mais la jeune fille ne s’y attarda pas, écoutant plutôt la suite des aveux de William. Il évoqua alors cette partie de sa vie qui lui pesait tellement, aussi Rose détourna légèrement la tête. Elle n’avait jamais aimé en parler, et s’entendre conter cette partie de l’histoire lui était quelque chose d’insupportable. Cela lui rappelait tant sa vie passée, celle où elle n’était qu’une ombre peu sûre d’elle, attendant simplement que la mort ne vienne la chercher pour mettre un terme à toutes ces souffrances. Peut-être était-ce pour cela que Rose n’écoutait plus que d’une oreille, elle souhaitait oublier cette partie de l’histoire, peu reluisante, cet hôpital, cette maladie, cette ancienne Rose et ses souffrances. Son attention se reporta soudain sur William lorsqu’il lui parla alors de son père, il était évident que les réactions excessives de l’ancien Gryffondor étaient le fruit d’une tristesse terrible qu’il avait eu durant son enfance. Néanmoins Rose ne s’avança pas sur cette opinion. Elle était étudiante, pas psychologue.
William - Cool maintenant je parle presque autant qu'une fille, ait pitié achève moi.
Si William eut un rire nerveux, Rose elle lui offrit un sourire vraiment amusé. Auparavant, la jeune fille lui aurait certainement offert un regard triste, peiné, et de compassion, mais aujourd’hui elle se refusait à dramatiser les situations et gardait pour elle cette pétillance, tout autant que cette faculté à écouter et à comprendre.
Rose - Oh non, ce serait trop facile. Rose soupira un instant et plaça une mèche de cheveux blonds derrière l’oreille, plongeant son regard bleu dans celui de William qui s’était enfin relevé. Je ne sais pas trop quoi te répondre sinon que… Je comprends pourquoi tu as explosé comme tu l’as fait et décidé de partir aux Etats-Unis. Mais tu sais, la vie ce n’est pas une superbe fête continuelle où tu peux embobiner toutes les blondes que tu veux. On s’ennuie si c’est trop facile, dit-elle en haussant les épaules. Et, tu sais pour cette histoire d’hopital… La mort fait partie intégrante de la vie, c’est triste mais c’est ainsi, si tu la vois encore comme un tabou tu souffriras toujours, crois moi.
La jeune fille parlait d’un air détaché, le sourire aux lèvres, elle ne voulait pas rendre la conversation trop pesante et sombre. Parler de la mort était une bonne chose, et elle tentait de lui faire comprendre que l’on ne pouvait y échapper, quoiqu’il arrive. Il fallait avouer qu’entendre William affirmer qu’il l’avait laissée tomber alors qu’elle était au bord du gouffre, prête à sauter à pieds joints dans son cercueil lui faisait mal. Mais dans le fond, pouvait-elle vraiment le lui reprocher ? Après tout, une fois décédée, ce n’était pas elle qui pleurerait les autres, ce n’était pas elle qui ressentirait de la peine, mais bel et bien ses proches. Au final il n’y avait pas vraiment lieu qu’elle lui en veuille, c’était compréhensible, même si elle-même savait qu’elle n’aurait jamais réagi de la sorte. Mille fois elle aurait préféré rester au chevet de l’être proche qui se montrait mourrant, souhaitant profiter au maximum de ses derniers moments avec lui. Mais chacun réagit différemment. Etrangement, Rose passa sur cette histoire, se posant beaucoup moins de questions elle ne voyait pas l’intérêt d’en parler durant des heures. Le mal était fait, et William avait fait l’effort de s’expliquer. Dans un bref sourire, la jeune fille croisa alors les bras, son regard bleu s’allumant alors d’un étrange amusement.
Rose - Alors si j’ai bien compris, tu as cru que Dean et moi on... Rose ne finit pas sa phrase, étouffant alors un rire. Cela lui paraissait tellement irréel que ça en devenait presque absurde. Tu sais, j’en viens jusqu’à me demander s’il ne voue pas en secret un culte à Misha, crois moi tu n’as rien à craindre de Dean.
Rose s’arrêta alors, son sourire s’effaçant soudain lorsqu’elle se rendit compte de ce qu’elle venait de dire. « Tu n’as rien à craindre de Dean. » C’était en vérité ce que William avait toujours fait, et encore aujourd’hui il lui semblait qu’il avait été jaloux du jeune Carlson. Les yeux bleus de Rose se firent alors plus sérieux et interrogatifs, il trottait encore dans sa tête une question qu’il lui fallait d’élucider.
Rose - Pourquoi... Pourquoi avoir été jaloux de Dean ? Hormis ses magnifiques pectoraux je veux dire, rajouta Rose dans un sourire amusé et gentiment moqueur. |
| | | | Sujet: Re: On récolte que ce que l'on s'aime [PV Rose]
Jeu 11 Sep - 21:47
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Rose - Oh non, ce serait trop facile.
Il déglutit, prêt à voir tout la colère du monde et surtout de Rose s'abattre sur ses épaules, se disant que malgré tout son blablabla cela avait était inutile et ça ne l'avait tempéré. A vrai dire, il s'y était attendu elle avait raison ça aurait beaucoup trop facile.Mais peu importe. Aujourd'hui il ne voulait plus être lâche, il voulait affronter la vie et ses difficulté même c'était dur et éprouvant.
Rose - Je ne sais pas trop quoi te répondre sinon que… Je comprends pourquoi tu as explosé comme tu l’as fait et décidé de partir aux Etats-Unis. Mais tu sais, la vie ce n’est pas une superbe fête continuelle où tu peux embobiner toutes les blondes que tu veux. On s’ennuie si c’est trop facile,
William - Tu as raison. C'est quelque chose que j'ai appris avec toi.
Il avait dit les choses clairement et simplement comme il le pensait. Cette fois il n'avait réfléchir trois ans dans sa tête sur ce qu'elle avait dit pour savoir exactement quoi dire pour ne pas trop dévoiler ses propre pensé, comme il le faisait d'ordinaire. Il avait était simple et naturelle tout simplement. Et elle avait raison, la vie ne pas toujours être Rose.... Bien qu'il le voudrait....
Rose - Et, tu sais pour cette histoire d’hôpital… La mort fait partie intégrante de la vie, c’est triste mais c’est ainsi, si tu la vois encore comme un tabou tu souffriras toujours, crois moi.
Cette voix encore, ces propos était plein de vérité. Mais en deux ans il avait évoluer de ce côté là. Lorsqu'on devient un Phoenix incapable de mourir l'ont voit la mort différemment. L'on réalise alors qu'elle est essentielle pour l'accomplissement d'une vie et qu'elle permet a d'autre de naitre et qu'elle n'est pas forcément. La mort vous aide a grandir et à vous construire. Sans la mort de son père ( qui n'en était vraiment une en fin de compte ), il n'aurait jamais était ce qu'il est aujourd'hui. Certes le résultats était pour l'instant par fort brillant mais il était quelque part fier d'être lui même car cela lui avait permis de connaitre des gens extra-ordinaire, Dakota, Asphodèle, Rose.... Donc peu à peu il commençait à faire face contre cet ennemi invisible qu'il avait toujours craint.
Rose - Alors si j’ai bien compris, tu as cru que Dean et moi on...
William - Woé dit-il accompagnant la jeune fille dans son rire. Je sais c'est ridicule.
Rose -Tu sais, j’en viens jusqu’à me demander s’il ne voue pas en secret un culte à Misha, crois moi tu n’as rien à craindre de Dean.
William - J'te crois.
Déjà il était un plus décontracte. L'attitude de Rose l'aider a se rendre compte à quel point il s'était fait de fausse idée. Et ça le rassura de savoir qu'il n'y avait rien à part de l'amitié entre Carlson et elle bien que bien entendu elle n'avait aucun a lui rendre. Mais quand même. Il était content qu'elle prenne la peine de mettre au clair se sujet.
Rose - Pourquoi... Pourquoi avoir été jaloux de Dean ? Hormis ses magnifiques pectoraux je veux dire,
Il eut un petit sourire. Déscidément il fallait se rendre à l'évidence Rose avait beaucoup, changé, murie et elle était deux fois plus belle et intéréssante que lorsqu'il laisser il y as deux ans. Elle s'était épanouie et semblait rayonnante. Elle avait appris l'ironie et ce genre de phrase qu'elle venait de dire il aurait très bien put la prononcer dans une autre situation. C'était étrange mais il avait presque l'impression que les rôles étaient inversé aujourd'hui. Il devenait le timide peu sûr de lui et mal à l'aise, et elle la personne qui dédramatiser tout, qui était heureuse et sûr d'elle. Pourquoi avoir était jaloux de Dean ? C'était une bonne question. Il posa son regard sur la jeune Mandrake et la réponse vint d'elle même.
William - Parce que je t'aime dit-il en haussant les épaules comme si c'était une évidence, légèrement mal à l'aise.
Au tons de sa voix, a son regard brillant l'on ne pouvait être sur que d'une chose, cette fois-ci ce n'était pas de l'ironie une blague mal placé mais belle et bien la vérité. Ce mot était sortit de sa bouche tout naturellement, comme si cela faisait des siècles qu'il n'attendait qu'as sortir. En deux ans elle avait beaucoup changer mais lui aussi. Beaucoup penser qu'il n'avait pas murie ni évolué et qu'il ne rester encore et toujours que le William immature qui ne faisait qu'enchaine les conquête et les connerie mais depuis le retour de son père et son aventure avec Rose il s'était ouvert et il était à même de dire ce qu'il ressentait. Avant il n'aurait pas oser lui dire qu'il l'aimait, il ne se l'aurait même pas avouer lui même. Là il était mal à l'aise et avait peur de se qui aller suivre car il douter qu'il y est un « Happy end » pour eux après tout ce qui s'était passer. Mais il n'avait pas honte, et assumer pleinement se que lui dicter son cœur. Tant pis si elle l'envoyait sur les roses, sans mauvais jeu de mots, au moins il n'aurait pas le regret de ne pas avoir tout était et de ne pas avoir était 100% honnête . Se sentait légèrement rougir, il ne savait plus vraiment quoi dire.
William - C'est ridicule hein ? |
| | | | Sujet: Re: On récolte que ce que l'on s'aime [PV Rose]
Sam 13 Sep - 20:13
| | Invité
Elle s’était sans doute préparée à tout. A un argument franchement peu convaincant de William, comme à une pointe d’humour ou même un « j’en sais rien » dans un haussement d’épaules. Quelque chose qui peut-être l’aiderait à détourner la conversation à éviter le sujet et passer sur autre chose, mais jamais Rose ne pouvait s’attendre de ces trois mots de la part de William. Même s’il paraissait changé et ne paraissait plus le même, la jeune fille était à des lieux de s’imaginer que la réponse allait lui faire un tel choc, ne s’attendait jamais à cet aveu de la part du jeune Slayers. Au pire, il lui aurait affirmé que c’était un problème d’égo, au mieux il lui aurait affirmé qu’il n’en savait rien, mais cette réponse-ci paraissait irréelle. « Parce que je t’aime ». Le regarde de la jeune fille, alors perdu distraitement sur le visage du garçon, glissa instantanément jusqu’à ses yeux brillant d’une certaine gêne, et peu à peu le sourire de Rose s’effaça, tandis que son cœur fit un bond dans sa poitrine. Pourquoi avoir été si cruel et attendre deux années pour le lui dire ? Si William le lui avait avoué avant, tout serait sans doute différent pour eux aujourd’hui. Il lui fallut de très longues secondes pour bien assimiler cette confession, demeurant muette sur le coup. Il n’y avait parfois pas besoin de mots, pour avancer ce que l’on ressentait. Mais au fond d’elle-même, Rose connaissait-elle les sentiments qu’elle avait pour William ? Un mélange de haine qu’elle avait porté pour lui, mais qui s’était éteinte, d’amour certain et sincère, car elle avait vu en lui quelqu’un de noble, mais aussi d’amertume pour celui qui l’avait laissée tombée. Ce trop plein d’émotions fut que la jeune Rose resta muette, accusée par le choc et les questions qui l’assaillirent. Elle ne savait que répondre, alors même qu’elle savait pertinemment qu’ils étaient trop différents pour demeurer ensemble. Elle avait besoin de tendresse et de chaleur, chose que possédait William mais qu’il accordait avec difficulté, et étrangement Rose gardait toujours pour elle cette crainte que la fidélité soit d’un bataillon inconnu pour l’ancien Gryffondor alors même que cela n’avait pas lieu d’être. Ce fut lorsque la voix de William résonna pour la seconde fois qu’enfin Rose reprit ses esprits et put rétorquer quelque chose, tant bien que mal.
William - C'est ridicule hein ?
Rose - Non je… Non… Non ça l’est pas.
La jeune blonde hocha la tête doucement, troublée et quelque peu perdue par cet aveu qui avait bien deux années de retard. Ce fut là tout ce qu’elle fut capable de répondre, quoique cela valait toujours mieux qu’un maladroit « merci. » ou aucune réponse du tout. Mais elle se souvint alors de ce terrible bal d’Halloween, celui où William l’avait conduite hors de la grande Salle, et où tous deux s’étaient retrouvés. Elle se souvint alors des dires de William, qui avait souhaité que leur relation ne reste cachée aux yeux des autres, et les souvenirs torturés revinrent d’eux même. La jeune fille avait alors pensé, qu’elle n’était sans doute pas assez bien pour se montrer aux bras du jeune Slayers, et que c’était pour cela qu’il lui soumettait cette requête de garder leur relation cachée. Elle se souvint alors qu’elle était restée forte, esquissant un doux sourire malgré sa lourde peine, allant même jusqu’à lui avouer ce même aveu : Je t’aime. Ce à quoi, William n’avait pu que murmurer un « Oh ». Et s’il était vrai qu’elle pardonnait facilement, au nom de l’ancienne Rose qui avait tant souffert, elle ne pouvait se permettre de voiler le passé pour simplement trois mots qu’elle avait attendu si longtemps lorsqu’ils étaient restés ensemble. Aussi la jeune fille fit un léger signe négatif de la tête, plongeant son regard bleu plein de gêne dans celui du jeune garçon.
Rose - C’est juste que… C’est trop tard.
L’ancienne Rose aurait sans doute rajouté un « Je suis désolée. » Mais pas celle-ci. A quoi bon être désolée, alors qu’elle avait tant souffert pour lui. C’était cette souffrance qu’elle voulait aujourd’hui exclure, voilà pourquoi il lui était impossible de répondre quoique ce soit d’autre. Et si elle demeurait persuadée que William savait pertinemment qu’ils ne pourraient entamer une relation, autre qu’amicale, la jeune fille préférait autant mettre les choses au clair, afin de rendre la situation limpide et aussi transparent que du cristal.
Rose - Et il faut se rendre à l’évidence, c’est impossible entre nous, nous sommes trop… différents. Je ne veux pas recommencer tout ça. Mais seulement… Qu’on tente de redevenir amis, si tu y tiens toujours toi aussi ?
La jeune fille esquissa un doux sourire, forcé néanmoins tant la peine était tout de même présente. Aujourd’hui c’était elle qui évitait le chemin glissant, mais seulement parce qu’elle avait bien trop souffert par le passé, et ne désirait pas réitérer les mêmes erreurs. Elle avait sa vie, il avait la sienne, et Rose ne souhaitait plus qu’une amitié profonde entre eux deux, afin de repartir sur de nouvelles bases plus solides. |
| | | | Sujet: Re: On récolte que ce que l'on s'aime [PV Rose]
Lun 15 Sep - 19:47
| | Nombre de messages : 1470
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Origine : Auror - Ancien Gryffondor
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William Alex Slayers
Rose - C’est juste que… C’est trop tard.
Trop Tard..... C'était trop tard. William en aurait presque rit si ces mots là ne lui avait pas transporté le cœur. Comment cela pouvait être trop tard et pourquoi ? C'est la question qu'il se poser et même temps il savait qu'il avait raison. Comment effacé deux ans de souffrances et toutes les erreurs qu'il avait faite avec seulement deux mots « je t'aime » ? Ces mots ils les avaient déjà prononcé, deux ans auparavant. Et une fois encore pas quand il le faller. D'après les propos de la jeune fille il comprit qu'elle ne se souvenait pas. Pourtant il lui avait dit, en ce funeste jour où il avait cru avoir perdu pour toujours Asphodèle. Elle avait peut-être mis ça sut le compte de la peine il n'en penser pas moins. De toutes façon il avait penser chacun des mots qu'il avait prononçé avec elle. A part peut-être ces ridicules parole qu'il avait dite un jour la volière pour la faire fuir. C'est étrange comme la vie peu parfois nous jouez de mauvais tour, à cette époque il était prêt tout pour la faire fuir mais quoi qu'il fasse le destin semblait continuellement la ramener vers lui. A présent il voulait à tout prix la garder prêt de lui mais elle semblait lui échapper quoiqu'il fasse.
Non à vrai dire il l'avait DEJA perdue.... Elle lui avait dit.... C'était trop tard.... Assomer par les mots il ne savait pas vraiment quoi dire. Mais il ne voulait plus être lache. Il ne voulait fuir ses sentiments. En temps normal il se serait dit « A quoi continuer d'espéré alors qu'elle ne veut plus de moi ? » mais il avait confiance en eux comme elle avait eut confiance en lui. Il se souvenait encore du jour où il lui avait demandé. C'était ce soir d'octobre 2010 où il avait dormis ensemble après une soirée beaucoup trop arrosé. Malgré son états, il avait passé une bonne partie de la nuit la regarder dormis paisiblement, se demandant à quoi elle pouvait rêver. Et sans un mot, il était resté là à l'observer, satisfait par le simple fait de l'avoir ses côtés. Nombreux avait était ceux qui avait passé qu'il avait romptus avec Rose parce qu'il avait obtenus ce qu'il désirait, son innocence. Mais il n'en était rien.
Elle avait était la seule avec qui il s'était sentis d'attendre car elle était son ange.... Et à présent c'était trop tard ? Il avait-il donc sans qu'il le sache une date de péremption sur l'amour ? Tssss.... Non ! Bien sûr que non. Mais les larmes de son coeur l'empêcher de parler et le regard brillant il regarda sa petite fleur fané dire autre chose.
Rose - Et il faut se rendre à l’évidence, c’est impossible entre nous, nous sommes trop… différents.
William - Woé.... Trop différent.....
Trop différent ? Ne dit-pas-t-on que les opposé s'attire ? Elle aspire a la tendresse et à l'amour. Elle avait besoin d'être rassuré. Elle n'avait pas confiance en elle. Elle avait perdue son père étant jeune. Les gens la voyait autrement de se qu'elle était vraiment. Tout ça Will l'était aussi. En quoi étaient-ils différent ? Peut-être que les problème n'étaient pas leurs différence mais leurs façon de communiquer. Trop de fois ils s'étaient parler sans se comprendre. Trop de fois ils n'avaient pas sut parler pour se comprendre. Trop de fois ils n'avaient compris que ce qu'ils croyaient entendre. Pour au final en arriver là.
Rose - Je ne veux pas recommencer tout ça. Mais seulement… Qu’on tente de redevenir amis, si tu y tiens toujours toi aussi ?
Pas recommencer tout ça.... En bref il l'avait beaucoup trop fait souffrir. Il avait souffert lui aussi à vrai dire. Malgré les apparences elle n'avait pas était qu'une fille de plus et il était donc d'accord avec elle, il fallait que leurs petites rancœur cesse et qu'ils deviennent ami. Mais en était-il capable ? Le voulait-il vraiment il n'en avait aucune idée. En fait cela aurait beaucoup plus simple si elle avait tout ignorait de se qu'il ressentait. Une main sur son épaule, un sourire, un geste tendre, peut-être même un câlin ou un bisou sur la joue...
Il aurait pût tout se permettre si elle n'avait pas sût. Il aurait pût feindre l'amitié alors que son coeur ne battait que pour lui. Il aurait fait croire qu'il ne ressentait rien comme il arrivait si bien le faire. Elle n'aurait jamais sut qu'il l'aimait et ses sentiments aurait peut-être fini par passer. Mais là c'était différents. Il lui avait des aveux et il ne savait pas très bien comment il pourrait se montré lui même malgré la honte et le blanc qu'il venait de se prendre. Car il ne fallait pas oublier que William était un homme fier et que son égo en avait déja un sacré coup en reconnaissant ses erreur et en revenant à Londre. Aurait-il la force de puiser encore en lui pour devenir amie avec elle malgré tout ? Oui..... Oui ! Il savait que oui.
William - J'crois qu'tu as raison ! On as assez souffert tout les deux et j'voudrais vraiment que ça s'arrête. J'ai envie qu'on recommence à rire tout les deux. J'ai envie qu'tu lève un sourcil parce que je commente les formes d'une fille. J'ai envie d'être exaspéré parce que tu as encore passé tout l'après midi a la bibliothèque. J'ai envie que tout redevienne comme à Poudlard. Mais en mieux.
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