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 Sujet: It wasn't a nightmare, Zephyr. {PV}
Sam 14 Juin - 18:41
| | Invité
 Ce matin, Matteo n’avait rien mangé, et il l’avait fait exprès. A midi non plus, on lui en avait fait la remarque, mais le regard noir qu’il avait lancé avait dissuadé quiconque de lui adresser la parole. Puis il avait séché les cours de l’après-midi et avait élu au domicile dans le salle désaffectée. Quand on entrait dans la salle, on remarquait tout de suite les longues traînées de fumée, poussières qui s’étaient collées au fil du temps sur le plafond, les murs et les quelques meubles cassés qui avaient été entreposés ici. Matteo était avachi sur le canapé défoncé, couvert de poussière, son tabac en sachet et ses cigarettes à rouler étalés devant lui. Le grand blond, devenu expert en la matière, saisit une pincée de tabac dans le sachet et roula doucement sa clope, la saisissant délicatement et l’allumant grâce à sa baguette. Matteo adorait l’odeur du tabac blond, ça lui rappelait la tabatière en argent posée majestueusement sur le comptoir de la cuisine, où lui et Starly se servaient généreusement quand leurs parents n’étaient pas là. En fait, ça lui rappelait beaucoup d’images de sa vie, quand la famille était encore entière, quand il y avait de l’espoir et de la joie.
Matteo tira une taffe, ferma les yeux, allongé sur le canapé. A jeun, les effets de la cigarette sont encore plus nocifs. Bientôt, son esprit se mit à divaguer. Les souvenirs et les idées se confondaient, se mélangeaient sans que Matteo ne puisse rien comprendre. Le Poufsouffle toussa violemment, rouvrit les yeux. Il voyait flou, des larmes embuaient ses prunelles bleues. Il se sentait mal, vaseux, vraiment pas en forme, aussi bien physiquement que mentalement. Matteo se redressa doucement, un mal de crâne pas possible. Il avait l’impression d’évoluer entre le rêve et la réalité, d’être là et absent en même temps. C’est comme s’il avait pu sauter d’un immeuble de trente étages tout en savant très bien qu’il allait s’écraser par terre.
Matteo se passa la main dans les cheveux, comme si cela allait apaiser son mal de crâne grandissant. Toute la pièce sentait le tabac, mais Matteo avait l’habitude d’être imprégné de cette odeur. C’était presque indissociable, désormais. Matteo et son éternelle odeur de tabac blond. C’était presque rassurant, à la fin. Se serrer contre Matteo et respirer son odeur de tabac était étrangement apaisant ... Le jeune Poufsouffle s’alluma une seconde cigarette : une fois qu’il avait commencé, il ne pouvait plus s’arrêter. Matteo se réinstalla confortablement sur le canapé, regardant par la fenêtre. Il y avait une étrange lumière de fin d’après-midi, dorée et subtile, qui entrait par les carreaux sales de la fenêtre. Matteo fixait le ciel, la fumée entourant sa tête. On aurait dit une scène de film, une scène de pause qui précède quelque chose d’inattendu.
Et justement, quelque chose se passa. La porte de la salle grinça, Matteo sursauta. Il balança rapidement le paquet de tabac et le papier à rouler sous le canapé, mais garda sa cigarette à la main. Des cendres froides agonisaient sur l’accoudoir du canapé, Matteo les balaya rapidement, le cœur battant. Il avait honte, comme s’il se droguait ou quelque chose comme ça. Et la personne qui apparut dans l’encadrement de la porte ne fit que renforcer sa honte. |
| | | | Sujet: Re: It wasn't a nightmare, Zephyr. {PV}
Sam 14 Juin - 20:30
| | Invité
Une jolie journée... Sisi... Identique à toutes celles qu'elle connaissait depuis qu'elle était entrée à Poudlard. Enfin... identique... Il manquait celui avec qui elle passait nombre de ses journées et qui, de par sa présence, lui évitait de rentrer dans la masse d'élèves qui parcourait allègrement les couloirs de l'école. Elle l'avait rapidement "vu" le matin et pas croisé le moins du monde l'après midi. Ca l'agaçait. Elle n'aimait pas qu'il disparaisse comme ça, sans la prévenir. A son corps défendant, elle devait bien avouer qu'une pointe de jalousie la titillait à ces moments là. Malgré ce manque, elle garda le sourire, s'excusant autant que possible lorsqu'elle rentrait dans quelqu'un et ignorant les remarques narquoises. Elle n'en pouvait plus de cette école où elle ne faisait que de se prendre la tête avec les élèves qui ne comprennaient pas comment elle pouvait parvenir à faire de la magie.
Est ce que c'était de sa faute si elle était capable de "voir" les actions suffisamment de temps avant qu'elles ne se fassent pour pouvoir réagir? Certes, la capacité devenait compliquée à manipuler quand il y avait beaucoup de monde et qu'elle avait d'autres choses à faire mais soit... Les heures passèrent, toutes semblables les unes des autres. Pendant que sa plume écrivait en brail les cours, elle écoutait les plumes des autres gratter le parchemin. Elle ne faisait pas grand chose en cours, à part écouter... Et le manque de Matteo se fit encore plus douloureusement sentir. Patiente, elle compta les heures qui la séparait d'une possibilité de recherche. Lorsque, enfin, on la libéra, elle se précipita à son dortoir, esquivant au possible les élèves.
Elle en bouscula quelques uns mais ne s'excusa pas. En quelques minutes, elle atteignit son dortoir et laissa tomber ses affaires de cours avant de ressortir aussi sec. Une fois dans le couloir, elle s'immobilisa le temps de se demander où il pouvait bien être. Elle n'en avait strictement aucune idée. Elle se mordilla la lèvre en reprenant sa marche, plus lentement cette fois là. Elle ne savait pas du tout comment le trouver sans user de son.... savoir très peu orthodoxe pour cette école. Elle erra dans les couloirs pendant... elle ne savait combien de temps. En désespoir de cause, elle pénétra dans une salle vide, prit soin de la fermer et se mordit le pouce jusqu'au sang.
Elle traça une série de symboles qui disparurent au fur et à mesure puis créer une ligne qu'elle seule était capable de voir. Elle la suivit avec un sourire qui s'effaça quand elle fit face à une porte. Elle plissa le nez sous l'odeur de tabac blond. Il était là. Elle ouvrit délicatement la porte et pénétra dans la pièce enfumée avant de refermer la porte et de s'appuyer sur le chambranle. D'un geste souple, elle retira son bandeau et le cala dans sa poche. Les prunelles chatoyante se plantèrent immédiatement dans le regard du jeune homme. Elle croisa lentement les bras puis lâcha.
Rhéa -Jolie vue, Matteo?
Au son de sa voix, on aurait pu dire que c'était normal mais le fait qu'elle l'appelle par son prénom en entier n'était pas vraiment de bon augure. Elle écarta une mèche de son visage et laissa le silence s'installer. |
| | | | Sujet: Re: It wasn't a nightmare, Zephyr. {PV}
Lun 16 Juin - 13:35
| | Invité
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Matteo était immobile, sa cigarette à la main. Et merde. Ca aurait pu être n’importe qui, mais c’était elle qui venait d’ouvrir la porte. Elle devait sûrement lui en vouloir : il l’avait abandonné toute la journée, et maintenant, elle le trouvait là, en train de se défoncer la tête. Matteo n’avait jamais eu aussi honte de toute sa vie. Rhéa aurait encore plus de raisons de le fuir. Matteo baissa la tête sous les paroles de son amie, et écrasa sa cigarette dans le cendrier. Et maintenant ? Qu’est-ce qu’il fallait qu’il fasse ? S’expliquer, ou laisser le silence tomber entre eux deux ? Mais d’ailleurs, que pouvait-il expliquer ? Il n’y avait rien à comprendre, rien à dire. Qu’est-ce que Rhéa attendait de lui ? Sûrement des excuses, et ça, il comprenait. Matteo ressentait, en plus de la honte, une profonde culpabilité. Il releva timidement la tête, lui qui dépassait Rhéa de deux têtes, et se sentit écrasé par la présence de son amie. Elle avait le don de le mettre en face de ce qui n’allait pas chez lui. Il croisa le regard chatoyant de Rhéa, si troublant, si fascinant. Et put enfin trouver le courage de parler.
Zephyr - « Je suis désolé, Rhéa. »
Il l’avait dit avec assurance, d’une traite, sans bredouiller. Il n’avait pas encore réussi à sourire, ni à détendre l’atmosphère (ce qui était loin d’être une tâche aisée), mais il était parvenu à parler. Le Poufsouffle souffla profondément, cherchant ses mots. Il avait tant de choses à exprimer et si peu de mots de juste, qui pourraient convenir. Le blond se passa la main dans les cheveux, gêné, bloqué. La tension dans la pièce était lourde, Matteo n’était pas habitué. Ca n’arrivait pas souvent que Rhéa et lui se disputent. Matteo était souvent la cause, d’ailleurs. A force de faire des conneries, on en paye forcément un jour les conséquences. Et Matteo payait aujourd’hui. Le Poufsouffle reprit, essayant de s’expliquer.
Zephyr - « Je ne me sentais pas bien aujourd’hui … Tu vas me dire que c’est pas une raison suffisante pour avoir séché et t’avoir laissé en plan pour les cours, mais … Tu sais comment je suis, je réfléchis pas. J’y ai pensé qu’après …- il se tut, marquant un pause - J’y arrive pas, c’est plus fort que moi. Et là, je m’enfonce, c’est terrible. Enfin, tu me diras, ça ne change pas de d’habitude. »
Matteo et son éternel sens de la dédramatisation. Il avait toujours agi ainsi, et ce n’était surtout pas face à Rhéa qu’il allait changer. Il regardait sans vraiment l’oser son amie. Elle avait ce truc qui fascinait Matteo, ce mystère, ce caractère indépendant, ce charme si spécial qui accrochait immédiatement le jeune Pouffsoufle. Pour avoir accroché, il avait accroché. Gravement, même. Mais il n’oserait jamais lui dire. Ca casserait toute l’amitié qu’ils avaient réussi à bâtir malgré leurs caractères et leurs différences. Matteo préférait qu’elle soit avec un autre plutôt que de la perdre entièrement. Rhéa était si précieuse pour lui. Mais est-ce qu’il n’était pas en train de la perdre, avec toutes ces conneries depuis quelques temps, déjà ? Elle devait se demander où était passé le Matteo relax et toujours souriant d’il y a quelques années. Elle devait se demander où était passé le Matteo relax et toujours souriant d’il y a quelques années. Il s’était éteint, petit à petit, il n’était plus que l’ombre de ce qu’il avait été. Matteo jeta un regard nerveux vers Rhéa, priant pour qu’elle ait compris quelque chose à ses excuses et à ses explications pourtant pas très claires. Mais l’état d’esprit dans lequel était plongé Matteo, le stress, l’angoisse, ses idées embrouillées, tout ça n’arrangeait rien, bien au contraire.
Zephyr – « Je ne me comprends plus … Je n’arrive pas à m’en sortir. »
Tout ça, c’était que des appels au secours. Ca n’avait jamais été que ça.
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| | | | Sujet: Re: It wasn't a nightmare, Zephyr. {PV}
Lun 16 Juin - 17:27
| | Invité
Le silence. Elle le savourait en même temps qu'elle l'analysait. Elle l'écouta écraser sa cigarette. Au moins, il arrêtait quand elle était là. Une lueur indéfinissable passa dans ses prunelles aveugles. Elle n'avait pas envie d'en dire plus et éprouvait un certaine plaisir, presque sadique, à le mettre face à ce qu'il avait fait, face à sa culpabilité de depressif. Rhéa n'était pas le genre de personne à déculpabiliser et à déresponsabiliser les gens. Rien que sa présence les mettait face à ce qui n'allait pas. Pas besoin de mots... Que du silence. D'ailleurs, allait il laisser ce silence entre eux? Elle ne le savait pas, mais ne comptait pas le briser. Si elle devait faire quelque chose, ce serait plutôt claquer la porte sur cette antichambre des enfers pour Matteo. D'ailleurs, elle allait le faire lorsqu'il se décida enfin.
Elle haussa un sourcil en entendant ses excuses. D'un bloc, elle se détacha du chambranle et pénétra plus en avant dans la pièce où reignait cette odeur qu'elle avait tellement sentit sur lui. Elle évita les meubles qui encombraient son passage et répondit d'une voix posée.
Rhéa -Mais je n'en doute pas, Matteo.
Encore son prénom. Entre ses lèvres, il prenait une intonation, étrange... à la fois plaisante et annociatrice de beaucoup de choses qui, cette fois ci, étaient loin d'être plaisantes. Elle s'immobilisa à quelques pas de lui. La tension avait encore augmenté et elle ne comptait pas faire quelque chose pour la faire baisser. Elle s'assit sur un bureau, les jambes dans le vide. Elle attendait la suite, offrant au regard de son ami, un visage neutre qui dissimulait à la perfection ce qu'elle pouvait bien penser. Elle ne le pressa pas. Durant leurs autres disputes, elle l'avait pressé, lui avait hurlé dessus mais cette fois ci, c'était différent. Elle était... habituée, presque lassée. Elle se demandait simplement ce qu'il allait lui sortir comme prétexte vaseux pour s'en sortir, pour qu'elle ne lui hurle pas dessus, pour qu'elle ne passe pas des jours sans lui adresser la parole.
Matteo -« Je ne me sentais pas bien aujourd’hui … Tu vas me dire que c’est pas une raison suffisante pour avoir séché et t’avoir laissé en plan pour les cours, mais … Tu sais comment je suis, je réfléchis pas. J’y ai pensé qu’après … J’y arrive pas, c’est plus fort que moi. Et là, je m’enfonce, c’est terrible. Enfin, tu me diras, ça ne change pas de d’habitude. »
L'habitude? Quelle habitude? Celle dans laquelle il s'était plongé sans même se poser de questions? Elle secoua doucement la tête. Il n'avait pas l'air de se rendre compte combien elle s'inquiétait pour lui. Peut être ne le lui montrait elle pas assez... Mais il n'était plus que centré sur lui même et ses clopes. Il était loin le Matteo souriant qui l'avait peu à peu conquise. En son fort intérieur, elle ne cessait de le chercher mais ne le trouvait plus... Il s'était perdu dans les immenses volutes de fumée. Elle soupira doucement alors qu'il ajoutait.
Matteo – « Je ne me comprends plus … Je n’arrive pas à m’en sortir. »
Elle laissa le silence se réinstaller avant de retomber sur ses pieds pour s'avancer vers lui. Elle s'arrêta à quelques centimètre de lui et d'une main ferme, le força à la regarder dans les yeux. L'envie de le gifler lui démangeait sa main libre mais elle préféra serrer le poing jusqu'au sang. Elle ne cilla pas sous la douleur, elle tentait simplement de contrôler la vague de colère qui la secouait. Il était le seul à pouvoir la mettre dans un tel état. La peur de le perdre en était le principal moteur. Elle se pencha jusqu'à ce que leurs visages soient séparés par quelques milimètres.
Rhéa -Ton problème Matteo c'est que tu ne réfléchis pas, justement. Ce n'est pas le fait que tu m'aies lâché toute la journée qui me met hors de moi mais le fait que tu ailles mal et qu'au lieu de venir me voir, tu préfères t'enfoncer.
Elle relâcha son menton et se recula.
Rhéa -Tu n'y a pensé qu'en me voyant ouvrir la porte, ne mens pas. Tu n'as pensé qu'à tes cigarettes ! Elles t'apportent quoi, Matt? L'oubli? le bonheur? Tu crois que ça t'aide?
Elle secoua la tête et ajouta avant qu'il n'ait le temps de répondre.
Rhéa -Regarde toi! Tu ne te comprends plus, tu t'enfonces un peu plus chaque jour qui passe. Et tu attendais quoi pour me parler? Que je te retrouve écrasé sur le sol en contrebas? Ou mieux: défoncé à l'infirmerie? |
| | | | Sujet: Re: It wasn't a nightmare, Zephyr. {PV}
Jeu 26 Juin - 23:22
| | Invité
Ce que faisait Rhéa était cruel. C’était ce que se disait Matteo depuis que son amie était entrée dans la pièce. Ce silence calculé, cette façon de dire son prénom, tout ça, c’était une abominable torture dont le garçon subissait le joug sans pouvoir rien faire. Et le pire, c’est qu’il était certain qu’elle savait très bien l’effet que ça avait sur lui. C’était presque du sadisme … Et le Poufsouffle savait qu’il avait tort. Il avait eu tort de s’être laissé happé par l’addiction, tort de n’avoir pas eu le courage de se battre, tort d’avoir voulu se noyer. C’était peut-être trop tard pour le sortir de là, qui sait ? Matteo se tendit imperceptiblement quand Rhéa bougea. Chaque mouvement produisait comme un changement dans la pièce, comme si l’air était devenue une masse mouvante et insidieuse qui formait un mur entre eux. Matteo se raidit quand Rhéa s’arrêta à quelques centimètres de lui. A cet instant, Matteo était cruellement partagé entre la contemplation de la fille qu’il aimait et la crainte de se prendre une mandale comme il ne s’en était jamais prise. Le coup ne vint jamais, mais ce fut tout comme. Parfois, les mots blessent bien plus qu’un coup de couteau ou qu’une gifle. Matteo ne le savait que trop bien. Et certains actes vous détruisent à jamais, comme ces images qu’il avait sans arrêt dans la tête. Personne ne pouvait comprendre ça, pas même lui. Il avait beau retourner la situation dans tous les sens, essayer de comprendre, mais il n’y arrivait pas. Et comme il ne comprenait pas, il ne pourrait jamais pardonner. Comment disculper un acte que l’on ne saisissait pas ? Pour Matteo, c’était impossible. Tout comme il lui était impossible de détacher son regard de celui de Rhéa, qui était furieux. Une Rhéa en colère, rien de tout cela n’était rassurant. Mais il l’avait bien cherché. Les conséquences sonnent souvent comme un herse qui s’abat sur vous. Fatalité. Rhéa se mit à déverser sur lui sa colère et ses reproches, ce que Matteo comprenait parfaitement. Mais chaque mot lui faisait un peu plus mal, lui fendait un peu plus le cœur. Elle le mettait face à ses problèmes, à ses faiblesses. Mais est-ce que ça l’aiderait ? Matteo n’en était pas sûr. Il avait cette fierté mal placée d’adolescent qui se voulait sourd. Alors, au lieu d’acquiescer en silence, Matteo fronça les sourcils. La colère l’envahit à son tour. Il n’aurait pas su expliquer pourquoi. UC. (L) |
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