Famille
« La famille est un ensemble de gens qui se défendent en bloc et s'attaquent en particulier. »
◢ famille : La famille Benett est une famille d’une fortune assez conséquente, faisant dans l’import-export depuis quelques années, elle a rajouté à son arc la firme du textile, faisant venir grâce à ses bateaux de nombreux textiles asiatiques très prisés. Les affaires et les traditions sont ancrés dans cette famille qui s’est installée en Angleterre depuis près deux siècles.
Richard Benett, est l’aîné de la famille Benett et en épousant Katherine McKinley, fille d’une famille très respectée en Irlande à réussie à ouvrir les portes de l’Irlande à l’entreprise familiale, mais ce mariage n’était pas un mariage d’affaire, non car Richard et Katherine se connaissent depuis les bancs de Poudlard et bien qu’ils se soient détesté au début, ils sont tombés amoureux avant la fin de leurs études. Ils ont donné naissance à trois enfants. Leandre, âgé de 19 ans ; Lydia, âgée de 17 ans et Queen âgée de 14 ans. Lydia ayant aujourd’hui 17 ans, ses parents & grands-parents commencent à réfléchir à lui trouver un mari. Car oui après Poudlard, et même si elle veut travailler Lydia devra épouser un des meilleurs parti de Londres puisqu’elle est une fille de riche aristocrate.

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Pensine
" L'amour ôte l'esprit à ceux qui en ont et en donne à ceux qui n'en ont pas."
Il faisait chaud et il pleuvait le jour de la naissance du deuxième enfant Benett. Richard Benett et son épouse Katherine rendait visite aux parents de cette dernière avec leur fils Léandre quand Katherine sentit les premières contractions. Ce fût dix-huit heures de travail pour la jeune mère avant qu’une jolie petite fille ne pointe le bout de son nez. Lydia Annabeth Benett. Première fille du couple venait de naître là où son père était né il y avait trente et un an de cela. Trois ans plus tard, Katherine Benett mettait à nouveau au monde une petite fille : Queen Théodora Benett.

A l’âge de six ans, la jeune Lydia n’avait toujours pas montré de signes comme quoi elle serait à son tour une sorcière. Cela commençait à inquiéter sa famille qui bien qu’ils n’aient pas de préjugés sur les nés moldus ou les cracmols, ne saurait pas comment faire pour intégrer la jeune fille à leur monde. Mais un jour, alors que son père était en rendez-vous avec un homme d’affaire et qu’elle jouait dans ce même bureau, Lydia fit disparaitre un verre de whisky sur le point de tomber, le verre atterrissant sur la tête de son grand-père qui siégeait dans le grand salon, le liquide contenu dedans lui…sur sa mère. Et bien qu’une forte odeur d’alcool agrémente les réjouissances, la famille de la jeune fille l’acclama.

A son entrée à Poudlard, Lydia se souvint avoir eu une peur bleue de finir dans une autre maison que Gryffondor puisque ses parents y étaient passés et que son frère y était actuellement. Mais le choixpeau sait écouter les vœux des futurs sorciers en herbe et la jeune fille vit son vœu exaucé en étant envoyé chez les lions de Poudlard, rejoignant ainsi son frère et perpétuant la tradition familial.
Elle n’allait d’ailleurs pas tarder à montrer qu’elle était digne de sa maison. Premier jour de cours, première bagarre ! Ou comment faire honneur au caractère McKinley dès son premier jour de classe. Une autre première année s’était moquée de la jeune rousse à cause justement de sa couleur de cheveux, et après cela la petite Evy Patterson ne recommença jamais.

Il y a de cela deux ans Lydia prit conscience qu’elle commençait à devenir une vraie femme, et pour ce faire, son père lui rappela ô combien les jeunes filles de son âge devaient avoir des prétendants pour espérer se marier après leur scolarité. Et c’est ainsi qu’il convoqua un jeune homme du nom de Perry Hamilton, jeune homme de bonne famille, sorcier lui aussi qui avait deux ans de plus que Lydia. Elle se souvenait l’avoir déjà croisé à Poudlard une ou deux fois mais sans s’attarder sur lui et elle allait comprendre pourquoi.
Perry était un garçon gentil, mais affreusement timide ce qui était en désaccord total avec le caractère de Lydia, cette jeune fille impulsive et audacieuse qui rappelait sans nul doute sa mère Katherine au même âge. Le pauvre jeune homme ne savait quoi répondre quand elle lui posait des questions, ni quand elle l’incitait à parler et ça, le père de Lydia s’en rendit vite compte, c’est pourquoi il préféra ne pas donner suite à cet échange, désespérant que sa fille trouve un jour (et rapidement) un garçon à sa hauteur.