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 * Abbigaëlle Berrington [ Terminée ] - POUFSOUFFLE

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* Abbigaëlle Berrington [ Terminée ] - POUFSOUFFLE EmptyJeu 16 Avr - 17:09



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    * Abbigaëlle Berrington [ Terminée ] - POUFSOUFFLE 2807emily7


« Identité. »


    Nom ; Berrington
    Prénom ; Abbigaëlle mais communément appelée Abbi.
    Âge : 16 ans
    Année : 6ème
    Maison : Poufsouffle



Spoiler:




Dernière édition par Abbigaëlle Berrington le Mar 28 Avr - 23:06, édité 16 fois
 
MessageSujet: Re: * Abbigaëlle Berrington [ Terminée ] - POUFSOUFFLE   
* Abbigaëlle Berrington [ Terminée ] - POUFSOUFFLE EmptyJeu 16 Avr - 17:09



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« I. Naissance désirée et mère désireuse. »


    C’était par un beau jour ensoleillé que la belle Précieuse Berrington et son époux Owen apprirent que Précieuse était enceinte d’un mois. C’était une des nouvelles les plus réjouissantes depuis l’annonce de leur mariage. Excitée à l’idée de mettre au monde un enfant, Précieuse avait exigé de donner naissance à son domicile, dans son propre salon. Neuf mois d’attente s’en suivirent. Neuf mois durant lesquels Précieuse vécu ce qu’il y avait de plus beau à ressentir chez une femme : savoir que dans le fruit de ses entrailles se trouvait la vie, grandissante chaque jour un peu plus pour enfin se mettre à terme. Owen aussi vivait cet évènement de très près avec beaucoup d’attention. Il était au petit soin pour sa bien aimée et ne reculait devant rien pour combler ses désirs, et ce malgré leurs problèmes financiers. Monsieur Berrington était un petit homme frêle et maigrichon. Il était assez timide et passait toujours inaperçu aux yeux de son supérieur. Deux yeux noisettes et fatigués accompagnés d’un nez assez fin mais d’une longueur impressionnante ornaient son maigre visage. Ses lèvres étaient presque invisibles à cause d’une petite moustache noire bien taillée. Ce qui recouvrait cette tête ovale n’était autre qu’une chevelure coupée en deux parties parfaitement identiques grâce à une ligne droite et tranchante. A l’opposé de son mari, Madame Berrington était une grande femme aux allures théâtrale et à la démarche gracieuse. Elle ne passait jamais inaperçu et nombreuses étaient les personnes qui adoraient converser avec elle. C’était toujours avec à un visage juvénile et joyeux qu'elle se présentait au voisinage. Deux prunelles émeraude pétillantes de joie et d’amour lui servaient d’yeux. Un petit nez fin et légèrement pointu était parfaitement centré au milieu de son visage. Nez qui était accompagné de lèvres rouges sang quasiment toujours étendue de chaque côté de son agréable minois afin de dévoiler une dentition parfaite. Le tout accompagné de soyeux cheveux châtains coupé au carré. Certes, Précieuse et Owen Berrigton n’étaient pas le couple idéal physiquement. Mais une chose était certifiée ; ils s’aimaient. C’était d'ailleurs une des nombreuses raisons qui les avaient poussé à avoir un enfant. Cela se déroula le 7 août. Le jeune couple s’apprêtait à aller se coucher lorsqu’un liquide coula le long des jambes de Précieuse. Le travail avait déjà commencé. Owen ne perdit pas une seconde et entreprit d’appeler la sage femme que Précieuse avait pertinemment sélectionné afin de mettre au monde leur enfant. Durant la demi heure qui suivie, tout était installé afin d’accueillir le nouveau-né. Plusieurs médecins se trouvaient dans le salon tandis que le futur papa attendait patiemment dans le couloir. Des hurlements inquiétants lui provenaient de la pièce voisine et il avait dur de se contrôler pour ne pas y entrer à la volée et secourir sa femme. En effet, l’accouchement s’annonçait difficile. Pourtant, dans un dernier cri de douleur, une dernière goutte de sueur perlant sur un menton crispé et une dernière larme embuant des yeux aux iris émeraudes, une petite fille vint au monde. Elle n’avait rien de beau ou adorable. On pouvait surtout affirmer qu’elle était laide. Mais aux yeux de Précieuse Berrigton, sa fille était la plus belle chose qu’elle avait vue de sa vie. Un sourire ému s’afficha alors sur son visage lorsqu’elle fut autorisée à porter l’enfant dans ses frêles bras encore tremblants de toutes ces émotions.


    « Bienvenue parmi nous, Abbigaëlle Katherine Susane Berrington »


    « II. Une enfance banale...A quelques détails près. »


    Les premières semaines qui suivirent la naissance d'Abbigaëlle furent assez pénibles pour cette-dernière et sa famille. Elle avait la visite de divers médecins et infirmières qui l'examinaient minutieusement afin de rendre un compte rendu sur sa santé. Lorsque que toutes ces visites interminables se mirent à terme, Owen reçu une promotion assez généreuse de son patron qui l’obligea à déménager, lui et sa famille. C’est ainsi que les Berrington débarquèrent dans une petite banlieue anglaise qui respirait le bonheur et la sérénité. Un endroit parfait ; une grande maison et un jardin spacieux. L’endroit idéal pour élever des enfants. Abbigaëlle était un bambin qui ne pleurait presque jamais. A vrai dire, elle riait pour un rien. Elle faisait le bonheur de ses parents et la fierté de la famille. Elle adorait trottiné partout à quatre pattes et il était impossible qu’elle reste deux petites secondes sans rien faire. Elle était à croquer avec ses grands yeux noisette qui observaient tout ce qui se passait autour d’elle et ses petites joues roses sur son visage rondouillet. Ses quelques cheveux annonçaient qu’elle allait certainement devenir brune ou châtain. Mais ses parents ne pensaient pas au futur. Ils songeaient plutôt à profiter qu’elle soit encore petite, au moins, ils n’avaient pas à se soucier à l’aider financièrement, à lui apprendre à conduire, à la consoler lors d’un chagrin d’amour ou encore à subir ses caprices d’adolescente. Monsieur et Madame Berrington avaient déjà tout prévu ; de l’école de leur fille jusqu’à la marque de sa voiture. Oui, ils pensaient contrôler la vie de leur fille et ils avaient grand tort de penser ainsi. A cinq ans, la petite Abbigaëlle Berrington se révéla être une enfant hyperactive. Elle adorait faire tourné tout le monde en bourrique et avait un goût particulier pour la farce. Avec ses amis, elle était une des élèves les plus difficiles d’après son professeur mais, une fois qu’elle se mettait à travailler, son travail était impeccable, en général. Bien que turbulente, Abbigaëlle était une petite fille adorable. Dès son plus jeune âge, elle trouvait que l’amitié était une chose sacrée et qu’il ne fallait pas jouer avec ça. Pour elle, marchander un ami ne se faisait pas. Elle était très ouverte et on devenait son ami n’importe comment. Le seul défaut qu’elle semblait avoir était celui d’être assez possessive. C’était limite si la fillette ne piquait pas une crise de jalousie si elle voyait ses amis s’amuser avec quelqu’un d’autre. Elle eut une enfance assez banale a vrai dire, comme chaque petite anglaise… Quoi que. Il y avait parfois des choses étranges qui se passaient en sa présence. La chose la plus fulgurante qui se fut passé fut la fois où la fillette jouait tranquillement à la poupée dans sa chambre lorsqu’elle força un peu trop fort sur la tête de sa poupée blonde. Cette-dernière se cassa et une énorme série de pleurs et de cris s'en suivirent. Lorsque Madame Berrington arriva dans la chambre de son enfant, alertée par les cris, la tête de la poupée s’était recollée au reste de son corps, comme par magie. Abbigaëlle avait, sans même le savoir, fait preuve de compétences magiques. Et ce 'don' que semblait avoir la petite pour créé des catastrophes se répéta. De sa faute une viande bien cuite se transforma en viande carbonisée, ses rubans bleus se changèrent en rose, comme un caméléon sans mentionner la fois où elle était tombée dans les ortilles sans ressentir la moindre douleur. Et à chaque fois, Abbigaëlle ne se posait aucunes questions. Elle était une enfant et un enfant ne s’occupe que d’avoir des jouets à la mode et d'inventer de nouveaux jeux… Elle était loin, très loin d’imaginer qu’un jour, elle allait se retrouver à Poudlard.

    « III. Poudlard : fiction ou réalité ? »


    Les années défilèrent et Abbigaëlle atteint bientôt ses onze ans. Onze ans d’une vie qui respirait le bonheur. Onze ans d’une vie qui ne faisait que commencer. La fillette ne se doutait pas que cette-dernière était sur le point de basculer. Tout débuta avec l’arrivée d’une lettre. Certes, il n’y a rien de plus logique que de recevoir du courrier. Factures, carte postale venant d’amis, publicités mais jamais, non jamais les Berrington n’avait reçu une lettre qui semblait provenir d’un autre monde. . C’est exactement ce qu’Owen Berrington pensa dès qu’il vu la mystérieuse lettre. Mais il fut encore plus surpris en voyant que cette lettre était destinée à sa fille unique, Abbi. Toujours sous l’émotion du choc, le père déchira l’enveloppe et fut sur le point de tomber dans les pommes par ce qu’il trouva à l’intérieur. Une lettre. Une lettre racontant toutes sortes de choses avec des chaudrons, des baguettes magiques, des capes, une chose appelée Pourdlard… Il était évident que c’était une farce. Mais qui aurait donc osé ? Les Berrington formaient une famille unie, exemplaire et des voisins charmants. Intrigué, Owen interrogea sa fille qui ne su répondre à aucunes de ses questions. Décidé à en terminer avec cette maudite lettre, Owen fit ce que chaque père de famille aurait fait : il la détruisit elle et l’enveloppe qui l’accompagnait et on entendit plus jamais parler de la lettre. Enfin, jusqu’à la fin du mois d' août en tout cas. Abbigaëlle jouait tranquillement dans le jardin lorsque deux hommes vêtus étrangement apparurent soudainement devant le seuil de la porte d’entrée. Bouche-bée, la fillette observait les deux hommes frapper poliment à sa porte avant que sa mère ne l’ouvre et découvre ce spectacle. S’agissait-il d’une collecte pour les plus démunis? Quoi qu’il en soit, les deux hommes s’invitèrent dans la cuisine des Berrington. Abbigaëlle ne put résister, sa curiosité l'emporta et elle se surpris à ramper jusqu’à la fenêtre ouverte d’où provenait des voix.

    « Merlu, as-tu la lettre sur toi ? », dit une voix grave.
    « Bien entendu, Otto. », cette fois-ci, ce fut une voix fluette et stridente qui répondit à la première.
    « Bien. Monsieur, Madame, je vous invite à vous asseoir. »

    Abbigaëlle ne voyait pas ce qu’il se passait mais elle imaginait bien ses parents, tellement ahuri qu’ils obéirent au dénommé Otto.

    « M..Mais diable ! Qui êtes vous ? » demanda la voix paniquée de Monsieur B.
    « Ah, oui, j’oubliais. Vous avez jetez la lettre qui expliquait tout ! Ce n’est vraiment pas malin ! »
    « La lettre ? La lettre ? Ah ! Je vois vous êtes les…les …les gens qui ont envoyé cette lettre ! »
    « Exactement, nous allons vous expliqué tout en détail ! Désirez-vous une tasse de thé ? »

    Une fois de plus, Abbigaëlle resta aveugle à la scène qui se produisit. Elle entendit juste un cri perçant de sa mère et un bruit de porcelaine cassée.

    « Ah ! j’oubliais…Vous êtes des moldus, vous n’avez pas l’habitude de voir ça ! »

    Abbigaëlle ignorait ce qu’était un ‘moldu’, mais tellement fascinée, elle continua à écouter.

    « Merlu, était-ce vraiment nécessaire ? », reprit la voix grave avec une pointe d’exaspération profonde, « Hum. J’ai l’honneur de vous annoncez, madame, monsieur que votre fille est une sorcière et qu’elle est destinée à rejoindre le rang des élèves de la prestigieuse école de magie ; Poudlard. Sa compétence de produire des choses étranges lorsqu’elle est en colère ou qu’elle est triste lui provient du cousin du frère de l’oncle de la sœur du grand-père du neveu de la mère du frère a la sœur de la tante de votre arrière-arrière grand-père, monsieur B. ! »
    « Que..Qui ? » bégaya la voix de monsieur Berrington, visiblement perdue.
    « Comme je le disais, Abbigaëlle Katherine Susane Berrington est cordialement invitée à rejoindre Poudlard, où elle sera envoyée dans une des quatre maisons ; Gryffondor, Serdaigle, Poufsouffle ou Serpentard, selon sa façon de pensé et son caractère. Elle passera sept ans au château pour enfin recevoir un diplôme et exercer un métier magique…»
    « Qu..Que..Quoi ? Dehors ! Hors de ma maison ! C’est du n’importe quoi ! »
    « Vous voulez une preuve, hein ? Eh bien la voici ! ‘»

    Là, c’était la goutte d’eau qui avait fait déborder le vase. Avide de savoir ce qu’il se passait, Abbigaëlle se redressa et là, elle vit qu’un des deux hommes avait brandit un morceau de bois, provoquant un incendie dans la cuisine. Alertée, Abbigaëlle tenta de s’éloigner de la fenêtre mais durant la seconde qui suivit, la cuisine redevint intacte. Haletant, Owen demanda d’une petite voix :

    « Et comment se rend-t-on à Poudlard ? »

    La fin du mois d’août se passa plutôt bien. On ne reprit plus les deux représentants de Poudlard dans la cuisine des Berrington (sauf pour emmener la petite famille au chemin de traverse), et c’était mieux ainsi. Owen portait désormais un regard différent sur sa fille. Ce n’était pas qu’il était moins aimant envers elle mais il avait eu un peu de mal à digéré toutes ces informations d’un coup. Le soleil était radieux lorsque la petite famille entra dans leur petite voiture rouge. Le voisinage imaginait que Précieuse et Owen Berrington conduisaient leur fille dans un pensionnat de jeune fille mais il en avait été décidé autrement. Déterminée, Abbigaëlle avait décidé d’aller à Poudlard. Et son père n’avait pu le lui refuser. C’est ainsi qu’une petite voiture rouge se dirigeait tout droit vers la gare de King’s Cross, à Londres. Arrivé sur place, monsieur B. sortit un morceau de papier froissé de sa veste. Suivant avec attention les explications notées sur ce parchemin jaunit, Owen, sa femme et sa fille se retrouvèrent assez vite devant un mur. Le morceau de papier indiquait qu’ils devaient le traverser… C’était stupide. La chose la plus stupide qu’Owen se rappela avoir entendue depuis qu’on lui avait parlé de la voie 9 3/4 . Mais il se remémora soudain sa cuisine en feux et son expédition dans cet endroit si étrange qu'ils appelaient 'Chemin de traverse' et prit la main de son épouse et de sa fille et tous trois coururent vers le mur Etrangement, aucun choc ne s’en suivi. La famille Berrington se retrouva alors dans une grande place circulaire bordée d’un train à vapeur. A la vue de ce si beau spectacle, Précieuse ne put s’empêcher de balader ses yeux dans les coins et recoins de la voie. Autour d’eux, de nombreux enfants entre onze et dix-sept étaient accompagnés de leurs parents qui ne cessaient de les embrasser. Une foire de caddie bouchait le passage et une dizaine de hiboux ou chouettes enfermés dans des cages hululaient joyeusement dans le champ de vision de la petite Abbi, fascinée elle aussi. C’était tout simplement merveilleux. Sans aucune hésitation, la fillette attrapa sa valise et embrassa longuement ses parents pour ensuite se diriger vers le train, déterminée et confiante. L’aventure commençait.


Dernière édition par Abbigaëlle Berrington le Mer 26 Aoû - 23:35, édité 75 fois
 
MessageSujet: Re: * Abbigaëlle Berrington [ Terminée ] - POUFSOUFFLE   
* Abbigaëlle Berrington [ Terminée ] - POUFSOUFFLE EmptyJeu 16 Avr - 17:09



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    Le trajet fut long et Abbigaëlle ne cessait de jeter des coups d’œil furtifs par la petite fenêtre carrée du train. Il ne fallait pas être observateur pour bien voir que le paysage changeait du tout au tout. Désormais, Abbi voyait une grande plaine verte dans laquelle elle aurait apprécié se rouler. Mais ce plaisir ne lui fut pas accordé car le Poudlard Express ne faisait pas d’arrêt. Il y avait juste une gentille dame qui passait toutes les heures pour savoir si les élèves désiraient à manger. Le trajet toucha à sa fin et il faisait déjà nuit lorsque les Poudlariens descendirent du train. Les premières années furent rassemblé sur le quai et ils durent suivre un jeune homme souriant qui devait être un professeur dans un petit chemin étroit et glissant pour bientôt atteindre le bord lisse d'un lac sombre. Les enfants montèrent alors dans des barques enchantées qui les conduisirent dans un petit passage sous-terrain dissimuler derrière un rocher. Abbigaëlle , tout comme les autres, était bouche-bée. La beauté du château sous la pleine lune était insoutenable. Alors c’était donc ça, Poudlard ? Le château dans lequel elle allait passé sept ans de sa vie à y étudier. Muette d’admiration, la petite suivi les autres élèves qui étaient déjà rangés en file indienne. Ils empruntèrent une espèce de couloir avec des torches fixées aux murs et un escalier de pierre. Parvenu au sommet des escaliers, l’homme au devant poussa une petite porte de chêne et là, une affublée de ‘Oooooh’ se firent entendre parmi le groupe de première. Un immense hall leur faisait face. Un escalier de marbre se tenait sur leur gauche et une immense porte de chaîne se trouvait en face d’eux. Elle était beaucoup plus imposante mais Abbigaëlle ne fut pas invitée à l’observer plus longtemps ; l’homme s’était déjà remit en marche. Ils gravèrent encore une affublée de marche mais en marbre cette fois pour enfin s’arrêter devant une nouvelle porte de chêne. Là, il ne continua pas à avancer mais il se retourna vers le petit groupe qui, sans même savoir pourquoi eux-même , ressentirent comme une boule dans l’estomac.

    « Nous voilà maintenant arrivé à la partie la plus intéressante de votre apprentissage à Poudlard. Vous allez êtres répartis dans une de ces quatre maisons qui ont pour noms, Serdaigle, Poufsouffle, Gryffondor et Serpentard. Vous vous rangerez en file et lorsque je vous appellerai, vous vous installerez sur le tabouret afin que je vous place le Choixpeau magique sur la tête. Le Choixpeau vous enverra alors dans la maison qui vous convient. Vous êtes prêts ? Allons-y. »

    Il était évident que la majorité des élèves n’étaient pas près mais apparemment le professeur ne voulait pas s’éterniser. La porte de chêne s’ouvrit à la volée et les nouveaux pénétrèrent timidement dans une salle encore plus grande que celle qu’ils venaient de quitter. Il y avait quatre tables alignées. Elles n’avaient rien de différentes mais c’étaient plutôt l’uniforme que les élèves portaient qui était différent. Du bleu, du jaune, du rouge et du vert. Abbigaëlle et les autres s’engouffrèrent entre la table des Serdaigle et des Gryffondor pour ensuite arriver à l’estrade de la table des professeurs. Tout était déjà près : le tabouret et le Choixpeau. Abbigaëlle n’appréciait pas le fait de porter une chose si laide sur son crâne. Elle avait imaginé un beau chapeau rose avec de la dentelle. Eh bien c’était tout à fait le contraire. Le Choixpeau était d’une couleur marron foncée. Il avait une grosse fente oblique et de nombreuses ‘cicatrices’. Mais alors que personne ne s’y attendait, le Choixpeau parla ! Non, en fait il ne parlait pas… Il chantait !

    Je n'suis pas d'une beauté suprême
    Mais faut pas s'fier à ce qu'on voit
    Je veux bien me manger moi-même
    Si vous trouvez plus malin qu'moi.
    Les hauts-d'forme, les chapeaux splendides
    Font pâl'figure auprès de moi
    Car à Poudlard, quand je décide
    Chacun se soumet à mon choix.
    Rien ne m'échappe rien ne m'arrête
    Le Choixpeau a toujours raison
    Mettez-moi donc sur votre tête
    Pour connaître votre maison.

    Si vous allez à Gryffondor
    Vous rejoindrez les courageux, Les plus hardis et les plus forts
    Sont rassemblés en ce haut lieu.
    Si à Poufsouffle vous allez, Comme eux vous s'rez juste et loyal
    Ceux de Poufsouffle aiment travailler
    Et leur patience est proverbiale.
    Si vous êtes sage et réfléchi
    Serdaigle vous accueillera peut-être
    Là-bas, ce sont des érudits
    Qui ont envie de tout connaître.
    Vous finirez à Serpentard
    Si vous êtes plutôt malin
    Car ceux-là sont de vrais roublards
    Qui parviennent toujours à leurs fins.

    Sur ta tête pose-moi un instant
    Et n'aie pas peur, reste serein
    Tu seras en de bonnes mains
    Car je suis un chapeau pensant !


    Dès que la chanson du Choixpeau fut terminée, il y eut un tonnerre d’applaudissement. Et tandis que le Choixpeau saluait modestement son public, le directeur qu’Abbigaëlle venait tout juste de remarquer réclama un peu de silence. Il annonça alors la répartition des premières années. Le même professeur qui avait conduit ces-derniers sortit de sa poche une liste. Le premier nom était celui de M. Ashtin Anthony. Il fut envoyé à Serdaigle. Abbigaëlle, elle, ne patienta pas longtemps. Ayant un nom de famille qui commençait par B ; Abbigaëlle se retrouva donc la deuxième à se retrouver sur le tabouret. Elle regarda alors la foule d’élève qui l’observait, avide de savoir où elle allait retombée. On lui posa alors le Choixpeau sur la tête et elle se retrouva dans le noir le plus total. Abbigaëlle n’entendait plus rien, sauf une voix qui lui était apparue soudainement.

    « Mmmh…Je vois, mmh, oui je vois..Je lis en toi comme dans un livre ouvert… Je vois un peu de courage mais pas assez pour t’envoyer à Gryffondor…Ah mmh.. Je vois… Ah.. Dans ce cas… Je pense que la plus sage décision serait de t’envoyer à … »

    Abbigaëlle ne saisit pas la fin de la phrase du Choixpeau mais elle se dirigea vers la table qui applaudissait. C’était cette maison qui allait être la sienne pendant sept ans.

    « IV. De nos jours. »


    Six années s’étaient écoulées depuis l’entrée au château d’Abbigaëlle. Et en six années, la petite fille qu’on connaissait avait bien changée. Elle était désormais une jeune femme de seize printemps d’une beauté qualifiable de « suave » ou encore de « vigoureuse ». Quand on la voyait, c’était un délicieux visage enfantin qui s’offrait à vous. Une frimousse plutôt agréable , adoptant des mesurations ovales mais aussi rondouillettes par endroit. De grands yeux expressifs aux iris teintées d’une adorable et intense couleur noisette aux reflets de châtaigne. De ces yeux s’en allait un regard constamment chaleureux, espiègle, empli de malice et de joie de vivre que tous le monde aimait particulièrement sentir sur soit. Ces yeux furent surmontés de légères paupières elles-mêmes surmontées de cils basiques le plus, souvent recouvert de mascara noir qui mettait ses yeux noisette en valeur. Ses cils eux-mêmes aussi surmontés de fin sourcils bien dessinés. En dessous de tout ce petit monde, on retrouvait, parfaitement centré au milieu du visage de la demoiselle un petit nez gracieux que notre Abbi avait hérité du stupide don de le remuer de droite à gauche. Et en dessous de ce nez se trouvai une fine bouche rieuse qui ne laisse pratiquement qu’à laisser échapper de longs rires et à engloutir de nombreuses pâtisseries fraîchement récoltée de la cuisine de Poudlard. Une chevelure brune dérivant du châtain soyeuse recouvrait la frimousse de notre petite Abbi. Elle les laissait quasiment toujours lâché. Ses oreilles étaient banales sans compter le fait qu’elles étaient percées. Etant assez petite, Abbigaëlle avait hérité d’une silhouette qui correspondait à merveille avec sa taille. C’était assez pratique pour qu’elle se faufile dans des cachettes étroites. Comme toutes jeunes filles, la demoiselle avait des courbes qui lui étaient propre, sans exagération. Et sur ses pieds ? Boh, il n’y a rien à redire excepté un petit trente-sept. Si Abbi avait ‘évolué’ physiquement s’était aussi le cas sur sa façon de voir les choses. Depuis qu’elle était entrée au château, Abbigaëlle avait prit conscience d’une chose ; les rivalités entre les maisons. Elle, elle n’en avait presque rien à faire de toutes ces insultes balancées comme on balançait une bombabouse dans un couloir propre mais elle trouvait ça dommage. Poudlard était bien une école de sorciers non ? Ils étaient donc tous pareil ! Elle aurait aimé que ça change pour sa sixième année, pour enfin qu’une fois il y ait une année calme. Eh bien c’était trop demandé…Cette année, Abbi se retrouve en compagnie de ses vieux amis, en sixième année. Poudlard n’a désormais plus rien de nouveau pour elle et on pourrait même dire qu’elle commence à s’en lasser. Mais ce que la jeune fille ignore, c’est qu’en ces temps, il est préférable de rester bien au chaud, à Poudlard…


Dernière édition par Abbigaëlle Berrington le Dim 26 Avr - 20:21, édité 7 fois
 
MessageSujet: Re: * Abbigaëlle Berrington [ Terminée ] - POUFSOUFFLE   
* Abbigaëlle Berrington [ Terminée ] - POUFSOUFFLE EmptyDim 26 Avr - 20:05



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& Fiche Terminée.
 
MessageSujet: Re: * Abbigaëlle Berrington [ Terminée ] - POUFSOUFFLE   
* Abbigaëlle Berrington [ Terminée ] - POUFSOUFFLE EmptyDim 26 Avr - 23:51



Invité
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    Bonsoir !

    En tout premier lieu, attention aux petites fautes d'inattention, j'en ai repéré quelques unes. Pas réellement choquantes Wink

    Ensuite, ta fiche me semble correcte et complète, c'est donc avec un Bienvenue (pas tout à fait utile toutefois) que je te valide pour ma part Smile

    Je pense que Poufsouffle pourrait parfaitement convenir.
    Un admin passera prochainement te donner tes couleurs & tes accès.
 
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