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 Lever les mains en l'air {Karly}

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MessageSujet: Lever les mains en l'air {Karly}   
Lever les mains en l'air {Karly} EmptyMer 1 Avr - 13:25


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    Lever les mains en l'air {Karly} Sans-titre---10-a8e37f Lever les mains en l'air {Karly} Sans-titre---13-a8e3c3




    Spoiler:

    Il tourner comme un lion en cage depuis deux d’heure dans son appartement. Depuis le départ de Shaylee a cause de Luke, William avait plus que l’espace nécessaire pour vivre. C’était en plein milieu de la nuit mais il lui était impossible de dormir. Il avait était réveiller par un rêve dont il aurait préféré qu’il n’ai pas de fin. Rêve érotique certes mais pas n’importe lequel. Ce rêve n’était pas seulement du sexe pour du sexe, il était aussi remplis de bonheur et de douceur, de promesse et de projets d’avenir. Ce soir il avait revécu dans les moindres détail la nuit d’amour et de folle passion qu’il avait eut avec Karly quatre année auparavant. Les moindres caresses, les mots de tendresse, les gémissement, l’expression de leurs visages, la pression de son cœur…

    Son subconscient avait tout reproduit pour lui offrir un rêve parfait et terriblement frustrant au réveil. Ça lui avait semblait si réel qu’il en était de plus perturbé. C’était limite s’il ne pouvait pas encore entendre la voix de Karly susurrait délicatement son nom, humer le doux parfum de sa peau dans ses narine ou sentir la douceur de ses lèvres sur les siennes. La revoir l’avait plus émue et toucher qu’il ne l’aurait crût. Il pensait l’avoir oublier mais durant toute ses année il s’était menti à lui-même.

    A présent il se repasser en boucle l’expression de déception que Karly lui avait adresser, lorsqu’il l’avait revue la dernière fois. Il était capable d’être cruel et méchant quand il était blesser mais c’était toujours involontairement et lorsqu’il s’en rendait compte il avait toujours le retour de flamme. C’est ce qui s’était passait avec McGregor. Voir à quel point ses propres mots lui avait de la peine l’avait achever. Il voulait l’a provoquer. Pas la blesser. Elle l’avait gifflé avec une telle rage que son cœur s’était briser. Encore. De plus son geste lui en avait rappeler un autre. Celui de son père, son héro, son Dieu, le giflant alors lorsqu’il était adolescent car il avait fugué. Karly et Thomas l’avaient giflé pour les même raisons en quelque sorte, parce qu’ils n’étaient pas assez mature pour mériter le nom d’homme. Parce qu’il blesser toujours ceux qu’il aimait sans le vouloir. Parce que oui putain il l’aimait. A en crever même. Mais il avait déconner. Déconner à plein tube. A plein tube. Il avait blesser la seule femme qu’il avait vraiment aimer. Donc là il faisait les cent pas essayant de savoir quoi faire. Essayant de savoir s’il devait oui ou non agir .

    Il s’arrêta et poussant un grand soupir exaspéré par lui-même. Oh et puis merde tant pis pour la fierté !!! C’était décidé il allait lui faire des excuses !! Il s’était comporter comme un gros con en la traitant d’emmerdeuse alors qu’elle n’avait strictement pas chercher la bagarre alors il se devait de le faire. Un gentleman ne traite pas les femmes ainsi. S’installant sur son lit il enfila avec rapidité un jean et un tee-shirt avant de transplaner directement dans l’appartement de Karly.

    C’est seulement une fois sur place qu’il se rendit compte que c’était une mauvaise idée. Très mauvaise ! Tout d’abord parce qu’il devait être trois heure du matin et ensuite parce qu’il était sûrement la dernière personne qu’elle avait envie de voir. Ce n’était donc pas le moment de s’excuser. De plus aller savoir pourquoi étant donné que ce n’était pas prémédité, mais il avait transplaner directement dans la chambre de la jeune McGregor.

    William sentit son cœur se serrer tandis qu’il se trouvait au pied du lit de Karly. Elle était si belle. Encore plus que dans ses souvenirs. Endormie elle semblait apaiser, sereine et si adorable. Bien loin de la fille furax qu’il avait vu l’autre fois au ministère. Les yeux de Slayers brillèrent d’intensité tandis qu’il observait silencieusement sa belle au bois dormant. Il aurait voulu être son prince et la protéger. Elle le mériter tellement. Elle était tellement forte et courageuse. Mais lui accumuler erreur sur erreur.

    Il aurait pût la regarder dormir ainsi pendant des heures et des heures tellement le simple fait de la voir le rendait heureux. Se laissant guider par son palpitant il se rapprocha d’elle et dans un élan d’amour il fit glisser son index sur la joie de la gardienne de son cœur, dans une caresse tendre.

    William – « Tu es tellement belle quand tu dors ma diablesse. Fait de beau rêves. »

    Parole murmurait avec tendresse et douceur pour lui-même plus qu’autre chose puisqu’elle devait dormir. Toutefois lorsqu’il retira sa main elle commença à s’agiter. Oh oh ! Il commençait a voir venir les ennuis ! La pièce était plonger dans le noir et l'on ne distinguer que des ombres. Il s’apprêta a transplaner avant qu’elle ne se réveille totalement mais se fût impossible . Il n’y arrivait pas et poussa un léger soupir agaçait. Système de sécurité ? Probablement. En t’en qu’Auror il était normal qu’elle est une alarme l’avertissant de la présence des intrus . Putain de merde ! Il n’avait pas penser à ça ! Bravo Slayers ! Tu les accumule !!! Transplanage impossible, il se dirigea donc sans bruit vers la porte, mais si elle se réveiller avant qu’il ne puisse sortir de cet appartement dont il ignorait absolument tout, la suite promettez d’être mouvementé….
 
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Lever les mains en l'air {Karly} EmptyMer 1 Avr - 19:45



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-
    « Karly, tu peux garder Jamie ce soir ? J’aimerai emmener Ophélia à l’Opéra. »
    - « Hein ? L’Opéra ? Depuis quand parles-tu d’Opéra ? »
    - « Karly… S’il te plait ! »


Assise sur le plan de travail de cuisine chez Matthew, Karly avait relevé les yeux du journal en regardant son frère, l’air incrédule. Comment est-ce qu’un fan des Faucons et tout récemment des Crix d’Australie pouvait-il aimer l’Opéra ? Quelle ressemblance entre un stade empli de spectateurs en furie et une salle close, étouffante où une seule personne exprime… un texte récité ? Il n’y en avait aucune. Matthew n’était pas l’un de ses types rébarbatifs qui trainait à l’Opéra. Ca, c’était son frère Steven. Quelle billiwyg l’avait piqué ? Déposant le papier sur le comptoir, elle sauta au sol afin de le rejoindre. N’aimant guère subir l’interrogatoire de sa sœur, Matthew monta au premier en prétextant des papiers à ranger ou autres débilités. Il avait toujours eu la fâcheuse habitude de fuir une conversation « gênante ». Mais c’était sans compter sur la persévérance de sa sœur. Une habitude qui les tenait depuis de longues années déjà. Des courses poursuites dans la grande et vide maison des McGregor.
    « Ne me dis pas qu’on va aller jusqu’au toit pour que tu m’expliques ? »
    « Tu n’aimes plus ton filleul ? Tu me fends le cœur. »
    « Matthew !! »
    « Ecoute, je me suis disputée avec Ophélia. Je veux juste… lui faire plaisir. »
    « Ahh, les hommes… pitié, épargnez-moi… »
    « Merci, t’es géniale ! »

Soupirant tout en s’appuyant contre le mur, Karly acquiesça en silence. Ce Soir-là, elle n’avait rien prévu d’exceptionnel. Surement faire un petit tour aux Trois Balais, comme chaque soir. Un peu de changement faisait parfois du bien. Dans tous les cas, c’est comme cela que le petit Jamie se retrouva dans le lit de Cathy, plongé dans les bras de Morphée. Au contraire du petit garçon qui sombra dans son sommeil, la jeune femme eut plus de mal à trouver le sien. Ses derniers temps, elle ne dormait pas beaucoup, ce qui affectait quelque peu ses capacités. Mais tant pis, quelques heures suffisaient bien. Après avoir fini de travailler sur les dossiers qu’elle avait ramenés chez elle, Karly finit par rejoindre le premier étage pour s’octroyer un temps de somme.

Plusieurs heures passèrent…

Contrairement à ce qu’on aurait pu penser, ce ne fut pas l’alarme détectrice de phénomènes magiques qui réveilla Karly mais bel et bien le cri du petit Jamie qui appelait sa mère. Apparemment, celui-ci avait dû faire un cauchemar qui le terrifiait. Cependant, sa mère était bien loin vu que ce dernier dormait chez sa tante. Une main crispée sous sa tête d’oreiller autour de sa baguette, Karly ouvrit les yeux brusquement en entendant le cri du petit. Elle n’eut pas besoin d’allumer la lumière pour trouver son chemin… bien que quelque chose semblait la déranger. Comme une présence en trop. Etrange. Rejetant les draps sans plus s’en préoccuper, Karly sauta sur le parquet qui se mit à grincer. Baguette en main, elle marcha à pas de loup avant de remarquer une ombre devant elle, au pied de sa porte. Son rythme cardiaque s’accélérant, ses doigts se crispèrent autour de sa baguette. Rêve-t-elle ? Qu’est-ce que cela pouvait bien être ? Le chat du voisin ? Un peu gros. La porte elle-même ? Il n’y avait qu’une seule façon de le savoir.

« Lumos » Et la lumière gît… avant de retomber sur le sol. C’était impossible. Que faisait-il ici ? Elle avait une hallucination. « Maman !Maman ! » Cependant, Karly n’eut pas le temps de lui poser la question le petit Jamie appelait toujours sa mère avec de grands cris. Reprenant sa baguette au sol, elle ne lâcha pas des yeux William. La seule différence provenait du fait que de surprise, elle le fusillait désormais des yeux. « Toi, tu ne bouges pas. Remue le moindre petit doigt et je t’étripe. Réfléchie à une bonne excuse. Tu en auras besoin. » Furibonde, elle partit en direction de la chambre de Cathy où dormait le petit Jamie. Complètement affolé, celui-ci s’était caché dans l’armoire, son renard Bahloo. Béni par les sorciers aborigènes, celui-ci était sensé protéger l’enfant lors du passage de la lune. Un vieux mythe australien. Sachant pertinemment où trouver son neveu – celui-ci se cachant toujours dans les meubles les plus proches ayant peur que son rêve ne l’engloutisse, Karly ouvrit les portes de l’armoire afin d’être attaqué par une horde de peluches. Ce petit geste aurait dû la faire sourire mais le souvenir que Slayers se trouvait dans sa chambre et que c’était ce dernier qui avait déclenché l’en empêchait. « Jamie, sors s’il te plait ! ». Se camouflant au plus profond de l’armoire, derrière les robes de Cathy, le petit ne semblait pas l’entendre de cette oreille.
« Mais, tu as dis que je devais me cacher si le loup entre. »
« C’est vrai. Et tu es un bon petit garçon. Ce n’était que le chat du voisin. Il a encore réussi à entrer dans ton rêve mais, il est parti maintenant.. »
« Le vilain matou gris ? »
« … Oui, le vilain matou gris ! » Il était amusant de s’imaginer Slayers en gros chat de gouttière qu’on chassait de là par grands coups de pieds.
« D’accord ! » Jetant les dernières peluches de l’armoire avec lesquelles il s’était fabriqué une forteresse, le petit garçon de 4 ans sortit de l’armoire face au regard amusé et surpris de sa tante. Mais comment a-t-il pu entasser tout ceci en si peu de temps ? Remettant Jamie au lit en l’embrassant sur le front, Karly finit par s’extirper afin de retourner dans sa chambre. Marquant un temps d’arrêt avant de rentrer à l’intérieur, la jeune femme s’accota au mur. Mais que faisait-il là ? Comment avait-il trouvé où elle habitait réellement ? Râh, elle n’avait pas envie de le voir. La dernière image qu’elle avait de lui était des plus affreuses. Elle n’avait pas envie. Karly aurait bien aimé être de nouveau cette petite fille qui pouvait être gamine si elle le souhaitait. Mais, elle était bien trop grande maintenant. Soupirant, elle réalisa alors qu’elle n’était qu’en nuisette. Le pervers. Le fumier. Ne pouvait-il donc pas la laisser en paix ? Pourquoi toujours remuer un couteau dans une plaie ouverte ? Attrapant un peignoir dans la salle de bain, elle reprit en main sa baguette avant de rentrer dans sa chambre en prenant soin de ne pas réveiller sa tante… et que personne ne repère l’intrus suspect.

Par un chuchotement forcé et une tête qui en disait long sur son caractère du moment, Karly semblait fusiller William du regard. En réalité, si elle avait eu un revolver à la place des yeux, un meurtre aurait eu lieu. « Mais par Merlin, qu’est-ce que tu fous ici ? Tu n’as rien à faire là. On n’entre pas chez les autres comme dans un moulin. Je te prierai de sortir ! »Le regard froid et dur, Karly n’avait pas oublié le dernier entretien qu’elle avait eu en compagnie de ce dernier. Un fiasco qui lui avait valu un aller-simple dans le bureau de Burlingster. Ce crapaud visqueux qui ne rêvait que d’une chose : la faire renvoyer. Mais ce soir-là, un problème plus grand se posait à elle : cet imbécile de Slayers se trouvait chez elle, sans permission. Surtout que quelques minutes plus tôt, elle dormait à poings fermés. Comment a-t-elle pu faire pour ne pas l’entendre transplaner ? Etait-il entré par la porte ? Après tout, il s'agissait d'une maison moldue sans grande protection sorcière. Juste de vieux sortilèges aborigènes. Etait-elle si fatiguée que çà ? Les bras croisés de l’autre côté de la pièce, elle tentait de calmer au mieux ses nerfs pour que personne ne soit réveillé… et n’apprenne tout ceci.
 
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Lever les mains en l'air {Karly} EmptyJeu 2 Avr - 20:43


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    Un cri d’enfants ! Saloperie de gosse. Bien sûr des tas de choses aurait pût réveiller Karly. Les pas peu discret de William. Le bruit de la lampe de chevet se fracassant au sol tandis qu’il la faisait tomber par inadvertance ou maladresse. Ou encore tout simplement l’alarme détectrice de magie. Mais non il avait fallu qu’il s’agisse d’un gamin brailleur et incapable de dormir a une heure pareil de la nuit. William n’avait rien contre les gosses en règles général, d’ailleurs il rêver d’avoir un fils pour continuer la ligné des Slayers, seulement il se serait passer de se cri qui lui abima les oreilles. De plus Karly ne semblait pas vraiment ravis de le voir là comme il l’avait présager. Dur de lui en vouloir étant donné les évènements précédent, toutefois sa venue partait d’une bonne intentions. Bon okays il était trois heure du matin ! Et alors ? Lui il n’avait pas trouver se détail dérangeant. Afin jusqu'à ce que bien sûr McGregor ne se réveille et ne le menace de sa baguette. D’ailleurs il n’avait pas bougé, se contentant d’afficher un large sourire hypocrite comme si de rien n’était. Il aurait très pût crier un « surprise » que ça n’aurait pas le moins du monde clocher avec son attitude et la bizarrerie de la scène. Toutefois il s’abstenue tandis que Karly le fusiller du regard.

    Karly - « Toi, tu ne bouges pas. Remue le moindre petit doigt et je t’étripe. Réfléchie à une bonne excuse. Tu en auras besoin.


    Réfléchir a une bonne excuse. Réfléchir a une bonne excuse. Excellente idée. Parce que bizarrement, allez savoir pourquoi, mais il se disait bien que lui dire du but en blanc « j’suis venue te faire des excuses » ça risquer de pas trop le faire. De un parce que ne le croirait sûrement vu l’heure et de deux parce qu’elle n’accepterais certainement plus de lui pardonner maintenant qu’elle était en pétard. Alors comme elle lui avait conseillé il réfléchit à une excuse. Mais alors qu’il s’était décidé mentalement à lui raconter qu’il venait sur les ordres de Erlantz, mission Auroresque oblige, quelque chose le frappa de plein fouet, au sens littéral du terme. « Maman » !!! Il n’avait pas rêver ??? Le petit garçon avait bien hurlé « maman » ??? William sera figer sur place. Karly était maman. Cela faisait quatre ans qu’il ne l’avait pas vu et bien sûr il aurait semblé logique qu’elle est refait sa vie ou même fondé une famille, mais étrangement non, cette idée ne lui avait traversé l’esprit. Karly marier et maman ! Invraisemblable ! C’était un peu comme si William venait d’apprendre qu’une femme était Ministre de la Magie ou que Tarabiscoté, son elfe de maison était sain d’esprit. Impossible !!! Et pourtant….

    Tandis qu’il observait la chambre de Karly essayant de se faire à l’idée qu’un homme devait sûrement être sous les draps avec elle chaque nuit, la jeune fille réapparut le surprenant légèrement. Elle semblait des plus furax et comme toujours en situation délicate William… souriait ! Bin oui qu’est-ce que voulait qu’il fasse d’autre ? Ne pas se rendre compte de la gravité d’une situation et être totalement inconscient s’était dans ses gênes.

    Karly - « Mais par Merlin, qu’est-ce que tu fous ici ? Tu n’as rien à faire là. On n’entre pas chez les autres comme dans un moulin. Je te prierai de sortir ! »

    William – « Si j’te dis que j’suis venu m’excuser d’avoir était un pauvre con avec toi l’autre fois, tu me croira pas hein ? » dit-il en grimaçant conscient de s'attiré d'avantage ses foudres, sincère toutefois .

    Vu la tête qu’elle faisait il se dit qu’il aurait dût s’en tenir au plan B : Erlantz l’avait envoyer en mission !! Mais lorsqu’elle lui avait demander de sortir, les mots était sortis seul, guider par l’envie de se racheter. Okays elle ne l’aimait sûrement plus mais il ne voulait pas quelle le déteste.

    William – « J’suis également désolé d’avoir réveillé ton fils… »

    A peine avait-il prononcé ses mots que la chambre se mit à grincer laissant entré un petit bonhomme au visage angélique mais portant un petit air espiègle digne des Mcgregor. William l’accueilla avec un sourire tandis que le petit garçon aller se coller à Karly. Regardant le nouveau venu, le jeune Auror réalisa alors quelque chose…

    William – « Salut bonhomme. Quel âge il a exactement ? »
    demanda-t-il avec graviter, et un sérieux qui ne lui ressembler pas mais aussi beaucoup de curieuse et une sorte de joie.

    William avait poser cette question pour une raison bien précise. Cela faisait quatre ans qu’il n’avait pas revu Karly. Quatre ans qu’il avait couché ensemble. Et le petit garçon semblait avoir le même âge…..
 
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Lever les mains en l'air {Karly} EmptyMar 7 Avr - 0:07



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La tension était palpable dans la pièce. De telle sorte « J’suis également désolé d’avoir réveillé ton fils… »
Incrédule devant ce que William venait de lui dire, Karly ne pût prononcer un mot qu’un petit bonhomme pas plus haut que trois pommes arriva afin de se caler contre ses jambes. Venait-il de dire que Jamie était son fils ? Partagée entre l’envie de rire de la tournure des évènements ou alors de foutre Will à la porte pour lui parler d’un probable fils qui n’est autre que son neveu, Karly n’eut pas le temps de faire quoi que se soit que les évènements se déclenchèrent.
« Salut bonhomme. Quel âge il a exactement ? »
« Quoi ? » Karly n’en revenait pas. Il était venu en pleine nuit pour demander l’âge du petit. Jamie était trop jeune pour être réveillé et veillé à trois heures du matin. Encore plus pour un questionnaire idiot. Cependant, l’attitude limite attendrie de Slayers envers Jamie toucha la jeune femme et l’attendrit un peu, ce qui se ressentit dans sa voix « Je t’ai demandé de sortir. Si tu veux communiquer, envoie un parchemin ou passe au bureau. Il y a des formes civilisées.»
Jamie – «4 ans… » Répondit Jamie d’une petite voix, regardant William timidement tout en restant accroché aux jambes de sa tante. Sentant le regard lourd et exaspéré de sa tante sur lui, il reprit d’une voix un peu plus certaine, tenant son doudou Bahloo. « Je désobéis pas, s’il est dans ta chambre, c’est l’un de tes amis. Cathya aussi, elle vient dans ma chambre. » « Jamie…. »
Lasse devant l’excuse du petit garçon, Karly aurait pourtant aimé que ce dernier ne dise rien. Mais comment pouvait-on lui en vouloir ? Il était si mignon avec sa bouille d’ange. Et puis, cela ne devait pas avoir d’importance, si ? Après tout, Jamie avait bien le droit d’avoir l’âge qu’il voulait, Matthew ayant décidé tardivement d’avoir un enfant. Cela devait être dans les gênes Mcgregoriens. On ne veut pas se marier. On ne veut pas d’enfants. Mais on craque pour eux. Ils vous manipulent comme bon vous semble alors car ils vous font culpabiliser. Sales gosses ><. « Jamie, retourne au lit, s’il te plait ! » Cependant, le petit ne semblait pas l’entendre de cette oreille. « Mais c’est Dimanche, demain. Et j’ai pas sommeil. Si je me rendors le vilain matou va venir et me manger… » Soupirant tout en s’accroupissant devant le petit, Karly n’avait pas vraiment envie de se donner en spectacle devant William, surtout après leur dernière altercation. Cependant, rassurer Jamie était bien plus capitale mais, c’était sans compter sur le caractère têtu de son petit neveu qui n’avait aucunement envie d’aller se coucher. Surtout pas quand quelqu’un qui ne connaît pas se trouve dans la chambre de sa marraine… jouaient-ils au docteur ? Dans ses conditions, il fallait pour le jeune garçon rester et en apprendre plus : surtout pourquoi sa marraine réagissait si mal quand il lui avait dit qu’il jouait au docteur avec ses amis. Il n’y avait rien de mal à mettre une plume en sucre dans la langue en jouant à « fais ahhh ». C’est ainsi que le petit blondinet parti prendre sa petite couverture tout en tenant fermement son doudou en main, en moins de temps qu’il ne fallait que pour dire « quidditch ». Regardant le petit garçon partir en coup de vent alors qu’il venait de triompher, Karly se retourna vers William, consciente qu’il était toujours présent.
« … La porte se trouve en bas.» Que pouvait-elle dire de plus ?

Resserrant son peignoir, Karly fit passer Jamie devant elle dans les escaliers tout en lui faisant signe de ne pas faire de bruit devant la chambre de sa grande-tante. Charra n’avait pas des journées faciles en ce moment. Les lettres de relance encombraient la boite aux lettres et les rapiats de la mafia ne tardaient guère à rôder autour de la maison. Tout çà à cause de son défunt mari. C’était à penser qu’une malédiction trônait sur tous ceux qui rejoignaient la famille des McGregor. Foutaises. Karly ne croyait pas aux malédictions. Tout du moins, elle s’y refusait. Arrivait dans le salon, le petit Jamie sauta directement sur le canapé où il s’assit en indien, sa couverture autour de lui. Regardant William, il ne s’en détacha pas une seule seconde, l’invitant à s’asseoir à côté de lui. Le petit garçon partait du principe qu’une personne se trouvant chez sa tante à une heure comme celle-ci était un ami de sa tante. Un ami qui devait avoir de bonnes raisons d’être ici, comme un service ou un problème. Un petit garçon bien trop réfléchi qui, par sa simplicité, semblait plus mâture que certains adultes bernés. Pendant ce temps, Karly soupirait pour la deuxième fois de la journée contre l’entêtement de son neveu qui se mettait toujours dans des situations inimaginables et surtout particulièrement dangereuses. Bon d’accord, on ne pouvait pas attendre que Slayers s’attaque au petit… Quoique. Pour la blesser, n’était-il pas prêt à tout ? Cependant, les phrases comme quoi l’auror était venu s’excuser revinrent à l’esprit de l’ancienne gryffone. C’était tellement inattendu de sa part qu’elle n’y croyait pas une minute. Mais les secondes ?
« Vous voulez boire quelque chose ? » Autant se détendre l’esprit en faisant quelque chose de ses dix doigts. Rester planter dans le salon comme un piquet n’était pas bon pour les nerfs de la jeune auror. Encore moins quand on passe très peu de temps à dormir et qu’une dizaine de cernes, toutes plus noires les une que les autres, se trouvaient sous vos yeux, et que vos réflexes voire même votre démarche s’en trouvent amochés et révélatrices. Disparaissant dans la cuisine, Karly resta pourtant attentive au moindre bruit, laissant la porte ouverte pour avoir un œil sur ce qui se passait dans le salon. Occupée avec la préparation d’un café corsé qu’elle aura surement du mal à boire, Karly ne remarqua pas l’échange entre les deux hommes.
Attrapant la télécommande de la télévision, Jamie alluma la télévision directement sur des dessins animés, sa chaine favorite. Concentré sur les images qui défilaient, les yeux remplis de sommeil mais luttant contre, le petit McGregor questionna l’étranger d’une voix bien plus aimable que celle de sa tante. « Comment tu t’appelles ? Tu fais parti de ses hommes qui menacent tatan Charra… ou tu es un ami de ma piuthar of athair? »
 
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Lever les mains en l'air {Karly} EmptyMer 8 Avr - 20:52


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    Karly - « Quoi ? »

    Elle semblait surprise de sa question. Pensait-elle qu’il était trop idiot pour faire le rapprochement entre le petit garçon haut de trois pommes, leurs nuit d’amour et l’attitude qu’elle avait envers lui ? Parce que pour lui s’était évident que ces trois choses étaient lier. Loin d’être effrayer à l’idée d’avoir peut-être un fils William en semblait ravis. Illogique ? Peut-être . Mais pas pour lui car si Karly avait belle et bien était enceinte, cela aurait expliquer pourquoi elle ne lui avait donné aucune nouvelle. Il pouvait comprendre que ce trouvait marié et mère du jour au lendemain pouvait être effrayant et qu’elle avait eut des réticences à lui en parler. Il comprenait et lui pardonner immédiatement d’être partie et de l’avoir abandonner réalisant qu’en fait, contrairement à se qu’il avait penser, elle n’avait jamais cesser de l’aimer. Cependant les mots que prononcèrent Karly par la suite le perturba, tant s’était contradictoire avec ses pensée.

    Karly - « Je t’ai demandé de sortir. Si tu veux communiquer, envoie un parchemin ou passe au bureau. Il y a des formes civilisées.»
    William – « Karly je… »
    Jamie – « 4 ans »

    Un large sourire de bonheur apparut sur le visage de William. Oui ça c’était bel et bien son fils. Incapable de tenir sa langue et toujours près à se faire remarquer. Un trais de caractère typiquement Slayers, mais tout aussi bien McGregor en fait. D’ailleurs le petit bonhomme ressemblait à sa mère. Les même mimique et les même yeux plein de malice. William ne pouvait s’empêcher d’en être attendrie.

    Jamie - « Je désobéis pas, s’il est dans ta chambre, c’est l’un de tes amis. Cathya aussi, elle vient dans ma chambre. »
    Karly - « Jamie…. »
    William – « Jamie… » répéta-t-il le cœur serré et les brillants comme pour retenir le prénom du petit garçon.

    Elle l’avait donc appeler Jamie. William se demanda comment il l’aurait appeler s’ils avaient choisit le prénom ensemble. Quelque chose de noble et d’élégant. Peut-être Tristan, Phillippe ou encore Charle. Karly n’aurait sûrement pas était d’accord. Ils auraient passer des heures à se chamailler sur le choix du prénom et elle aurait fini par céder sous la seule condition d’abandonner définitivement l’idée de donné a Phillippe un petit frère ou une petite sœur. Oui il voyait bien la scène et comment se serrait dérouler les évènement si seulement…. Si seulement elle n’était pas partit…

    Karly - « Jamie, retourne au lit, s’il te plait ! »

    Jamie - « Mais c’est Dimanche, demain. Et j’ai pas sommeil. Si je me rendors le vilain matou va venir et me manger… »

    Il était tellement mignon. Dur de rester insensible à tant de charme. Il tirait de son père. Se rapprochant de Jamie, il s’accroupit devant lui pour être à sa hauteur.

    William – « Moi aussi quand j’étais petit j’avais peur d’un tas de chose. J’avais peur qu’a force d’être aussi casse pied mes parent ne m’aime plus. Ma sœur Willara m’as même dit un jour que ma maman voulait m’abandonner dans un magasin au prochaine course. Tu n’imagine même pas comme j’étais pétrifier ce jour là. »


    Il ne parlait jamais de lui et encore moins de son enfance qu’il considéré comme une période où il était faible et dont il ne voulait pas forcément faire connaitre aux autres. Un Slayers était fort et fier. Seulement il voulait rassuré Jamie et les mots étaient sortis malgré lui. L’instinct paternel peut-être… Quoiqu’il en soit William afficher un fort charisme et beaucoup d’assurance a cet instant et on ne pouvait qu’être toucher par son attitude, tellement il se comportait exactement comme il fallait.

    William – « Qu’est-ce que tu dirais de regarder la télé un peu avec moi en entendant que le vilain matou s’en aille ? »


    William adressa un sourire au petit garçon qui ne semblait pas contre cette idée, au contraire de sa mère qui semblait toujours aussi en colère contre lui.

    Karly - « … La porte se trouve en bas.»

    Son cœur se serra et il se releva, abandonnant son attitude paternelle et son air gentil pour avoir l’air légèrement distant, blesser par une réaction aussi froide de la part de Karly. D’un côté elle la comprenait, ça ne devait pas être évident pour elle de voir débarquer du jour au lendemain cet homme qui n’avait fait partie de sa vie de famille. Mais d’un autre il la trouvait injuste, Jamie avait tout de même le droit de le connaitre. Puis pour l’instant il n’avait aucunement l’intention d’avouer au petit bonhomne qui il était réellement pour lui.

    Quoiqu’il en soit il descendit les escalier, suivit de près par Jamie et Karly. Le petit garçon se dirigea automatiquement vers le canapé et ne cesser de le regarder. William aussi garder son regard fixer sur lui, comme s’il essayait de mémoriser les moindres détail de son visage au cas où il ne le reverrait plus jamais. Ravie de la simplicité de Jamie il accepta son invitation à s’asseoir sans protester, le remerciant avec un sourire.

    Karly - « Vous voulez boire quelque chose ? »

    Elle semblait déjà moins agressive et cela lui mit du baume au cœur. Aller savoir si c’était le fait qu’elle avait mis au monde un petit être fragile ou parce qu’il ne l’avait pas revu depuis longtemps mais a cet instant il la trouva merveilleusement belle, et dût faire un énorme effort pour se retenir de le lui dire. Le regard brillant il la contemplait avec presque une certaine admiration. Elle lui avait donner un fils… Le plus beau cadeau qu’on ne lui ait jamais fait…

    William – « Non merci. Ça ira. C’est gentil. »

    En éffet c’était gentil venant de Karly, en revanche autant de gentillesse et de politesse envers elle était nouveau de la part de William. A croire que grâce à la présence de Jamie il devenait un autre homme, oubliant ses rancœur. Jamie s’empara alors de la télécommande et commença a regardait les dessin animé.

    Jamie - « Comment tu t’appelles ? Tu fais parti de ses hommes qui menacent tatan Charra… ou tu es un ami de ma piuthar of athair? »


    Ces question le laissèrent perplexe et il se demanda bien qui pouvait être tata charra étant donné que Karly n’avait pas de sœur. Peut-être la femme de Mathew. En tout cas il espéra que rien de grave ne se passer chez les McGregor.

    William – « Non je suis… un ami de ta maman. Un très vieux ami »

    Adressant de nouveau un sourire à son fils, William releva brusquement la tête en entendant un bruit qui venait de l’étage tandis que Karly réapparaissait en tenant dans les main un verre de lait et un café. William se retourna vers elle et leva les main en l’air comme pour expliquer qu’il était non coupable.

    William – « J’te promet que cette fois j’y suis pour rien » dit-il en parlant du bruit.

    Se pouvait-t-il qu’il y est un autre intrus dans la maison ? Allez savoir….

 
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Lever les mains en l'air {Karly} EmptyMer 15 Avr - 14:48



Invité
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    Jamie – « Un ami de ma maman ? Pourquoi t’es ici alors ? »

Etonné, Jamie cessa quelques instants de regarder les aventures de Saturnin, le petit caneton, afin d’observer l’invité. Après tout, s’il dormait chez sa tante Karly, c’était bien parce que ses parents étaient sortis en amoureux. Dans ses conditions, qu’est-ce que cet homme faisait ici ? Etait-il un imposteur ? Sa tante Karly avait l’air énervée lorsqu’il est arrivé dans la chambre mais, elle ne l’aurait pas laissé avec lui s’il s’agissait d’une crapule. Déjà qu’elle ne le laissait seul dans un magasin. Combien de course poursuite avait-il eu sur le Chemin de Traverse ? L’étranger intrigué beaucoup l’enfant alors.

Réfugiée dans la cuisine, Karly avait bien du mal à faire le vide pour pouvoir réfléchir clairement. Tout d’abord, le manque de sommeil se faisait grandement ressentir. Quand on saute les heures de sommeil pour avoir à éviter de faire certains rêves niant-niant avec certaines personnes qu’on n’aimerait pas voir mais qui se pointe chez vous à point d’heure… et qu’on sort alors pour faire passer ses nerfs sur des histoires non classées. Tandis que le café gouttait, la jeune femme ne savait pas quelle attitude adopter. Apparemment, William ne voulait pas sortir si facilement et Jamie l’y aidait grandement. Pourquoi n’obéissait-il jamais ce gosse ? Une chose était certaine : Karly n’était pas faite pour avoir des gosses. Cela vous rend trop faible. La preuve, son petit neveu était devant la télé à une heure où il devrait être au pays des rêves. Son frère allait la tuer. Elle allait tuer Slayers. C’était une pure réaction en chaîne même si… même si, on pouvait dire que de voir les deux garçons papoter ensemble sur le canapé était touchant. Secouant la tête, la jeune femme tenta vainement de se reprendre.

Profondément endormie, Charra Campbell avait elle-aussi eut quelques soucis à trouver son sommeil. Les soucis financiers ne cessaient de croitre au fur et à mesure que les créanciers crapuleux de la mystérieuse corporation venaient lui rendre « visite » en détruisant au passage plusieurs choses. Combien de fois avait-elle dû faire remplacer la porte et la serrure ? C’était devenu bien trop dangereux de rester ici et la jeune femme tentait vainement de faire partir sa nièce vers un lieu plus sain. Mais, il semblerait que les McGregor sont bien plus têtus qu’il n’y paraisse. Plusieurs fois le parquet avait grincé mais Charra avait reconnu la voix chuchotant de son petit-neveu suivit du chut habituel de sa nièce. C’est pourquoi, il n’y avait pas de quoi s’inquiéter… jusqu’à ce qu’un métal froid fini par se coller contre sa tempe. « Si tu crie, je te saigne… » Ouvrant un œil puis un autre, la jeune femme eut du mal à déglutir. Devant elle se trouvait trois ombres dansantes. Se relevant avec peine afin de s’asseoir sur le lit, Charra était en prise avec la peur la plus incontrôlable. D’ordinaire, les hommes de Clintwan n’entraient pas pour menacer. Ils attendaient ou venaient sonner près des jours de paie. Si seulement son mari n’avait pas pris tant d’emprunt en les convaincant qu’il rembourserait tout plus tard. Mais ce temps n’arriva jamais et les taux augmentaient d’année en année. Les intérêts étaient plus que catastrophiques et cela faisait peur à Charra. Jusqu’où étaient-ils capable d’aller pour récupérer leur argent ? La somme en elle-même était remboursée mais pas les intérêts. « Alors, tu n’as rien pour moi… ma jolie ? » Se rapprochant dangereusement de la sorcière, le mafieux moldu était des plus louches sur ses intentions. Après tout, ce n’était pas la première fois que ce patron lui expliquait qu’elle gagnerait trois fois plus et rembourserait totalement la somme en faisant le trottoir. Mais, ce n’était pas là la place d’une mère veuve et d’une McGregor. Se collant contre le lit, le plus éloigné de l’homme en question, Charra heurta la table de chevet qui fit tomber le livre de chevet ainsi que sa baguette. L’un des moldu la ramassa en commençant à se moquer du morceau de bois taillé. […]

    William – « J’te promets que cette fois j’y suis pour rien »

Lorgnant le jeune homme tout en soupirant, Karly ne savait pas si elle était excédée par ce comportement puéril qui ressemblait à celui de Jamie, bien que ce dernier ait cramponné son doudou tout en se tenant prêt à sauter sur ses jambes. Déposant les tasses sur la table basse tout en scrutant l’escalier, la jeune femme resta concentrée sur le bruit suspect. Le silence régna de nouveau dans la pièce où on entendait seulement le glissement du petit contre le canapé pour se rapprocher de sa tante. La vie n’était pas tous les jours facile dans cette maison lorsqu’on connaît les problèmes internes qui y règnent. Le problème se concrétisa pourtant lorsqu’un bruit de verre retentit. Non, Charra n’était pas en train de faire un cauchemar mais plutôt d’en vivre un. La poisse. Que faire de Jamie… et de William ? Il était hors de question que le premier ne soit en danger et que le deuxième ne soit au courant de choses qui ne le regarde pas.
    Karly – « Jamie ! Va trouver ton oncle. Dit-lui de ramener ton père. »
    Jamie – « piuthar of athair »
Le visage du petit traduisait bien à la fois son anxiété et sa peur. Jamie n’avait que quatre ans. Pourquoi devait-il vivre tout ceci ? Le juron d’un homme retentit alors au premier avant qu’une petite boule toute blanche ne dégringole les escaliers en emportant avec elle un morceau de tissu. Etrange lorsqu’un seul bout de tissu dépasse. En effet, chez les boursoufflets, on n’arrivait jamais à savoir où se trouvait la tête. Il n’y avait que des poils. La petite neige qui l’accompagnait depuis l’université vient se nicher sur son épaule tout en tendant le tissu, comme un bon chien de chasse en couinant légèrement. Jamie ne pouvait pas rester ici.

Se tournant vers William, Karly était gênée de devoir lui demander cela mais malheureusement, elle ne pouvait pas laisser Jamie seul. Il était trop jeune. Et s’il lui arrivait quelque chose dans le réseau de cheminette, hein ? Légèrement parano la Kaka ? Hum… peut-être bien.
    Karly – « Si mes frères ne sont pas là, dépose-le chez ton frère. J’irai le chercher. »
A qui pouvait-on réellement faire confiance aujourd’hui ? « Non ! » L’arrêtant avant même qu’il ne puisse dire quelque chose, le cœur de la jeune femme se serra lorsqu’elle prononça les mots suivants, le drama se passant au premier lui ayant ôté son masque pour un instant « Emmène-le juste à bonne destination et qu’il garde son renard avec lui. Ne… Ne te mêle pas de nos histoires de famille.» En réalité, il s’agissait plus d’une mise en garde que d’un refus net. Les histoires de famille devaient se régler dans le cercle et non avec des personnes de l’extérieur. Et puis, cela risquait de lui retomber dessus… surtout. C’est pour cela que personne ne savait. Car personne ne devait savoir. Même son coéquipier n’était pas au courant sinon, elle aurait envoyé Jamie chez lui. Karly avait plus confiance en Mac qu’en Steven. « S’il te plait. »
S’assurant juste qu’ils ne soient tout deux dans le cadre de la cheminée, poudrette en main, Karly se dirigea vers l’escalier menant au premier étage
 
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Lever les mains en l'air {Karly} EmptyMer 15 Avr - 22:23


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    Quelque chose de grave était de toute évidence entrain de se passer a l’étage et William s’était relever, suspicieux et légèrement inquiet. Il lisait la peur sur la visage de son fils et ça ne lui plaisait pas. Karly ne semblait pas rassuré elle non plus et lorsqu’un juron se fit entendre et que quelque chose déboula de l’escalier la tension augmenta. D’autant plus que la jeune Auror cherchait apparemment à éloigner a tout prix Jamie. William était sur ses garde et sortit sa baguette, prêt à protéger sa famille. Il chercha dans le regard de Karly une quelconque explications à ses évènement mais elle semblait ne pas pouvoir lui expliquer.

    Karly – « Si mes frères ne sont pas là, dépose-le chez ton frère. J’irai le chercher. »
    William – « Mais… »
    Karly - « Non ! »

    Il se tût bien qu’il savait pourquoi elle l’interrompez et qu’il savait aussi d’avance qu’il n’allait pas aimer la suite. Elle semblait pourquoi ferme et déterminer et tellement bouleversé qu’il ne pût que la laisser parler.

    Karly – « Emmène-le juste à bonne destination et qu’il garde son renard avec lui. Ne… Ne te mêle pas de nos histoires de famille. S’il te plait »

    Alors c’était ça ? Il partait et la laissait affronter le danger alors que ça pouvait être dangereux ? Non mais elle rêvait là ! S’il y avait un défaut que William posséder belle et bien et auquel il ne s’était jamais défait c’était l’obstination et le fait de n’en faire qu’a sa tête. De nombreuses personnes avaient essayer par le passer de le faire agir comme il le lui disait, toujours en règle général et pour sa propre sécurité et le résultat était toujours le même. Même son père n’y était jamais arrivait et il s’était fait de nombreux cheveux blanc a cause de son inconscience. Malgré le danger, les recommandation et la sécurité il écoutait toujours plus son cœur et sa tête et agissait comme il le pensait juste et pas comme il le devait. Et là son cœur lui disait, lui criait même, de ne pas laisser Karly montait seul et courir un danger dont il ignorait tout. Certes il y avait Jamie et il était hors de question que son fils courent un quelconque risque lui aussi, mais William avait plus d’un tour dans son sacs et de nombreuses capacité insoupçonné. Sortant sa baguette il la pointa sur Jamie, tandis que Karly semblait choqué croyant certainement qu’il allait lui faire du mal.

    William – « Transplano »


    Jamie disparut alors sous le regard de William et Karly tandis qu’un rayon de couleur doré le toucher. Slayers se retourna vers la jeune Auror avec un air légèrement penaud comme s’excuser de ses capacité . Il inventait des sortilèges depuis tout petit pour s’occuper l’esprit et il fallait reconnaitre ça pouvait être très utile. Dans le cas présent par exemple.

    William - « Il est chez Sawyer »


    Maintenant qu’il n’avait plus le petit dans les pattes William était bien décidé a porter secours à Karly et surtout à se mêler de se qui ne le regarder pas. Il passa devant la jeune fille avec un air résolument sérieux et déterminer comme si il était en mission et la dépassa dans les escaliers, lui barrant la route. Elle n’avait plus a faire au garçon déconneur, malicieux et parfois détestable mais à l’agent du ministère qui assuré quand il le fallait. Posant son regard légèrement sur Karly il parla d’un ton difficilement contestable.

    William – « Tu reste en bas ! Je sais qu’tu avait sûrement envie de tout se soir sauf de me voir mais maintenant que je suis là autant que j’me rende utile. Et j’arriverai pas à me battre correctement si je sais que la femme que j’aime est en danger. Alors tu reste là ! »

    Pas un désir. Pas une demande. Pas une supplication. Un ordre ! C’était simple net et direct. Il disait elle obéissait. Rien n’était plus simple que cela. Il était tellement inquiet par le fait que sa aurait pût être elle au lieu de quelqu’un d’autre qu’il avait parler sans réfléchir a ce qu’il venait d’avouer, son esprit résolument occupé par les événements se produisant à l’étage. A peine avait-il parler qu’il avait continuer de monter les marches à pas de loup et sur ses gardes, laissant trainer son regard un peu partout et sa baguette en main, longeant les murs. Il arriva à l’entrée d’une chambre a coucher et s’accroupissant il passa à peine la tête par l’encolure pour voir à l’intérieur et aperçut trois hommes et une femme qui semblait terroriser. L’un deux la tenait par les cheveux et William sentit la colère montait en lui. On ne traite pas une femme ainsi. Bon trois contre un. Peu importe ! Il s’apprêtait donc a se relever et a y aller en bon inconscient qu’il était quand quelque chose ou quelqu’un attira son attention….
 
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