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 La 8eme plaie d'Egypte {Karly}

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MessageSujet: La 8eme plaie d'Egypte {Karly}   
La 8eme plaie d'Egypte {Karly} EmptyLun 9 Mar - 17:58


http://psycotgirl17.skyblog.fr

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William Alex Slayers
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    Vous connaissez les 7 plaie d’Egypte ? Les eaux du fleuve changées en sang . Les grenouilles. La grêle . Les sauterelles . Les ténèbres. La mort du premier-né… Toutes ses conneries qui font peur à des milliers de gens ? Eh bien William en connaissait une huitième . Karly Mcgregor, une plaie a elle toute seule ! Chiante . Compliqué. Insupportable. Têtue. Egoiste. Hystérique. Oui cette fille était une véritable plaie.

    Cela faisait une éternité qu’il la connaissait et ils avaient vécu beaucoup de choses ensemble seulement certain évènement l’avait poussé à la détesté ardemment. D’ailleurs il pensait ne plus jamais la revoir, mais apparemment le destin semblait en avoir décidé autrement et alors qu’il pensait avoir enfin oublier celle qui lui avait brisé autrefois le cœur il se retrouvait désormais face à elle.

    A peine la réunion des Aurors, s’était elle terminer que William s’était cacher dans le couloirs afin d’intercepter Karly quand elle passerai dans celui-ci. Entendant nerveusement, il ne tarda pas a entendre des pas venir dans sa direction et a apercevoir la jeune fille. Sans lui laisser le temps d’apercevoir sa présence, il posa alors la main sur la bouche de McGregor pour l’empêcher d’hurler et avec son autre main qu’il posa sur son torse il recula pour l’entrainer a l’intérieur d’une pièce vide se trouvant à proximité. Il la lâcha alors et à l’aide de sa baguette verrouilla la porte avant de se tourner vers elle avec un air contrarié.

    William – « J’peut savoir s’que tu fou ici ? J’te croyais en Australie ! »
 
MessageSujet: Re: La 8eme plaie d'Egypte {Karly}   
La 8eme plaie d'Egypte {Karly} EmptyLun 9 Mar - 19:52



Invité
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La réunion de débriefing n’avait pas été des plus brillantes. Enfin, des plus charmantes serait le terme adéquat. En effet, parler des morts du passé et des morts à venir qu’on tentera d’empêcher n’apportait pas de touche joyeuse dans la panoplie. Après avoir échangé quelques paroles avec les différentes personnes présentes que Karly n’avait pas revues depuis longtemps, un visage apparut furtivement entre plusieurs épaules. A dire vrai, elle ne s’était pas concentrée sur les personnes présentes. Ainsi, elle n’avait pas pu apercevoir qui était exactement présents dans la salle et à qui il fallait rapporter les propos annoncés. Grand. Brun. S’attardant dans la salle de réunion afin de repérer ses attributs, la jeune femme fut comme intérieurement déçue de ne pas apercevoir cet ancien visage rieur et charmeur… qu’elle haïssait autant qu’elle avait aimé. Mais, il n’y avait rien. Juste le père de ce dernier. Il était vrai qu’ils se ressemblaient beaucoup. Peut-être l’avait-elle vu à travers lui ? Surement, même. Oui, cela devait être çà. Longtemps, elle avait repensé à cette dernière soirée passait en Angleterre… sans pouvoir se souvenir plus que son entrée dans un casino de Las Vegas. Son retour sur le continent lui en avait fait un bref souvenir, tout comme sa première visite à son meilleur ami depuis ses trois dernières années. C’était toujours un choc de s’avouer à soi-même ses propres sentiments qu’on a si longtemps refoulé sous de la colère. La formation d’auror avait du bon finalement : elle permettait de canaliser les pulsions négatives pour faire fructifier la vie.

-
    « Karly, on y va ? Les enfants aimeraient te voir ce soir, passes à la maison. »


Se replonger dans le passé provoquait toujours les mêmes symptômes : un visage fermé et dur qui laissait transparaitre une concentration ultime sur un point imaginaire. Plus rien ne comptait alors à l’extérieur. Plus rien n’avait d’importance. Les souvenirs prenaient une tournure matérielle qui couvrait la réalité, autant qu’une voix puissante et forte arrivait toujours à percer et faire éclater. Revenant dans la salle de détente et non plus aux portes d’un aéroport, la jeune femme suivit son frère et son coéquipier avant de se rappeler qu’elle avait oubliée son sac à son bureau. Promettant de les rejoindre dans l’accueil, elle s’en alla dans le couloir inverse tout en remuant nerveusement un bracelet entre ses mains. Pourquoi donc avait-elle cru voir son visage ? Râhhh, s’en était rageant. Il fallait que ceci s’arrête et surtout ne recommence pas, en réalité. Elle était adulte désormais. Sur ses pensées, la jeune femme n’eut guère le temps de réagir qu’on l’emporta de force dans un placard en l’empêchant d’émettre le moindre son. De surprise, elle lâcha son bracelet qui tomba au sol et attendit. Après tout, étant à l’étage des Aurors, il fallait être un véritable kamikaze pour opérer un attentat ou une tentative d’enlèvement. Surtout qu’ils devaient se tromper de personne. Autant savoir à qui on a affaire.

    « J’peut savoir s’que tu fou ici ? J’te croyais en Australie ! »


Bouche bée, Karly ne sût quoi répondre. Attendez, on venait de lui griller des neurones, ce n’était pas possible. Comment… Comment pouvait-il donc se trouver ici ? C’était tout simplement impossible. Surtout habillé de la sorte. Il ne pouvait s’agir que de Sawyer, c’était çà ? Cependant, son expression n’avait rien à voir avec son meilleur ami. Il ne pouvait ainsi s’agir que d’une seule personne : son jumeau. Les émotions de surprise et d’étonnement avaient faiblis face à la voix rude et pleine de reproches qui lui étaient adressés. Mais à qui croyait-il parler ?!

    « Où est-ce que tu te crois ? On n’enferme pas les gens comme çà dans un vulgaire placard. On n’est plus à Poudlard alors arrête tes gamineries, William. »

L’habitude avait repris le dessus et Karly ne prit même pas le soin de remarquer qu’elle n’avait pas utilisé le patronyme de ce dernier. Sentiments au même niveau ? Difficile à apercevoir et à découvrir, même pour elle. Cependant, à peine son souffle repris, elle surenchérit, sa voix diminuant d’agressivité. Après tout, il ne s’était rien passé… Ou en tout cas, Karly faisait tout pour ne pas se rappeler qu’elle avait passé sa dernière nuit en Angleterre avec ce grand brun qui la faisait autant rager que chavirer. L’alcool faisait toujours déployer des ailes en réalisant parfois l’impensable et l’impossible mais il ravage les parcelles de la mémoire qui disparaissent en poussière.
    « Et je te ferai signaler que je travaille ici. Ma formation ne durait que trois ans et… j’ai été rappelé en Angleterre. Et toi ? Vu l’attention de ton costume, tu viens surement pour un entretien ou un rendez-vous… »


Que pouvait-elle dire dans ce genre de situation ? Elle ne s’était pas préparée à retomber sur lui. Surtout pas lui. Paraître naturelle et ne pas repenser à ce qui pourrait gêner été primordial. Après tout… ils devaient surement avoir été en commun accord qu’ils n’avaient couché ensemble que parce qu’ils étaient bourrés. Rien d’autre, n’est-ce pas… Pas convaincue. Même en reprenant de l’assurance, une petite gêne semblait trahir la jeune femme dans le son de sa voix.

    « Ca, Ca faisait longtemps. Que deviens-tu ? »


Avait-on la possibilité de se terrer dans le ciel jusqu’à ce qu’on devienne poussière et qu’on rejoigne la trajectoire des étoiles filantes ?!
 
MessageSujet: Re: La 8eme plaie d'Egypte {Karly}   
La 8eme plaie d'Egypte {Karly} EmptyLun 9 Mar - 21:58


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William Alex Slayers
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    Karly - « Où est-ce que tu te crois ? On n’enferme pas les gens comme çà dans un vulgaire placard. On n’est plus à Poudlard alors arrête tes gamineries, William. »
    William – « Tu n’est pas enfermé ! » fit-il en grimaçant, agacé.

    Elle ne l’avait pas appeler Slayers. Elle l’avait appeler William. Juste William. Elle ne l’appeler pas William. Elle ne l’avait jamais appeler William. A Poudlard comme a la fac elle s’était toujours contenter de son nom de famille comme ancré un peu plus le mur inviscible qui les séparé et qui montré qu’elle ne l’apprécié. Mais là elle l’avait appeler William comme la dernière fois qu’ils s’étaient vue. La dernière où ils l’avaient fait et où elle avait gémi son prénom. Difficile de l’oublier. Trois ans avant passer et pourtant il se souvenait de cette nuit dans les moindres détail. Pas seulement parce que leurs ébats étaient plus que torride et que McGregor avait un savoir faire hors pair mais surtout et parce que cette nuit là qu’il lui avait avouer ses sentiments. Aujourd’hui pourtout ils se retrouvaient face à face comme deux étrangers. Enfin plus où moins car l’ambience de la scène et le ton de leurs voix lui évoquer le temps de Poudlard et de leurs chamaillerie qu’autre chose.

    Karly - « Et je te ferai signaler que je travaille ici. Ma formation ne durait que trois ans et… j’ai été rappelé en Angleterre. »
    William – « Oh… Merde Alors! »

    Tellement surpris le mots lui échappa des lévres. Merde alors, c’était le cas d’le dire. Il ne s’était pas attendus à ça. Certes il faisait le même métier et il était évident qu’un jour il en viendrait à travailler ensemble, évident bien sûr mais… en ne lui était venu a l’esprit. Pas si évident que ça pour lui ! A croire que son subsconcient avait délibérament homis de le préparé psychologiquement à travailler avec son ex petite amie et actuelle femme puisque malgré tout elle n’avait jamais demander le divorce, a son plus grand étonnement d’ailleurs. Mais à présent le pire arrivait et William comprenait qu’il allait devoir travailler avec elle.

    Karly – « Et toi ? Vu l’attention de ton costume, tu viens surement pour un entretien ou un rendez-vous… »


    A sa remarque il baissa les yeux sur sa tenue, et eut une légère grimace en observant son costume. Il avait pourtant dit à Shaylee que c’était une mauvaise idée et que même en Angleterre les Aurors ne devraient pas être aussi coincé. Mais sa colocataire l’avait soulé pour qu’il se vêtissent ainsi prostestant qu’il ferait bonne figure. Résultat des courses, Erlantz l’avait pris pour un léche cul et maintenant Karly se moquer de lui. Merci Shaylee .

    William – « Merci . Tu a raison je suis très sexy dans se costume » fit-il fierement comme s’il répondait à un compliment qu’elle venait de lui faire. « Mais tu te trompe j’ai pas rendez vous. A vrai dire… Je suis Auror. Je bosse ici »

    Et oui il bossait ici. Elle bossait. Ils bossaient ici. En gros ils n’étaient pas dans la merde. Et lui comme elle le savait car elle semblait aussi mal à l’aise que lui bien que elle semblait stressé et lui sur la défensive, près a cracher son venin au moindre mots de la McGregor.

    Karly - « Ca, Ca faisait longtemps. ça va ? Que deviens-tu ? »

    Elle se foutait de sa gueule là ? Ce n’était pas possible ! Après le fait qu’elle soit partit après leurs première nuit, leurs mariages, leurs promesse et surtout la révélation de leurs amours, il n’en revenait pas qu’elle lui pose une question aussi banale. Quel hypocrite ! Certes il chercher lui aussi a oublier désespérément cette nuit mais faire comme si de rien n’était alors qu’ils n’avaient eut l’occassion d’en discuter il trouvait ça rudement gonflé . Mais après tout c’était du McGregor tout craché ça. Aigrie ? Rancunier ? Blesser dans sa fierté ? Peut-être . Légèrement. Probablement. C’est possible. Sûrement….

    William – « Oh j’vais bien . Je viens d’arriver d’Amérique où des amis a moi sont mort, je suis complètement pommé et les Mangemort vont sûrement nous attaqué. Mon nouveau patron a l’air de déjà me détesté et mon ex petite amie qui m’a lâchement abandonné parce qu'elle est égoiste et sans coeur semble être une de mes collègue de travail. Tu vois j’vais bien. Pourquoi ça n’irai pas ? » fit-il avec un large hypocrite et crispé.
 
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La 8eme plaie d'Egypte {Karly} EmptyJeu 12 Mar - 14:16



Invité
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    « Et je te ferai signaler que je travaille ici. Ma formation ne durait que trois ans et… j’ai été rappelé en Angleterre. »
    « Oh merde, alors ! »
    Moi aussi, je suis ravie de te revoir! »


Merde alors ? Comment çà, merde alors ? Non mais attendez, elle avait quand même le droit de revenir en Angleterre quand elle le voulait. C’était autant chez elle que chez lui. Et puis comment ca merde alors ? Ce n’était pas une réponse. Ca ne devait même pas être une réponse. On aurait… On aurait dit que leur quatrième année venait de faire un bond dans le futur. Et pourtant, ils restaient dans leurs corps d’adulte. Karly ne savait comment nommer ce qu’elle ressentait. Cette peine. Cette tristesse et surtout cette colère. En seulement trois petits mots, il venait de la blesser plus qu’aucune de ses années. Apparemment, sa présence même devait déranger et Monsieur tenait à le lui faire savoir. Le fumier ! Décidément, le tact ne faisait toujours pas parti de ses qualificatifs. Il le prouva par la suite…

    « Merci. Tu as raison, je suis très sexy dans ce costume. Mais tu te trompes, j’ai pas rendez-vous. A vrai dire… Je suis Auror. Je bosse ici. »


Qu’est-ce qui choquait le plus ? L’injure et la haine de la revoir ou alors le fait qu’il lui avait… menti. Il se moquait d’elle, ce n’était pas possible. A moins qu’il n’est pris la place de Sawyer… mais il ne s’agissait pas de Sawyer. Il ne lui avait jamais dis qu’il voulait devenir Auror. Alors pourquoi maintenant ?! L’enflure ! Elle n’avait pas rêvé dans la salle de détente, c’était bien lui. Ses rêves s’étaient stoppés depuis son retour alors pourquoi une autre plaie arrivait-elle ?! Relevant les yeux vers lui, Karly semblait chercher la moindre trace de plaisanterie, même douteuse, sur les traits de son vieil amant. Mais il n’y avait rien. Absolument rien. William était sérieux. Pourquoi avait-elle l’impression que ce n’était pas la première fois ? Répétant plus pour elle-même que pour avoir une confirmation, Karly semblait plus peinée qu’en colère. Après tout, s’il était devenu un Auror, c’est qu’il avait suivi ses trois dernières années une formation. A moins qu’il ne s’était fait pistonné par son père, lui-même auror. Les deux sentiments s’entremêlaient de façon bien étrange. Oui, Karly aurait préféré être restée en planque à la place de Jimmy plutôt que de se trouver dans ce placard miteux avec une partie de la vérité lui éclatant au visage. Il s’était foutu d’elle. Finalement, la boucle n’était-elle pas bouclée ? Ils revenaient au point de départ sans avoir réussi à terminer l’ancienne boucle. En réalité, si. Elle s’était terminée par l’acte de mariage… mais quand on ne se souvient pas de s’être mariée et qu’on n’ose même pas y penser tellement que cela parait absurde, on pense qu’il ne s’agissait que d’un rêve. Seulement çà.

    « Ca, Ca faisait longtemps. Que deviens-tu ? »
    « Oh je vais bien. Je viens d’arriver d’Amérique où des amis à moi sont morts, je suis complètement paumé et les Mangemorts vont surement nous attaquer. Mon nouveau patron a l’air de déjà me détester et mon ex petite amie qui m’a lâchement abandonné parce qu’elle est égoïste et sans cœur semble être une de mes collègues de travail. Tu vois, j’vais bien. Pourquoi ca n’irait pas ? »


    « Quoi ?! Rôh, tu parles toujours autant, comme un perroquet. Tu étais en Amérique ? Tu as donc suivi tes trois années de formation à Los Angeles ? »

Se plaçant une main contre le front, la jeune femme secoua légèrement la tête pour éviter le mal de crâne. William parlait toujours trop vite lorsqu’il s’énervait ou alors quand justement il tentait de se contrôler. Vivez avec lui durant plus de neuf ans et vous verrez, un vrai moulin à parole avec une voix montant parfois dans les légers aigus. Ce qui n’était jamais bon signe. Mais dans le cas présent, on s’en fichait. C’était lui le fautif. Pourquoi ne lui avait-il pas dit ? Mais pour la logique karlynienne, cela n’aurait sans doute rien changé… n’ayant pas toutes les informations.
    « Je me fiche de savoir avec qui tu es sorti ou non, mais si tu n’es pas capable de travailler avec Liimatainen, Johnson, O.Allen ou je ne sais qui d’autre, c’est que tu n’as rien de professionnel. On est plus à Poudlard, Slayers. »

Non, en réalité, Karly mentait. Elle ne se fichait absolument pas de ce genre de choses mais n’aurait su dire pourquoi… Surement pour la bonne entente au sein du groupe, maintenant que l’attentat de Salem était arrivé, il fallait se souder et non le contraire. Oui, surement.
Et puis, pourquoi est-ce qu’il venait la faire chier, elle ? Qu’avait-elle fait ? Rien. Absolument rien. Vu qu’il n’avait pas écrit, ils devaient s’être mis d’accord sur une seule nuit. Point barre. Cela devait lui arriver souvent au Don Juan de service. Bien que recevant la pique de la petite amie en pleine poire, Karly se raisonna pour ne pas répondre. Après tout… elle n’avait jamais été sa petite amie. Ils n’avaient passé qu’une nuit ensemble. C’était tout. Absolument tout… Il devait donc s’agir d’une autre Auror. Ce qui semblait logique. La seule chose non logique était le pincement que Karly reçut en pleine poitrine face à son propre raisonnement. Elle devait être bien fatiguée. Oui, c’était surement çà.
    « Quant à Erlanz, tu ne t’attendais quand même pas à ce qu’il te déroule le tapis rouge ?! Fais tes preuves au lieu de geindre, c’est comme que ca marche ici. Tu es Auror, tu devrais savoir que les apparences peuvent être trompeuses, alors arrête de faire ton gosse à pleurnicher. Sinon, c’est que tu n’es pas fais pour ce service. »


Tentant de reprendre contenance, Karly s’en voulait d’être rude avec lui mais d’un côté, elle n’avait pas le choix. William ne comprenait qu’ainsi. Utiliser des mots simples emplein de sentiments et c’était fichu : il ne restait pas sérieux. Et puis, d’un autre côté, ca lui faisait du bien de la remettre à sa place. D’un, ca faisait longtemps. De deux… aucune idée. Il l’avait mérité en venant l’agresser au lieu de la saluer.

    « Je suis navrée pour tes amis. Tu aurais dû prendre quelques semaines de congés… le temps de faire ton deuil ! Travailler sous tension n’est pas bon. A moins que tu ne veuilles te faire haïr dès la première semaine. Si tu hurles sur tout le monde dès ton entrée, je ne donne pas cher de ta peau. C’est malheureux ce qui est arrivé… Mais on est tous dans le même bateau. Et je n’accepterai pas qu’il sombre parce qu’un Yanki débarque en voulant venger ses petits copains. Prend la fin de ta semaine. La prochaine risque d’être rude. »


Sur un discours où on arrive à la fois à contrôler ses nerfs mais aussi sa tristesse, il serait agréable de sortir la tête haute en laissant la rancune derrière soi. Sauf que deux points l’en empêchaient. Premièrement, Karly était rancunière. Oui, elle en voulait à William. Pour ne pas lui avoir écrit. Pour ne pas lui avoir dis qu’il était un Auror. Pour lui crier dessus dès la première seconde où ils se revoient. Pour être amer et agressif sans raison apparente. Pour lui en avoir mis la figure sans qu’elle ne comprenne pourquoi. Pour lui avoir menti. Comment pourrait-elle travailler avec lui si elle ne pouvait même pas lui faire confiance ? Mentir sur son projet d’avenir, certes, ce n’est rien. Mais si on ment pour une si petite chose, c’est qu’on mentira aisément pour de plus grosses. Deuxièmement… William avait fermé la porte par un sortilège magique. Or, Karly avait laissé sa baguette dans la poche de sa veste qui l’attendait bien gentiment dans son bureau. Très inconscient pour une Auror, on vous l’accorde. Surtout en cet instant où le verrou n’était que magique donc ouvrable qu’avec un sort et que la compagnie d’assurance du Ministère gardait un œil assez affuté sur elle. Si elle cassait la porte, cela arriverait rapidement à son matricule. Se retrouvant face à la porte, elle retira sa main de la poignet en demandant à William sans se retourner : « Tu pourrais désactiver ton sortilège… ».
 
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La 8eme plaie d'Egypte {Karly} EmptyJeu 12 Mar - 22:15


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    Karly - « Quoi ?! Rôh, tu parles toujours autant, comme un perroquet. Tu étais en Amérique ? Tu as donc suivi tes trois années de formation à Los Angeles ? »
    William – « Oooh mais c’est qu’tu es intelligente dit moi. J’en serais presque impressionné. Presque seulement » fit-il avec sarcasme. « Eh donc oui tu a raison j’ai suivit ma formation à Los Angeles. Brillante déduction Einstein. »

    Il était peut être un peu sur la défensive mais difficile de faire mieux, la voir lui faisait tellement de mal. Elle lui demanda alors comment il allait et se qu’il devenait et il évoqua le fait qu’ils allaient désormais travailler ensemble mais la réponse et la réaction de Karly était tout sauf se qu’il avait imaginer.

    Karly - « Je me fiche de savoir avec qui tu es sorti ou non, mais si tu n’es pas capable de travailler avec Liimatainen, Johnson, O.Allen ou je ne sais qui d’autre, c’est que tu n’as rien de professionnel. On est plus à Poudlard, Slayers. »

    Mais de quoi elle était en train de lui parler ? C’était quoi cette histoire avec Liimatainen, Johnson et O. Allen ? Et pourquoi elle lui disait qu’elle se ficher de savoir avec qui il était sorti ? Elle avait pas compris qu’il parlait d’elle et que même s’ils n’avaient jamais étaient réellement ensemble il l’avait toujours considéré comme sa copine ? Quelle idiote ! Puis elle s’en ficher elle s’en ficher moais c’est ça. Alors pourquoi elle avait l’air aussi agressive tout a coup ? Bizarre . Mais bon avec Mcgregor faut pas chercher. Ça doit être le whisky qui lui monte à la tête !

    William – « Ah bon on est plus a Poudlard ? » fit-il faussement surpris, les yeux écarquillé, la bouche ouverte. « Tiens je l’ignorait. Quel choc ! Merci de l’info !»

    Hypocrite encore et toujours, il cacher son mal être derrière l’humour et le sarcasme pour ne pas montrer a quel point les propos de Karly le blesser. Alors pour elle il n’était qu’un coureur sans cœur et elle n’était pour lui qu’une fille de plus ? Sans doute. C’était sûrement pour ça qu’elle était partit.

    Karly - « Quant à Erlanz, tu ne t’attendais quand même pas à ce qu’il te déroule le tapis rouge ?! »
    William – « Pourquoi pas ? » fit-il innocemment. « Il semble bien t’apprécier TOI ! »

    Jaloux ? Honnêtement, peut être un peu. Non mais sérieux vous avez vu comment il s’est comporté avec elle ? Miss McGregor ceci . Miss McGregor ceux là. Il voulait coucher avec elle ou quoi ? Enfin il s’en fouter. Complètement. Carrément. Rien a foutre. Elle pouvait faire ce qu’elle voul ait. Mais c’était pas professionnelle quoi . C’était juste ça qui le chagriner c’est évident.

    Karly – « Fais tes preuves au lieu de geindre »

    Geindre ??? A parce que maintenant il gémissait ? A ça c’était la meilleure. Et c’est elle qui disait ça ? Elle qui était toujours à se plaindre pour un oui ou pour un non ? Bonjour le foutage de gueule. Sourie Slayers sourie.

    Karly – « c’est comme que ca marche ici. Tu es Auror, tu devrais savoir que les apparences peuvent être trompeuses, alors arrête de faire ton gosse à pleurnicher. Sinon, c’est que tu n’es pas fais pour ce service. »

    Blabla blabla. Retenez le il va l’égorger. Pour toute réponse il bailla bruyamment et porta sa main a sa bouche en gardant son air décontracte.

    William – « Tu disais ? J’ai dût m’endormir entre le premier et le deuxième mots. Désolé mon cerveau a tendance a éliminer d’office les choses inutile » dit-il avec un large hypocrite et sarcasme.

    Malgré sa petite mise en scène elle continua toutefois de parler.

    Karly - « Je suis navrée pour tes amis. Tu aurais dû prendre quelques semaines de congés… le temps de faire ton deuil ! Travailler sous tension n’est pas bon. A moins que tu ne veuilles te faire haïr dès la première semaine. Si tu hurles sur tout le monde dès ton entrée, je ne donne pas cher de ta peau. »

    Il n’avait pas envie d’hurler sur tout le monde, il avait seulement envie d’hurler sur ELLE. Il avait envie de hurler hurler hurler ! Il avait envie de lui faire mal. Il avait envie de la blesser. Il avait envie de.. il avait envie de… l’embrasser ! Woé il avait envie de l’embraser. Il avait envie de la pousser contre le mur, de mettre sa langue dans sa bouche avec passion et sauvagerie, de lui enlever ses vêtements et de faire glisser doucement ses doigt sur sa peau douce et de faire trainer sa langue sur son cou avec douceur… Et voilà Slayers tu déraille ! Allez Ressaisie toi !

    Karly – « C’est malheureux ce qui est arrivé… Mais on est tous dans le même bateau. Et je n’accepterai pas qu’il sombre parce qu’un Yanki débarque en voulant venger ses petits copains. Prend la fin de ta semaine. La prochaine risque d’être rude. »

    Il était en train de rêver où elle lui faisait la morale ? C’était quoi ses blabla inutile ? Elle se prenait pour qui ? Son amie ? Sa mère ? Son psy ? Elle n’était aucun de cela et encore heureux. Elle elle était la femme de sa vie. Son âme sœur. La plus belle chose qui lui soit arrivé. Mais tout ça c’était il y a bien longtemps….. A présent elle n’était qu’une inconnu qui n’avait aucune leçon à lui donner !

    William – « Oooooooooh . Autant de solitude me touche » Il posa alors sa main bien a plat sur son cœur en ouvrant la bouche avec un air faussement émue. « J’en pleurerai presque » .

    Il porta alors son index près de son œil et fit signe d’enlever un larme qui n’exister pas avant de lui adresser un sourire hypocrite. En bref prenait William a 15 ans rajouter lui 10 ans et un brin de colère et de rancœur et vous obtiendrez le nouveau Slayers. Le temps passe mais son comportement envers Karly ne semblait pas avoir changer. Ou plutôt il semblait avoir régresser par rapport a leurs relation a la fac mais William préféré de penser a se passage de sa vie trop douloureux. Le temps passe mais un cœur briser ne se soigne pas en trois ans….

    Affichant un air léger, le jeune Auror arborait son attitude de « je vais bien tout va bien » et rien ne laissait entrevoir se qui passer dans sa tête. Impossible de déterminer s’il était content, peiné et irrité de revoir Karly. Un homme un vrai ne ressent rien et sa carapace d’homme fort qui tourne tout en dérision semblait ne pas s’être effriter avec le temps et avoir retrouver sa place après la nuit de son mariage.

    Karly - « Tu pourrais désactiver ton sortilège… ».

    William afficha un sourire satisfait presque pervers.

    William – « Euh… laisse moi réfléchir…euh…. NON ! » fit-il avec un large sourire hypocrite révélant ses dents.

    Il jubiler ! Elle était prise au piège et incapable de lui échapper. Des centaines de fois il avait imaginer dans sa tête cet instant, cet instant où il lui disait à quel point c’était une salope et qu’il la détester. Cette instant où il pourrait la faire souffrir autant qu’elle l’avait fait avec lui et qu’il pourrait lui dire la vérité en face. Parfois quand il imaginer cette scène ils finissaient par s’embrasser et s’avouer a quel point ils s’étaient manquait et ils finissaient heureux et ensemble. A vrai dire son cerveau torturé imaginer plus souvent cette version là que la version « tu n’es qu’une salope qui a brisé ma vie. Tu m’a jamais aimer je te haie ». Peut-être parce qu’au fond il ne le penser pas et qu’il espérai toujours qu’elle veuille encore de lui. Pathétique il le savait. Quoiqu’il en soit a présent ils étaient en tête à tête et leurs retrouvailles réveiller en lui une colère qu’il croyait depuis longtemps évanouie.

    William - « C’est marrant ya un truc que j’me demande. » fit-il en faisant mine de réfléchir. « T’étais aussi chiante avant ou tu t’es amélioré de se que côté là avec le temps ? T’as pris des cours peut-être ? Parce que t’as fait des progrès. » continua-t-il en basculant la tête d’avant en arrière comme pour la félicité. « T’es devenu une vrai emmerdeuse » fit-il avec un large sourire hypocrite.

    Elle l’énervé . A vrai dire elle ne faisait pas grand-chose mais rien qu’entendre le son de sa voix lui rappeler à quel point il tenait a elle avait tenu a elle, et c’était plus fort que lui ça l’agaçait fortement parce qu’elle l’avait lâchement abandonné. Ce n’était pas dans sa nature d’aimer. Ce n’était pas son genre d’éprouver des sentiments. Ce n’était pas son genre de se dévoiler et de se mettre nu . Pourtant avec Karly c’est ce qu’il avait fait. Malgré sa peur. Malgré ses doute, il l’avait fait.

    La nuit de leurs mariage il lui avait ouvert son cœur et avouer son amour, se montrant plus sensible que jamais et comme il n’avait jamais oser l’être. Résultat des courses elle l’avait poignarder dans le dos en partant sans lui dire aurevoir et lui laissant son alliance, preuve qu’elle regretter leurs union. Alors oui il était cruel et méchant mais il lui en voulait et un Slayers peut faire très mal et se comporter comme un salaud lorsqu’il est blesser. Dans le cas présent William n’était pas un modèle de sympathie et on pouvait se demander si ces paroles était humoristique ou pas tellement il était hypocrite bien que ses parole transpirer la rancœur mais c’était avant tout parce qu’il tenait à elle. Encore….
 
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La 8eme plaie d'Egypte {Karly} EmptyDim 29 Mar - 20:29



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Décidément, rien ne changeait en ce monde. L'eau avait beau courir sous les ponts, elle restait toujours aussi sale et dégoulinant des larmes amères laissées par quelques filles esseulées qui trainent sous les ponts. La haine pouvait-elle se changer en amitié pour finir par devenir de l'amour ? On dit souvent qu'il n'y a qu'un pas entre l'amour et la haine... Cependant, il semblait y en avoir plusieurs entre William et Karly. Les mots que le jeune homme avait prononcé l'avaient plus blessé qu'elle ne se l'était imaginé. Jouer les fortes étaient facile... à condition qu'on n'est pas l'objet de ce terrible pincement au cœur devant soi. A chaque fois qu'elle avait pensé à lui, son cœur s'était gravement serré. La perspective et l'imagination de la revoir un jour étaient grandes, si grandes qu'elles lui empoignaient le cœur... mais aujourd'hui, aujourd'hui, elle aurait souhaité ne jamais le revoir. L'impression d'un amour fugace et éphémère valait mieux que la vision d'une haine sanglante. Qu'avait-elle donc fait pour mériter tout ceci ? William n'avait-il donc pas grandi ? S'étaient-ils... promis plus ? Non, c'était impossible. Si cela avait été le cas, elle l'aurait su. D'une manière ou d'une autre. Mais alors pourquoi l'achevait comme cela ? Parce qu'il était immature. Parce qu'il était arrogant. Parce qu'il était orgueilleux. Parce qu'elle l'aimait et l'aimait toujours. Quel sale petit con. Il n'y avait pas d'autres mots. Un sale petit con d'orgueilleux qui venait faire chier les Anglais qu'en ils n'en avaient pas besoin. Entre la haine et l'amour, il n'y avait qu'un pas, n'est-ce pas ? Karly franchit les deux enjambées qui la séparait de William afin d'avoir un contact physique qu'elle n'avait encore jamais eu avec lui. Si intense et fugace, qu'on pût entendre le sifflement du mouvement et le choc encouru. En treize ans, elle ne l'avait jamais giflé. Enfin giflé... ici, nous parlerons plutôt de coup de poing. L'influence de Mac qui pèse sur elle, surement. Son adolescence masculine, aussi. L'adolescente qu'elle était, préférait alors les choc plus chaotiques en usant de sa baguette. Si elle l'avait eu sur elle, peut-être qu'elle s'en saurait servi. Surement, même. Mais, il valait mieux avoir un débordement affectif par contact humain plutôt que par fluides magiques. Cela faisait généralement plus de dégâts. Déjà, on pouvait apercevoir une fissure sur le creux de la lèvre inférieur de Slayers. Mais cela ne semblait pas suffire à calmer ses nerfs, sa frustration et sa tristesse. Le temps semblait s'être fiché. Fixant son ancien amant dans les yeux, Karly ne se rendait pas compte qu'elle y laissait transparaitre ses émotions les plus fortes... bien qu'aucune larme ne coulera jamais.

Profitant du moment de surprise, elle glissa furtivement sa main dans la poche où William rangeait toujours sa baguette magique. Apparemment, celui-ci ne semblait pas changer beaucoup ses vieilles habitudes. Gardant ses yeux dans les yeux, elle le regardait avec désolation. Oui, il venait de la décevoir. Comme jamais, il ne l'avait encore déçu, et ce n'était pas peu dire.
    - " Tu n'es qu'un con, Slayers ! Mais, tu dois souvent l'entendre... "

Etait-ce une larme qui menaçait de couler de ses yeux larmoyants ? Peut-être bien... mais, nous ne le saurons jamais. Se retournant rapidement, Karly activa elle-même le sortilège, bien qu'une gène était apparente vu qu'il ne s'agissait pas de sa propre baguette. Les émotions de la jeune femme se firent une fois de plus ressentir car la porte, au lieu de s'ouvrir, explosa littéralement. Une petite erreur de self-control dirons-nous. Laissant tomber la baguette au sol, la jeune femme ne mit pas longtemps pour se diriger vers la sortie, sans prêter attention à la fumée apparente. Déjà, plusieurs employés s'étaient amassés vers les fracas de bois qui gisaient dans le couloir, certains baguettes au poing, tandis que d'autres semblaient plus apeurés.

    - " McGregor, qu'est-ce qui se passe ? ... Tu vas encore avoir les emmerdeurs des assurances sur le dos si tu détruis même le Ministère. Hey, McGregor ? "

Mais Karly n'écoutait pas le dénommé Henry. Oui, elle allait avoir les assureurs du Ministère sur le dos. Oui, elle allait encore être berné d'ennuis. Mais rien ne la touchait plus que les mots tranchants qu'elle venait d'entendre de la bouche de celui qu'elle avait vraiment aimé sans savoir pourquoi, ni comment. D'une main sur le rebord du mur, elle s'arrêta pour regarder William avec la même colère.
    - " C'est comme çà qu'on accueille les emmerdeurs qui nous font perdre notre temps. Les petits cons n'ont pas leur place ici, Slayers ! "


Une tornade brune venait d'être de nouveau lancée dans les couloirs du Ministère. Et l'origine de cet ouragan n'avait qu'un seul nom : William Alex Slayers. Appelant l'ascenseur quelques mètres plus loin, les personnes qui l'entouraient sembler vouloir se pousser, laissant un halo autour de la jeune femme. Tandis qu'elle empruntait l'ascenseur magique pour descendre dans le hall du Ministère, le dénommé Henry se rapprocha de William avec la mine blagueuse.
    - " Hey le nouveau, tu ferais mieux de ne pas te frotter à elle si tu ne veux pas finir dans une tombe. McGregor n'est pas réputé pour sa patience mais plutôt pour le joli cadeau qu'elle a laissé sur ton nez. Hahahaha. En seulement trois mois, elle s'est faite sa réputation. T'en veux une, aussi, le nez crochu ? Hahahaha. "

En attendant, Karly ne s'était pas plus calmée quand elle arriva sur le marbre du hall qui laissaient entendre l'écho rageur de ses talons. Écho qui s'arrêta net lorsqu'un petit garçon pas plus haut que trois pommes lui sauta dessus en s'accrochant fort à ses jambes. Matthew et Mac l'attendaient également, l'un ayant pris ses affaires qu'il lui tendit tout en la questionnant sur ses agissements pour les avoir fait attendre si longtemps... mais aussi ce qu'elle avait fait pour qu'il y ait une explosion au deuxième étage... Comme si elle devait toujours être coupable. Elle n'y était pour rien. Enfin... presque !
 
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La 8eme plaie d'Egypte {Karly} EmptyMer 1 Avr - 17:17


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    Bam ! Elle gifle. Il ne l’avait pas venu venir. Et pourtant elle était logique et mériter cette baffe. Il ne le comprit que lorsqu’il vit le regard déçue et terriblement peiner de Karly, réalisant qu’il s’était comporter comme le pire des cons. Oui un vrai con. Pourquoi où lieu de la traiter d’emmerdeuse ne lui avait-il pas simplement dit qu’elle lui avait manquer et qu’il était heureux de la voir puisque que c’était le cas ? Parce que c’était lui ! Avec lui rien n’était simple. Avec lui tout était compliqué. Cette baffe il l’avait mériter mais c’était comme un poignard en plein cœur. Encore. Il ne lui a voulait pas. Au contraire elle avait eût raison de le gifler ainsi il réaliser ses actes mais il culpabiliser et s’en voulait à lui-même. Quel con ! Quel con putain ! Quel con ! Il fit glisser son pouce sur sa lèvre blesser pour en retiré les gouttes de sang, avant de se masser légèrement la joue, là où il avait reçue le coup. Mais la douleur était plus intense intérieurement que physiquement.

    Karly – « Tu n'es qu'un con, Slayers ! Mais, tu dois souvent l'entendre... »

    Son cœur se serra. Comment la contredire ? C’était si vrai. Mais quelle le pense et le prononce ainsi ne fit que rajouter une couche a sa souffrance muette. Le regard brillant, il semblait émue, toucher.

    William – « Karly je… »

    Mais ce n’était plus le moment des explications car d’un geste rapide elle lui vola sa baguette et fît exploser la porte du placard. Il en fût surpris mais plus a cause de l’intensité de la rage de la jeune femme que par le sort lui-même. Karly la haïssait réellement ! Il aurait dût s’en foutre, après tout il était censé être passer a autre chose. Et pourtant…

    Sa baguette tomba au sol et il observa McGregor s’éloigner d’un pas rapide sans rien faire, impuissant. Il déglutit difficilement, s’imaginant l’espace d’une seconde qu’il aurait pût être à la place de la porte tandis qu’un groupe de curieux s’approcher de lui. Il manquer plus que ça. Il n’était vraiment pas d’humeur.

    Karly - « C'est comme çà qu'on accueille les emmerdeurs qui nous font perdre notre temps. Les petits cons n'ont pas leur place ici, Slayers ! »


    Un regard noir et mauvais pour toute réponse. Il n’était plus d’humeur à la provoquer et se contenta d’avoir une respiration saccadé, gardant sa colère pour lui et manquer de justesse d’exploser tandis qu’elle partait pour de bon. Son père bosser ici et il était nouveau donc se n’était pas le moment de se faire remarquer. Elle l’avait humilier et s’il n’avait pas eut autant de peine de l’avoir blesser il lui aurait sûrement fait payer. Mais bien qu’il était conscient d’avoir mérité sa colère, son comportement provoqua la sienne, bien qu’il se contrôler encore.

    Henry - Hey le nouveau, tu ferais mieux de ne pas te frotter à elle si tu ne veux pas finir dans une tombe. McGregor n'est pas réputé pour sa patience mais plutôt pour le joli cadeau qu'elle a laissé sur ton nez. Hahahaha. En seulement trois mois, elle s'est faite sa réputation. T'en veux une, aussi, le nez crochu ? Hahahaha. "

    Cette fois ça en était trop. Certaines personne ne comprenne jamais quand il faut se taire. C’était le problème de se gars qui venait de s’adresser a William et qui le prenait pour un gentil agneau. Attrapant sa baguette. Il fit exploser les vitres des cadres se trouvant juste derrière avec un bruit assourdissant. Henry avait sursauté et semblait avoir l’air beaucoup moins fier tout à coup car le sort l’avait frôlé de peu. Dûr, ruminant et mauvais William semblait aussi redoutable et énervé que Karly deux minute auparavant.

    William – « Non merci ça ira. Elle est pas la seule à savoir se défendre. J’te déconseille de m'appeler " nez crochu " à l'avenir si tu veux pas finir comme les cadres ! »


    Sur ce il transplana a la tour du hurlevent où il avait l’habitude d’aller pour passer ses nerfs. Là-bas seul avec lui-même, au dessus de tout, il pourrait lancer des sorts sur les murs de la tour à son aise sans risquer des représailles pour calmer sa rage . Décidément Karly était belle et bien la huitième plaie d’égypte….
 
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