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 Sujet: Jayden Aidan.douce folie, quand tu nous tiens. [ 100 % ]
Lun 2 Mar - 21:38
| | Invité
![Jayden Aidan.douce folie, quand tu nous tiens. [ 100 % ] Empty](https://2img.net/i/fa/empty.gif) ![Jayden Aidan.douce folie, quand tu nous tiens. [ 100 % ] Colabed](https://2img.net/r/ihimizer/img25/5794/colabed.png) _________________________________ - Spoiler:
nom de l'acteur/actrice : Caleb Lane
pseudo, ou prénom : Fly
âge : 15 ans.
ce que vous pensez du forum : Joli design, joli contexte, envie d’HP <3
présence possible sur Ad Nox : Everyday.
Passeport de nom du personnage.
- Prénom + Nom : Jayden Aidan Warren
- Date de naissance : Un certain treize Mars.
- Lieu de naissance : Londres, Angleterre.
- Origine Géographique : Notre petit Jayden possède des origines Anglaises & Italienne.
- État civil : Célibataire. Il faut dire qu’elles sont rare, celle qui arrivent à supporter ses sautes d’humeurs.
En profondeur, une esquisse.
- Baguette magique : Jayden fait partit de ses gens, qui son sentimentalement accrochés à leurs baguette. Il ne pourrait en changer, c’est simple. Plutôt souple, il la manie aisément. Fabriqué dans un bois de sureau, dont on donne souvent pour signification le cycle de la vie ; mort, fin & renaissance. A l’intérieur de celle-ci se trouve un crin de sombral, ni plus ni moins. Vous savez, ses énormes bêtes noires semblables à des chevaux ? Oh, si vus avez passé votre scolarité dans une école magique, vous devez bien connaître. D’une longueur d’approximativement vingt-neuf centimètres cinq, elle est d’un blanc pur, sans aucune tache, et je peut vous le dire, il y fait bien plus attention qu’à lui-même.
- École fréquenté durant l'adolescence : Poudlard, où il est toujours à vrai dire.
- Formation, curriculum vitae : Que voulez vous qu’il ait pu faire professionnellement parlant avant d’entrer à Poudlard ?
- Pureté du sang : Sang Pur, mais il n’en requiert aucune fierté.
- Origine Sociale : Mister Warren a une fortune, sans être non plus l’être le plus au riche qui existe. Cependant, il serait dur de s’en douter, tant il n’en parle pas. La richesse n’est pas quelque chose qui l’attire, il se satisfait de son cas et de ce qu’il a.
En quelques mots, c'est ça.
- Caractère : Jayden, est trop changeant et imprévisible pour qu’on puisse décrire réellement son caractère. Extrêmement instinctif, on peut parfois penser qu’il ne réfléchit pas avant d’agir. Plutôt secret, il vaut mieux ne pas lui poser de questions sur sa propre personne, ou sur son histoire vécue. Oh vous pouvez bien essayer après tout ! Mais je vous préviens, dans ces cas là, vous vous retrouverez devant quelqu’un d’autre, sa façade, son deuxième lui, qui ressort par moment et le change totalement. Le pire, c’est qu’il ne s’en rend pas vraiment compte. Oui, vous l’aurez compris, le jeune Warren est très légèrement schizophrénique, si on peut nommer cela ainsi, bien entendue ! C’est tellement léger, dans peu d’occasions, que j’en viens même à me demander si j’en donne le bon nom. Lorsque le jeune homme à l’une de ses prétendues visions, ses flashs qu’il ne contrôle ni ne comprend, il à d’horribles maux de têtes insoutenables, et peut se montrer violent avec n’importe qui, filles ou garons, jeunes ou vieux, si l’on insiste trop. Le plus gros défaut de cet être qu’est Jayden, c’est sûrement le fait qu’il teste les autres pas divers moyens pour venir à les connaître. Qu’importe votre nom, votre sang, lui, ce sont vos réactions qui l’intéressent. Après tout, qui peut prétendre connaître quelqu’un en ne sachant que son nom ? Voila sa manière de pensée. Accepté là ou non, cela m’étonnerait qu’il en ait quelque chose à faire. Aidan est quelqu’un de dépasser par sa propre personne. Il ne se comprend pas, et personne n’a jamais réellement tenté de le faire. Déraisonnable au possible, il lui arrive très souvent d’agir à l’inverse de ce qu’il devrait faire, comme ça, juste parce qu’il en a soudainement envie. Vis-à-vis des autres, le jeune britannique n’est au départ pas d’une sociabilité flagrante, mais il se détend rapidement. Il a cependant toujours été méfiant, envers tout le monde, même envers ceux qu’on appelle normalement famille, et autant vous le dire, bien que vous puissiez lui faire une confiance aveugle, ne vous attendez pas à la réciproque. Il est très secret dans son genre, sûrement du au fait qu’il cache pas tout les moyens ses dons, et surtout le fait qu’il est un loup garou. Ca n’a rien de glorieux selon lui. Néanmoins, Jayden est un jeune homme avec de l’humour, qui à tout de même un penchant facile pour le sarcasme et l’ironie. Oh et puis, vous verrez pas vous même non ?
- Don, capacité, maladie particulier/ère : Il tient de très faibles don de voyances, vraiment rien de sérieux, des images qui lui arrive comme cela, mais ce n’est souvent qu’un visage, une personne, je vous le dit, cela est très faible, et ne lui sert qu’à avoir de terribles migraines. Quoi d’autre ? Ah oui, c’est un loup garou, avais-je donc oublier de préciser ce détail si important ?
- Physique : Aidan est loin d’être moche, mais ce n’est pas non plus le plus bel homme de la terre cela va de soit. Un visage des plus masculines aux traits cependant doux & fins, le jeune homme n’a pas réellement à se plaindre. Ses yeux, dont le rubis est d’un bleu aussi clair qu’une lune bleuté par les nuages qu’il la cache, n’expriment que rarement les sentiments de Jayden. Pour certaines personne, ce point là est plutôt déconcertant. En effet ; Impossible de savoir s’il est franc, s’il ment, s’il est intéressé ou complètement ailleurs. Tout ce qui pourrait vous avertir de ses derniers, c’est la façon dont il bouge sont corps. Des manies qu’il a. Mais je m’égard, ce n’est pas le sujet ici. Du haut de son un mètre quatre vingt cinq, Jayden sait s’entretenir, et on ne peut en tout cas pas lui reprocher sa musculature digne d’un mannequin qu’il n’exhibe cependant pas. En haut, au centre de son dos, le jeune homme a un tatouage tribal, plutôt vaste, qui s’accorde parfaitement avec sa peau matte.
- Famille : Sa famille. Comment la décrire brièvement ? Ils ont toujours, et ce depuis des décennies, été légèrement fou sur les bords. L’un schizophrène, l’autre devenue folle à lier à cause de ses dons de voyantes, l’un des fils mort après avoir subit diverses illusions. Non vraiment, Jayden n’aime pas en parler, ce n’est pas très glorieux. Quand on se dit qu’il s’agit de Sang Purs…
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Sa biographie.
_________________________________ vous présentez la chose comme vous le souhaitez. Vous êtes libre. Cependant, donnez un maximum d'information !
Dernière édition par Jayden A. Warren le Mar 3 Mar - 20:32, édité 1 fois |
| | | | Sujet: Re: Jayden Aidan.douce folie, quand tu nous tiens. [ 100 % ]
Mar 3 Mar - 14:51
| | Invité
![Jayden Aidan.douce folie, quand tu nous tiens. [ 100 % ] Storiiies](https://2img.net/r/ihimizer/img16/4637/storiiies.png) Quoi ? Pourquoi vous me regardez comme ça ? Ah oui, peut être parce que je suis seul dans la pièce, face à vous. Pourquoi devrais-je tout vous raconter ? Pourquoi hein ? Une seule bonne raison. C’est tout ce que je vous demande. Pour mon propre bien ? Je vais bien. Je n’ai pas l’air heureux ? Je n’ai jamais été expressif vous savez. Soit, autant occupé ce laps de temps utilement non ? Mais par où commencer ? Pas le début ? Bonne idée. Soit.
Je me nomme Jayden Aidan Warren, 17 années et héritier de la folie familiale.
« Une naissance est une naissance, rien d’extraordinaire. Je n’ais jamais compris la joie qui en résultait chez les autres. Peut être parce que moi, je suis né dans le salon du manoir familiale. Oui, peut être bien après tout. De loin, cela m’a toujours parut assez vomitif. Bien heureusement, je n’en ai jamais eut les détails. Il faut dire qu’avoir un minimum de concentration dans ce lieu de fous, ce n’était qu’impossible.
« Dors, dors mon petit ! Tu verras, tu seras un grand ! » C’est ce qu’elle disait, lorsqu’elle balançait mon berceau de droite à gauche, tandis que des clowns effrayants tournaient au dessus de ma tête, accroché par des fils. »
« Comment était votre chambre Jayden ? »
« Noire. Le papier peint l’était en tout cas. Et puis, si sombre. Les rideaux étaient sans cesse tirés, je doute même d’avoir vue la lumière du jour avant d’avoir l’âge de marcher. A vrai dire, elle était plutôt effrayante. Non, franchement. Elle n’avait rien de ses chambres de bambins aux couleurs pâles & aux nounours accrochés de partout. Moi elle était terne, sûrement sale, et les visages des jouets qu’on y avait placés ne pouvaient qu’horrifier. Mais n’aillant alors pas connu ce que devait être une réel chambre d’enfant, je la croyais normale moi. Je pensais que c’était partout pareil, mais que rien, rien au monde ne pouvait égaler le sentiment d’être à ma place qu’elle me procurait. »
« Parlez moi de votre mère. Comment était-elle ? »
« Des cheveux d’un roux flamboyants, coupé à la garçonne, et sans cesse en bataille, des traits fins, un sourire de psychopathe qui donnait à n’importe qui de désagréables frissons, mince et grande, et la folie. »
« La folie ? »
« Oui, la folie. On est tous un peu fou à notre façon bien sur, mais cela a toujours été notre spécialité, à nous. Les Warren. Mais en même temps, qu’est ce que la folie & qu’est ce que la normalité ? Pour moi, ma famille était normale, parce qu’on était tous comme ça. Mais nous étions considérés comme des fous, parce qu’on était pas comme les sorciers habituels. En suivant cela, on se dit que les originaux sont fous, et tout ceux qui refusent d’entrer dans le moule aussi. Mais quel moule ? Le moule de la société c’est se tenir comme on souhaite qu’on le fasse, le moule des originaux, ne pas vouloir faire partie du moule numéro un, et le moule de ma famille, c’est ne vouloir être d’aucun des autres, c’est la folie, vous comprenez ? »
« Vous me paraissez pourtant tout à fait…»
« En contrôle total de mes capacités mentales ? N’y croyez rien. C’est Aidan ça. C’est lui qui me fait ça. »
« Aidan ? Mais ce n’est que votre deuxième prénom ! »
« Pas que. Vous savez, je fais partie du moule familiale moi aussi. Mais qu’a moitié. Je suis parfois un fou, parfois un normal. Parfois Jayden, parfois Aidan. Comme deux parties de moi, en communion dans mon âme, qui agisse à tour de rôle selon les situations. Ses deux cotés de moi, je les différencie, c’est tout. Et là, vous voyez, je suis un normal, je suis la part de moi-même que je nomme Aidan. Voila pourquoi je vous parais ainsi. »
« Je comprend mieux, à présent. Parlez moi de votre enfance. »
« Mon enfance ? C’est plutôt vaste, mais il n’y a pas grand-chose à en dire. J’étais le fantôme. Celui dont la présence passe pour invisible. Quoi que, en y regardant bien, je me demande franchement s’ils leurs arrivaient, au membres de ma famille, de se rendre compte qu’ils n’étaient pas seuls. Breffons. Je me fascinais pour eux, moi. Assis dans un coin, à les observer, tous autant qu’ils sont. Je remarquais facilement que parfois, ils étaient plus calmes, comme si le moule se relâchait un peu, et leurs accordait une conscience. C’était dans ces moments là, qu’ils s’occupaient de moi. Ma mère était voyante. Mais elle avait vu tellement d’horreur que sa santé mentale avait payée, au bout d’un moment. Mon père lui, je ne l’avais jamais vu, jamais connu, jamais entendu parler, et je m’en fichais. Le manoir abritait nombre de gens, tous aussi purs, tous de la même famille, mais de différentes générations. Je les voyais déclinés, et un beau jour, l’un partait, ou disparaissait je ne sais où. Je me souviens encore, de comment j’ai appris où ils allaient tous. »
« Racontez moi. »
« Il était tard, en fin d’après midi ce jour là. Un jour habituel, assis au fin fond de la cuisine, à observer ma grand-mère pétrir une pâte tout en se parlant à elle-même. La porte d’entrée fut soudainement ouverte dans un grand fracas, et des cris incompréhensibles venaient de ce coin là. Ma mère arriva, en courant, traînant derrière elle le corps de mon frère. Il avait toujours été beau dans sa folie. Ses cheveux noirs mis courts étaient collés à son visage, il devait avoir transpiré. Il ne bougeait plus, et je le fixais, pensant qu’il s’agissait d’un de ses jeux, qui consistait à se réveiller en sursaut pour apeurer quelqu’un venu le voir de trop près, mais les larmes de ma mère m’intriguaient. C’était la première fois que je la voyais pleurer. Je ne savais pas quoi faire, quoi dire. Ma grand-mère semblait n’avoir rien vu, et ma mère répétait, entre ses sanglots ; « Il est mort, il est mort. ». C’est là que j’ai compris, ceux qui partaient, ils mourraient.
« Vous m’aviez parlez d’une sœur il me semble. »
« Elixir, oui. Elle ne parlait jamais aux autres. Mais dieu qu’elle avait une belle voix. Elle passait des heures à chantonner, continuellement à vrai dire. Elle était dans son monde, elle ne nous voyait pas, ne nous entendait pas. Son regard était toujours figé, fixe, et pourtant, c’était elle, ma préférée. Elle, que je pouvais regarder pendant des heures. »
« Passons à votre adolescence. »
« Mon adolescence, c’est Poudlard. Je ne m’y suis jamais réellement sentie à ma place. Cependant, je vouais vraiment un amour pour la magie. Déjà, en étant petit, je pouvais avoir des crises, et dans ces cas là, ma magie s’éparpillait autour de moi, et je ne le contrôlais pas. Mais désormais, j’apprenais, et j’en avais envie, bien que j’étais loin d’être un fou de travail. Je m’amusais seul avec ma baguette, à tenter diverses choses. Mais mon adolescence est tellement vaste jusqu’à aujourd’hui que je ne peux vous en parlez comme ça. Non franchement, posez moi des questions dessus, cela sera plus simple.
« Si vous le souhaitez…Alors, parlez moi de votre répartition, le choixpeau, tout ça ? »
« Ah ah ! Ca c’était quelque chose. Nous attendions tous notre tour, tranquillement pour la plupart. Sauf qu’une jeune femme vint me demander de changer de place, pour qu’une certaine Delilah soit à ma place, à coté d’elle. Je déclinais la chose plusieurs fois, refusant catégoriquement, mais elle était têtue. C’est à ce moment là qu’un de mes flashs me prit. Un monstre, une chose poilue que je n’arrivais à voir clairement à cause de l’obscurité. De simples réverbères éclairaient, et c’était loin d’être suffisant. Le flash disparut, et je me rendis compte que j’haletais discrètement, et que ma tête me faisait un mal de chien. Je plaquais soudainement ma main sur mon front, pris d’une nouvelle image. Des yeux bleus, puis des noirs, de la fourrure, puis du sang. Toutes ses images m’arrivaient simultanément dans la tête, et cette dernière menaçait d’exploser si tout cela ne cessait pas rapidement. Et l’autre là, qui continuait à m’énerver pour son histoire de place ! Je sentais cette rage si significative s’emparer de moi, alors que je murmurais doucement ; « Tais toi, tais toi, tais toi..». Elle ne semblait pas comprendre, où ne vouloir le faire, que sais-je. Tout ce que je me rappelle à partir de ce moment, c’est m’être jeté sur elle, et avec ma masse de muscle, elle aurait eu du mal à ne pas tomber. Je lui hurlais de ce taire, et c’était à ce moment là, que dans mes yeux brillait la flamme de l’héritage des Warren. Ah oui, très franchement, je pense que ni elle ni moi n’oublierons cette journée. Je me souviens même de son visage, une jolie blonde. Quand à son amie, j’avais passé mon temps à lui dire qu’il n’y avait personne, et puis j’avais laissé tombé, parce qu’elle y croyait dure comme fer à Delilah, et que je ne pouvais lui retirer ça, je n’en avais pas le droit.
« Comment vous sentiez-vous, dans votre maison attitré ? »
« Je pense pouvoir affirmer que cela n’a rien changé en moi. Je ne croyais pas à toutes ses rivalités entres maisons, à la fraternité qu’il devait y avoir entre ses membres. Non moi, je ne m’occupais pas d’eux, et il me le rendait. Je n’avais pas besoin d’eux, je pense qu’ils l’ont toujours compris. J’étais mieux seul. Je crois que je leur faisais peur même. »
« Peur ? »
« Oui, peur. Parce que mes flashs me rendaient violents, que je n’y comprenais jamais rien, et que la plupart du temps, lorsque l’un d’eux venait à m’interloquer, j’avais mieux à faire, alors je le rembarrais en bonne et due forme. Et puis, ils le connaissaient, eux aussi, le réputé nom Warren. On avait tellement de préjugés sur nous. Et puis, comme le dit Albert Einstein, il est plus facile de détruire un atome qu’un préjugé. »
« Vos études, racontez moi. »
« J’étais excellent en sortilèges et en divination, bien que je n’ai jamais apprécié cette dernière. Le professeur qui s’en chargeait alors ne parlait que de ma mère, et je crois qu’une ou deux fois j’ai faillit me jeter sur lui. Dans les autres matières, je n’excellais pas, mais mes résultats étaient satisfaisants. »
« Les années d’après, que c’est-il passé ? »
« Je sortais souvent hors du château, et je crois que c’était la ma plus belle erreur, celle qui me vaut aujourd’hui des secrets que je souhaites enfouir. »
« Je peut tout entendre vous savez.»
« Soit. J’étais de sortie ce soir là, comme vous vous en doutez, et mes pas m’avaient directement mené dans les rues de Pré au Lard, éclairées simplement par des réverbères. Je tournais en rond, les bras en croix, comme pris d’une liberté soudaine et merveilleuse. Et c’est là qu’il est arrivé. Enfin il, je ne sais pas. Je le qualifierais plus de « Chose » comprenez ? Poilue, de longue canine, et à la carrure imposante. J’avais les yeux fermés, je l’ai vu trop tard, que lorsqu’il avait déjà mordue ma peau matte d’où s’écoulait désormais un liquide chaud et poisseux. J’avais crié, j’en étais sur. Oui je l’avais fait, j’avais du le faire. La douleur, je ne l’oublierais jamais, rien n’est comparable à ce que j’ai ressenti ce soir là. Ses deux yeux noirs qu’il avait, je serais incapable de les faire disparaître de ma mémoire. Je crois que sans le dirigeant d’un pub du coin, je serais mort ce soir là. Peut être que j’aurais dû. Il m’avait ramené à Poudlard, et on m’avait envoyé à Ste Mangouste. Je crois que là bas, j’ai loupé la moitié de mon année. Et quand je suis revenue, j’étais changé. »
« Changé ? Expliquez vous donc. »
« Je ne mangeais presque que de la viande, il m’arrivait de gronder comme un animal, et les soirs de pleines lunes m’étaient fatals. Je devenais cette horrible chose, la même que celle qui m’avait mordue. Un Loup Garou. Un putain de Loup Garou que j’étais. Et je devais le cacher. Bien sur, à l’hôpital, il c’était empressé de joindre le ministère et de m’y déclarer, j’étais fiché, je ne pouvais rien y faire. J’avais toujours eu tendance à protéger les gens. Certaines personnes s’entend. Disons que lorsqu’une bataille où quelque chose dans le genre venait à se dérouler devant moi, j’observais tout d’abord, et si l’une des deux personnes avait quelque chose qui me plaisait, je l’aidais. Oui voila, il fallait qu’on m’intrigue. Mais en étant ce que j’étais, je devais protéger tout le monde. Et croyez moi, il y a des élèves qui ont disparut par ma faute, ils ont claqués. »
« Claqués ? Vous voulez dire… »
Oui, que je les ais tués. Ce n’était pas voulu cependant. Quoi que, j’avoue qu’ils m’étaient tous plus ou moins désagréables. Le ministère n’a put faire autrement que de l’apprendre, bien entendu, et je ne pense pas que mon statut d’élève me protègera encore, ils me recherchent sûrement, et un jour ils viendront. Je ne sais pas encore ce que je ferais à ce moment là, mais je ne pense pas que cela sera bon. Ni pour moi, ni pour eux.Voila, vous en savez assez non ? »
« Je suis persuadé que vous ne m’avez vraiment pas tout dit. »
« Pas tout non, mais le reste me regarde. Je vous ai donné les grandes lignes. Contentez vus en. »
« Bien. Sur ce, au revoir. »
« Au revoir, oui. »
Et si je vous disais, que depuis plus d’une heure où j’entretenais ce dialogue, je n’avais été que seul, assis dans un fauteuil, et que, pendant tout ce temps, je n’avais pas prononcé une parole ? Que tout cela, avait été dans ma tête ? Que rien de ce que vous avez pu apprendre n’a été prononcé ? Et que, pis encore, je fixais Zéro, mon rat noir aux yeux gris, et que je communiquais en réalité avec lui, m’inventant réponse et questions que j’imaginais qu’il me posait ? Je ne suis pas fou, vous savez.
Dernière édition par Jayden A. Warren le Mar 3 Mar - 21:29, édité 1 fois |
| | | | | | | | Sujet: Re: Jayden Aidan.douce folie, quand tu nous tiens. [ 100 % ]
Mar 3 Mar - 21:13
| | Invité
Bienvenue sur Ad Nox !
Alors, c'est un personnage vraiment très intéressant, mais je vais t'embêter un peu avec ta fiche 
Déjà, ce serait bien que son âge soit mis en évidence, au moins dans la première partie de ta présentation, car ce n'est mentionné nulle part... Idem pour le travail qu'il occupe actuellement (s'il en a un... en fait on ne sait même pas si c'est un élève ou un adulte, bien que j'opte bien sûr pour la seconde option ^^)
Enfin, ce qui m'embête quelque peu, ce sont ces histoires de meurtres une fois transformé en loup garou. Jayden n'a pas été répertorié dans les dossiers du Ministère, est-ce qu'il est recherché, est-ce qu'il a été condamné, jugé ... ? Même si c'est normal de vouloir parfois conserver un peu de mystère, je pense que c'est un point important à rajouter pour une meilleure compréhension du BG de ton perso  |
| | | | Sujet: Re: Jayden Aidan.douce folie, quand tu nous tiens. [ 100 % ]
Mar 3 Mar - 21:34
| | Invité
Voial j'ai modifié et normalement c'est bon. Non non tu ne m'embetes pas je comprend, j'avais oublié le ministère, j'avoue. Pour t'aider au cas où tout relire t'ennuierait un peu, je te dis les lignes ou j'ai rajoutés ^^ ; Ligne 7, 165 ( Là ou il parle de son changement) et là où ils parlent des morts  N'hésites pas pour tout changement, que ce soit bien fait au moins ^^. Et merci ^^. |
| | | | Sujet: Re: Jayden Aidan.douce folie, quand tu nous tiens. [ 100 % ]
Mar 3 Mar - 21:43
| | Invité
Merci, c'est parfait ainsi =)
Je ne vois qu'une Maison où t'envoyer, puisque tes traits de personnalité ne sont pas assez marqués pour que tu atterrisses ailleurs que celle-ci :
J'espère que ça t'ira, n'oublie pas de réserver ton acteur |
| | | | | | | | | | Jayden Aidan.douce folie, quand tu nous tiens. [ 100 % ] | |
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