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 ( Honolulu ) Tu fais quoi ? - PV - ||NC-17

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MessageSujet: ( Honolulu ) Tu fais quoi ? - PV - ||NC-17   
( Honolulu ) Tu fais quoi ? - PV - ||NC-17 EmptyDim 1 Mar - 7:46



Invité
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    Par un beau matin… Arf, non ! Ce n’est pas du tout dans le contexte. C’était par un matin comme les autres que Maïka devait se lever plus de bonne heure que d’habitude pour aller aider sa famille avec un client difficile. Nous savons tous que la business des Oliver Allen, c’est des plans de pétroles trouvés partout aux États-Unis. C’était une famille extrêmement riche native d’Honolulu à Hawaï. Maïka n’avait jamais aimé travailler dans un bureau, plus jeune, quand sa nounou fût congédiée, elle dût suivre ses parents. Alors, pendant que ses parents étaient en réunion d’affaire avec des gens importants qui pourraient faire rapporter beaucoup d’argent à sa famille, elle attendait sur une chaise dans un couloir. C’était bête ! Son père avait des signes de piasse dans les yeux. Maïka n’avait jamais été un être important pour lui, même pour sa mère, même si cette dernière avait congédié Sharon par la jalousie d’une mère. Maïka n’avait jamais appelé sa mère maman. Elle n’avait pratiquement jamais vu sa propre mère. Puisqu’elle avait vu aussi souvent Sharon, elle l’avait prise pour sa mère. Nous devons conclure que Maïka n’aimait toujours pas travailler dans un bureau. Aujourd’hui, elle n’avait pas le choix. Ses parents l’avaient pratiquement suppliée. Elle devait aller s’occuper de ce client qui voulait négocier, cependant la mère de Maïka se faisait vieille et elle était moins séduisante que sa fille. Maïka était une belle femme, personne ne pouvait dire le contraire. Donc, les clients difficiles qui voulaient négocier, elle s’en chargeait. Elle savait manipuler et aller au bout de ses idées. Ce n’est pas pour rien qu’elle avait réussi à aller à Gryffondor, même si ces derniers temps, elle avait changé. Comme si sa vraie nature revenait. Maïka se leva du mauvais pied. C’était l’un de ses matins qu’elle avait encore moins envie d’aller travailler. C’était pénible, surtout qu’elle allait être enfermée dans un bureau à longueur de journée. Elle espérait que ce client n’était pas homosexuel. Elle s’imaginait mal de faire la femme séduisante quand le client n’avait aucun désir pour une femme. La première chose en se levant qu’elle fit c’est d’aller voir son fils. Demandez-moi pas comment la conception de son bout de choux fût fait, c’est top-secret. Elle n’avait juste pas envie d’en parler. Ce n’était pas le temps, en plus, qu’elle n’était pas levée du bon pied. Maïka caressa le front de Jack. Elle sourit, il était tellement mignon, c’était SA fierté. Personne n’avait le droit de lui toucher. Jamais, elle ne laisserait quelqu’un lui faire du mal. Elle se jetterait devant n’importe quoi pour le sauver. Jack était le fils à sa maman, mais il ressemblait tellement à son père. C’était incroyable. Maïka partit de la chambre de son fils. Quelqu’un cogna à la porte, certainement la nounou de Jack. Elle avait choisi la nounou de Jack avec attention, elle avait même espionné cette dernière pour être sûre que la nounou ne ferait rien pour blesser Jack. Maïka alla donc ouvrir. Comme de fait c’était la nounou. Elle lui ouvrit la porte sans rien lui dire. Maïka n’était pas très accueillante, je dois vous l’avouer tout de suite.

    C’est après son petit déjeuner que tout enchaîna. Elle s’était vêtue de façon à ce qu’elle soit la plus provocante possible. Elle n’allait pas se gêner tout de même. Elle aurait pu se balader en string devant le client pour sortir le plus tôt possible de là. Elle n’avait pas l’intention de négocier bien longtemps. Par contre, il y avait une limite que ses parents lui avaient imposé, elle devait être minimum vêtue, du genre elle devait au moins avoir une robe. Maïka avait fouillé dans grand garde-robe, une robe. Elle tomba après cinq minutes de recherche intense sur une robe en vinyle grise sans bretelle, moulante ( La robe que je t’ai montré ^^ ). Maïka prit une paire de talon aiguille au hasard. Elle allait être en retard si sa continuait. Son fils dormait toujours quand elle partit. Elle arriva au bureau. Le client n’était pas encore arrivé. Maïka lit le dossier puis demanda ce que ses parents attendaient d’elle. Elle le sût assez rapidement, ses parents ne voulaient pas que le client baisse le prix demandé. Maïka n’arrêtait pas de soupirer. C’était plus fort qu’elle, sa l’ennuyait. Elle s’installa dans le bureau. Elle attendait vingt minutes, trente minutes, quarante minutes… c’est que cinq heures plus tard le client arrive, en retard. Maïka analysait l’homme qui venait de passer la porte. Elle n’avait aucune expression sur son visage. C’était une entrée froide. Le bonhomme n’était pas un bel homme. Ce dernier avait une bedaine bedonnante, une barbe de quelques jours et de la sueur qui perlait de son front, comme s’il aurait couru le marathon. Elle regarda ses vêtements avec dégoût, il y avait deux cercles de sueur sur sa chemise en dessous des aisselles. Maïka souhaitait de plus en plus que sa soit un homme facile avec qui qu’on ne devait pas passer par quatre chemins pour se faire comprendre.

    « Je…Je m’attendais à trouver… Hum, Monsieur Allen »
    « Sa vous dérange que sa soit moi qui le remplace »

    Maïka se leva et alla chercher le document dans un classeur, elle avait fait exprès pour le placer là avant que le client arrive. Elle se pencha. La robe moulait très bien ses fesses. Elle savait où qu’il regardait. Elle savait aussi qu’il en suait, car elle osa le regarder rapidement. Elle le voyait rapidement. Maïka n’eut pas besoin de plus que ça et une voix sensuel pour convaincre l’homme que le prix était parfait. Elle avait gagné, sauf qu’elle avait perdu plus de sept de heures de son temps dans un bureau à essayer de convaincre un gros con, non ponctuel et pervers à laisser le prix tel qu’il était.

    Elle avait entendu toute la journée pour rentré chez elle. Ce qu’elle voulait c’était de passer un peu de temps avec Jack. Elle aimait l’emmener sur plage et le regarder jouer dans le sable. Le voir courir après la vague sur la plage. Maïka se débrouillait très bien sans mari ou sans aide quelconque de la part d’un homme. L’homme qui a couché avec Maïka pour créer Jack l’avait avertit. Sa ne dérangeait pas plus que ça Maïka. Il y avait pire. Elle en était consciente. Elle ne lui demandait rien, plus rien. Elle avait déjà une dette envers Tyler. Eh Oui. Le père de Jack est Tyler. Elle ne voit pas l’utilité de parler de ça à quelqu’un. Jack n’était pas une erreur, ça vous pouvez en être certains, elle souhaitait d’avoir un fils ou une fille et Tyler en bon samaritain a eut la gentillesse de lui en faire un.
    Jack était installé devant la télévision. Il écoutait un dessin animé. Quand il entendit la porte ouvrir, il tourna la tête vers sa mère.

    « Maaaamaaaan »

    Maïka alla le plus vite possible prendre son petit Jack dans ses bras. Elle était heureuse. Toute mauvaise humeur sortit. Le reste de la soirée fût normale. Elle emmena Jack à la plage, il se fatigua a courir après la vague et à jouer dans le sable. Maïka soupa tard et tout de suite après le souper se fût le bain puis le dodo. Maïka alla s’asseoir sur la terrasse. Elle était pied nue, toujours dans sa robe. Jack ne lui avait pas donné le temps pour qu’elle se change. Sa ne lui dérangeait pas trop… Elle se reposait en regardant le vide. C’est alors que quelqu’un arriva. Elle ne tourna même pas la tête. Elle savait qui c’était sans savoir pourquoi.

    « Qu’est-ce que tu fais ici, Tyler ? »


[ Bon désolée, c'est nulle >< et j'ai jamais d'idée de titre]
 
MessageSujet: Re: ( Honolulu ) Tu fais quoi ? - PV - ||NC-17   
( Honolulu ) Tu fais quoi ? - PV - ||NC-17 EmptyDim 1 Mar - 19:31



Invité
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    Il n'était guère quelqu'un de très agressif, ni même de très posé, lorsqu'on y réfléchissait. Il était juste... instable. Le génie frôlant la folie, le savoir frôlant les extrêmes, l'arrogance frôlant la puissance. Incernable, impulsif et imprévisible, l'on ne pouvait prévoir les assauts de Tyler, amis, amante, ennemis, personne n'était véritablement à l'abri. Maïka en avait par ailleurs déjà fait les frais ; un mot de trop, déplacé, le jour où Tyler Carlson s'était trouvé de mauvaise humeur, ou simplement mal, et déjà la belle s'était trouvée contre le mur, une main à la gorge, l'autre pressant un canif affûté au tracé de sa carotide. Et là, il l'égorgerait, lui avait-il murmuré de sa voix grave, suave, séduisante... effrayante. Des flammes meurtrières dansant dans ses yeux, visiblement la belle l'avait poussé à bout, mais pas assez pour qu'il aille au bout de son acte. Il l'avait alors lâchée, non sans une oeillade assassine et ténébreuse, sa présence sombre faisant frémir l'échine de milliers de Lucifer. Lorsque la colère l'assaillait, Carlson pouvait dès lors se montrer vicieux, joueur, sanguinaire parfois. Maïka n'avait pu que lire tout cela dans ses prunelles de plomb, et depuis, la belle Auror semblait le craindre. L'homme à l'aura sombre marchait dans les immenses couloirs du Ministère, un dossier à la main ; quelque chose comme un travail supplémentaire pour ces Aurors de malheur, des paperasses à assimiler et signer, rien de très important pour qu'on les confie à une personne ne faisant pas partie de l'unité. Et surtout pas lorsque la personne en question avait purgé une peine d'un an à Azkaban, bien que jugée à perpétuité. Tyler feuilleta donc rapidement le dossier qu'il avait entre les mains, continuant son chemin sans même se pousser sous le flux de sorciers marchant à contre-sens. C'étaient eux, qui lui laissaient le chemin libre. Curieux sans doute, mais surtout une manie qu'il avait depuis tout petit : le petit génie ne pouvait se retenir de feuilleter tout ce qui possédait un titre, une reliure, des pages : ouvrages, livres, encyclopédie, dossiers... Des romans dignes de la plus grande littérature et de ses plus grands auteurs, jusqu'aux thèses compliquées de la physique quantique, Carlson s'instruisait de tout. La culture était ce dont il se nourrissait le plus, arrosée souvent d'alcool pour faire passer le tout, et faire taire son cerveau en ébullition. On lui avait donc donné ce dossier dans un sourire, le sommant de retrouver Maïka Allen chez elle, à Honolulu et de lui remettre la paperasse dans la journée -sans difficulté au vu des décalages horaires-, chez elle. Après tout, tous deux avaient été amis. Tyler avait gratifié l'homme qui lui avait remis la paperasse d'un regard sombre ; on lui faisait perdre son temps pour des stupidités. Le Ministère n'était bon à rien. Carlson passa donc la porte de l'établissement avant de transplaner dans l'ombre, il ne resterait là-bas que quelques minutes, ayant pour lui des recherches bien plus importantes à faire.

    L'homme à l'aura sombre arriva dans une demeure qu'il connaissait. Bercée par le chant des vagues et caressée par les rayons chauds du soleil. L'enfant du Nord soupira, il aimait la brise fraîche et glacée, lui mordant la peau. A l'effigie de son pays natal, l'Islande, Tyler avait en lui les effluves de la glace et du feu ; indécryptable. Un rapide coup d'oeil aux alentours, reconnaissant au passage le fameux divan dans lequel il leur arrivait d'avoir des étreintes passionnées, et un sourire sombre se dessina sur les lèvres de Tyler qui s'avança, avisant la silhouette assise à la terrasse. Il s'approcha alors de cette dernière qui lui faisait dos, et dont l'indiscernable tressaillement avait trahi qu'elle l'avait entendu arriver, sans que pour autant elle ne détourne la tête. Sans doute avait-elle reconnu son parfum, ennivrant, celui qu'on n'oubliait guère, car sans même avoir de l'audace de détourner les yeux sur l'ancien mangemort, le prénom de ce dernier s'échappèrent des lèvres de la douce.

    « Qu’est-ce que tu fais ici, Tyler ? »

    TYLER. - « Que me vaut donc autant de condescendance. Mauvaise humeur ? Ton proxénète ne t'a donc pas encore offert ta paie ? »

    Premier coup de crocs, tranchant, cinglant, vénéneux. Murmuré dans une voix basse et grave, celle qui malgré tout, vous fait frémir d'émoi. Sa main alla caresser le cou de la jeune femme, seulement du bout des doigts, comme il la contourna avant de laisser tomber le dossier sur la table, s'asseyant alors face à la demoiselle sans demander son reste.

    TYLER. - « Réjouis-toi, je ne reste pas longtemps. Je ne te dépose que de la paperasse du Ministère. » Il toisa un instant la jeune femme de son regard de plomb, terriblement aguicheuse dans sa robe mettant ses formes en valeur, lorsqu'il reprit alors. « Ou peut-être pas. »

    Pas vraiment des avances, malgré sa voix suave, seulement une envie de jouer avec la belle le temps de quelques joutes verbales.
 
MessageSujet: Re: ( Honolulu ) Tu fais quoi ? - PV - ||NC-17   
( Honolulu ) Tu fais quoi ? - PV - ||NC-17 EmptyLun 2 Mar - 7:30



Invité
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    - « Que me vaut donc autant de condescendance. Mauvaise humeur ? Ton proxénète ne t'a donc pas encore offert ta paie ? »
    « Je suis mauvaise humeur, car on m’a enfermé dans un bureau avec un vieux pervers… Ma mère n’est pas aussi séduisante qu’avant. Les clients sont de plus en plus difficile pour les prix pour le pétrole. Ils m’ont fait appel. J’ai réussi à manipuler ce gros con avec cette robe. Cet homme n’avait rien de séduisant et il voulait négocier… Pfff un connard rien de plus qui a fait perdre mon temps, en plus il a OSÉ arriver cinq heures en retard »

    Elle était fâchée par le comportement de l’homme qui voulait avoir un nouveau prix. Il ne l’avait pas obtenu, car Maïka avait sut le manipuler. Sans ça, elle sait qu’elle serait encore dans ce fichu bureau à user de tous les astuces possibles pour l’avoir pour réussir à obtenir son but. Maïka n’avait vraiment pas aimé sa journée. Elle déteste travailler dans un bureau, même si chez les aurors, elle travaille dans un bureau, mais pas autant que ses parents. Elle n’aimait pas remplir la paperasse. Elle aimerait mieux mourir que de rester enfermer pour toujours dans un bureau. En tant qu’Auror, Maïka préférait être sur le terrain. Il y avait de l’action, mais elle avait des relations étranges avec les mangemorts. Elle sympathisait presque. C’était tellement étrange. Elle se tenait avec Tyler, quand il venait bien sûr et Luke était un de ses amants. Vous ne trouvez pas cela étrange. En tout cas, Maïka a des histoires de cul avec les mangemorts. Elle ne les fait pas chier et eux ne la font pas chier. Donc tout va bien pour l’instant. Je dis bien pour l’instant, car elle ne sait jamais quand son heure sera arrivé surtout que Jack lui avait déjà montré quand il était de très mauvaise humeur. Elle avait un joli petit couteau sous la gorge. Tyler pouvait être un très bel homme, mais il était immensément dangereux. Elle le savait. Même s’il lui avait donné un fils sa ne change à rien, il reste aussi dangereux. Tyler était peut-être mauvais, mais elle était reconnaissante. Il lui avait donné du bonheur. Comment ? De quelle façon ? Son petit Jack était son petit bonheur. Maïka était une mère poule, car elle appréciait son fils, c’était son petit trésor. On ne devait pas lui toucher, sinon… sa va aller mal. Une mère est très protectrice envers son ou ses petit(s), elle sacrifierait sa propre vie. Pensez une seconde que Maïka est égoïste, mais si son petit Jack serait en danger, rien ni personne ne pourrait dire le contraire.
    Elle sentit les doigts de Tyler caresser son cou. Elle n’avait toujours pas tourner la tête en ça direction. Maïka le regarda enfin droit dans les yeux quand il vint s’asseoir devant elle sur la chaise. Il avait laissé tomber un dossier. Elle soupira. Elle détestait tout ce qui était papier et paperasse. Pourquoi se compliquer la vie avec tant de bout de papier qui sont généralement inutile. Maïka ouvrit le dossier un instant avant de le refermer aussitôt. Elle n’avait pas envie. Depuis des années qu’elle détestait les bureaux, depuis des années qu’elle détestait remplir la paperasse que le ministère lui envoyait parfois. Maïka fixa un point derrière Tyler. Elle regardait la plage qu’elle voyait depuis la terrasse de sa villa. D’ici, on pouvait entendre les vagues et parfois les cris des enfants qui courraient dans toutes les directions possibles. Elle remit son regard sur Tyler. Elle ne savait pas comment il était aujourd’hui… mauvaise humeur, correcte ou bien. Elle n’osait pas lui demander.

    - « Réjouis-toi, je ne reste pas longtemps. Je ne te dépose que de la paperasse du Ministère. Ou peut-être pas. »
    « Hum, tu peux rester si tu veux. Tu fais ce que tu veux de toute façon… » Après quelques minutes de silence. Elle regarda de nouveau la paperasse. « Sa parle de quoi ? J’ai pas envie de lire. Je ne suis pas d’humeur à lire et les remplir. Je n’ai pas envie de ça. »

    Elle avait une autre envie. Des envies perverses, mais sa restaient des envies. Elle parlait en parabole, peut-être qu’il comprendrait… ou peut-être pas. Tout dépendait de lui, elle n’était pas du genre à forcer quelqu’un, même si elle avait usé de stratégie pour l’obtenir dans son lit, sauf que là, c’était Tyler et Tyler l’effrayait. Elle aurait pu sûrement lui demander, mas elle préférait que ce dernier fasse le premier pas pour ça. Un petit détail la sortit de ses pensés. Des petits bruits de pas qui provenait de la cuisine et qui s’était arrêté devant la porte vitré qui séparait la cuisine et la terrasse. Elle se retourna. Jack ! Maïka regarda du coin de l’œil Tyler. Décidemment, on ne pouvait pas dire que Jack n’était pas le fils de Tyler. Déjà petit, il ressemblait à son papa. Jack approcha timidement de sa mère.

    « Maman, c’est qui le monsieur ? Le monsieur me fait peur »
    « Ne t’inquiète pas »
    « Maman p..pour..quoi.. M..monsieur là ? »
    « C’est un ami… il est venu me porter du travail. Maintenant au dodo. »
    « Nooon. » Il monta sur les genoux de sa mère, il tomba à sa première tentative sur les fesses. La deuxième tentative, il réussit à monter sur les genoux de sa mère avec un peu d’aide de Maïka. L’auror le prit dans ses bras et l’emmena dans sa chambre en s’excusant à Tyler. Elle alla border pour la deuxième fois son fils. Après quelques minutes, elle revint et soupira de nouveau.

    « Il te ressemble beaucoup, tu sais ? Si tu as envie de le connaître… je ne pourrai pas m’y opposer, mais tu ne veux pas… c’est ton choix »

    Elle lui proposait ça. Rien de plus.

    « Changeons de sujet. Tu veux quelques choses à boire…? »


    Un tour dans mon lit peut-être ?, pensa-t-elle.
 
MessageSujet: Re: ( Honolulu ) Tu fais quoi ? - PV - ||NC-17   
( Honolulu ) Tu fais quoi ? - PV - ||NC-17 EmptyMar 3 Mar - 0:30



Invité
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    Les propos de Maïka l'amusaient. Froidement bien sûr, car on n'avait jamais vu un rire sincère et plein d'entrain s'échapper des lèvres de Tyler, même lorsqu'il était enfant. Une close de plus, peut-être un échange sournois quant à son don : il demeurerait un génie, et en échange ne parviendrait pas à profiter pleinement de la vie, avec ses rires et ses sourires chaleureux. Ses rictus à lui, n'étaient jamais qu'ironiques, froids ou carnassiers. Charmeurs même, lorsque la situation s'y prêtait. En outre, le "Ma mère n’est pas aussi séduisante qu’avant" l'amusait bien plus que le reste. Il s'imaginait la firme des Allen, ne vivre que par les courbes généreuses de leurs demoiselles... Bien peu honnête comme façon de faire du buiseness, voilà pourquoi cela amusait tant Carlson, dans le fond. Tyler s'adossa contre sa chaise avec décontraction ; il était d'une arrogance telle qu'on avait l'impression que partout où il mettait les pieds, les lieux lui appartenaient. Même à Azkaban il semblait être le roi des détenus, avec sa détermination infaillible de tenir encore et toujours, même avec cette foutue pneumonie lui rongeant les poumons. Par ailleurs, Tyler sortit un paquet de cigarettes comme la jeune femme fixa derrière lui un point invisible, silencieuse. En plaçant une au coin des lèvres, il l'alluma avant de ranger de nouveau son paquet dans sa poche, dans un mutisme froid et un regard de plomb. La fumée blanche tourbillona dans les airs, il n'y avait rien de mieux que la nicotine pour se détendre... Mis à part ces écarts qu'il avait avec l'alcool et ui parfois pouvaient le rendre violent. Etrangement, malgré la robe provoquante et la beauté audacieuse de Maïka, Tyler tourna la tête, le regard noir sombrement pensif. Il n'y avait jamais rien eu d'autre entres eux que des histoires de coucherie, un peu d'amitié également, voire de violence lorsque Carlson avait eu contre Maïka des accès de colère. Pour le moment ce dernier n'avait pas besoin de sortir de ses gonds, calme et posé, son regard accrocha celui de l'Auror lorsque celle-ci reprit.

    « Sa parle de quoi ? J’ai pas envie de lire. Je ne suis pas d’humeur à lire et les remplir. »
    TYLER. - « C'est ton boulot. Pas le mien. » fit-il d'une voix prononcée d'un ton si suave et bas qu'elle en devenait séduisante.
    « Je n’ai pas envie de ça. »

    Un léger silence s'installa comme Tyler arbora un léger sourire en coin, son regard plein de vices accrochant de nouveau celui de Maïka dont les sous-entendus paraissaient flous. Cependant le mangemort la connaissait bien assez pour savoir qu'elle ne parlait que très rarement à la légère et sans arrière pensées. De nouveau, la voix grave et basse de Carlson s'éleva, toujours terriblement séduisante, n'effaçant pas ce sourire en coin marquant son visage assombri.

    TYLER. - « Et de quoi as-tu envie. »

    La belle n'eut guère le temps de répondre, car déjà des bruits de pas feutrés mais précipités se firent entendre. Un gamin d'un peu plus de deux ans arriva sur la terrasse, levant son regard noir sur Tyler dont les yeux s'étaient posés sur le garçonnet dont la ressemblance était frappante. Il était le même qu'avait été Tyler à son âge : le teint pâle malgré la peau hâlée de sa mère, les yeux sombres et brillants, la mine renfermée ; gamin déjà attachant dont la présence forte se faisait sentir. A une seule exception prêt cependant : le jeune Jack Allen se montrait bien plus bavard qu'avait pu l'être Tyler à son âge. Par ailleurs ce dernier n'eut aucune réaction paternelle à son encontre, pas même un sourire, juste un regard le toisant de haut en bas comme lorsqu'on rencontre une nouvelle tête. Aucun sentiment, pas même une palpitation sous le fait de tomber nez à nez avec la chair de sa chair, le sang de son sang, avec le petit garçon qui aurait du porter le nom de Carlson. A vrai dire le coeur de Tyler était mort depuis bien longtemps, sous des assassinats sanglants et quelques viols houleux, il n'avait plus pour lui que l'âme d'un diable jouant aux anges en attendant l'arrivée des mangemorts. Enfin, lorsque le gamin prononça sa première phrase, Tyler détourna la tête avant de recracher un nuage de fumée, cachant son sourire jaune lorsque le petit Jack confia la crainte qu'il lui inspirait.

    « Maman, c’est qui le monsieur ? Le monsieur me fait peur »

    Tyler n'écouta pas la suite. L'enfant ne l'intéressait pas, pas plus que les conversations suintantes d'amour et d'eau fraîche qu'une mère pouvait avoir pour son gamin. Naturellement que Tyler effrayait plus d'un enfant : le teint pâle, le regard noir, le sourire sombre, la présence oppressante. Là où les adultes lui trouvaient énormément de charme, les enfants paniquaient : ils étaient face au grand méchant loup. Maïka quitta la terrasse le laissant seul avec ses pensées et sa cigarette qu'il fit rouler entre ses doigts, avant de revenir dans un soupir.

    « Il te ressemble beaucoup, tu sais ? Si tu as envie de le connaître… je ne pourrai pas m’y opposer, mais tu ne veux pas… c’est ton choix »
    TYLER. - « Cela faisait partie du contrat. » fit-il sans détourner le regard sur Maïka. « Il n'est pas mon fils, ce n'est que le tien. Tu devrai d'ailleurs lui trouver un père avant qu'il ne s'accroche à tes jupes et ne devienne un vrai trouillard. »

    La diplomatie n'était pas son fort. Ce n'était pas ses affaires, comme il venait de le mentionner, et pourtant Tyler lui conseillait d'apporter une présence masculine auprès de l'enfant. Légalement, Jack ne demeurait en effet nullement son fils, mais concrétement, il coulait dans ses veines du sang des Carlson. Et le mangemort se refusait d'avoir pour descendance, reconnue ou non, un quelconque pleurnichard trop couvé par sa mère qui visiblement lui portait un amour sans failles. Il leva enfin son regard sombre sur Maïka lorsqu'elle se montra polie, réprimant un rire léger et froid quant à sa demande. Il avait été un jour son bourreau l'espace de quelques trop longues minutes, la menaçant d'horribles dires ainsi que de gestes violents qui auraient pus devenir bien plus sanglants, et l'Auror offrait tout de même un verre au mangemort.

    « Changeons de sujet. Tu veux quelques choses à boire…? »
    TYLER. - « Pure politesse ou simple envie de me voir rester ? Tu m'étonneras toujours May. »

    En outre Tyler ne répondit pas à la question, cherchant à savoir ce qui vraiment se cachait dans l'esprit de la jeune femme au physique avantageux. Sa main alla s'écraser dans le cendrier vide, avant de remonter lentement son regard vers la jeune femme. Malheureusement pour la belle, le diable avait parfois envie de se délecter du jeu de la séduction en la mêlant au sang et à la violence. Une brève pensée de voir cette créature de rêve subir les assauts de ses couteaux affûtés laissant quelques marques sur sa peau hâlée, et la pensée s'envola aussitôt. Tyler se leva alors, préférant partir que de céder à une pulsion un peu trop sanguinaire ; chez lui le désir se faisait violent, et la violence en lui se déchainait parfois avec trop de fougue, comme en témoignaient ses précédents meurtres.
 
MessageSujet: Re: ( Honolulu ) Tu fais quoi ? - PV - ||NC-17   
( Honolulu ) Tu fais quoi ? - PV - ||NC-17 EmptyLun 9 Mar - 2:41



Invité
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    Il avait raison, elle ne pouvait pas lui demander, qu’est-ce qui est écrit dans le document, puisque c’était destiné à elle. Sauf que, parfois, des petits curieux regardaient ce qui ne le regardaient pas. Maïka regardait toujours Tyler, elle avait d’autres envies. Des envies… Huuum, disons d’adulte. Maïka repensa à la position de Tyler et elle quand ils avaient fait Jack. Huuum ! Oui, Maïka aimait le sexe, mais elle ne violait personne. Elle couchait avec des gens consentants, même si parfois elle les manipule. Quand elle couchait avec Tyler, ils étaient tous deux consentants, donc il n’y avait aucun problème. Elle serait incapable de violer quelqu’un. Elle ne sait pas trop pourquoi, mais elle trouve cela inutile. Si elle a réellement envie de quelqu’un, elle va faire de la drague pas plus compliqué. Maïka a tout de même des atouts. Elle a un corps… de rêve ? Elle n’était pas grosse, elle avait une poitrine volumineuse et de belles fesses. Elle avait des amants et elle n’avait pas besoin de violer personne. Ce n’était pas la belle vie ? Elle avait deux amants… Hum, dangereux. Elle jouait avec le feu, mais tous deux étaient immensément séduisant. Maïka fait donc attention, elle a quand même un fils et il a besoin d’elle. Son fils, son bébé, son amour, son petit Jack était le centre de son univers. Elle ne s’imaginait plus sans lui, il était entré dans sa vie et il était ancré dans son cœur. Elle ne pourrait pas vivre sachant qu’il est en danger. C’est juste impensable. Elle doit son bonheur à Tyler, il est peut-être parfois mauvais, mais au fond Maïka l’aime bien. Elle lui doit une énorme dette. Maïka ne pouvait pas chialer contre cette dette, elle avait son fils. La jeune femme avait tout vécu seule, l’accouchement et les nuits sans dormir à cause des pleures du bébé. Elle n’avait personne sur qui s’appuyer, mais ce n’était pas bien grave. Maïka aimait énormément son fils et elle ne chialerait jamais pour ça. Elle avait peut-être des nuits blanches à essayer de calmer le petit, mais elle s’en foutait. C’était tout simple, elle prenait soin de son fils. Quelle mère ne se mettrait pas à cette tâche en entendant son fils hurlé et pleuré ! Financièrement, Maïka pouvait offrir tout à Jack. Il était gâté. Le petit garçon avait une pièce réservée qu’à lui avec ses jouets. Jack avait tout ce qu’il désirait. C’est un enfant pourri gâté…

    Il lui avait posé la question de ce qu’elle avait envie, elle n’eut pas le temps de répondre, mais j’ai dit plus haut ses envies. Ça faisaient tout de même longtemps qu’elle en avait pas eut. Elle ne savait pas si monsieur Carlson voulait passer par sa chambre. Il n’était tout de même pas venu pour ça. Peut-être voulait-il rester plus longtemps ? Hum… Maïka en profiterait grandement de cet homme ou se serait lui qui profiterait d’elle. Elle n’eut pas le temps de dire quelques choses que des petits pas se firent entende. C’était Jack. Le petit Jack ressemblait tellement à Jack. Il avait le teint pâle, quant à elle, elle l’avait foncé. C’était une hawaïenne qui ressemblait beaucoup à ses origines. Jack avait aussi les cheveux plus pâles qu’elle… Elle les avait noir. Rien ne ressemblait vraiment à sa mère physiquement, il ressemblait à son père. Elle aimait tout de même son fils, malgré les différences. Il aurait pu être handicapé et elle l’aurait aimé autant. Maïka parlait avec son fils, bon, c’est vrai que parfois Tyler pouvait faire peur… Mais il était tellement séduisant. En tout cas, elle écoutait son fils lui répondait d’une voix douce et maternelle. Sa lui faisait tout drôle, son fils parlait du monsieur, mais s’il savait… S’il savait. Peut-être plus tard, Jack remarquera ses ressemblances avec l’homme qui se trouvait à la maison. Peut-être un jour… peut-être. Elle avait pris son petit dans ses bras pour l’emmener dans sa chambre où elle le borda une autre fois. Elle revint sur la terrasse, vêtue de la même manière nue pied. Elle revint s’asseoir face à Tyler. Elle le regardait attentivement. Il fumait. Elle aurait pu tout simplement se frustrer et lui lancer un verre d’eau en pleines faces, mais elle avait suivi une formation de Lady. Elle ne pouvait en aucun cas faire ça. Ce n’était pas dans les règles. Si l’homme voulait le faire, qu’il le fasse. Pour une fois, elle repensa à ses règles qu’elle trouvait vachement injuste et nulle. Le nombre de coup qu’elle avait reçu sur les doigts, car elle avait mis les coudes sur la table en mangeant.

    « Cela faisait partie du contrat. Il n'est pas mon fils, ce n'est que le tien. Tu devrais d'ailleurs lui trouver un père avant qu'il ne s'accroche à tes jupes et ne devienne un vrai trouillard. »
    « Laisse-le grandir, il n’a que deux ans. Puis, bon, son père c’est toi que tu le veuilles ou non. S’il veut s’accrocher aux jupes de sa mère qu’il le fasse, qu’il viole, qu’il tue… Qu’il soit Homosexuelle… C’est encore son joie je ne peux pas dicter sa destiné. Je suis sa mère et non son bourreau. »

    Elle était sérieuse. Elle ne pouvait pas choisir à la place de son fils. Elle voulait qu’il soit heureux plus tard. S’il aime les hommes qu’est-ce qu’elle pouvait y faire ? Oui, c’était son fils, mais elle ne pouvait pas lui faire faire ce qu’il ne voulait pas faire ou ne pas être. Maïka avait vécu dans une famille qui lui dictait quoi faire. Ce n’est pas pour rien qu’elle a maintenant une tête de cochon. Elle ne voulait pas que son fils soit triste et malheureux par les choix que sa mère désire. Plusieurs finissent par se suicider. Maïka a souvent vu des histoires de suicide par rapport à leurs orientations sexuelles. Il y a de bons nombres d’histoires par rapport à ça. Une personne en détresse peut finir sa vie sur un coup de tête… Un moment de désespoir intense. Elle ne voulait que le bonheur de son fils. Elle ne pouvait choisir à sa place et elle ne voulait pas le faire, car on a décidé pas mal de chose à sa place. Elle ne fera pas subir à son fils ce qu’elle a subi, même si parfois, ce n’était pas en mal les décisions de ses parents. Elle n’avait pas envie de donner raison à Tyler. S’il voulait avoir un fils, comme il le voulait qu’il l’élève. Elle n’avait aucune envie de trouver présence masculine, elle n’avait pas envie de chercher. Elle avait vingt-six ans et il n’avait aucun homme qui avait réussit à la supporter. Quel homme aimerait se faire tenir tête par une femme ? Je crois qu’aucun homme n’aimerait que son autorité soit contesté, sauf que Maïka avait peur de certains hommes, car elle les savait potentiellement dangereux, comme son cher invité. De toute façon, elle ne s’astina guère avec le beau Tyler. Elle changea donc de sujet pas plus compliqué que ça.

    « Pure politesse ou simple envie de me voir rester ? Tu m'étonneras toujours May. »
    « Je t’étonne tant que ça Tyler ? »

    Elle le regardait un peu amusé. Elle n’était certainement pas l’auror la plus normale de ce monde avec tous ses petits secrets. Elle le vit se lever. Maïka était surprise, elle ne voulait pas que son jouet s’en aille sans faire ce qu’elle désirait. Maïka se leva rapidement, elle prit le bras de Tyler pour le retenir.

    « Tu t’en vas déjà ? » Elle se rapprocha de lui sans le lâcher. Elle fit glisser sa main sur le bras de Tyler. Elle approcha sa tête de l’oreille de Tyler… « J’ai envie de jeux… Des jeux que tu connais. Un jeu que j’aime énormément. » Elle avait pris une voix sensuel. Ce qu’elle voulait, elle le voulait. Maïka voulait jouer. Elle aimait jouer.
 
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( Honolulu ) Tu fais quoi ? - PV - ||NC-17 EmptyMer 11 Mar - 1:20



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    Maïka n'avait rien d'une femme aux moeurs banales ; véritable croqueuse d'hommes, elle épiait leur moindre pulsion ou envie jusqu'à obtenir ce qu'elle désirait. Une belle femme à l'appétence véritablement grande, avide de luxure et des plaisirs charnels, l'auror n'était pas inconnue des mangemorts, loin de là. Silhouette fine et élancée, courbes généreuses et dominatrices, goût du jeu sensuel qui perlait au bout de ses lèvres sucrées, il était bien impossible de ne pas succomber aux charmes de la belle métisse. Et ce, même si l'on désirait d'abord jouer avec cette dernière, attiser son désir et lui provoquer l'envie brûlante en elle, c'était un sacrilège que de ne pas froisser ses draps. Tyler en avait fait partie ; d'abord joueur avec la demoiselle, les deux êtres abonnés aux joies de la luxure avaient succomber l'un à l'autre, jusqu'à aboutir à un enfant. Mais Carlson était formel : ce n'était pas le sien, et jamais il ne le demeurerait. Puis la belle métisse semblait se complaire à faire luire dans le regard de ses ennemis, les dangereux mages noires, ce feu du désir qui s'attisait en leurs prunelles. En un sens, c'était peut-être aussi pour cela que Tyler ne reconnaissait pas son fils : il se refusait à avancer que la mère de son enfant se résumait en quelques sortes à une traînée. Certes, c'était tout de même juger assez vite, car la jeune femme avait tout de même pour elle des qualités humaines que Carlson n'avait pas. Cela n'empêchait pas le mangemort néanmoins de la laisser faire, et d'aller chercher des prétendants à son lit au sein même des mages noirs. Si dans un premier temps, ces derniers avaient hésité quant au fait que Tyler demeurait tout de même le père de son enfant -après tout il demeurait tout de même leur supérieur hiérarchique en un sens-, au final Carlson leur ayant assuré qu'il n'en avait rien à faire de la demoiselle, les "gentlemen" ne s'étaient pas priés pour venir croquer l'auror. Elle lui était pourtant soumise, régie par la violence terrifiante de l'Islandais qui lui faisait peur, Tyler n'avait au final pas voulu de Maïka ; il n'aimait guère donner sa considération aux femmes à la réputation trop sulfureuse. Non pas qu'il n'avait pas le goût de la compétition, mais en véritable arrogant qu'il était, Tyler aimait être considéré à part entière, et être mis sur un piédestal. En d'autres termes, il aimait être le seul pour qui les regards se tournaient, dans le registre des sentiments néamoins. Maïka elle, semblait avoir en tête plusieurs prétendants, et il en faisait partie sans pour autant être le centre de son univers. Alors il ne l'avait pas retenue, par fierté et par respect pour son égo, repoussant la jeune femme et la laissant s'abandonner aux bras d'autres hommes sans pour autant éprouver une once de jalousie ni même exclure de temps à autres des parties mémorables entre ses draps froissés. Il demeurait un joueur sadique, acceptant ou repoussant au rythme de ses envies, s'appropriant ce qu'il disait lui être dû : les vies de ses victimes comme les coeurs de ces demoiselles. Et visiblement aujourd'hui, Carlson voulait jouer. Car en effet le jeune homme n'avait pu que remarquer cette lueur de désir flamboyant dans les yeux de la belle métisse ; elle avait envie de lui, le temps de quelques heures éphémères, à passer du bon temps. Et s'il était vrai que Tyler était de ceux qui donnaient du plaisir sans s'enticher d'une histoire véritable, il avait pour lui cette fierté qui le sommait de refuser, bien que la demoiselle demeurait appétissante. Et outre cette arrogance mal placée, le mangemort avait pour lui ces derniers temps des pulsions meurtrières le poussant à verser le sang à terre ; à croire que l'hémoglobine lui manquait. Il ne pouvait rester ici alors que, couteau en poche, il mourrait déjà d'envie de goûter au sang de la belle métisse avant de la jeter dans son lit dans toute la violence et la brutalité dont il pouvait faire preuve. Mais cela ne faisait que quelques mois qu'il était sorti d'Azkaban, trois pour être exact, et Carlson se devait de se tenir à carreaux... Sa violence le conduisant trop souvent à des gestes irréfléchis, il savait pertinnement que l'envie de faire du mal à Maïka serait alors par la suite présente, chose à éviter. La belle néanmoins lui attrappa tout de même le bras, avant de se pencher sensuellement au creux de son oreille, ce qui eut le don de dessiner sur les lèvres de Tyler, un sourire diablement charismatique, sombre et plein de perversité.

    « J’ai envie de jeux… Des jeux que tu connais. Un jeu que j’aime énormément. »

    Aucune réponse sinon le bruissement sensuel qui étouffa ce moment brûlant et lourd de sous-entendus que fit alors Tyler lorsqu'à son tour il se pencha vers la belle. Ses lèvres vinrent frôler les siennes avant de remonter jusqu'à sa tempe d'un souffle chaud, caressant sa peau ambrée jusqu'au lobe de son oreille. Puis un murmure s'éleva, d'une voix suave, basse et atrocement séduisante. Celle qui vous octroyait des frissons d'envie rien qu'à son timbre incandescent ; Tyler usait de son charme comme le diable utilise ses atouts.

    TYLER. - « J'aurai tellement souhaité te combler avec toute la fougue dont je suis capable. » fit-il pour attiser le désir de la belle jeune femme. « Mais je ne suis pas un pion, May. » Le mangemort se redressa, plongeant son regard sombre dans les prunelles satinées de la douce, tandis que sa voix s'élevait toujours dans un murmure sensuel, un divin sourire aux lèvres. « Tu auras sans doute plus de succès avec Luke. Retente ta chance. »

    En d'autres termes, ce qu'elle désirait tout de suite et maintenant, Tyler le lui refusait. Parce qu'elle avait misé sur deux amants à la fois, parce qu'il n'était pas son centre d'attention, et parce qu'il n'aimait guère être pris pour une occupation appétissante mais qui demeurait une option. C'était Carlson, qui profitait du corps des autres, et non l'inverse. Alors, dans une voix séduisante mais pleine de reproches envers la belle sans pour autant éprouver la moindre once de jalousie, le mangemort lui offrit un sourire plein de charme mais narquois et amusé, relevant un peu plus sa beauté presque brutale. Elle avait joué avec le feu, elle s'était trompée. Le jeu était terminé, et Tyler avait établi ses propres règles. La dure loi de la jungle.
 
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( Honolulu ) Tu fais quoi ? - PV - ||NC-17 EmptyVen 20 Mar - 5:08



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    Le désir peut prendre plusieurs formes. Le désir que Maïka ressentait… était puissant et bien présent en elle. Elle le désirait, car c’est homme était… tellement sensuel. Elle voulait encore goûter au plaisir charnel. À chaque fois, elle avait du plaisir assuré avec Tyler. Elle le savait très bien, en plus. Elle brûlait de désiré Maïka n’avait aucun sentiment pour Tyler, à part peut-être de l’amitié, mais elle avait trop peur de lui pour avoir plus que de l’amitié. Oui, elle couchait parfois avec ce dernier, mais ils avaient le droit. Ils étaient des adultes responsables. Bon, on ne pouvait pas dire que Maïka était si responsable, elle préférait vivre la belle vie que de prendre des responsabilités, mise à part son fils. Elle prenait toute les responsabilités que pouvait entraîner le choix d’avoir un enfant. Depuis que son fils est tout petit, qu’elle en prend soin. Jack était son petit et elle ferait tout ce qui est dans son pouvoir pour le protéger. Elle sait aussi que plus tard, il allait faire des choix, elle aimerait peut-être pas ses choix, mais elle devra respecter. Bon, Maïka a toujours été une femme qui désirait plusieurs hommes, mais Tyler, elle faisait plus que le désiré… Elle le voulait. Par contre, elle n’avait pas de sentiment pour lui, il lui faisait trop peur. Je l’ai dit plus haut. Quand Tyler parlait, elle avait de plus en plus des envies… Des envies perverses. Elle avait envie de lui, pas d’un autre… De LUI. C’était étrange, complètement étrange ce qu’elle voulait et ce qu’elle ressentait. Elle le voulait. Maïka avait envie de lui, même si quelqu’un le remplaçait, elle ne s’aurait jamais capable de trouver mieux, car elle voulait lui. Je ne sais pas si vous comprenez, mais bon… En plus simple, Maïka voulait coucher qu’avec Tyler pour ce soir. Ça lui arrivait souvent, mais elle ne voulait pas lui dire, elle était tout de même orgueilleuse l’auror. Bon, je dois avouée que Maïka est cinglée. Tyler avait eut la gentillesse de lui faire un enfant, mais elle aurait aimé d’avoir plus souvent du sexe avec lui. Oui, parfois ils se laissaient aller… Mais elle avait besoin plus souvent de coucher avec lui… Il était si… si étrange qu’elle aimait énormément ça. Bon, Maïka avait bien sûr des idées et des goûts bizarres. On ne devait pas seulement la juger pour cela, elle aimait beaucoup trop le sexe. C’était le genre de femme qui disait rarement non. Surtout que ses désirs… étaient souvent par rapport à cela. Elle brûlait de désir pour certains, puis d’autres ce n’était que passager. J’ai un secret à vous dire… Approchez pour que je vous le dise, Maïka a un petit carnet avec tous les noms ( à peu près ) de ses amants ou des personnes qui ont passé dans son lit, en plus d’avoir ses noms, elle les note sur un échelle de un à dix avec des commentaires. Tyler était placé… Dans les notes les plus fortes qu’avec des bons commentaires. Voyons, sinon elle n’essaierait pas de recoucher avec lui. Bon sang ! Elle aimait coucher avec les meilleurs tout de même. Pfff ! Non, mais qu’est-ce que vous croyez ?

    Jack était couché, alors elle pouvait en profiter et profité de Tyler. L’invité sans être invité… L’invité qui s’est fait un peu plus tôt invité par l’auror dans son lit. Elle N’avait absolument pas envie d’un refus, elle était déjà mauvaise humeur à cause de sa journée de merde. Elle avait envie de faire des trucs pas très catholique, puis il fallait en profiter que son fils dort... Maïka le savait, mais elle devait avoir la réponse du bel homme qui se tenait devant elle. Elle l’avait touché au bras… Elle avait laissé ses doigts effleurés son doigt pendant qu’elle chuchotait ce qu’elle désirait dans l’oreille de Tyler. Elle s’était permise de le toucher, sans lui demander… pourquoi elle lui demanderait si elle pouvait le toucher. Elle pensait réellement que Tyler allait accepter, mais elle attendait sa réponse impatiemment, elle n’était pas très patiente dans les journées comme celle-ci. Elle avait un très mauvais caractère, en plus d’être impatiente. Par son sourire, elle pensait avoir ce qu’elle voulait… Elle attendait toujours la réponse de Tyler. Maïka pensait de plus en plus avoir réussi avec les gestes qu’il faisait.

    « J'aurai tellement souhaité te combler avec toute la fougue dont je suis capable. Mais je ne suis pas un pion, May. Tu auras sans doute plus de succès avec Luke. Retente ta chance.»

    « Comme tu peux être chiant… » Elle le regardait, mais le retenait toujours pas le bras « Tu n’es pas pion… Loin de l’être. Il y a des choses qui ne se disent pas, car ça fait mal à l’orgueil… Mais tu n’es pas un pion. Mieux vaut dire la vérité… envers toi. Car je soupçonne des choses… Des choses que je pourrais faire un petit appel à Erlantz pour t'enfermer à Askaban. Alors… Vaut mieux que tu acceptes de faire joue-joue avec moi »



[ Arf... C'est poche. Ze suis désolée ]
 
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( Honolulu ) Tu fais quoi ? - PV - ||NC-17 EmptyDim 22 Mar - 21:09



Invité
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    Elle le retenait d'une main ferme, aposée sur son bras comme il allait pour partir. Ce fut alors dans un sifflement à la fois sensuel et terriblement cynique et glacial qu'il lui répondit, non sans l'avoir toisée d'un regard méprisant et presque dégouté. Carlson avait ses manies, ses jeux, ses habitudes. Impossible à cerner, l'on ignorait toujours ses réactions, et celle qu'il venait d'avoir envers Maïka l'amusait autant qu'il lui exprimait toute sa rancoeur. Pourtant la métisse était une femme splendide, ce n'était vraiment pas à nier, sa beauté n'était pas à envier, et leurs coucheries avaient toujours été bien plus que plaisantes. Refuser de telles courbes données si facilement était presque sacrilège, et pourtant Tyler ne voulait pas se faire l'effet d'être un homme facile à avoir. C'était lui qui dictait les règles, lui encore qui décidait de la fille qu'il aurait le soir dans son lit, aussi voir Maïka se conduire de sa même manière, avec ce naturel détaché, tout en sachant qu'elle lui faisait des avances comme elle aurait pu le faire à un autre homme si ce n'était pas lui qui était venu lui rendre visite, ne l'amusait guère. La perspective de ne pas se savoir premier le bloquait ; ce soir donc, il n'avait pas envie de May, du moins pas aussi intensément qu'à son habitude. Il était vrai que les avances de Tyler envers la belle auror avaient toujours été explicites, et le fait que ce soit la jeune femme qui lui fasse part de ses désirs demeurait véritablement plaisant... mais pas dans l'optique qu'il pouvait se faire remplacer par n'importe qui. Ses yeux se durcirent donc lorsqu'elle le rattrapa d'une main, Carlson n'aimait guère qu'on le touche sans même qu'il n'en soit averti, il avait toujours aimé contrôler la situation, aussi l'homme à l'aura ténébreuse et au regard assassin ôta son bras des mains de la délicieuse jeune femme d'un geste brutal.

    « Comme tu peux être chiant… Tu n’es pas pion… Loin de l’être. Il y a des choses qui ne se disent pas, car ça fait mal à l’orgueil… Mais tu n’es pas un pion. »

    Sur cette première remarque, le mangemort soupira avant de lever son regard au ciel. Que voulez-vous qu'il lui rétorque. Certes, il n'était pas facile à vivre, mais ce n'était guère un scoop. Par ailleurs la suite de la tirade de la jolie métisse eurent l'effet d'adoucir son visage. Son regard meurtrier prit une teinte différente ; il l'écoutait attentivement, presque pris au dépourvu des paroles de la jeune femme. "Il y a des choses qui ne se disent pas." Etait-il possible dans le fond, que quelqu'un ne tienne à lui finalement. Maïka de surcroit, la femme sans doute la plus volage de tout le sol britannique. Si la belle s'était arrêtée là, si elle avait eu l'audace d'aller plus loin, de lui expliciter le fond de ses pensées, sans doute aurait-il été tenté de faire preuve envers elle d'une douceur inhabituelle, cédant finalement à sa requête pour une nuit. L'on connaissait que trop le meurtrier sanguinaire, le génie écrasant, l'amant passionné... mais beaucoup moins l'amoureux tendre. Parfois même, certains s'entêtaient à scander qu'il avait un coeur de pierre. La preuve en était que non, puisqu'il s'adoucit sous les paroles de la belle. Pourtant cette dernière commit alors l'erreur ultime ; celle des menaces envers le mangemort, et non des moindres.

    « ... Mieux vaut dire la vérité… envers toi. Car je soupçonne des choses… Des choses que je pourrais faire un petit appel à Erlantz pour t'enfermer à Askaban. Alors… Vaut mieux que tu acceptes de faire joue-joue avec moi. »

    Le regard sombre de Tyler flamboya d'une teinte meurtrière à vous en arracher des frissons, tandis que sur son visage atrocement assombri se dessina un rictus assassin et carnassier. S'il y avait une chose à éviter en présence de Tyler, c'était encore de tenter de faire pression sur lui, surtout sur une affaire aussi importante. L'homme à l'aura ténébreuse avait soudain pris des allures de diable : envoûtant et terrifiant à la fois, toute la violence dont il allait faire preuve brilla dans son regard glacial. Ce fut alors avec une brutalité sans nom, dans un geste vif et trop brusque, qu'il attrapa d'une main trop ferme le cou délicat de la jeune métisse avec poigne, sa main se resserrant avec force jusqu'à ce qu'il ne lise la terreur dans le regard de la délicieuse jeune femme. Perdant alors son sourire cynique, ce fut avec une violence inouïe que l'homme alors en colère plaqua la belle contre le mur, prenant alors le soin de faire percuter sa tête brutalement contre les pierres froides. Tout alla trop vite pour la belle Maïka alors brutalisée par les instincts brusques de Tyler qui se serra contre cette dernière, leurs courbes s'épousant parfaitement afin d'anticiper tout geste défensif de la part de la belle. Une nouvelle fois, la main de Carlson empoignant son cou fragile frappa la tête de la jeune femme contre le mur, alors que dans son regard flamboyait la rage violente de lui faire du mal.

    TYLER. - « Alors tu veux jouer May. » fit-il dans une voix terriblement suave, sensuelle et glaciale, portant sur lui les effluves de la Mort trop froide. « J'ai un jeu pour toi. Je frappe ta jolie petite tête brune contre le mur jusqu'à ce que tu vois rouge. Je frappe. Tu pleures. »

    Il resserra sa main, jusqu'à sentir ses doigts fins s'enfoncer dans la chair de la douce jusqu'à lui en laisser des traces rouges douloureuses. Ses lèvres allèrent effleurer sa joue dans une caresse frémissante jusqu'à rejoindre le creux de son oreille pour lui sussurrer ces si terribles menaces tellements jouissives. Maïka avait fait l'erreur de vouloir faire pression pour avoir sa nuit de rêve, mais la belle inconsciente ne semblait comprendre que sa nuit se transformerait alors en cauchemar. De nouveau, le jeune homme au regard assassin et bestial cogna la tête de la belle contre le mur, insensible à ses gémissements de douleur, ce fut avec la même violence qui la tira vers lui, desserrant son emprise le temps de descendre sa main de bourreau sur son bras qu'il attrappa avec force. Pris d'une rage fougueuse et des plus dangereuses, Tyler s'avança alors dans le salon, trainant alors la belle Maïka derrière lui qu'il jeta brutalement au sol, dans une envie monstrueuse de lui faire mal et de la voir souffrir.

    TYLER. - « Tu me veux mon ange. Alors pleure, crie, souffre, je t'aimerai d'autant plus. » la toisant de toute sa hauteur, un sourire perfide aux lèvres, le murmure de Carlson arrachait des frémissement douloureux, tant il régnait par la terreur. « Si tu me vends, je vais être obligé de te faire très, très mal. Ce n'est pas ce que tu veux May. Lève-toi ! »

    Ce fut dans une impatience monstre que Tyler empoigna de nouveau la jeune femme telle une poupée de son, la violentant avec brutalité, aveuglé par la colère et la rage. La belle n'eut pas le temps de rétorquer que déjà elle fut jetée sans préavis sur le canapé, très vite rejointe par le mangemort dont la silhouette s'épancha sur la sienne, le couteau déjà fièrement sorti de sa poche qu'il plaqua contre la gorge ambrée de la jeune inconsciente. Sa main libre et profiteuse alla alors caresser les courbes de la jeune Auror alors que, de nouveau, ses lèvres soufflèrent un murmure à son oreille.

    TYLER. - « As-tu toujours l'intention de faire part de tes soupçons May. Veux-tu toujours jouer avec moi. Réponds. »

    La lame froide de son couteau menaçait dangereusement sa gorge qu'elle lui offrait alors, comme sa voix trancha comme un ordre, d'un timbre glacé et brutal, le démon s'était éveillé en lui, et la partie ne faisait que commencer.
 
MessageSujet: Re: ( Honolulu ) Tu fais quoi ? - PV - ||NC-17   
( Honolulu ) Tu fais quoi ? - PV - ||NC-17 EmptySam 4 Avr - 5:40



Invité
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    Maïka savait qu’elle ne devait pas faire ça. Une petite voix à l’intérieur d’elle lui criait d’arrêter de jouer avec le feu, surtout que le feu représentait en ce moment le diable en personne. Tyler J. Carlson était un homme horrible, si on oubliait qu’il ait été innocenté et qu’on ne croyait pas à son innocence… Il était un homme horrible. Maïka ne savait pas quoi prendre, elle savait que c’était bien plus logique pour sa survie de prendre l’innocence de Tyler que de le croire coupable. Elle parlait toujours trop sans réfléchir. Elle était impulsive dans tous les domaines. Elle aurait du réfléchir à deux fois, avant de le menacer. Elle avait vu son visage changé à chaque fois qu’elle changeait de phrase. Il était fâché au tout début, puis devint plus doux… Puis nous voilà à maintenant. Elle avait trop parlé. Pourquoi ? Aucune idée. Elle s’était crue en sécurité, mais elle s’était trompée et pas qu’à moitié. Elle avait toujours cette petite voix qui criait bien plus fort, maintenant que les paroles étaient dites. C’était bien trop tard. Elle avait parlé. Vous savez que Maïka aurait du tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler, comme elle l’avait fait. Elle le savait maintenant, mais elle l’avait menacé. C’était bien trop tard. Le mal était fait. C’est dans ses moments, qu’on avait envie de retourner dans le passé et s’interdire de faire l’erreur. Elle aimerait que Tyler n’ait rien entendu. La plus grave des erreurs qu’elle avait fait dans toute sa vie c’était celle là. Le plus pire c’est qu’elle le savait. Elle fit un pas vers l’arrière. Elle voulait s’enfuir le plus loin. C’était normal. Prendre son fils et transplaner le plus loin possible ! C’était la solution pour elle. Mais même à ça, Maïka se doutait que Tyler n’allait pas la laisser aussi facilement partir. Elle avait un but, s’enfuir de chez elle avec son fils pour la nuit. Elle voulait mettre Jack en sureté. C’était le minimum à faire. Elle ne voulait pas que son fils soit torturé ou quoi que ce soit. Jack était son petit et son petit n’avait pas cherché le grand Tyler.

    Le visage de Tyler s’assombri. Elle n’aimait pas du tout l’expression qu’il avait. Elle recula d’un deuxième pas. Elle n’eut pas le temps de faire un troisième pas vers l’arrière qu’elle se fit empoigné fermement par le coup. Qu’est-ce qu’il lui réservait ? Allait-il la tuer en la torturant ou d’un coup ? Elle lisait dans le visage de Tyler. Elle recula d’un deuxième pas. Elle n’eut pas le temps de faire un troisième pas vers l’arrière qu’elle se fit empoigné fermement par le coup. Elle avait mal. Il serrait le cou de cette dernière. Elle avait peur, non seulement pour sa peau, mais aussi la vie de Jack. Elle ne voulait pas que Jack meurt avant d’avoir vécu sa vie. Elle avait aussi peur pour ses yeux. Elle avait peur. Elle voyait que Tyler lui en voulait. En fait, personne n’aime se faire menacer, elle aurait agi aussi violemment, mais pas autant que Tyler en ce moment. Elle aurait voulu ne pas être là en ce moment, car l’homme n’avait pas fini avec elle. Tout ça venait de commencer. Maïka avait terriblement peur. Elle tentait d’ôter les mains de Tyler de son cou. Maïka tentait de se libérer des mains de Tyler qui avait trop souvent tué. Elle ne voulait pas finir six pied sous terre dans une tombe avec les verres qui lui bouffe le corps. Non, elle ne voulait pas être dans cette situation. La mort était tout prêt, c’était sur, mais elle voulait tout de même lui donner du fil à retorde. Elle ne voulait pas être une victime facile. Son bourreau était là. Elle avait peut-être été vivante trop longtemps en présence de Tyler. Maïka aurait partagé des sentiments si lui aurait eut des sentiments pour elle et elle aurait bien aimé avoir plus de sa part, mais elle savait qu’elle ne l’aurait jamais eut. Maïka avait donc fait son indifférente. Elle ne l’avait jamais dit. En plus, Maïka avait bien trop peur de lui. Tout ça se voyait dans les yeux de la prochaine victime de Tyler. Elle sentit son corps fragile frappé contre le mur. Sa tête cogna contre la pierre. Elle avait mal. Extrêmement mal. Sa tête pencha vers l’avant. Elle luttait contre l’évanouissement. Maïka était incapable de bouger comme il le faut. L’auror était prise dans sa robe. Ça lui était bien difficile à cause de ses vêtements qui la moulaient à la perfection. Maintenant, même ses charmes naturelles ne lui servaient totalement à rien. Elle était prise au piège contre le mur et Tyler. Elle sentit le corps de Tyler se coller contre elle, elle es aya de bouger. Sa tête tombant toujours vers l’avant. Maïka eut dans l’idée de le mordre ce dernier cogna sa tête contre le mur. Elle lâcha un gémissement de douleur. Elle souffrait terriblement., mais…

    « Alors tu veux jouer May. J'ai un jeu pour toi. Je frappe ta jolie petite tête brune contre le mur jusqu'à ce que tu vois rouge. Je frappe. Tu pleures. »
    « Non »

    Souffla-t-elle faiblement. Elle ne réussit pas à dire plus. Ce fut terriblement difficile pour dire cette seule syllabe. Tout était plus difficile dans son état presque second. Elle devait prendre conscience de ce qui se passait autour d’elle. Elle sentit sa tête cogné de nouveau contre le mur. À chaque fois, elle laissa échapper un petit gémissement de douleur. Elle avait qu’une envie mourir. Elle souffrait maintenant. C’était trop tard. Elle avait fait de grave erreur. Qu’est-ce qui lui avait pris de faire ça ? Pourquoi avoir menacé l’homme qui lui faisait si peur Elle savait que Tyler était mauvais depuis le début. Pourquoi avait-elle agi comme une idiote ? Elle pourrait passer la journée pour se poser ses questions, mais le mal était fait. Elle ne pouvait pas revenir vers l’arrière, car le temps défilait aussi vite qu’il filait dans nos vies, chaque seconde passé était bien loin, encore plus loin de ce que nous pouvons croire. Elle sentit la main de Tyler la lâcher pendant les quelques secondes. Elle espérait que son cauchemar soit fini, mais elle se trompait grandement. Elle sentit la main de l’homme l’attrapé par le bras et la tirer jusqu’au salon. Elle avait toujours de la difficulté à mettre un pied devant l’autre avant de se faire jeter au sol. Elle tomba au sol. Maïka gémit de nouveau en se roulant en boule. On pouvait entendre le craquement de la robe à chaque fois que Maïka bougeait. Elle tenta de se relever. Elle se mit à quatre pattes. Quelques larmes coulèrent de ses yeux, roulèrent sur ses joues avant de tomber sur le plancher, créant une petite flaque d’eau.

    « Tu me veux mon ange. Alors pleure, crie, souffre, je t'aimerai d'autant plus. Si tu me vends, je vais être obligé de te faire très, très mal. Ce n'est pas ce que tu veux May. Lève-toi ! »

    fit seulement des légers mouvements de tête pour faire signe qu’elle avait compris. Parfois, elle laissait entendre des gémissements pour lui faire comprendre qu’elle comprenait. Elle tenta de se lever. Elle avait de la misère à se mettre sur ses pieds. C’était plus que difficile pour la jeune femme de faire des efforts physiques avec les coups qu’elle avait reçu à la tête. Elle n’eut pas le temps de se mettre sur ses pieds que Tyler l’avait empoigné et l’avait jeté sur le divan sans délicatesse. Elle tomba pour une fois sur quelques choses de moelleux. Elle regardait Tyler. Maïka essaya de nouveau de s’enfuir, mais ne réussit pas. Elle avait aperçu le couteau dans la main de Tyler quand il s’était penché sur son corps. L’ex-Gryffondor regarda la main de Tyler touché à courbe généreuse. Elle n’aimait pas ça. Elle bougea un peu sur le côté, mais ce dernier ce mit à lui parler.

    « As-tu toujours l'intention de faire part de tes soupçons May. Veux-tu toujours jouer avec moi. Réponds. »
    « Non. Non. Laisse-moi !!! »

    Elle avait dit tout ça en gémissant. Elle le regardait. Maïka le suppliait du regard avec les larmes aux yeux.

    « Ne fais pas de mal à Jack. C’est mon dernier souhait… »

    Elle ferma les yeux en laissant échapper un sanglot. Elle se sentait humilier. Maïka pensait que la mort approchait de plus en plus, elle était à quelques minutes de la frapper. Sur le coup de l’adrénaline, Maïka poussa Tyler. Elle essaya bien que mal de se mouvoir le plus rapidement. Mais à cause de ses étourdissements et de sa robe, elle finit un mètre plus loin accoter sur le mur. Elle se laissa glisser le long du mur. Il n’y avait plus de chance…



{ J'ai eut des petits problèmes avec mon copier coller, donc si y a de quoi qui se suit pas è__é c'est à cause de ça ! }
 
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( Honolulu ) Tu fais quoi ? - PV - ||NC-17 EmptySam 4 Avr - 15:29



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NC - 17
{ Scène explicite XD }


    L'aura sombre et le sourire mauvais, la colère que la belle avait éveillé faisait languir de trop les démons dormant en lui. Explosant dans une violence rare, son envie de voir couler son sang à terre le poussait à employer les pires gestes barbares. Frapper le crâne de la belle contre les murs froids et rudes, jusqu'à ce que l'hémoglobine coule dans un gargouills écoeurant, s'entremêlant dans ses cheveux noirs, s'imposant à ses yeux d'ébène qui ne verraient plus que le rouge de la mort violente ; frapper encore et toujours, jusqu'à ce que mort s'en suive. La voir souffrir physiquement, lui insuffler ce venin violent lui prenant au corps et aux tripes, jusqu'à ce qu'elle le supplie de l'achever, jusqu'à ce que la délicieuse créature ne devienne plus qu'une loque, une victime sacrifiée sur l'autel de sa violence, pantin disloqué et souffreuteux, ce n'était pas tant lui faire du mal qu'il souhaitait, mais la détruire dans un flux de douleurs insupportables. La folie meurtrière semblait avoir pris possession du mangemort entré dans une transe sanglante, voilà qu'il la regardait en croque-mort, dans un rire sadique transcendant et persifflant sa rancoeur envers l'Auror. Elle paierait du prix de son propre sang son affront. Le geste du mangemort se stoppa alors, lui qui dans l'immédiat voulait voir cette tête délicate se briser dans un craquement sourd contre le mur, déversant un flot rougeâtre et âcre alors qu'elle serait encore en vie... voilà qu'il avait changé d'opinion, la trainant telle une vulgaire poupée sonnée par les élans violents du bourreau. Il avait pour lui l'acide du poison qui ronge les coeur dans une agonie terrifiante, la couleur des parfums qui vous chamboulent, le regard vif dont il se lisait en son sein qu'il ne voulait plus que ce corps comme carcasse. Il la violenterait, lui briserait les os et le coeur, la nuque viendrait en dernier ; abuser de sa victime avant de lui donner la mort demeurait des plus jouissifs. Les yeux de la belle se creusaient déjà en des torrents de pleurs et d'effroi à l'égard de son bourreau qui ne voulait plus qu'entendre le coeur de sa victime crier à la douleur, ce qui n'empêcha guère Tyler de la jeter sur le canapé avant de lui plaquer sa lame sur sa gorge blanche. Puis enfin la jeune beauté gémit, des larmes salées sur ses joues alors que Carlson avait pour lui ce sourire mauvais et pervers.

    « Non. Non. Laisse-moi !!! »
    TYLER. - « La ferme trainée, tu adores ça. »

    Un sourire amusé sur les lèvres de Tyler comme ses mains pleine d'appétit cherchaient les courbes de la belle dans un geste cru. Elle se débattait sous lui, l'obligeant à faire pression d'avantage de son corps contre le sien, ses doigts remontant alors avec violence le bas robe échancrée de Maïka qui tentait de combattre le diable malsain. Légèrement essoufflé, il gardait pourtant son rictus sombre et son regard pervers, cherchant dès lors à abaisser l'un des sous-vêtements de la jeune femme afin d'en conclure à son "devoir" écoeurant. Le viol dans le meurtre était d'une telle splendeur que cette dernière n'en demeurait que plus cruel, et malgré les pleurs et les supplications, Tyler ne s'arrêterait dès lors plus. Elle dégustait l'angoisse et tressaillait de violents frissons alors que le mangemort tentait de dévêtir la tigresse encore trop faible, alors que des sens naissaient progressivement au sein du mangemort, subtils et maladifs ; la jouissance, l'excitation, la perversité, la cruauté.

    « Ne fais pas de mal à Jack. C’est mon dernier souhait… »
    TYLER. - « Seulement toi pour ce soir. Tu ne trouves pas ça excitant ? »

    De nouveau un sourire, atroce et odieux, l'homme se pinça la lèvre dans une jouissance vile alors qu'il tentait encore et toujours de la dévêtir d'une main, l'autre étant affairée à tenir son couteau sous sa gorge blanche. Soudain dans un élan d'adrénaline, la belle parvint à la repousser avant de se glisser hors des mains de son bourreau, évitant de justesse la lame affûtée avant d'aller se laisser glisser contre le mur, vidée de toute énergie et encore sonnée. Tyler se leva, hautain, fier et portant sur lui les idées malsaines qu'il avait en tête, il réprima un rire sombre. La folie s'était emparée de lui, au moins autant que la décadence de son esprit habituellement posé, c'était cette obscénité brillant dans ses yeux glacials qui faisaient dès lors froid dans le dos. Il s'approcha à pas lent, dardant de toute sa hauteur la pauvre victime essoufflée, poignard à la main et sourire dément aux lèvres. Puis il s'accroupit auprès de la jeune femme, approchant dangereusement son visage du sien, son souffle chaud et sensuel malgré la violence du moment venant caresser la peau ambrée de la belle. Sa main vint alors effleurer la joue de la jeune fille, sentant ses frissons sous ses doigts à lui en provoquer une extase malsaine. C'était lui, qui la voulait à présent, dans toute l'atrocité de sa douleur, dans toute l'horreur de la scène macabre baignant dans un parfum âcre de sang, de peur et d'excitation. Puis la lame du jeune tueur vint se promener sur sa chair, avide de la découper encore vivante et d'en extirper les boyaux comme un loup dévore sa brebis, il esquissa de nouveau ce sourire mauvais, laissant sa lame froide se promener avidement sur les joues de Maïka, son épaule, et l'échancrure de sa poitrine.

    TYLER. - « Je devrai t'ouvrir la gorge pour que tu ne dises plus de telles conneries May. Tu mérites au moins que je te traite comme la chienne que tu es. » dit-il en approchant ses lèvres de son oreille dans un murmure suave.

    Lentement, l'ombre du mangemort se releva alors qu'il ne cessait de fixer l'Auror de ses yeux sombres et brillant de vices. L'empoignant de nouveau comme un vulgaire pantin, Tyler la força à se lever d'un geste brusque, ses doigts s'enfonçant dans sa chair avec démence alors qu'il l'obligea à prendre le chemin de la chambre. La porte claqua derrière eux, les laissant seuls dans la pièce à coucher plongée dans l'obscurité, et déjà le regard de Tyler se fit perçant. Il poussa alors d'un geste vif la jeune femme contre une commode, laissant tomber dans un fracas monstre les bibelots fragiles s'y trouvant lorsqu'il vint à se plaquer violemment contre la métisse. La respiration saccadée par l'excitation de cette violence crue, il esquissa un sourire, s'empara des lèvres de la belle dans un baiser mordant et plein d'épine, ses mains cherchant alors à lui arracher ses vêtements. La belle avait beau se débattre, il y avait toujours son corps venant faire pression contre le sien dans toute son obscénité écoeurante. La pièce était lourde d'un parfum morbide ; celui du viol proche et hideux, alors que le bourreau en jouissait déjà. Gardant sa propre lame en main, il ôta sa chemise d'un geste brusque puisqu'elle ne faisait que lui limiter de trop ses mouvements.

    TYLER. - « Je vais m'occuper de toi mon ange. »

    Elle qui voulait jouir d'une nuit faite d'ébats passionnés, voilà qu'elle ne s'en tiendrait qu'à de la violence crue. Tout chez Tyler ne respirait plus que la perversité alors que sa respiration se faisait saccadée sous le désir montant d'abuser de sa victime. D'un geste brusque enfin, il parvint à lui ôter sa robe, les sous-vêtements suivirent, dénudant complètement la jeune femme bien qu'elle tentait de se débattre. Le mangemort la jeta dès lors sur le lit sans ménagement, profitant de son instant de faiblesse pour faire tomber sa propre ceinture, ce ne fut plus que vêtu de sa chemise blanche qu'il rejoignit la belle, se couchant sur cette dernière sans délicatesse aucune. Forçant alors sur la voûte des cuisses de Maïka, il l'obligea avec violence à les écarter dans un geste qui malheureusement ne trahissait que trop son expérience dans ce domaine macabre. Ses mains vinrent chercher les poignets fins de Maïka, les enserrant avec force sans que son poignard fidèle ne quitte sa paume. Et alors qu'il la maintenait grâce à son corps trop puissant face à ses courbes frêles, il pénétra son intimité sans aucune douceur, un bref gémissement de plaisir s'échappant de ses lèvres tandis qu'il esquissait un sourire. Ce fut froidement, sans aucune affection, dans l'ultime but de lui faire du mal, de la souiller et de l'humilier que le bassin du jeune homme vint à se mouvoir entre les reins de sa victime, alors que sa main glissa jusqu'à son menton, l'empoignant fermement comme son poignard alla se caler une nouvelle fois sous sa gorge. Ses lèvres vinrent alors contre son oreille dans un souffle suave et menaçant, alors que le mangemort continuait son viol immonde.

    TYLER. - « Dis le. Dis le que tu aimes ça. »

    Ce soir le démon était odieux, se nourrissant de chacune des douleurs de sa victime tout en y prenant du plaisir, il avait encore ce sourire sombre alors que son visage vint se caler au creux du cou de la jeune fille, dans un mouvement de bassin rude arrachant des gémissements plaintifs à sa belle victime. Ironie du sort ; Maïka avait fini par avoir sa nuit de plaisir, qui s'était muée en cauchemar.
 
MessageSujet: Re: ( Honolulu ) Tu fais quoi ? - PV - ||NC-17   
( Honolulu ) Tu fais quoi ? - PV - ||NC-17 EmptyDim 12 Avr - 6:46



Invité
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    « La ferme trainée, tu adores ça. »
    « Je t’en supplie Tyler… »

    Elle le suppliait en gémissant. La pauvre, dirons-nous. Ne l’avait-elle pas cherché ? Oui, mais personne n’avait le droit à de telle violence. Personne n’avait le droit de vivre ce que Maïka vivait, même s’il a mal agi. On ne s’amuse pas à faire du mal, même si elle l’a menacé... Aurait-elle mis en exécution ses plans ? Je crois bien que non, même si Maïka est une garce, elle ne l’aurait pas dit. Elle était trop près d’un mangemort, on aurait trouvé une raison quelconques pour l’envoyer, elle aussi, à Azkaban. Maïka n’aurait rien dit à personne. De toute façon, elle n’avait aucune envie d’aller à Azkaban ou encore se faire poursuivre par d’autres mangemorts. Non merci ! Elle en avait déjà trop dans sa vie en ce moment. Ce n’est pas de sa faute, si les meilleurs amants qu’elle a trouvé sont des mangemorts. C’était une bonne raison pour en avoir dans sa vie des individus louches ou recherchés. Non. C’était une mauvaise raison. Maïka avait toujours eut la tendance à être attirée par les mauvais garçons, donc les vrais méchants. Elle ne savait pas pourquoi. C’était comme ça. Elle avait de drôle de goût c’est certain, mais elle pouvait dire qu’elle avait toujours aimé les méchants, puisqu’elle avait sorti avec Edward Clash quand elle était plus jeune. Est-ce que vous comprenez sa tendance d’aimé les méchants ? Elle ne choisit pas toujours. Son cœur changeait… Pourtant, elle ne se faisait pas aimer en retour par ceux qu’elle aime ou aimait. Maïka aurait aimé être aimée par Tyler et en retour, elle l’aurait aimé, mais elle était effrayée par Tyler. Il lui faisait peur. Dites-vous qu’elle le regrette sérieusement en ce moment. Elle aimerait tout simplement le voir partir. Sa tête lui fait terriblement mal. Elle sentait les mains de Tyler sur son corps. Ce qu’elle aurait trouvé excitant habituellement ne l’était pas en ce moment. Elle se faisait tripoter pendant qu’elle ne voulait pas. C’était une agression, même si ce N’était pas encore un viol. Pourtant, elle avait peur. Très peur ! Il y avait aussi le couteau qui lui faisait extrêmement peur. Maïka pleurait. Qui ne pleurerait pas ? Sûrement une personne qui n’est plus consciente. Maïka regardait Tyler effrayer. Elle avait terriblement peur. Puis Jack était dans une pièce près du salon. L’ex-Gryffondor voulait que Tyler disparaisse… Voulait aussi mourir. Maïka voulait être ailleurs que maintenant… Elle s’en voulait terriblement d’avoir dit ses conneries.

    « Seulement toi pour ce soir. Tu ne trouves pas ça excitant ? »
    « Non S’il te plaît Tyler. Pardonne-moi!! Je t’en supplie ! Je ne dirai rien, je te le jure »

    Elle sanglota quelques instants. Elle se débattait en sanglotant. Elle gémissait de douleur. Elle laissa échapper parfois des plaintes. Maïka voulait s’enfuir, mais elle manquait énormément de force. Elle avait peur. La jeune femme regardait le couteau coin de l’œil avant de regarder Tyler… Elle regardait le couteau puis Tyler sans arrêt. Elle voulait trouver un réconfort quelconques dans les bras d’un homme. Pas le réconfort que vous pensez, bande de pervers ! Le réconfort qu’elle avait quand son père la prenait dans ses bras. Ça l’arrivait rarement. Maïka trouva une force parmi son mal. L’adrénaline fit son effet. Elle poussa Tyler et tenta de se sauver, mais bien vite… La chance qu’elle avait eut par l’adrénaline. L’hawaïenne finit sa petite marche rapide accoter au mur. Elle se laissa glisser tout le long épuisée. Elle se sentait seul au monde. Elle se détestait. Elle pensa à son fils. Elle avait passé ses derniers moments avec ce dernier en le bordant. L’ex-Gryffondor pleurait toujours. Elle ne voulait pas mourir, pas maintenant, mais elle aimerait mourir pour le moment sans quitter son petit Jack. C’est compliqué. Il n’y a rien à comprendre. Ce qu’elle désire c’est que son fils s’en sort vivant. Ce qu’elle souhaitait, c’est que Tyler finisse par se tanner et part de chez elle en lui laissant la vie sauve, mais il ne fallait tout de même pas croire à ça… C’était trop beau pour être vrai. En plus, elle se disait que rien ne pouvait être pire qu’en ce moment. Rien. Il n’avait rien qu’y puisse faire pour lui faire plus de mal. Elle en était sure… Sauf qu’il s’approcha d’elle. Elle leva le regard vers lui. Elle était bien bas, il était bien haut. Il était le maître du jeu et elle la pauvre victime. Maïka avait peur. Il était le loup et elle la brebis. Elle s’était égarée de son chemin, mais le vilain avait trouvé moyen de la punir. Or, si elle restait en vie, elle se souviendrait de sa punition. Comment oubliée la peur qu’elle avait vécu pendant cette soirée ? Comment oubliée l’angoisse ? Comment oubliée le mal qu’elle avait ? Maïka gémit en le voyant approcher sa tête allait exploser… sa tête lui faisait un mal de chien. L’ex-Gryffondor regardait Tyler. Elle essaya de reculer. Elle avait peur. On pouvait le voir dans ses yeux. La peur n’était non dissimulée. Comment pouvait-on dissimulée dan ces moments-là ? C’était inutile, totalement inutile. Il s’agenouilla devant elle. Elle arrêta de bouger. Elle laissa échapper un sanglot… La lame du couteau vint se frotter sur sa peau. Elle tremblait… Maïka n’avait jamais redouté personne, mais Tyler lui faisait peur. Son visage était à quelques centimètres du sien. Elle continuait à le supplier tout en tremblotant comme une feuille.

    « Je devrai t'ouvrir la gorge pour que tu ne dises plus de telles conneries May. Tu mérites au moins que je te traite comme la chienne que tu es. »
    «Non. Non … Tyler je t’en supplie.»

    Elle essaya de se tasser vers la droite, mais il se releva avant de l’empoigner de nouveau. Maïka lâcha un petit cri de terreur. Elle était terrifiée. Elle sentait qu’il avait trouvé une autre torture à lui faire. Il la leva de force. Elle se retrouva sur ses pieds, chancelante, comme une fêtarde après avoir bu… Il lui enfonçait les doigts dans la peau. Elle souffrait. Elle se débattit encore un peu. Avant, qu’elle n’eut aucunement le choix de se faire entraîner dans sa chambre à l’autre bout du couloir. Ils passèrent devant la chambre de Jack, la porte était fermée. Maïka fut rapidement dans sa chambre, même si elle avait terriblement peur. Il claqua la porte derrière eux. Elle respirait bruyamment. Elle répétait : « Tyler arrête. Ne me fais pas ça ». Elle le suppliait. Maïka sentit son corps projeter vers l’arrière après s’être fait pousser. Elle se cogna contre une commode. Plusieurs bibelots tombèrent autour d’eux. La jeune femme avait le souffle couper. Elle laissa échapper un gémissement de douleur. Il se retrouva coller contre elle. Maïka essayait de le repousser autant qu’elle le pouvait. Elle ne réussissait pas. Elle se fit embrasser. Elle essaya de reculer sa tête, mais sa tête vint frapper la commode. Maïka continuait à pleurer. L’auror se débattait encore et toujours. Elle sentait une des mains de Tyler qui cherchait à ôter sa robe de vinyle. Il réussissait à ôter la robe la plus serrer qu’elle avait dans son garde-robe. Elle avait mal au cœur. Maïka voyait la lame du couteau brillé par la faible lumière que produisait la lune par une petite craque entre deux rideaux. Elle avait peur de ça, le couteau. Ce petit objet pouvait faire beaucoup de chose… il pouvait déterminer bien des choses aussi.

    « Je vais m'occuper de toi mon ange. »
    « NOOOOON »

    Elle le regardait effrayer. Elle avait laissé un hurlement s’échapper… Un non plaintif. Maïka souffrait. Maïka voulait disparaître. Il réussit à la déshabiller, bien qu’elle se débattait. Elle voulait être ailleurs qu’ici dans sa chambre. Elle qui avait cru avoir une soirée de débat… huum disons plutôt amoureux que de ce qui se préparait. Elle savait maintenant où ce que Tyler voulait en arriver. Maïka était nue. Elle était si faible face à cet homme qui avait pris les rennes. Elle était rien pour lui. Une victime comme une autre, elle se sentait comme ça… Elle se sentit pousser sur le lit. Elle tomba sur le lit. Elle essaya de nouveau de s’enfuir, mais elle entendit la ceinture de Tyler tomber au sol. Elle prit peur. L’auror essaya de s’enfuir encore plus que jamais. Elle essaya de ramper sur son lit. Elle n’eut le temps de rien faire que de bouger que quelques centimètres que Tyler se coucha sur elle. Maïka essaya de le frapper. Elle n’essayait pas… Elle le frappait pour de vrai. Elle n’eut pas le choix d’écarter les jambes… elle n’avait pas le choix. Il avait de l’expérience. Elle le voyait. Tyler était un violeur expérimenté. Elle pouvait le découvrir en expérimentant… Ce qu’elle aurait souhaité de ne pas expérimenter. Ses mains étaient maintenant au dessus de sa tête. Il lui tenait les poignets. Elle sentait le poignard de ce dernier près de ses mains. Celui-ci ne se gêna pas pour le reste. Il la viola. Maïka l’entendait jouir, mais elle ne jouis pas. Elle avait mal. La Gryffondor était stressée, elle avait peur. Alors devinez pourquoi elle avait mal… Une femme qui a couché plusieurs fois avec des hommes… avait terriblement mal par le stresse et la peur le vagin se resserre puisque c’est une cavité musculaire pour le violeur ça procure un plaisir extrême, mais pour la victime, c’est douleur et ça produit des saignements. En plus que la cavité musculaire se rétrécit… Maïka avait mal, car ça lubrifiait pas comme si elle aurait couché pour avoir du plaisir… C’était sec ( C’est un grand mot, mais j’oublie le mot du lubrifiant naturelle désolée -.- )… Ça lui faisait mal. Il lâcha ses mains pour venir glisser une main sur son menton et l’autre il tenait le couteau qu’il vint mettre sous sa gorge. Elle pleurait tout le long. Elle se plaignait tout simplement tout le long du viol, qui n’avait commencé que quelques minutes plus tôt.

    « Dis le. Dis le que tu aimes ça. »
    « Noooooooon. TU me fais mal. ARRÊTE »

    Elle criait parfois. Elle souffrait terriblement. Maïka tenta de le faire tomber en bas du lit. Elle voulait prendre la fuite. Elle avait mal. Ce qu’elle avait voulu ce soir, c’était une nuit avec le bel homme, mais en ce moment sa nuit c’était transformée en une fin de vie… Celle qui avait espéré avoir une partie de plaisir, souffrait. Celle qui avait espéré en profité… voulait disparaître. Maïka bougea son bras et sa main… Elle essaya de faire éloigner la main qui tenait le couteau de son cou. Maïka tourna la tête vers la tête de dernier et le mordit au cou. Elle essaya de le mordre le plus souvent qu’elle le pu tout au long du viol. Plus qu’elle avait mal, plus qu’elle le mordait. Elle le mordit une fois à l’oreille. Elle ne pouvait rien faire d’autre.

    « Tyleeeeeeeeeeeeer arrête. ARRÊTE… ARRÊTE »
    Elle tenta une tentative. « Je ne vais rien dire promis.... JE NE DIRAI RIEN. MAIS ARRÊTE LÂCHE MOI ! »


{ Désolée c'est pourri -.- }
 
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