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 Sujet: Abaddon, the baffled king. « What i want doesn't matter. »
Sam 21 Fév - 22:03
| | Nombre de messages : 173
Age : 31
Origine : Irlandaise.
Familier : Un fléreur blanc.
 Lady Etàn D. Grey
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Abaddon Van Hellsing
25 ans
Directeur d'AzkabanABA'S THEME_________________________________ - Spoiler:
nom de l'acteur/actrice : Jackson Rathbone
pseudo, ou prénom : Le Sha!
âge : 16 piges :3
ce que vous pensez du forum : C'est le mien, je pense ce que je veux XD
présence possible sur Ad Nox : Autant que je le pourrais =)
Passeport d'Abaddon Van Hellsing.
[x] Prénom & Nom : Abaddon Méphistophélès, Van Hellsing. Abaddon est un Ange Apocalyptique qui viendra sur terre lorsque le jugement dernier aura sonné. Méphistophélès n'est pas un ange mais n'en reste pas moins sinistre puisqu'il s'agit d'un Prince de l'Enfer, régnant sur une centaine de légion. Van Hellsing se traduit littéralement par Qui vient de l'Enfer Chantant.
[x] Date de naissance : 31 Octobre 1975, le jour d'Halloween donc.
[x] Lieu de naissance : Il est né en Hongrie, dans le Manoir Hellsing.
[x] Origine Géographique : Le père d'Abaddon est né et a vécu durant toute sa vie en Hongrie. La mère d'Abaddon est cependant native de Norvège, où elle a longtemps vécu avant d'emmenagé elle aussi en Hongrie. Quand Abaddon eut deux ans, il emmenégea en Angleterre, à Godric's Hollow. Sa famille est liée aux Shakespear qui eux, sont anglais.
[x] État civil : Il est épris d'une personne depuis qu'il a huit ans, mais il ne le lui a jamais dit et encore aujourd'hui, il sait que cet amour n'est qu'à un sens. En profondeur, une esquisse.
[x] Baguette magique : Etant Alchimiste, Abaddon n'a pas de baguette.
[x] École fréquenté durant l'adolescence : Abaddon n'est jamais allé à l'école. Plus jeune, sa mère lui faisait les leçons, et quand il eut l'âge de maîtriser son alchimie, c'est son père qui lui enseigna les rudiments de cet art délicat. Il a passé plusieurs certificats en tant que candidat libre.
[x] Formation, curriculum vitae : Abaddon, une fois passé ses certificats d'aptitudes à dix neuf ans, a postulé afin d'avoir une place en tant que gérant des places d'Azkaban. L'ancien directeur étant vieux, ce dernier lui a cédé de bon coeur la Direction totale de la prison.
[x] pureté du sang : Abaddon n'appartient pas à une classe donnée. Toute sa lignée ne sont pas des sorciers mais ne sont des moldus non plus. Ils sont en effet alchimiste de père en fils aîné, et ce depuis des siècles. Abaddon est donc en dehors et au dessus de la pureté du sang.
[x] Origine Sociale : Les Van Hellsing sont très aisés. En quelques mots, c'est ça.
[x] Caractère : A première vue, Abaddon est un personnage sombre, voir sanglant. Plus profondément, il l'est. Froid comme la glace, il est délicieusement noir. Chacun de ses pas résulte d'une mine de haine et de colère refoulé au plus profond de lui même. On le voit, et on en rit. Garçon trop maigre pour l'être vraiment, il semble déconnecter du monde qui l'entoure. A moitié autiste, cette déconnection du monde lui donne une force d'esprit impresionnante, s'en suit alors un courage inestimable, une ammoralité qui ferait presque peur, et une intelligence folle. Abaddon est un calculateur. Il calcule sans cesse, et ses plans arrivent toujours à ses fins. Chat qui aime titiller les souris, il est pourvu d'un grand cynisme qui lui font alors tourner toutes les scènes les plus monstrueuses au ridicule. Pourvu d'un humour plus que noir, il s'amuse de tout et de rien, mais surtout des autres. Il aime les agacer les gens, les pousser à le haïr. Abaddon est aussi quelqu'un de très vif et fin d'intelligence. Il est bon psychologue d'ailleurs. Les années passaient isolés l'ont sans doute forger à ne pas ressentir ce manque constant qu'ont les autres, à vouloir être entourer ou aimer. Abaddon est suffisant à lui même, il l'a assez souvent répété.
Seulement, cela n'est que la face immergée de l'esprit machiavélique du jeune homme. Intérieurement, Abaddon est un homme bon, dont le coeur en or ne brille qu'à sa défaveur dans un monde où la vertu est piétinée. Pour se protéger de toute cette haine, il s'est crée une image, une image de monstre, de vampire presque, de démon. Mais avec ses amis, il est très différent. Sérieux et calme, souvent nerveux, Abaddon est encore un petit garçon perdu, qui ne voit que par elle et elle seule. Il aime la voir, et il ne peut pas s'en passer. Tous les jours que Dieu fait, il se rend chez elle, ou l'attends chez lui, pour prendre des nouvelles. Quand elle n'est pas là ou qu'il n'a pas de réponse, il souffre, et son coeur explose. Car si Abaddon est un démon, il reste terriblement sensible et se protège là encore du mal qui pourrait lui être fait. Effrayé par la douleur, il vous rira au nez, mais intérieurement, il pleurt, l'enfant roi. N'essayez pas de le comprendre, il ne le veut pas.
C'est un être qui n'a peur de rien, et surtout pas de vous. Il se tient droit devant vous, mais devant elle, il mettra le genoux à terre. Pourquoi? Car Abaddon est comme ça. Entendez le, c'est un Démon sortit de l'Enfer, et quand la mort est proche, vous entendez le requiem qu'il fait sonné, et ce Requiem lui est dédié, à elle, et à elle seule. Mais ça, vous ne pouvez pas le comprendre. Vous le pourrez jamais.
Abaddon est un garçon excentrique, tout à fait déplacé. Son caractère en fait quelqu'un d'extremement sociable, à partir du moment que la personne avec lui comprenne son humour et l'apprécie, car malgré qu'il soit tout à fait aimable, Abaddon a aussi, et surtout, des défauts. En plus d'être quelqu'un d'une arrogance rare, il accorde à certaines personnes des rangs précis dans son estime, ce qui peut aller du dédain le plus complet à l'adoration. C'est ce qui en fait quelqu'un de très sectaire et curieux, qui essaye tant bien que mal de ranger tout le monde comme il le peut. Il est quelque peu maniaque, en essayant de tout contrôler et de tout savoir. Il a comme un manque. Celui de ne pas être complet. Il se sent tout à fait vide, et ça, ça l'angoisse. Il se pose mille et une questions sur lui, sur la vie, il essaye d'anticiper son futur, mais n'y arrive pas, et quand il est nerveux, soit Abaddon rougit et se ferme, soit il explose et devient violent. Car il ne connaît pas le juste milieu. C'est un garçon 'du tout ou du rien', qui peut être aussi calme et bon qu'un agneau comme il peut être le dernier des bâtards de cette terre.
Abaddon, l'ange destructeur. A l'origine, juste une référence au nom d'un saint Patron, son prénom est tout de suite devenu toute une insitution autour de lequel tout le monde se base. Quiconque le croise se rend compte que son aura est violente malgré un visage froid. Noir et terriblement froide, on s'imagine tout de suite voir Abaddon, des ailes dans le dos, portait une croix dans son main et une balance dans l'autre, tel le Juge du dernier jour des hommes sur terre. Il n'en n'est rien. Certes croyant, Abaddon ne s'est jamais pris pour qui il n'était pas, et encore moins pour Dieu. En tant que fils d'un Ministre, et surtout métamorphomage de par sa mère, il possède une certaine arrogance, rare même, mais tellement insignifiante, car quoi que l'on dise, même si l'on pense qu'Abaddon fait tout simplement 'le crâneur', il n'en n'est rien. Il a l'équivalence de puissance que ce qu'il avance. Quoi que l'on dise, Abaddon est une personne puissante.
La magie entière habite ses veines et il ne vit pas une seule seconde sans qu'il ne remercie le Très Haut de lui avoir léguer une telle énergie. C'est un grand travailleur, et il puise en lui même la force d'être ce qu'il est, car Abaddon est à la fois pointilleux et ambitieux. Sa curiosité le pousse bien souvent à apprendre avant tout le monde, et cette façon qu'il a de détester la médiocrité le rend redoutable en duel d'alchimiste. Cependant, malgré qu'il soit puissant pour son âge, Abaddon ne montre jamais sa vraie nature. Il fait toujours plus ou moins semblant, feignant bien souvent la dureté quand tout est plus simple. Pour lui, estimer à sa vraie valeur l'ennemi est plus intéressant que d'être plus puissant que lui. C'est un être très observateur qui avec le temps est devenu perspicace. Il devine assez facilement ce que d'autres ne voient jamais. Son intelligence particulière et son analyse spontanée et détaillée le rendent particulièrement complexe à contrecarer.
C'est en plus de cela quelqu'un de rusé qui, bien souvent avec l'aide de Nath', devient inévitablement un berseker. Vous vous demandez ce que s'est? Ah ah! C'est typiquement mythologiquement inconnu au monde des moins cultivés. Un berseker est un être puissant qui, une fois déchaîné, se montre être un monstre, un homme cruel, mi homme, mi bête. Bien sûr, Abaddon n'est pas un lycanthrope comme Wolfgang, mais il reste d'une crudité sans égale une fois en colère. Plus d'une fois, rien que par les paroles, il a fait fuir quelqu'un qui était supérieur en grade, mais jamais, non, jamais, il n'a fuit. Car si Abaddon n'est pas très épais, voir même trop grand pour son poids, il est loin d'avoir la fibre du lâche. Au contraire.
Abaddon, comme la troupe qu'il suit, est un écorché vif. Il préfererait mourir que d'être un lâche! En plus de ne pas supporter l'échec, c'est quelqu'un à qui l'honneur incombe beaucoup de devoir, comme celui de ne pas frapper une femme, en -presque- aucun cas, ou encore de ne jamais se mettre à genoux devant qui que ce soit. Jamais. Abaddon a beaucoup de convictions et de règles qu'il respecte scrupuleusement, ce qui l'a rendu bien plus fort que n'importe qui. Moralement, Abadodn est implacable. Il a développé au fil des années une certaine vigueur morale qui le rend très durement effrayable.
Au contraire, c'est Abaddon, qui est effrayant.
[x] Don, capacité, maladie particulier/ère : Abaddon a hérité du don de Métamorphomagie de sa Mère ainsi que de l'Alchimie de son Père. Il est le premier et l'unique Alchimiste a être Métamorphomage au monde. On a longtemps cru qu'il était une chimère puisque son code ADN possède deux génotypes, choses impossible pour un humain. Par ailleurs, on soupçonne Abaddon d'avoir été crée à partir de l'Alchimie même, ce qu'il ne dénie pas mais n'affirme pas non plus.
[x] Physique : On a souvent dit qu'Abaddon ressemblait à un vampire. Sans doute a t-il été de trop prêt confronter à ses bêtes, dans son pays, pour que celà l'atteigne physiquement. Mais on raconte aussi que sa naissance hors nature a sans doute pousser son corps à suivre un développement différent. Mais tout celà n'est que rumeur. Abaddon reste humain par dessus tout. Grand et maigre, peut être même un peu trop, le Destructeur est une grande aubergine, si je puis dire. Mince, certes, mais son physique dégage comme une sorte d'impérialité qui ne compte par pour du beurre. Imposant par la taille mais aussi par la prestance, Abaddon a tout d'un noble, dont les habits. Il ne semble posséder que quatre habits différents : sa veste de velours bordeau et un jeans noir ; sa chemise blanche et son jeans noir ; sa veste noir et son jean noir et finalement rien. Vous l'auriez compris, Abaddon n'aime que deux couleurs : le noir et le rouge. Il porte très rarement autre chose, le blanc n'étant pas une couleur selon lui. Hormis celà, on remarquera une chose assez troublante : Abaddon possède des yeux aux couleurs changeants selon son humeur. En présence d'elle, ses yeux deviennent rouge vif et brillent d'une étrange lueur. Quand il est calme, ses yeux sont bleux opaques et profonds, un bleu ciel. Quand il est énervé, ses pupilles sont d'un noir corbeau. Quand il est nerveux, ses yeux deviennent verts émeraude et virent soit au bleu translucide, soit au marron noisette quand il a trouvé une échappatoire. Seulement, la lecture de ses pupilles est rendue difficile par les longs cils noirs qui les cachent. Son visage est par ailleurs encadré par des cheveux variants du brun foncé au blond mal coloré dont les racines châtains restent tout à fait visibiel, lui donnant l'air d'un agonisant. Car si Abaddon a bien une faculté, c'est faire semblant de souffrir, et ce, atrocement.
Abaddon possède deux tatouges très différents. L'un de trouve dans son dos, un peu en dessous de sa nuque. Il s'agit d'une croix toute simple, creuse, entouré de deux ailes de démon. Il possède un autre tatouage, au bas du buste, près de la zone sensible masculine. Il s'agit de Damnation écrit en lettre gothique, en lettres noires. Il a une grande cicatrice sur la paume de la main droite, celle avec laquelle il tenta de prendre une baguette en main.
Dernière édition par Abaddon M. Van Hellsing le Dim 22 Fév - 18:02, édité 1 fois |
| | | | Sujet: Re: Abaddon, the baffled king. « What i want doesn't matter. »
Dim 22 Fév - 0:33
| | Nombre de messages : 173
Age : 31
Origine : Irlandaise.
Familier : Un fléreur blanc.
Lady Etàn D. Grey
.[x] Famille :
 
Méphistophélès Béliard, Van Hellsing, 55 ans.
Père d'Abaddon et de toute la tripotée, c'est un homme qui n'a pas eu vraiment de chance en amour. Après une enfance en Hongrie très dissolue, entre un père alchimiste absent et une mère vélane proche de l'inceste, Méphistophélès a longtemps eu des problèmes avec les femmes, et ça n'est qu'à vingt cinq ans qu'il trouva une femme, sa première femme, Lucypher Van Allakukian avec qui il aura, cinq ans plus tard, un enfant : Abaddon Van Hellsing. Bien qu'elle mourru deux ans plus tard, l'obligeant alors à se rabattre en Angleterre afin de se rapprocher des Shakespear, branche voisine dela leur, il resta très touché par cette perte. Il connaîtra deux autres mariages tout aussi désatreux et se retrouvera à la tête d'une joyeuse bande de luron. Actuellement, il avocat au magenmagot. Un très bon avocat qui choisi scrupuleusement ses dossiers. Il n'a perdu que deux dossiers sur plus d'une centaine traitée. Il est heureux que son fils aîné soit le Directeur d'Azkaban et s'occupe à merveille de ses enfants. Il habite à Godric's Hollow depuis qu'il a trente deux ans. Il est très proche de ses voisins, les Nod, qu'il connaissait de par son père, ami même du père de Noé de Nod.
 
Lucypher Sincérité, Van Allakukian, décédée
Première femme de Méphistohélès, et mère d'Abaddon, elle était une femme magnifique, avec un coeur en or, mais une maladie l'emporta alors qu'Abaddon n'avait que deux ans. On se rappelle d'elle comme une femme fidèle et modeste, avec un language modéré et une certaine retenue.Première femme de Méphistohélès, et mère d'Abaddon, elle était une femme magnifique, avec un coeur en or, mais une maladie l'emporta alors qu'Abaddon n'avait que deux ans. On se rappelle d'elle comme une femme fidèle et modeste, avec un language modéré et une certaine retenue.
 
Ludmila Nina, Von Manovitch, 53 ans.
Ludmila est la deuxième femme de Méphistophélès. Elle était énergtique et douce. Elle prit soin d'Abaddon avant d'avoir elle aussi des enfants, un garçon et des jumeaux : Gabriel, Faust et Baal, les casse coups. Elle décéda violemment, assassinée par un mangemort alors qu'elle sortait du Ministère. Elle était une jupe impartiale et dure, souvent critiquée pour ses sentences lourdes. On ne retrouva jamais le meurtrier de cette dernière.
 
Gabriel Michael, Van Hellsing, 23 ans.
Seul enfant Van Hellsing a avoir reçu un prénom d'ange et a être blond aux yeux bleus, Gabriel est le premier enfant du couple Ludmila et Méphistophélès. C'est un garçon qui fut très proche d'Abaddon et encore aujourd'hui il est heureux de pouvoir cotoyer ce dernier, qui semble si solitaire, le midi. Car le lien qui unit Abaddon et Gabriel est très fort : ils mangent ensemble tous les midis, se rejoignant chez Mocca. Gabriel est langue de plomb et travaille très dur. C'est un garçon très sympathique que rien n'énerve. Il est même, selon Abaddon, beaucoup trop gentil. Il a connu une déception amoureuse qui l'a beaucoup marqué, depuis, il n'a plus personne dans sa vie. C'est un ancien Gryffondor.
 
Faust Arioch, Van Hellsing, 21 ans.
Faust est l'aîné des jumeaux, il est le premier né et donc le plus grand. Il est reconnaissable grâce à ses cheveux plutôt courts, contrairement à son frère. C'est un vrai casse coup qui n'en fait qu'à sa tête. Auror, il travaille pour le bien, mais il doit souvent être repêcher par Gabriel à cause de ses erreurs. Il est tête en l'air et rêveur. C'est un ancien Poufssoufle, il doit avoir garder ce côté travailleur mais jenfoutiste quelque part. Il aime beaucoup les demoiselles et n'arrive pas à se fixer. C'est un coureur de jupon invétéré.
 
Baal Asmodée, Van Hellsing, 21 ans.
Baal est le cadet des jumeaux, et il semble d'ailleurs plus jeune que Faust, mais c'est sans doute à cause de ses cheveux qu'il laisse pousser afin de ne pas être confondu avec son idiot de frère. Baal, contrairement à Faust, est quelqu'un de sérieux et de réfléchi, même un peu trop. Ancien Serdaigle, son amour pour les livres ne l'a jamais lâché et encore aujourd'hui, il aime à se prélasser dans les anciennes écritures. C'est un langue de plomb qui travaille dur et aide, comme il le peut, son frère Faust. C'est, cependant, lui aussi un vrai casse coup qui a fait plus d'une fois des folies. Identique à son jumeau, c'est un coureur de jupon, même s'il ne court qu'après les formes masculines. Que voulez-vous... On ne se refait pas.
 
Malikka Selena, Van Polivovna.
Troisième femme de Méphistophélès, elle eut avec lui une très longue relation, houleuse mais qui resta passionée, pour enfin lui donner trois autres beaux fils. Elle décéda brutalement d'une maladie qui paru une éternité. Abaddon ne fut pas très proche de Malikka car elle arriva assez tard dans son adolescence, alors qu'il souffrait encore de la perte de sa deuxième mère en quelques sortes, mais il se rappelle d'elle comme d'une femme délicate et attentionée, ainsi que discrète.
 
Bélial Eurynome, 20 ans.
Premier fils du couple Malikka et Méphistophélès, Bélial s'est longtemps sentit en dehors du cercle famillale. Abaddon encore aujourd'hui ne considère pas réellement Bélial comme un petit frère mais plutôt comme un membre de la famille. Il n'est pas très proche de ce dernier malgré leur cinq ans de différence, ce qui ne représente presque rien. Bélial est auror au Ministère. C'est un ancien Serdaigle, ce qui se voit : il est toujours très sérieux, presque coincé. Il travaille parfois avec Faust, même si ce dernier est trop... trop, pour lui.
 
Kelen Belzebuth, 19 ans.
Deuxième fils de Malikka, Kelen a été mieux acceuilli dans la famille que Bélial. Sa sociabilité l'a toujours aidé à s'adapter. Faust et Baal sont très proches de Kelen car ce dernier sait s'amuser. Ancien gryffondor, il est dresseur de dragon. Il a par ailleurs, toujours prêt de lui, un Opaloeil Lion, ce qui n'est pas recommandé, mais que voulez-vous... il est comme ça, Kelen. Amoureux des animaux. Abaddon l'apprécie beaucoup même s'il le trouve un peu trop... bavard.
 
Orias Verdelet, 18 ans.
Orias est le petit dernier et le plus surprotégé. Immature, c'est un grand capricieux et un grand arrogant qu'Abaddon a eu déjà remettre en place deux fois. C'est un vrai cancre, et il a eu du mal à passer sa septième année. Dernièrement, il s'est lancé dans les arts obscures, et il pense pouvoir décrocher un petit boulot en tant qu'enchanteur, chose fort possible si ses frères l'aident. |
| | | | Sujet: Re: Abaddon, the baffled king. « What i want doesn't matter. »
Dim 22 Fév - 17:31
| | Nombre de messages : 173
Age : 31
Origine : Irlandaise.
Familier : Un fléreur blanc.
Lady Etàn D. Grey
« The angel dust-winged » « Even if you are insane, even if you are not this angel the others see in you, even if you are not my real brother, even if you swear an angel's name, blond hair and this kind of morals, even if you are this sort of guys, Gabriel, i can't let you alone. And even if it's bad or just obscene, i love you, Gabriel. As a brother, but not as you like me. So... please. Don't look at me with these eyes. I really can't return your feelings, because it's gross. Look me Gaby. I will be always with you, but just for protect you... don't cry, Gaby. You look like a child when you are like that... Gaby. You reduce my heart in dust, in ashes, with yours fangs.
Gaby. I'm with you. Don't cry anymore. »
Le grand lit d'Abaddon lui avait toujours paru démesuré par rapport à sa vraie taille, et même si Méphistophélès assurait que plus tard, la taille serait parfaite, il n'en voyait pas la vraie utilité de trois mètres sur deux mètres de lit. Il ne serait jamais aussi large et jamais aussi grand. Il ferma les yeux et soupira doucement, coulant un peu plus derrière les couvertures. Il repensa à la journée qu'il venait de passer avec Nathanaël et Samaël. Il eut un petit rire en repensant à la tête qu'avait fait Gabriel quand Nathanaël avait menacé de lui arraché le bras s'il ne lui rendait pas le ballon. Le pauvre blondinet était vraiment trop naïf... Abaddon sentit un pincement au coeur et cilla, serrant les dents afin d'étouffer un cri. Dehors, la pluie tombait toujours. Ça avait commencé peu après dix huit heures. Ils avaient du rentré, lui et les autres. Gabriel, Faust, Baal et Bélial. Orias avait encore fait sa tête de mule et Kelen avait passé son après midi dans les livres avec Méphistophélès. Abaddon eut un sentiment de vide extrême à ce moment et se coula un peu plus sous les couvertures jusqu'à totalement disparaître en dessous. Il se souvint que dans quelques années, ils partiraient tous loin de lui et lui, il serait seul. Ça n'était pas vraiment l'idée d'être seul qui l'effrayait mais de les laisser seuls, eux. Nathanaël n'était pas vraiment une personne mature et Gabriel était loin d'être un leader né... il n'y avait pourtant aucune issue pour lui et il n'était pas question pour l'alchimiste d'aller à Poudlard. Gâcher son potentiel pour les garder n'était pas concevable. Il serra ses bras contre lui et sentit un haut le coeur. Pourquoi devait il endosser le rôle de père envers ses enfants? Pourquoi Méphistophélès n'était là que pour livre et rire? N'y avait il pas une éducation à fournir? Des explications à donner? Les Van Hellsing n'étaient ils donc que communauté d'autiste, rivalisant pour une première place imaginaire, ne cherchant qu'à masturber leurs intellects? Il sursauta quand l'éclair éclata, déchirant le ciel. Il sortit la terre de sous la lourde couverture et regarda aussitôt devant lui. La porte venait de grincer laissant apparaître le visage pâle de son frère, les mèches blondes coller à ses tempes et ses yeux rougis par les pleurs. Abaddon le regarda et lui fit signe d'approcher. Le blondinet se précipita vers lui et sauta sur le lit, remontant rapidement pour enlacer son frère. Il éclata en sanglot sur l'épaule d'Abaddon qui ne bougeait plus. Toutes les nuits, ou presque, Gabriel avait des cauchemars de morts, de sang, de choses d'adultes. Il en avait peur, et l'orage ne faisait rien pour arranger la chose. Alors il venait ici, dans la chambre d'Abaddon, la plus haute et la plus grande du Manoir des Van Hellsing, mais aussi la plus sobre et la plus sombre. Abaddon serra son frère quelques secondes et soupira, se reculant un peu. Il porta contre la joue sa main et essuya de son pouce les larmes qui avaient coulé sur les joues de son frère. Il soupira doucement.
« Les garçons ne pleurent pas, Gaby, même s'ils font d'horribles cauchemars... » Il le serra contre lui, lui tapotant doucement le dos. « Ne t'inquiètes pas, je suis là. Tout ira bien, tu n'as plus besoin de trembler comme une feuille, je te protège. Tu entends Gaby? Tu n'as pas à avoir de la mort... cette mort, elle n'est pas pour toi. Gaby. Regarde moi. » Le blondinet croisa le regard bleu brillant de son frère. « Tu n'es pas seul, alors n'est pas peur. Je suis là, prêt de toi. »
Gabriel renifla et prit quelques minutes afin de reprendre une respiration normale. Il essuya du revers de sa main les dernières larmes qui séchaient à la commissure de ses yeux bleus. Abaddon écarta la couverture, l'invitant à s'allonger. Aussitôt le blond se posa dans les draps blancs et alla se coller de tout son long contre Abaddon, tremblant encore. Les éclairs dehors frappaient et, faisant vibrer tout le manoir, ne rassuraient pas le blond qui tremblait de plus en plus fort.
« Aba'... Je... » Il renifla.
« Qu'est-ce qu'il y a? »
« ...je t'aime. » Susurra t-il.
« Moi aussi. Je t'aime Gaby. » Il lui déposa un baiser sur le front et eut sourire tendre. « Dors maintenant. Demain sera plus beau, et tu auras droit à un beau arc-en-ciel... »
Gabriel eut un petit sourire et ferma lentement les yeux. Le sommeil l'emporta sur l'envie de rester debout. Il s'assoupit après seulement quelques minutes.
[...]
Abaddon arqua un sourcil sous son oreiller. Il n'était que minuit mais c'était tout de même tard pour une visite, que ce soit des Nod comme de son frère. Il grogna en poussant la couverture de sur lui, laissant apparaître un corps fin et élancé, finement musclé et blanc comme le nacre, brillant presque dans la pénombre. Il s'avança, uniquement habillé d'un caleçon noir, et ouvrit, las, la porte. Il ne fut pas surpris de trouver le visage du jeune blond derrière cette dernière. Ce dernier avait les larmes aux yeux, prêt à fondre en larme. Abaddon le regarda quelques secondes et sentit dans sa poitrine une douleur atroce. Il ouvrit un peu plus grand la porte et le laissa entrait. Gabriel jeta sur le premier fauteuil sa veste et enlaça aussitôt son frère, tremblant, entre peur et angoisse. Abaddon ne bougea pas et posa à peine sa main sur les cheveux mouillés du jeune homme tremblant dans ses bras.
« Qu'est-ce qui t'amènes à cette heure de la nuit chez moi, Gaby? »
« Seamus m'a menacé Abaddon! Il a dit que j'étais... que j'étais... »
« Que tu étais quoi? » Abaddon arqua un sourcil, visiblement agacé.
« Il a dit que je n'étais qu'un... dégoûtant... car... je... »
Gabriel ravala ses sanglots mais cela ne suffit pas. Abaddon sentit contre son torse le contact froid des larmes et de sa peau, ce qui lui fit hérisser le poil. Ses yeux étaient d'un noir obsidienne, et même s'il essayait à tout prix de les ramener à leur bleu originel, l'alchimiste n'y arriverait pas. Déjà son coeur pulsait en lui dans une rage meurtrière. Son sang pulsait à une vitesse impressionnante dans ses veines.
« Pourquoi a-t-il cela, Gabriel? Il doit bien y avoir une raison, non? »
« Je... c'est que... il a dit que j'avais un trouble, Abaddon. Que... »
« Que tu avais un trouble de la personnalité dépendante. » Gaby eut un hoquet de surprise. « Je vois. Ça n'est rien. Ça n'est pas le premier qui te le dit, pas vrai? » Abaddon eut un sourire sincère. « J'avais peur que ce soit autre chose... »
« ..autre chose? »
Abaddon le regarda. Gabriel se tenait si proche de son visage qu'il pouvait voir jusqu'au fond de sa rétine. C'était presque trop proche, pensa t-il soudainement. Au même moment, Gabriel se détacha de lui et l'alchimiste sentit que quelque chose aller se passer. Il resta figé sur place et son regard se fixa sur le blond qui avait soudainement baissé la tête.
« ...je... Abaddon... depuis longtemps, tu sais, je voulais te dire que... je ne supporte pas de te savoir loin de moi. Je crois que... »
« Non. » Les pupilles d'Abaddon se rétrécirent violemment. Il savait déjà.
« ...que je t'aime plus que comme un frère... »
Il y eut un grand bruit dans la pièce. C'est après coup que Gabriel sentit la douleur lui lacérait la joue droite et cette douleur se transformait en une chaleur dévorante. Sa joue? Elle devait certainement porter la marque des cinq phalanges de son frère. Gabriel resta quelques secondes dans la tête position, la tête tournée vers la gauche, ses cheveux cachant les larmes qui roulaient déjà sur ses joues, s'écrasant sur le sol. Abaddon réagit après coup qu'il avait mal fait. Il sentit un long frisson lui remontait l'échine et se précipita sur Gabriel alors que ce dernier le regardait avec une lueur qu'il n'avait jamais encore vu dans ses pupilles. Cette lueur lui troua l'âme au plus profond de lui.
« ...je... je... je suis vraiment... dégoûtant...? »
Il y eut un reniflement et Gabriel resta devant Abaddon, posant lentement sa main sur la joue qui le brûlait intérieurement. Les larmes tombaient d'elles même. Pour la première fois, Gabriel aurait voulu qu'il ne pleur pas, mais c'était bien inutile et absurde. La douleur avait réveillé les larmes, la douleur physique, mais celle morale, qu'avait elle réveillé? Rien. Juste la déception. Il était profondément déçu, et triste. Il y avait cette détresse dans son regard. Gabriel sentit les bras d'Abaddon l'enlaçait et le berçait, comme un enfant. Il se souvint soudainement que son frère avait toujours été comme ça... il prenait soin de lui comme un enfant... juste comme un enfant...
« Je suis désolé Gaby, je voulais pas, c'est partit tout seul.. c'est de ma faute... pardonne moi, s'il te plaît, pardonne moi. Je ne pourrais ne pas m'en vouloir si tu ne pouvais pas même me pardonner... je suis désolé, je ne voulais pas... »
Intérieurement, Abaddon comprit une chose. Une chose essentielle. Il venait de décevoir son frère comme personne au monde. Cependant, que pouvait il faire maintenant? Il se balaça encore ainsi quelques longues minutes durant laquelle Gabriel ne fit que regarder le visage de son frère sans un mot. Il s'endormit dans le lit de la même façon. Abaddon regarda le plafond et se rendit compte d'une chose.
Cette lueur qui brillait au fond des yeux de son frère, ça n'était pas de la déception, ni de la tristesse, ni même de l'anxiété. C'était juste la frustration d'un enfant devant un jouet qu'il ne pourra jamais avoir. Ça n'était juste que de la frustration...
[...]
« Abaddon, on sera toujours ensemble pas vrai? »
« Oui. Jusqu'à la fin des temps! »
« Et tu n'aimeras que moi, non? »
« ...Gabriel... j'aimerais que tu saches que... »
« Quoi? »
« ...sur terre, il y a une personne à laquelle je tiens plus que tout au monde. »
« Plus que moi? Plus que Papa, Baal, Faust, Bélial, Kelen et Orias? »
« Cette personne, c'est ma raison de vivre, Gabriel. »
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| | | | | | | | | | | | | | Abaddon, the baffled king. « What i want doesn't matter. » | |
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