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 Sujet: life is a highway »
Jeu 21 Aoû - 19:12
| | Invité
 THIS BOY . name, surname :: Andrea Matheo Amedeo. Nom connu de beaucoup en Italie et en France vu la longévité de la famille Amedeo. Ce nom leur vient du prince du Piémont qui s’avérait aussi être le roi de Sardaigne et duc de Savoie : Vittorio Amedeo III, né en 1726 et mort 70 ans plus tard. Certes à l’origine le nom de la famille n’était pas celui-ci, mais aux fils des années et aux vues de certains évènements, la famille du changer son nom et rester quelques temps dans l’anonymat. Cette famille est aujourd’hui crainte, mais respectée. Andrea était le don du ciel pour cette famille, le premier fils après de longues années d’effort pour obtenir une progéniture, le nom des Amedeo ne mourrait pas. L’enfant avait d’ores et déjà été décrit comme étant un battant, après avoir survécu à de nombreuses complications lors de la grossesse, l’accouchement se déroula sans aucune difficulté, chose étrange après tout ce que la mère et le bébé avait subi. Voilà pourquoi on l’appela Andrea. C’était un battant, un miracle. Matheo était le nom du grand père du bébé, mort peux de temps avant la naissance de celui-ci les parents crurent longtemps que l’esprit du défunt s’était rendu dans le corps du nouveau né.
birth, age :: Ses parents pourront en témoigner, ce jour fut le plus beau de leur vie. Après tant d’année à attendre celui qui devait être l’héritier de la famille, Dieu leur offrit un fils. Il faisait chaud ce jour là, si chaud sous le soleil du nord, trop chaud pour cet période de l’année à dire vrai. Milan vit naître celui qui devint l’héritier d’une des plus grosses fortunes de ce beau pays. Des gens vinrent nombreux sur les lieux, les journaux augmentèrent leur bénéfice. Ce 2 juin fut une date clef, alors que les gens riaient dans les rues et faisaient exploser des feux d’artifices dans leur jardin, alors que la fête nationale battait son plein, la famille Amedeo vit ses rêves les plus fous se concrétiser, eux qui avaient baissé les bras, eux qui avaient abandonné l’idée de concevoir un enfant, Andrea était le miracle de cette famille.
studies :: Le jeune Amedeo est et a toujours été ambitieux. C’est un grand esprit, tout ce qu’il y a de plus intelligent, une personne qui n’a pas peur du travail et de l’effort. Son ambition l’emmènera loin, il le sait, il est assez narcissique pour s’en vanter. Les sciences occultes se sont vite imposées à lui comme une évidence, voilà les études qu’il choisirait, les cours qu’il suivrait. Il veut percer le secret de la magie, découvrir de nouvelles choses. En quelques mots : laisser une trace sur terre. Voilà ce qu’il veut. Être un sorcier à part entière, un sorcier différent, remarquable, et il est sûr d’y arriver. De plus, il n’a pas choisi cette option pour finir à Gringotts, non, il est certain qu’il est appelé à faire des choses bien plus grandes.
marital status :: Se marier ? Parlez-en lui en face et il vous rira au nez. Il n’a même jamais eu de copine durant plus d’un mois ou deux. Le mot engagement, il le fuit. Il en a peur. Et oui, le jeune homme en a peur. Il n’aime pas s’engager, se sentir ainsi emprisonner, ressentir quelque chose tout simplement. Il préfère être libre, s’amuser. Se marier ? Il n’y pense même pas. Du moins pas avant une bonne dizaine voir une vingtaine d’année. Cependant, Andrea ne se projette pas dans le futur.
wand :: Cette baguette est spéciale, surtout pour le jeune homme et sa famille. Elle se transmet depuis des générations de petits enfants en petits enfants. Andrea la tient de son grand-père, mort peux de temps avant sa naissance, qui la tenait lui-même de son grand-père. On dit qu’une baguette choisit son sorcier, voilà pourquoi celle-ci est tellement spéciale, il n’est jamais arrivé qu’elle refuse qu’un des membres de la famille n’en fasse usage. On ne sait pas réellement depuis quand elle se trouve dans la famille, ce dont on est sure c’est de quoi elle est faite. Son bois est celui d’un des plus anciens olivier d’Italie, un bois souple et solide. Le contenu est, lui aussi, particulier. Le cheveu d’une de ses ancêtres qui se trouvaient être une Vélane, hélas ce côté de la famille a fini par disparaître au fil des générations. Ce cheveu entoure les éclats de la pierre précieuse qui faisait autrefois office d’œil à une Vouivre. La baguette du jeune italien mesure environ 27 cm et est parfaite pour les duels et les sortilèges, peu de personnes peuvent d’ailleurs se vanter de l’avoir battu au cours d’un duel.
Dernière édition par Andrea M. Amedeo le Dim 24 Aoû - 18:56, édité 1 fois |
| | | | Sujet: Re: life is a highway »
Dim 24 Aoû - 17:23
| | Invité
THERE'S A GOD . I. Le secret familial
Turin – 16 septembre 1665
« - Au bûcher ! Au bûcher ! Sorcières ! Au bûcher ! »
Imaginez, la population de toute une ville réunie autour d’un immense bûcher destiné à l’extermination des impurs, des sorciers et autres. Imaginez les cris, les poings se levant à l’unisson. Voilà où commence l’histoire d’une des plus grandes familles italiennes de tous les temps. Au milieu de ses cris, au milieu de cette misère, de cette abomination. Imaginez un duc infidèle un peu trop attaché à sa femme de chambre. Alors que les cris résonnaient au dehors, le duc de Savoie se trouvait dans sa chambre, attendant cette femme qu’il trouvait à son goût. A cette époque, tout le monde connaissait les faiblesses du duc, les jolies femmes, quelques soient leur rang social, les bonnes choses de la vie, c’était un homme qui profitait de la vie et il ne s’en cachait pas. L’homme, âgé cette année là de 31 ans, avait donné rendez-vous à celle qui s’occupait de sa chambre et de celle de sa femme actuelle. Elle ne tarda guère à se montrer, tout le monde savait qu’il ne fallait pas faire attendre Charles-Emmanuel II.
« - Bonsoir mademoiselle.
- Bonsoir monseigneur. Comment vous portez-vous ?
- Ma foi fort bien je dois l’admettre. Bien que ce raffut au dehors m’incommode fortement. Et vous ?
- Très bien merci .. »
La demoiselle faisait preuve de timidité et n’osait regarder le duc dans les yeux. Son regard était fuyant, à dire vrai, elle ne regardait que ses pieds.
« - Est-ce que je vous effraie ?
- Eh bien .. C'est-à-dire .. Un petit peu oui.
- Mais il ne faut pas !Allez mettez vous à votre aise. »
Très vite les choses s’emballèrent, une bouteille de vin fut vidée, la demoiselle se retrouva rapidement aux emprises du duc. Une heure s’écoula avant que l’on vint cogner à la porte de la chambre. La femme de chambre s’empressa de se rhabiller, imiter par le duc qui alla ouvrit la porte. Le chef de la sécurité, un dénommé Louis Pimevert, déboula dans la chambre et embarqua la demoiselle sous les yeux étonnés de Charles.
« - Mais expliquez-vous !
- Monsieur le duc, nous avons des preuves qui prouvent que cette demoiselle est une sorcière de la pire espèce. Elle a déjà tué par le passé, nous devons la mener au bûcher.
- Expliquez-vous jeune fille !
- Je ne comprends pas monsieur ! Ces accusations sont fausses et non-fondées.
- Pimevert lâché-la sur le champ !
- Mais ? Monsieur le duc je ne le puis ! Nous allons recevoir la visite des ordres ! Si il découvre une sorcière ici que vont-ils penser ?
- Je la cacherai le temps qu’il faudra, je pourrai dès lors savoir si oui ou non elle est une sorcière, à présent sortez je vous prie. »
Louis Pimevert sortit de la pièce suivit par les autres gardes. Le regard du duc était froid et dur, il se retourna lentement vers la jeune femme de chambre qui était pétrifiée de peur. Immédiatement Charles-Emmanuel se calma et finit par s’approcher d’elle.
« - Ne vous inquiétez pas. Je ne les laisserai vous faire aucun mal, même si ces accusations se trouvent être fondées.
- Je ne comprends pas .. Pourquoi feriez-vous cela ?
- Ma famille porte un lourd secret depuis bien longtemps demoiselle. Nous sommes tous et toutes des sorciers et sorcières. Je vous dis cela car j’ai la conviction que vous aussi en êtes une.
- Votre femme .. ?
- N’en est pas une. C’est la seule. Mais elle est au courant.
- Vos enfants ne seront donc plus des sorciers de sangs purs .. ?
- Le sang, demoiselle, n’a que très peu d’importance. Seuls les capacités d’un sorcier et ce qu’il en fait compte. »
La femme de chambre s’en alla après une longue conversation. Le bûcher brulait encore le lendemain quand elle se réveilla après cette nuit bien mouvementée, trente femmes avaient été tuées et elle pouvait remercier le duc pour l’avoir sauver. Seulement, neuf mois plus tard elle déposa un couffin devant les portes avec une lettre adressée à Charles-Emmanuel. Ce dernier venait de perdre un enfant qui était né mort. Deux jours plus tard, un enfant fut présenter au publique sous le nom de Vittorio-Amedeo III, un enfant au secret bien lourd à porter ..
II. Une nouvelle vie ..
« - Papa ? Où on va ? Pourquoi on part ?
- Tu le sais bien Andrea. Je veux que tu intègres une meilleure école que celle qui t’es proposée ici.
- Mais papa .. J’ai mes amis ici. Pourquoi papa ?
- On en a déjà parlé. Je ne reviendrai pas sur ma décision.
- Et maman ? Elle dit quoi maman ?
- Maman est entièrement d’accord avec moi. Tu sais qu’elle a toujours rêvé d’aller vivre en Angleterre. Je veux que tu arrêtes de râler comme ça. Soit heureux, beaucoup d’enfant aimeraient être à ta place.
- Oui d’accord. »
Le jeune garçon sortit de la pièce, la tête basse. Voilà trois jours qu’il savait qu’il quittait son pays natal pour se rendre en Angleterre. A dix ans, on le déracinait, on l’obligeait à quitter ses points de repères, tout ce qu’il avait toujours connu et chéri. Andrea ne dit plus un mot de la journée. Il broyait du noir, ne comprenait pas que son père et sa mère ne veuille pas admettre son point du vue. Il se sentait triste, préférait éviter les conversations avec son père. Il n’avait que dix ans et pourtant il comprenait plus de choses que la plus part des enfants de son âge. Il avait déjà été reconnu que le jeune italien était plus intelligent que la moyenne, plus mûr aussi. Son père s’était efforcé que les choses soient ainsi, traitant toujours son enfant comme un adulte, il ne voulait pas d’un fils geignard qui passait sa vie plongé dans les livres pour enfant ou ce genre, non, il voulait un futur politicien, un enfant qui comprenait mieux le monde des adultes que certaines grandes personnes elles-mêmes. Les parents le traitaient de monstre dans son dos tant certaines méthodes étaient abusives, mais il s’en moquait. Il aimait son fils, voilà comment il s’en défendait, il voulait le meilleur avenir possible pour lui.
« - Maman ?
- Mmm ?
- Pourquoi on part ? Je suis sûr que l’école n’est pas la seule raison ..
- Je ne vois pas de quoi tu parles Andrea. »
Voilà ce qu’on récoltait à force de vouloir un enfant intelligent, il comprenait les choses qu’il n’était pas censé comprendre, il percevait les problèmes, les situations, qu’il n’était pas censé percevoir. Andrea s’approcha de sa mère, le regard bien décidé. Il savait qu’il y avait anguille sous roche, il le sentait. Il voulait comprendre. Son père avait-il des problèmes ? Sa mère peut-être ?
« - On a des problèmes ici ? Qu’est ce qu’il se passe ? Dis moi ..
- Eh bien .. Ton père ne veut pas que je t’en parles Andrea, mais .. J’ai l’impression que tu peux comprendre. Voilà, ici les choses ne se passent pas tellement bien. Tu côtoies trop de moldus, notre secret est bien trop exposé. Ton père espère qu’en partant, les adultes moldus qui ont déjà vu trop de choses étranges ici oublient et ne parlent pas. Nous ne pouvons pas prendre le risque, de plus, l’an prochain tu iras dans une nouvelle école, que nous restions ici ou non. C’est donc le bon moment.
- Je .. Je comprends maman. Merci. »
Il ne chercha pas en savoir plus. C’était déjà trop. Il avait donc mis leur secret en péril. Certes Andrea côtoyait beaucoup de moldus du fait qu’il allait dans une de leurs écoles, mais tout de même, jamais il n’avait utilisé ni même mentionné ses dons, pouvoirs, quelque soit le nom que vous leur donner. Il n’utilisait sa magie qu’en présence de ses parents et avec son précepteur particulier. Non, il avait beau prétendre le contraire, il ne comprenait pas. Cette décision le dépassait. Bien sur il savait que son père avait toujours préféré fréquenter des personnes de sangs purs au rang social élevé, mais il n’avait jamais pour autant rejeté les amis de son fils. Alberto Amedeo avait toujours prétendu qu’avec le temps Andrea finirait par se rendre compte lui-même que cela lui apporterait beaucoup plus de voir des gens qui lui ressemblaient que de rester auprès des moldus et autre classes sociales en dessous de la leur. Sans jamais le dire clairement, Mr Amedeo sous-entendait toujours qu’un jour ou l’autre ces enfants deviendraient des personnes avides de richesses qui resteraient auprès d’Andrea seulement pour profiter de lui. Peu de temps après cette journée, le jeune italien dit au revoir à ses amis et quitta l’Italie. C’était deux jours après son anniversaire, quelques semaines seulement avant sa grande rentrée à Poudlard.
III. Père et fils
« - Tu n’aurais jamais du te battre ! Tu as dix sept ans Andrea ! Grandis, prends tes responsabilités ! Ne sois pas comme tous ces fils de milliardaires qui se pensent au dessus de tout. Que penserait-ta mère si elle te voyait dans l’état dans lequel tu es ? Un œil au bord noir, une gueule de bois tellement forte que je sens chaque alcool que tu as ingurgité la nuit dernière suinté par les pores de ta peau ! Est-ce vraiment ainsi que tu veux finir ? Est-ce vraiment ainsi que tu veux que les gens te voient ?
- Tu ne comprends rien. Tu ne comprends jamais rien. Qui te dit que ce n’est pas lui qui m’a frappé le premier ? Qui te dit que ce n’est pas lui qui a lancé le premier sort ? Je m’amusais Ok ?! Je sais que pour toi cette époque est bien lointaine mais moi je compte en profiter encore un peu. J’ai un mois avant la rentrée à Kew et je compte bien encore prendre du bon temps. Tu sais à quel point je suis sérieux durant l’année scolaire, alors ne viens pas me faire la morale, surtout pas toi. Qui était si bourré l’an dernier qu’il ne savait même plus qui j’étais ? Qui était tellement saoul qu’il ne connaissait même plus sa propre famille ? J’étais seul il y a encore un an ! Seul à devoir supporter ton humeur massacrante, tes coups, la mort de maman a été difficile mais toi tu as baissé les bras, tu m’as abandonné, voilà un an jour pour jour que tu n’es plus mon père et que je n’ai plus de leçon à recevoir de toi.
- Ce qui est arrivé à ta mère était un accident ! Une effroyable tragédie ! J’aimais ta mère, plus que tout au monde. Sais-tu ce que c’est quand on-t-ôte la personne à qui tu tiens le plus ?! Non ! J’aimais ta mère comme je n’avais jamais aimé avant, comme tu n’as jamais pu aimer durant ta courte et misérable vie. Ne viens pas me faire des leçons de morale Andrea ! Tu es celui qui a conduit cette famille à sa perte, entre tes déconnades et tes sautes d’humeur, ton adolescence difficile et ton sale caractère de merde, tu es et a toujours été un sale gosse, et si tu continues ainsi tu le resteras toute ta vie. Tu es une personne méprisable, un enfant pourri gâté et égoïste.
- Je te demande pardon ?! Qui m’a enseigné tout ce que je sais aujourd’hui ? Qui m’a montré le chemin à suivre ? Attends que je me souvienne .. Ah oui ! C’est toi ! « Pas de pitié », tu te souviens ? Prendre sans compter ? Ne jamais donner ? Je ne suis pas comme toi papa. Tu ne me connais pas. Tu ne sais rien de moi, rien de la personne que je suis. Tu es le sale type de l’histoire, ne te cherche pas d’excuses tu n’en trouverais pas. Tu crois que je n’étais pas au courant de tes sales magouilles ? Tu crois que je ne te voyais jamais revenir avec une autre femme, lui faire du charme ? Tu crois que maman ne savait rien de tout ça ? Tu es l’homme égoïste de la famille, celui qui est aveugle, celui qui ne voit même pas que sa propre femme souffre ! Peut-être que ce qui est arrivé à maman n’était qu’un accident, mais moi je crois que quelqu’un t’as fait payer pour tout ce que tu nous avais fait !
- Tout ce que je vous ai fait ? J’ai trimé tout au long de ma vie pour vous offrir la vie la plus confortable possible, j’ai tout fait pour que toi et ta mère soyez heureux et c’est ainsi que tu me remercies ? En m’insultant ? Tu me dois tant Andrea et un jour viendra ou tu me cette dette sera effacer.
- Je ne suis plus un enfant ! Tu ne peux plus me dire quoi faire ou quoi dire, tu ne peux plus me punir en m’envoyant dans ma chambre ou en me privant de telle ou telle chose ! Il est bien trop tard pour cela.
- Et l’argent ? Que ferais-tu sans tout cet argent ?
- Tu déshériterais ton seul enfant ? Comme c’est noble de ta part .. Mais que penseraient les gens ? Que penseraient toutes ces personnes avec qui tu fais affaires ?
- …
- Tu vois ? Tu sais que j’ai raison. Dans un mois je m’en irai loin de cette maison, dans un mois je serais libre ! Tu sais que maman m’a offert sa maison de campagne, tu sais que j’ai hérité de toute sa fortune. Je n’ai plus besoin de toi papa. Tu ne fais plus partie de ma vie à partir de maintenant. Si un jour tu émets le désir d’y revenir, assure toi de vraiment le vouloir car il te faudra plus que des belles paroles pour que je daigne un jour te pardonner.
Le jeune homme claqua la porte derrière lui. Son père ne le vit plus, ni le lendemain, ni durant le mois qui suivit. Il n’eut de son fils que de très brèves missives, il devint malheureux mais n’en montra rien. L’égo de l’un et de l’autre les empêchèrent de se reparler, voilà deux ans qu’ils ne se sont pas vus ni adresser la parole.
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