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Sujet: CHAOS - UC* Mar 10 Juin - 18:51
| | Invité
- - « Nous sommes ici, aujourd’hui, dans le seul but de faire de nos vies un luxe. Nous n’avons plus rien à perdre et nous ferons ce que nous avons envie. Nos familles, nos amis passés, nos amours, non plus rien à voir avec nous. Nous en avons terminé avec cela, et nous reprenons une nouvelle vie en bâtissons CHAOS. Retenez ce nom de groupe, amis sorciers ! Car c’est un groupe qui frappera par son agressivité et son univers tel que nous voyons le monde. La vie est une pute, nous avons juré la baisée. Nous la baisons chaque jour que Dieu fait. GOTT IST EIN POPSTAR ! » __________________________ Anton, Klaüs Herz.
« Je suis là, je suis ici, je suis partout. La musique est la seule création qui vaut d’être vécut. Vivre une telle histoire avec mes meilleurs amis, mes frères, c’est tout ce que je voulais. Tout couper, tout couper… Cinglés. Oui, c’est ça. Vivre ce qui vaut la peine d’être vécut. Le reste, j’en ai complètement rien à foutre… Tout est jeu dans la vie… Attention, le feu et l’eau ne vont pas ensemble… Mais la réponse n’est autre que dans la passion… Ca va commencer… 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10. AUGEN AUF - ICH KOMME ! » __________________________ Derrek, Franz Matteüs.
« Tout reprendre, tout reprendre… Toi, pas comprendre, normal, t’es con ! Cherche pas à comprendre, non, non, ne cherche pas à nous comprendre, tu risquerais de te perdre dans les confins de ton minable esprit. Arrête… Stop… Non, non ! Ne me parle pas ! Ta gueule ! Oui, chuuut ! Reste comme ça ! Plonge toi dans le silence, et cesse de me faire chier… Voilà, c’est bien… LINKS, LINKS ! LINKS 2, 3, 4 ! » __________________________ Andreas, Jürgen Ahren.
« Détruire, détruire, détruire… Je n’étais même pas né que la vie m’avait détruit. Pouuuuurqouwwaa j’irais faire mon apôtre à l’Eglise… Non ? Non… Lycan, je suis, Lycan, je resterais. Détruire, pour détruire… La rage, je l’ai… L’envie de détruire ce monde qui me rejette parce que j’ai un problème de fourrure (clin d’œil à Anton)… Le monde n’a d’égale que moi… Que cette infime partie qui constitue le Chaos… Mais de quel côté ? Héhé… ZERSTÖREN, JA, JA, JA ! DOCH ES DARF NICHT MIR GEHÖREN ! » __________________________ Oliver, Werewolf, Erhard.
« Oh, la petite fleur… C’est la vie ! Tu as vu ? C’est la vie ! Anton dit que c’est la vie ! Alors, c’est la vie… C’est bizarre, hein ? Regarde, je la détruis, et la vie, pof ! Elle n’est plus… Puissance… On l’a tous… Seulement, faut savoir s’en servir ! Oh, oui ! Il faut savoir s’en servir ? Tu sais t’en servir ? NEIN ! Tu ne sais pas… Oh, ohohoho ! Il sait pas ! Il est nul ! Mais chuuut ! Nous sommes là… On risque de… Tu… Héhé… SPRING ! » __________________________ Zelig, Crowe, Egon. « Et ainsi ira la vie… Le Chaos est ici, et partout ! Autours de nous, et nulle part ! Nous sommes là ! Mais nous n’en faisons que partit ! Nous, nous le représentons ! » __________________________ CHAOS.
Dernière édition par Anton K. Herz le Mer 11 Juin - 3:00, édité 1 fois |
| | | Sujet: Re: CHAOS - UC* Ven 13 Juin - 16:13
| | Invité
- - MON COEUR FLAMBE. NC-17
Peut être que je ne suis fais que pour souffrir... Peut être que ma vie n'a pas de but particulier... Peut être même que je ne sais pas ce que je dois faire de ce cadeau empoisonné qui me fut donné à ma naissance, là où tout commence... Là où ma vie a pris un tournent que je ne voulais pas, que je ne souhaitais pas mais que l'on m'a imposé... Peut être que même le fait que je sois mangemort n'est pas totalement dans mes idées, mais que je n'ai trouvé cette issue que pour montrer que j'existais, que je pouvais faire mal autant que l'on m'en a fait ? Ceux sont pleins d'hypothèses qui me laissent penser que l'homme n'a pas réellement de but dans la vie... Que la vie entre nous, n'est autre que un combat pour se faire connaître pour affirmer sa supériorité... On en veut tous de la supériorité, tout le monde la souhaite, tout le monde la veut, car reigner sur l'autre, c'est d'une puissance... Pour certains, c'en est littéralement jouissif, ils en iront jusqu'à bander profondément, d'autres iront mouiller en pensant qu'ils ou elles peuvent dominer le monde... Ca me fait rire, tout me fait rire, au point où la civilisation se dégrade... Je sais que je ne devrais pas, mais... Pourquoi m'en ferais je alors qu'à l'âge de 5 ans, j'étais envoyé dans un orphelinat pour la simple et bonne raison que ma mère fuyait mon père à cause de son sang... Car son sang était soit disant impur, et qu'il avait engendré une sous race, un sang mêlé... Moi... Oui, un orphelinat... Moldu de surcroit, comme si je ne souffrirais pas assez d'être éloigner de ma tendre mère qui m'aimait comme l'on voue un culte à dieu. J'étais son rayon de soleil, son cadeau, sa bénédiction de dieu... Elle ne cessait de ma valoriser, de m'appeler mon ange, de ne vouloir que mon bonheur et de repousser tout ce qui n'était que noir, que sombre pour mon pauvre petit coeur d'enfant innocent... Mais quand on m'enculait de père m'a engendré, il m'a livré ce cadeau empoisonné, cette nécromancie... Celle que je maitrîse avec force et puissance... Avec panache et intensité... Mais que je déteste, que j'aborre, car elle me retire la vie qui anime mon sein, me laissant posséder par cette putain de magie... Mais faites moi moldu merde ! Laissez moi vivre de ma musique avec mes amis, avec mes seuls amis qui me comprennent pour la simple et bonne raison, qu'ils ont tout autant souffert que moi... Ils ont trop souffert, j'ai trop souffert, et ce que nous faisons, ce que nous sommes, ce que nous aspirons à obtenir, n'est autre que la vengeance sur cette salope de vie... Elle nous a détruit, nous a considéré comme des parias... Mais le plus drôle dans tout ça... C'est qu'on attire l'attention de nombreuses personnes ! On nous regarde, on fascine, on éveil des désirs par nos simples façons d'être alors que nous sommes pourris de l'intérieur... Cette intérieur qui est nos histoires respectifs... Peut être que c'est cela qui nous rend si fort... Mais c'est à double tranchant... J'ai mal, en ce moment précis... J'ai l'impression que tout se nécrose en moi... Aleksandr m'a dit... Il me l'a dit... Il a un moyen de me rendre un corps, de me le purifié... Il me faut la source d'eau bénite... Mais j'en ai peur... Est ce que dieu voudrait de moi alors que je peux faire ressortir de terre ce qu'il a rappelé près de lui ou qu'il a envoyé en enfer, dans le pays de son éternel rival... Ce putain d'enculé qui séduit les âmes faibles avec cette telle aisance... Ca me dégoute, ça nous dégoute... On le regard, on rit, on lui vout un culte... Andreas ne cesse de nous le dire : Vouez un culte à ce fils de pute, c'est comme baiser avec la vie... Ils sont tous aussi pourri et on en redemande... Quel bande de con... Ils nous trompent... La vie, par sa beauté, et le mal par son plaisir intense... Baiser avec le mal, c'est tout aussi jouissif que de pénétrer le corps d'une pauvre femme qui se livre à toi pour la simple et bonne raison que tu es une rock star et qu'elle n'avait qu'un rêve, ce n'était que tu la sautes... A mon âme et conscience, ce n'est pas réellement des pensées que j'ai habituellement... Ou peut être que je ne les exprime pas pour la simple et bonne raison que je suis trop pudique pour de tels paroles ? Il en va peut être de soit... Cependant lorsque je l'ai enculé comme il avait baisé ma mère avant de la crever en la livrant aux morts qu'il avait rappelé pour qu'ils la bouffent, j'en ai ressentit un profond plaisir... Le fait de lui faire vivre ce qu'il a fait vivre à ma mère, la sainte vierge... j'étais son dieu... C'était ma vierge, ma marie à moi... C'était pire que jouissif... Et lorsque j'ai éjaculé dans son cul, à ce pédé, je l'ai entendu pleuré... Ce fut l'atteinte du nirvana... Je l'ai repoussé, et je l'ai attaché fermement comme un chien au pilier de la salle à manger, tandis qu'il me suppliait d'arrêter, de ne plus lui faire aucun mal... J'ai rigolé... J'ai explosé de rire... Et lui... Est ce que lui, il avait donné son pardon à ma tendre mère d'être né sang de bourbe ? NON ! J'étais allé me douché, en attendant que le reste de sa famille ne revienne... Puis, lorsque j'eus fini et que sa femme ainsi que ces deux gosses étaient entrés... Je les regardais avec un sourire, et je leur ai dis : « Satan m’a envoyé punir votre père, les enfants… Il a retiré ma mère de la vie, c’est à mon tour de le tourmenté. » A ce moment là, la femme a sortit sa baguette vers moi, pour m’attaquer violemment. D’un simple mouvement de la main j’ai repoussé son sort. Puis, j’ai saisi la mienne, et je l’ai mise sous l’impero… Je lui ai demandé de mener ses enfants devant leur père qui était également le mien et je lui ai demandé de les asseoir et de ne pas bouger. De les faire contempler leur misérable père qui venait de se faire enculé par mes soins. Je lui retirais le peu d’honneur que ce bâtard avait, avant d’ordonner à sa femme de buter ses deux gamins d’un simple avada kedavra. Et il a chialé, m’a maudis, a tout tenté. Il a tout tenté. Il a même redonné vie à ses deux gamins en leur insufflant la vie, comme je pouvais également le faire. Et devant lui, avec l’aide de sa femme toujours sous mon contrôle, je leur ai explosé la tête. La coupant d’une façon barbare, je le reconnais, leur cou avec cette peau si fine, si douce, et si tentatrice… Celle que chaque homme rêverait que sa femme la garde jusqu’à la fin de ses jours pour pouvoir lui faire l’amour avec délice. Enfin, j’ai mis à genoux sa femme. J’aurais pu la forcer à me sucer, mais je ne l’ai pas fais… J’avais tellement envie de faire souffrir mon père physiquement, maintenant qu’il devenait fou, que je lui avais brisé sa famille, que j’ai décidé d’égorger sa femme devant lui, lui faisant gicler le sang sur son visage avec force et puissance. Ca m’a fait du bien, trop de bien… Il a poussé un hurlement de malade… Il m’a supplié, oh oui, qu’il m’ a supplié… Mais j’ai ris… J’ai ri et je l’ai giflé. Lui prenant la tête fermement, nous avions transplané en direction d’un cimetierre, ou je le fis mourir bouffé vivant. Par les morts que je rappelais à la vie par ma simple puissance, par mon simple don. Mon père mourut, hurlant la mort me suppliant, à chaque fois qu’un mort plantait ses dents en lui pour lui arracher un bout de sa chaire… Lorsqu’ils lui rompirent la jugulaire, j’eus un soupir d’extase totale… J’ai levé ma tête vers les cieux, et j’ai dis : « Voilà, Maman… Soit sans crainte… Tu peux reposer en paix, ton fils t’aime, lui… » Et je suis partit, laissant la vie à ses morts… Je m’en contrefichais… A partir de là, j’alla chercher Zelig et Derreck pour rejoindre Andreas et Oliver. Je ne me souviens plus tellement comme nous nous sommes rencontrés… Me semble que c’était à Durmstrang… J’ai beaucoup aimé cette endroit où mon père m’avait amené lorsqu’il m’avait retrouvé. Oui, j’eus une période où je fus proche de lui, quand il me disait que ma mère était disparue, qu’elle reviendrait bien un jour, et qu’il n’était en rien dans l’histoire… Qu’il était blanc, qu’il ne savait pas ce qui était arrivé… Envoyé à Aryacta où je rencontra Zelig, qui était repoussé par tout le monde… Plus loin dans le temps, je tomba sur Andreas et Oliver que je détesta sur le coup, deux minables d’eperunt… Puis les années passèrent, et Zelig me fit connaître Derreck qui était son cousin et qui était allé à Poudlard, lui, un Serdaigle. C’était étrange, mais quand on s’était tous rencontré, on sut ce qu’on allait faire de nos vies, c’était la première fois pour nous tous… Recherché dans l’est pour avoir été le dernier a avoir vu mon enculé de père ( comme j’aime le dire, en sachant que c’est moi qui l’est fait ), nous ne savions quoi réellement faire jusqu’à ce Zelig qui voyait souvent Oliver et Derreck écrirent, eut l’idée de faire de la musique. Andreas avait accroché à son idée, ce qui nous parut tous bizarre puisqu’il ne cessait de le rembarrer en l’appelant toujours mr toque, ou encore Autiste, enfin, bref… C’est de la qu’est né le groupe… Nous nous sommes mis à la tâche, ce fut dur… Même en vivant sur les rentes de ma famille que j’obtenus suite à la mort de mon père, ce n’était pas une vie facile… pour dire, je n’étais plus inspiré… Si Zelig ne se battait pas comme il l’avait fait, je pense pas qu’on aurait tous continué… Zelig était un moteur, et c’est un moteur… Il en a tellement bavé, mais il conserve la lumière qu’on a tous perdu… Et grâce à cette lumière, on a eut un contrat avec la « Völk & Inc », et on en est maintenant à la vente de notre 4ème album, dont nous allons en assurer la promotion d’ici peu… The World is Yours. |
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