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 Je rêvais d'un autre monde.

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MessageSujet: Je rêvais d'un autre monde.   
Je rêvais d'un autre monde. EmptyMar 20 Mai - 0:03



Invité
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Je rêvais d'un autre monde. Lk012 Je rêvais d'un autre monde. 27
« le jour s'est levé, sur une étrange idée,
je crois que j'ai rêvé, que ce soir je mourrais,
le jour s'est levé, plein de perplexité,
si ce n'était pas un rêve, qu'il faille s'en aller,
s'en aller. »

TÉLÉPHONE.


    On aimerait s'y évader pour toujours, dans ces rêves, remplis de merveilles et d'êtres inimaginables. Le seul maître est notre propre conscience, nous ne subissons pas les autres, nous décidons seuls de son futur à travers celui-ci. Jake. Il était toujours là, lui. Dans ses bras, à coté d'un palmier, non loin de Saint-Tropez. Rires, et Stefany loin, très loin. Billie ne connaissait pas encore le sort qu'avait réservé le monde à sa meilleure amie ; malgré sa trahison, elle ne souhaitait qu'une chose : la retrouver. Cela faisait depuis la mort de Jake que la jeune femme n'avait pas redécouvert l'amour ; et ce n'était pas plus mal. Car toute ces années perdues se mélangées parmi les paroles de guimauves et les tendresses qui ressemblaient étrangement à celles de ces foutus films où tout n'est que du Bluff. Cette Jenny, elle avait tout gâché aussi ; sale putain. Et le rêve se termina en cauchemar. Les images défilèrent dans la tête de l'ancienne Serdaigle, elles passaient avec rage, haine et se déchiraient de par sa propre haine. « SORTEZ ! Sortez de ma tête... » aurait-elle voulut hurler. Mais le réveil prit le devant sur les chapeaux de roues. Couverte d'un mal de tête inimaginable, elle voulait les faire tous disparaître, tous ses souvenirs. Où toutes ces après midi, elle riait pour des choses futiles, où elle chantait, dansait, en toute insouciance, en toute franchise, dans un putain de monde d'hypocrite. Elle était bien trop naïve, en fait. Elle regrettait tout, vraiment. La confiance va au delà de la raison. Billie songeait, à s'en faire exploser la cervelle, ces pensées futiles qui vous encombre l'esprit jusqu'au sommeil prochain. Le soleil était couché depuis déjà bien longtemps, et la jeune femme avait passé sa journée à dormir. S'en était presque ironique. Depuis qu'elle a apprit la réalité sur Stefany et Jake, elle ne peut s'empêcher de faire les bars, d'aller à de multiples soirées, telle une névrosée. Elle passait sa vie à sortir n'importe où, à faire la fête avec des personnes qu'elle connaissait à peine (voir pas du tout), et à boire comme si elle avait un trou dans l'estomac (ce qui est peut être le cas). Soudain, Kennedy releva la tête et analysa le lieu où elle se trouvait. Visiblement, elle ne se trouvait pas chez elle. Son esprit se brouilla et se cœur s'endurcit. Elle sentit comme une épine se forger en elle. C'était la première fois qu'elle se réveillait le lendemain d'une soirée sans savoir chez qui elle était.

    « Ah. Enfin réveillée. »

    Silence. L'ancienne serdaigle n'avait pas entendus les sons qu'avait produit les pas du jeune homme. Mais elle fut surprise d'entendre une voix masculine. Des frissons désagréables se firent sentir tout le long de sa colonne vertébrale. Elle se tourna, le visage épris d'une fatigue émotionnelle, le maquillage dégoulinait le long de sa peau pâle, ses cheveux qui s'emmêlaient, et ne laissaient apparaître aucune beauté ; si ce n'est pas le charme naturel. Fred se contenta de sourire, silencieusement. Ses yeux s'enfonçaient dans l'ébène de Billie. Elle avala sa salive, et aucun mot ne pu sortir de sa bouche. Elle ne pouvait pas même fixer l'inconnu en face, elle essayait simplement de s'imaginer la veille. Avait-elle simplement dormi ou un autre déroulement s'était-il effectué ?

    « Tu te serais vu hier... T'étais dans un de ces états. » Il lui tendis la main. « Fred, enchanté. »

    Cette perspective ne l'enchantait pas plus qu'il y a quelques secondes. Elle ne souhaitait obtenir aucune réponse, il était préférable qu'elle reste dans le doute, préférant espérer le bon côté plutôt que le désagréable. Tout ce qu'elle souhaitait, c'était s'enfuir. Elle voulait trouver une place qui lui était propre, et ce n'était visiblement pas dans les bras d'un inconnu. Sans mots supplémentaires, elle se releva, on aurait dit comme un corps sans âme. Elle semblait chavirer de droite à gauche, guidée par son instinct, sa volonté l'ayant quitté depuis déjà bien longtemps. Des larmes commencèrent à perler sur ses joues, et l'inconnu n'ajouta rien à ses paroles. Il laissa la demoiselle prendre la porte sans mot dit, et sembla retourner à ses occupation. Ses espoirs se mêlèrent à ses doutes, et l'ignorance commençait à la rendre dingue. Elle se sentait comme vide, comme sale. Sans réponse, elle ne pouvait se définir. Et lorsqu'elle croisa une canette de bière vide sur son chemin, elle ne pu s'empêcher de la réduire en cendres à l'aide du célèbre incendio. Billie ne voulait pas rentrer chez elle, elle s'en sentait tout bonnement incapable, et même si ses parents dormaient à cinq heures du matin, elle ne pouvait prendre le risque de les réveiller. Surtout Jacky, cette dernière ne pourrait s'empêcher d'envenimer la chose avec une réflexion sanglante. Jess serait cependant d'une meilleure compagnie, pourtant, elle voulait être seule, seule et propre. Ne sachant pas même où elle était, ni où elle allait, elle ne semblait plus avoir de repères. Les lieux qui l'entouraient semblait ressembler à des immeubles moldus, semblables à ceux présent dans Londres. Mais son état l'empêcher d'analyser correctement, elle ne pouvait faire davantage attention au monde extérieure. Il n'y avait personne aux alentours, personne. Comme une fatalité, elle se retrouvait seule. Depuis la mort de Jake, elle n'avait plus revu aucun de ses amis, se sentant trahie à un point inimaginable. Elle les haïssait de ne pas l'avoir mise au courant. La jeune femme s'appuya contre un mur, elle ne souhaitait que deux choses ; se réveiller à nouveau et une cigarette. Elle n'aimait pas fumer. Elle détestait ça, tout ce qui bousillait la santé. Cependant, là, elle en voulait une. Une chance inestimable s'exclama lorsqu'elle en découvrit une sur le sol, simplement devant elle, un briquet à côté ? Le destin la rendait névrosée et semblait la poursuivre jusqu'au bout. Elle attrapa le briquet et en fit jaillir une étincelle, qui se transforma en flamme. Elle essaya, puis cracha, s'étouffa. Cette cigarette ne valait rien, ne lui apportait rien, mais pourtant, elle tentait encore. Ce soir, elle n'irait pas dans une de ces soirées branchés. Elle n'iras pas à celle de Dereck, ou même celle de David. Elle restera seule, seule avec sa cigarette et sa solitude.
 
MessageSujet: Re: Je rêvais d'un autre monde.   
Je rêvais d'un autre monde. EmptyMar 20 Mai - 22:39



Invité
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Il est étrange de voir comment la vie, toute belle, tel qu’on nous la présente lorsque l’on à dix, voir quinze ans. Une vie belle, qui vous fait vivre des choses incroyable, tellement belle, tellement bien, on se dit alors que la vie est la plus gentille des personne et que le Destin est le plus gentil des mari. Enfin, lorsque l’on est jeune ou lorsque notre vie est belle. Puis, il y a toujours ce moment ou la vie vous lâche ou le destin, devenu sombre et glacé, vous emprisonne dans ses bras puissant et glacé. La vie n’est plus belle, elle est triste, morte, on se dit alors que la vie n’est qu’une sale garce et que le destin le pire des Mac. Oui la vie, c’est moche mais cela peut aussi être beau et il est étonnant de voir comment les gens s’imagine que la vie n’est qu’un conte de fée et que lorsque la tempête arrive, que le héros meurent ou que la méchante sorcière gagne, s’indignent, la traite de tout les nom et veulent l’enterrer avec eux. Pourtant, juge impartiale d’une personne, elle ne fait que son travaille, agissant avec le destin comme le sorcier le fait avec sa baguette.On entends souvent cette expression sortirent de la bouche de la personne à laquelle on se confie : « C’est la vie ». Il est tellement facile de s’enfermer dans un si faible raisonnement, de se dire que c’est la vie, mais surtout la vie des autres… car lorsque c’est elle, la personne maudit le destin et aussi la personne qui lui réponds par cette même petite phrase qui ne veut rien dire. Et la vie, on peut la changer, le destin n’est pas inébranlable, la vie n’est pas inflexible. Pour cité une phrase que j’adore, j’ai du ressortir un vieux livre, celui-ci dit : « La vie n’est pas drôle si ce n’est qu’une ligne droite, il faut faire des virage… ». Cette phrase colle parfaitement à la vie elle même, elle a bien le droit de s’amuser un peu, de prendre des virages non ? Et cela devrait nous inciter à en faire avec elle, pas à ce résigné à l’autoroute, car il y a tellement de choses à Découvrir.

Huit du matin. Mal de crâne, une fille à côté de lui, que fait-elle là ? Il s’en doute mai n’ose pas imaginer tout ce qu’ils ont pu faire. Encore une fille d’un soir, une fille qu’il ne verrait plus, une fille de chemin, une fille avec qui il ne nouerait aucun lien. Mais il en était heureux car c’est ce qu’il souhaitait, il ne voulait pas de liens… Enfin, ça c’est ce qu’il se disait, il se trouver des excuses, il essayait de se justifier alors qu’il n’en avait pas besoin… Pour se rassurer, pour ne pas avouer qu’il voulait une relation plus sérieuse et que s’il se disait que cela serait trop dangereux pour elle, qu’il ne pouvait pas lui faire courir ce risque, ne pas lui faire subir cela. Baliverne, ce n’était pas la situation le problème, c’était lui. Il laissa la porte ouvert et s’habilla en silence. Il ne travaillerait pas aujourd’hui, il allait plutôt se mêler à la foule et réfléchir… Quoi que, il allait marcher prendre l’air et retourner au bureau, il ne pouvait se permettre une journée de répits, une journée tranquille, assis dans un bar ou même à marcher, comme de vrais Moldus, comme quelqu’un qui ne cours pas dans tout les sens, à se battre, se blesser, donner la mort ou épier des personnes. Les arrêter ensuite et les confié au ministère ou alors à la Justice de Dios, la Justice des Aurors… Miguel.

Il emprunta plusieurs rues dont il ne se souviendra jamais le noms lorsqu’il tiqua. Il venait de voir une petite frimousse blonde mais dans un état qui le laissa perplexe. Il s’approcha lentement de la jeune fille et lorsqu’il la reconnue –il savait que c’était une apprentie Auror et cela lui rappela des souvenirs, il n’hésita pas.

One. Il lui prit la cigarette des mains
Two. Il fume.
Three. Les gros yeux
Four. Il lui dit :

« C’est pas bon pour ta santé ça. Alors fait moi le plaisir d’arrêter tes conneries b Billie. »

Il passa un doigts sous les yeux de la jeune fille, enlevant une larme qui coulait encore et continua en disant :

« Et de te tourmenter… »
 
MessageSujet: Re: Je rêvais d'un autre monde.   
Je rêvais d'un autre monde. EmptyMer 21 Mai - 14:53



Invité
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    Tout était aussi noir que l'ébène. Aucune lueur n'apparaissait au grand Londres. Les rares chats errants étaient tels des corbeaux qui vagabondaient chaque soir dans l'espoir d'y trouver du réconfort. Une solitude parsemée de charisme, de larmes et de désespoir. On pouvait aimer la vie, rire à n'en plus sentir son estomac, que la nostalgie reviendrait chaque soir. Car tout n'est que mélancolie lorsque l'on se retrouve seul. Billie avait reprit sa marche, en silence, sans avoir de but, elle ne pensait même plus, elle avait trop mal au crâne pour ça, elle se contentait d'aligner un pied devant l'autre répétitivement, suivant la cadence du vent et « fumer » quand elle ne s'étouffait pas. Ses cheveux virevoltaient, ils fouettaient son visage pâle ainsi que ses yeux bleu tel l'océan. Tout n'est qu'éphémère. Un rêve, un futur meilleur ; on s'en lasse vite. Une musique résonnait subtilement en même temps que les cris d'oiseaux, une musique familière qui la hantait sans cesse... Cette chanson qu'elle chantait avec Jake chaque jours de pluie, les jours maussades où elle n'avait que son sourire pour être heureuse, ce sourire qui n'est plus, ce sourire qui s'envole loin et ne reviendra sans doute jamais. L'espoir est un sentiment que l'on oublie peu à peu, car on sait très bien que c'est frivole et enfantin, que malgrès tout, il faut être mature et voir la réalité en face. Etre libre n'est pas suffisant. Kurt le savait, quand il chantait « Where dis you sleep last night », il le savait que tout n'était qu'éphémère, que tout n'était qu'un chemin sans fin, où le seul raccourcis semblait être la mort. Avait-il eut raison de l'avoir pris ? Personne ne le saura avant d'avoir franchis le pas. Soudain, comme précédemment, la jeune femme s'écroula sur le sol en pierre, s'écorchant son jean et sa peau, pleurant à chaude larmes, tel l'océan, elles perlaient sur ses joues pâles.

    « My girl, my girl, don't lie to me... » chantonnait-elle doucement en versant toute les larmes de son cœur.

    Jake n'était qu'un menteur puéril, il avait dit qu'il serait pourtant toujours là pour elle, à chaque instant, qu'il saurait la retrouver quand tout irait mal. Mais rien, son visage était trop lointain depuis son dernier souffle. Fatalité. « Je ne veux pas qu'il pleuve... » pensait-elle avec insistance. Mais le destin était contre elle cette nuit là, les nuages s'abattait sur elle, la recouvrant d'une douce averse, une averse qui, sans cesse, lui rappeler cette musique. A lui faire tourner la tête, à nos âmes perdus. Quand il n'y a plus de ciel, il n'y a plus d'amour. L'averse s'abattait, et elle tremblait, s'accrochant au sol et aux parois du mur. L'eau s'abattait sur elle avec violence, comme si elle souhaitait lui faire comprendre quelque chose, un instant qui jamais ne sera changé. Avec crainte, la jeune femme tenta de tirer sur sa cigarette, elle s'étouffait encore plus, ses yeux se remplirent de fumé, et elle pleurait davantage. Des images vinrent dans son esprit, un après midi à deux, séparés du monde, où les rires et les baisés ne faisaient qu'un. Il y avait pourtant un avantage à cette situation qui la blessait, cette pluie fougueuse cachait ses larmes aussi nombreuses soient-elles. Cependant, son visage était tellement crispé qu'elle ne pouvait paraître naturelle. Désespoir caché. Elle tenait toujours sa cigarette en main mais ne semblait plus y toucher, peut-être que ses souffrances lui avait fait oublier. « My girl, my girl, don't lie to me... Where did you sleep, last night ? »

    Elle aurait aimé hurler avec insistance en s'agrippant à ses cheveux humide, où des gouttes d'eau ruisselaient sur le sol de marbre. Une flaque d'eau était présente à ses pieds, et dès qu'elle vit son visage, la sorcière se figea. Son visage d'habitude si harmonieux semblait se détacher, elle ne pouvait se reconnaître dans ce reflet qui s'accentuait chaque seconde davantage. Posant ses doigts sur ses joues, son front, elle ne semblait pas même croire à ce qu'elle représentait. Soudain, elle sentit une emprise sur ses doigts et tourna violemment la tête vers sa gauche pour voir qui en était l'auteur. Par pitié, elle espérait que ce n'était pas Fred qui venait la chercher.


    « C’est pas bon pour ta santé ça. Alors fait moi le plaisir d’arrêter tes conneries Billie. » dit-il tout en retirant une des larmes qu'avait Billie au visage avant d'ajouter : « Et de te tourmenter… »

    Voir un de ses supérieurs dans cet état n'était pas la meilleure des choses. Kennedy aurait préféré le rencontrer dans une situation préférable où elle ne se donnerait pas en spectacle dans le royaume de la nuit. Il est vrai que lorsque le soleil se couche, qu'il laisse place à la pénombre, on pourrait se croire dans un autre monde. La vie semble comme éteinte et peu sont les aventuriers du soir. Cependant, sa solitude ne pouvait durer des heures, il fallait bien qu'un jour, elle se relève, doucement. Elle n'osait dire un mot, elle avait peur de la réaction d'une personne extérieure. Surtout qu'elle se posait toujours des questions sur ce Fred. Qu'avaient-ils vraiment faits ensemble ? Billie avait en elle des principes et des valeurs qu'elle ne pouvait se permettre d'éviter. Et cette anecdote lui donnait un coup en plein cœur, chose non négligeable mais pourtant anodine pour certains. Soudain, elle aurait aimé se transplaner, se réveiller. Etre ailleurs, ne pas croire au ridicule de la situation. Se retrouver comme épave en face de son supérieur. Cigarette éteinte. De toute manière, elle n'en voulait pas, elle n'aimait pas ça, c'était ni agréable, ni bon pour la santé, et encore moins réconfortant. Au fond, elle ne comprendrait jamais un fumeur. Un silence commença à s'installer doucement et Kennedy aurait bien aimé sortir une histoire qui pourrait l'excuser d'un tel état, comme un combat de mangemorts... Mais elle savait très bien que le mensonge n'arrangeait rien, et qu'il valait mieux l'utiliser qu'en cas de dernier recours.

    « Vous... » commença-t-elle avant de reprendre : « Vous ne connaissez pas un endroit chaud et ouvert à cette heure-ci ? »

    Il est vrai qu'elle frissonnait. Seulement vêtue d'un jean et d'un débardeur, on ne pouvait lui reprocher d'être frileuse.
 
MessageSujet: Re: Je rêvais d'un autre monde.   
Je rêvais d'un autre monde. EmptySam 24 Mai - 15:14



Invité
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SomeWhere, SomeDay.

Il n’était pas quelqu’un de conformiste notre Auror, il ne jugeait pas les gens au premier regards, il ne se formalisait pas pour cela, il savait que les coups dure existait, que la vie pouvait vous surprendre et que cela faisait mal à ce moment là. Il n’allait pas non plus chercher à lui demandé des comptes, il allait la réconforter, faire en sorte qu’elle se sente mieux et ensuite, il allait disparaître si elle le souhaitait. Son rôle n’était pas de brimé de juger, juste d’aidé ses collègues, surtout une apprentie, quelqu’un qui avait encore besoins de conseilles et qui ne savait pas grand chose de la vie même si elle pouvait en avoir vécut beaucoup. Bref, il n’allait rien dire de tout ce qu’il avait vu, à personne, cela resterait un secret entre eux, il avait envie de la protéger la petite Billie. D’être un peu son protecteur, quelqu’un qui l’aidera a se reconstruire, à devenir « meilleur » ou sinon, à juste évoluer pour quitter son état qui n’avait rien de joyeux à l’instant. Comme les papillons, avez vous déjà vu un papillon quitter sa crysalide ? De changer du tout au tout, de devenir beau. De passer à l’étape supérieur, de la limace aux Papillon, volant, libre ou presque de faire ce qu’il veut. Enfin presque, pourquoi ais-je dit cela à votre avis ? Je vais vous répondre franchement, ou peut-être pas, à vous de deviner. Il n’a jamais eut d’enfant ni de famille à lui alors qu’avant, il était entouré de tout une ribambelle de gens de son sang, lorsqu’il était encore en Irlande. D’ailleurs, peut-être qu’un jour, il y retournerait, retrouvera ses parents et toute sa famille pour un de ses fameux repas de famille, une tradition. Pour l’instant, il n’avait pas envie d’être nostalgique, il avait du taff et en plus, il était avec une de ses collègues mal en point, il fallait l’aider un peu.

Il enleva une larme qui coulait sur sa joue et lui dit, un sourire franc, rassurant sur le visage :

« Allons, tout va bien se passer… Ne pleure pas.

Il lui pris la main et plongea son regard bleu océan dans les siens… Une mer calme, reposante, source de sérénité. Il lui répondit aussi :

« Bien sûr, attends…”

Il lui prit la main et transplana. Il se retrouvèrent devant un café au briques rouge bien entretenue, un bar irlandais et que les moldus ne pouvait voir. Il était tenu par son oncle bien que John McAlastar ne fut pas là, sans doute entrain de dormir encore. Il entra. le bar était confortable. Un parquet de bois de chêne bien lustré, des fauteuils épais tenaient lieux de chaise. Au fond de l’établissement, le bar à proprement parlé. Il salua d’un sourire le jeune homme au comptoir, lieux aussi descendant des Celtes et s’installa à sa table préféré, un coins tranquille.

Il regarda Billie et son regards semblait demander : « Que se passe-t-il ? ».

[Désolé du temps de reponse!]
 
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