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 Something inside ..

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Something inside .. EmptyMar 14 Avr - 17:53



Invité
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Premier post pour Alice : )


    Que pouvait expliquer la présence d’une auror dans cette rue infâme qu’était l’allée des embrumes ? Une mission tout simplement. Mais pas une mission pour les aurors, non, une mission personnelle. Ange était entrée en possession d’un objet qui avait appartenu à sa défunte mère. A dire vrai, elle était tombée dessus par le plus pur des hasards. Alors qu’elle se trouvait dans la maison de son enfance, la demoiselle était tombée sur un bijou que portait sa mère à son mariage. Seulement, alors que la demoiselle y avait jeté un coup d’œil un peu plus précis, elle s’était rendue compte d’un détail qu’elle n’avait jamais noté sur les photos du mariage qu’elle avait eues le loisir de voir. Le diamant qui ornait l’œil du phénix que la mère de Ange portait à son cou était rouge sur les photos, or celui qu’elle tenait en main était de couleur noir. La demoiselle ne comprenait pas, elle avait essayé tous les sortilèges qu’elle connaissait afin que le collier se révèle, mais rien n’avait été efficace. Ange était désespérée, elle aurait aimé pouvoir éviter un passage chez Barjow et Beurk, mais eux seuls seraient assez compétents que pour lui dire ce qu’il fallait savoir sur ce collier. La nuit était sombre, froide, il faisait humide, comme toujours à Londres. Le cœur de la belle battait la chamade dans sa poitrine, elle n’aimait pas se retrouver dans cette allée seule, elle avait toujours cette étrange impression de devenir folle, que son cœur s’assombrissait au fur et à mesure qu’elle y parcourait la distance qui la séparait du magasin spécialisé en objet et magie noire. Ange frissonna, elle resserra son manteau autour de son cou. Elle pouvait sentir le collier bruler à travers son jeans, les souvenirs lui piquaient les yeux à travers les lames qui y perlaient. Elle secoua la tête, envoyant valser tous ce qui pouvaient la faire pleurer. Ses pas étaient rapides, elle ne voulait pas trainer, rester ici dans cet endroit où elle n’était pas la bienvenue. Ange avait toujours eu l’impression que les personnes qui se trouvaient ici pouvaient sentir les aurors quand ils approchaient, elle était sûre qu’ils pouvaient les reconnaître parmi les autres, voilà pourquoi elle n’était pas la bienvenue, elle, la demi-auror qu’elle était. Elle ouvrit la porte et entra dans le magasin sans hésiter, il y avait quelqu’un derrière le comptoir, Ange s’en approcha et sortit le collier de sa poche avant de le déposer devant l’homme qui lui faisait face.

    Vendeur – « Il est rare de voir des aurors venir ici et demander nos services. Quand vous venez, vous désirez plutôt fermer ce magasin. »
    Ange – « Ne posez pas de question et dites moi ce que vous savez sur ce collier. J’ai des photos qui prouvent qu’il a été modifié. » La demoiselle posa la photo à côté du collier. L’homme s’empara des eux et se mit à les examiner. Un sourire diabolique vint alors se dessiner sur son visage.
    Vendeur – « Avez-vous eu l’impression que votre cœur s’obscurcissait lorsque vous teniez ce collier, lorsqu’il était en votre possession ? Avez-vous eu l’impression que votre âme changeait ? »
    Ange – « Oui, mais .. Comment le savez-vous ? »
    Vendeur – « Quelqu’un vous en veut demoiselle, et il espérait que vous tombiez sur ce collier. Un sortilège a été lancé sur ce collier afin de corrompre votre âme et votre cœur. Mais n’ayez crainte, je puis facilement ôter ce sortilège. »
    Ange – « Je veux que vous détruisiez entièrement ce collier, il n’a fait qu’apporter le malheur à ce qui l’ont porté de toute manière. »

    Ange paya et sortit de la boutique. Son cœur battait à tout rompre dans sa poitrine, il n’était pas difficile de deviner que son père était derrière tout cela. Elle se mit à avancer à pas plus lents dans l’allée des embrumes tout en réfléchissant. Il avait sûrement mis en place cette stratégie avant d’être envoyé à Azkaban, après tout, Ange l’avait averti qu’elle témoignerait contre lui. Elle se souvenait de la dispute qui s’en était suivie. La violence dans ses propos, il avait essayé de se battre contre sa fille, mais cette dernière était bien plus forte que lui grâce à sa formation. Il n’avait pu faire grand-chose. Le lendemain, il s’éveillait dans sa cellule, deux semaines plus tard il y était envoyé à vie. Le cœur d’Ange eut un raté en repensant à cela. Au fond de ce dernier, elle savait qu’elle avait fait ce qui était juste, mais elle avait quand même condamné son père, ce n’était pas négligeable. Soudain, la demoiselle entendit un cri, une jeune femme qui semblait en danger. Elle sortit sa baguette et accourut, n’écoutant plus que le courage qui la caractérisait si bien ..


 
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Something inside .. EmptyVen 17 Avr - 16:41



Invité
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[Désolée pour le temps de réponse TT L'inspiration n'était pas top et j'étais occupée ailleurs x) mais j'ai trouvé le temps de répondre <3]

    Alice savait que c’était risqué de se pointer dans le Londres sorcier alors qu’elle était une dangereuse criminelle recherchée. Ca n’était pas la chose la plus recommandée, on va dire. Mais elle voulait un moyen magique pour soigner ses multiples contusions. Certaines blessures s’étaient infectées, et elle n’avait pas les moyens pour les guérir par elle-même. Elle pourrait certes aller à Mangouste, mais quel serait l’intérêt d’y aller alors qu’elle s’était évadée de l’endroit trois mois plus tôt? Ca serait stupide. Elle a donc décidé. Elle irait à l’Allée des Embrumes pour avoir quelques produits. Moyennant une petite participation de sa part. Car après tout, ceux qui tenaient une échoppe dans de tels endroits n’étaient pas réputés pour être des enfants de chœur. Alice inspira profondément en se redressant, la couchette du motel où elle avait passé la nuit pour pas cher -il s’agissait plus d’un taudis que d’un motel, mais passons- et se passa la main dans ses cheveux, nouvellement teints en blond. Ce n’était pas un coup de tête. C’était en fait un moyen de se planquer. Car sur les avis de recherche, Alice était représentée avec ses cheveux sombres. Elle n’a pas voulu toucher aux longueurs pour les raccourcir, ainsi, elle les a teints avec une teinture pas chère qu’on trouve dans les supermarchés Moldus au rayon beauté. Une de ces teintures qui partaient en dix shampooings. Et c’est là qu’on se rend compte que d’avoir des talents de métamorphomage s’annonçait assez pratique. Malheureusement, ce genre d’apprentissage était long et fastidieux, et ça devait certainement être inné. Bref. Ainsi, elle passerait un peu plus inaperçue, avec un peu de chance. Bien qu’à la base, son visage pouvait la trahir. On pouvait difficilement échapper à son regard bleu au fond du quel se voyait aisément la démence. Ses traits durs, marqués par une folie indicible. Au premier coup d’œil, Alice Ewing pouvait être envoyée chez les fous. Mais il serait peut être difficile de faire le lien entre la jeune femme devenue blonde qui attendait au bord d’un trottoir, au détour d’un quartier londonien, et la dangereuse criminelle qu’une bonne partie du personnel de Sainte Mangouste recherchait. Une folle furieuse, ayant des tendances hystériques, souffrant en plus de ça d’un léger problème de dédoublement de la personnalité. Et elle courait en liberté. Etrangement lucide pour quelqu’un qui était considéré comme fou à lier.

    Elle attendait donc, resserrant son châle de laine autour de ses frêles épaules. Il fallait dire qu’elle ne portait pas grand-chose en dessous, si ce n’est qu’un bustier noir en dentelle plutôt affriolant, qui lui faisait un décolleté assez indécent, dans lequel venait s’abîmer un pendentif. Le fameux médaillon qui était toujours là, depuis son enfance. Ce médaillon était déjà autour du cou de Marie-Madeleine, la poupée de porcelaine qui fut pendant longtemps sa meilleure amie. Avant qu’elle n’en ait une vraie de vraie. En chair et en os. Les yeux d’Alice s’assombrirent légèrement, alors que machinalement, ses doigts s’étaient refermés sur le pendentif, le faisant osciller le long de sa chaîne. Alice tenait à ce médaillon comme à la prunelle de ses yeux. C’était le seul souvenir qu’elle avait de son passé, avant d’entrer à Mangouste. Certes, elle en avait d’autres aussi, mais elle préférait s’abstenir d’y penser, sous peine de crises d’hystérie. A l’hôpital, on lui avait administré tout un tas de sédatifs et autres soins magiques pour la calmer. Ca avait d’ailleurs affecté sa mémoire. Elle était partiellement amnésique, et des choses lui revenaient par à coup, justement quand elle faisait des crises. Ces flashs devenaient alors de plus en plus rapides, l’abrutissant de souvenirs, alors qu’elle s’effondrait au sol, à genoux, en criant et en se tenant la tête. Fort heureusement, ça n’était pas arrivé depuis longtemps. Ce qui était étrange, c’était que cette amnésie était sélective. Alice avait remarqué qu’elle ne pouvait plus accéder aux éléments qui avaient contribué, de près ou de loin, à la fameuse nuit où tout s’était arrêté pour elle. Le restant, elle s’en souvenait, à peu près. Quand elle n’était pas assommée par les médicaments qu’elle prend. Une prescription qu’elle continue de suivre scrupuleusement, dans le seul but de l’empêcher d’avoir un sommeil sans rêve.

    Car la nuit venue, Mr Cauchemar et son cortège rappliquait. Ces cauchemars étaient cependant très bizarres. Déjà, il y avait du rouge. Partout. Comme si c’était une scène de tournage, et qu’on avait mis un filtre rouge devant l’objectif de la caméra. De même, dans ces rêves, ça tremblait souvent. Les contours des personnages -quand personnages il y avait- étaient flous, tremblotants et imprécis. Les personnages n’étaient que des ombres, sans traits distinctifs qui pourraient permettre à la jeune femme de les identifier. Il y en avait beaucoup. Une masse informe, gesticulante, chaotique. Les voix qui s’entremêlaient se transformaient en de désagréables bourdonnements, rendant les mots incompréhensibles. Un peu comme si on se trouvait dans une foule compacte, en mouvement. Si on se concentrait, on pouvait parfois entendre quelques bribes de conversations, mais dans le cas contraire, il n’y avait que le bourdonnement. Une rumeur parfois insupportable et qui donnait mal à la tête. Et de temps à autre, des flashs aveuglants de lumière blanche revenaient par intermittence. Comme des projecteurs poussés à pleine puissance que l’on bougeait quand bon leur semblait, voulant éclairer une part ou l’autre de la pièce. Pièce qu’Alice ne pouvait identifier. Et ça la frustrait un peu beaucoup. Mais c’était dangereux d’essayer de se rappeler. Car si elle venait à se souvenir, elle n’aura fait que d’ouvrir une brèche dans sa mémoire, et rappeler à elle les souvenirs qui l’avaient expédiée à Mangouste. Ca serait la catastrophe. Tout ce travail de refoulement, ses efforts pour oublier, pour tenter de se reconstruire une vie, vie minable ou pas, auraient été réduits à néant. Et puis, le rêve changeait. Ce n’était plus la foule, mais c’était toujours aussi rouge. Et il y avait du mouvement. Des petits rebonds. Vous savez, comme quand on court. Et les murs qui défilent à perte de vue. Courir, toujours courir. Comme si elle avait le diable à ses trousses. Mais bientôt, elle s’était aperçue qu’elle ne courait pas en se déplaçant. Elle courait sur place. Un peu comme si elle courait sur un tapis roulant. C’était étrange. Et après, il y avait cette chute. Une chute sans fin, dans un long cri, à déchirer les tympans. Et là, elle se réveillait, le front trempé de sueur. Toujours le même rêve, obsédant. La seule solution, pour ne pas avoir à subir tout ça, c’était de s’abrutir avec les cachets. Les somnifères l’assommaient comme une masse. Et elle dormait, d’un sommeil sans rêves. Du moins, le matin venu, elle ne s’en souvenait plus.

    Alice aurait aimé faire quelque chose de plus constructif plutôt que d’attendre que ça se passe. Comme comprendre la signification de ces rêves, par exemple. Mais là, elle n’avait pas le choix. Londres et son centre ville n’étaient pas le meilleur endroit pour racoler. Mais certaines autres prostituées y venaient aussi, parce qu’il y avait du monde, et qui disait monde disait plus de clients potentiels. Une de ses collègues avait même été jusqu’à toquer à la vitre d’un homme en stationnement. Elle avait fini par monter dans la voiture, et de s’éloigner. Elle avait eu de la chance. Elle aura eu ce soir quelque chose. Car des fois, il arrivait qu’elle n’obtienne rien pendant des jours. Ca impliquait le vol à l’étalage. Avec ses pouvoirs magiques, il devenait difficile d’accomplir ses méfaits. Un simple accio suffisait à s’attirer les vivres. Alice n’aimait pas sa vie. Mais après tout, avait-elle seulement d’autres choix? Elle se savait belle. Elle avait toujours su jouer de ses charmes. Alors pourquoi pas. C’était dégradant, mais au moins elle pouvait fixer son prix en fonction de ses besoins en argent. De l’argent Moldu, bien évidemment. Mais des fois, elle avait de la chance. Il lui arrivait d’avoir des clients sorciers. Mais c’était plus rare. Et si elle était confrontée à l’un d’entre eux, souvent, elle ne le savait pas. Et ne le saurait jamais. Ce n’était pas toujours facile non plus. L’autre fois, les policiers Moldus ont débarqué, et ont emmené trois d’entre elles au poste, surprises en flagrant délit. Alice y avait échappé parce qu’elle avait transplané. Elle ne voulait pas aller en prison. Elle avait passé trop de temps à se soustraire à ceux qui voulaient la priver de liberté. Ce n’était pas pour se faire prendre à nouveau, et devoir tout recommencer.

    Bref. Alice, lassée d’arpenter le Londres côté Moldus, chemina vers le Chaudron Baveur. Elle traversa le bar miteux, et se rendit de l’autre côté, sur le chemin de Traverse, bondé à cette heure ci de l’après-midi. Elle se fraya un chemin dans la foule, avant de bifurquer vers l’allée des embrumes. Alice n’aimait pas trop cet endroit, mais elle savait que quelque part par là, il y avait une espèce de cour des miracles. On y vendait de tout et n’importe quoi. C’était un endroit qui descendait sous terre, au bout d’un escalier qui menait droit dans les ténèbres. Dès lors, on s’enfonçait un peu plus sous terre. Il ne fallait pas être claustrophobe. Ni avoir peur du noir. Mais généralement, on y trouvait pas mal de trucs. Et de trafics illégaux. En tout et n’importe quoi. Il y avait un stand pas mal glauque, avec un type au crâne rasé, qui fumait des trucs douteux. Il avait à première vue un étalage de boucherie, mais quand on s’approchait, on voyait un foie, un cœur, des poumons. Trop gros pour appartenir à un animal. Trop proches aussi des organes humains pour ne pas en être. Elle soupçonnait le type de s’adonner au cannibalisme. Bien sûr, c’était interdit. Mais il avait une bonne planque. Car aucun Auror ne s’aventurait jusque là. Alice ne savait même pas si les Mangemorts y venaient. En tout cas, c’était un regroupement de junkies en tout genre, de transsexuels, de personnages glauques qui révulsaient, mais aussi, des prostituées. Il y avait un peu plus loin dans ce boyau de terre un petit espace. Une sorte de bordel. Quand la situation était critique, Alice venait là histoire de ramasser quelques gallions pour se payer une chambre au Chaudron Baveur. Ou passer chez Gringotts pour faire du change en monnaie Moldue. Mais ce jour là, elle n’allait pas au bordel. En réalité, elle allait trouver un marchant qui proposait quelques onguents -dont il ne vaut mieux pas savoir la composition- et autres cataplasmes. Certains étaient faits à partir de limaces moulues, ou autres choses peu ragoûtantes du genre. Alice discuta un moment avec le marchand. Qui examina ses blessures infectées, les touchant de ses doigts crasseux. Il fouilla dans l’armoire positionnée derrière son stand, et il donna un onguent à la couleur douteuse. Alice paya la marchandise et remonta à la lumière du jour. Enfin, lumière, dans un endroit aussi sombre que l’Allée des Embrumes, tout était relatif hein!

    Elle ne s’aperçut pas qu’on la suivait, et pire encore, elle ne le remarqua pas avant qu’on la ceinture. Alice avait de très mauvais réflexes quand on lui faisait ça. Ainsi, elle se débattit, en criant, quand elle envoya son poing dans la figure du type. Elle sentit à la fois ses jointures exploser sous l’impact, alors que l’arcade du type, conjointement, explosa. L’homme agrippa ses cheveux, et le médaillon qu’elle avait autour du cou. Elle se débattit encore, et parvint à se dégager. Se faisant arracher au passage une mèche de cheveux blonds et son précieux médaillon. Mais elle ne le remarqua pas. Et elle préféra s’enfuir, alors que la petite pièce métallique heurtait le sol dans un cling discret. Son agresseur lissa longuement la mèche de cheveux qu’il avait arrachée, avant de la mettre dans un sachet en plastique, comme une pièce à conviction. L’air satisfait, ignorant le sang qui coulait sur son visage, il s’empara du médaillon, et de le mettre dans le même sachet. Voilà quelques marchandises qui pourraient intéresser au marché noir, des cheveux de prostituée et un médaillon de valeur. Mais Alice ne vit rien de tout ça. Elle courait, comme dans son rêve. Elle finit par entendre des bruits de pas, non loin d’elle. Dans un élan de panique, elle crut que son agresseur récidivait. Alice s’empara de la bombe au poivre qu’elle avait dans son sac, et elle l’actionna, sans savoir que la jeune femme qui était là était tout à fait innocente. Trop tard, le mal était déjà fait…
 
 

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