William la savait et l'avait très bien dit à Shaylee : ce soir il n'aurait as dût aller à la fête de Misha ! Sans ça il n'aurait pas revue Rose et son cœur ne serait pas de nouveau en miette. En quoi cela expliquer le fait qu'il se trouvait à présent dehors avec Roméo avec un verre de téquila dans le sang ? Tout simplement parce que le jeune étudiant avait décidé de le trainer à l'écart pour l'empêcher de boire et apparemment pour lui parler.

-- Roméo -- Il s'passe quoi ? Va y raconte.
- William - Qu'est-ce tu veus qui se passe ? Absolument rien dit-il avec un grand sourire et un air décontacte. C'est pour ça qu'tu m'as trainer dehors ? Parce que tu t'inquiéter pour moi dit-il en pinçant la joue de Roméo comme font les vieilles grand-mère aux gamins et qu'ils détestent ça. Puis le lâchant il rajouta : « T'inquiète Juliette tout va bien. Allez viens on rentre ce bourrer la gueule »

Alors William aller bien ? Roméo avait exagéré ? Will avait juste envie de s'amuser et rien lui trotter dans la tête ? Bien sûr que non . Bien sûr que il y avait de quoi s'inquiéter et que son cerveau tourner à trois cent à l'heure. Mais un homme un vrai ne montre se qu'il ressent. En cas de problème il encaisse, il encaisse, il encaisse, il encaisse encore jusqu'à explosion. Espérons juste que la petite comédie marche que Roméo lui lâche la grappe....

A voir la tête de Shakeaspeare il n'était pas franchement convaincus. William aller re-rentrer à l'intérieur mais le blondinet l'en empêcha en mettant son bras devant la porte. Putain !

Roméo - On ira se bourrer la gueule, sans problème mais pas tout de suite. Tu m'explique et après on s'amuse mais j'te laisserait pas rentrer tant que tu ne m'aura pas dit ce qui va pas.
William - Ok. J'me suis cassé un ongle. Mon hibou c'est fait écrasé et j'ai déchiré ma chemise préféré dit-il en chouinant et avant d'enlever du bout des doigt une larme imaginaire au coin de son œil. Puis reprenans son air sérieux, il rajouta : « Bon c'est bon on peut rentré maintenant ? »
Roméo - n'essaye pas de partir, j'te lâcherais pas tant que je saurais pas.
William - Bin désolé mais tu va vraiment attendre longtemps parce que ya rien.
Roméo - J'sais que cela ne m'regarde peut-être pas, mais quand tu m'dis que tout va bien, j'te crois pas alors ...
William - Bin pourtant c'est la vérité. Allez décontracte. Tout va bien j'te dit . Aller tu va me montré comment tu tiens la téquila.
Roméo - Il s'est passé quelque chose avec Shaylee ?

Et Merde ! Cette fois-ci l'air décontracte de William s'était évanouie. Roméo avait toucher juste. Et ça ça le faisait chier.

William - Non rien tout va bien. Elle fait ses truc j'fais mes trucs s'est cool quoi. Là maintenant elle doit être avec sa jumelle. Bon on peut rentré maintenant ?

Traduction ? J'veus pas en parler tu me soule lâche moi . Il n'y avait de personnel dans la réaction de William, il n'avait rien contre Roméo et c'était un mec qu'il apprécier énormément mais là franchement il se mêler vraiment de quelque chose qui ne le regarder pas. Et surtout Will n'aimait pas parler de lui. Parce que parler de Shaylee signifier parler de Susi et donc de Rose. Et ça c'est même pas la peine d'y penser . Pour lui Rose est morte il y a deux ans.... Elle est morte lorsqu'il as lâchement rompus avec elle parce qu'il n'avait pas la force d'attendre de la voir mourir dans ses bras à cause de sa maladie..... Sa avait était plus simple pour lui de se dire pendant deux ans mais ce soir il avait eut la preuve qu'elle était belle et bien en vie !

[il est très bien ton post Marion ]

Eh merde ! William souffla un grand coup avant d'interpeler son ami. Il y était aller trop fort et comme toujours il avait blesser ceux à qui il tenait sans s'en rendre compte. Comme si inconsciemment même s'il pensait que les autres l'abandonnai toujours c'était lui qui le pousser à le faire car au fond il se sentait presque indigne d'être aimé. Et oui William est un être bien compliqué. Quoiqu'il en soit les paroles de Roméo n'était pas tombé dans l'oreille d'un sourd. Chaque mots lui avait prendre conscience de sa connerie.

William - ROMEO... Attend !

Il soupira de nouveau, tant se pas vers l'autre lui coutait beaucoup . Il n'avait pas l'habitude qu'on soit là pour l'écouter. En cas de coup dur il préférait prendre sur lui, il encaisser et puis c'est tout. Et au pire si quelqu'un n'était pas capable de supporter sa façon d'être il l'abandonner, ce n'était pas grave il avait l'habitude. Dans sa vie tout le monde l'avait toujours abandonner un jour où l'autre. Son père, la première fille avec qui il avait coucher, Asphodèle, Rose.... Certain d'entre eux était revenus, d'autre pas.... Il aurait très bien put se dire « bon débarras » et laisser Roméo partir mais ce n'est pas se qu'il fit. Parce que Roméo avait raison, un jour il se retrouverait vraiment seul. Et cela il ne le voulait pas. La solitude c'était pire que tout.

William - C'est à cause de Rose dit-il en haussant la voix pour que Roméo qui était déjà l'entende . C'est à cause de Rose que j'ai envie de boire.... J'ai pas envie de retourner la-dedans ! Tu veus bien rester avec moi ... ? Enfin..... si t'arrive à me supporter .

Il eut un p'tit sourire mal à l'aise. Un de ceux qui sous-entend des excuses mais que l'ont fait à la place des mots car cela est plus facile. C'était déjà un énorme effort qu'il venait de faire et il ne savait plus quoi dire. Si Roméo voulait l'aider il allait devoir faire preuve de beaucoup de patience et le pousser à se confier sans avoir peur de ses réactions un peu brusque. Pas facile, mais William était ainsi.

Quoiqu'il en soit son amitié avec le jeune Torrez était importante pour lui. Il n'avait pas envie de lui faire de peine et de tout gâcher aussi bêtement. L'alcool il n'en avait rien à foutre, ce bourrer la gueule encore moins alors que Roméo....

Roméo - Tu sais très bien que je ne laisserais jamais tombé un ami dans le besoin surtout si celui-ci accepte mon aide.

Non il ne le savait pas. On aurait pût le lui répéter sans cesse, même l'écrire ou faire une promesse signer dans le sang qu'il ne l'aurait toujours pas sut. Que voulez vous c'était comme ça. Comment avoir entièrement confiance dans les autres quand on en as pas en soie même ? Bien qu'il ne l'avouerai jamais il avait besoin d'être continuellement rassuré.

-- Roméo -- Et pour ce qui est de te supporter. Je supporte Damian et t'es loin d'être pire que lui alors j'devrais pouvoir y arriver. Ecoute William. Je sais qu'c'est pas facile pour toi de te confier, sûrement qu't'en a pas l'habitude mais j'te demande de me faire confiance. J'vais pas te juger, j'suis ton ami, j'veux simplement t'écouter et t'aider à te libérer de ce que t'as en tête.

William écouta chaque mots avec attention et reporta son regard vers Roméo. Il avait l'air sincère. Soupir. Après tout pourquoi pas.

William - d'accord.... je veus bien essayer.... Alors voilà je sais pas si tu était au courant mais Rose et moi on est sortis ensemble quand on était à l'impasse. J'lui ai souvent tourné autour avant l'accident de Poudlard, mais sans vouloir vraiment m'engager. Sauf qu'avec ce qui s'est passé durant le bal d'halloween et tout le raffut j'ai enfin sauté le pas et on s'est mis ensemble.....

En y repensant tout ça lui semblait être à des années lumières. Elle était bien loin l'époque où il niait haut et fort ressentir quelque que chose pour Rose. A présent il n'était qu'une éponge dégoulinant de sentiment. Beurk. Il s'en dégouter presque lui même.

William - Mais ça n'as pas durer longtemps. Elle était malade, et elle l'ignorait mais les médecins ont dit qu'elle était mourante, il ne lui reste que grand maxi un ou deux mois à vivre . Alors j'ai rompus avec elle. J'crois que...je ... j'ai eut peur. J'penser qu'elle allait mourir. Mais aujourd'hui.... elle est toujours en vie.

Il avait terriblement honte d'avouer pourquoi il avait sa fleur s'éloigner de lui. Il avait était terrorisait à l'idée qu'elle l'abandonne alors il l'avait abandonné le premier. Logique made in William. Sa peut peut-être semblait farfelus comme réaction, mais pas pour lui. Lorsqu'on est confronté a l'âge de six ans face à la mort, on apprend a en avoir peur et apprendre la fuite dès qu'elle surgit. A cet instant présent Slayers se sentait vraiment con de parler de lui, il le faisait parce qu'au fond ça lui faisait du bien mais il se trouvait stupide. Un homme un vrai ne ressent rien.....

Pendant ses confidences, Roméo n'avait rien dit il était rester silencieux et avait laisser William exprimer ce qu'il avait sur le cœur. Étrangement il se laissait faire et disait ce qu'il penser réellement sans plus de résistances. Peut-être parce qu'au fond il en avait envie mais bien sûr il aurait préféré crever plutôt que de l'admettre . C'était beaucoup plus plaisant pour son égo de se laisser croire que c'était Shakespeare qui l'avait pousser a se confier et que cela ne venait d'une grande envie de sa part de se montré tel qu'il était pour une fois, de baisser sa garde et montrer ses sentiments . Un homme un vrai ne montre pas se qu'il ressent même lorsque cela fait mal. Il fallait quand même avouer que de se côté là il avait de net progrès. Il savait qu'un homme pouvait avoir des sentiments mais il était toujours incapable de les montré. Pour l'instant ça le soulager d'en parler il savait que demain il le regretterait ardemment et qu'il aurait honte de s'être montrait aussi faible.

-- Roméo -- Tu regrettes de l'avoir quitté ? T'as toujours des sentiments pour elle ?

Rose. Parler d'elle mettez son cœur à vifs. Ce n'était pas n'importe quelle fille. Il ne l'avait vu comme tel et ne l'a verrait jamais ainsi. C'était Rose un point s'est tout. Est-ce qu'il regretté de l'avoir quitter ? Est-ce qu'il avait toujours des sentiments pour elle ? Il avait plus ou moins la réponse à ses questions mais serait-il capable d'en parler ? Sa c'était une autre histoire. Pourtant il savait que Roméo n'attendais que ça et était là pour lui mais c'était dur. Il avait l'impression qu'il serait jugé au moindre de ses mots et pourtant au fond il savait que ce n'était pas le genre de Juliette.

William - Je sais pas.... je ...

Il ouvrit la bouche pour dire quelque chose mais aucun son ne sortit. C'était dur très dur. Il n'avait vraiment pas l'habitude de parler de lui. Sa ne voulait pas dire qu'il n'avait pas assez confiance en Roméo, juste que c'était pas dans ses gênes et qu'il voulait vraiment le pousser, être extrêmement patient et lui pousser des question si on voulait qu'il se confie. Quoi qu'il en soit il avait stopper l'humour, son arme de défense pour un air sérieux se qui était très bon signe. Maintenant il ne lui manquer qu'un réel soutien pour qu'il continue d'en parler. Rien de plus.

William - J'crois que oui....

William se sentit oppresser par cette question comme obliger de mettre un mot sur ce qu'il ressentez et de se livrer totalement. Il lui avait dit, il ne savait pas . Il ne savait pas s'il l'aimait encore après ces deux ans alors pourquoi Roméo insisté-t-il ainsi ?

William - J'en sais rien. J'viens de te le dire.

Il avait pris un ton agressif malgré lui,. Le haussant légèrement. Il n'avait rien contre Roméo et l'évidence était qu'il cherchait seulement à l'aider mais avec son question le jeune Torrez venait de mettre un peu plus d'ordre dans la tête de William est la vérité lui faisait mal. C'était toujours ainsi. Le jeune Slayers se cacher toujours une blague ou un grand sourire pour se cacher de la vérité et des choses qui blesse. Si l'on ne prend pas conscience des choses comment s'en sentir toucher ? C'est ce que William avait toujours penser. Il préférait faire semblant et voir au delà de l'évidence mais la question de Shakespeare et son sérieux ne pouvait que le ramener à la réalité. Et ça il avait plutôt du mal à l'accepter.

Tout de suite après s'être emporter, il avait baisser le regard conscient que sa réaction était stupide. Mais il était ainsi. Il s'attendait à se que Roméo partent. Après tout, après son comportement, n'importe qui serait partit . Mais Juliette devait se douter que William n'en avait aucune envie car il n'avait pas bouger d'un poil. Slayers soupira un grand coup, décidément il n'était pas un cadeau pour ses potes. Il redressa la tête et observa Roméo avec un regard. On voyait clairement qu'il avait le cœur brisé en deux. A cause de Rose...

William - Je l'aime....

Il l'avait dit. Il n'avait jamais était capable de se l'avouer vraiment à soit même depuis qu'ils avaient rompus et lorsqu'ils étaient ensemble il ne dit qu'une fois à Rose et seulement sous une intense pression, mais là il venait de l'avouer à Roméo. Pourquoi ? Peut-être parce qu'il en avait besoin pour arrêter de sentir cette chose le dévoré de l'intérieur. William n'en revenait presque pas lui même de se qu'il venait de dire. Il n'avait pas honte mais il réaliser juste dans quel merde son cœur l'avait encore mis. Il s'assit alors sur le dossier du banc, regardant légèrement vers ses pieds.

William - Je l'aime Roméo... Et je crois que je l'aimerai éternellement !

Roméo était rester là a ses côté malgré son comportement et il l'écouter sans le juger, se contentant seulement de mettre un main sur son épaule pour lui montrer qu'il le soutenait. Même après deux ans passer à l'impasse en compagnie du jeune Torrez, William avait plus toujours Roméo comme un simple potes, quelqu'un de sympathique, le frère de Sandro mais sans chercher d'avantage à le connaitre bien qu'il en sache déjà beaucoup sur lui et qu'il l'apprécie. Mais à présent il avait les choses différemment. Il avait l'impression qu'un lien invisible, plus fort que celui qu'ils n'avaient déjà, venait de s'être crée entre eux. William avait beau être presque tout le temps arrogant et sûr de lui ça n'était que pour cacher son réel manque de confiance en lui et voilà pourquoi il lui était si dur en général de faire confiance aux autres . Mais en restant là ce soir malgré son comportement détestable, Roméo venait de gagner le respect et l'estime de William, encore plus qu'autrefois. Une fois était sûr, si un jour Shakespeare était dans la merde il serait là pour l'en sortir.

Roméo -- Et Rose le sait que tu l'aime ?
William - Non. Et elle le ne saura jamais.

Sa réponse était net et précise et cette fois ci il n'avait eut aucune hésitation tant et si bien la réponse était évidente à ses yeux. Ce soir était la première fois qu'il voyait Rose depuis deux ans mais ces sentiments était resté intact. Si deux ans n'avait pas suffit il était certain qu'une vie entière ne suffirai pas non plus. Pourtant elle l'ignorait. Comment aurait-elle pût le savoir alors quelque temps après leurs rupture elle avait fuit à Poudlard malgré les mangemort pour lui échapper ? Comment aurait-elle put le savoir alors qu'il avait cru pendant longtemps qu'elle était morte de sa maladie sans qu'il n'est pût lui dire au revoir ? Comment aurait-elle pût le savoir alors qu'il y a quelque minute il ne le savait pas lui même ? Mais peu importe. Il ne lui dirait pas. Il en était hors de question. Rose mériter cent fois mieux que lui. Il n'avait pas sût la rendre heureuse il y a deux ans pourquoi serait-ce différent aujourd'hui ? Pour rien. Voilà pourquoi il ferait taire son cœur qu'il continuerait de faire comme si de rien n'était. Il avait appris il y a bien longtemps à vivre avec ses propres tourment sans se laisser ce dévorer par eux, et il n'y avait aucun raison pour que ça change enfin....

Roméo -- Peut-être qu'il faut lui laisser un peu de temps.
William - Moais t'inquiète je gère dit-il avec un petit sourire. Et puis j'ai Shaylee.

C'était fini. Avec cette phrase William signer la fin de sa confidences. Ce ne voulait pas dire qu'il fesait un blocage comme tout à l'heure mais qu'il n'avait plus rien à dire. Plus rien sur le coeur car l'important avait était dit et ses paroles avait servit a lui ouvrir les yeux. Déjà bien pour un homme un vrai, un homme qui ne montre passe qu'il ressent. Roméo pouvait déjà être satisfait d'avoir obtenus un tel résultat mais Rome ne sait pas construit en un jour et il ne valait pas trop lui en demander d'un coup. Il avait abandonner son air triste pour un plus léger, comme si ses idée noire c'était envolé d'un seul coup mais ce n'était qu'une apparence. Il se leva du banc et s'attira de tout son long et baillant légèrement comme si il se réveiller d'une bonne sieste.

William - Il commence à faire frais? on devrais rentré dit-il avec un léger sourire. Tu crois qu'avec un peu de magie on arriverai à bidouiller la télé Moldus pour obtenir une chaine porno ? rajouta-t-il avec un air espiègle et en levant un sourcil intéressé ->

L'humour. Son arme de défense qui revenait toujours lorsqu'on si attendez le moins. Il avait vraiment envie de rentré. Retrouver son lit et ne plus penser a rien. Peut-être même raconter deux trois conneries avec Roméo avant. Mais surtout ne pas se prendre la tête. Il n'était pas vraiment d'humeur à regarder un film porno, d'ailleurs il ne regarder pas vraiment se genre en général à part pour déconner, mais c'était le premier truc qui lui était venu à l'esprit pour détendre l'atmosphère et éliminer définitivement cette ambiance sentimentale dont il était définitivement allergique. Il fit quelque pas pour se dégourdir les jambes et se retourna vers Roméo retrouvant l'espace d'une seconde son air sérieux.

William - Merci......

Pas besoin de rajouter pourquoi, la réponse était évidente pour lui. Merci d'avoir était là. Merci de me supporter moi et mon sale caractère. Merci d'être mon ami. Merci de ne pas me juger. Merci d'avoir essayer de m'aider. Merci tout simplement. Ceci étant fait Slayers retrouva son air enthousiaste et enjoué qui le caractériser tant comme si rien ne s'était rien passer. D'ailleurs revenir dessus serait une très mauvaise idée. Il n'oublierai pas que Roméo avait était là pour lui mais son égo le forçait à se conduire ainsi, c'était comme ça.

William - J'me demande si Sandro va enfin trouvé une copine ce soir. Si ça continue comme ça ton frère ne pourra pas tarder à se faire prêtre.