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-- BeLlE eNtRéE eN mAtIèRe -- EmptyJeu 21 Aoû - 12:34



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Sandro Sebastian & Roméo Torrez


-- PrEmIeR pOsT pOuR JuNe --

-- 11 août, 16 heures --



-- Sandro -- Franchement, c'est simpa comme endroit pour crécher.

-- Roméo -- Clair, je m'attendais plus à un truc style dortoir, comme à Poudlard.

-- Sandro -- Ouais, ben heureusement que c'est pas pareil sinon ça m'aurait gonflé.

-- Roméo -- C'est cool comme endroit pour faire de bonnes petites soirées.

-- Sandro -- Ouais, on va bien délirer avec William et Idris. J'espère simplement qu'ils sont motivés pour s'éclater et en profiter.

-- Roméo -- Will, c'est sûr, Idris, cela reste à voir.

Assis sur le lit de Sandro, les deux garçons commençaient déjà à parler des soirées qu'ils allaient faire sur le campus. Cela faisait à peine quelques minutes qu'ils avaient pénétré dans leur baraquement que déjà, ils l'imaginaient rempli d'étudiants, avec de la musique à donf et de l'alcool. C'est tout cela qui plaisait aux deux compères et déjà, ils planifiaient une date pour leur première soirée.

-- Sandro -- Tu pense quoi de demain ?

-- Roméo -- Demain ?! ça fait un peu court. Le temps de trouver les boissons, de convaincre Idris et Will, de trouver des idées pour que cette soirée soit mémorable. Je pensais plutôt à la semaine prochaine. Demain, on s'occupe de la paperasse, après-demain, les cours commencent. Cela nous donnera le temps de voir un peu ce qui se fait sur le campus et de trouve l'idée originale qui nous fera connaitre.

Sandro écoutait avec attention les arguments de son frère et finit par aquiescer. Il n'avait pas tord. Ici, les étudiants devaient faire des soirées tous les jours et s'ils ne voulaient pas se récolter un bide, il valait mieux tout prévoir à la perfection.

-- Roméo -- Et puis, il faudrait commencer par se présenter aux soirées et tenter de cotoyer du monde.

-- Sandro -- J'ai entendu dire qu'il y avait une soirée organisé au baraquement 20 ce soir.

-- Roméo -- On pourrait peut-être y aller et voir un peu ce que ça donne. J'ai envie de m'aamuser ce soir

-- Sandro -- Bon alors on y va ce soir.

Les deux garçons se regardèrent avec un grand sourire. Eux et les fêtes c'étaient une grande histoire d'amour. une fois le programme de ce soir prévu, les deux garçons se mirent à parler de leur amis qu'ils n'avaient pas vu depuis longtemps. Outre Dean qui n'était pas à l'université et William qu'ils avaient déjà revu, ils se demandaient ce que devenait James, Dakota et Rose.

-- Roméo -- Pour elle, je sais qu'elle est à l'université, dans le baraquement 7.

-- Sandro -- Comment tu sais cela ?

-- Roméo -- C'est mon petit doigt qui me l'a dit.

-- Sandro -- Ah, ah, très drôle. On a rien à faire c't'aprèm ? Tu crois qu'on peut aller la déranger dans son baraquement ?

-- Roméo -- Ben pourquoi on pourrait pas ?

Les deux garçons se levèrent en même temps, enfilèrent leur chaussures et sortirent de leur baraquement avant de fermer la porte à clé. Côte à côté, ils remontaient le petit chemin goudronné au bord duquel se trouvait toutes les habitations. Ils saluèrent au passage quelques anciennes connaissances avant de s'arrêter devant la maisonnette de Rose et de ses colocataires. Roméo toqua à la porte. Pas de réponse. Il recommença l'opération. Toujours rien.

-- Sandro -- Rose, c'est Sandro et Roméo.

Toujours rien. Sandro écarta son frère et cogna plus fort à la porte. Tellement qu'il est bourrin, la porte s'entre-ouvrit toute seule. Les deux frères se regardèrent avant de hausser les épaules. Sandro, sans gêne, poussa un peu plus la porte. Il ne semblait avoir personne à l'intérieur. Pas question d'entrer tout de même sans y être inviter. Ils renouvellèrent leur appel à l'attention de leur ami.

-- Sandro -- Rose, t'es là ?


Dernière édition par Sandro Sebastian le Mar 16 Sep - 20:24, édité 3 fois
 
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-- BeLlE eNtRéE eN mAtIèRe -- EmptyJeu 21 Aoû - 17:57



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Henriette | « Donne. »
June | « Tiens, ma chérie. »

Une pomme à la main, et la petite Henriette Maedhbh Prewett s’amusait. Agée d’à peine plus d’un an, il lui fallait un rien pour rire aux éclats. Certains petits enfants piquaient des crises de colère, de caprice, mais chez elle, celles-ci étaient très peu fréquentes. Comme sa mère, elle n’avait aucun problème pour aller vers les autres, et n’était pas du genre renfermée. D’ailleurs, elle marchait déjà, et commençait à parler relativement bien, bien que, parfois, d’autres personnes que June ne comprendraient strictement rien aux bruits qu’elle produisait.

Sandro | « Rose, c'est Sandro et Roméo. »

La jeune fille, désormais âgée de dix neuf ans, tourna la tête vers la porte de sa chambre. Elle n’avait pas entendu clairement ce qui avait été dit, mais il y avait quelqu’un, c’était certain. Se levant, sa fille la suivit, tirant sur sa jupe pour lui dire quelque chose.

Henriette | «’Ttaquer. »
June | « Prends ça, alors, Henrietta. »

June enleva la pomme des mains de la petite fille, lui donnant, à la place, deux pêches, bien moins durs. Evidemment, une mère normale n’aurait pas encouragé sa fille à balancer des fruits sur un inconnu. Tout d’abord parce que ce n’était pas poli, que ça ne se faisait pas, mais aussi parce que c’était un comportement de sauvage. Mais June n’avait jamais été totalement normale et saine d’esprit. De plus, elle s’arrangeait pour que ce ne soit pas douloureux pour l’intrus en question. Ce genre de choses l’avait toujours amusée, et ça ne changerait probablement jamais. Attrapant un tube de gouache rouge sur sa table de chevet, elle traça deux traits sur chacune des joues d’Henriette, et les siennes. De vraies sioux parés à l’attaque.

June | « On est des indiennes et voilà les cow-boys… »
Henriette | «’Ttaquer. »
June | «T’as tout compris, ma puce ! »
Sandro | «Rose, t’es là ? »

Déposant un baiser sur le front de son enfant, June attrapa elle-même deux pêches. Les minutions étaient bien en main, et l’ennemi était rentré, elles pouvaient y aller. Ni une, ni deux, elles se jetèrent dans le couloir. En poussant des cris de peaux rouges, elles balancèrent leurs fruits sur leurs deux malheureuses victimes. Sploch. Sploch. Sploch et re Sploch. Les quatre pêches d’écrasèrent sur eux, éclaboussant leurs vêtements de leur jus, avant de glisser lentement jusque au sol.

Henriette | «Gagné ! »
June | « Ouh ouh victoire des pow oh ! »


S’en suivit une magnifique danse de la victoire, version Prewett, de la mère et de sa fille, riants aux éclats. Attrapant Henrietta dans ses bras, June se dirigea vers les deux jeunes hommes, qui lui disaient quelque chose. Ils étaient à Poudlard auparavant, c’était certain. Elle leur fit la bise à chacun, ainsi que la petite fille, les invitant à rentrer. Sandro et Roméo, voila que ça lui revenait. June avait beau être tombée enceinte deux fois, et n’avoir aucune certitude sur le père, cela ne l’avait pas calmée pour autant. Elle continuait à tomber amoureuse trente cinq fois par jour, et là, il s’avérait qu’elle était en présence de deux représentants de la gente masculine au physique plutôt avantageux. Henriette était désormais debout, gambadant dans la pièce en gazouillant joyeusement.

June | « Vous voulez boire quelque chose ? Vodka, Gin, Manzanna, on a tout il suffit de demander ! On doit aussi avoir de l’eau, et du lait, mais je sais plus trop où. Dans le robinet, c’est là où je prends pour Henrietta, sinon moi j’y touche pas, alors je ne peux pas trop vous dire ce qu’il faut en penser. Vous n’êtes pas trop salis ? Enlevez vos vêtements sinon, il y en a peut-être de rechange. Vous serez toujours mieux sans qu’avec des trucs dégoulinants de pêche. »

Toujours aussi bavarde, directe, portée sur la boisson, les changements qu’avaient pût subir June n’étaient pas franchement visibles. De plus, elle n’était absolument pas gênée par la présence de sa fille, qui aurait pût l’assagir. Ce sont des choses toutes naturelles, et qu’elle-même vivrait, après tout.


Dernière édition par June Amy Prewett le Mer 27 Aoû - 12:29, édité 1 fois
 
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-- BeLlE eNtRéE eN mAtIèRe -- EmptyVen 22 Aoû - 0:11



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HJ : Hey je m'incruste, j'espère que ça gêne pas =)

    Rose - Allez viens… Allez…

    Une voix étrangement douce parvenait des buissons, le genre de voix que l’on prenait sans vraiment y faire attention lorsqu’on parlait à un enfant. Fourrée dans les broussailles vertes, sentant les branches lui écorcher la main, la jeune fille insista néanmoins, tâtant le sol de ses doigts fins. A ses mots doux et posés, quelques miaulements timides se firent entendre. Rose esquissa alors un sourire avant de se pincer les lèvres. Comme beaucoup de jeunes filles, elle fondait littéralement sur place à la vue d’une boule de poil comme ce chaton fourré timidement dans les buissons. Et pourtant, elle n’était plus la jeune fille réservée de Poudlard. Rose avait gagné en caractère, en assurance et en jovialité, ce qui faisait d’elle autant un véritable rayon de soleil qu’un véritable pic de glace si la personne en face d’elle était quelqu’un qu’elle n’appréciait guère. En ce jour du mois d’Aout plutôt nuageux, Rose était partie voir son petit ami Alexis, afin de réviser quelque peu. Les multiples fêtes étudiantes ne leur laissait guère le choix que de grapiller ici et là de leur temps libre afin de rattraper leur retard. Comme souvent, les révisions tournèrent court, et Rose s’était retrouvée avec Natalia et Alexis -toujours aussi renfrogné de ne pas pouvoir avoir son intimité avec sa petite amie qui elle, ne s’apercevait presque jamais de ses avances, trop distraite- à bavarder de tout et de rien. Quelle ne fut pas sa surprise d’apercevoir une petite boule de poils grise et tremblante auprès des buissons lorsque Rose sortit de chez ses amis. Là était donc l’explication de sa position délicate : fourrée dans les buissons, des feuilles vertes dans ses longs cheveux longs, son jean prenant joliment la couleur de l’herbe humide. Cela n’avait pas franchement d’importance au final. Enfin, sa main s’arrêta sur une petite fourrure douce, et elle la sortit délicatement. Le chaton d’abord tremblant, se mit alors à ronronner sous les caresses de la jeune Rose.

    Rose - Ooooooh …

    Oui vous savez, les petits gémissements qu’on lâche face à un chaton aux grands yeux bleus, et qui vous fait fondre sur place. C’était l’un de ceux-ci -d’accord, on n’a pas franchement l’air intelligent sur le moment, mais qu’est-ce qu’on y peut ?-. Rose se redressa, portant la petite boule de poils grise à son visage, qui soudainement avait perdu de sa timidité. Moins farouche et plus câlin, le chaton recherchait déjà les caresses. Le ciel se couvrit soudain, faisant lever les yeux azurés de la jeune fille vers le ciel, soudain gris. Les nuages se firent lourds, et il n’allait pas tarder à pleuvoir. Rose soupira, elle aurait autant préféré du soleil toute la journée afin de se prélasser sur la terrasse en compagnie de June et Susi. Soudain quelques gouttes de pluie froides tombèrent sans prévenir, alors que la jeune Mandrake fourra le chaton dans son gilet gris, qu’elle remonta avec douceur. Enfin, elle se décida à rejoindre son baraquement, lorsqu’une tombée fine mais forte se fit sentir. Il pleuvait averse, quelle joie pour un mois d’Aout.

    Rose - Non… dit-elle dans un bref soupir, tapant presque du pied. Si encore Natalia avait chanté j’aurai compris…

    Parce qu’elle avait beau être sa meilleure amie, il fallait bien avouer qu’elle chantait comme une casserole. La jeune fille se mit alors à courir, serrant la boule de poils contre elle, Rose dévala le campus à une vitesse hallucinante. Ce fut alors en trombe qu’elle ouvrit la porte, arrivant comme un ouragan, et trempée de la tête aux pieds. Ses vêtements lui collaient à la peau, ses cheveux blonds complètement trempés dégoulinaient d’eau, et pourtant, la jeune fille avait gardé son sourire. Sans vraiment faire attention aux invités qui lui tournaient le dos dans un premier temps -le baraquement était toujours remplis d’invités surprises et inattendus-, Rose sortit la petite boule de poils ronronnante et la tendit à la petite fille de June.

    Rose - Henriette ! J’ai trouvé un trésor !

    Toujours dans son sourire enjoué malgré ces vêtements collants qui lui étaient franchement désagréable, Rose s’accroupit afin de se mettre au niveau de la jeune fille, et posa le chaton sur le sol. Ce dernier se sentant déjà chez lui, alla explorer les moindre recoins du logement étudiant, lorsque Rose se releva enfin. Finalement, son regard se posa sur Roméo et Sandro, des amis de toujours. Quoique Rose s’était toujours sentie plus proche de ce dernier. Un plus large sourire se dessina sur ses lèvres, les accueillants avec un « Hey » enthousiaste, elle se dirigea vers les deux jeunes garçons afin de les enlacer, mais s’abstint au dernier moment. Ces derniers dégoulinaient de jus de pêche, à défaut d’être aussi trempés que la jeune fille. Rose se retourna vers June, pas franchement surprise. Car la jeune blonde partageant leur appartement était pour le moins… étrange. Très attachante, mais surtout très imprévisible.

    Rose - Tu fais des batailles de fruits maintenant ? Vous devriez enlever ça les gars, ça va vous dégouliner de partout.

    Et sur son conseil que venait à l’instant de donner June, Rose ôta elle-même son gilet, se trouvant dans son débardeur blanc déjà moins trempé. Elle réprima un éternuement avant de s’asseoir sur son lit, s’essorant les cheveux et ôtant ses chaussures.

    Rose - Vous en faites pas, je passe en coup de vent… Enfin, une fois que ce sera calmé.

    La jeune Mandrake eut un signe de tête vers la fenêtre contre laquelle frappait la pluie avec ardeur. Connaissant la jolie June qui tombait amoureuse trente-six fois par jour, il n’était pas impossible qu’elle n’ait invité Roméo et Sandro à venir la voir pour papoter « tranquillement ». Espérant ne pas rompre ce rendez-vous inattendu mais qui ne semblait vraiment pas perturber Rose, cette dernière se mit en tailleur sur son lit, et fourra les écouteurs de son mp3 dans les oreilles, avant de lever les paumes au devant elle, dans un grand signe enthousiaste.

    Rose - Promis, j’écoute pas. Faites comme si j’étais pas là !

    Oui parce qu’avec June comme colocataire, elle avait finit par comprendre plus ou moins comment elle fonctionnait, ainsi que sa manie à tomber amoureuse toutes les deux secondes. Quoique draguer avec une petit Henriette surexcitée balançant pommes, poires et même raisins sec à tout va, ça relevait déjà de l’exploit.
 
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-- BeLlE eNtRéE eN mAtIèRe -- EmptyVen 22 Aoû - 12:39



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La porte s'étant malencontreusement ouverte, aucune réponse ne provenait du baraquement pour leur permettre d'entrer. Mais il en faut plus pour que Sandro fasse demi-tour. Certes, il n'aimait pas déranger les gens mais c'était pas de sa faute si la porte s'ouvre aussi facilement et puis, il n'allait pas se barrer comme un voleur. Aussi, ce fut lui qui fit les premiers pas à l'intérieur du baraquement, imiter immédiatement par son frère. Le regard de Sandro fit le tour de la pièce pensant trouver Rose ou l'une de ses colocatrices mais ce fut deux gamines, déguisées comme des indiens qui sortirent du couloir en poussant des cris. Les deux garçons se regardèrent les sourcils froncés et l'air surpris.

-- Roméo -- C'est quoi ça ?!

Mais il n'eurent pas le temps de dire quelque chose ou de bouger que déjà l'ennemi attaquait. Les deux étudiants n'eurent pas le temps de comprendre ce qui leur arrivait qu'ils se faisaient bombarder. Avec leurs bras, ils essayaient de se protéger le visage, tout en essayant d'éviter les tirs adverses. Roméo se planquait derrière Sandro et ce fut ce dernier qui prit pratiquement tous les fruits sur lui. Ses vêtements dégoulinaient de jus et ce n'est que lorsqu'il entendit le cri de victoire qu'il se décida à sortir un oeil de derrière ses bras pour voir enfin qui est ce qui les avait agressé de la sorte.

-- Henriette -- Gagné !

-- June -- Ouh ouh victoire des pow oh !

June Prewett. Bien évidemment que les deux garçons la connaissaient, elle avait été à Poudlard avec eux pendant plusieurs années et avait le même âge qu'eux. Trempés jusqu'aux os, Roméo et Sandro se regardaient sans rien y comprendre. Certes, June était réputée pour sa bizarrerie mais tout de même, les attaquer de la sorte était vraiment puéril. Puéril ?! Non, c'est pas péjoratif pour Sandro et Roméo qui adoraient ce genre de gamineries mais ils auraient préféré avoir un moyen de se défendre. Qu'importe, la vengeance est un plat qui se mange froid. Avec un sourire presque attendrit, ils regardaient June et la petite fille faire une danse de la victoire. Et bien, comme quoi, même à la fac, les étudiants restent de grands enfants. Tant mieux parce que Sandro et Roméo n'ont pas encore envie de grandir, de s'assagir.

-- Roméo -- Nous attaquer ainsi par surprise est totalement injuste. Vous avez vu ce que vous avez fait de nos vêtements ?

-- Sandro -- Tu peux parler, t'es à peine trempé. T'es qu'un lâche, tu t'es planqué derrière moi. C'est moi qui est tout ramassé.

Roméo éclata de rire en voyant l'état dans lequel se trouvait son frère. Il avait les bras tout collants après que le jus ait fini de dégouliner jusqu'au sol. Roméo s'en sortait seulement avec quelques tâches.

-- Sandro -- Franchement, c'est une façon de recevoir les invités ? Regarde-moi, j'ai l'air de quoi maintenant ?

Il n'y avait rien de méchant dans les paroles des deux garçons. D'ailleurs, le fait qu'ils soient mort de rire montrait bien qu'ils n'avaient pas mal pris cette attaque et qu'ils amuser de cette situation. Ce retrouver ainsi devant une fille n'avait rien de très sexy.

-- June -- Vous voulez boire quelque chose ? Vodka, Gin, Manzanna, on a tout il suffit de demander ! On doit aussi avoir de l’eau, et du lait, mais je sais plus trop où. Dans le robinet, c’est là où je prends pour Henrietta, sinon moi j’y touche pas, alors je ne peux pas trop vous dire ce qu’il faut en penser. --

-- Roméo -- Après ce qu'on a subi, bien évidemment qu'on accepte cette invitation à boire un coup, c'est même la moindre des choses.

Il sourit avant de passer sa commande.

-- Roméo -- Pour moi, ce sera vodka orange.

-- Sandro -- Gin pour moi, s'te plait.

-- June -- Vous n’êtes pas trop salis ? Enlevez vos vêtements sinon, il y en a peut-être de rechange. Vous serez toujours mieux sans qu’avec des trucs dégoulinants de pêche.

Ils n'eurent pas le temps de dire quelque chose que la porte s'ouvrit et se referma avec rapidité laissant apparaitre une jeune fille complètement trempés. La pluie tambourinait contre les fenêtre du baraquement et les deux garçons reconnurent Rose, une grande amie qu'ils étaient venus voir avant de se faire attaquer.

-- Rose -- Henriette ! J’ai trouvé un trésor !

Rose déposa le chaton par terre avant de se relever et de remarquer la présence des deux garçons. Malgré le fait qu'elle semblait contente de les voir, elle évita soigneusement de les prendre dans ses bras. Mais il la comprenait. Le jus de pêche avait tout de repoussant.

-- Roméo -- Salut Rose

-- Sandro -- C'est de ta faute, si on dans cet état. C'était toi qu'on était venu voir et on s'est fait attaquer alors vient faire un calin à tonton Sandro.

Le jeune garçon s'approcha de Rose avec un air coquin et l'attrapa par le bras. Il l'attira à lui afin de lui faire un bisou d'abord mais ensuite pour qu'elle aussi soit pleine de jus de pêche.

-- Rose -- Tu fais des batailles de fruits maintenant ? Vous devriez enlever ça les gars, ça va vous dégouliner de partout.

Cela, il ne faut pas le dire deux fois. Les deux garçons ne sont pas gênés de se déshabiller devant des filles et en quelques secondes, ils se retrouvèrent tout deux en caleçon, leur vêtements en boule devant la porte d'entrée. On pouvait facilement remarquer que, malgré le fait qu'ils soient tout deux sportifs, ils n'avaient pas les tablettes de chocolats de certains, il avait même plutôt une petite bidoche mais ils ne s'en cachaient pas. Il n'étaient pas des mannequins, simplement des hommes et ils n'allaient pas faire tout un plat d'un peu de graisse, qui était dû certainement à l'alcool qu'ils buvaient à chaque soirée.

-- Rose -- Vous en faites pas, je passe en coup de vent… Enfin, une fois que ce sera calmé. Promis, j’écoute pas. Faites comme si j’étais pas là !

-- Roméo -- Tu plaisante j'espère ?

Sandro sauta sur le lit de Rose pour se retrouver assis en face d'elle. Il ota l'un des écouteurs de la jeune fille avant de lui faire une remarque, toujours dite dans la légèreté et la plaisanterie. Il sont comme cela les deux, ils se prennent pas la tête pour si peu.

-- Sandro -- On a subi cela pour toi et même pas tu nous accorde quelques minutes. Tu me déçois.

Sandro ouvrit la porte, fit mine de sortir avant de re-rentrer en remarquant la pluie qui tombait à torrent sur le campus.

-- Sandro -- Bon, finalement, je vais rester. Et puis on nous a invité à boire un coup, on va pas partir comme ça.

Toujours sans gêne, les deux garçons, toujours en caleçon s'assirent sur le canapé. A l'adresse de June, il lui demande l'identité de la jeune fille. Quand à Sandro, il parlait à Rose.

-- Roméo -- C'est ta fille ?

-- Sandro -- Alors comment tu vas ? Bien passé ton dernier tournage. Je t'ai vu dans "Without you ", t'étais tout simplement magnifique.
 
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-- BeLlE eNtRéE eN mAtIèRe -- EmptyVen 22 Aoû - 19:58



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Rose | « Vous en faites pas, je passe en coup de vent… Enfin, une fois que ce sera calmé. »

Rose n’avait aucune raison de s’excuser, elle était ici chez elle. De plus, elle ne dérangeait absolument pas. A la base, c’était pour elle que Sandro et Roméo était venu. Assise sur son lit, elle venait de se prendre une averse, c’était plus qu’évident. Et elle avait aussi ramené un chaton gris, derrière lequel Henriette gambadait à quatre pattes, tout en tentant de miauler pour discuter avec lui. June, elle était partie sortir trois verres. Une vodka orange pour Roméo. Dosée à la Prewett. C'est-à-dire trois quarts d’alcool, et le reste de jus. Le tout non pas dans un petit récipient, comme cela se sert habituellement, mais dans un grand verre à coca. De la même façon, elle remplit le deuxième de Gin pour Sandro, avant de se retourner, vers la jeune fille qui venait d’arriver il y a quelques instants.

Rose | «Promis, j’écoute pas. Faites comme si j’étais pas là ! »
Roméo | «Tu plaisante j'espère ? »
June | « Ça tombe bien que tu sois là, plus on est de fous, plus on rit ! »
Sandro | «On a subi cela pour toi et même pas tu nous accorde quelques minutes. Tu me déçois. »
June | « Subit ? … C’était que quelques malheureuses pêches ! La prochaine fois, vous ne savez pas ce qui vous attend… »

Pendant que Sandro se levait pour aller regarder dehors par la porte, l’ancienne Serdaigle chercha des yeux sa fille, qu’elle n’entendait plus, chose pour la moins étrange. S’accroupissant, elle l’aperçue sous la table, assise sur les fesses, à côté du chaton, qu’elle essayait de tenir dans ses bras. La bouche pleine de poils. Se mettant, elle aussi, à quatre patte, June se traina vers Henrietta, pour lui enlever ce qui sortait d’entre ses lèvres.

June | « Ne mange pas le chat, si tu as faim je te donnerais autre chose.»
Henriette | « Miam. »

Le chaton en question, une fois lâchée par la fillette, reparti à la découverte du baraquement, toujours suivit par la petite blondinette aux grands yeux verts. Les baisers de la gamine avaient toujours été particulièrement baveux, collants, et généreux. Actuellement, grâce à Rose, c’était sur cette petite boule de poils qu’elle déversait toute son affection. June, elle, s’était relevée, et était repartie à ses verres. Le troisième était pour l’ancienne Gryffondor, elle-même opterait pour une autre solution, ne nécessitant pas de transvaser des liquides.

Sandro | « Bon, finalement, je vais rester. Et puis on nous a invités à boire un coup, on va pas partir comme ça. »
June | « Mais oui, restez aussi longtemps que vous le voulez ! On ne va pas vous mettre dehors en caleçon… On en profite avec Rose, aujourd’hui on partage pas ! »

En apprenant ça, Susi serait jalouse, c’était sûr. Deux jeunes hommes en sous-vêtements sur leur canapé, ça valait le coup d’œil. Certes, ils n’avaient pas un corps parfait, mais cela importait peux June. Elle-même ne correspondait pas forcément aux critères de beauté pré établis. Et elle les trouvait très bien comme cela. D’ailleurs, elle était sûre que Rose pensait la même chose qu’elle. Pour la jeune fille, il aurait été inconcevable que ce ne soit pas le cas. Pendant ce temps, Henriette s’arrêté trois seconde, pour montrer le chat du doigt, puis Rose.

Henriette | « Gris. Rose. »

Et, riant, elle repartit à la poursuite du chaton, sous le regard attendrit de June. Ce n’était pas sa fille pour rien, c’était certain. Les anglaises blondes d’Henriette se balançaient de chaque côté de son visage poupin, profondément blanc, alors qu’elle avançait, se trainant par terre, se salissant un peu plus à chaque pas. Deux verres à la main, la jeune mère se dirigea vers Roméo et Sandro, leur donnant chacun le leur, plein à ras bord.

Roméo | « C'est ta fille ? »
June | « Oui, t’as tout deviné, c’est ça ! On se ressemble, tu trouves pas ? »
Sandro | « Alors comment tu vas ? Bien passé ton dernier tournage. Je t'ai vu dans "Without you ", t'étais tout simplement magnifique. »

June alla chercher le dernier verre, lui aussi totalement rempli, et alla le donner à Rose. Pour elle-même, elle attrapa le reste de bouteille qui trainait dans le frigo. Notons que, pour un Prewett, un fond équivaut à environ un quart de liquide restant. La jeune fille alla s’assoir sur le canapé, auprès des deux représentants de la gente masculine présents, invitant d’un geste la seconde blondinette à les rejoindre.

June | « Allé Rosinette, viens te réchauffer avec nous ! Je savais pas ce que tu voulais boire, alors je t’ai mit un peu de tout ce que j’ai pût trouver dans le frigo ! … Tching tching… et… cul sec ! »

Après avoir trinqué, en regardant bien chacune des personnes en face avec des yeux de poisson globuleux, comme le veut la tradition, elle vida ce qu’il restait de sa bouteille, d’un coup. La pauvre Rose, elle, se retrouvait avec un verre plein d’un mélange de divers jus de fruit, sodas, mais surtout d’alcool variés. Un des jeux fétiche de June, faire des mélanges. On ne savait pas à quoi s’attendre, ainsi, et ça en était que meilleur. Un sourire encore plus grand qu’auparavant aux lèvres, elle s’adressa aux trois autres jeunes adultes, avec entrain.

June | « Si vous avez encore soif, il suffit de demander ! Sinon, vous avez quelque chose à faire après ? »
 
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-- BeLlE eNtRéE eN mAtIèRe -- EmptyVen 22 Aoû - 22:05



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    Lorsque Sandro l’attira vers lui, Rose eut un regard taquin qui signifiait ni plus ni moins un : « Heu, j’suis obligée ? ». Pas qu’elle rechignait sur les grandes accolades amicales, visiblement Rose avait prit en assurance et était devenue beaucoup plus tactile, cela ne la gênait en rien. C’était seulement l’idée de se voir couverte de jus de pêche collant sur les vêtements qui la rebutait légèrement. D’accord, elle était trempée et n’était pas franchement en position de faire la fine bouche, mais tout de même. Impossible d’y échapper, la jeune fille enlaça finalement son ami de toujours dans un grand sourire avant d’ôter son gilet. Celui-ci était donc directement à placer dans le linge à laver. Assise sur son lit, vêtue de son jean trempé, de son débardeur blanc et tentant de réprimer ses nombreux éternuements, elle n’avait rien de vraiment aguicheur. Quoiqu’elle était déjà bien plus habillée que les deux frères qui ni une ni deux s’étaient retrouvés en caleçons. Sur cette vision de beaux garçons dévêtus, Rose jeta un regard complice et amusé à June. Lorsque l’ancienne Poufsouffle était là, étrangement il se passait toujours trente six mille choses que l’on ne pensait jamais arriver, déclenchant les imprévus à tour de rôle. Tant mieux, après tout il n’y avait pas plus ennuyeux que la routine. Déjà plongée dans sa musique, Rose eut un regard de surprise pour Sandro lorsque celui lui ôta ses écouteurs, assis face à elle.

    -- Sandro -- On a subi cela pour toi et même pas tu nous accorde quelques minutes. Tu me déçois.
    Rose - Oh mais je pensais que…
    June | « Subit ? … C’était que quelques malheureuses pêches ! La prochaine fois, vous ne savez pas ce qui vous attend… »

    Rose esquissa un sourire largement amusé, rangeant alors son mp3 dans le tiroir de la table de chevet. La jeune fille n’avait pas eu le temps de finir sa phrase, exposant alors son idée que June était venue à la recherche d’un tête à tête avec les deux garçons, elle ignorait que ces derniers étaient en fait venus la trouver. Une dernière fois, son regard bleu se posa sur Sandro et Romeo en sous-vêtements, toujours aussi amusée et détendue. Se pinçant les lèvres, elle se tourna vers June avec enthousiasme.

    Rose - En fait, tu devrais jouer au lancer de pêche plus souvent avec nos invités, ça nous faciliterait la tâche à toutes les trois.

    Les deux jeunes garçons n’avaient pas l’air pour le moins gêné, après tout il n’y avait pas vraiment de quoi. Rose s’assit sur le rebord de son lit, ses yeux bleus distraits se posant sur ses jambes qu’elle faisait balancer d’avant en arrière, écoutant pensivement les miaulements du chaton poursuivi par la petite Henriette. Elle n’écoutait plus que d’une oreille la conversation entre ses amis, signe qu’elle était dores et déjà partie sur la lune. Cela arrivait à Rose de temps à autres : elle était là, rayonnante, fraîche et enthousiaste, et décrochait subitement, la tête ailleurs et l’air absent. Sans trop savoir pourquoi, c’était simplement là une manie qui subsistait du temps de Poudlard et qui ne l’avait pas quittée. L’université était la meilleure chose qui lui était arrivée sans doute, lui permettant de passer à autre chose, de s’épanouir, de se trouver un but et surtout de se lâcher un peu plus. D’ailleurs on racontait un peu partout que Rose entretenait une relation plus qu’ambiguë avec sa meilleure amie Natalia. Les deux étudiantes semblaient d’ailleurs s’en amuser. Néanmoins la voix d’Henriette la ramena à elle, la jeune Mandrake releva ses yeux bleus sur la petite fille aux boucles blonde qui la montra du doigt.

    Henriette | « Gris. Rose. »
    Rose - Oui ! C’est bien ma puce...

    Rose eut un large sourire pour la petite qui déjà était partie en gambadant dans un rire cristallin. La petite Henriette mettait considérablement plus de vie dans le baraquement, et c’était plus qu’évident qu’elle était le portrait craché de sa mère. Autant physiquement que dans sa façon d’être : pleine de joie et dynamique. Pour autant Rose devait s’avouer que de son côté elle n’était véritablement pas prête à avoir un enfant, préférant de loin profiter de sa jeunesses, des fêtes, et de sa passion pour le théâtre. Quoique pour les festivités, Susie, June et Rose trouvaient toujours un moyen de faire garder Henriette afin de se rendre aux soirées étudiantes du campus.

    Sandro | « Alors comment tu vas ? Bien passé ton dernier tournage. Je t'ai vu dans "Without you ", t'étais tout simplement magnifique. »
    Rose - Merci beaucoup c’est gentil, dit-elle légèrement rougissante mais dans un grand sourire. Ca a été, c’est plutôt marrant de voir comment les gens s’activent autour de toi.

    La jeune fille haussa les épaules et sauta à terre avant de traverser la pièce. Au passage, son regard glissa un instant sur Romeo, lui adressant un petit sourire avant de se diriger vers la salle de bain. Elle y resta quelques secondes afin de s’y sécher rapidement, d’ôter son jean au profit d’un jogging de couleur grise, et ressortit à peine quelques minutes plus tard. Assise sur les canapé avec les deux jeunes frères, June lui fit signe de les rejoindre. Rose ne se fit pas prier et se posa auprès de ses camarades, lorsque June lui tendit un verre aux couleurs… plutôt étonnantes. Un mélange de bleu-vert, avec une nuance d’orange dans le fond. D’un point de vue esthétique c’était tout bonnement superbe, relevant presque de l’œuvre d’art, mais d’un point de vue culinaire cela semblait pour le moins… peu ragoûtant. L’on sentait déjà dans le regard de Rose cette lueur d’hésitation partagée entre boire cul sec ou à petites gorgées. Peu importait, ce n’était pas un mélange de sodas et de jus d’orange qui allaient la rendre malade… Quoique…

    Rose - Si je suis malade, j’exige un infirmier messieurs… A la vôtre !

    Rose leva son verre afin de traquer, et avala une bonne gorgée de sa mixture… Elle grimaça un instant, plus sous l’effet de la surprise qu’autre chose. Ce n’était pas si immonde au final, c’était même bon. June avait sans doute y verser tous les alcools blancs qu’elle avait trouvé sous la main, d’ailleurs Rose se demanda si elle n’allait pas finir écroulée par terre après avoir avalé son gigantesque verre plein à ras bord. Sa mixture devait sans doute être encore plus efficace qu’un somnifère, vu la quantité d’alcool qui s’y trouvait.

    Rose - J’avais jamais rien bu de… bleu, dit-elle amusée. J’y penserai plus souvent.
    June | « Si vous avez encore soif, il suffit de demander ! Sinon, vous avez quelque chose à faire après ? »
    Rose - Hmm … Rien pourquoi, t’as prévu quelque chose ?
 
MessageSujet: Re: -- BeLlE eNtRéE eN mAtIèRe --   
-- BeLlE eNtRéE eN mAtIèRe -- EmptyLun 25 Aoû - 15:02



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Sandro, il est comme cela, toujours en train de plaisanter et de taquiner tous ceux qui se trouvent face à lui. Certains peuvent trouver cela déplacé ou lourd mais pour le jeune garçon, c'est une marque d'affection. Cela montre qu'il vous apprécie. Vous me direz qu'il a une drôle de façon de montrer qu'il aime quelqu'un. Mais c'est déjà mieux que de ne rien montrer du tout. Il faut dire qu'avec son caractère encore immature sur ces choses là, il reste un gamin qui préfère passer pour le comique de service (ou le lourd de service suivant les personnes) plutôt que de montrer ses sentiments. Il a tellement été déçu de certaines personnes dans le passé qu'il préfère ne pas dire ce qu'il ressent.

Aussi lorsqu'il commence à parler de ce qu'il a subit, ce n'est pas pour critiquer ce qu'à fait June. Au contraire. Il préférait se faire attaquer de la sorte plutôt que pas des sorts. D'ailleurs, elle ne perds rien pour attendre celle-là et aucun doute que dans quelques temps, elle aura des nouvelles de Roméo et Sandro. Les deux garçons sont joueurs et aucun doute qu'il profiteront de trouver quelqu'un d'aussi gamin qu'eux pour s'amuser un peu comme dans la cour de récréation.


-- June -- Subit ? … C’était que quelques malheureuses pêches ! La prochaine fois, vous ne savez pas ce qui vous attend…

Sandro se tourna dans sa direction, haussa les sourcils avant de lui tirer la langue. Cela montrait parfaitement qu'il n'attendait que cela de voir comment cela se passerait la prochaine fois.

-- Roméo -- Même pas peur

-- Sandro -- La prochaine fois, on sera sur nos gardes et tu ne nous aura pas aussi facilement.

Un défi ? Oui certainement. Les deux garçons adoraient ce genre de défi. Lequel des trois aura le dernier mot, lequel des trois aura le plus d'imagination, lequel des trois déclarera forfait. Pour Roméo et Sandro, une guerre était lancé et leurs imaginations étaient déjà en route pour trouver l'idée qui fera regretter ces jets de pêche à June.

-- Rose -- En fait, tu devrais jouer au lancer de pêche plus souvent avec nos invités, ça nous faciliterait la tâche à toutes les trois.

-- June -- Mais oui, restez aussi longtemps que vous le voulez ! On ne va pas vous mettre dehors en caleçon… On en profite avec Rose, aujourd’hui on partage pas !

-- Sandro -- Non mais vous l'entendez celles-là. Si ça continue, elle vont nous violez sur place.

-- Roméo -- Fallait le dire si c'était simplement pour voir nos corps musclés, on se serait déshabiller, il n'y avait pas besoin de pêche pour cela.

Bien sûr, l'un comme l'autre, lançait des regards coquins aux deux jeunes filles. Sandro poussait même le vis plus loin en faisant une remarque pertinente qui n'était pas une technique de drague, juste le fait qu'il se sentait bien, à l'aise et qu'il ne pensait même plus à ce qu'il disait. Et pourtant, il n'a encore pas bu.

-- Sandro -- D'ailleurs, c'est pas juste. On est le seuls en caleçon.

-- Roméo -- C'est agréable de se faire mater mais cela l'est encore plus de mater.

Implicite ? Pas vraiment. Cela montrait clairement ce que voulaient les deux garçons. En fait, cela n'était pas méchant, c'était simplement encore une fois une sorte de défi, un peu pour voir jusqu'où elles seraient prêtes à aller. Sandro croisa les bras sur sa poitrine comme attendant qu'elles ôtent quelques uns de leurs fringues.

Après avoir bu quelques gorgées, Roméo demanda si Henriette était la fille de June. C'était pas simple curiosité. Il n'allait pas non plus s'éterniser sur la gamine. D'ailleurs, les gamins et lui, cela avait toujours fait deux et cela même s'il supportait tant bien que mal Damian.


-- June -- Oui, t’as tout deviné, c’est ça ! On se ressemble, tu trouves pas ?

-- Roméo -- Vous avez l'air aussi folles l'une que l'autre.

Bizarre mais pour Roméo, c'était un compliment. Il ne se pensait pas sain d'esprit et aimait la folie, cela mettait un peu de piment dans la vie. Rien de plus chiant que la routine et la monotonie.

De son côté, Sandro parlait à Rose de son dernier film. Aucun doute que cette fille avait du talent mais ce qui rendait l'ancien Gryffondor aussi content était le fait qu'elle était une autre femme depuis qu'elle s'était mise au théâtre. Maintenant, elle savait s'amuser.


-- Rose -- Merci beaucoup c’est gentil. Ca a été, c’est plutôt marrant de voir comment les gens s’activent autour de toi.

-- Sandro -- Tu m'étonne, cela doit faire bizarre.

Bon, la période de conversation sérieuse est terminé. Maintenant place au reste de la journée qui s'annonce palpitante. Le jeune homme attrapa une nouvelle fois son verre tandis que June semblait chercher une idée à faire pour ce soir.

-- Rose -- J’avais jamais rien bu de… bleu, dit-elle amusée. J’y penserai plus souvent.

--June -- Si vous avez encore soif, il suffit de demander ! Sinon, vous avez quelque chose à faire après ?


-- Rose -- Hmm … Rien pourquoi, t’as prévu quelque chose ?

-- Roméo -- J'ai entendu dire qu'il y avait une soirée dans le baraquement n°20. Je sais pas à qui il appartient mais tous les étudiants y sont conviés.

-- Sandro -- Je pense qu'on va se pointer là-bas. A moi que vous ayez quelque chose de plus palpitant à nous proposer.
 
MessageSujet: Re: -- BeLlE eNtRéE eN mAtIèRe --   
-- BeLlE eNtRéE eN mAtIèRe -- EmptyMar 26 Aoû - 18:47



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Rose | « Hmm … Rien pourquoi, t’as prévu quelque chose ? »
Roméo | « J'ai entendu dire qu'il y avait une soirée dans le baraquement n°20. Je sais pas à qui il appartient mais tous les étudiants y sont conviés. »
Sandro | « Je pense qu'on va se pointer là-bas. A moi que vous ayez quelque chose de plus palpitant à nous proposer. »
June | « Une soirée ? Elle ne va pas commencer tout de suite… D’ailleurs, Rosinette, il va falloir en organiser une ici ! Shushi et Toto seront d’accord, c’est certain ! »

Jetant un coup d’œil à la fenêtre, la jeune fille grimaça, en désignant le temps. Pour un mois d’ Aout, ce n’était pas fameux. Qu’importe, si il faisait froid à l’ extérieur, à l’intérieur tout allait pour le mieux. D’ailleurs, elle comptait bien suivre la directive des deux jeunes hommes, soit se débarrasser de quelques uns de ses vêtements. Et Rose allait faire de même. Si tout le monde se retrouvait ainsi, c’était bien plus amusant ! Se levant, vacillant légèrement, elle posa sa bouteille, vide, sur la table, et attrapa sa baguette. June n’avait jamais été une grande sorcière. Elle avait plus tendance à tout faire exploser en tentant des sorts, qu’autre chose. Mais elle se servait, néanmoins, de la magie pour quelques petits sortilèges de base. Elle n’avait pas besoin de plus. Il ne fallait pas croire pour autant qu’elle était sotte, ou feignante. Si jamais elle se retrouvait dans l’obligation de réaliser quelque chose de plus complexe, elle pourrait y arriver. Là, ce n’était pas le cas. Prononçant à voix basse une formule, la température se mit soudain à grimper dans le baraquement, et de la vapeur semblait émaner des murs. Non, non, elle n’avait pas décidé de faire exploser la maisonnette pour réchauffer l’ambiance.

June | « Petite séance relaxation ! Vous aimez la chaleur ?! J’adore ! Enfin, le froid aussi c’est marrant… Mais alors Rosy voudrait pas se déshabiller ! Maintenant, elle va le faire, pas vrai ?! »

En disant cela, la jeune blondinette envoya valser son tee-shirt, avec une rapidité surprenante, riant. Cela n’avait absolument rien de vulgaire. De plus, elle n’était pas ce que l’on appellerait un canon. Même après ses deux grossesses, elle était toujours aussi maigrichonne qu’avant. Certes, ce n’était pas un squelette ambulant, mais il était certain qu’elle ne débordait pas de ses vêtements. Elle n’était pas complexée pour autant, June se trouvait à mille lieux de ce genre de préoccupations. En courant, elle alla voir Henriette, tirant sur le haut de l’autre demoiselle, en passant, afin qu’elle aussi s’en débarrasse. Il commençait à faire vraiment chaud, elle allait suffoquer si elle n’agissait pas !

June | « Henrietta ? Viens, tu vas aller dans ton bain… »
Henriette | « Maou. »

La petite fille était toujours avec le chat. L’attrapant, la jeune mère fila rapidement dans la salle de bain, et fit couler un fin filet d’eau dans la baignoire. Il ne s’agissait pas non plus que la gamine se noie, June n’était pas aussi inconsciente qu’elle en avait l’air. Déshabillant rapidement son enfant, elle la glissa dans le peu d’eau froide qu’il y avait, afin que celle-ci n’ai pas à endurer une trop forte chaleur, qu’elle ne supporterait pas. De plus, cette pièce avait été épargnée par son sort. Le chat, à côté, miaulait en réponse à Henriette, qui poursuivait en continu ses bruits d’animaux.
Déposant un baiser sur le front de la petite, l’ancienne Serdaigle ressortit rapidement de la pièce, après avoir remplit une bouteille d’eau. Se précipitant dans la pièce où se trouvaient les autres, elle leur en envoya le contenu à la figure, en mettant un peu partout sur le canapé, au passage. Elle-même s’en renversa une bonne partie dessus, involontairement. Riant toujours aux éclats, elle enleva sa jupe, qui était trempée. Absolument pas gênée, elle se retrouva donc en sous-vêtements à motifs de petits champignons sur fond jaune. C’était comme un maillot de bain, après tout, il n’y avait rien de choquant, ou de déplacé. Elle n’y songeait même pas.


June | « Avant de se détendre, il fallait bien un peu d’action ! Il ne faudrait pas que vous ayez trop chaud ! »

Sur ce, June se dirigea vers la frigidaire, où elle attrapa un plat dans lequel se trouvaient les restes de concombre qu’il restait de leur dernier repas. Elle avait déjà vu faire ça chez des moldus de sa ville. Ça faisait joli, en plus. Elle posa une rondelle sur la paupière de chacune des personnes présentes, ne remarquant même pas que ça ne tenait pas vraiment.

June | « Imaginez que vous êtes dans un pré… Avec des poussins jaunes tâchés de bleu galopant tout autour de vous… »

Aucune logique dans ses propos, mais ceux-ci n’étaient pas à mettre sur le compte de la boisson. Bien que sa tête tournait légèrement, la jeune fille était encore dans un état relativement normal. Ce qui n’était pas forcément rassurant. Pour le moment, elle semblait essayer de faire un mélange de séance de beauté, avec du spiritisme, et de la relaxation. Passant un bras autour du cou à Sandro, et l’autre au dessus de celui de Roméo, elle attendait à ce que les deux jeunes hommes fasse de même avec Rose. Ainsi, ils formaient une mini ronde, un petit cercle.

June | « Nos esprits vont rentrer en communion, et quitter nos corps… mais ils ne tarderont pas à le retrouver…»

Se penchant, leurs têtes se rapprochaient désormais. Ouvrant brusquement les yeux, le bout de concombre étant tombé trois seconde à peine après qu’elle l’ait déposé, la jeune fille retrouva son grand sourire habituel. La communication entre leurs âmes devait être finit, et ça n’avait pas prit beaucoup de temps.

June | « Vous sentez comme on est proches maintenant ? Nous ne formons plus qu’un ! Alors… bisou collectif ! »
 
MessageSujet: Re: -- BeLlE eNtRéE eN mAtIèRe --   
-- BeLlE eNtRéE eN mAtIèRe -- EmptyJeu 28 Aoû - 17:18



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    La jeune fille ne put qu’esquisser un sourire amusé à la remarque de Sandro et Roméo, à savoir qu’ils étaient les deux seuls à se retrouver dévêtus grâce à la fameuse attaque d’Henriette. Cependant, bien que Rose ne gardait plus pour elle cette réserve et cette timidité, il en fallait beaucoup pour que, même par défi ou provocation, elle n’enlève à son tour ses vêtements, bien que cela demeurait tout de même amical. Elle n’était pas non plus des plus dépravées, et gardait toujours pour elle cette part quelque peu modérée. Après tout, sur tous les habitants du baraquement n°7, il en fallait bien une qui garde les pieds sur terre afin d’éviter à ce que les autres n’aillent un peu trop loin. Finalement les quatre camarades se retrouvèrent assis sur le canapé, les verres en main, et seule Rose avait eu le privilège d’être en possession d’une étrange mixture bleue. De ce fait, sa tête commença déjà à tourner, allez savoir ce que June avait pu verser dans son verre mais ce n’était certainement pas du lait de coco. Distraitement, la jeune blonde pencha la tête, la posant dans la paume de sa main, tentant de reprendre ses esprits. Et elle n’avait bu que quelques gorgées, qu’est-ce que ce serait donc, une fois que la jeune Mandrake aurait fini son verre. Rose écoutait d’une oreille la discussion de ses amis, se sentant étrangement pâlir sur l’instant. Elle ferma les yeux un moment, se sentant habitée d’une nausée lui donnant des maux de cœur et des vertiges, ainsi qu'un malaise passager. Les mêmes symptômes qu’une femme enceinte, en vérité, mais gracieusement offerts par la mixture créée amicalement par June. A moins que… ce n’était pas la mixture mais… Non, Rose hocha brièvement la tête d’un geste négatif et se ressaisit, se redressant alors au même moment où June émit l’idée d’organiser une fête dans le baraquement n°7. La jeune Mandrake hocha la tête dans un sourire, elle était amplement partante. Pour se faire une once de popularité dans le campus, il fallait avoir organisé au moins une fête. Et le baraquement 7 était dores et déjà connu pour ses habitants plus que particuliers et chaleureux (non je ne vise pas Torben, huhu). June se leva alors, vacillant légèrement. La bonne nouvelle résidait dans le fait que Rose n’était pas la seule à ne pas avoir les idées tout à fait claires. Mais soudain, la chaleur grimpa doucement, laissant dans la pièce une atmosphère lourde et pesante. La jeune Mandrake se leva à son tour, désireuse d’aller s’aérer à la fenêtre, ce qu’elle fit tout aussitôt. S’il ne pleuvait pas autant dehors, elle s'y serait même précipitée, tant June avait recrée l’ambiance des tropiques dans le baraquement.

    June | « Petite séance relaxation ! Vous aimez la chaleur ?! J’adore ! Enfin, le froid aussi c’est marrant… Mais alors Rosy voudrait pas se déshabiller ! Maintenant, elle va le faire, pas vrai ?! »
    Rose - Quoi ?

    La jeune fille se retourna vers June, surprise et décontenancée, il fallait bien l’avouer. Rose fit alors un « non » de la tête bien affirmé. Plutôt attraper la pneumonie en restant dehors sous la pluie que de se trouver en petite tenue devant ses amis… D’accord ils n’étaient que Sandro et Romeo, des jeunes garçons plus que sympathiques et avec qui elle avait une affinité particulière, sans que jamais il n’y ait entre eux quelconque tentative de flirt, mais dans l’esprit de Rose, c’était littéralement impossible. Tant pis, elle mourrait de chaud dans son débardeur blanc et son jogging en coton. Ce n’était pas la plus belle mort que l’on pouvait envisager, mais soit. Quoiqu’au moins elle n’allait pas mourir déshydratée, car une fois revenue de la salle de bain, June les aspergea d’eau. Et rebelote, Rose du essorer ses longs cheveux blonds, sentant cette fois son débardeur tremper lui coller à la peau dans une sensation désagréable. Mais même sous cette torture, elle ne l’enlèverait pas, bien que le noir de ses sous-vêtements se voyait fort bien à travers le tissu trempé grâce à Mademoiselle Prewett. Cependant Rose le prit bien, se mettant à rire à son tour tout en cherchant un moyen de se venger de la petite blonde dynamique. Son regard bleu croisa un instant ceux des deux frères, dans un sourire malicieux, espérant qu’ils comprendraient à quoi Rose pouvait bien penser. Mais à peine fut-elle redressée que déjà June s’amusait à leur coller des tranches de concombres sur le visage.

    Rose - Heu June ça …

    Ca ne tenait pas franchement, à peine posés sur leur visage, les morceaux de concombre tombèrent à terre, mais il en fallait beaucoup plus pour décourager June qui déjà enchainait sur autre chose traitant sur… des poussins. Rose se mit à rire, son amie blonde n’avait décidemment pas des conversations singulières.

    June | « Imaginez que vous êtes dans un pré… Avec des poussins jaunes tâchés de bleu galopant tout autour de vous… »
    Rose - Faudrait déjà que je fume quelque chose d’illicite pour voir des poussins jaunes et bleus…

    Mais la jeune Mandrake s’arrêta, il ne fallait jamais donner d’idées à June, aussi petites pouvaient-elles être. Bientôt les quatre amis formèrent un cercle, sous l’engouement de la jeune Prewett qui avait des airs de hippies. En vérité, c’est dans les années 60 que June aurait du vivre, elle s’y serait forcement plu. Tout de même surprise et décontenancée, Rose se laissa faire, jusqu’à ce qu’elle éclate de rire quant à la dernière remarque de June. Dis comme ça, cela prenait des airs de partie à plusieurs. D’accord c’était sans doute exagéré, mais entre trois amis en sous-vêtements, Rose ne pouvait pas franchement penser à autre chose.

    June | « Vous sentez comme on est proches maintenant ? Nous ne formons plus qu’un ! Alors… bisou collectif ! »
    Rose - … bisous collectif comme accolade amicale ou juste bisous sur la joue ? Parce que je veux pas embrasser Sandro moi… Ca me fait peur.

    Le regarde de Rose glissa sur ce dernier, amusée et taquine. Depuis leur sortie de Poudlard, les deux amis ne cessaient de se chercher seulement par amusement.
 
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-- BeLlE eNtRéE eN mAtIèRe -- EmptyLun 29 Sep - 18:44



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On ne dirait pas comme cela mais Roméo et Sandro, à un degré moindre tout de même, sont des jeunes hommes timides avec les filles. A vrai dire, ils sont vraiment très loin d'être des bons dragueurs et sont même plutôt maladroit lorsqu'une fille leur plait. Peut-être est ce le fait qu'ils n'aient pas eu beaucoup de petites copines ou alors à cause de leur trop grande complicité, mais ils ont du mal à se lâcher totalement à jeun avec des gonzesses, alors qu'ils se sentent totalement bien avec les mecs. Aussi, lorsqu'ils sont en compagnie de personnes de la gente féminine, ils ont tendance à jouer un rôle. Cela n'a rien de méchant, c'est simplement pour se sentir plus libre. Ils caricaturisent les dragueurs lourds et cela leur permet de s'amuser, de délirer sans avoir l'air de draguer. Ils n'arrivent pas souvent à montrer leur côtés sensible et on tendance à toujours se cacher derrière l'humour et leur caractère de fêtard pour se faire accepter des filles. C'est certainement très con comme relation mais apparemment cela semble marcher avec June et Rose. Ni l'une, ni l'autre ne semblait se plaindre de la situation et pour Sandro et Roméo, cela n'était qu'un jeu, rien à voir avec de la drague ou autre chose. C'est simplement leur façon d'être. C'est d'ailleurs pour accentuer cela qu'ils parlèrent de la fête dont ils avaient entendu des brides dans des conversations.

-- June -- Une soirée ? Elle ne va pas commencer tout de suite…

-- Sandro -- Non, on a un peu de temps devant nous

-- Roméo -- Elle ne doit commencer que vers 20 heures.

-- June -- D’ailleurs, Rosinette, il va falloir en organiser une ici ! Shushi et Toto seront d’accord, c’est certain !

Sushi et Toto. Tiens d'ailleurs, c'est vrai, les deux garçons savaient que ce baraquement était celui de Rose mais ils ne s'étaient même pas renseigné sur ses colocataires. Il y avait déjà June mais pour ce qui était des autres, les deux garçons ne surent pas découvrir leur identité à l'aide des surnoms donné par June.

-- Sandro -- Rosinette ? C'est tout mignon comme surnom

Et pour appuyer sa taquinerie, Sandro lui attrapa la joue et l'agita doucement, vous savez comme on fait aux bébés. Evidemment, l'ancien Gryffondor avait un gros sourire aux lèvres et se recula pour ne pas prendre une petite tape sur la tête de la part de Rose. Evidemment, Roméo rigolait des conneries de son frère mais cela ne l'empêchait pas non plus de finir son verre d'une grande gorgée. Il le posa assez fortement sur la table comme pour montrer qu'il était vide et qu'il en revoulait bien un petit verre. Il accompagna cela d'un grand sourire à l'attention de leur agresseur.

-- Roméo -- En tout cas, pour la fête, j'espère bien qu'on sera les premiers invités.

-- Sandro -- Ne serait-ce que pour vous faire pardonner de l'accueil mouillé que vous nous avez réservés.

Clin d'œil de Sandro à l'attention de June avant de lui proposer de retirer ses vêtements afin qu'ils soient tous à égalité. Cela ne semblait guère déranger la jeune maman qui se lève, vacille quelque peu avant de se saisir de sa baguette. Allez savoir pourquoi mais Sandro comme Roméo froncèrent les sourcils comme s'attendant à un mauvais coup de la part de la jeune femme. Elle les avait déjà surpris et maintenant, ils sentaient encore une fois que June allait faire des siennes.

-- June -- Petite séance relaxation ! Vous aimez la chaleur ?! J’adore ! Enfin, le froid aussi c’est marrant… Mais alors Rosy voudrait pas se déshabiller ! Maintenant, elle va le faire, pas vrai ?!

-- Rose -- Quoi ?

Alors que la jeune Mandrake ne semblait pas vraiment partante pour se déshabiller, June ne se fit pas plus prier que cela et en quelques secondes, elle dévoila sa silhouette aux deux garçons, non mécontent de ce spectacle plutôt agréable. Mais comme un peu gêné, Roméo détourna son regard vers Rose qui déjà se dirigeait vers la fenêtre comme pour prendre un peu l'air et ne pas succomber à cette chaleur pesante. En bon gentleman, Roméo n'allait certainement pas forcé Rose à se déshabiller si elle ne le voulait pas. Au contraire, il était plutôt du genre à prendre sa défense.

-- Roméo -- June, j'pense pas que la chaleur soit une bonne idée.

Sandro tourna la tête vers son frère l'air étonné n'ayant absolument pas saisi le pourquoi de ses paroles. Il faut dire que l'ancien Gryffondor n'était pas un bon observateur et n'avait pas calculé la petite gêne de Rose.

-- Roméo -- T'sais avec l'alcool et tout, ça fait pas forcément bon ménage. J'ai pas non plus envie de vous faire du bouche à bouche si l'une de vous s'évanouit.

Comme souvent, il avait caché sa bonne action vis à vis de Rose par une plaisanterie. Non pas qu'il ne voulait pas que Rose comprenne que c'était pour elle qu'il avait dit cela mais simplement parce qu'il pensait que cela pouvait être mal interprété. J'vous jure ces garçons, ils comprennent vraiment rien et d'ici que Roméo comprenne que les filles aiment les compliments sincères et qu'on prenne soin d'elle même sans arrière pensée, il en faudra du temps.

Bref, le jeune garçon replongea son nez dans son verre tandis que June partit mettre sa fille dans le bain. Il faut dire qu'une enfant dans la pièce était assez bizarre. Deux garçons en caleçon, leur mère en petite tenue n'avait rien de bien éducatif pour une petite fille et d'ailleurs, Sandro ne comprenait pas trop pourquoi June n'avait pas envoyé sa fille dans sa chambre avant. Mais après tout, il était mal placé pour donné des conseils a niveau des gosses donc il se contenta de vider son verre.

Mais les surprises n'étaient encore pas terminé. Eux qui ne connaissaient très peu June avant de pénétrer dans ce baraquement furent surpris de voir toutes les conneries qu'elle était capables d'inventer alors qu'elle n'était pas complètement soule. Pour partir dans de tels délires, il faudrait un peu plus qu'un verre aux deux garçons. Mais apparemment, cela était l'état normal de June. Intéressant.

Après une petite douche fraîche et agréablement rafraichissante, ce fut le tour des concombres et de la séance de relaxation. Ayant l'impression d'être tombé chez les fous, les deux garçons se lancèrent un regard surpris mais se laissèrent faire lorsque June lorsqu'elle leur passa un bras autour du cou et ils firent de même avec Rose.


-- June -- Imaginez que vous êtes dans un pré… Avec des poussins jaunes tâchés de bleu galopant tout autour de vous…

-- Rose -- Faudrait déjà que je fume quelque chose d’illicite pour voir des poussins jaunes et bleus…

-- Sandro -- On peut arranger cela.

Vous croyez quoi hein ? Que Sandro et Roméo sont des saints ? Comme tout les jeunes de leur âges, ils ont déjà fumé. Bien que Sandro soit un peu accro des clopes et que Roméo n'apprécie pas trop de voir son frère se ruiner la santé de cette façon, l'un comme l'autre ne sont pas contre fumer un p'tit joint de temps à autre. Cela reste bien évidemment occasionnel mais ne s'en cachent pas spécialement.

-- June -- Vous sentez comme on est proches maintenant ?

-- Sandro -- Ce qu'sens surtout c'est la transpiration de Rose

-- June -- Nous ne formons plus qu’un ! Alors… bisou collectif !

-- Rose -- Bisous collectif comme accolade amicale ou juste bisous sur la joue ? Parce que je veux pas embrasser Sandro moi… Ca me fait peur.

-- Sandro -- J'suis sur que dans tes rêves les plus fous, tu t'imagine en train de m'embrasser fougueusement. Allez viens là ma chérie.

Sans lui laisser le temps de réagir, Sandro l'enlaça de façon qu'elle ne puisse pas répliquer, puis il la fit basculer sur la canapé. A moitié couché sur elle, tandis que Roméo se décala pour ne pas les gêné, il l'embrassa passionnément, non pas sur la bouche, ce serait trop osé mais dans le cou, lui faisant des chatouilles en même temps. Il se redressa après quelques secondes et la regarda avec un sourire coquin.

-- Sandro -- J'savais bien que t'étais folle de moi

La conversation entre les jeunes continua dans cette ambiance plus qu'amicale autour d'un verre d'alcool. Ils étaient déjà bien chauds lorsque Roméo proposa de rejoindre la fête donné dans un autre baraquement. Les deux filles furent d'accord pour les suivirent et ils se rhabillèrent avant de sortir en direction d'une des nombreuses soirées étudiantes donné chaque soirs.


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