Cours de Discipline n°1 - Tous statuts confondus

HJ : /!\ Avertissement . Le cours étant particulier puisque porté sur la propagande et enseigné par un mangemort, c’est à vos risques et périls si l’un de vos personnages venait à se rebeller, à ne pas se plier à l’autorité du professeur ni même de le respecter. Votre personnage sera fortement violenté en retour (et cela peut même aller jusqu’à la défenestration si vraiment votre personnage ne cède pas, on ne rigole pas avec les méchants mangemorts XD), s’il vient à manquer de respect. Pas de panique cependant, il n’y aura pas de morts ni de mutilés à vie, que cela ne vous empêche pas de faire parler votre personnage tout de même. Les réactions du professeur seront bien sûr proportionnelles aux « fautes » commises par l’élève (rassurez-vous, j‘vais pas en martyriser un à chaque poste hein XD ... mais je serai vous je ralentirai les ardeurs rebelles de vos persos) . Je tenais simplement à vous prévenir que le niveau de violence élevé du professeur n’est pas à exclure. Mais sûr ce, amusons-nous ! =)

« Cours de Discipline. »
- La classification et la hiérarchie de l’espèce humaine -

Tyler : « Seuls les sangs purs sont autorisés à s’installer au premier rang. Les autres, parquez-vous dans le fond de la salle, ça m’est égal. »

* Corentin était avec les autres élèves, devant la salle de cour devant la nouvelle salle de cour avec ce nouveau professeur. Y'aurai til encore de l'arithmancie? telle était a question, ces imbécils de mangemorts ont supprimé presque tous les meilleurs cours de cette ecole. Tous les éléves rentrent, Corentin regarde de bas en haut le nouveau professeur. Il s'asseya tout naturellement devant pour commencé, après il changerais de place. D'ailleurs cela ne tarda pas a être mis au clair...
« - Seuls les sangs purs sont autorisés à s’installer au premier rang. Les autres, parquez-vous dans le fond de la salle, ça m’est égal. »
Il soufle, mais le plus grand et gros des soupires de lassitude que le monde n'est jamais connu. Il commença alors un long periple, comme celui de jouer le passe partout entre les élèves pour être seul dans les places du fond, au moins la bas, c'est vrai qu'il poura faire comme s'il ecoutait. Mais cela n'était pas on plus la seul et ultime chose, puis c'est vrai qu'être au fond, être tout seul; parce qu'il savait pertinemment que l'élève qui allait être en groupe avec lui ne le supporterait pas bien longtemps. Pourquoi ? Tout simplement parce qu'il était très maniaque et pefectioniste, il fallait que tout soir propre, clean, au top quoi. Il fallait que tout soit absolument parfait. Aussi bien dans la disposition des affaires sur la table, rangé par groupe et surtout du plus petit au plus grand, plume, parchemin, encrier tout devait être disposer parfaitement sur sa table. Il fallait aussi que la table sois d'une propreté sans faille, si ça table lui convenait guère, alors il poussait tout et la nettoyait lui même. La salletée l'insupporte, les gens qui ruminent à coté de lui l’exaspèrent encore plus.

Quand il arriva a la table au début elle semblait pas trop mal. Les questions fusaient entre élèves, les réponses, enfin les messes basses aussi Corentin lui demeurait silencieux. Il pensait a son animal, négligent completement ce qui l'entourait. Dison que pour le moment il avait autre chose a pensé. Le coude posé sur la table, sa main lui servant comme trépied il regardait d'un oeil désintéréssé et endormis tout autour de la salle. Son regard se tourna vers sa table qu'il scruta minicieusement du regard quand soudain!!!! HORREUR, une tache d'une précédente potion qui avait séché, le fit immédiatement relevé. Regardant d'abord le prof pour tenté d'oublier cette tâche, mais cela lui etait impossible cela le rongeait de l'interieur. Au début il esseya de ne pas attiré l'attention sur lui, de faire comme s'il ne voyait rien, mais s'était beaucoup trop dure. Il jouait nerveusement avec ses doigts il se craquait les cervicales tout en regardant la tache du coin de l'oeil. Il se mordait la levre inferieur pour ne pas craquer, mais s'en était trop. Il se leva d'un bon faisant tombé sa chaise et avec ses ongles se mit a gratter le table.*

pense: continue comme ca Corentin t'es dans la bonne voix

* pourtant cela ne l'empêcha pas de continuer à gratter sa table. Le pire c'est qu'elle était tenace, mais il n'arrêterait pas avant qu'elle soit définitivement partie. Les taches, vraiment qu'elles plaies. Hop un ongle se cassa, il grimaca de douleur. C'est que mine de rien ca fait mal.
Punaise il savent instauré une discipline merdique stricte et il ne sont meme pas capable de nettoyer une table ba c'est du jolie. Puis il sortit sa baguette avant de se casser un autre ongle *

Recurvite * la tache partit avec un peu de mal mais c'etait deja ca *
Dite madame, * il se pinca les levres* euh professeur... euhhh * ses paumettes se mirent un instant a rougir * vous les avez netoyer quand les derniere fois les tables? * il se racla la gorge et deglutit, relevant sa chaise et se rassayant.*

pense: pourquoi j'ai l'impression d'avoir encore raté une occasion de me taire?

Elle aurait aimé être en vacances, se dorer la pilule à la plage ~~nudiste~~, faire la fête toutes les nuits, être plus ivre qu'une bouteille de vodka... Elle aurait aimé beaucoup de choses vous savez, mais malheureusement, il y'a des choses auxquelles on ne peut échapper... J'ai nommé les cours, dans une école c'est un peu inévitable, mais c'est encore supportable lorsque ils ne sont pas donnés par des mangemorts. Maintenant c'était ça la vie, savoir fermer sa gueule, écouter et dire amen à toutes les conneries qu'ils essaient de vous apprendre. Mais la magie noire c'est pas vraiment ce que Sushi préfère, entre nous il y'a les hommes, la fête, et le chocolat avant, enfin entre autres quoi.

Pourtant, la cloche avait sonné et elle s'était retrouvé au troisième rang, parce que mademoiselle n'est pas sang pur, je vous jure, on entend de ces conneries sortir de la bouche des gens. Et le pire c'est quand un maniaque du ménage frotte sa table juste derrière vous. Franchement mais franchement, on aura tout vu. Comme si c'était le moment et surtout l'endroit.

* te retourne pas, te retourne pas... Tu sais que ça va mal finir si t'ouvre ta bouche pour lui demander si son père c'est monsieur propre et sa mère un elfe de maison*

Susi repose son attention sur le professeur, avec la connerie que l'autre vient de sortir ça risque d'être intéressent... Un peu d'action avant qu'il n'est commencé à parler de je ne sais quoi.

Il ferait mieux de se mettre tout nu, avec le corps de Dieu grec qu'il doit avoir sous sa robe de sorcier ses cours seraient de loin les meilleurs. Non mais franchement on peut lui en vouloir d'être méchant, psychopathe et mangemorts mais quand on le voit on lui pardonne tout. Enfin on essaie, c'est pas facile de tester un prof qui est carrément orgasmique et jouisif, En tout cas avec lui certaines demoiselles n'hésiteraient pas à aller sous la table pour avoir de meilleures notes, ça c'est moi qui vous le dit. Enfin bon, je vais tacher d'être moins vulgaire, certaines âmes sensibles sont peut-être en train de lire les conneries que je viens d'écrire et d'ailleurs je tiens à m'en excuser... Mais vous savez, c'est pas facile tous les jours d'avoir un esprit tordu, on doit retenir ses pulsions lorsqu'on parle, parce que ouais, y'a certains trucs qui se disent pas même si vous trouvez ça drôle...

Breffons, je m'égare, revenons au cours! La rouge et or parcours la salle de cours des yeux, espérant trouver un connaissance, une personne avec qui elle pourrait échanger des regards complices durant la suite des événements. Finalement, elle décida d'échager une parole avec son/sa voisin(e) de table sur qui elle n'avait pas encore jeter un regard. Les yeux rivés sur le prof, elle ouvrit la bouche, ayant préalablement avaler la bave qui l'inondait.

Ptin, ce prof, j'en ferais bien mon quatre heure... Ou pas...

Dix heures sonnantes. La cloche leur annonçait enfin la fin du cours de torture, deux longues heures éreintantes, comme l’avait prévu Carlson. Il l’avait prévenue la nuit passée, alors qu’elle était dans ses appartements, elle n’avait pas pensé que cela serait aussi harassant… Par ailleurs, sa nuit n’avait pas été des plus facile et agréable pour elle, bien au contraire, tout d’abord teinté d’un cauchemar, pour être ensuite suivie d’une vision toute aussi fatiguante que le mauvais rêve qu’elle avait fait, et cela se lisait sur son visage, ou tout du moins, dans son regard, l’étincelle de malice ne demeurait pas. Et si elle commençait à être déjà épuisée, elle ne donnait pas cher des jours suivants. Mais peut importait, ce n’était que le présent qui s’écoulait doucement, lentement… Sortant de la salle accompagnée d’un de ses camarades de classe, la jeune fille sortit son nouvel emploi du temps, quel était son prochain cours ? Son regard azuré se porta sur le jour et l’heure et très vite, elle eut une petite mine surprise, ses sourcils se arquèrent avant que finalement, elle ne se décide à ranger son emploi du temps dans son sac de cours. En temps normal, cette heure de cours aurait été prise pour la matière de Sortilèges&Enchantements, deux heures, de 10 à 12, apprendre à léviter des objets, faire taire des animaux ou encore même travailler les sorts informulés, chose acquise depuis un sacré temps par la jeune fille, grâce au cours particuliers de son père. Désormais, il ne fallait plus compter que sur les livres que l’on possédait déjà pour avancer dans le réel programme. Désormais, ce cours était remplacé par celui de Discipline, tenu par le Professeur Carlson. Discipline, Ashka en avait eu lorsqu’elle était jeune, les cours de primaire avec les autres élèves, elle ne connaissait pas lorsqu’elle était enfant, puisque des précepteurs venaient lui faire les cours dont elle avait besoin, et l’on pouvait aisément dire qu’elle avait étudié de très bons cours, notamment les arts, les sciences… Tout ce qui pourrait lui être utile dans le futur, ce qui, naturellement, n’avait pas manqué.

Accompagnée de son camarade de classe donc, la belle jeune fille avança dans les couloirs, jouant avec sa chaine, pensive.Mais a quoi pouvait elle bien penser la petite serdaigle ? Certainement pas à cette nuit passée dans les appartements du jeune homme, mais au cours en lui-même. Elle ne voyait pas réellement ce que ce cours avait à faire dans le « nouveau programme ». Une chose était certaine, ce cours n’était pas celui de son enfance… Finalement, elle parvint devant la salle de cours et y pénétra, à la suite de quelques autres élèves. A peine fut elle entrée qu’un ordre de leur nouveau professeur claqua , les sangs-purs devant… Elle qui aimait être au milieu de la classe, voilà qu’elle allait se retrouver au devant. Une place dans l’ombre, c’était là tout ce qu’elle voulait, pas pour dormir, rassurez-vous, mais c’était son endroit favori, là où l’on ne pouvait pas trop la voir, mais suffisamment pour signaler sa présence. Hélas… Elle finit par prendre place dans le côté gauche de la classe, et très vite, son ami prit place à côté d’elle, la suivant comme s’il était un garde du corps, un protecteur. Elle n’adressa cependant qu’un seul regard à l’aîné des Carlson avant de sortir quelques affaires, notamment une plume et son encrier, ainsi que quelques feuilles de parchemins… Avant de finalement jeter un regard au tableau. Le titre lui indiquait clairement désormais, sur quoi allait porter le cours, tout autant que l’ordre du Professeur. Ne restait plus qu’à attendre, attendre le début du cours. Avec sérieux, concentration, mais aussi attention. Et puis se taire, subir et se taire…

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Cours de Discipline n°1 - Tous statuts confondus Lively10

Cours de Discipline n°1 - Tous statuts confondus A7x_110

JUDITH SIMONI & VINCE JEFFERSON.

- Ca va ?
- Tu vas me la répété encore longtemps cette question ?
- Aussi longtemps que ces mangeboules seront dans le château, la vieille.

Judith le fusilla du regard. La vieille... Il allait en avoir de la vieille, si il continuait à l'appeler ainsi... Enfin, bon, elle posa son regard sur l'un des mangemorts qui croisaient leur route, et elle inclina poliment de la tête. Vince, quant à lui, ne disait rien, mais il gardait le regard haut. Il en avait rien à battre qu'il soit mangemort, ministre, ou auror. Pour lui, c'était la valeur qui comptait et pas un titre ou un acte. Judith fit glisser la bandoulière autours de son bras pour pouvoir amener son sac, qui pendait derrière elle, devant elle.

- Vince...
- Quoi ?
- Je crois qu'on est entrain de se tromper de chemin...
- Quoi ? On a pas cours avec le bellâtre latino ? Fit il, posant son regard légèrement surpris, lui donnant une expression particulière de son visage.
- Bah, je croyais... Mais en voyant le mangemort, j'ai comme eut un doute, et regarde...

Elle retira le tissus qui protégeait son rangement de cours et elle lui montra l'emploie du temps.

- Oh, putain... On a l'autre kéké boy... C'est bien ma veine... Quand je te dis qu'on aurait du filer en douce en prenant ce passage...
- Allons voir... C'est peut être intéressant...

Vince éclata de rire.

- Foutage de gueule... T'y vas parce qu'il a un air bad boy, et qu'il a un charisme digne d'un wizard band...
- Non, non, non... Je t'en prie ! Ne le compare pas au 4TOBE3... Lui, il est...
- Mangeboule.
- On peut vraiment pas discuter avec toi, hein ? Fit elle, exaspéré.
- Une merde reste une merde. Que tu la parfumes ou non, ç'est toujours de la merde.
- Alalala...

Et tandis qu'ils parlaient, ils prirent doucement la direction du cours de discipline...

[...]

- Ptin, ce prof, j'en ferais bien mon quatre heure... Ou pas...

Judith et Vince venaient d'entrer dans la classe. Vince avait les mains dans les poches, l'air ailleurs, totalement déconnecté de la réalité et de la souffrance que souhaitait infliger les mangemorts, tandis que Judith regardait l'air stressé l'ensemble de la classe. Là, ils étaient assis à côté d'une ancienne Gryffondor. Vince avait cordialement laissé Judith s'asseoir entre Susi et lui, pour éviter tout contact avec la gryffondor. Judith répondit, dans un souffle :

- Peut être pas qu'un quatre heure... Fit Judith, l'air tout bonnement moins stressé tout à coup. Vince, quant à lui, roula des yeux, l'air blasé. Les filles à cette âge là...

Troisième étage. Salle de cours. Cody pénétra dans la salle, parmi les premiers élèves à arriver. Maintenant que les mangemorts étaient dans Poudlard, il ya avait un changement au niveau des matières enseignées. Celles-ci ne déplaisaient pas au jeune garçon. L’idéologie des mages noirs l’intéressait. Bien qu’il soit de sang-mêlé, il valait bien mieux que beaucoup de sangs purs, c’était certain. De la même façon qu’il s’était battu pour exceller dans les anciennes disciplines proposées, il avait bien l’intention d’être parmi les plus doués pour celle-ci. Calmement, il s’approcha de son professeur afin de le saluer. On ne rigolait pas avec la politesse chez les Enderson.

Cody | « Bonjour, monsieur. J’espère, et je suis certain, que la discipline que vous enseignez saura nous captiver autant que celle que vous remplacez. »

Ça pouvait, fortement, ressembler à du cirage de pompes. Mais c’était surtout un moyen de montrer à cette nouvelle forme d’autorité que c’était lui, Cody, qui avait toujours raison. Et qu’il était largement supérieur à tous les élèves présents dans la salle. Il s’était adressé au mangemort d’un ton froid, lent, articulant de manière à bien détacher les mots, comme pour laisser au temps à son interlocuteur de bien s’imprégner de ses paroles. Le contraste entre sa voix et son physique était surprenant. A le voir comme ça, avec ses cheveux blonds le rendant angélique, ses visage enfantin, on s’attendait, à tous les coups, à un jeune homme timide, d’une grande gentillesse. Mauvaise pioche, vous ne vous adressez pas à la bonne personne.
Les sangs purs au premier rang. D’ordinaire, c’était un habitué à cette place. Mais là, pour le coup, il ne pouvait pas. Il s’installa donc au centre, au deuxième rang. Au passage, il reprit un air timide, sans trop en faire, afin de saluer les deux demoiselles assises l’une à côté de l’autre, et qui paraissaient être en train de baver sur leur professeur. Simple manque de gout, il savait qu’il était bien mieux.

Cody | « Bonjour…»

Il n’adressa qu’un signe de tête au garçon qui était avec elles. Mais aucun à Corentin. De un : il paraissait vraiment peu futé, avec sa réflexion désobligeante, assez mal placée. De deux : il n’était accompagné d’aucune représentante de la gente féminine, alors il n’y avait aucun intérêt. Un sourire timide aux deux jeunes filles, des yeux qui se baissent, et Cody s’assit sur sa chaise. Sortant une plume, un parchemin, il recopia le titre en haut de celui-ci, proprement. Sa baguette posée à sa droite, au cas où. Les deux mains sur la table, il regarda son professeur, attendant le début du cours. Il n’allait pas hésiter à étaler sa science à la première occasion, s’il n’était pas du même avis. Car, de toute évidence, c’était le sien qui était le plus recherché, et le plus important.
Il y avait aussi une autre fille, au premier rang. Mais, désobéir au règlement en adressant la parole à une sang-pur, en plein cours de discipline, aurait été assez peu réfléchit. Dommage, elle était plutôt jolie. Tant pis, ce serait pour une autre fois. Intérieurement, Cody espérait de tout son cœur que les autres ne seraient pas totalement dénués d’esprit. En même temps, d’un certain côté, celle confirmerait qu’il leur était bien supérieur. Si c’était trop évident, il y avait moins de mérite à en tirer. Non, il fallait qu’ils aient un peu de cervelle, sans pour autant être plus intelligents que lui. Il s’en sentirait menacé, et se montrerait alors assez pu agréable.

Même avec les mangemorts à Poudlard les cours étaient maintenus. Enfin, maintenus, c’était une façon de parler. Il y avait quelques petites modifications dans le programme. Mais ce fût le cœur léger que June se rendit au troisième étage. Ça allait changer un peu, ça pourrait s’avérer amusant. Pour la jeune fille, les morts lors de l’attaque du bal ne l’étaient pas vraiment. Elle avait du mal à réaliser une chose pareille. Donc, elle n’y prêtait pas attention, tout simplement. Il ne fallait pas se prendre la tête avec une chose aussi futile, qui, de plus, arriverait à tout le monde, un jour, ou l’autre.
Sautillante, montée sur pile, comme à son habitude, elle pénétra dans la salle, où étaient déjà installées plusieurs personnes. Soudain, elle s’arrêta et aperçue Ashka. Lui adressant de grands signes de la main, tout sourire, ainsi qu’à la personne assise à ses côtés, elle se dirigea vers le milieu de la salle. Le premier rang, elle n’y allait que rarement. Ça arrivait, mais elle avait tendance à déconcentrer ses petits camarades, et se retrouvait assise au fond.

June | « Dico ! Didi ! Vincinou ! Shushi ! Coco ! Je vous dis bonjour à tous ! »

A chaque fois que June prononça le petit surnom d’une des personnes déjà présente dans la salle, elle leur sauta au coup, ébouriffant leurs cheveux au passage, et leur colla de grosses bises sur les deux joues. Parmi ceux là, il y en avait quelques uns qu’elle ne connaissait pas trop, mais la jeune fille se montrait tout de suite très proche des gens. Et même si elle avait sût que Susi projetait de la tuer, cela ne l’aurait pas empêchée de lui réserver le même traitement. Par ailleurs, si Ashka n’y avait pas eu droit, c’était un moyen trouvé par la jeune fille de lui montrer qu’elle la considérait différemment. Même si elle adorait toutes les personnes qui se trouvaient dans la place, cela allait de soi.
Elle se déplaça vers un bureau, se trouvant derrière ceux où étaient déjà installés trois jeunes gens. Alors qu’elle allait s’asseoir, son regard se posa, enfin sur son professeur. Les deux filles de devant n’avaient pas menti, il était vraiment bel homme. Si, en prime, il était un bon enseignant, il aurait tout pour lui. En même temps, elle l’avait déjà vu, et savait de qui il s’agissait. Mais elle ignorait qu’elle aurait à faire à lui ce matin. Tyler, le cousin de Neadou. Un sourire radieux aux lèvres, elle adressa un grand signe de main à celui-ci, ave une certaine ampleur de mouvement, afin qu’il la voit bien. Ça ne devait pas être facile d’arriver comme ça, au milieu de l’année, le pauvre, il fallait le mettre à l’aise et être sympathique avec lui.

June | « Bienvenu parmi nous P’tit chou !»

Tyler, Tychoux, P’tit choux. Quoi de mieux qu’un surnom pour se sentir aimé et accepté ? Avant d’être un mangemort, c’était un homme comme les autres, avec un besoin de reconnaissance, et d’affection, de la part de ses concitoyens.
S’asseyant sur sa chaise, June se mit à se balancer, ravie de commencer le cours. Regardant le titre inscrit sur le tableau, son visage se tordit soudain d’une grimace. Ses lèvres bougeaient, ses joues se creusaient, ses sourcils se baissaient. Au bout d’une bonne minute, elle se figea soudain, droite comme un pic, dans une mimique de pingouin constipé. En bref, la jeune fille essayait de prendre une mine sérieuse. Le manque d’habitude était visible, mais elle montrait de la bonne volonté, pour ce cours de discipline.
Trente secondes, à peine, plus tard, elle souffla, et se remit à pouffer de rire. Rester de marbre, c’était plus fatiguant que ça en avait l’air. Mais, elle poursuivit sur sa lancée, pour faire plaisir à son p’tit chou de professeur. Secouant la main en l’air, elle parla d’une voix forte, toujours radieuse, pointant le tableau de son index.

June | « Vous allez nous faire voter pour déléguer quelqu’un à l’essuyage du tableau ? Je me présente, je le fais très bien, on me l’a déjà dit ! »

Non mais j’hallucine, les élèves de cette école on de quoi vous faire péter un câble. Il est ou l’éducation des parents quand a part le quidditch les élèves connaissent aucun autre sport ? Maudit soit les incultes qui ne font aucune différence entre les shakens et les saïs… Bon c’est vrai je suis peut être un dur avec eux, mais entre une étoile d’acier et un mini trident il y a une énorme différence, c’est comme ci on disait qu’un fouet a les mêmes particularités qu’un nunchaku… Je soupire profondément par l’imbécillité de certains ici bas. Les mains dans les poches je me rends en cour… Vous devez vous demander comment je fait pour avoir les mains dans les poches, et bien disons qu’hier soir, j’ai hum un peu trop traîné dehors que je me suis endormit a la lisière de la foret dans le creux d’un arme, a mon réveil j’étais tout naturellement encore à l'extérieur en jogging. J’ai jeté un sort a un élève pour le persuader de me donné sa cape mes mains étant sous la cape 3 fois trop grande pour moi je peux les mettre dans mes poches. Espéreront que les profs ne me demandent pas de la retiré, j’aurais l’air un peu con…

Pour les cours du matin tout c’était relativement bien passé, j’ai sortit l’excuse que j’étais très malade, un probable coup de froid et l’infirmière m’avait conseiller de bien resté couverte pour ne pas que mon mal empire. Bizarrement le coup du rhume, ça passe toujours. Le cour ce fini, après quelques minutes de pause, puis interclasse entre 1 er et 2 eme cour, je vais assister au tout premier cour donné par un mangemort… Mangemort BOUHHHH ce mot me dresse les poils des bras, je les déteste, ils ne méritent même pas mon respect comme me répétait mon maître, tout dans les muscles rien dans la tête. Cette définition s’adaptais parfaitement a l’état d’esprit des mangemort, oui ça leur allait vraiment comme un gant, vraiment un rien les habilles. J’arrive devant la salle en traînant les pieds, un brouhaha incessant prodigué par les élèves… Quoi ? Quelqu’un est mort ? Je me faufile entre tous les élèves qui sait peut être que c’est sanglant a souhait. Horreur, quelle déception quand je me suis rapproché au maximum ce n’était en faite que le professeur qui venait d’ouvrir la porte de la carte pour nous laissé entrer, je soupir a nouveau il faut arrêter de faire des fausses joie. Bougonnant et déçu j’entre dans la salle.

Je me dirige naturellement vers le fond de la salle, ma place habituelle, au fond près de la fenêtre, la place du cancre comme dirait l’autre. Mais j’entends une phrase, cette phrase m’irrite la gorge et me dresse les poils, je m’arrête net dans mon mouvement. Une chose que je déteste par-dessus tout, la discrimination… Après on s’étonne que je suis une peste, mais comment réagir autrement quand on entend :
« Tyler - Seuls les sangs purs sont autorisés à s’installer au premier rang. Les autres, parquez-vous dans le fond de la salle, ça m’est égal. »
Alors comme ça ce n’est que les sangs pures qui peuvent allé devant ? OK. Je fais demi tour poussant une bonne partie des élèves qui se dirigeait vers le fond. Je m’installe tout devant, au tout premier rang a la place du milieu juste en face du bureau, du tableau, mais aussi bien en face de ce mangemort de pacotille et fini par m’asseoir sur la chaise… Enfin, assise est une bien grand mot je suis complètement avachi sur ma chaise les bras sur le ventre. Les mangemorts on peut être gagné la guerre et poudlard mais ils n’ont pas gagné le respect de tous les élèves… Un ancien élève de ma maison prend place a ma droite, c’est un sang pure lui, il me regarde en secouant la tête et me murmure dans une voix a peine audible :

- Svety, tu ne devrais pas te mettre ici, tu vas avoir des problèmes
Des problèmes ? On en à déjà avec cette abrutit posté devant nous
- Parle moins fort !!
Alors boucle la et fou moi la paix…

Je met interme a cette discussion, un autre élève vient s’asseoir avec nous il prend place a ma gauche, son regard hautain, cette façon arrogante et supérieur de regarder les gens, lui je le connais, c’est un ancien serpentard. En passant derrière moi il me frôle les cheveux j’en frissonne de au en bas lui aussi doit savoir que je ne suis pas a ma place au premier rang du a mon statut de sang de bourbe. Je le guette du coin de l’œil, bizarre qu’il n’en pas encore ouvert sa bouche celui la ; c’est louche je me décale légèrement vers la droite, je vois sa mains se poser sur le rebord de ma chaise sans attendre une seconde de plus, mon canif se plante entre son majeur et son index puis je lui murmure :

Fait très attention ou tu met ta main et ce que tu comptes faire avec, se serait bête de la perdre si…

Je ne fini pas ma phrase, j’entends un bruit, c’est une chaise qui est tombé violemment par terre. Je me retourne, tien donc pourquoi cette vision ne m’étonne pas ? Encore le récureur de chiottes qui gratte une table, j’avais oublié qu’on était de la même année. Je secoue furtivement la tête en me remettant droite. Vraiment, voila comment avoir l’air con en une seule leçon. Je m’appuie que ma table en soupirant.
« Susi - Ptin, ce prof, j'en ferais bien mon quatre heure... Ou pas.. »
Ouaou, punaise, ya des fois vaut mieux être sourde que d’entendre des trucs pareils. Les bruits qui cours ne sont pas toujours très sympa a entendre, se taper le prof ? Je le regarde de haut en bas en grimaçant, essayant par tous les moyens de trouver quelque chose de potable chez lui mais…. J’ai beau chercher je ne vois absolument rien. Y a quelque chose a grailler (manger) la dessus ? J’arque un sourcil, dans le noir, avec un immense sac poubelle sur la tête oui pourquoi pas, et encore soit faut pas avoir peur de se taper n’importe quo ou soit être vraiment sérieusement en manque pour vouloir se taper la première chose qui passe. Après tout on ne sait même pas si un mangemort c’est consommable ou pas, après tout l’intérieur et l’extérieur sont tellement pourris que je ne tenterais même pas. Faut vraiment être désespéré pour se taper un prof comme ça pour 4H… Mais bon passons, la connerie humaine n’a pas d’age… Breffon laissé moi récapituler, nous avons :
- le récureur de chiottes
- la traîné
- il ne manque encore…
« Cody- Bonjour, monsieur. J’espère, et je suis certain, que la discipline que vous enseignez saura nous captiver autant que celle que vous remplacez »
Ah bin non il est la, le lèche cul attitré du nouveau prof, un blond en plus, quelle chance. Après son nous demande de pas avoir d’apriori sur les blond ou blonde, mais c’est toujours les premier a ouvrir leur petite bouche une fois passé sous le bureau… Pathétique, manque plus que l’intello et la classe des gros boulets est formée et au grand complet. En plus le truc blond est un sang mêlé, bon cela aurait pu être pire, il aurait pu être un sang pure... Quelle chance -_-' , je soupire a nouveau vivement que le cour commence et surtout qu’il se finissent…

Idris De FIRENZIA

Les mangemorts... Quels bouffons ces gars... Ils ne devraient même pas avoir le droit d'exister... Voilà en gros les pensées d'Idris ce matin là alors qu'elle se rendait à son premier cours de... De quoi déjà ? A cette heure là ça aurait dû être Sortilèges lui semblait-il et là ? Regardant son emploi du temps elle remarqua qu'il s'agissait d'un cours d'un tout autre genre, un cours de discipline. Mouarf, quelle conneries... Discipline... Par ces pourfendeurs de caniches ? Ces toutous exécutant les ordres de leur maître ? N'a-t-on jamais vu pire ineptie ? Et ouais, la gentille, adorable et douce Idris avait perdu ce sourire angélique qui la caractérisait, ainsi que le calme et la douceur qu'elle incarnait. Depuis l'attaque des mangemorts lors du bal d'Halloween, elle n'avait qu'une envie, les bouter hors de l'école ou les exterminer un à un. Ils avaient tué son frère, ils avaient failli faire mourir son meilleur ami, d'autres personnes qu'elle aimait bien avaient péri lors de l'attaque, sa petit soeur aussi avait été largement blessée, de quoi péter un câble... C'était exactement ce qu'Idris avait fait lors de l'attaque, elle fut prise d'une crise de panique, haine, en fait tout y était mélangé et il était difficile de savoir exactement ce que c'était. Toujours est-il qu'il avait fallu plusieurs jours pour qu'elle n'arrive à se calmer et retrouver un état d'esprit à peu près normal.

C'est donc le regard noir, le sourire absent que la douce Idris se dirigea vers le troisième étage. Croisant un de ces enfoirés de mangemorts, certains élèves autour d'elle baissèrent la tête en une petite révérence, Idris au contraire le fixa d'un regard plein d'éclairs. Le nez dans un parchemin, le mangemort ne remarqua même pas ce regard et continua son chemin. Arrivée au troisième étage, quelques élèves étaient déjà là et le « prof » aussi. Un grand dadais qui se voulait d'un air méchant. Idris se dirigea vers une place devant comme à son habitude mais une phrase prononcée par le Promort la fit changer d'avis.

Tyler : « Seuls les sangs purs sont autorisés à s’installer au premier rang. Les autres, parquez-vous dans le fond de la salle, ça m’est égal. »

Les sangs-purs sont autorisés à s'installer devant... Autorisés ne veut pas dire obligés... Autant se mettre le plus loin possible de ce pantin... Bon les tables du fond étaient déjà occupées, Idris s'installa donc en plein milieu de la salle, et non avec ses congénères sang-purs. Déjà des midinettes étaient en train de baver sur ce promort toutes fois très banal à bien y regarder.

Susi - Ptin, ce prof, j'en ferais bien mon quatre heure... Ou pas...
Judith - Peut être pas qu'un quatre heure...
Idris, en marmonant – Z'ont d'la merde dans les yeux ces midinettes ?

Mouarf, les midinettes en pâmoison devant le promort, ça promettait. Zieutant d'un regard circulaire la classe, l'italienne remarqua différend élèves, le monsieur propre en train de nettoyer sa table, les lèches-cul et la rebelle de service. Hum une sang de bourbe au milieu des sang-purs, c'était pire qu'une sang-pure au milieu des sang-mêlés. Zieutant par la suite le tableau, elle lut enfin le thème du cours et ne put que réprimer un rire.

« Cours de Discipline. »
- La classification et la hiérarchie de l’espèce humaine -

Classification et hiérarchie de l'espèce humaine... Mouaif tout un programme. Idris soupira et sortit feuilles, parchemins, encre, plume et crayon. N'écoutant plus les demoiselles en chaleur minaudant devant ce prof de pacotille, elle commença à dessiner. Son esprit commença alors à voyager hors de cette salle de classe...

*********

Zahikel BERRIES

Le premier cours allait avoir lieu, le premier cours mangemoresque depuis leur sortie de l'infirmerie. Tant de choses s'étaient passées depuis ce fameux bal d'Halloween, la douce soirée passée avec Astaroth, l'attaque meurtrière des hommes en noir associés avec les créatures légendaires, les détraqueurs et autres bestioles. Ces détraqueurs justement avaient failli tuer Astaroth, ou tout au moins lui enlever son âme en lui donnant un ultime baiser. Zahikel avait réussi à le sauver à la dernière limite grâce à un patronus qu'il avait parfaitement exécuté, c'était la première fois qu'il y parvenait si bien, mais l'urgence de la situation l'avait stimulé pour y parvenir. Après s'être pris un truc dans la tronche, quoi, aucune idée, Zahikel se retrouva lui aussi parmi la liste des blessés à l'infirmerie avec en prime 2 ou 3 jours de coma. Pour Astaroth il en avait été autrement, son état était grave et son coma dura plus longtemps encore... Ces quelques jours d'angoisse à son chevet éprouvèrent le blondinet. Il devint alors plus fragile, psychologiquement et physiquement, pour les jours qui suivirent. Ce fut à ce moment là que se passa l'épisode Corentin... Ce serpy sadique... Rien que l'évocation de son nom terrorisait Zahikel. Et pourtant...

Pourtant il allait devoir continuer à aller en cours, continuer de se retrouver dans les même salles que lui, étant donné qu'ils étaient de la même année. Enfin qui sait, peut-être qu'ils ne seraient finalement pas ensemble en cours, au moins pour celui-ci, peut-être y avait-il plusieurs groupes... Tout en se rendant au troisième étage, Zahikel pensait à Astaroth et Raziel, il ne les avait pas vus souvent ces temps ci, Astaroth semblait conserver des séquelles, surtout psychologiques, de son coma, et Zahikel en était très inquiet. Et il y a quelques jours, il les avait vus, dans un sale état, comme s'ils avaient été torturés. Ils n'avaient rien voulu lui dire mais ça l'angoissait encore plus.

Perdu dans ses pensées, Zahikel était finalement arrivé à ce fameux troisième étage. Passant la porte juste après d'autres élèves, un regard circulaire lui indiqua les personnes présentes. Quelques personnes qu'il aimait bien, une esquisse de sourire apparut sur ses lèvres, esquisse qui disparut aussitôt quand il vit Corentin. Zahikel se figea même dans l'embrasure de la porte, bloquant le passage. Un élève derrière lui le poussa et il recommença alors à avancer, se dirigeant vers le coin le plus éloigné possible de ce serpy. La phrase prononcée par le prof le figea et il se retourna. Les sang-purs devant... Z'êtes sûrs ? D'un regard inquiet, il chercha une place libre devant et n'en trouva une que... à côté de Corentin... Naaaan tout mais pas ça... Cherchant désespérément une autre place, un élève le poussa vers l'avant en lui soufflant.

Elève - Les sangs purs c'est devant, allez vas-y si tu veux pas te faire mal voir...

Après un regard apeuré à l'élève, Zahikel n'eut d'autre choix que d'aller s'installer à côté de... Corentin. Sans un regard pour cette bête immonde, il essaya d'éloigner sa table le plus possible, ce qui ne représentait malgré tout que quelques centimètre. Il garda les yeux posés sur son sac, posé lui-même sur la table, comme s'ils avait été le plus intéressant sac du monde, ignorant le reste et surtout celui qui était à présent à côté de lui...

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