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 Griffin Callahan

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MessageSujet: Griffin Callahan   
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    }} Identité Générale >

    # Nom, Prénom : Callahan ; Griffin _ Prince _ Marlow _ Elias
    # Date de Naissance, Age : 28 Février 1978 ; 32 ans.
    # Profession : Dresseur de dragon
    # Etat Civil : Célibataire
    # Baguette Magique : Acajou, 27.5 cm, flexible
    Baguette idéale pour les métamorphoses. Il semble logique qu'une baguette bonne pour la métamorphose soit "flexible" (ou pliable), ce qui signifie qu'elle peut être modifiée, voire transformée.




Dernière édition par Griffin Callahan le Jeu 14 Aoû - 13:18, édité 3 fois
 
MessageSujet: Re: Griffin Callahan   
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    }} Rôle Play Biographique >

    - « Non Griffin, ne t'approche pas du dragon ! »

    La panique et la frayeur étaient visibles dans les yeux de ma mère, sa voix aurait transpercé le cœur de plus d'un homme, elle avait peur pour moi, son fils unique. Il faut dire qu'Ornest donnait du fil à retordre à mon père qui essayait de l'apprivoiser, par trois fois il avait brûlé la maison et la dernière fois j'avais été tiré des flammes de justesse. Mais je ne voyais pas Ornest de la même façon que mes parents, pour mon père il pourrait être un moyen de transport pratique lorsqu'il ne voulait pas transplaner et pour ma mère c'était un monstre cracheur de flammes. Pour moi ce n'était qu'une grosse bête. Malgré les avertissements de ma mère je continuais mon chemin vers Ornest, il me semble qu'elle a crié à nouveau mais je n'entendais plus rien, mes yeux étaient plongés dans ceux du dragon, je sentais son souffle chaud sur mon visage d'enfant, je savais que bientôt il se mettrait à cracher du feu et je n'attendais que ça. Je ne voulais pas mourir, quel enfant de cinq ans pourrait avoir une telle pensée ?
    Ce que je voulais c'était sentir les flammes m'envelopper, sentir cette chaleur tout autour de moi, ne faire plus qu'un avec le feu qui m'attirait tant, sentir les flammes lécher mon corps et fusionner ... Ornest me fixait et mes yeux émeraudes ne cillaient pas, qu'attendait-il ? Lorsque ma main se posa sur le front d'Ornest, celui-ci ne broncha pas, il ne bougea pas d'une écaille, je pus alors le caresser mais je n'y voyais aucune satisfaction. Lorsque mon père arriva et qu'il me vit si près du dragon il s'affola et se précipita vers moi, mais Ornest cracha une barrière de feu juste devant lui, l'empêchant ainsi de venir plus près. C'était enfin ce que j'attendais, je m'approchais des flammes, je voyais mes parents apeurés de l'autre côté, ma mère hurlait et mon père m'interdisait d'avancer plus, mais je n'avais que faire de leurs paroles, ce que je voulais c'était m'embraser ! Mais je n'eus pas le temps de trop m'en approcher que déjà Ornest me portait dans les airs et me remettait dans les bras de mon père, comme si il avait compris que pour ma sécurité il valait mieux me confier à eux. Depuis ce jour Ornest est le plus vieux dragon que j'ai jamais apprivoisé et il n'est jamais loin de moi.
    Ce fut lors de cette expérience que mes parents découvrirent que quelque chose n'allait pas chez moi, comme un petit dysfonctionnement dans l'engrenage d'une montre, c'est d'ailleurs jours après que je surpris cette conversation :



    - « Il n'a pas eu peur une seconde, ça n'est pas normal ! »
    - « C'est un enfant voilà tout ! Il n'a pas la même notion de danger que nous ! »
    - « Non Harvey, ça n'a rien à voir, lorsque je lui ai dit de ne pas s'approcher il n'a pas réagit ! »
    - « Il ne t'avait peut être pas entendu. Tu t'angoisse pour rien Aliena. »
    - « Ne me dis pas de ne pas m'angoisser ! C'est notre fils unique et cela fait deux fois qu'il manque de brûler vif ! »
    - « Mais Ornest ne lui a rien fait, au contraire il nous l'a rendu avant qu'il ne se jette dans les flam... »
    - « Il faut faire quelque chose Harvey, je ne supporterai pas de le perdre. Harvey ... il me fait peur ... »
    - « Enfin Aliena c'est notre fils ! Je t'interdit de dire des choses pareilles ! »
    - « Et pourtant cela fait plusieurs fois qu'il dissèque des gnomes, il ne pleure jamais, il ne sourit jamais et son regard ... »
    - « Cela suffit Aliena ! Je t'interdit d'avoir peur de ton fils ! Je t'interdit de le lui faire sentir ! Tu aimeras ton fils de gré ou de force et tu l'élèvera peu importe ce que tu penses de lui. »



    J'étais assis dans l'escalier et j'entendais les voix monter de la cuisine, la voix de ma mère tremblait alors que celle de mon père se voulait plus franche et nette. Je les écoutais et je ne ressentis ni tristesse, ni colère, ni quoi que ce soit d'autre, pour dire la vérité, ce soir là je suis allé me recoucher tranquillement, je sais que mes parents n'ont pas dormis ensembles cette nuit là et que par la suite ma mère ne m'a plus jamais regardé de la même façon mais je m'en moquais.
    Par la suite je fus plus souvent surveillé, ma mère ne me quittait que rarement des yeux et lorsqu'elle le faisait elle demandait à ma grand-mère ou bien à une de mes tantes de me surveiller, je n'étais jamais seul, même la nuit, on avait installé un autre lit dans ma chambre, on me disait que c'était pour me tenir compagnie mais même si j'avais 5 ans je n'étais pas stupide.

    J'avais compris qu'il fallait que je fasse attention à mes actes pour pouvoir être tranquille alors durant les deux années qui suivirent je ne fis rien d'étrange, laissant ainsi mon père assuré à ma mère que j'étais normal et qu'elle s'était fait du mauvais sang pour rien. Etrangement à ces moments là ma mère jetais toujours un œil sur moi et soupirais mais après tout elle avait un garçon normal, comme elle le désirait. Au cours de ces deux années la surveillance autour de moi se mis à diminuer, on commença par retirer le deuxième lit présent dans ma chambre puis on me laissait seul dans le jardin et enfin à l'école. A 7 ans plus personne ne me surveillait et je pu alors reprendre mes « recherches », dans la cour de l'école où j'avais été inscrit je me suis retrouvé seul avec une de mes camarades de classe, elle voulait soit disant jouer aux gendarmes et aux voleurs et j'avais le rôle du voleur. Le seul voleur que je connaissais à l'époque était un mangemort. J'avais donc tout prévu pour que les gendarmes ne m'arrêtent pas, je n'avais aucune limite, je ne ressentais rien ! Alors elle s'était approchée de moi en souriant, me menaçant d'un bâton qu'elle prenait pour une arme, je fus étonné de voir un gendarme sourire à un mangemort alors tel que mon plan le prévoyait, je me suis jeté sur elle et je l'ai frappé au visage, une première fois puis une deuxième, elle se mit à pleurer, mais c'était normal, le mal avait le dessus sur elle, elle avait peur et mon visage ne reflétait aucune émotion. Je lui alors pris son bâton qu'elle utilisait pour me repousser et me suis mis debout, un pied sur son torse et je frappais ses genoux tout d'abord, si fort qu'à chaque coup j'entendais ses os craquer, elle poussait des cris si aigus qu'encore maintenant je me demande pourquoi personne ne les a entendu. J'écrasais son torse de mon pied gauche, l'empêchant de respirer, je voyais son visage devenir bleu, ses yeux étaient grand ouvert et moi je frappais de toutes mes forces.


    - « Est-ce que tu as mal ? Pourquoi tu ne parles plus ? Est-ce que ça fait mal ? »


    Je sentais sous mon pied céder chacune de ses côtes, le petit corps fut pris de sursauts, son cœur c'était arrêté depuis plusieurs minutes maintenant mais je continuais à frapper, personne n'était là, nous étions seuls, j'étais seul désormais. Une fois que je ne voulu plus la frapper, une fois que le mangemort que j'étais eu tué le gendarme, j'ai attrapé cette petite fille par les cheveux, je voulais voir de très près ce qu'étais la mort, je voulais savoir ce qu'était la mort de l'intérieur ! Je regardais ses yeux, c'est vrai qu'ils n'étaient plus aussi brillant qu'avant, il y avait quelque chose qui avait disparu. Le reste de son corps était couvert d'hématomes mais cela ne me suffisait pas, alors j'ai couru dans la classe, j'ai pris une paire de ciseaux et je suis retournée au près d'elle, malheureusement le temps de faire l'aller-retour et la petite fille avait été découverte par le jardinier, tout le monde s'est alors affolé, j'ai lâché ma paire de ciseaux et ai suivi le mouvement. Je ne me souviens plus exactement des jours qui ont suivi si ce n'est que tout le monde devait s'habiller de noir, vêtement qui m'ont d'ailleurs beaucoup plu. On a longtemps enquêté pour savoir qui avait fait cela, les adultes avaient tous été interrogés, mais pas un seul enfant ne fut inquiété, alors on peut tuer lorsqu'on est enfant ....






Dernière édition par Griffin Callahan le Jeu 14 Aoû - 18:24, édité 15 fois
 
MessageSujet: Re: Griffin Callahan   
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    Les années qui suivirent je changeais si souvent d'école que j'étais obligé de me tenir à carreau car comme tout le monde se sait, les nouveaux sont toujours observés durant des mois, de ce fait pas moyen de faire quoi que ce soit même si à 8 ans je tuais ma première biche avec l'aide d'Ornest, à 9 ans j'ai réussi à enlever un jeune garçon et j'ai remarqué qu'un enfant peu rester 4 jours sans boire et que sa mort vient à petit feu, qu'il se rend compte que chaque instant est son dernier et que l'instinct de survit peu les emmener à faire l'impossible pour survivre. A 10 ans je commence à faire des expérience sur moi, je commence par de petites coupures puis des brûlures plus importante, je voulais connaître la douleur mais il n'y a rien eu, pas la moindre douleur, pas la moindre tristesse, rien. Pas un sentiments, pas un ressenti .... Rien ! Suis-je une coquille vide ? Une erreur de la nature ? La vie est-elle plus belle lorsqu'on souffre, lorsqu'on aime, lorsqu'on a peur ?
    A 11 ans j'intègre enfin Poudlard, l'école de sorcellerie la plus prestigieuse, je suis immédiatement envoyé à Serpentard où je fais mes premières armes avec des garçons qui par la suite deviendront des mangemorts, certains parce que leur père en fait partie et qu'il faut perpétué la tradition, d'autres parce qu'ils font preuve d'intelligence et de sournoiserie, personnellement je ne vois pas l'intérêt d'en faire partie, de suivre un seul sorcier, je préfère me battre pour moi, suivre mes propres règles et tuer qui je veux tuer, la vieille femme qui traverse trop lentement ou le sorcier qui pointe sa baguette sur moi. Durant mes années à Poudlard je fus un élève studieux, avide de connaissance et de pouvoir, je fais d'ailleurs de grandes découvertes sur les êtres magiques mais aussi sur l'animal qui me fascine, le dragon. J'ai toujours été un des premiers en classe, élève studieux ne laissant pas la place au loisir et à l'amitié déplacée. Mais une idée m'obsède, une chose que je devrai faire en sortant de Poudlard, une chose que je met au point minutieusement durant mes sept années d'études.
    C'est à Poudlard que j'expérimente mes premières histoires amoureuses, puisque c'est ainsi qu'on les appelle, une jeune fille qui semblait plaire aux garçons et qui me demande d'être son petit copain, pourquoi ne pas essayer après tout. Alors nous passons des après-midi ensembles, elle me suit à la bibliothèque ou au parc, sa présence m'est totalement indifférente mais elle reste avec moi, puis on s'embrasse, elle ferme les yeux, moi non, quel plaisir de fermer les yeux ? Elle attire mes mains sur sa taille et me caresse le torse, je ressens des petits picotements, est-ce que c'est ça l'amour ? Elle rouvre les yeux, je simule un sourire, elle a l'air contente.
    Je finis ma dernière année avec les félicitations, je suis prêt à entrer dans la vie adulte, je sais déjà que je serai dresseur de dragon, mais pour le moment il faut que je fasse ce pourquoi je me suis préparé pendant des mois.


    Je rentre chez moi, j'aimerai parler à mon père, lui dire que je vais vivre ma vie et quitter la maison familiale, je sais qu'Ornest m'attend dehors et seule ma mère se trouve à la maison, c'est exactement ce que je voulais !


    - « Griffin, bravo mon chéri ! »
    - « Où est mon père ? »
    - « Il est sorti avec ton oncle mais il ne devrait pas tarder ! »
    - « Alors il t'a laissé seule ici ... »
    - « Oui ... mais je sais me défendre en cas de problème. »
    - « C'est ce qu'on croit tous, mais face au danger tout est différent ! »
    - « Tu as raison mon chéri ... »
    - « Tu trembles, aurais-tu peur ? »
    - « Mais non ! »
    - « Menteuse ! Tu as peur de moi depuis que j'ai cinq ans ! »
    - « Je ne ... je ne comprends pas Griffin ... je n'ai pas peur de toi ... je ... »
    - « Cependant je ne t'en veux pas ! Car tu as bien raison d'avoir peur ! »


    Je voyais me mère trembler devant moi, j'étais devenu bien plus grand qu'elle et cela la terrorisait encore plus, je revoyais dans ses yeux la peur dont avait été envahie la petite fille dont j'ai oublié le nom. Cette fois ma mère avait raison de trembler, elle avait raison d'avoir peur. Mon regard émeraude était plongé dans ses yeux noirs, je n'avais rien reçu de son côté, rien en moi ne lui ressemblait, elle aurait pu passer pour une parfaite inconnue au yeux des autres. Mes yeux verts étaient bien plus froids que ses yeux noirs et lentement je sortais ma baguette de ma poche, maintenant que j'avais finis mes études je pouvais utiliser ma baguette à tout moment sans être poursuivis par le ministère, ma baguette s'enfonça lentement dans l'abdomen de ma mère, son frayeur se faisait de plus en grande, elle savait maintenant que j'allais la tuer, elle voulut prononcer un mot mais j'ai posé ma main sur sa bouche pour l'empêcher d'appeler ou même de m'implorer. J'enfonçais de plus en plus ma baguette et mon regard était toujours plongé dans celui de ma mère, je voulais être la dernière chose qu'elle voit avant de mourir, qu'elle parte avec mon image devant les yeux, qu'elle meure en sachant que son fils l'avait tué en la regardant dans les yeux. Les sortilèges non prononcés étaient parfois les plus terribles, ne pas savoir comment on va mourir, ne pas se préparer au pire, subir à la seconde près tout ce qui passe par la tête d'un déséquilibré, d'un tueur, d'une homme sans état d'âme, d'un homme sans âme dans mon cas. J'aurai voulu ressentir quelque chose au moment où son corps s'écroula à mes pieds, mais pas même un sentiment de soulagement monta en moi, une fois de plus je ne ressentais rien. J'ai donc tourné le dos à cette femme qui avait toujours eu peur de moi, finalement elle était morte comme elle avait vécue, dans la peur ...
    Je suis sorti de la maison et ai monté sur le dos d'Ornest lui ordonnant de brûler la maison dans laquelle j'avais grandit, aucun remords, aucune tristesse, juste une nouvelle page de tournée. Mon père réussi à me joindre en Hongrie plusieurs jours plus tard, il arriva en transplana, il semblait souffrir, il avait maigri, son visage était creusé et il avait d'énormes cernes sous les yeux, lorsqu'elle m'annonça la mort de ma mère je lui fit croire à ma stupéfaction, il me pris alors dans ses bras et pleura de longues minutes mais ne fut pas surpris de ne pas me voir pleurer, après tout, les hommes ne pleurent pas .... Je fus présent lors de l'enterrement de ce qui restait du corps de ma mère, toutes ses vieilles femmes qui pleuraient alors que dix ans au par avant elles la prenaient pour une folle de me faire surveiller où que j'aille, elles auraient du l'écouter !
    Aujourd'hui mon père est mort, il est mort deux mois après ma mère, on dit qu'il n'a pas supporté de la perdre, quel dommage ... Je suis devenu à cette époque le pauvre petit orphelin dont la mère avait péri tragiquement dans un incendie et dont le père ne supportait pas d'être seul. Cela m'a permis d'avoir de nombreuses aides financières de ma famille me permettant ainsi de créer mon propre centre de dressage de dragon en Angleterre, le plus grand centre. Et j'en profite pour faire de nouveaux essais sur les moldus, savoir comment ils réagissent face à un dragon, combien de temps ils peuvent survivre au maximum ... Les femmes se bousculent dans mon lit mais je suis toujours le même, aucun sentiment, aucune sensation, rien et pourtant avec le temps je me suis attaché à Ornest !



 
MessageSujet: Re: Griffin Callahan   
Griffin Callahan EmptyJeu 14 Aoû - 18:25



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    }} What else ? >

    # Actrice, Acteur : Michael Fassbender
    # Pseudo IRL : Heartless Angel
    # Comment voyez vous le forum ? La fiche de Présentation ? Très joli design, sombre à souhait. Deux fiches différentes laissant le soin au bons posteurs de montrer leur talent.
    # Un Commentaire ? Rien de plus.




 
MessageSujet: Re: Griffin Callahan   
Griffin Callahan EmptyJeu 14 Aoû - 19:06


https://ad-nox.forum-actif.net

Nombre de messages : 605
Choixpeau Magique
Choixpeau Magique
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    Il est pas net celui là... M'enfin, j'adore tout plein ! Il est chou, je trouve ! Razz
    XD ! Non, sérieux, il est génial ! C'est assez singulier comme histoire. Excellent !

    Je te valide ! Wink
 
MessageSujet: Re: Griffin Callahan   
Griffin Callahan EmptyJeu 14 Aoû - 19:07



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    Merci beaucoup.
    Contente qu'il plaise.
    Personne différent de mes précédents ...
 
MessageSujet: Re: Griffin Callahan   
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