* Dans cette classe, assis tout au fond il pense, il n’entend pas son frère qui l’appelle en lui disant de suivre le cour. Depuis le début de l’année c’est l’une des rare fois ou il ne suivait absolument rien, ses pensées le menait ailleurs, ses pensées le menait loin, ses pensées le ramenait a la salle des science et du papier qu’il lui avait écrit avant de partir « tu auras bientôt de mes nouvelles » Quentin frissonna pour l’instant rien ne se passait Asmodeus n’avait pas daigner pour l’instant vouloir le voir ou le solliciter… « - Je veux de l’affection » !! Cette phrase le hantait, il ferma les yeux en se passant mainte fois les mains dans ses cheveux.*

Ca suffit fit tais toi !!

* Quentin ouvre les yeux tous les élèves on la tête tourné vers lui, ses joues devienne rouge, il part de la salle en courant son frère tente de l’en empêcher mais il chasse sa main pour sortir a toute hâte de la salle. Son cœur bat vite et fort pourtant il na pas couru il s’est juste appuyé contre le mur en face de la porte du cour, il s’agenouille, se recroqueville sur lui-même, il tremble. Voila maintenant qu’il avait juste a pensé a lui et tout son corps réagissait. Que faire pour luter contre lui ? Quentin ne savait pas quoi, il devait suivre les cours donc obligé de se trimbalé dans le couloir donc forcement un jour ou l’autre il allait le croisé… Il resta un bon moment replier sur lui-même pour réfléchir a la manière de ne plus le croisé, mais peut importe ce a quoi il pensait, il restait toujours la même contrainte, comment l’éviter tout en gardant un œil sur son frère ? Quentin n’avait pas confiance en se serpentard, il avait peur qu’il s’approche de Jeremy, qui sais peut être qu’il serait même capable de l’utiliser pour que Quentin capitule comme il la toujours fait depuis leur rencontre, d’ailleurs cela ne l’étonnerais pas se serait le comportement digne d’un serpentard… Il rentra en classe le visage bien pale, et prétexta au professeur qu’il avait eu une soudaine envie d’allé vomir… puis il retourna a sa place… « - donne moi de l’affection » il ferma les yeux il voulait que Quentin lui donne de l’affection, sur le moment il lui a dit qu’il ne pouvait pas… Mais peut être pouvait il essayé… Il écrivit sur un morceau de parchemin « retrouve moi aux toilettes du 5 eme étage Q – S » A la fin du cour il partit voir le premier serpentard et lui demanda de transmettre se mot a un certain Asmodeus Way élève de 6 eme année. Est-ce que l’élève allait le faire ? La était la question…

A la fin des cours Quentin évita son frère sinon il allait être assommé de question, et se justifier, il ne fait jamais, il s’empressa de se diriger au 5 eme étage, l’endroit qu’il avait stipulé dans son mot. Et il s’enferma dans une cabine, la tête loger dans le creux de ses mains son cœur bat encore plus vite, il a peur, mais qui ne tente rien n’a rien, il devait essayé et qui sais s’il réussissait a surmonté ça qu’enfin asmodeus le laisserais tranquille c’était une chose a essayé qu’avait il a perdre a part une nouvelle humiliation… Le temps passe, personne ne vient pourtant il ne désespère pas, il reste enfermé dans sa cabine en attendant que ton persécuteur arrive comme une fleur. *

* Les secondes défilent et se ressemble toutes, toujours enfermé dans sa cabine, recroquevillé pieds sur la cuvette, tête dans les genoux il attend. Cette attente semble longue, elle semble durée une éternité alors qu’il n’est la que depuis 10 minutes, il a l’impression d’être assis la depuis au moins 3H. Asmodeus n’est même pas encore la qu’il tremble déjà. Mais pourquoi avait il fait ça ? Voila maintenant qu’il se remettait en doute qu’il se demandait s’il avait vraiment bien fait de le faire revenir a lui… La porte des toilettes s’ouvre, le poufsouffle relève subitement la tête le cœur battant à la chamade. Il s’assoit correctement sur les toilettes le souffle haletant. De petits coups net et distinct sont donnés sur la porte, Quentin sursauta en regardant en direction de la porte. Il déglutit en hésitant vraiment. Allait il lui ouvrir la porte ? Valait mieux, Asmodeus serait bien capable de défoncé la porte…
« - Si tu m’appelle c’est pas pour te planquer après…J’ai mieux a faire que d'attendre ton bon vouloir… »
Quelle impatience, Quentin allait sortir, fallait lui laissé le temps de se calmé. Il ne pouvait pas sortir tremblant, un visage décomposer par la peur. Il fallait que son attention soit vraie, il voulait tout du moins lui donner l’illusion que c’était vrai. Dans l’état dans lequel il était ne lui donnait pas encore la force de surmonter sa. Il pris une profonde inspiration et se releva. La main tendue vers le loquet il s’apprêtait à ouvrir, quand d’autres coups à la porte le fit sursauter. Il recula un instant non il voulait que tout s’arrête. Ayè le geste fait il voulait déjà qu’il ne soit jamais arrivé… Mais la Asmodeus semblait perdre patience, les coups sur la porte étaient secs et insistant. Il posa a nouveau sa main sur le loquet et fini par ouvrir la porte …

L’ombre du serpentard l’enseveli complètement. Tête baissée il déglutit, puis s’avança pour sortir de la cabine. Devant Asmodeus il fini par levé la tête. Il inspirait et expirait bruyamment, mais il ne tremblait plus, dans ses yeux on ne lisait plus la peur qu’on pouvait y lire habituellement… Il se colla subitement au serpentard, son cœur s’accéléra presque immédiatement, les mains du poufsouffle glissèrent sur ceux du serpentard pour aller se poser sur la nuque de celui-ci et y exerça une légère pression pour qu’il baisse la tête, Quentin se mis sur la pointe des pieds et déposa simplement ses lèvre sur celle d’asmodeus et se décolla en se reculant légèrement. Ses mains glissèrent a nouveau sur le corps de celui qui le terrifiait temps et s’arrêtèrent sur les bouton de la chemise de celui-ci qu’il enleva un par un sans aucune difficulté. Puis ses mains se baladèrent lentement sur le torse découvert du serpentard. Il se colla à nouveau a lui faisant glisser ses mains sur le dos d’asmodeus qu’il parsemait de caresse du bout des doigts sur toute la longueur de son dos *

Prend moi dans tes bras s’il te plais, Asmo…

* La tête complètement collée sur son torse, ne lui donnait aucune vue sur son visage. Ses yeux étaient gorgés de larmes, c’était tellement dur. Pourtant ses gestes démontraient le contraire, ils étaient doux, lent, espérons que cela lui soit agréable, et qu’il ne veuille pas le regarder, sinon cela le trahirait. Pour l’instant il réussissait a contrôler ses tremblement, il retenait ses larme, et il arrivait a être doux sans en faire trop… Il fallait que ça passe, il faut qu’asmodeus le croit. Quentin resserra son étreinte pour se rapprocher au maximum de serpentard, dissimulant encore plus son visage. Ses longs cheveux blonds participaient à sa dissimulation… Puis il renifla bruyamment, son cœur se mit a battre plus fort les yeux écarquillé il se demandait s’il l’avait entendu ? Quand quelqu’un renifle surtout quand il n’est pas malade c’est qu’il pleure ou sur le point de pleurer. Son souffle devint quelque peu haletant et ce cœur qui ne ce calmait pas… Il ferma les yeux il faillait qu’il se calme a tout pris, sinon il allait être bloqué, voir paralysé encore … *

* il ne sais pas faire la distinction entre l’amour, l’envie et le désire, il ne fait pas la distinction entre affection et sexe, Comment peut on savoir la différence si on ne sais ni la définition et encore plus quand on ne sais pas le procuré ? Quentin s’aventurait en terre inconnue, comment donné de l’affection a quelqu’un alors qu’on ne sait pas comment faire et en quoi ça consiste ? Alors comme dans la vie de tous les jours on laisse place a l’improvisation ? Un bisou et un câlin n’étaient donc pas suffisants pour témoigner de l’affection vis-à-vis de quelqu’un ? Pourtant avec Jeremy sa fonctionnais toujours. Il pleurait, un petit câlin, un petit bisous une vieille van et c’est bon il était calmé. Mais la les temps change, Asmodeus est loin d’être Jeremy très loin même ; Comment savoir ce dont il a besoin, et comment lui prodiguer ce manque. Et puis le sortir : « qu’est ce que je peut faire pour te faire plaisir » était très loin, très très loin la phrase qu’il voulait dire. Alors il se taisait il préférait resté collé a lui peut être qu’instinctivement il l’aiderais a mener a bien son plan…

Il pris une profonde inspiration quand il sentit les bras de son persécuteur s’enrouler tendrement autour de lui. Comment un monstre pouvait il être aussi délicat dans une étreinte ?
« - C’est bien que tu ais changé d’avis mais tu devrais te montrer encore plus convainquant »
Il déglutit, quoi ? Il n’était pas assez convaincant ? Fermant un instant les yeux il soupira, mais d’un souffle inaudible comment pouvait l’être encore plus ?
« - Si tu te souviens bien …Je veux voir l’amour dans ton regard…Je veux me sentir indispensable »
La phrase : « - je veux me sentir indispensable » clignait devant ses yeux clos, elle raisonnait dans sa tête comme un écho cette phrase le fit frissonner de tout son être, les larmes précédemment retenu coulèrent du coin de ses yeux et le long de ses joue. Non il ne pouvait, pas, il ne pouvait plus. S’était fichu il n’y arriverais jamais. Il ne peu pas donné ce dont il connais rien et le pire, c’est qu’il ne peu pas mentir. C’est humainement impossible pour lui surtout sur les choses grave comme l’amour que l’on porte a quelqu’un. Sentir cette main passée dans ses cheveux, cette étreinte resserrée tout ça le fit gémir, un gémissement craintif et plaintif. Il fini par mettre fin a cette étreinte en repoussant violement le serpentard. *

Je ne peux pas… JE NE PEUX PAS

* Il couru dans la cabine ou il était précédemment une main devant la bouche. Fermant la porte a clé derrière lui. Un horrible bruit de vomissement se fit entendre dans les toilettes. Ecoeuré, oui tout ça lui avait donné envie de gerber. Et ce soir la, il ne s’était pas retenu, quand sa crise fut passé il s’essuya la bouche et tira la chasse d’eau ; Son cœur battait a tout rompre il tremblait dans cette cabine, se collant contre le mur il se recroquevilla sur lui-même la tête dans ses genoux. Il pleurait silencieusement tout était fini…*

* recroquevillé sur lui-même, elle se balançant le cœur battant, la respiration haletante, quelque goutte de sueur firent leur apparition sur ses tempes. La peur, l’angoisse, asmodeus était la et il avait encore, et comme toujours faillit a sa tache. Il n’avait pas été assez convainquant, il n’avait pas été au bout de son idée… Pourquoi jamais rien ne fonctionnait comme il le voulait ? Qu’allait il lui arrivé ? Allait il partir sans demandé son reste ? Repartir comme si rien n’était arrivé ? Tant de questions qui se bousculait dans sa tête a lui en faire une douleur des plus horrible et pourtant une seule réponse était possible : « non ». Asmodeus ne repartirait pas comme ça, impossible, pas un serpentard sans cœur. Il va encore le payé, il va encore le terrorisé, lui faire mal… Pourquoi fallait il toujours qu’il le malmène alors qu’il sait pertinemment que Quentin est terrorisé au simple fait de le savoir dans les parage ? Il était plus grand, plus fort, plus tout en faite, a coté Quentin n’était rien d’autre qu’une poussière dans un œil, un cailloux dans une chaussure, un simple élément perturbateur qui gène mais qui ne représente absolument rien… Tremblant dans sa cabine il ne du pas attendre longtemps pour entendre la porte exploser des éclats de bois tombait par terre de part et d’autre de la pièce. Il ne pu s’empêcher de gémir ça allait encore mal finir…

Il fut saisi violement par le colle, un gémissement de douleur franchit ses lèvres. Les yeux ouvert il ne quittait pas des yeux le visage du serpentard, qui sans attendre lui jeta les sort aguamenti. Son visage fut aspergé d’eau, la bouche ouverte ses poumons a leurs tour se gorgèrent d’eau il avait l’impression d’étouffé, de se noyer, ses yeux se fermait a nouveau allait il encore sombré ? Non car au moment où tout allait devenir noir une claque s’abatis sur sa joue pour le faire revenir a la raison, puis il fut lâché. Tombant lourdement au sol, agenouillé, trempé, les bras par terre, la tête baissé il avait une position comme s’il priait, ou peut être implorait quelqu’un… De sa bouche s’échappait une quantité massive d’eau, toute l’eau qu’il avait ingurgité en faite. Il l’écoutait parler, marcher dans les toilettes, ses pas raisonnait dans la salle et se bruit horrible que font les chaussure quand elle marche dans une flaque d’eau avait le don de le faire frissonner… Il l’écoutait déblatérer ses phrases vexante, plus méchante les unes que les autres, et ironique par-dessus le marché… que voulait il qu’il réponde a cela ?
« - A croire que tu ne sers qu’a être un objet sexuel et rien de plus… »
Peut être bien, depuis tout petit il n’avait été que ça, un objet sexuel et même maintenant ça ne change pas il frissonna. En secouant négativement la tête sans parler. Non il méritait mieux que ça, il méritait mieux que d’être considéré comme ça. Mais comment se rebeller quand cette peur vous paralyse ? Son souffle était haletant, il avait énormément de mal à reprendre son souffle et surtout ses esprits, le regard plongé vers le sol, la bouche ouverte, inspirant et expirant rapidement l’air, il regardait les chaussures d’asmodeus devant son visage
« - Trouve un moyen de te faire pardonner ou tu vas morfler… »
Il trembla de tout son être, se laissant tombé sur les fesses, il reculait, reculait jusqu'à se que sa tête se cogne contre un des lavabo des toilette il mis ses mains devant son visage *

Je t’en supplie ne me fait pas de mal… Pourquoi tu ne me laisse pas enfin tranquille… * de ses yeux roulaient des larmes sans même qu’il s’en rende compte* Tu n’es qu’un monstre asmodeus et la seule chose que je bénis, que j'attend avec grande impatiencen c’est le jour ou tu te cassera de cette école… *Il le regardait désespérément, les yeux rouge, gonflé, état pitoyable n’est il pas ? * Vas y vient lève encore la main sur moi, viole moi a nouveau, fait moi morfler comme tu la si bien dit, de toute façon tu ne sais faire que ça … Menacé, et frappé… ignores tu donc ce qu’est la pitié ? La clémence ? Est ce qu’au moins tu sais ce qu’est d’avoir un cœur ? * dit il d’une voix faible, tremblante et hésitante *