Parker - J'ai dit non !
William - Allez soit sympa.
Parker - Non ! Non ! C'est non !
William - Pourquoi ? J'te le demande gentiment dit-il avec un large sourire hypocrite.
Parker - Parce que Thomas t'as déjà dit non pour l'Ordre l'autre fois et ça m'étonnerai qu'il est changer d'avis. Donc je n'irai pas lui en parler en ta faveur.

William soupira et adressa un regard noir à la jeune fille . Il s'ennuyait à l'impasse et il voulait de l'action, il voulait se rendre utile. Bon ok son père l'avait déjà rembarré comme un mal propre l'autre fois, mais c'était différent à l'époque il avait en lui cette rage et cette envie de tout détruire. Mais a présent, ou plutôt surtout après la venue d'un Enrique un peu spécial il était plus calme et plus réfléchie. Il était sûr et certain de pouvoir être utile.

William - Ok ne lui en parle pas tant pis. Laisse moi pauvre seul, misérable abandonné de tous . En proie a la déprime et la solitude face à mon cruel destin . J'pourrais même finir par avoir envie de me pendre dit-il sur un air théâtral et faussement triste.
Parker - William ! dit-elle agaçer. Arrête ta comédie j'ten prie.
William - Non non mais j'suis très sérieux Tu imagine si j'devais mourir ? Et par ta faute ? dit-il en posant une main sur son cœur comme si elle l'avait profondément blesser.
Parker - Soit sympa, ne me fait pas de fausse joie. Et ça va tarder à arriver si tu continue.
William - Pfff ! Rabat joie.

Parker eut un petit sourire, il était vraiment incorrigible celui-là. Impossible de ne pas faire attention à lui tellement il était a 200% dans tous ce qu'il faisait. William soupira, il avait espérait qu'en harcelant un peu Parker il pourrait rentré dans l'Ordre du Phoenix mais il apparemment il avait eut tord. Pourtant c'est tout ce qu'il désirait, son père en faisait partit et malgré les recommandations de Thomas il voulait marcher sur ses traces. Enfin ça mais pas seulement, il voulait aussi venger Asphodèle. Car les jours avait beau passer. Il garder toujours cela en tête.

William - Bon de toute façon je suis sûr et certain qu'il n'accepte plus personne dans l'Ordre.

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Jimmy Morrison – Edward MacKenzy {Mac} – Karly McGregor

Jimmy commençait à perdre patience ? Vous croyez ? Passant une main devant son visage, le Briseur de sortilèges pesta intérieurement. Le sourire narquois de Karly ne l’aidait en rien tout comme les rires masqués de Mac. Il y a de cela quatre nuits, ils s’étaient rencontrés tous les trois dans une vieille ruelle, à la suite des évènements tragiques qui les muselaient ici. Alors que les deux se chamaillaient, Karly en avait profité pour s’extirper en silence pour rejoindre le chef de l’OdP. Sans leurs expliquer bien entendu. Après tout, que pouvaient-ils bien lui faire ? Etaient-ils au courant qu’elle avait elle-même intégré l’Ordre ? Surement pas encore, sinon vive les yeux de Merlan frit. De toute façon, ce n’était pas à elle de leurs apprendre. Etrangement, la compagnie des deux hommes ne la dérangeait pas plus. Ils étaient amusants à constamment se chercher des poux, bien que le franc-parler de Mac et la subtilité enseignée de Jimmy étaient un étonnant contraste. Portant la tasse de grès dans lequel on venait de lui servir un thé rehaussé avec du citron, l’ancienne Gryffone laissa son regard traverser la grande place centrale. Des enfants de tout âge se rassemblaient autour d’un sorcier qui devait surement avoir des dons d’illusionniste vu le petit spectacle qu’il leurs offrait. Certains visages étaient émerveillés, d’autres avaient une ébauche de sourire. On pouvait même trouver des élèves de Poudlard qui le regardait. C’était un départ de renaissance… Tiens, cette tête. Même de dos, elle semblait la reconnaitre. Instinctivement, elle se leva de son siège avec la ferme intention d’arrêter cette personne.

Cette fois-ci, Mac et Jimmy ne se laissaient pas berner et se décidèrent à suivre la jeune fille dans les dédales. Mais c’est qu’il y avait de la circulation entre les charrettes, les balais et les simples passants.
Ce n’était pas possible : Karly n’y croyait pas. Et pourtant, elle avait vu James quelques jours plus tôt. Il l’avait prévenu que certaines personnes se trouvaient aussi à l’Impasse, tel que Rose et William. Mais Karly n’avait croisé personne. Il était si bon que de revoir des visages connus et appréciés. Même pas appréciés. S’excusant auprès des personnes qu’elle bousculait, elle ne prêtait pas attention aux deux zouaves qui la suivaient sans réussir à la rattraper. Plusieurs dédales plus loin et avec essoufflements, Karly perdit le jeune homme des yeux. Face de citrouille farcie, il était passé où ? Prenant une allée au hasard, elle s’y engagea… cela devait être la bonne car elle le retrouva en compagnie d’un agent de l’OdP qu’elle avait vu lors de la première rencontre au camp.

Arrivant à sa hauteur, Karly reprit quelque peu son souffle avant de le fusiller des yeux. Comme si elle avait retrouvé toute sa forme, franchement…

William fut interrompus par l'arrivé de Karly Mc Gregor. Karly, Karly Karly Karly. Comment vous définir Karly ? C'est simple : brune, grande belle sexy et .... chieuse. Woé c'est le mots : CHIEUSE ! William l'as connait ? Bin oui . Oh ça que oui qu'il l'as connait. Il pouvait difficilement passer à côté vu comment la Miss Tempérament-De-Feu avait taper l'incruste dans son équipe de Quidditch à Poudlard. Pfff ! Une fille qui fait du Quidditch non mais ça franchement. Y avait pas à dire il s'y ferait jamais. Les filles ça n'avait rien à faire sur un balais. Non il l'aime bien enfin.... euh .... En fait c'est pas qu'il l'aime PAS c'est juste que euh..... elle l'énerve .

Ah woe ok on a compris . Comment ça ? Qu'est-ce que vous avec compris ? Bin Miss Quidditch lui plait mais il se l'ai jamais faite . C'est ça qui l'énerve . Heeeeeeeeeey . C'est même pas vrai d'abord . Menteur . Ah parce que il veut nous faire croire que avec le jolie minois de Miss Qui-Se-Prend-Pour-Un-Mec il n'y a jamais penser ? Jamais jamais ? Euh..... . Woé bon ok ok . Il y penser . Il a même essayer . Mais bon on s'en fou . Tout ça c'était A.R . A.R ??? Oui A.R Avant Rose . Ah . Maintenant il n'as de yeux que pour elle . Enfin AVAIT puisqu'ils ont romptus...

Bref pour en revenir a l'essentielle la Miss Quidditch le regardait avec un regard noir. Qu'est-ce qu'elle a elle à bouffer du lion ce matin ? Elle veut sa photo ou quoi ? Quoi qu'il en soit William la regarde reprendre son souffle avec un air aussi agréable qu'elle.

Karly - « Ca te dérangerais d’attendre ou de te retourner quand on t’appelle dans la rue ? »

Irrésistible - Quel gentilesse MrGregor, WAW . J'te félicite . C'est prodigieux . Quel éffort. dit-il à en faisant des tonnes comme toujours. Toujours très théâtral le William. Par contre tu devrais arrêter la course à pied j'pense que ça attaque tes neurones ça fait dix minutes que j'suis ici sans bouger. Et si j'avais attendu ta siiiiiii ravissante voix m'appeler j'me serais sans aucun doute retourné tu peut en être CERTAINE dit-il avec un large sourire hypocrite -> .

Parker le regarda avec un demi air de reproche . Décidément celui il était incorrigible et il avait le chic pour se mettre les gens à dos. A croire que c'était dans ses gênes. Quoi que. Parker avait déjà vu Sawyer et il n'avait pas grand chose en commun avec son jumeau. A part peut-être leurs charmes naturel, elle ne pouvait pas le nier bien que son cœur était déjà pris. A ce moment là la jeune Auror vit deux collègue de l'Ordre débarquer. Mac et Jimmy.

Jimmy - « Oh Brunette ! C’est pas vrai çà, faut t’attacher toi. T’es une plaie d’Egypte qui s’abat en Angleterre ? …
Irrésistible - Vous vous trompez cette fille est A-Do-Ra-Ble . dit-il avec hypocrisie et avec toujours le sourire qui allait avec en fin de phrase.

William était de mauvais poil et il avait besoin de faire chier son monde. Et vous savez quoi ? Il avait trouver la cible idéale -> Karly ! Merci mon dieu de l'avoir envoyer jusqu'à lui.

Mac - Oh tiens, Parker ! »
Jimmy- « Mac, tu l’as retrouvé ? » « Tiens, salut Parker ! Belle journée, n’est-ce pas ? »
Parker - Excellente dit-elle peu convaincue. Jimmy, Mac J'vois que vous aussi vous avez hériter d'un moufflet à surveiller rajouta-t-elle amusé. On échange ? William contre votre fugueuse finit-elle.

Elle n'était pas vraiment sérieuse, elle disait plus ça pour plaisanter mais William n'apprécia pas des masse qu'on le compare à un objet.

Limite les mains sur les genoux, Karly retrouva petit à petit une respiration normale. Hein, mais c’est qu’il marchait vite celui-là. Les passants au alentour continuaient leur route sans penser à ce qui allait se passer d’ici quelques secondes.

Mais Karly fut coupée par l’arrivée des deux autres membres de l’Ordre. C’est qu’ils savaient se montrer collants quand ils le voulaient ceux-là. Jimmy semblait plus mal en point que Mac. Au contraire, ce dernier se tenait debout et seul quelques rougeurs aux joues trahissaient la course qu’ils venaient de mener. Disons que Karly savait être aussi agile qu’une aiguille entre les passants… et Mac était plutôt le taureau qui chargeait.

Karly fulminait. Ce… Cet uluberlu, comment osait-il ? Au contraire d’être heureux de voir des camarades –même si on a quelques mots avec… bon d’accord, qu’on s’engueulent constamment malgré des amis communs – être restés en vie et en être ressortis. Non… Celui-ci semblait penser qu’elle était qu’un vulgaire putching ball… ou mieux, qu’elle ne méritait tout simplement pas d’être ici. Au contraire de Sasha ou Stephen. Le… Le bougre. Non, en fait, c’était la réaction d’un simple con. Mais que voulez-vous, Karly n’avait jamais vu réagir William autrement que comme çà. D’ordinaire, elle prenait plus leurs échanges sur le goût de la plaisanterie mais là, elle avait été piquée. Sèchement.

Jimmy soupira. Mac était incorrigible. Autant il avait très bien pris la petite blague de Parker, autant il en jouait en empirant la situation. Ils avaient constaté le caractère de la brunette et vu le court échange qu’elle venait d’avoir avec le blondinet… Ce dernier devait avoir le même caractère si ce n’était pire. Quelqu’un a prévu un parapluie contre le déluge ?

Jetant un regard noir aux deux membres de l’Ordre, Karly se retenait de ne pas leurs lancer un sanglant : « La ferme. »

Karly – « Hein ? Mais bien entendu. Ca coule de source enfin ! Tout comme tu es le plus charmant et galant homme sur cette planète… pardon Galaxie !»

Miss Qui-Voit-Des-William-Partout se foutait de sa gueule en reprennant son ton ironique ???? Heeeeeeeeeey . Mais SON truc Voleuse . Mais si elle croit que ça va lui faire péter un plomb elle rêve. Comme toujours triturage de cerveau interne mais assurance imperturbable à l'extérieur .

William - Merci dit-il avec un sourire fier comme s'il n'avait pas compris l'ironie. Je savais bien qu'tu finirais par l'admettre un jour.

Ah bravo . Bin quoi ? On se refait pas . Puis c'était mieux son habituelle tendance à tour dédramatiser que d'être encore une boule de nerf comme sa première semaine à l'impasse. Là au moins il ressemblait plus ou moins au Will de poudlard. Un homme un vrai qui ne montre pas ses sentiments et qui n'avouera surtout pas qu'il est bien content de retrouver un visage familier. Surtout elle qui avait le chic pour lui balançer de belle répartie et il adorait ça.

Karly - « Espèce de goujat ! Et dire que j’avais commencé à me faire un peu de soucis pour toi. Un semblant de soucis… T’aurais du rester là-bas, tu les aurais transformé en chèvre ! Ca nous aurait aidé !»

Hey ! Mais que Miss Enévervé se calme . Il a rien fait lui . Miss Qui-S'exite-Toute-Seule-Pour-Rien s'était fait du soucis pour lui ? Lui ? Vraiment lui ??? Lui qui passait son temps à l'emmerder à Poudlard ?? Lui qui perder pas une seconde pour la mettre en pétard ????? Bin apparemment Bon. Si Miss Inquiète le dit c'est que ça doit être vrai. Oh mais c'est cool. C'est même super gentil. Fallait le dire tout de suite qu'elle s'inquiétait . Il aurait un peu moin Willamesque . Tiens il s'y était attendu à celle là .

Mais bon un homme un vrai ne montre pas ce qu'il ressent . Hors de question qu'il lui dise que ça le toucher que quelqu'un s'intéresse au fait qu'il mort ou vif. Puis c'était quoi cette répartie pourrie avec une chèvre ? Franchement Miss Casse-Pied l'avait habitué a mieux. Décevant .

William - J'adore quand elle s'énerve, vous ne trouvez que ça la rend vachement sexy ? dit-il avec un sourire à l'intention des hommes qui étaient arriver en même que Karly. Définie « gougat » dit-il comme s'il ne comprenait pas. C'est un mot qui me qualifie rarement. En général c'est plus « irrésistible » « charmant » « viril » ou même « parfait ». Mon préféré est le mieux adapté d'ailleurs.

Eh bin dite donc il était en forme. Woé .A croire que c'était l'effet Kaka. Sa faisait longtemps qu'il avait pas était aussi comique et arrogant. William dans toute sa splendeur.

Mac – « Quelle conclusion, Einstein. C’est une femme !»
Parker - C'est une femme ? C'est à dire ? Développe ! Je serais curieuse de savoir ce que ta phrase sous-entend .

Parker s'emportait rarement, enfin elle était loin d'être facile à vivre comme avait put le remarquer William dès son arrivé à l'impasse mais elle n'était pas du genre à péter sa crise pour rien. Mise à part pour ça : l'égalité des sexes. Quand on as grandit avec cinq frères qui passent leurs temps à vous emmerder juste parce que vous êtes une fille on as vite fait d'essayer d'être meilleur que l'homme afin de prouver qu'une femme n'as rien de faible. La phrase de Mac avait titiller son oreille. Elle restait calme, et elle avait était dit ça plus avec humour qu'autre chose mais toute les cartes étaient en main du dresseur de dragon et s'il faisait un faux pas ou en l'occurrence un mot mal placer, elle allait lui montré qu'une femme ne faisait pas que s'énerver constamment comme il croyait, elle savait aussi agir. Mais c'était plus plutôt pour le taquiner et par jeu qu'autre chose.

Mac – « Moi je prends ! »
Parker - C'est marrant, pourquoi ça ne m'étonne pas ?dit-elle amusé .
Jimmy – « Mac ! »
Mac – « Ben quoi ? Un gars, je peux le frapper ou le saucissonner pour le faire rester en place. Une femme… Tu me tomberais dessus avec ta galanterie et je ne sais quelles sornettes. Là, tous les coups seront permis. »

Hein ??? Quoi ??? Echanger ???? Non mais ça va pas la tête . Il n'en est pas question . S'ayez c'est la fête. Ils l'ont pris pour quoi ??? Une marchandises??? Un vulgaire paquet qu'on se passe de main en main??? Un objet ??? Ah non non non . Alors là ils rêvent . Il est pas comme ça . Surtout qu'entre se coltiner une jolie fille bien rouler et deux mec ya pas photo il sait d'avance qui il choisit. Même si la fille en question à un sale caractère .

Karly – « Ca vous dérangerez de nous prendre pour autre chose que des objets ? »
William - J'suis d'accord avec elle..... J'en reviens pas d'avoir dit ça.rajouta-t-il choquer.
Jimmy – « Excuses-la, Parker. Les évènements et la fatigue l’ont épuisé. »
Parker - Ya pas de mal . Tant qu'elle ne me traite pas de conasse tout ira bien dit-elle avec un petit sourire en direction de William.

Traiter de connasse ? Tiens, il voit pas du tout pourquoi Miss Garçon-Manquer à dit ça . Mais alors pas du tout Il lui a jamais dit lui . JAMAIS . Ah woé ? Il lui jamais dit ? Même à son arrivé quand il voulait se barré et qu'elle l'en as empêcher ??? Euh..... . On peut changer de sujet .

En fait, Parker aimait bien Karly. Enfin elle ne la connaissait pas mais elle appréciait le peu qu'elle voyait de la jeune brunette a cet instant. Sûrement parce qu'elle semblait avoir du caractère, ne pas se laissait faire par les autres et avoir du plomb dans la cervelle. Des qualité rares pour une fille, surtout le fort caractère.

Karly - « Alors, t’as du recevoir une sacré bosse pour ne pas m’entendre. Comment t’expliques que je sois ici sinon ? »

Non mais Miss Question-Chelou l'as prit pour quoi ? Un devin ? Un gars qui lissait des pensé ? Une diseuses de bonne aventure ? Il en sait quedal de ce qu'elle fait ici . Et franchement il s'en fou complètement . Là seul chose qu'il veut depuis qu'il est à l'impasse c'est ce barré au plus vite et tuer le plus de mangemort possible. Sa et peut-être survivre.

William - Franchement ? J'en sais rien ! Peut-être que c'est mon charme irrésistible qui t'as attiré dit-il comme si c'était une évidence. Puis au vue de la tête de Karly il prit un air plus sérieux. Mais T'es vraiment sérieuse là ? Tu m'as vraiment appeler tout à l'heure ? Tu m'as vue ? Non mais c'est pas possible ça parce que si le cas t'as halluciner....
Parker - William
William - ....sans déconner t'entend des voix tu ...
Parker - WILLIAM !
William - QUOI ? Dit-il agaçer . Qu'est-ce qui a la fin ? T'es chiante !
Parker - Réfléchit crétin ! Enfin si t'y arrive ! Tu connaitrais pas un mec qui aurait la même tronche que toi par hasard ?
William - « Ah si... » dit-il enthousiaste, content d'avoir trouver la réponse a sa question mais ça retomba d'un seul lorsqu'il réalisa ce que cela signifier «.Oh..... »

C'était lui. Encore et toujours lui. Sawyer ! Mr Frère Jumeau pouvait pas se barré et l'oublier un peu ? Non c'est vrai quoi. On peut même plus exister et être unique. Pff. Désespérant. Parker lui lança un regard qui signifiait bien « bon tu lui dit ou j'le fait »

William - J'ai était cloner dit-il avec une grimace et un air dégouter.
Parker - Arrête tes conneries tu va la faire flipper. Non en fait Will...
William - Liam ! dit-il en lui adressant un regard noir. De quel droit elle l'appelle Will ? C'est pas son pote
Parker - Wil - Liam dit-il en serrant les dents genre « T'es content ? » à un frère jumeaux, qui s'appelle Sawyer et qui est à l'impasse bien sûr.

William leva les yeux au ciel rien que d'y penser. Oh joie mont et merveille.

Au fait dis-moi Parker, pourquoi tu te coltines celui-là ?»

C'est vrai ça ? Pourquoi Miss Blondeur le colle ? Qu'est-ce qu'il a fait pour mériter ça ? Très bonne question Mr Chaperon-Numéro-Deux-De-Karly . Bravo. Pourquoi ???? Hein ??? Pourquoi ??? Pourquoi autant de haine envers lui ??? Qu'est-ce qu'il a fait pour mériter ça ???

Parker - Très bonne question. En fait j'en sait rien.

Ah bin bravo. Super. Elle même ne savait par pourquoi elle s'amuser à jouer les nounou avec lui. Génial. William est ravie. R-A-V-I-E . Mais comme toujours on ne voit de se qu'il pense....

William - La vérité c'est que j'ai eut un coup de cœur pour cette demoiselle et qu'elle est folle de moi.
Parker - Dans tes rêves. Continue a dire des conneries pareil et c'est un autre genre de coup au coeur que tu aura . C'est le fils de Thomas rajouta-elle avec un sourire. Et elle ? Qui est-ce ?

Grrrrr ! Mais il n’allait pas se taire un jour, lui ? Si on devait un jour lui donner un surnom, cela serait celui de Coq. A moins que ce ne soit Beau Merle. Ben oui, il a beau parler… Il ne fait pas grand-chose à part emmerder son monde. Râhhh et en plus, elle s’attendait dure comme fer à sa réponse. Décidément, William ne changera jamais. Même pas avec cette guerre d’entamée. Oups ! Que venait-elle de dire ? Il ne fallait pas qu’elle parle de prochains affrontements. Après tout, rien n’était certain. C’était à Alicante de décider. Karly, un pion ? Hum, pas tout à fait. Car tout ceci servait aussi ses intérêts. Lesquels étaient-ce ? La liberté. L’espoir. L’amour. La bonté. En un mot : le Bien qui vaincra le Mal. Un peu enfantin pour certains. Mais après tout… Pourquoi toutes ses personnes sont-elles réunies ici sinon ?

Karly s’étouffa. Se faire entendre dire qu’on est sexy, il s’agit d’un compliment. Mais de la part de Slayers… Cela ressemblait plutôt à une insulte pour sa part. Après tout, c’est comme si on était comparé à de la viande qu’on sert au menu. Brr. Non mais quel idiot ! Le regard noir de Karly trahissait ses pensées. On imaginait allégrement qu’elle le torturait et le tuait de toutes les manières possibles et inimaginables.

Jimmy semblait rester en retrait dans cette Impasse. Tapis contre le mur, il regardait les deux couples se chamaillaient entre eux. Quatre personnages au fort caractère, mettaient-les ensembles, mixaient le tout et voilà ce qu’on vous donne : une joyeuse camaraderie. Ben oui, tant que les sortilèges et les insultes ne fusaient pas, on pouvait parler de camaraderie. William versus Karly et Mac versus Parker. Pourquoi avait-on l’impression qu’ils s’agissaient des mêmes mais avec des années de décalage ? Un arbitre pour deux combats. Verdict ?

Mort de rire dans son coin, Jimmy était incapable de venir en aide à son ami. C’est comme s’il allait se retrouver avec deux furies aux trousses. Mac reconnaissait que les femmes avaient évolués et ne devaient plus rester aux fourneaux. Mais en même temps, elles étaient souvent moins résistantes mais plus intelligentes. Bien que généralement, on s’en prenait à la femme pour atteindre l’homme. C’était donc un élément faible. Ca coulait de source voyons. Vite, vite, une diversion…

Merci par Merlin, la diversion était parfaite !
Enfin… Nouveau sujet de discorde.

Karly hallucina. Les yeux grands ouverts, elle regardait Parker. Comment ? La traiter de Connasse ? Mais qui ? La question ne se posa pas longtemps qu’elle se retourna lentement vers William. L’étonnement était toujours présent. Non, et lui qui se disait gentleman et irrésistible. Savait-il que le mot conasse ne faisait pas parti d’un vocabulaire amoureux ?

Heinnnnnnnnnnn ? C’était quoi cette histoire abracadabrante. Tout le long du récit, Karly avait eu une tête surprise qui ne faisait qu’augmenter. D’ailleurs, Mac était écroulé de rire au sol et Jimmy se retenait difficilement. Cloné ? Cloné ? Non, mais c’était pas possible. Comment pouvait-on clôné un seul neurone ? On le partageait en deux ? Ca voulait dire qu’il était beaucoup moins intelligent. Par Merlin, mais le monde n’allait qu’en pâtir. On ne pouvait pas être encore moins crétin que William. Surtout si on en a deux à la place d’un. Karly pâlit fortement. Clignant des yeux, elle semblait se tourner vers Parker pour qu’elle lui dise qu’il ne s’agissait que d’une blague. Une très mauvaise blague. Jimmy s’approcha d’elle en posant une main compatissante sur son épaule tout en tentant de réprimer son rire. Sa main tremblait à force.

Respirer ? Mais comment pouvait-on demander à Karly de respirer ? Il s’agissait d’un pur cauchemar. Qu’allait-on lui dire par la suite ? Que les Mangemorts avaient trouvé leur repaire et s’apprêter à les débusquer ? Que sa famille était déjà trop en danger et allait mourir par sa faute ? Que son père avait… ah non, ca Karly n’était pas encore au courant. Toujours pas remise, Karly fixait étrangement William : comme si elle s’attendait à ce que deux cornes vertes, un nez de cochon et des ailes ne lui poussent. Pourquoi pas un trident aussi ? Suspicion.

Le regard noir de Karly en disait long pour elle. Le petit hic du moment était qu’elle avait désormais non pas deux membres de l’Ordre mais trois sur le dos pour savoir son identité. En réalité, jamais Jimmy ou Mac ne lui avaient demandé comment elle s’appelait. Ils voulaient juste savoir où elle allait. Le pire dans l’histoire : elle sentait le regard amusé et lourd de sens de William derrière son dos. Allait-il tenir sa langue celui-là ?

L’identité de Sasha lui était venue en tête pour tromper son monde mais… a quoi bon tromper son monde ? Elle n’était pas censée être en terrain inconnu et hostile là, non ? Bon d’accord, elle ne savait pas vraiment quoi faire. Et puis… Ils apprendraient surement très vite qu’elle-même faisait partie des leurs… Qu’elle avait rejoint leurs rangs. Hum, ca sentait le début des embrouilles à plein nez.

Karly – « Tu fais exprès d’être un crétin pareil ? T’as pas de vocabulaire en plus. T’es désespérant ! Un goujat, c’est un type comme toi qui pense que tout lui est dû parce qu’il frôle les pieds sur Terre. Un type arrogant et hypocrite qui n’a qu’un seul pois chiche pour neurones. En fait non… ca, c’est la définition d’un « William ». »

Retenez le il va l'égorger. Elle lui pique SON sourire ???? Oh la garce . Et puis d'abord il sait très bien ce que signifie le mot goujat il a pas idiot. Plutôt que de lui balançer la définition de se mot elle devrait apprendre celle du mot humour ça lui ferait du bien. Mais tandis que William semblait s'affronter contre Karly, sur un autre ring était face à Mac. Jimmy semblait être l'arbitre de se combats et de deux couples qui semblaient beaucoup se ressembler.

Mac – « Euh… Et bien, comment t’expliquer… Il est prouvé que certaines femmes s’énervent très rapidement à certaines… certaines périodes de l’année. Comme une lionne qui défend ses petits. »
William - Moi j'suis tout à fait d'accord avec lui.
Parker - Lionne ? Tu nous compare à des animaux ? Et toi dans ce cas là tu serais quoi ? Un porc ? Puis j'te signale que les " mauvaises période du mois " comme tu dit on s'les coltine pour pouvoir vous faire des mioches. D'ailleurs une fois de plus dans ces cas c'est les femmes qui font tout le travail et les mecs qui en tirent tout les bénéfices.

Elle se ficher totalement de savoir s'il le prendrait mal elle affichait ses idées un point c'est tout. Et le féministe avait toujours fait partit d'elle. Au plus grand drame de William qui était matcho. D'ailleurs ce d'ailleurs garder son regard fixer vers Karly, un regard amusé mais qu'il tourna vite lorsque tout les yeux se posèrent sur lui à cause du « conasse »

Karly – « Tu l’as traité de conasse ? »
William - Pourquoi tu pense tout de suite que ça vient de moi ? dit-il indigner
Mac – « Hum. Hum. Elle n’a jamais dis que c’était lui, petite. »
William - Exactement Puis pris dans le contexte c'est complètement différent .

Puis la conversation dériva ensuite sur le pourquoi du comment de l'arrivée de Miss Kaka vers William, et Parker expliqua qu'en fait elle avait dut croiser Sawyer. C'est marrant Karly semblait autant ravie que William de l'existence de Sawyers. Aaaaaaaaah ! Sa leurs fesait un point commun :shovk:

Karly – « Non ? Non, vous vous moquez ? Peut pas y’en avoir deux comme lui ? Vous voulez la destruction totale de cette planète ? »
William - Rassure toi, l'autre n'est qu'une pale copie. Personne ne pourra égaler mon charme.
Karly – « Parker, c’est çà ? Il n’y en a pas deux comme Slayers, hein ? Quand vous dites deux, c’est deux parfaitement identiques ? Non parce qu’on va à la catastrophe là ? »
Parker - Oui identique.... physiquement. Parce que mentalement franchement. Il me fait plus penser à son père. J'crois qu'tu l'aimerai bien. C'est un mec réglo. Et il ne ressemble pas à William en fait.
William - Encore heureux ! Manquerait plus qu'ça.

Jimmy demanda alors à Parker pourquoi elle se coltiner William et celle-ci avoua qu'il s'agissait du fils de Thomas.

Mac – « Le fils de Thomas ? Oo’ Non, tu déc’ ? Je ne l’ai jamais entendu parler d’un rejeton pourtant ? Faut dire qu’on parle plus boulot qu’autre chose… »
Jimmy – « Je ne savais pas que Thomas avait un fils ? …
Parker - Eh les mec vous êtes durement à coter d'la plaque..... Sans vouloir vous vexer. Thomas à six enfants. 2 fils et quatre filles . Et en plus ils sont tous à l'impasse. Eh woé !

Elle avait dit ça d'un ton fier, ravie de savoir un truc qu'il ignorait. Mais apparemment ce n'était la seule chose que les deux hommes ne savait pas. Ils ignoraient le nom de leurs protéger. William eut un sourire espiégle. Il le dit ou il le dit . Bon va tirer ça à la courte paille . Si Karly est méchante il le dit pas Si Karly est gentille il le dit . Hein ? Chercher pas logique by Slayers . Miss De-Mauvais-Poil lui envoie un regard noir. Bon ok . Il le dit pas .

Karly – « Hum… Même maison que Slayers et même année. Et Elle, elle s’appelle… Karly. »
William - Ou kaka pour les intimes
Mac – « Voilà, c’est Karly ! Je crois qu’elle ne fonctionne que par question/réponse. T’as de la chance Parker, nous… elle reste muette en nous narguant. »
Parker - Enchanter Karly. J'crois pas que c'est pas d'la chance mais plutôt le tact et le savoir féminin. Tu vois Mac qu'on sert a quelque chose mise à part faire la cuisine dit-elle par taquinerie. Moi c'est Parker Evans.
William - Et moi William Alex Slayers
Parker - Très drôle William. Alors les gars qu'est-ce qu'on fait ?

Montés sur le ring, les sorciers ressemblent à de vrais combattants. Même en se trouvant dans le même camp. Après tout, nous en avions la parfaite représentation sous les yeux. Le même camp. Surement les mêmes aspirations et le même caractère et pourtant… nous étions en présence d’un des plus grands remue-ménages de la ruelle Ste-Victoire comme l’indiquait le petit écriteau que Jimmy fixait depuis quelques secondes déjà. Le match féministe versus machiste semblait prendre fin aussi rapidement qu’il n’avait commencé.

Se rattrapant de justesse, Karly se rendit compte qu’elle était prête à empoigner Parker par les bras afin de la secouer pour en retirer les informations souhaitées et non véridiques. Après tout, elle s’en fichait bien que William retrouve de la famille ou non : mais il ne fallait pas qu’il y en est un second comme lui en tout point identique. Pourquoi ? Après tout, ce n’était pas les affaires de la brune s’il y en avait deux. Pourquoi réagir comme cela ? Surement l’habitude de Poudlard de tout tourner en dérision, notamment le jeune homme… Un jeu qui prenait place dans leurs habitudes respectives. Aucun des deux n’arrivait à s’en défaire malgré toute la bonne volonté qu’ils pouvaient y mettre.

Outch. Peut-être un peu trop cruelle sur le coup. Vous croyez ? A dire vrai, lorsqu’on est prit dans l’amertume d’une vie, la cruauté de la mort, la peine de la souffrance alors qu’un bout de votre joyeux passé refait surface, on a qu’une envie : détruire ce joyeux passage qui vous rappelle tous les autres, effacés et détruits à jamais. Cependant, Karly ne s’abaisserait jamais à pleurer devant quelqu’un : surtout pas William. Il ne s’agissait pas de la bête noire de la jeune fille. Non… il s’agissait seulement de la personne qui lui rappelait le plus Poudlard et ses derniers évènements. Son côté machisme n’aidant en rien. En réalité, si Karly avait toujours eu du mal avec lui c’était parce qu’il lui rappelait trop son frère Stephen. La même volonté de la voir se mettre derrière des fourneaux ou alors avec de la marmaille. Enfin, son « défunt » frère.

Quoi ? Elle rêvait là ? Se retournant furieusement vers l’imbécile heureux qui venait de lui dégotter un surnom idiot, Karly fut rattrapée par Jimmy qui avait une poigne plus forte que ne laissait imaginer sa personnalité. En sentant la main du Briseur de sortilèges se resserrait contre son bras, Karly s’arrêta, n’ayant même pas bougé d’un pas. Cela ne l’empêchait pas pour autant de fusiller du regard son compagnon d’école avant d’émettre un profond soupir.

Moment de réflexion. Ben oui, elle avait raison la jeune Evans : On faisait quoi maintenant ? Parce que se regarder dans le blanc des yeux sans rien faire, ce n’était pas vraiment de leurs ressors. Enfin, sauf si vous leurs amenaient un bon Whisky-Pur-Feu ou autre alcool fort qu’on sent glisser dans le gosier. D’ailleurs, Mac avait dû laisser son verre à moitié-plein car Karly avait commencé à détaler comme un lapin sans raison apparente. Or, nous savons tous que Mac peut être un parfait bourrin têtu comme une pierre noire recouverte de lave. A dire vrai, il était aussi gamin que William.

Karly resta incrédule sur le moment. L’incitait-il à boire ? Il était malade ou quoi ? En réalité, Mac cherchait plutôt à détendre tous ses boules de nerf qui venaient de se tisser entre toutes les personnes présentes. Le jeune homme n’en connaissait qu’une avec son passé : la boisson. Bien entendu, son but n’était pas de soûler complétement toutes les personnes présentes. Quoique, Jimminy était souvent amusant comme cela. Non, il voulait juste que toutes ses personnes abaissent leurs barrières au moins durant un cours instant. Mais il y a les formes et les manières…

[ j'ai essayer de faire avancer le rp de manière inattendue
j'espere que sa te va ]

William observa Karly avec un regard doux et attendrissant. Il était très rare de le voir ainsi et d'ailleurs en présence de Karly ça ne lui était jamais arrivé. Une lueur brillait dans son regard et le jeune homme qui portait une lourde et épaisse armure pour se protéger de tout sentiments semblaient avoir disparut. Il ne restait que lui en toute simplicité et sans tout les artifices dont il fessait preuve d'ordinaire pour cacher son manque de confiance en soit. Son regard plongeant dans celui de la brunette qu'il trouvait incroyablement belle tout à coup, comme si il l'as voyait pour la première fois ou différemment, il se pencha pour l'embrasser....

Attendez ! STOP ! Il se pencha pour l'embrasser ???? Pour l'embrasser ??? Attendez mais il y as un problème là :hein: ? Comment on en est venu a là :hein: ? Bin après que Parker soit aller chercher une bouteille de téquila et.... oh non non non . C'est pas possible Sa va pas le faire . Il manque un morceau de l"histoire là . Rembobiner le film il nous manque un épisode . Oh non . Merde alors . Le lecteur avait qu'a suivre . Mais mais mais . Bon ok j'vais faire un bref résumer. Mais c'est parce que c'est vous. Vous vous en étiez arreter ou ? A Parker qui demande qu'est-ce qu'ils font . Ah . Bon alors je reprend

Karly, Jimmy, William, Parker et pour finir Mac semblaient avoir plus où moins lâcher les hostilité. La bouteille de téquila qu'avait ramener Parker y était beaucoup. Bien sûr elle aurait put ramener n'importe qu'elle bouteille mais il avait fallu de la téquila : la boisson que William ne supporter pas. Deux trois verre et sa y était il était complètement bourré. Et Mister Un-Homme-Un-Vrai-Ne-Ressent-Rien bourré a tendance a se montré tel qu'il est réellement et a devenir quelqu'un de complètement différent....

William - En fait c'est marrant t'es pas moche ... dit-il avec un petit rire dut a l'alcool. Enfin j'veus dire....ya pire comme fille ze zui sur...zenfin jen sur j'ai est connu des tas et tas et... non c'est pas sa qu'je voulais dire enfin j'veus dire.... il avait pousser un soupir pour essayer de retrouver ses mots. Waw c'est super d'eséyé.... d'ezayer... d'essai... enfin de faire des mots avec des phrases quand on as bu mais j'suis sérieux j'pense ce que je dis mais si tu crois qu'jle pense pas c'est pas grave parce que z'le pense. En fait j'ai beau t'emmerder tout leeeee temps en fait je t'aime bien et tu est .... il avait dit tout celà en la regardant à peine. Et puis soudainement il leva le regard vers elle et se fut comme si tout l'alcool dans son sang avait disparut d'un seul coup. Assit a coté de Karly, d'un petit geste de la main il remet une meche de cheveux que la brunette avait devant les yeux avant de rajouter . En fait tu est très jolie....

Voilà vous savez tout . Maintenant reste a voir la réaction de Karly . Ah oui j'oublier. Parker est près de Mac en train de chanter des chanson paillarde en tenant la bouteille de téquila d'une main, et la fessant bouger au rythme de la chanson. Donc Voilà nos cinq compagnons sont sur l'herbe, assit et complètement bourré !

Joyeusement couché sur l’herbe, Jimmy semblait avoir bu un coup de trop. D’ailleurs, vu comme Mac avait galéré pour appeler son acolyte, il ne devait pas être dans un meilleur état. Heureusement que ce soir, ils n’étaient pas de service. Une petite pause de temps à autre… mais une pause sonore dans leurs cas. Ne voyant même plus assez droit, Jimmy avait tenté de se relever sans succès… pour finir par retomber sur l’herbe en poussant Parker et Mac. Et non, le Briseur de sortilèges ne tenait pas vraiment l’alcool au contraire de son ami. Quoique… Mac ne faisait pas le fier non plus. Mais lui était assis, un coude posé sur son genou lui servant d’appui-tête afin de ne pas sombrer dans le sommeil. A ses côtés, Parker semblait elle-aussi en tenir une sacrée couche. Tout comme les petiots assis un peu plus loin. En fait, ils étaient à leurs côtés au début mais il semblerait que le jeune Slayers ne supporte pas bien la téquila. Ce dernier, ayant voulu se lever pour on ne sait quelle raison, était parti en roulade le long de la légère pente. Morte de rire et bouteille en main, Karly avait dû reprendre son souffle avant de le rejoindre… en titubant sérieusement. Qui a dit que l’alcool était un mal ? Car il faut chasser le Mal par le Mal et la jeune fille ne semblait pas en meilleure forme qu’actuellement. Enfin… niveau mental surtout. Normal lorsqu’on ne pense plus à rien.

Dos contre la paroi d’une maison, Karly jouait avec le fond de la bouteille – sachant qu’il ne devait rester que quelques gouttes – avant de la lever pour battre la mesure des chansons paillardes des plus vieux. A ses côtés, William se remettait assis du mieux qu’il pouvait. C’est étrange de voir comme avec un peu d’alcool et de bons sens, certaines personnes peuvent finalement arriver à s’entendre. L’alcool avait le don de détendre les nerfs pour permettre une meilleure approche et communication. Sinon jamais vous n’auriez trouvé William et Karly si proches. Jamais. Qui aurait pu croire que les deux pouvaient s’entendre ne serait-ce qu’un fragment de seconde et rire ensemble ?

Mais qu’est-ce qu’il racontait le loustique ? Etait-ce le fait que Karly ait trop bu et donc que son cerveau fonctionne au ralenti ou alors elle ne comprenait rien à ce qu’il racontait ? Peut-être les deux. Surement les deux. Karly semblait le regardait avec des yeux de Doris. Non, non, elle ne perdait pas la mémoire… C’était juste qu’elle n’ait rien capté de ce que pouvait lui raconter le Gryffondor. Et le fait que lui non plus ne semblait pas savoir où aller ne l’aidait guère.

Gné ? Qu’est-ce qu’il venait de dire ? Les effluves d’alcool n’aidaient en rien Karly. Jolie ? Depuis quand Slayers lui disait des mots qui pouvaient être associés au vocabulaire de la gentillesse ? Enfin, surtout envers elle et avec une petite mine qui semblait être sincère. Aucune méchanceté. Aucune rivalité. Et pourtant, tous savaient les opinions qui divergeaient entre ses deux-là. William en parfait macho et Karly en défense des droits de la femme. Comment ca ceux-ci n’existent pas ? Mais bien entendu, cherchez un peu mieux et vous verrez. Mais en attendant, complètement à l’ouest, Karly observait le jeune homme se pencher vers elle sans réagir. Pourquoi ne réagissait-elle pas ? Car l’alcool qu’elle avait avalé empêché son cerveau de fonctionner correctement. Mais rassurez-vous… On ne fait pas deux fois la même erreur. Pas par le même procédé en plus. Quoique, la première fois n’était pas vraiment une erreur. Sur l’instant et plusieurs temps après mais plus aujourd’hui bien que tout était encore flou. Il était étrange que d’apercevoir un autre William devant elle. Il s’agissait des mêmes traits bien que ceux-ci se soient radoucis. Avant que l’inévitable ne se produise, Karly appliqua le peu de bon sens qui lui restait – en espérant qu’elle n’en ait pas besoin pour la suite – et leva la bouteille vide de tequila qui vint se placer sur les lèvres de William. Devant l’attitude et la réaction de ce dernier, la jeune fille ne pût faire autrement que d’exploser de rire. On aurait dit un poisson-lune qui venait de se gonfler et ses yeux se joindrent pour voir ce qu’il avait heurté. Bon d’accord, la comparaison n’était pas très plaisante mais la jeune fille était tellement hilare qu’elle couvrait pratiquement la chanson des piaillards.


Zplach !

Oh la douche ! Et pas qu’au sens figuré en plus, William et Karly avaient bels et bien reçus une douche. Trempés de la tête en pieds, nos deux lurons étaient dans un joli état. Apparemment, la sorcière qui habitait de la vieille maison en pierre avait fait apparaître un seau d’eau magique pour qu’il se déverse sur leurs têtes… mais c’était les aînés qui braillaient depuis tout à l’heure ! Ayant levé les mains devant elle quand l’eau froide l’avait touché, Karly avait nettement arrêté de rire… Regardant son état et celui de William, elle explosa de rire en redoublant d’intensité. L’eau lui avait rendu en quelque sorte ses esprits… mais l’alcool restait fortement imbibé. Il ne disparaitrait pas comme cela des veines de la jeune fille et donc sa lucidité était temporaire. Juste en éveil momentané.

Foutu hoquet… Mais comment on s’en débarrasse ?! Déjà que Karly avait du mal à tenir debout, parler et réfléchir… ah non, en fait, son cerveau était momentanément éteint. Ainsi, on pouvait dire qu’il était réduit à l’état de connerie ambulante, toutes plus gamines les unes que les autres. Ca promettait. Au loin, on pouvait entendre les rires sonores des membres de l’Ordre qui avaient assisté à l’arrosage gratuit de leurs deux protégés. Ah elle est belle la protection. Ca sentait la petite vengeance…

Bang ! Froid, lisse et très peu agréable. Voilà ce que William ressentit en posa ses lèvres sur.... hey . Mais ce n'était pas Karly ça. William rouvrit les yeux pour apercevoir la brunette rire au éclats tandis que sa bouche faisait un bisou a la bouteille de téquila. Ah bin bravo ! Celle-là c'était la première fois qu'on lui sortait tiens. Bon point positif elle l'avait pas baffer. C'était déjà bien. Mais il aurait quand même préféré qu'elle le repousse pas. D'autant plus que son sentiment était sincère. De vrai de vrai. Là sur le coup il était gâcher. Il allait lui dire ces quatre vérité quand .... Oh putain ! Qu'est-ce que s'était que ça encore ? De l'eau ! Un sceau d'eau qui venait de les trempé lui et Karly jusqu'à la moelle. Super :-__-: ! Comme si William avait besoin d'être refroidis d'avantage. Merci mais non merci. Il as tout ce qu'il lui faut . Là sur le coup il avait l'air d'un chien mouillé :-__-: .

Et Karly..... il éclata de rire. En fait Karly c'était pas mieux En fait ça lui faisait un peu un genre chatte en chaleur . Assez sympa dans le genre. Enfin faut aimer quoi. Et là en fait William a beau avoir de l'alcool dans le sang ça commence doucement à se dissiper. Heureusement d'ailleurs. Vous vous rendez pas compte. Il a faillit embrasser Karly. K-A-R-L-Y . La fille qui l'agace énormément Bon d'accord en fait il l'adore et il se ferait royalement chier sans elle mais quand même KARLY quoi . Oui oui sa va on as compris elle le fait gerber . Non il as pas dit ça Elle est plutot sex toutes trempé . Elle lui plait ? Bin . C'est l'alcool . C'est l'alcool hein ? Rassure le ? Oui ya des chances . Ouf !!! Bref elle le regarde et Miss a-De-Retros-Satanas a l'air aussi bourré que lui.

Karly - « Alors, William ‘hip machin Slayers. Mise à part que t’as un frère jumeau qui tombe du ciel ou me faire un compli’hip’ment – ce que, hip’, tu devrais faire plus souvent-, t’aurais rien ‘hip d’autre à me dire ? ‘Hip… Comme ce nouveau perso’hip’nnage qui sort de toi ? »
William- J'vois pas de'quoi tu veus... parler. J'suis qu'un gros Con sans servelle et qui penze qu'a ... lui et puis sdabort j'suis pas un mec sen timen tale qui reve de fon der une famille. J'suis quelqu'un d'Horrible qui faut fuhir... a tout prix et je ... je... je disait quoi en fait ? Parce que je veus pas que tu sache qu'en fait je t'aime bien parce que t'es pas gentille..... avec moi et que moi en fait je suis pas gentil avec les gens que... j'aime... bien. Je l'ai pas dit ça hein ? Dit-il en se malaxant la tempe.

Il avait terriblement mal à la tête, sa voix était faible et ses mots entrecoupé et entendant très bien l'éffort considérable qu'il deait faire pour dire quelque chose de plus ou moins cohérents. Ses yeux se ferme tous seul et son haleine sentait à planer la téquila. Plus loin, Will entendait les trois membre de l'ordre rire au éclats. Alors d'un seul il attrapa Karly par la main et se releva, manquant de tomber d'ailleurs avant de se dirigeait rapidement vers un petit muret. Là, tel un gosse il affichait un peu sourire amusé. Il sortit sa baguette et posa son index sur sa poche pour faire signe a Karly de se taire tandis qu'il lançait un aguamenti sur Mac.

Houlà ! Etait-ce Karly qui était trop saoule pour mélanger les mots de William ou… son discours était des plus étranges ? D’aussi loin que puisse remonter ses souvenirs, Karly ne se souvenait pas d’un William Slayers s’excusant, se confiant ou alors dénigrant sa propre personne. Et pourtant, c’était bien ce qu’il était en train de faire en présence de l’ex-Gryffondor. Ils n’avaient jamais été amis. C’est à croire que les deux ne le souhaitaient pas. Et pourtant, pourquoi riaient-ils en ce moment même, assis contre un mur, bouteille en main ? Ils s’entendaient comme chat et chien et s’emmerdaient clairement s’ils ne se cherchaient pas au moins cinq fois par semaine. Mais aucun des deux n’avouera avoir besoin de l’autre… Bien au contraire, ils clamaient haut et fort qu’ils étaient bien mieux si l’autre pouvait disparaître de leurs vies. C’est pourquoi Karly fut si surprise lorsqu’elle entendit les paroles emplies de sincérité et de vérité du jeune homme. Il venait d’annoncer tout haut ce que chacun pensait en son fort intérieur mais démentait à la première occasion. Silencieuse durant plusieurs minutes, les phrases s’entrechoquaient dans sa tête afin de restituer le début qui menait à la fin. L’alcool, c’est bien mais pour réfléchir : ce n’est pas l’idéal. Finalement, les mots commencèrent à se former dans sa tête et s’afficher pour lui permettre de faire une phrase.

N’ayant même pas le temps de finir sa phrase, Karly fut happée par William afin qu’elle se mette debout – ce qui n’était pas une mince affaire – et de partir se réfugier derrière un espèce de muret. Titubant et ne marchant qu’en zig-zag, la jeune fille tomba au sol plus qu’elle ne s’assit. De plus, sa tête se cogna contre le tas de pierre à force de tourner. Désormais, elle pouvait affirmer qu’elle voyait bien des petits oiseaux devant elle.

A ce moment précis, William lui indiqua de se taire. Mais, quel mouflet ! Elle s’était fait mal quand même. Les effets d’alcool augmentant la douleur et surtout le mal de crâne. Mais étrangement, Slayers semblait avoir un sourire plutôt enfantin et amusé sur les lèvres. Le regardant avec curiosité, elle suivit son opération des yeux.

En haut de la colline, Jimmy semblait plus rond que jamais. Ce dernier se retenait tant bien que mal contre l’épaule de Parker pour ne pas finir par tomber au sol, même s’il était assis. D’ailleurs, ses paroles étaient désormais incompréhensibles – bien qu’il tente de se faire comprendre de Parker - et son état du lendemain promettait d’être mémorable et très inconfortable pour ce dernier. A ses côtés, Mac riait à gorge déployé face à ses tentatives d’annoncer à Parker qu’elle était plus sympathique qu’elle ne le semblait avec ce regard fraternel qu’il cachait la plupart du temps. Afficher ses sentiments ? Jamais de la vie. Il l’avait tenté une fois avec son ancienne fiancée. Celle-ci était morte deux semaines plus tard. Tuée par des mangemorts. Une affaire personnelle et non liée à l’Ordre. Jimmy l’avait aidé à surmonter. Mac était celui qui avait toujours attiré les problèmes et semblait les aimer. Jimmy était le modérateur qui réglait tout à l’amiable. Ainsi, il était plus aisé de voir Mac soûl plutôt que Jimmy. Et pourtant, il semblait que se soit le briseur de sortilège qui n’est pas résisté à l’appel de la bouteille ce soir.

Se relevant du mieux qu’il pût, Mac avait sorti sa baguette par réflexe tout en la brandissant vers le bas de la petite colline, le seul endroit où se trouvait la route. Une attaque ? A l’Impasse, mais comment ? Aucune mauvaise âme ou mauvaise intention ne pouvait y entrer ? C’est alors qu’il se rendit compte qu’il était tout trempé. Seulement trempé. On ne l’avait pas touché avec un sortilège visant à le tuer ou le faire souffrir mais bel et bien un sortilège visant à faire apparaître de l’eau. Hum… Il avait l’air fin maintenant. Allongé dans l’herbe, Jimmy explosait de rire tout en essayant de ne pas s’étrangler. Parker devait être dans le même état. Dans les yeux de Mac, on pouvait voir un mélange d’amusement et de rage. Etrangement, William et Karly n’étaient plus là.

A ce moment précis, un chat avait grimpé sur le muret où se planquaient William et Karly et semblait être attiré par la présence des deux adolescents. Reniflant de loin les cheveux mouillés de William, il se mit à miauler comme pour réclamer des caresses. A ses côtés, Karly avait monté l’un de ses doigts à la lisère du mur de pierre afin de le faire bouger doucement pour obliger le chat à le suivre mais aussi pour jouer avec. Une vraie gosse en soi. Cependant, Mac n’était pas aussi stupide que semblait l’être un barbare à poing, comme on le surnommait souvent – car il aimait taper avec ses poings. Un sortilège de « chatouillis » frôla le doigt de la jeune fille. Avec les effets de l’alcool, il avait raté son coup. Le doigt était trop fin. Mais avec la surprise, Karly lâcha un petit cri en rentrant son doigt et le tenant comme s’il s’agissait d’une merveille du monde.

Pas trouillard pour deux sous, le félin n’hérissa ses poils en signe de protestation suite au sursaut qu’il eut à cause du sortilège. Cependant, ce dernier prit bien vite la poudre d’escampette. Avec une petite moue triste digne d’une enfant de trois ans lorsqu’on lui dit qu’elle n’aura pas de sucette, Karly regarda le félin s’en allait en laissant ses lèvres trembler. Elle était sur le point de le suivre mais un sortilège fusa à ce moment-là aux côtés du chat qui tournait à l’angle de la ruelle. Ni une, ni deux, elle finit par se reprendre et lança le même sortilège que William… mais en direction de Parker. En voyant le regard de William sur elle, - après tout, c’était Mac qui les attaquait en cet instant et non Parker - elle lui répondit avec toute l’aisance du monde comme s’il s’agissait d’une évidence.

Avec son plus beau sourire d’arnaqueur, Mac tendit sa main pour aider la jeune femme à se relever. Plus loin, des buissons faisaient parfaitement l’affaire pour une éventuelle cachette ou retraite.

THE END !