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 Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix".

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MessageSujet: Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix".   
Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix". EmptyMar 8 Juil - 1:35



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      }} Identité Générale >

        Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix". David_20
        BAAL, K. ELEAZAR.


    # Nom, Prénom :
    Il faut savoir que Baal est un démon. Un duc d'enfer, dont sa notoriété et sa puissance s'étend sur une bonne partie du monde souterrain. Il est dit comme étant le chef général des armés du peuple du dessous. Pour avoir ses services, il fallait sacrifier des victimes humaines pour obtenir de bonnes récoltes, et tout ce qui s'en suivait. Comme vous pouvez vous en douter, c'est un prénom qui lui sied comme un gant. Non, pas parce que Baal serait un être noir, mais... Ensuite, son deuxième nom, c'est Kobal. Ce prénom lui va également, car en Enfer, Kobal est le chef des comédiens. Et il faut dire que Baal... Niveau mise en scène, il est pas trop mal, non plus, dans son genre. C'est également, le directeur général des enfers. Enfin, Eleazar, c'est le nom d'une puissante famille de Babylonien. Une famille qui existe toujours, dans une population ancienne qui vit toujours. Seulement, il faut toujours savoir regarder au delà des apparences... Ce que beaucoup de gens ne font, véritablement pas. Eleazar... C'est une famille Princière de Babylone.

    A noter, qu'il se fait appeler Phoenix. Et pour justification, je ne citerais que cela : Grand marquis des enfers apparaissant sous la forme d'un phénix avec la voix d'un enfant ; avant de se montrer à l'exorciste, il rend des sons mélodieux. Il faut au contraire se boucher les oreilles quand on lui commande de prendre forme humaine ; il répond sur toutes les sciences, très bon poète. Après mille ans, il espère retourner au septième ordre des trônes.

    CE N'EST PAS UN DEMON !


    # Date de Naissance, Age :
    Il est né le vendredi 3 Avril 1970, lors du Sabbat, du moins, de l'un des sabbats. Il est né le même jour où le Christ est mort. On l'a toujours dit maudit. Du moins, dans la religion chrétienne. Il a 40 ans.
    # Profession :
    Alchimiste. Bien que ce soit plus qu'une simple profession, puisque c'est également son talent magique. Et d'un autre côté, cette fameuse malédiction qu'il lui aurait été aposé d'être né le jour de la mort de Jésus.
    # Etat Civil :
    Veuf.
    # Baguette Magique :
    Il n'en a pas. Sinon, celle de son père qu'il n'use pas.


      }} Creusons, Creusons... >

        Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix". David_18


    # Ascendance, Niveau des Richesses :
    Le Sang ? Il est babylonien. Ça devrait suffire comme justification. Ces richesses ? Est ce que vous connaissez l'empire babylonien ?
    # Origine Géographique :
    L'Empire Babylonien... Il s'étend sur toute la mésopotamie. Cependant, où est la grande cité... Les Moldus la disent enfouie. Baliverne. Elle est simplement cachée. Comme l'El Dorado. Croyez vous réellement que les sorciers n'ont pas pu repousser les assauts moldus et utilisés les mêmes préocédés que biens de civilisations pour caché leur vestige ? Un tel pouvoir entre des mains de moldus... C'est comme donner à une vache le pouvoir du cracher du feu.

    # Sa Famille :
    Monsieur ne se refuse rien. En même temps, il ne l'a pas tellement demandé. L'Empire Babylonien, bien que purement sorcier de nos jours, avec de temps à autres des moldus qui sont "appelés" à rejoindre la puissante cité sans même s'en rendre réellement compte. C'est un sang principalement pur, comme le disent les sorciers orientaux, mais il n'est pas rare de voir des moldus se greffaient aux diverses branches des générations. Généralement, c'est gouverné par le conseil des voyants. Cependant, la famille Eleazar n'est autre que la famille souveraine de la cité.

    Le père, le roi donc, s'appel Belial. On le surnomme toujours "B". Allez savoir pourquoi, cependant, c'est un monarque aimé tant par ses façons de faire tout aussi nébuleuse que celle d'un mangemort, mais qui possède une certaine grâce et des idées belles et musicales. Il aime son peuple, et il fait en sorte de le maintenir à flot, le protégeant de l'univers moldus qui les auraient submergé si la famille Eleazar n'avait pas reprit le flambeau des plus gros et puissants rois de Babylone. Sa femme se prénomme Malia. Elle est sa plus grande conseillère, du moins, de façon officieuse. C'est la plus grande musicienne de la cours, et elle ne vit que par la musique dont sa magie se focalise principalement dessus. Elle a donné trois enfants à Belial.

    Baal, l'aîné, qui est touché par la maudite marque de l'Alchimiste, bien que respecté. Gareth (Sephiroth), le second et cadet des deux garçons, qui, malgré ses airs de brutes, est un être particulièrement réfléchit, qui, malgré son petit côté téméraire, arrive à garder un sang froid à 95 % des situations qui lui font oppositions. Et la petite dernière s'appel Aerith. Elle ressemble énormément à la mère, et c'est également, la petite protégée. Elle est extrêmement timide, et n'ose ouvrir la bouche lorsqu'on lui oppose résistance. Belial lui a choisi un homme. Mais il ne se prononcera que lorsqu'il le faudra.

    Côté Baal, sa famille est décimée. A cause de la naissance de son fils. Son fils a tué sa mère lorsqu'elle a tenté de le mettre au monde, et ce dernier s'est étouffé dans le sang de sa mère. Cependant, son fils, Cloud vit. Oui, il vit. Mais Baal ne le considère pas comme son fils. Du moins, il n'y arrive pas. Il ne l'éduque pas et ne souhaite pas le voir. Cloud n'a jamais réellement compris pourquoi, ni même la présence du Phoenix sur son torse, car il sait que c'est la marque de son père. C'est Gareth qui l'éduque avec sa femme Assia. La femme de Baal s'appelait Ava. Curieux paradoxe. En donnant la vie, elle en est morte. Baal en fait des cauchemards lorsqu'il se couche sans être réellement fatigué.


    # Un Inventaire :
    Il possède une chevalière avec la gueule d'un chien grand ouvert. On dit, également, qu'il a un chien fantôme qui tournerait souvent autours de lui. Un chien d'un noir magnifique, mais qui dégagerait une chaleur sans pareil. Il possède encore l'alliance de sa femme, et il l'a attaché autours d'une chaînette qu'il porte autours du cou.


Dernière édition par Baal K. Eleazar le Lun 14 Juil - 12:23, édité 2 fois
 
MessageSujet: Re: Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix".   
Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix". EmptyJeu 10 Juil - 22:12



Invité
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Chapitre 1 : Naissance Maudite, mais voulue.

Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix". David_16

Heaven just isn't hot enough,
Burn me alive, inside,
Living my life's not hard enough,
Take everything away !



¤
¤¤



- Le Soleil se lève.
- Deux heures. Il y a un problème, ce n'est pas possible...
- Alazar n'entre pas ! Tu te ferais châtier, tu sais ce qu'en a dis Belial. Le premier qui rentre, je le tue. Ce n'est pas pour rien que je vous mets devant les portes. Fit Samut, en mimant parfaitement la voix de son souverain.
- Il doit y avoir un problème, tu ne crois pas... Et si il n'avait pas la marque maudite...
- Et en quoi naître Alchimiste serait une malédiction ?
- Toi, le mexicain, tu fermes ta gueule, on t'a pas... Argh !
- Je n'ai pas très bien entendu... Tu peux répéter ? demanda poliment Pedro, tandis qu'Alejandro le décollait doucement du sol. Les deux gitans avaient été convié par Belial, en personne. Ils étaient amis de longues dates, et de ce fait...
- Je te l'avais prévenu, Alazar... Tu ne cherches d'élever des corbeaux... Un jour, ils vont te crever les yeux.
- Voilà des paroles bien sages.

Pedro exprima quelques mots en Aztèque. Alejandro eut un sourire, et posa délicatement Alazar sur sa chaise. Ce dernier toussa doucement, se passant une main sur la gorge, tentant de reprendre son souffle. Pedro, qui était resté assi, tendit le cou pour regarder par delà la fenêtre.

- Le soleil commence à se lever à l'horizon...
- Vous croyez qu'on va être en retard ?
- Marguerita n'a jamais été en retard. Tout ce qui est prévu, elle le réalise à l'heure. Pas une minute d'avance, ni de retard. Répondit Alejandro, avec un ton de voix légèrement agacé par l'attente, probablement.
- D'accord.

On voyait très bien que le conseillé du Souverain Belial était carrément en état de stress. Alazar, par contre... Il semblait nerveux, et chiant. Pedro ne lui jetait aucun regard, préférant regarder par la fenêtre avec un petit sourire rêveur. Alejandro regarda doucement sa montre, et il murmura :

- Plus que deux minutes.
- C'est horrible...
- Quoi donc ?
- L'attente...

Pedro eut un léger sourire rassurant. Alejandro tapota doucement sa montre à gousset, puis, il la rangea doucement dans sa poche de chemise noir. Il se remit à faire les cents pas s'éloignant d'Alazar qui semblait reprendre une respiration plus calme. Pedro eut un petit rire, tandis qu'Alejandro se retournait pour faire un clin d'oeil à Sammut et Pedro.

- J'entends des cris de souffrance. C'est bientôt fini, je sens...
- En effet...

Pedro se leva doucement de sa chaise, tandis qu'Alejandro revenait doucement vers la porte. On entendit des cris, et un gros sanglot d'un bébé sortant tout juste du corps de sa mère. Quelques minutes après, la porte s'ouvrit doucement, l'on voyait Belial, un sourire affiché sur son visage, les yeux en pleure, qui passait doucement sa tête à travers l'ouverture de la porte.

- Mon fils... Mon premier fils... Il est là.

Tandis que Sammut s'essuyait le coin des yeux, les larmes coulant sur ses joues et qu'Alejandro lui tapotait l'épaule, Pedro prit son ami dans ses bras, avant de lui dire :

- Alors, ton règne est assuré.
- A chier, mon règne ! J'ai un fils, Pedro !
- On partage ta joie, mon ami.

Belial eut un sourire qui dévoila toutes ses dents blanches, puis, il se passa doucement ses mains sur son visage avant de se mettre à pleurer de joie. Il fit signe à ses amis d'entrer en compagnie d'Alazar et Sammut dont on avait presque l'impression qu'il était le père du fils aîné de Belial.



Let me enlighten you,
This is the way I pray !


¤
¤¤



Les bruits de percussion se faisaient entendre de part en part du palai. Belial tenait son fils, Baal, dans une sorte de robe d'or. Pedro, Alejandro suivaient derrière en compagnie de la Mama et de Sammut. Alazar était un peu plus en retrait. Doucement, ils arrivèrent sur le balcon de la voix ( comme il l'appelait ) qui lui permettrait d'annoncer la venue de son fils à toute la population de babylone, qui s'était rassemblé devant le palais pour l'évènement. Belial en pleurait de joie. Lorsque les rideaux furent tirés par Sammut qui rangeait doucement sa baguette magique, Pedro et Alejandro s'arrétèrent. La Mama leur prit les mains, puis, ils se retrouvrèrent en dehors du palai, pour voir de l'une des murailles du château. Belial s'avançait doucement, tandis que Sammut le suivait doucement. La Mama avait de nouveau disparut pour retourner auprès de Belial. Elle s'approchait en même temps que lui, son visage rempli de larmes. Visiblement, il ne s'en remettait pas. Puis d'un coup, tout le monde vit la Mama prendre son enfant de ses bras pour se diriger doucement sur la pointe du balecon qui fit disparaître les rebords. Elle se mit à parler normalement, bien qu'on l'entendait de part en part du royaume babylonien sous le couvert magique, bien entendu.

- Peuple de Babylone ! Puissante civilisation, laissez moi vous présenter le fils de votre souverain. Elle leva l'enfant à bout de ses bras, puis, elle ajouta, comme si elle incantait : BAAL, KELEN, BELIAL ELEAZAR !

Tout à coup, la population s'inclina, posant tous genoux à terre. Le soleil devint rouge, d'un beau rouge sang. D'épais nuages traversèrent le ciel, assombrissant la ville de Babylone, ne laissant que peu d'espace au soleil rouge et à ses rayons pour traverser leur épaisse consistance. Seul un rayon parvenait à effleurer le front de Baal qui se vit tout à coup léviter au dessus du sol. La Mama s'inclina, donc, tandis que Belial portait ses mains à la hauteur de ses lèvres.

- Mon fils...

Belial eut un sourire rêveur. Il était visiblement sur le cul de voir son fils être ainsi montrer. Il ne comprenait pas tellement ce qu'il se passait, mais le conseil des voyants lui avait dit... Attention, votre fils n'est pas n'importe quel enfant... Belial comprenait mieux. Puis, il contourna la mama, et tendit ses bras. Il attrapa Baal dans ses bras. Doucement, posant son premier regard dans les yeux de son fils, tout aussi noir que les siens, l'on vit la fierté d'un homme d'être le père de la plus belle créature du monde : Un enfant. Belial posa ses lèvres sur le front de son fils, et les nuages disparurent rapidement, tandis que le soleil reprenait peu à peu sa couleur normale. Baal, Kelen, Belial Eleazar venait de voir le jour, pour la premier fois de sa vie sous le regard fier de son père, Belial le IVème, Puissant souverain de Babylone.


Dernière édition par Baal K. Eleazar le Ven 11 Juil - 17:07, édité 1 fois
 
MessageSujet: Re: Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix".   
Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix". EmptyVen 11 Juil - 16:17



Invité
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Chapitre II : Un don maudit.

Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix". David_10

They give your life...
and in return you gave them hell,
As cold as ice,
I hope we live to tell the tale,
I hope we live to the tale.




- Seigneur Baal...

Aucune réponse. Seul, dans le noir de sa chambre, on entendait ledit seigneur pleurait les larmes de son corps. Il avait 21 ans. Son fils, sa femme... Ils étaient morts. Elle n'était pas parvenue à le mettre au monde. Baal venait de perdre son fils et sa femme. Le corps de son fils était sortit après qu'elle soit décédée. Un sal état... On les avait fait présentable. Baal en avait réclamé les corps. Belial ne savait pourquoi, mais il avait dit oui... Il ne s'était pas opposé au choix de son fils, alors que la Mama n'avait pu venir... Elle n'avait pu venir car à ce moment là, elle mettait au monde les deux jumeaux de Miguel, son fils. Baal tendait l'oreille, il savait que Sammut l'appelait, mais il ne voulait répondre. Qu'on le laisse seul... Il avait besoin de se noyer dans sa peine.

- Seigneur Baal... Votre père me fait vous dire que... Qu'ils sont prêts.

La porte s'ouvrit doucement. Le visage de Baal était changé, noir. Son crâne était rasé, et Sammut ne put s'empêcher d'avoir un mouvement de recul. Baal parla de sa voix roque. Dès qu'il ouvrait la bouche, il surprenait.

- Ils sont où ?
- Je... Euh... Ils sont au sous sol.
- D'accord. Dites à ce que l'on ne me dérange pas.

Baal contourna Sammut, et se mit en marche, les pas martelant le sol avec classe et distinction. Son air sombre et son physique donnaient une impression étrange qui appuyait fortement son air de tueur princier. Baal s'enfonçait dans les profondeurs du palaiS plus rapidement que si les chiens de l'enfer le poursuivait.

- Baal !?

Il ne se retourna pas. Il continua sa route. Son frère l'appelait, mais il s'en foutait. Il continuait, il ne voulait pas qu'on l'empêche de faire ce qu'il voulait, ce qu'il avait envie de faire. Ses mains semblaient être entouré d'un flux d'électricité statique. D'un coup, il s'arrêta, levant son regard d'une façon destructrice, et il ouvrit la porte où se trouvait les corps de sa femme et de son fils. Il referma la porte derrière lui, au moment même où Gareth approchait. D'un coup, il se coupa le pouce avec son doigt, laissant sortir son sang, et il s'agenouilla, traçant un cercle de transmutation, et il tapa dedans. Aussitôt, les murs avalèrent la porte, bloquant la porte d'entrée. Baal se retourna délicatement, s'approchant des corps recouvert d'un épais tissus.

Doucement, il tira les couvertures sur le corps de sa femme, et il se mit directement à pleurer. Il lui prit le visage dans ses mains, sentant la fraîcheur, le froid glacial du corps. Il déposa ses lèvres dessus, puis, il se tourna vers le corps de son fils... Cloud. Nuage. Ça lui allait si bien... Il sentit sa lèvre trembler, avant d'embrasser de nouveau le front de son fils. Puis, il se replia au centre de la pièce, poussant les lits des deux êtres qu'il aimait le plus. Baal alla saisir sur une étagère de la craie, et il se mit à tracer un pentacle sur le sol. Ensuite, il prit 5 grosses bougies qu'il plaça sur les sommets du pentacle avant de les allumer en passant doucement sa main sur chacune des tiges. Il alla prendre de la belladone, puis de l'essence de mandragore. Baal prit de la poudre de bicorne, puis une plume de phénix noir. Il posa le tout au milieu, déversant le tout dans un chaudron, où il fit un feu magique avec l'aide de ses mains et de l'alchimie, puis, il sortit du pentacle, et il leva les mains au dessus du pentacle, se mettant à incanter, à appeler les esprits de ses deux personnes qu'il aimait tellement.

Il entrait doucement en transe. Les mots venaient, son pouvoir le pénétrait puis jaillissait de lui, dansant dans la pièce, les plantes, la décoction se faisant. On entendait de temps à autres Gareth qui tapait à la porte qui était bloquée derrière la porte. D'un coup, il se stoppa. Elle apparaissait, son fils... Leur fils dans ses bras. Les bras de Baal lui tombèrent près de ses jambes, sa tête doucement inclinée vers la droite, pleurant doucement les larmes de son corps. Mana marchait doucement, un fin sourire sur ses lèvres. Baal leva doucement la main, effleurant délicatement la peau de sa femme qui souriait. Il ne la touchait pas réellement, mais il l'aimait tellement... Et cette amour était si partagée, qu'ils en avaient cette impression. Il ferma les yeux, serrant les dents. Il savait que c'était une illusion, qui était pourtant réelle, car leur âme étaient présentes. Il sortit doucement, un couteau de rituel de sa poche, puis, il se tailla la veine du bras gauche sans aucune retenue, afin de faire doucement le tour du pentacle, traçant avec son sang au sol, le cercle de transmutation à travers le pentacle. Puis, délicatement, il tendit ses deux mains qu'il posa l'une sur le front de son fils, et l'autre sur la joue de sa femme, et d'un coup, d'une brève pulsion, il usa de son don : L'alchimie.

¤
¤¤


- Grand frère... Fais pas ça !

Les coups sur la porte se faisaient moins répété. On entendait Gareth usait de la magie pour tenter d'exploser les murs, mais visiblement, Baal y avait mis tous les minéraux les plus costauds lors de sa transmutation. Il pleurait doucement, tandis que les âmes de son fils et de sa femme se réduisaient à l'état de boules lumineuses. C'était brûlant, il s'en brûlait la paume des mains, mais il continuait à les réduire sous cette état, il le fallait, il en avait besoin, il fallait leur redonner vie... D'un coup, il poussa un cri de douleur. Gareth lança un confrigo, mais rien à faire. Baal tomba à genoux, la douleur étant insupportable. Il en pleurait de douleur. Il se releva, il le fallait, il fallait qu'il continue. Doucement, il s'approcha des deux corps, puis, il posa l'âme de Mana sur son corps, avant de se retourner vers Cloud et de lui baiser le front, la douleur lui prenant toujours les deux mains. Il traça un cercle sur le torse de son fils avec sa main, puis, il concentra son pouvoir sur sa main qui tenait l'âme, la douleur se faisant moins intense. Il appliqua l'âme de son fils dessus, puis, il se mit à incanter tout en pleurant de douleur. L'âme entrait doucement, tout doucement, et la douleur était quasi intenable. Au niveau de son ventre, il sentit une violente douleur, comme si on lui arrachait un rein. Il hurla de douleur, posant son front sur le ventre de son fils, alors qu'il tombait à genou. Son cri de douleur furent suivi par les cris de son fils qui venait de prendre vie. Il pleurait, ses poumons étaient ouverts doucement. Peu à peu, il reprenait cette chaleur humaine. C'était comme si on lui retirait la dureté de son corps, la cyanose, et tout ce qui s'en suivait. C'était comme si il n'était jamais mort. Des lèvres de Baal, l'on voyait un long filet de sang. La sueur coulait abondamment, tandis qu'il appuyait avec sa main sur son ventre à la hauteur de son rein droit.

Baal releva doucement la tête, souriant, pour poser son regard fiévreux sur le corps de son fils qui pleurait tout ce qu'il savait. Il le prit doucement dans ses bras, avant de le serrer doucement contre lui, déposant ses lèvres sur son front, laissant un petit côté luisant de l'enchantement 'lespace de quelques instants. Au niveau de son corps, il y avait le phoenix de tatoué. La marque de Baal. Il le reposa doucement, avant de se retourner vers sa femme. Il murmura doucement :

- J'ai réussi... Maintenant, c'est à toi, mon amour... Mon ange... Je vais te redonner vie... Tu dois vivre...

Il lui embrassa le front, puis, il posa de nouveau sa main droite sur l'âme de sa femme qui était aposée entre les seins de cette dernière. La brûlure reparut directement. Il ferma les yeux, recommençant la chose. Le traçage du cercle de transmutation, tout.... Il refit tout. Mais au moment où cela devait marché, alors qu'il était au sol... il se mit à hurler, à hurler à hurler de douleur...


¤
¤¤



- Calme toi, s'il te plaît, Gareth !
- Il a hurlé comme si on l'égorgeait ! J'ai pas réussi... J'ai pas réussi à exploser cette stupide porte !

Il pleurait toutes les larmes de son corps. Alicante tentait de le rassurer, ne serait ce qu'un peu, mais il était pas particulièrement bon, dans ce domaine là. La Mama ne cessait de toucher le mur en plusieurs endroits sous le regard de Diego et de Belial, accompagné de Sammut et Joad. Aerith tenait la main de son souverain de père, pour ne pas dire le bras.

- Poussez vous. Vite.
- Qu'est ce que...
- Puissant roi, je vous en pris, écoutons là...
- Viens, Gareth...

Alicante tirait Gareth de toutes ses forces. Il fut bientôt rejoint par sa soeur ( la soeur de Gareth, donc, Aerith ) qui l'aida à soulever Gareth qui semblait abattu. La Mama sortit de sa poche une petite bourse, disposant quelques graines noirs dans les fissures qu'avaient faites Gareth, puis, elle murmura doucement quelques choses qu'Ali' comprit. Elle se recula, ferma les yeux, tendant ses paumes de main vers le mur. Elle incanta et termina en claquant des mains. Une explosion retentit, mais il fut comprimé par d'épaisses barrière magique. Aussitôt, Belial se jeta dans le brouillard, la Mama serrant doucement ses dents. Elle posa son regard sur Alicante qu'il lâchait brusquement Gareth, et elle lui dit :

- Je vais avoir besoin de toi. Il est salement amoché. Trop, même.
- Tant que ça ?
- Plus que tu ne le penses...
- Par tous les dieux du monde ! Mon fils !
- Oh putain... On entendit quelqu'un vomir, pour ne plus d'arrêter.

La Mama ferma doucement ses yeux, avant de s'avancer tout en sortant sa sacoche de l'une de ses poches. Alicante regarda Aerith, et ils se prirent la main pour y aller. La Mama serra les dents, puis, elle s'agenouilla. Alicante fit reculer le frère et le père de Baal, avant de lâcher Aerith. La Mama lui montra l'âme qu'il tenait encore fermement dans sa main qui se consumait à vue d'oeil. Il avait les yeux grands ouverts, mais le sang sortait de ses lèvres, de ses orbites aussi. Alicante ne put s'empêcher d'avoir un renvoie, mais il ne vomit pas. Il lui manquait un bon bout de sa jambe gauche.

- Belial, j'ai besoin d'eau, de chaleur, de tout ce qu'il fait un confort... Prépare moi la plus grande chambre que tu es, la meilleure que tu es et qui présenterait cela. Vite.

Belial était abattu, comme si c'était lui qui venait de mourir. Il ne répondit pas, il embrassa le front de Gareth, qui pleurait à chaude larmes. Aerith ne disait rien. Elle était à côté d'Alicante, agenouillée, tenant la main de son frère, celle qui était libre. Puis, elle retira l'âme de sa main droite sans se brûler. Aerith était réellement pure. Trop pure, trop innocente. Elle la posa doucement sur la chevalière que Baal avait à la main gauche, celle que Mana lui avait offerte. Devant la Mama qui avait les yeux écarquillés, mais également, Alicante, elle rentra l'âme dans l'objet, en murmurant un seul mot : Amen. Puis, la Mama commença les soins. Des herbes et des décoctions qu'elle avait dans son nécéssaire. Elle stoppait les hémorragies avec habileté. Alicante l'aidait dans ses tâches, faisant le maximum, jusqu'à ce que Sammut, qui était partit avec le souverain, revienne pour dire :

- Elle est prête.
- Gareth, j'ai besoin de ton aide, avec Alicante, vous allez prendre le corps de ton frère, et y aller par le chemin le plus court.
- Oui...
- Tenez ! Sammut sortit un crystal de sa poche, et il lui lança un enchantement du portoloin. Gareth et Alicante soulevèrent doucement le corps de Baal, puis, Sammut les fit transplaner.

- Ton frère est dans un sal état, Aerith.

Elle hocha de la tête, puis, elle ajouta :

- Il va vivre.
- Mais il sera aveugle.
- Je vais lui trouver des yeux à la hauteur de son sacrifice.
- Tu...
- Il est temps qu'il paye son châtiment. Il a trop tué, de toute façon... Ca ne sera rien.... Puis, il sera juste emprisonné jusqu'à la fin de sa vie...
- Echappé à la mort pour vivre enfermer de façon éternel... C'est sadique, Aerith.
- Il faut savoir payer quand on fait du mal. Dieu l'a dit.
- Je n'aimerais pas être à la place de ce... Son nom ?
- Cyrus Aigin.
- Ouille... C'est Vlad Nospheratov qui va faire la gueule.
- Le mal vient de là. Pourtant, il n'est pas le seul mal... C'est bizarre, hein ?
- Non. Il a qu'un mal. Mais il se montre sous différente forme, c'est ça la nuance. Tu viens avec moi, j'ai quelques petites choses à aller prendre pour finir de soigner ton frère.


¤
¤¤



- Je ne veux pas le perdre... J'y tiens énormément... C'est mon fils, Marguerita... Je t'en pris... Rends le moi comme il était...

La Mama le regarda droit dans les yeux, puis, elle les ferma doucement. Elle ajouta :

- Oui, je ferais ça. Mais il ne sera le même que physiquement. Psychologiquement, il sera changé. Il a vue les portes de la mort.
- Ca veut dire que...
- Ton fils vivra, mais changer. Bon, cessez de m'inpportuné, allez tous dehors. Alicante, Aerith, vous restez avec moi. Vous me servirez quand j'en aurais besoin. Les autres dehors. Elle ajouta, voyant que tout le monde avait les yeux rivés sur l'héritié. Maintenant, où je m'énerve.

Tout le monde sortit.
 
MessageSujet: Re: Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix".   
Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix". EmptyVen 11 Juil - 16:17



Invité
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¤
¤¤



- Ca va prendre la nuit. Mais sa jambe va repousser normalement. La Mama est parvenue à mélanger sans que cela ne s'annule plusieurs mixtures dont je ne me souviens jamais le nom qui vont lui permettre d'accélérer la création de cellules organiques, tout en lui apportant les nutriments dont elles ont besoin sans qu'il ne mange. Elle lui a fait boire du poussos également, ça va mieux aller, d'ici deux ou trois heures... Fit Alicante, en tentant de se rappeler de tout ce qui a été fait.
- Il a ouvert les yeux ?
- Non, vu qu'il n'en a plus. Mais, il a parlé. Il a demandé à ce que l'on achève.
- En tout cas, son fils a survécut.
- Comment ça ? Demanda Alicante en regardant Gareth, les yeux grands ouverts.
- Joad l'a prit alors que tout le monde partait, car ce dernier s'était endormi... J'avais raison. Son fils a survécut.
- C'est pas normal, si ?
- Ton frère semblerait avoir puiser dans ses réserves... Regarde, il a sacrifié ses yeux et sa jambe.
- Il lui manque un rein et ses organes internes sont dans un sale état... Il en a pour bien 6 mois de repos et de convalescence.
- Personne ne le dérangera.
- J'espère.
- Bon. Gareth, viens.

Les deux hommes partirent, puis Aerith regarda Alicante, et elle lui dit :

- Il lui faut des yeux.
- Oui, mais comment ?
- Il faut lui prendre.
- A qui ?
- A Cyrus.
- Tu veux que je m'en charge ?
- Oui. Je viens avec toi.

Alicante eut un sourire particulièrement sadique.
 
MessageSujet: Re: Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix".   
Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix". EmptyVen 11 Juil - 17:06



Invité
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Chapitre III : Un Chaos.

Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix". David_19

Looking at my own reflection,
When suddenly it changes,
Violently it changes,
There is no turning back now,
You've woken up the demon in me !




- Tu as besoin de moi, et de lui. J'ai besoin de toi et des tiens. C'est aussi simple que ça.
- Sans entente, rien ne peut fonctionner...
- Qui te dit que cela ne peut pas fonctionner ? La musique rapproche les moeurs, non ? Un sourire vint se loger sur les lèvres de Baal. Andreas, qui était derrière eut un petit sourire amusé.
- Anton... Il a raison.
- En même temps... D'un côté idéaologique, on est du même bord, Anton...
- Ce n'est pas tellement ça qu'il me gène, Derreck. C'est les motivations du jeune homme qui me bloque...
- Qu'elles ont elles ? demanda Baal, posant son regard améthyste dans celui d'Anton qui était tout aussi noir qu'un ciel sans lune.
- Donne les moi.
- Donne moi les tiennes.

Anton eut un sourire. Un sourire amusé, mais rien d'arrogant. Anton et Baal semblaient être fait pour s'entendre, cela se voyait, et ils s'en étaient tous deux rendu compte. Andreas ne put s'empêcher d'arborer son petit sourire coquin.

- Mon frère a besoin de moi. J'ai besoin de lui. C'est aussi simple que ça...
- Aleksandr Souvorov, hein ?
- Oui.
- On m'a dit : Tu es le donneur d'âme. Tu comprends ce que je veux dire ?
- Alchimiste ?
- Cool...
- Cool ! A quand l'apparition de merlin ?
- Pourquoi t'es... H.S ?
- Pourquoi t'es.... Petit ?

Andreas fusilla Derreck du regard. Baal et Anton se regardèrent puis, ils posèrent leur regard sur l'un des leur. Baal sur Andreas, et Anton sur Derreck. Zelig éclata de rire.

- Bon, bah, c'est réglé. Tu es là parce que la Mama l'a dit. N'est ce pas ?
- Perspicace... Mais c'est cela... Elle est au courant de beaucoup de chose... La Mama.
- Et si on allait se bourrer la gueule pour apprendre à se connaître ? Sourire sadique sur les lèvres de Derreck, allez comprendre pourquoi.
- Alors, on va chez Bilbo, parce que je veux boire de son diabolo vodka !

Baal posa son regard sur Zelig, un vague sourire sur ses lèvres. Anton eut un petit sourire en secouant la tête.


¤
¤¤



 
MessageSujet: Re: Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix".   
Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix". EmptyLun 14 Juil - 12:24



Invité
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    Fini. J'pense que ça suffit. Chui suffisamment blasé pour la continué. Parce que sinon, je tue le mystère de Baal !
    T_T
 
MessageSujet: Re: Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix".   
Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix". EmptyLun 14 Juil - 12:27



Invité
Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix". Empty
Valiiiiiiiiiiiiiiiiidééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééééé

hysterik

Je te dis pas que j'aime ce perso parce ke ce serait totalement faux (dans la mesure où aimer serait un euphémisme)
 
MessageSujet: Re: Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix".   
Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix". EmptyLun 14 Juil - 12:28



Invité
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    *Smiley youkiii*

    wub
 
MessageSujet: Re: Baak, Kobal Eleazaz dit : Le "Phoenix".   
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