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IKER, XAVI EÑAUT..CALLIE, JOY ELLE.

- Doucement, Xavi... Doucement, tu vas te faire mal !

Et vas y, qu'il en rajouta une couche. Le gamin devait avoir deux ans, et il faisait déjà tout ce qu'il voulait. N'ayant pas de mère, ce qu'Iker ne voulait pas puisqu'il n'avait aucune confiance dans le genre féminin, Xavi savait qu'il pouvait tout faire avec son père, du haut de ses deux ans. Particulièrement malicieux, et un regard particulièrement coquin, l'on voyait, par chance, les nombreux traits dont Xavi avait hérité de son père. Iker avait ce petit sourire nostalgique, mais charmeur, le gamin, lui, l'avait, mais en plus, on en était obligé de l'embrasser sur le front ou de lui donner ce qu'il voulait, et le pire, c'était qu'il en profitait. A deux ans, peut être le fait de n'avoir qu'un père, et une mère en guise de nounou qui en plus, ne cessait de lui stimuler la mémoire... Il ne pouvait qu'être particulièrement éveillé. Surtout qu'Iker voulait que son fils, malgré le fait qu'il doit se déplacer beaucoup, ait toujours une présence réconfortante près de lui. De toute façon, Callie n'allait pas tardée. Iker devait se rendre au ministère pour officialiser un permis de séjour où il vivrait en Angleterre, à cause de son club de Liverpool qui lui avait renouvelé son contrat, vous comprenez ? Donc, automatiquement, une longue liste d'obligations et de paperasse à remplir. Enfin, c'était comme de partout, il y avait toujours un revers de médaille.

- Xavi, pose ça ! Fit il, en levant la voix.

Aussitôt, Xavi tourna son petit regard tristounet ce qui eut pour effet de radoucir son père. Xavi eut un petit sourire avant de poser doucement les clés sur la table, afin de se joindre à lui doucement, escaladant du mieux qu'il put le canapé. Iker posa la télécommande à côté de lui, un sourire naissant sur ses lèvres, tandis que son fils s'asseyait à côté de lui, du mieux qu'il put. Iker passa un bras autours de ses épaules, tandis que Xavi aposait sa tête sur le torse de son père. Iker reposa son regard sur la télé, puis sur l'horloge. Callie était en retard, ce n'était pas vraiment normal. D'habitude, elle était directement là, voir même 5 à 10 minutes en avance où Iker buvait toujours un café avec elle pour parler un peu de tout et de n'importe quoi, mais principalement de Xavi. C'était une relation étrange que tous les deux avaient développé, mais l'on ne pouvait y faire autrement. Il reposa son regard sur la télé, puis de nouveau sur l'horloge, au bout de vingt minutes, il poussa doucement Xavi qui avait trouvé le sommeil, le mettant en appuie sur deux ou trois coussins. Il alla sur le balcon, refermant la vitre derrière lui, laissant l'air glacée lui fouettait le visage. Iker s'accouda à la rambarde, observant la ville de Londres dans son ensemble, jusqu'à ce que l'on entende quelqu'un sonnait à la porte. L'hispanique entra, mais Callie était déjà dans la maison. C'était un peu sa deuxième maison, il fallait dire. Elle avait un ecchymose au dessus de la joue, sur sa pomette droite. Iker s'en aperçut quelques secondes après l'avoir salué.

- Salut, Callie... Bah... Qu'est ce qui s'est passé ?
- Ohw... Je, c'est rien... Fit elle, se forçant à sourire. Iker durcit son regard, comme si il l'analysait. Elle détourna le visage, et il dit :
- Qui vous a frappé ?
- Non, non, ne vous inquiétez pas, je... Je suis tombée dans les escaliers... Et...
- ... Et vous n'avez qu'une seule blessure qui se situe aux visages ou vous avez d'autres eckymoses un peu partout sur votre corps à des endroits si particuliers qu'on penserait de suite que l'auteur n'est autre que votre maladresse ?
- Je... Mais... C'est arrivé d'une façon si inattendue, en faites... Elle se laissa tombé dans le fauteuil, celui qui faisait face à celui où le petit bout dormait doucement.
- Je... Attendez, j'arrive.

Iker se dirigea dans la cuisine, où il ouvrit le congélateur pour en sortir un bac de glace à la vanille avec un coulis de fraise. Il en mit une bonne dose dans un bol, y planta une cuillère, puis, il sortit de la cuisine pour revenir vers Callie, sortant doucement sa baguette de sa poche.

- Vous avez pas fait ça ? Demanda t elle, avec un sourire franc.
- De ?
- Bah, la glace !
- Euh...
- On va me prendre pour une femme moyenne ! La femme qui se réconforte sur un morceau de glace, etc... Je... Merci beaucoup, c'est gentil !Ajouta t elle, alors qu'elle prenait le bol de glace. En plus, c'est ma préférée ! Comment vous saviez ça ? Iker eut un sourire.
- C'est la glace que vous aviez choisi lorsque nous nous sommes rencontrés la première fois pour la garde de Xavi... Vous m'aviez dit cela.
- C'est gentil, merci !! Elle rougit doucement, avant de saisir la cuillère et de commencer à la manger. Iker reprit :
- Vous êtes sur que ça va ? Vous voulez que j'en parle à quelqu'un ?
- Non.. Non, c'est bon ! C'est... C'est juste la première fois... Elle détourna le regard de celui d'Iker qui haussa les sourcils d'un air voulant dire : Paie toi ma tête qu'on rigole 5 minutes.

Finalement, il se leva, prenant sur la table du salon, les papiers qu'il avait sortit pour les mener au Ministère, alors que le silence s'installait. Callie ne cessait de manger sa glace tout en regardant la télé tandis que le petit dormait, riant aux conneries que le singe balançait au lion. Iker eut un petit sourire, tout en mettant une veste noir au col rabattue, avant de sortir de l'appartement, un léger sourire sur ses lèvres, sans pour autant retirer ce petit air inquiet de son regard.

[...]

On entendit un craquement sinistre dans l'une des ruelles de l'Allée des embrumes. Il posa son regard à gauche et à droite de la ruelle, avant de sortir tranquillement, comme si de rien n'était, se mêlant aux quelques sorciers qui traversaient du long l'allée pour se rendre sur le chemin de traverse. Ses pas résonnaient sur le pavé, ses yeux donnaient une impression qu'il semblait sur un autre monde, et ses mains étaient fièrement mise dans ses poches, les protégeant du froid. L'hispanique ne pouvait s'empêcher de repenser au visage de Callie et de cette hématome qu'elle avait sur la joue, au niveau de la paumette... Il sortit doucement la main de sa poche, la mettant devant ses lèvres lorsqu'il se mit à tousser, avant de la remettre dans sa poche. C'est à ce moment là que son attention fut enfin capté parc quelque chose qui l'entourait. En faites, ce n'était pas tellement une chose, c'était Nora. Il eut un sourire amusé, remarquant que cette dernière ne l'avait pas capté. Elle semblait absorbée par tout ce qui l'entourait, y compris son café, sauf de là où elle mettait les pieds. Là, il eut un sourire. Une idée germa dans son esprit taquin. Alors qu'il se remettait en marche dans sa direction, il feigna genre qu'il ne la voyait pas pour lui rentrer dedans. Le café de la demoiselle se renversa complètement sur son pull, tandis qu'il se reculait d'une façon surprise, comme pour parfaire son rôle. Cette dernière releva doucement la tête et lorsque leur regard se croisèrent, il ne put s'empêcher de sourire. Un de ses sourires dont il avait le secret dont Nora était particulièrement folle ( tu m'as fait me bouger, je te rappel ! Fufu. )

- Iker ?
- Oui ? Fit il, en adoptant un ton sensuel, accompagné de son regard amusé.

Il ne pouvait s'en empêcher. Il était comme cela. D'autant plus qu'il avait tous les Holstein sur le cul, car ces derniers n'aimait pas franchement la famille qu'il se tapait. En même temps, est ce qu'il avait demandé d'être le petit fils de Pedro Almadovar ? Et donc, le cousin de Dakota ? Néanmoins, il en était fier. Il ne pouvait que l'être de toute façon. l'hispanique aperçut le sourire malicieux se dessinait sur les fines lèvres de Nora, et il ne put s'empêcher d'adopter un même genre de sourire. Ca faisait pas mal de temps qu'il ne s'était pas vu, et il fallait dire, qu'elle lui avait manqué la jeune demoiselle. Elle lui sauta dans les bras, et il l'enlaça dans les siens, avec une attitude protectrice. Ca faisait du bien de la revoir après tout ce temps. Il eut un petit sourire, lorsqu'elle se retira tandis qu'elle disait :

- Tu m’as beaucoup manqué…
- Toi aussi, Nora...

Iker lui déposa un baiser sur le front avant de se redresser doucement. Son regard noir était dans le bleu de ses yeux, et il ne put s'empêcher de sourire doucement, avant de baisser le regard vers les tâches qui ornaient les vêtements de Nora. D'un geste de la main, il les fit disparaître, avant de s'approcher de nouveau d'elle, et de passer un bras autours de son cou, avant de dire :

- Viens, on va boire quelque chose de chaud... Puis, j'ai un café à te remboursé.

Il lui fit un sourire qui voulait dire qu'elle ne pouvait refusé, que c'était lui qui invité. Ils se dirigèrent doucement vers l'un des cafés bien connus du chemin de traverse.

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IKER, XAVI EÑAUT.

- C'est normal, puisque tu m'aimes.

Iker éclata de rire avant de passer son bras autours de son cou. Toujours le même égo, c'est fou ça. Iker n'ajouta, cependant, rien. De toute façon, cela ne servirait pas à grand chose quoiqu'il dise, sinon, à brasser un peu d'air. Enfin, bon. Cela faisait quand même partit de Nora, ce petit côté qu'elle avait à se la jouer prétentieuse. Iker ne voulait pas le lui retirer, ça le faisait rire. Puis, il aurait été malvenu, comme il ne cessait de le penser lorsqu'il voyait des gens se la jouer, car Javis lui disait souvent qu'il avait des airs de Kéké boy. Il ne pouvait donc, pas critiquer quelqu'un si lui même possédait un tel défaut. L'hispanique et la suédoise se dirigèrent donc, vers le café le plus huppé du Chemin de Traverse jusqu'à ce que cette dernière fut prise d'une folle idée. En même temps, il était tout à fait compréhensible qu'elle est une idée dans le genre... La provoc'. Puis, Iker avait remarqué que la petite Holstein aimait bien marqué son territoire, chose qu'Iker n'avait jamais réellement compris et qu'il trouvait, souvent, un peu déplacé. Que voulez vous, hein ? C'est la culture latine, quoi. Elle inséra sa main dans la poche arrière du pantalon noir d'Iker qui ne put s'empêcher de plisser les yeux d'un air suspicieux, avant qu'elle ne se penche, ou plutôt qu'elle se mette sur la pointe des pieds pour lui caresser son oreille de ses lèvres, afin de lui dire :

- Prêtes toi au jeu avec moi, c'est funny.

Iker eut un petit rire, la laissant posé sa tête contre son torse tandis qu'il avançait d'une façon à peine m'as tu vu en direction du café. Et dire qu'il n'allait QUE prendre un café... Ca prenait des airs hollywoodiennes là. Ca n'allait pas à déplaire à Iker, mais bon, à la base, il n'allait que poser des papiers au ministère de la coopération magique internationale, quoi. Il eut un sourire, se laissant faire, pour voir comment elle allait créer son rôle, pour ensuite pouvoir mieux rentrer dans la peau de son personnage qu'il réfléchissait en regardant les actes de la miss Holstein. Tout ce qu'Iker pensa, c'est : on va rigolé. Continuant de marcher jusqu'à se positionner doucement devant la pancarte où il y avait ce que le café vendait, faisait et tout le bataclan. Elle tourna son regard vers lui, il leva doucement son regard sombre avec un sourire se dessinant sur les lèvres. Il ne lui fallut pas plus de quelques secondes pour comprendre qu'elle avait une idée derrière la tête. Remarquez... Elle en avait toujours une derrière la tête. Iker la suivit à l'intérieur de la boutique, joignant sa main à la sienne. Ils entrèrent pour, finalement, qu'elle le largue en plein milieu du café pour qu'il aille faire commande. C'était bien sa veine, le rôle du petit copain.

- Pour moi ce sera un café à la Yuki, et trois Muffin. J'ai pas eu le temps de déjeuner ce matin. Oh et puis prends moi aussi quelques fruits, et un verre de jus d'orange.
- Tu veux pas non plus que je te les manges tes muffins ?

En voulant dire, euh... Chui pas ton pigeon, tsé ? Un couple qui était à côté se mit à rire à la phrase d'Iker, tandis que ce dernier se mit à sourire doucement vers Nora, en lui ajoutant :

- Puis, Yuki ( d'ailleurs, qui c'est ? ) n'est pas une créatrice de café... Les japonais exportent, qu'est ce que tu me dis ?

Il secoua la tête, jouant le rôle du copain grognon, avant d'aller vers le comptoir pour attendre que la barman s'approche. Dans le café beaucoup de gens portaient leur regard sur Iker. Etant donné qu'il était un joueur assez connu dans les pays anglo saxon pour jouer à Liverpool, beaucoup le regardaient avec un certain intêret. Iker leva doucement son regard vers le haut du comptoir et il y vit une écharpe aux couleurs de Liverpool. Un mince sourire se dessina sur ses lèvres lorsque le serveur se tourna vers lui, le regard écarquillé et les lèvres entrouvertes. Bizarrement, il se sentit étrangement flatté. Il eut un petit sourire, tandis que le serveur se reprendait doucement.

- Bonjour, euh... Que voulez vous ?
- Salut... Euh... Un café noir, très noir avec des muffins et quelques fruits. Avec un chocolat chaud et... Euh... Un verre de jus d'orange et un autre avec de la pomme.
- Je vous fais ça.
- Chéri... Chéri ! Oui... Désolée de te coupé, mais j'oubliais le cendrier... Voila c'est tout.

Iker se retourna doucement, souriant vers Nora. Le barman tendit la main vers un cendrier, et l'hispanique secoua doucement la tête avec négation pour ajouter à Nora.

- Non, Chéri ! Pas avec moi... On ne fume pas en ma présence, tu le sais... Pour le Quidditch, tu comprends...

Il lui fit un sourire à la Mister Green, avec un regard amusé. Non, lui, il ne fumait pas, alors, elle ne fumerait pas.

- Je vous apporte ça, vous pouvez aller rejoindre votre... euh...
- Copine.

Termina Iker avec un sourire à l'encontre du serveur tout en se dirigeant tranquillement vers Nora où il s'asseya à côté d'elle, passant son bras gauche autours de ses épaules pour l'attirer contre lui. Un sourire malicieux avait trouvé sa place sur les lèvres du poursuiveur de liverpool.

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IKER, XAVI EÑAUT.
Besos - El Canto del Loco.

- Tu sais très bien que si tu es si vif sur le terrain, c'est parce que je le suis tout autant dans ton lit, mon amour... Et si je ne peux pas fumer, alors je ne ferais rien pendant un bon moment. C'est à toi de voir...

Donc... Elle le provoquait. Vous savez ce qu'il y a de plus rageant ? Une provocation inutile. Une provocation auquelle, l'on ne répond pas. Iker eut un petit sourire mutin, la laissant penser qu'il allait la laisser fumer de tout son soul. C'était vraiment peine perdu, et connaissant la détermination d'Iker, elle pouvait toujours s'y accrocher pour parvenir à lui faire lâcher le morceau, voir même lui faire admettre une idée. C'était Iker. Pas Javis, ou Dakota. Iker était aussi dur que le métal. Il fallait le vouloir pour parvenir à lui changer sa fa_on de voir les choses.

- En tout cas s'il est assez con pour refuser un corps pareil, moi j'le veux bien dans mon pieux.
- C'est qui le plus con ? Celui qui se laisse dominer pour du plaisir ? Ou celui qui montre de la ténacité ?

Iker avait posé son regard noir et brûlant avec une certaine animosité dans le regard de l'homme qui avait posé son regard sur la belle Nora. Il n'allait pas le frapper, ni quoique ce fut. Mais... Enfin, bon. Iker reposa doucement son regard noir de velour sur sa jolie personne pour ajouter :

- Amuse toi. Après tout, on a pas à caché qu'on est échangiste.

Son sourire s'illumina. L'un de ses sourires qui en faisait fondre plus d'une. Un silence s'était installé dans le café. Une des femmes qui regardait la scène, se plaqua une main sur le coeur après qu'elle est vue le sourire d'Iker. L'on entendit murmurer à sa copine qu'elle aurait adoré avoir un gars comme lui à la maison, tandis que sa copine se mit à pouffer de rire. Une lueur malicieuse éclaira le regard d'Iker.