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« I’m not affraid… I think so… » PV EmptyJeu 2 Avr - 2:47



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« I’m not affraid… I think so… »
Edward Clash & Lexie Blackson



    Elle a encore eut cette impression. Celle qu’il puisse être là… Qui ? Elle ne saurait le dire, mais cette drôle d’impression ne la quitta pas. Alors elle leva la tête de son verre, balayant la salle de son regard bleuté magnifique. Ses prunelles s’attardaient ici et là, mais sans jamais reconnaître personne. Pas plus qu’un homme ne puisse les faire rester plus de quelques secondes. Il n’y avait personne d’intéressant dans cette salle, et pourtant cette impression ne la quittait pas. Un mélange assez détonant de désir, de peur et de plaisir par anticipation. Mais pourquoi donc ressentait elle ces affres, sans pour autant savoir pourquoi ? Pourtant, aucune des personnes présentes ne méritait son attention. Enfin plutôt le croyait-elle, puisque sa vision n’englobait pas tous les recoins du bar dans laquelle elle était entrée. Se rendant finalement compte de son immobilité continue, elle se décida enfin à venir s’assoir à une table encore libre. Son regard errait toujours d’elle, à la recherche de ce qu’elle voulait trouver, mais sans grands résultats, elle devait se l’avouer. Finalement, elle cessa lorsqu’un serveur absolument magnifique vint à sa rencontre pour prendre sa commande. La belle Lexie eut aussitôt un regain d’intérêt pour cette soirée, en la personne de ce serveur. Un homme de basse condition, mais ça suffirait pour son plaisir immédiat. Un grand sourire vint éclairer son visage, qui se fit immédiatement aguicheur. Pourtant, elle sentait que quelque chose n’allait pas. Ce n’était pas comme d’habitude, il n’y avait pas cette flamme qui l’habitait en temps normal. Il y avait quelque chose de dérangeant, elle n’arrivait pas à oublier cette sensation qui l’habitait depuis qu’elle était entré dans le bar. Elle tourna la tête, comme pour croiser des yeux, ou un visage, mais encore une fois, rien n’était là… Elle secoua la tête brutalement, et demanda d’un ton sec un martini dry, comme à son habitude.

    Le type s’éloigna, comme vexé de son revirement d’attitude. Lexie quand à elle était un peu désorientée, mais surtout énervée contre elle-même. Jamais elle ne laissait un coup de cœur s’éloigner comme ça, et voilà qu’elle agissait comme une imbécile, juste parce qu’elle sentait une impression. Elle fit claquer sa langue subitement, faisant sursauter le type qui venait lui apporter sa boisson. Il la renversa d’ailleurs, sur elle. Elle se releva brusquement, en le foudroyant du regard. « Vous ne pouvez pas faire attention, espèce de face de troll ? » Toute sa bonne éducation fondait comme neige au soleil face à tant de maladresses. Elle n’avait jamais été réellement patiente, et là, c’était pire encore, puisqu’elle était dans une situation assez nerveuse, de part ses impressions de malheur. Elle jeta un regard acéré à l’homme, qui se répandait en excuses maladives. Après avoir finalement promis à ce malheureux qu’elle allait le faire renvoyer pour sa maladresse, grâce à ses relations, elle se dirigea vers les toilettes des femmes, pour essayer de limiter les dégâts sur sa magnifique robe de couleur bleu-clair. En entrant, elle fronça le nez légèrement, face à l’odeur désagréable qui se dégageait de ces lieux. Ne les lavaient-ils jamais ? Elle décida d’occulter le désordre olfactif que provoquaient ces odeurs, et finalement se dirigea vers un miroir. La large tâche qui s’étalait sur son ventre était visible, mais c’était transparent. L’avantage de prendre du martini pur. Si ça avait été un mélange du genre du bloody mary, ça aurait été un drame pour sa robe qui coûtait une petite fortune. Enfin bref, il lui sembla bientôt évident que la tâche serait bientôt invisible, et elle soupira de soulagement face à cette constatation. Elle remarqua bientôt la tête qu’elle avait, et on eut cru qu’elle venait de voir un fantôme tant elle était pâle, plus encore qu’à son habitude.

    Avoir ces impressions n’était pas très bon pour elle, puisqu’elle était dans une phase plutôt dark, et que ce n’était pas du genre de l’autre Lexie que de se taper des hommes. Donc le fait qu’elle puisse avoir l’impression… Bref, elle se passa un peu d’eau sur le visage, lorsqu’elle entendit la porte s’ouvrir soudainement, puis se refermer avec force. Un cliquetis se fit entendre… Elle n‘avait pourtant pas eut le souvenir qu’elle puisse se fermer, mais pourtant, il semblait qu’elle est été verrouillée. La belle blonde ne s’en inquiéta pas outre mesure, elle avait après tout sa baguette avec elle, et était très à l’aise avec. Elle releva la tête, et fut cependant surprise de voir un homme. Aussitôt, une pensée se forma… C’est lui… Alors un sourire vint s’apposer sur ses lèvres, tandis qu’elle laissa sa voix s’élever lentement : « Vous n’avez rien à faire ici… Ce sont les toilettes pour dames, et à moins que vous ne cachiez un secret, j’ai peur que vous ne vous soyez trompé de porte… » Sur ces paroles, elle se détourna de lui, sans pour autant quitter son sourire. Elle le voulait, elle le savait… Il était pourtant plus vieux qu’elle, c’était indéniable, mais terriblement excitant… Tout ce qu’elle espérait, c’était qu’il était bien venu pour elle… Mais derrière sa façade tranquille et assurée, Lexie se sentit brusquement mal à l’aise. Comme si c’était une relation qui n’était pas possible. Pourtant, on ne parlait ici que d’une relation charnelle, rien de plus, rien de moins. Mais quelque chose l’inquiétait chez cet homme à l’allure assez… effrayante, même pour elle. Aussi ne put elle s’empêcher un frisson, aussi involontaire que grisant. Elle avait décidément un problème ce soir. Tant de sentiments qui se chevauchait, sans qu’elle ne puisse en arrêter un seul… C’était frustrant dans un sens…


Dernière édition par Lexie A. Blackson le Sam 11 Avr - 14:52, édité 1 fois
 
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« I’m not affraid… I think so… » PV EmptyMer 8 Avr - 3:59



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« I think it's will be funny. »



    Edward Clash était un chasseur intelligent et sophistiqué. Il avait appris à rabattre le gibier à la façon des fauves les plus intelligents, et à être aussi patient qu'un tigre devant un buffle à l'affût du moindre mouvement. Avec ses années d'expérience, il se fondait dans la masse dans difficulté. Un simple chapeau et un petit sourire au coin des lèvres, et personne ne faisait attention à lui... hormis les femmes. Edward, au delà de ses prédispositions à la haine et au crime, avait toujours eu un charme fou et excitait les belles comme personne d'autre au monde. A croire qu'il descendait d'une vélane... non, sans doute pas. A cette idée, il grimaça. Sa mère n'avait jamais été qu'une salope. Elle était le symbole, l'exemple flagrant que les femmes, quelles qu'elles soient, n'étaient que des cuisses entrouvertes, un corps couronnant l'accès à un Eden perdu, l'éternel recommencement de la suprême damnation. Autrement dit, la femme était l'accès aux enfers, et ça, ça l'excitait. Ça l'excitait au point d'en perdre la raison et de devenir quelqu'un d'ignoble, d'affreux... de devenir Edward Clash, celui que tous connaissaient, que tous ici ignoraient pour ne pas finir en cendre. Et celle qui s'en doutait, un tant soit peu, était Lexie Blackson, la proie du soir. Le sourire s'élargit sur le visage du mangemort quand elle se tourna dans la salle, cherchant quelqu'un. D'un simple geste, Edward posa son chapeau sur la table et posa sa tête dans sa main, ses yeux posés sur le journal qu'il tenait entre les mains. C'était en devenant « comme tout le monde » qu'on avait le moins de chance d'être reconnu. Au bon moment, le serveur passa devant lui, attirant l'attention de la jeune femme avec lui. Ses yeux quittèrent « mein kampf » pour se planter sur la silhouette charmante de la nymphomane. Chez les mangemorts, on disait d'elle qu'elle avait le sang chaud, le corps bouillant... c'était sans doute vrai. Au regard languissant qu'elle jetait sur la salle, comme cherchant une seule proie qui pourrait lui convenir, Clash eut un sourire bien plus large encore, comme celui qu'aurait un fauve avant de bondir, si le fauve savait sourire. Du regard, le mangemort ne perdit pas une miette du spectacle. Le serveur sursautant, le verre filant sur la belle... c'était le bon moment. Il se leva quelques secondes avant elle, afin de ne pas être remarquer, et se mit de dos, afin qu'elle ne voit que sa nuque au cas où elle regarderait dans sa direction. Elle tourna les talons, persifflant encore, alors que le serveur s'était penché sur le sol, ramassant les morceaux de verre. Alors qu'il posait ses doigts sur un bout de verre, Edward Clash s'était arrêté au dessus de lui, son pieds marchant sur ses doigts, appuyant de tout son poids sur les phalanges du pauvre homme à qui il arracha un cri, rapidement coupé par son manque de souffle. Le mangemort s'était penché, au milieu de la foule qui bavardait encore, et avait attrapé le serveur à la gorge, alors que personne ne regardait. Il pencha doucement la tête, son regard se faisant plus acéré, son sourire moins fin, plus carnassier, dévoilant deux canines.

    « Tu sais qui je suis, pas vrai? »
    « C-C-Clash... »
    « Bien... alors, écoutes moi bien. Demain, je ne veux pas te voir dans ce bar, pigé? Et si tu cris, je t'arraches la langue et je te l'enfonces dans la gorge... »
    « O-oui... »
    « Merci bien, gamin. Tu viens de gagner une deuxième chance dans la vie... Au faite. Tant qu'on y est, change de boulot. Tu mérites mieux que cette merde, alors reconvertit toi. Fais des études, bordel de dieu... si tu en fais pas, je te jure que je vais t'exploser la tête, d'accord? »
    « O-oui monsieur C-clash...... »

    Un sourire aux lèvres, Edward se redressa, et reprit sa marche vers les toilettes des femmes. Derrière lui, le serveur regardait ses phalanges où le verre était rentré, déchirant sa chair, la mettant à nue, parfois jusqu'à l'os. Le mangemort bouscula une femme qui allait pour entrer et cette dernière, allant pour protester, s'arrêta en voyant le regard de l'américain. Elle étouffa une plainte alors qu'elle reculait, visiblement terrifiée. Elle avait tellement peur qu'elle ne parlerait pas avant demain. Edward hocha la tête et poussa la porte, la baguette nichée dans la paume de sa main. Il referma la porte d'un mouvement lent. Lexie était alors dans son dos. L'informulé ferma à clef la porte. Personne ne pourra l'ouvrir.... tant mieux. Il se retourna et la regarda. Elle était plus jolie qu'on le lui avait dit. Il aimait ce teint pâle, presque fantasmagorique. Cela ressemblait vaguement à un cadavre... il eut un sourire plus large. Il aimait ce silence, qui ressemblait à celui des cimetières... et ce cadavre, devant lui, ce fantôme, si silencieux, si beau... oui. Il banderait pour la mort.

    « Vous n’avez rien à faire ici… Ce sont les toilettes pour dames, et à moins que vous ne cachiez un secret, j’ai peur que vous ne vous soyez trompé de porte… »

    Il eut un rire. Blackson faisait de l'humour. Edward Clash avait tous les droits, où qu'il se trouve, à n'importe quelle heure. Il avait envie de manger à trois heures du matin? Il mangeait, ou alors, il faisait explosé. C'était quitte, ou double. Il eut un sourire carnassier, sans une seule parole. Cette femme sentait comme toutes les autres : le sucré, le chaud, l'envie et la peur. Les deux derniers parfums étaient caractéristiques. Appuyé contre la porte, Edward pencha la tête, l'air amusé par la situation. C'était les premiers préliminaires, celui du chasseur qui, encore en l'air, sait que ses griffes vont parfaitement s'accrocher aux chairs de la proie, et que ses crocs ne vont pas tarder à immobiliser le gibier. C'est l'instant juste avant la mort horriblement délicieuse de la chasse qui laisse place au plaisir.

    « Lexie Blackson, n'est-ce pas? On m'a dit que je te trouverais ici, que c'était ton terrain de jeu... » Il eut un sourire plus large encore. « Et je dois avouer que j'adore jouer avec les demoiselles. »

    La phrase était pleine de sous entendus : il adorait ça.

 
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« I’m not affraid… I think so… » PV EmptySam 11 Avr - 2:36



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    Ce rire, il lui fit froid dans le dos. Il n’était pourtant pas réellement effrayant, ni même déstabilisant, mais il avait quelque chose de faux. Comme si ce qu’elle avait dit n’était pas vraiment drôle, mais qu’elle l’était, pour une quelconque raison. Lexie ne put donc refréner un léger frisson, qui se répercuta dans tout son corps, sans qu’elle ne puisse rien y faire. Elle ne regarda pas dans sa direction, préférant reprendre un peu contenance d’abord. Il y avait quelque chose chez lui qui la dérangeait, et elle avait la mauvaise impression que si elle se montrait un peu trop faible face à lui, elle serait perdue. Alors elle se composa un masque amusé, son sourire ne l’ayant pas quitté, malgré son frisson. Elle coula un léger regard vers lui, ne loupant pas son sourire. Elle l’aurait reconnu entre mille ce type de sourire. C’était celui du chasseur. Il chassait, et avait trouvé sa proie, elle. Lexie se sentit brusquement excitée par la situation, plus encore lorsque sa mémoire lui fit reconnaître l’homme. Elle l’avait déjà vu, c’était un Mangemort, elle l’aurait certifié. Edward Clash. On lui avait déjà parlé de lui à plusieurs reprises, et sa réputation était plutôt… désagréable pour les autres. Mais cette Lexie là aimait le risque, plus que tout au monde, et un homme de cette envergure ne pourrait être qu’un défi dont elle pourrait par la suite se vanter. Enfin, c’était ce qu’elle croyait dur comme fer, ses inquiétudes ne faisant plus partie d’elle à ce moment là. « Lexie Blackson, n'est-ce pas? On m'a dit que je te trouverais ici, que c'était ton terrain de jeu... Et je dois avouer que j'adore jouer avec les demoiselles. »

    Elle frissonna de nouveau, mais pas de peur, plus d’une excitation refoulée. Il la connaissait, on lui avait parlé d’elle. C’était assez étonnant, mais en même temps assez agréable. Etre reconnue pour ce qu’elle faisait de ses soirées, voilà qui était assez grisant, et d’autant plus excitant. Parce qu’elle ignorait ce qu’il voulait réellement. De son côté, c’était clair, elle était prête à lui offrir son corps, quoiqu’il se passe. Son regard l’avait conforté dans une chose, Clash était un homme attirant, et se perdre dans ses bras, pourquoi pas. Mais il ne fallait pas qu’elle oublie qui était cet homme. Si tant est qu’il fût bien celui qu’elle croyait. Après tout, Lexie pouvait bien se tromper sur son identité, même si c’était peu probable. Enfin, finalement, la jeune femme ramena son regard sur le miroir, et sourit en constatant que sa tâche n’était presque plus visible. Finalement, elle hésita sur la conduite à tenir. Elle ne pourrait pas continuer à l’ignorer comme ça très longtemps, alors décida t’elle d’ouvrir le robinet et de passer ses mains sous le jet d’eau froide. Cela calma un peu son excitation, tandis qu’elle éteignait le robinet, et se tournait vers l’homme :

    « Et à quelle sorte de jeu jouez vous monsieur… ? »

    Certes, elle connaissait certainement son nom, mais elle se refusait à alimenter son égo, alors elle faisait mine de ne pas le reconnaître, tandis qu’elle se retourna, pour attrapa une serviette pour ses mains, encore mouillées. Encore une fois, elle ignorait quelle conduite adopter. Ce n’était pas un homme que tous ses partenaires de jeux, et elle ne pouvait agir comme à son habitude, c’était une certitude. Finalement, elle se composa un nouveau sourire, mutin, avant de demander d’une voix suave :

    « Et bien ? Comptez-vous rester planté là, ou alors… »

    Elle laissa volontairement sa phrase en suspens. Elle voulait qu’il ait le loisir d’imaginer ce qu’il avait envie. Pourtant, elle ne voulait pas attendre qu’il prenne les initiatives. Elle était impatiente, et là plus que jamais. Comment cet homme pouvait il être aussi effrayant, et en même temps aussi attirant ? Parce que là était toute la question. Elle avait peur, mais était aussi incroyablement excitée rien que par sa présence. Finalement, elle décida de s’approcher un peu, et fit quelques pas en sa direction. Sa démarche était fluide, aguichante, et incroyablement sophistiquée, elle voulait l’impressionner un peu par sa prestance, même si elle n’était pas certaine d’y arriver. Elle s’arrêta finalement à quelques centimètres de lui. Il lui suffirait de tendre le bras pour le toucher, mais elle hésitait à le faire. A cette distance, elle du relever les yeux quelque peu, pour pouvoir croiser son regard. Un nouveau frisson s’empara d’elle, décidément, elle y était abonnée en cette soirée. Inconsciemment, elle se passa la langue sur ses lèvres, en un geste aguichant, et pourtant, elle ne l’avait pas prémédité. Elle avait voulu simplement se donner un peu contenance, sans se soucier de ce que son geste pourrait provoquer chez l’homme. En parlant de lui, elle ne put détacher son regard de lui, comme s’il l’attirait indubitablement. Ce qui était certainement le cas…


Dernière édition par Lexie A. Blackson le Sam 11 Avr - 14:51, édité 6 fois
 
MessageSujet: Re: « I’m not affraid… I think so… » PV   
« I’m not affraid… I think so… » PV EmptySam 11 Avr - 7:40



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    Ce fantôme aux airs de cadavre lui donnait plus envie que les jeunes filles, de quatorze ; seize ans, qui attendaient de l'autre côté de la rue, les seins à l'air, les lèvres trop grosses et la peau trop bronzée. Son regard détaillait lentement chaque mouvement, chaque courbe. Avait il pu passé à côté d'elle sans la remarquer? Il ne pensait pas. Mais il ne se rappelait pas de l'avoir déjà souiller... pas une seule fois. Elle ne se tourna pas pour parler, et il eut un petit rire en entendant la question. C'était évident, petite idiote.

    « Et à quelle sorte de jeu jouez vous monsieur… ? »
    « Aux même que toi. »

    Le sourire d'Edward n'affichait rien de bon. Large, dévoilant deux canines impressionnantes pour un être humain, Clash était à la fois beau et effrayant. C'était un mélange, un paradoxe. Son visage carré lui donnait un air viril, mais son sourire transformé aussitôt cette ravissante frimousse en une tête de tueur psychopathe. Seulement, en plus d'être doublé d'un psychopathe, Edward était un homme rusé et intelligent, qui avait su, avec le temps, comprendre tout le jeu féminin, du jeu d'amatrice à la mascarade italienne. A ce moment là, Lexie ressemblait vaguement à une colombine, perdue entre deux penchants de sa personnalité. L'odeur de la peau coulait de tous les pores de sa peau. L'odeur d'excitation parfumait son être et son regard en disait plus que ses paroles n'avouaient. Il s'appuya un peu plus contre la porte, bien décidé à ne pas bouger d'ici tant qu'il n'aurait pas ce qu'il désirait le plus.

    « Et bien ? Comptez-vous rester planté là, ou alors… »

    Edward eut un petit rire et son sourire s'affina, montant sur la gauche de son visage, son regard se faisait plus perçant, plus vicieux, plus pervers. Son être tout entier n'aspirait qu'à la prendre, là, tout de suite, maintenant. Attraper ses cuisses, la soulever, la poser, le profaner, comme un être sans coeur. Il n'avait pas de coeur : les aurors le savaient. Fallait il encore qu'elle, elle le sache. Il laissa glissa ses mains sur sa ceinture, sans pour autant accorder un seul regard à autre chose qu'au regard de Blackson. Ses pupilles noires s'allumèrent d'une lueur cruelle et significative. Du bout des lèvres, il souffla, à elle et à elle seule, comme si quelqu'un d'autre aurait pu l'entendre :

    « Ou alors... quoi? »

    Sa démarche n'en était que plus alléchante. Edward leva le menton, feignant un air hautain pour loucher un peu sur les cuisses interminables de la blonde. Elle sentait bon, d'ici, sans même qu'elle ne soit vraiment proche. Elle frissonna, alors que l'esprit d'Edward s'imaginait bien la briser durant l'acte, ou peu après. Il lui suffirait de la tordre un peu, ou au contraire de se satisfaire contre la porte. Son œil suivit le mouvement suave de sa langue sur ses lèvres, et Edward appuya quelque peu sa canine droite sur sa lèvre inférieure, mimant lui aussi, inconsciemment, bien que, son désir de la posséder. Il le voulait : il ne désirait que ça. Son bras se tendit et attrapa sans douceur le visage de la blonde, le rapprochant violemment de lui, au point de coller leur deux corps. Elle devait tenir sur la pointe des pieds et lui se courbé avant que leur deux visages soient à la même hauteur. Il eut un rire grave et ne mit qu'un seul coup de langue sur la lèvre inférieure de la jeune fille, comme pour la goûter. Elle sentait bon, et son goût sucré était typiquement féminin. Il la regarda et la relâcha, ses yeux détaillant son corps, comme pour remarquer le moindre détail qui aurait pu le faire reculer, mais rien. Elle était parfaite : petit gabarit, fine, élancée, généreuse. Autrement dit, parfaite pour ce qu'il venait faire ici. Il laissa sa main sur la joue de la jeune fille, avec plus de tendresse, et ses pupilles se rétractèrent violemment, comme si une idée lumineuse venait de lui traverser l'esprit. Son sourire s'étira un peu plus, lui donnant l'air d'un mauvais héros.

    « Je te préviens avant, Blackson, je n'arrêterais pas, même si tu pleures et crie. Personne ne t'entendra. Persone ne viendra te sauver.. et ne crois pas que j'aurais pitié au point de te laisser partir avant d'être satisfait. »

    Il plissa le nez, et ses yeux fixèrent sa bouche, ses lèvres pulpeuses, la courbe de son vissage. Il laissa glisser ses doigts dans sa ceinture sans pour autant la défaire et d'un ton arrogant, comme un ordre, il prononça deux mots qui se voulaient à la fois menaçants et sensuels.

    « A genoux. »

    Un seul ordre qui aurait fait, par habitude, pleurer les petites pucelles du bar d'en face ou de la boîte de nuit Luxor. Elle, elle ne pleurerait pas. Mais à la première négation, sa tête irait cogner dans les vitres au dessus des lavabos, qu'elle le veuille ou non.

    c'est court ;__; désolée!

 
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Court ? Mais non c’est parfait !! ‘-‘
Hum, sinon je préfère mettre un ratio, on sait jamais NC-17, scènes potentiellement choquantes.



    « Aux mêmes que toi. » Elle le savait. Cet homme n’était rien d’autre qu’un chasseur, tout comme elle pouvait l’être souvent. Il la voulait elle, elle pourrait l’assurer, et cela la ravissait au fond d’elle. Bien entendu, elle ne savait pas ce qui l’attendait avec un homme de sa trempe, mais en fait, quelle importance. Elle pouvait avoir peur, elle pouvait regretter, ça ne changerait rien maintenant. Elle était certaine d’être à sa merci, et étrangement, cela ne lui déplaisait pas. Se soumettre à un homme tel que lui, n’était rien de moins qu’un nouveau défi, quelque chose d’innovant pour elle. Ne quittant pas son regard, Lexie put admirer les changements qui s’y opérèrent. Ce qu’elle y vit n’était pas tout à fait rassurant, mais de toute façon, elle savait qu’elle finirait entre les bras de cet homme, quoiqu’il se passe et qu’elle ait peur ou non n’y changerait rien. Elle n’était pas réellement fataliste, mais plutôt réaliste. La seule solution qu’elle puisse avoir pour se sortir de là sans soucis, serait l’utilisation d’un démon, mais elle n’avait rien sous la main pour en invoquer un… Bref, elle serait obligée de rester avec lui, et à vrai dire, ce n’était pas vraiment une torture, enfin, pour l’instant… « Ou alors... quoi? »… Elle aimait sa voix, c’était une invitation à se perdre dans ses bras. Plus aucune hésitation, elle se jetterait corps et âmes dans cette relation unique, même si elle devrait certainement se perdre pour ça… Ne le quittant pas des yeux, elle avisa le mouvement de sa lèvre. Son corps se tendit soudain, extrêmement attiré par ce simple mouvement. Ce type était vraiment une tentation à lui tout seul, malgré sa façon d’être.

    Aussi ne fit-elle aucun geste lorsqu’elle se sentit happée par la force de l’homme. Pourtant, il n’y avait aucune douceur dans son geste, et elle aurait put s’en offusquer. Mais en plus d’être certaine que ça ne servirait à rien, elle n’en avait pas envie. Un peu de violence dans une relation, voilà peut être ce qui lui manquait actuellement. Son corps tout contre le sien, ce fût comme une explosion de sensations. Pourtant, ils étaient tous les deux habillés, et ce n’était pas la position la plus érotique qui soit. Mais c’était sensuel, rien de moins. Son geste suivant fût déconcertant, et elle ne put empêcher son regard de devenir étonné. Rien qu’avec ce coup de langue, il avait réussi à la frustrer. Cette langue, elle la voulait, mais pas de cette façon. Elle ne pût s’empêcher de détacher son regard du sien, alors qu’il la lâchait. Ses yeux bleus se posèrent ses lèvres tentatrices de l’homme, et elle se retint difficilement de se jeter sur lui, pour le soumettre lui aussi à un examen. C’était définitif, elle voulait de lui, qu’importait les conséquences. Le geste tendre qu’il eut ensuite la surprenait plus encore que son coup de langue. Elle ne pensait pourtant pas qu’il puisse être capable de douceur. Mais c’était agréable, et elle remonta son regard sur ses yeux. Juste à temps pour surprendre son mouvement de pupille. Elle aurait du s’inquiéter, mais elle n’en fit rien, attendant tranquillement ce qui pourrait se passer ensuite. Et puis son sourire… Décidément, ce n’était pas rassurant, mais peut importait.

    « Je te préviens avant, Blackson, je n'arrêterais pas, même si tu pleures et crie. Personne ne t'entendra. Personne ne viendra te sauver.. et ne crois pas que j'aurais pitié au point de te laisser partir avant d'être satisfait. »
    « Ne prenez vous donc votre pied qu’en terrorisant vos compagnes ? Dommage pour vous, si j’ai peur de vous, mon désir est encore plus grand… Je ne ferais rien de ce que vous venez de dire, soyez en sûr… »

    Elle persistait à le vouvoyer, pas par marque de respect, mais plus pour montrer sa parfaite éducation, même si ça n’était pas vraiment utile à ce moment là. Etrangement, elle avait été parfaitement honnête dans ses dires. Elle avait peur de lui, mais pas suffisamment pour que cela prenne le pas sur ses réactions. Mais tout de même, elle se demandait intérieurement ce qui pouvait l’attendre pour qu’il fasse de tels avertissements. Sa gorge devint brusquement sèche, mais elle ne montrerait pas le malaise qu’il avait fait naître en elle. Elle préféra se concentrer sur ses lèvres, et comme elle s’en doutait, son désir revint, bien plus fort que la peur. Aussi fit elle naître un sourire aguicheur sur ses lèvres, quand deux mots, implacable se firent entendre… Pendant une seconde, elle hésita à lui désobéir, à ne rien en faire avant qu’il ne le demande plus… disons gentiment. Pourtant, comme si elle avait été sous l’emprise d’un Imperio, elle fléchit doucement les jambes, jusqu’à ce que ses genoux heurtent sans bruit le sol carrelé des toilettes. Là, elle leva un regard déterminé, quoique un peu interrogatif vers Clash, et elle décida de prendre des initiatives.

    Si jamais ça ne lui plaisait pas, et bien qu’il la frappe, peu importait. Elle était de toute façon partie pour une relation de ce genre. Sans quitter des yeux son amant d’un soir, elle attrapa sa main, celle qui se promenait sur la ceinture, et la déposa sur son épaule à elle. Elle n’avait pas besoin de sa main pour savoir quoi faire, alors avec des gestes habiles, elle défit la boucle de la ceinture, sans pour autant aller pour loin présentement. Elle préféra laisser ses mains caresser avec douceur l’entrejambe de l’homme, essayait de lui faire plaisir, tout en le frustrant. Elle ne savait pas vraiment ce qu’elle avait à vouloir le provoquer ainsi, mais il voulait se satisfaire d’elle. Soit, mais pas avant qu’elle-même eut pris certains plaisirs, et le frustrer un peu était certainement l’une des façons de le faire. De toute façon, tout allait se retourner contre elle à un moment donné, donc autant en profiter un minimum avant ça… Finalement, elle déplaça de nouveau sa main, avant d’ouvrir le bouton du jean de l’homme. Elle déposa un baiser aérien sur l’aine de l’homme, ainsi révélée. Son désir pour elle n’était pas caché, et elle s’en félicita intérieurement. Elle adorait voir l’effet qu’elle faisait sur les hommes, et ce moment là n’échappa pas à la règle. Déposant ses mains ses les hanches de Clash, elle remonta légèrement, sans se décoller de son corps. C’était une danse, elle essayait d’affrioler ses sens, et espérait réellement que ça marchait. Enfin, sans réussir à se contenir, elle se hissa sur la pointe des pieds, et déposa ses lèvres sur les siennes. Elle avait voulu le faire depuis qu’il était entré dans cette pièce, et enfin elle jouait avec. Une de ses mains se posa rapidement dans la nuque de l’homme, tandis que l’autre, joueuse, se glissa sous le pantalon, taquinant avec habileté la virilité de son amant d’un soir. Enfin, elle dit, tout en décollant légèrement de lui :

    « Prenez vous sans donner ? Je ne serais qu’un orifice à remplir n’est pas ? Non que ça me déplaise mais… » Elle se mordit la lèvre soudainement, avant de reprendre « Laissez tomber, vous n’en avez rien à faire n’est ce pas Clash ? »

    Elle hésitait maintenant sur la conduite à tenir. Elle n’avait pas écouté son ordre, enfin si, mais elle ne l’avait perduré, préférant n’en faire qu’à sa tête… Elle était en effet persuadé qu’il réclamait autre chose que ce qu’elle avait pu donner, mais peu importait, elle se rattraperait plus tard.
 
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« I’m not affraid… I think so… » PV EmptyDim 12 Avr - 18:32



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Beck E. Bones
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    « Je te préviens avant, Blackson, je n'arrêterais pas, même si tu pleures et crie. Personne ne t'entendra. Personne ne viendra te sauver.. et ne crois pas que j'aurais pitié au point de te laisser partir avant d'être satisfait. »
    « Ne prenez vous donc votre pied qu’en terrorisant vos compagnes ? Dommage pour vous, si j’ai peur de vous, mon désir est encore plus grand… Je ne ferais rien de ce que vous venez de dire, soyez en sûr… »
    « Elles disent toutes ça, mais au final, elles finissent toutes en larmes. »

    Le sourire de Clash avait disparu pour devenir une grimace. Si elle prenait un quelconque plaisir à le contredire, Edward n'en prenait pas à rappeler qui il était, surtout à une minette de vingt ans tout au plus. Il en avait dix de plus, bientôt, alors il n'était pas prêt d'accepter qu'on lui tienne tête. Elle ne parlait plus car elle ne pouvait pas. Elle hésitait. Les menaces de la part d'un homme comme lui était toujours tellement... effrayantes? C'est plus dur d'en vouloir à Luke et son visage d'ange qu'à lui qui avait un regard de tueur, non? Il eut un sourire parfaitement malsain. Il allait jouer avec cette petite fille, il allait la briser jusqu'au plus profond de son âme, jusqu'à qu'elle en pleure, qu'elle en cri pour appeler au secours. Elle était encore jeune, elle était encore flexible, influençable. Les yeux d'une femme ne mentent pas. Edward avait eu le temps de l'apprendre... trop de temps pour le comprendre.

    « A genoux. »

    Elle le regarda et il ne cilla pas. Elle aussi, comme toutes les petites filles qui portent un peu de maquillage et un joli collier de perle, croyait être une adulte, une petite dame qui pouvait tout faire par elle même. Il eut un sourire amusé quand elle posa sa main sur son épaule. Qu'elle ne s'inquiète pas, il avait l'habitude. Cependant, il y avait une certaine retenue chez elle, une retenue qui annoncerait un dénouement plutôt... violent. Il dévoila ses dents dans un sourire satisfait en voyant qu'elle était désormais à genoux. C'était sa vengeance à lui, son moment où le monde était à ses pieds. C'était son moment préféré dans l'acte, avec celui de la jouissance. Sa main glissa doucement au creux de sa nuque et il se sentait déjà excité. Non pas seulement à cause d'elle, mais car c'était son « moment ». Il n'appartenait qu'à lui, et il se sentait vivre, réellement vivre, à ce moment précis. C'était contre elle, contre elle qui l'avait vu, qui n'avait rien dit. Par amour. Connerie. Elle avait peur, elle se faisait dessus à chaque fois qu'elle voyait ce bon vieux mari se faire son fils, oui. « Arrêtes d'hurler, tu vas alerté tout le quartier. » Menteuse. Il n'y avait jamais eu de voisin. Ils étaient perdu en pleine cambrousse, loin de tout... c'était surtout pour ne pas lui rappeler combien son mari s'amusait avec « son » fils, à elle. Il avait bien du s'y soustraire : elle ne voulait pas le lui donner, alors il allait chercher sa dose ailleurs. Sa dose d'amour. Cet homme était un monstre. Cet homme était son oncle. Cet homme était son fardeau.

    Il la regarda, une once de satisfaction dans le regard. Elle était docile..il avait besoin de ça, ce soir. Il ne se sentait pas en pleine forme, pas prêt à lui éclater la tête à la fin, car il avait tout simplement fait cela toute la sainte journée. Tout d'abord, la maison des Madyborn. Des aurors... quatre. Il avait violé la mère sur le divan, alors que Wolfgang avait égorgé le père avec le premier couteau qui était passé. Dino avait tué le grand frère d'un simple sort. Puis Edward avait pendu la fille, trop laide pour passer dessus, même avec un sac sur la tête. Ça leur avait pris... dix minutes. Ils avaient passé à sac la banque de Leningrad. Six femmes. Le reste, il avait décidé de les étriper. Où comment payer par là où il ne passerait pas... trois heures. Il s avaient mis trois heures pour vider cette foutue banque. Puis il était allé voir Anaël et cette dernière lui avait démit une épaule. Elle ne voudrait jamais y passer. Ni avec lui, ni avec aucun autre... trop « prude », la demoiselle. Il serra les dents et sa main exerça une pression qui passa inaperçu. Lexie déposa finalement ses lèvres sur son aine et le feu qui lui dévorait les boyaux se fit plus virulent, bien qu'encore trop petit pour lui faire mal.

    Seulement, elle ne tarda pas à désobéir, et Edward eut un regard plus perçant quand il la vu remonter lentement vers lui, attrapant ces lèvres. Les baisers n'étaient pas pour lui. C'était réservé aux amoureux, et aux romantiques. Il n'était aucun des deux. Sa main qui n'avait pas quitté sa nuque se glissa lentement sur son buste, entre sa poitrine et sa gorge, hésitant à aller voir l'un des deux. Il cilla en sentant la main de la jeune femme caressait sa virilité, et eut à nouveau un sourire malsain. Elle jouait avec lui, mais elle ignorait qu'il n'était pas le genre qui s'amuse de cette façon.

    « Prenez vous sans donner ? Je ne serais qu’un orifice à remplir n’est pas ? Non que ça me déplaise mais… » Elle se mordit la lèvre soudainement, avant de reprendre « Laissez tomber, vous n’en avez rien à faire n’est ce pas Clash ? » Il eut un petit rire grave.
    « Vous avez tout juste, mademoiselle Lexie Blackson. Vous n'êtes qu'un orifice de plus, et je ne suis là que pour le remplir... vos états d'âme ne m'intéressant pas, encore moins vos réflexions. Alors, à genoux avant que je m'énerve, et peut être que je serais gentil en retour. »

    Sa main qui, jusqu'à maintenant, était sur son buste, remonta doucement et attrapa ses cheveux, les serrant. Il eut un sourire carnassier et la força à se baisser. Elle n'en échapperait pas. Et si elle recommençait, elle risquait de le faire... morte.

 
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