Comme tout les matin l’ambiance a la maison était des plus agiter. Pas a cause de dispute ou quelque chose dans ce genre, non Vince et Sophia s’aimait trop pour ça, mais parce que c’était dans leurs habitude de trainer au lit. Résultat après ils couraient dans tout les sens. La jeune fille préparé le café de son petit ami tout en essayant de se coiffer les cheveux. Vince attraper un bol tout en se levant les dents avec l’autre mains. Une allure éfreiner mais il avait pris l’habitude et un petit coup de magie par ci par là faisait souvent tout rentré dans l’ordre. Le jeune Carter claqua la porte juste après avoir lancer un « je t’aime » a Sophia et quelque minute après c’était à son tour de quitter l’appartement. Sortant sa poudre de cheminette, elle se dirigea vers le réseau de cheminé et empruntant celle qui mener a saint Mangouste. Elle préférait de loin se moyen de transport le matin car le transplanage avait tendance a lui donner la nausée. Arrivant dans le grand bâtiments des Urgence, Sophia salua une autre infirmière.

Fannie – « Salut Sophia, alors tu t’es remise de la journée d’y hier ? »
Sophia – « Salut. Oh m’en parle pas j’ai cru que je n’arrive jamais à faire entendre raison à se patient. Il y vraiment des inconscient partout. »

Sophia poussa un léger soupir en repensant à son patient qui refuser de se faire opéré alors qu’un gros morceau de verre était venu se loger dans son cœur à la suite d’un accident. En effet une course de balai au chemin de traverse avait mal tourné et la comète 2000 et l’élève se trouvant dessus s’était écraser contre la vitre du magasin d’apothicaire qui avait explosé, blessant le propriétaire qui se trouvait à l’intérieur .

Fort heureusement aujourd’hui la journée s’annonçai beaucoup plus calme. Passant par l’accueil elle prit la liste des entrée et se dirigea vers la salle d’attente numéro 3, celle qui en général était remplîtes des maladies magique les plus courante et inoffensive. Tenant dans ses mains le registre elle appela le premier nom en haut de la liste avant de relever la tête vers son premier patient de la journée.

Alex – « Je ne pense pas que je serais resté debout très longtemps, je ne tiens plus sur mes jambes... »

Sophia esquiva un sourire. De toute évidence son patient était un comique. Entre le « demoiselle » qu’elle n’avait pas encore oublier et cette remarque humoristique elle se disait qu’elle avait sûrement affaire a un homme sûr de lui, charmeur et cacher ses sentiments derrière l’humour. En bref un vrai homme. Elle s’attarda ensuite sur le dossier de son patient tandis qu’il s’essayait sur la table et fût surprise par ce qu’elle y apprit. Un hypocondriaque.

Alex – « Qu'entendez-vous par souvent ? Une fois depuis 19 ans ? »

De l’humour encore. Décidément il était prévisible et elle l’avait peut-être correctement cerné. Il faut dire que Sophia côtoyer souvent ce genre de caractère donc elle connaissait cette catégorie d’homme pratiquement par cœur et s’y connaissait dans se domaine. En temps normal cela l’aurait légèrement fait rire et elle aurait chercher la provocation pour l’agacer. Toutefois la situation immédiate s’avérait compliqué les choses . Elle croisa les bras contre sa poitrine avec un petit air moraliste comme elle faisait souvent et pencha la tête sur le côté comme pour le réprimander, consciente qu’il se ficher royalement d’elle a se moment là et qu’il avait dit un mensonge éhonté.

Sophia – « Pas vraiment non. Je pensait plutôt à quelque chose du genre… 4 a 6 fois par semaine . Enfin je dit ça comme ça hein » dit-elle sur un ton ironique et provocateur, un sourire forcé sur les lèvres.

Elle pouvait se montré assez peste quand elle le voulait et elle semblait être assez de mauvaise humeur ce matin là. Peut-être parce que le demoiselle lui était rester en travers de la gorge et n’avait fait que lui rappeler ses problèmes avec son petit-ami qu’elle essayait désespérément d’oublier. Ou peut-être parce qu’elle aurait préféré s’occuper de bon matin d’une simple grippe plutôt que d’un hypocondriaque charmant a souhait mais beaucoup trop sympathique a son goût. C’était peut-être pour l’une de ses raisons qu’elle se montrait moyennement sympathique. Malgré cela le patient semblait garder son air gentille bien que légèrement agacer.

Alex – « Comme vous le voyez, je n'arrête pas de tousser depuis ce matin. Sinon, j'ai mal partout et ma seule envie est de me recoucher. Le problème, c'est que je n'ai pas de quoi me soigner chez moi vu que toutes mes potions sont en Russie, et je n'ai pas assez de forces pour acheter la matériel et la faire moi-même. En plus, je dois aller voir ma petite sœur cet après-midi, et cela m'embêterait de décommander... Pouvez-vous faire quelque chose ? »

Elle l’avait écouter d’une seule oreille, agacé elle aussi. Il était en train de lui faire perdre son temps et elle trouvait son manque d’imagination à inventer une maladie digne de se nom d’un ridicule. Mais bon le pauvre a force de dire tout et n’importe quoi aux médecin devait sûrement s’essouffler. Quoiqu’il en soit ça ne marcherai pas avec elle. Elle poussa un soupir.

Sophia – « Non ! » Au vue de la réaction des plus surprise de son patient elle rajouta « Je ne vais pas vous ausculter Mr Valingai. Je n’ai pas de temps a perdre ! Vous comme moi savons très bien que vous n’avez rien et que vous n’êtes pas malade. Alors ça ne sert à rien de feindre une toux et une fausse fatigue. Alors soyez gentil, arrêter de mentir et faite vous soigner ! »

Un peu sec et direct mais elle n’était vraiment pas d’humeur !

Alex – « Est-ce que j'ai la tête d'un vieillard se plaignant de douleurs imaginaires ? »
Sophia – « Euh… Question rhétorique j’imagine ? »

En effet, il n’avait pas du tout l’air de quelqu’un atteint de maladie imaginaire à la réflexion, bien qu’il se trompait et que ce n’était seulement les vieillards qui étaient hypocondriaque. Mais un dossier était un dossier et d’ordinaire elle avait beaucoup l’habitude de les suivre sans réfléchir.

Alex – « Par contre, si vous pouviez me prescrire quelque chose de plutôt efficace pour être sur pied cet après-midi, ce n'est toujours pas de refus ! »

Il disait vrai et il avait une simple grippe ! Sophia ne savait plus où se mettre. Elle cherchait désespérément des yeux un trou de doxy pour se cacher mais n’en trouva aucun. Le rouge lui était monté malgré elle aux joues et la honte l’avait largement envahie. Certes l’erreur ne venait pas d’elle mais de la dame de l’accueil, mais à présent au courante de l’erreur des dossiers, elle réaliser à quelque points son comportement avait pût sembler absurde aux yeux de son patient.

Sophia – « Oh mais quelle idiote ! Non mais quelle idiote ! Vraiment quelle conne ! »

Sophia ne jurer jamais, elle était bien trop bien élevé pour ça. Mais là elle pensait plus à haute voix qu’autre chose, ne s’adressant pas vraiment à Alex. Elle n’en revenait toujours pas de l’attitude odieuse qu’elle avait eu envers le jeune homme. A coup sûr il ne reviendrai plus jamais et il répéterai à tout son entourage à quel point l’infirmière Marquez était incompétente et sans cervelle. Super !

Sophia – « Je suis désolé, vraiment désolé. »

Elle semblait des plus confuse. Elle qui avait horreur de faire des erreur se trouvait bien mal à l’aise. Lorsqu’elle faisait quelque chose Sophia aimait le faire parfaitement et en règle général elle y arrivait à chaque fois. Elle détester l’échec et faisait toujours en sorte d’être la meilleure, comme un défis personnelle pour cacher son manque de confiance en elle. Hors dans le cas présent elle était loin d’avoir assuré et cela la mettez dans tout ses états.

Sophia - « Je me doute pas que mes excuse n’arrangeront rien et que le mal est fait mais… je suis vraiment désolé…. »

S’il la laissait faire elle risquer de s’excuser ainsi pendant longtemps tellement ces mots l’aider à éliminer sa culpabilité. En fin de compte Mr Valingai n’était pas le moins du monde un patient pénible mais sûrement un jeune homme fort sympathique lorsqu’on ne le traite pas de malade imaginaire. Enfin elle l’espérait car un erreur de dossier pouvait donner cour à une plainte aboutissant aux renvoi de la pauvre Molly. Sans parler que Sophia elle-même pouvait en prendre pour son grade.

Sophia – « Est-ce qu’il y a quelque chose que j’pourrais faire pour me faire pardonner ? N’importe quoi ? » dit-elle en grimaçant légèrement, appréhendant la réponse. « A part vous donnez vos médicaments bien sûr » rajouta-t-elle en souriant.