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 Come, i'm sick ; pv sam.

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Come, i'm sick ; pv sam. EmptyVen 6 Mar - 11:53



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Lady Etàn D. Grey
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What i want doesn't matter

« Waiting for your call, I'm sick, call I'm angry
Call I'm desperate for your voice
I'm listening to the song we used to sing
In the car, do you remember
Butterfly, Early Summer
It's playing on repeat, Just like when we would meet
Like when we would meet
»
your call


« J'ai peur... ce cœur incontrôlable me terrifie. »

    Abaddon regarda sur sa droite et entendit le grondement dans une cage. Il s'arrêta devant la cellule et posa sa main sur les barreaux froids. Aussitôt, une immense tête apparut et se jeta contre ces derniers. Les crocs sortirent du la cellule et il y eut des aboiements horribles. Abaddon eut un petit rire et les barreaux se retournèrent contre l'animal, enfermant son museau et le serrant jusqu'au sang. Le fer froid s'enfonça dans la chair et l'animal couina de douleur. Les yeux d'Abaddon virèrent à un noir encre.

    « Que crois-tu, sale bête? Que tu vas t'en sortir après avoir tué des dizaines de personne? »

    Le directeur eut un rire grave et finalement les barreaux se courbèrent, laissant reculer l'animal qui se colla dans un coin de la cellule. La silhouette animale reprit son apparence humaine. Les yeux qui brillaient dans le noir jetaient des éclairs jusqu'à l'alchimiste qui n'avait pas bougé et avait un sourire mauvais sur les lèvres. La silhouette eut un rire, elle aussi, un rire grave, mélangé de râles et d'une voix inhumaine.

    « Un jour... tu le paieras... je te le... ferais... payé... hellsing... » La voix saccadée recracha quelques choses sur le sol. Abaddon eut un rire grave.
    « J'aimerais bien voir ça, Gallagher... j'aimerais vraiment voir ça. »

    La cellule perdit un mètre de large et Abaddon se détourna malgré les cris du prisonnier qui se déchaîner encore une fois contre les barreaux. Il regarda les gardes qui venaient de prendre leur place et sut qu'il était l'heure d'aller manger. Son estomac ronronnait doucement. Il passa devant les gardes qui firent une légère révérence qu'ignora Abaddon. L'alchimiste fit claqué son long manteau noir et poussa la porte qui donnait aux escaliers.

    […]


    Mocca Cacao voyait tous les jours Abaddon, ou presque tous les jours. Il y prenait le petit déjeuner, son déjeuner et le café à quatre heures. Le problème était qu'Abaddon haïssait son appartement, dans l'Allée des Embrumes. Il vivait une vie dangereuse en tant que Directeur d'Azkaban, et il évitait au maximum de rester à la même place plus de trois heures. Ses nuits étaient courtes, tout simplement. Il remonta sur son nez ses lunettes qui ne savaient à rien, mais qui étaient tout de même là. Il poussa la porte du magasin et s'avança comme un roi dans Mocca qui était encore vide. Abaddon venait toujours un peu avant les heures de pointe, pour éviter les désagréments de la foule. L'africain s'approcha automatiquement de lui et le salua.

    « Abaddon! Comment ça va? » L'accent était marqué, Abaddon eut un sourire.
    « Comme toujours... »
    « Tu veux la même chose? » Abaddon haussa les épaules.
    « Toujours. »

    L'africain eut un petit rire et se retourna, allant chercher une tasse. Abaddon avait ces habitudes. Un café, cappuccino, deux sucres, un peu de lait, du nougat et du chocolat afin de tremper à l'intérieur. Puéril et enfantin? Il fallait bien ça quand on passait toutes ses journées dans une prison qui renfermait les plus grands criminels de tous les temps. Il poussa un soupire et se retourna quand la porte s'ouvrit. Une tête blonde entra et se faufila aussitôt prêt d'Abaddon. Les grands yeux bleus se posèrent sur lui et aussitôt, la fine silhouette l'enlaça.

    « Je croyais que j'allais te raté! »
    « Gaby... on se voit tous les jours... » Soupira l'Alchimiste.
    « Tu m'as manqué! »
    « ...tu m'as manqué, aussi. »

    Abaddon se retourna et vu que Mocca revenait. Il alla vers lui et commanda leurs dîners. En proposant de payer aussitôt, il remarqua des traces de sang sur sa main. Ramener un vampire dans sa cellule était moins facile que prévu, surtout quand celui ci avait déjà passé les trois cents dernières années enfermées.

    « Je reviens. »

    Gabriel le regarda partir aux toilettes. Les toilettes étaient vides, elles aussi, et l'odeur de café l'emportait sur la fraîcheur des lieux. Même les toilettes se trouvaient chaleureuses. Abaddon se regarda dans le miroir et y vu un pâle reflet. Une mine blafarde, des cernes, et des cheveux plutôt brun. Et des yeux bleus. Il se demanda si Samaël passerait le voir, aujourd'hui... et si oui, quand? Il soupira et fit couler de l'eau chaude sur son visage. La porte s'ouvrit et il savait qu'il s'agissait de Samaël. Il n'y avait que lui pour venir... ils n'étaient que deux dans le magasin, après tout. Il se sentit s'approcher et se retourna aussitôt, comme pour le repousser, mais il était déjà trop tard. Gabriel se retrouvait littéralement coller à lui, et son corps aurait pu ne faire qu'un que cela n'aurait pas était étrange. Abaddon le repoussa et Gabriel revint à la charge, les yeux en larme. Il avait passé ses mains autour de la nuque de son grand frère et son visage était chargé de peine.

    « Abaddon... je... »
    « Arrêtes. » Abaddon grogna. « Tu te fais du mal. »
    « Mais je... »

    Gabriel se mit sur la pointe des pieds et ses lèvres frôlèrent celles de l'Alchimiste. Ce dernier eut une réaction soudaine. Il attrapa le col de la chemise de son frère et retourna la situation, le plaquant à un mur. Ses yeux avaient alors viré à un noir profond et ses cheveux avaient étrangement blanchi. Gabriel le regarda et il sentait la haine de son frère se propageait dans son aura. Il ferma les yeux, et les larmes coulèrent de ses yeux, mais cela ne serait pas comme cinq ans en arrière, non. Abaddon en avait assez. Un peu trop aujourd'hui, moins demain, mais son coeur battait si fort qu'il en aurait vomi.

    « Regarde moi, Gaby... Gaby. Regarde moi, putain de merde. » Le blond ouvrit un œil et Abaddon le gifla. Il écarquilla les yeux en voyant les cheveux d'Abaddon noircirent à nouveau. « Écoute moi bien car je ne me répèterais pas. Gaby, tu es mon frère, tu comprends ce que ça veut dire? Mon frère. Et je ne couche pas avec mes frères, pigé? Tu te fais du mal en espérant de moi ce que je ne te donnerais jamais. Tu entends? Jamais. Jamais je ne te toucherais. Et si je suis là, c'est uniquement pour te protéger et t'aimer, comme un frère. Gaby, chiale pas, espèce de pédale de merde. » Une nouvelle gifle secoua le blond. « Regarde moi quand je te parle. Respire... bordel, respire. Gaby! » Il le cogna à nouveau contre le mur. « Arrêtes de faire ça... un jour, je vais t'étriper et te faire manger tes tripes jusqu'à que tu en crèves? T'entends? Un jour, je vais te tué, et je ne veux pas en arriver là... alors... » Il soupira et le lâcha, se reculant. « Alors arrêtes. »

    Abaddon se recula et regarda son frère. Gabriel s'était laissé glisser le long du mur et il pleurait à chaude larme. Ses joues étaient noyées et une d'elle était rouge. Il avait mal au crâne. L'alchimiste eut un pincement au coeur. Chaque année, ses réactions étaient de plus en plus terribles, de plus en plus violentes, et ses mots de plus en plus blessants. Le directeur d'Azkaban recula de quelques pas, posant une main sur ses yeux afin de cacher le garçon. Il ne voulait pas. Il aimait son frère, mais pas autant que lui l'espérait... pas autant.

    « Dégage Gaby. Je te revois ce soir... laisse moi me calmer avant. »

    Abaddon se tourna et la veste claqua dans l'air. Le blondinet se releva et articula quelques choses. Abaddon se retourna et resta figée. Il eut un sourire mauvais et rétorqua.

    « Et alors? S'il y en a toujours que pour elle, tu ne t'es jamais demandé pourquoi? Donne toi un raison, Gabriel. Elle est plus que tu ne le seras jamais. »

    Une nouvelle flèche venait de percer le coeur du blond qui fondit une nouvelle fois en larme. Il se releva, tituba, et transplana. Abaddon resta immobile et poussa la porte. Les deux repas étaient déjà servis. Abaddon sentit un changement en lui. Ses cheveux étaient à nouveau noir, mais ses yeux n'étaient pas redevenus bleus. Étrangement, il trouvait cela aussi bien. Mocca ne posa pas de question, et Abaddon lui en fut reconnaissant. Il se posa à sa table habituelle, celle reculée et prêt du mur, dont la banquette donnait pourtant accès à la vitrine et donc à une vision de dehors directe. Il regarda son assiette et sentit un haut le coeur. Il n'avait plus faim. Et il avait même oublié de se laver les mains, toujours sales de sang...

    La porte s'ouvrit une nouvelle fois, et il ne regarda pas.
    L'odeur fit rougir ses prunelles et ses yeux devinrent rouge vif.
    Il savait qui c'était. Il l'avait toujours su, après tout.
 
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Come, i'm sick ; pv sam. EmptyVen 6 Mar - 21:02



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    « Il ne terrifie pas que toi. »



    Nathanaël n'était pas rentré. Sam' l'avait cherché partout, d'abord dans Godric's Hollow, puis elle avait transplané à Londres. Elle était allée fouiner du côté de chez Gringotts, essayant sans succès de soutirer des informations aux gobelins. Elle avait arpenté toute l'Allée des Embrumes, questionné toutes les connaissances qu'elle avait le long du Chemin de Traverse. Mais son frère, cet imbécile, avait tout bonnement disparu. L'idée lui était alors venue qu'il avait peut-être quitté l'Angleterre ; c'était parfaitement dans les cordes du Nécromancien. Tant de secret ... Bordel, dans une famille, ça devait pas être comme ça ! Quel con !

    Samaël avait pensé à joindre Abaddon, mais elle s'était ravisée ; il était avant tout directeur d'Azkaban, et elle n'avait pas voulu le déborder encore plus avec cette histoire. De plus, Aba' était habitué aux excentricités de Nathanaël, et il lui aurait sûrement répondu en haussant les épaules qu'il ne fallait pas s'inquiéter, et que Nath' rentrerait bien un jour ou l'autre. Et quand ça ?, aurait répliqué Sam. Dans un mois ? Dans un an ? Dans dix ans ? Il se pointerait le jour où ses filles sortiront de Poudlard, c'est ça ? ... Stop. Sam' sentait que tout cela la touchait trop, encore plus que d'habitude. Elle avait une sorte de mauvais pressentiment ; quelque chose était inhabituel, encore plus dangereux, plus angoissant. Elle n'arriverait jamais à faire quoi que ce soit de bien si elle demeurait aussi tourmentée. Alors, elle prit la direction de Mocca Cacao. C'était un endroit où on se sentait immédiatement en sécurité, dès que l'on passait la porte.

    Elle arriva à la Place Centrale, tellement grouillante de vie et de gens. Il faisait presque beau, presque chaud aussi. Sam' portait un jean et un tee-shirt moldu, contrastant avec tous ces hommes et ces femmes en robes de sorcier. La jeune femme les observait, ces sorciers, tout en traversant la place pour se rendre au Café. Elle savait que la peur reviendrait bientôt ; comme si le sang et la haine ne s'étaient pas assez déversés. Et elle avait peur pour cette place, cette place si pleine de vie et de gens, elle avait peur que tout cela se retrouve à feu et à sang ... Samaël accéléra le pas, ses cheveux noirs voletant à cause du léger vent qui s'était levé. Et elle finit par pousser la porte du café. La chaleur l'enveloppa, bienfaisante, chaleureuse, tout comme le sourire de Mocca qui l'accueillit à bras ouverts, comme d'habitude. Pour un peu, Sam' se serait jetée contre lui. L'Africain vint embrasser sur le front sa petite protégée ; il la connaissait depuis si longtemps.

    « Ma petite Sam' ... Je te fais un cacao, va t'asseoir. Abaddon est là, à sa place habituelle. »
    « Merci, Mocca ... Merci beaucoup. »

    Abaddon ?! Sam' leva aussitôt le regard vers le fond de la pièce, et aperçut l'Alchimiste. Elle se dirigea vers lui, le cœur un peu battant. Elle ne savait pas très bien où situer Abaddon dans ses pensées. Pour sûr, ils étaient amis, ils avaient beaucoup partagé ensemble, mais Sam' sentait que quelque chose avait changé entre eux, il y avait parfois des sous-entendus ou des jalousies, des disputes stupides mais inévitables. Ca s'était intensifié, surtout depuis leur adolescence. La jeune femme se racla doucement la gorge. Tout de même, elle était heureuse de le voir, terriblement. Elle avait tellement besoin de son aide, de sa présence.

    « Abaddon ... »

    Sa voix claire, d'habitude assurée, s'étrangla à la fin. Elle s'assit en face de son ami, et lui saisit la main, sans remarquer d'abord le sang qui avait séché. Elle voulait juste sentir qu'il était là. Et elle laissa tout éclater.

    « Oh, Aba', si tu savais comme je suis heureuse de te voir ! Nath' a disparu. J'ai peur qu'il ne revienne pas ... Oh, mais tu saignes ! T'as foutu quoi encore ?! »

    Il la rendrait folle.

 
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Come, i'm sick ; pv sam. EmptyDim 29 Mar - 17:00



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    « Mais c'est dans ma cage thoracique
    qu'il bat et qu'il saigne »



    « Abaddon ... »

    La voix de la jeune fille réveilla de son coma artificiel l'alchimiste. Il ne se sentait tout simplement pas bien. Son regard, même s'il était rouge, était terni. Sa dispute avec Gabriel l'avait secoué, comme à chaque fois. Il devenait de plus en plus violent, de plus en plus dur, et surtout, de plus en plus vulgaire et distant. Cette si belle enfance serait elle tâché par la honte des sentiments impurs? Certainement. Mais les Van Hellsing n'avaient pas vraiment de chance en amour. Si leurs compagnes ne mourraient pas, elles devenaient folles, sans oublier les liens consanguins au sein même de cette famille étrange et folle, folle de pouvoir, de vie, de plaisir. Une famille si étrange où il se sentait tout simplement que trop mal. C'était une douleur atroce et une fierté sans limite : il était l'héritier de Méphistophélès Van Hellsing, il était Abaddon Van Hellsing. Ça aurait du le faire sourire.

    Il leva vers elle un regard sans profondeur, mais d'un rouge bordeaux, d'un brillant sans égal. Un fin sourire se tendit sur son visage, figeant son expression comme dans du marbre. Il savait qu'elle n'était pas là pour lui, ou tout du moins pas en premier lieu. Elle ne s'inquiétait jamais vraiment pour lui... enfin, il se disait cela. Il était peut être le seul à ressentir un tel sentiment pour elle, et elle ne le voyait pas. C'était ainsi depuis qu'il avait sept ans. Il admirait cette femme, cette fillette, douée, mais qui n'était pas Nathanaël, en somme. A cause d'une naissance, elle avait été relégué au second plan, au rang de seconde, et de rien d'autre. Elle n'était donc que cela? Une « seconde »? Le Van Hellsing la regarda profondément. Il l'aimait, tout son être n'avait qu'un but : la rendre heureuse, la faire sourire. Il n'y arriverait qu'en pliant devant ses inquiétudes. Il n'était pas assez heureux pour remonter le moral à une personne, mais étrangement, avec elle, les mots sortaient en une douce mélodie et la rendait heureuse d'elle, heureuse d'être là, avec lui. Il aimait lui parler, à elle et à elle seule.

    Elle lui attrapa la main. Il aurait aimé la retirer mais ne fit que serrer le poing, mais c'était déjà trop tard. Elle la tenait dans ses filets, et bientôt, elle verrait le sang sur sa main. Il ne cilla pas et son visage resta froid, crispé même, comme marqué d'une étrange mélancolie. Il lisait dans ses yeux ce pourquoi elle était ici. Nathanaël avait encore disparu, on ne sait où, et elle s'inquiétait. Même si elle ne s'inquiétait que pour son frère, il était heureux qu'elle vienne le voir, lui, et pas un autre. Il était celui qui lui remontait le moral, qui la consolait, qui retenait ses larmes, et les essuyait. Même si elle ne l'aimait pas, il avait le droit d'être plus proche d'elle que n'importe qui d'autre. Il était heureux qu'elle pense à lui, tout simplement. Il serra les mains de la nécromancienne pour la rassurer, pour lui faire signe qu'elle pouvait parler, qu'il était là, qu'il l'écoutait, et qu'il n'entendait plus qu'elle. Elle parla.

    « Oh, Aba', si tu savais comme je suis heureuse de te voir ! Nath' a disparu. J'ai peur qu'il ne revienne pas ... Oh, mais tu saignes ! T'as foutu quoi encore ?! »
    « Ce... ce n'est rien. Ça n'est pas mon sang. » Il eut un sourire maigre, un sourire pincé. Il ne voulait pas l'inquiétait. « Nath' n'est pas revenu cette nuit, mais il reviendra plus tard. Ne t'inquiètes pas. Tu sais comment il est... tu as parlé à Cerberus? Elle doit peut être savoir... et même si elle ne sait pas, il reviendra. Tu sais comment il est. C'est un vrai chat. Il part, il revient, rien ne l'attache à une demeure. Il reviendra, ne t'inquiètes pas. Il est sans doute la seule personne pour laquelle je ne me ferais pas de souçis. »

    Il enleva le gant blanc qui couvrait sa main froide et la posa délicatement sur la joue de la jeune fille. Samaël avait une peau douce et tiède, une peau humaine, un peu bronzé, mais pas assez pour qu'elle est une vraie couleur de peau. Ses yeux bleus ressortaient plus que tout. Il croisa son regard et eut un sourire. Ses yeux rougirent un peu plus. Il serra un peu plus, de son autre main, les doigts de la nécromancienne. Elle s'était toujours inquiétée pour Nathanaël, il était normal que quelqu'un s'inquiète pour elle, à présent.

    « N'ais pas peur, je suis sûr qu'il reviendra dans quelques semaines, après avoir... je ne sais pas moi. Récupérer une vieille carte ou un vieux bouquin, ou après avoir dressé une chimère? Tu sais comment il est. Tu le sais mieux que moi... »

    Il détacha sa main de la joue de Samaël et la posa sur sa main, recouvrant ainsi toute la chaire dans la paume de sa large main, chaude et rassurante. Il eut un sourire tendre, et un regard confiant.

 
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