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 As mad as a hatter, and his sister hunter | ft. Clarence

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MessageSujet: As mad as a hatter, and his sister hunter | ft. Clarence   
As mad as a hatter, and his sister hunter | ft. Clarence EmptyLun 27 Mai - 0:52



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Origine : Gypsie
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Perséphone A. Chester
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« Hello, my favorite mad ! »

Brother && Sister



Dans le salon, il y avait un petit canapé. Assez grand pour trois personne – voir quatre en se collant et cinq en étant serrés comme des sardines – et assez confortable. Sur le canapé était posé une couverture. Couverture qui avait d'ailleurs une forme étrange, bossue. Nul doute qu'un truc se cachait dessous, mais ce « truc » n'avait nullement forme humaine. Un grondement léger s'en échappa, alors qu'un museau gris et noir en émergeait, suivit d'oreille arrondies. La tête d'une magnifique panthère des neiges apparut, alors qu'elle ouvrait grand la gueule pour bâiller. D'un coup de patte, elle fit glisser la couverture, dévoilant son corps musclé, son long pelage soyeux, blanc tacheté de noir, et sa queue touffue qui battait l'air. Elle fixa son regard vert sur le journal qui était ouvert devant elle, avant de poser une patte dessus. Elle la fit glisser sur le papier sans résultat, avant de s'énerver et de sortir ses griffes. Le journal resta accroché à elle, et le félin s'immobilisa en feulant. Soudainement, son corps changea jusqu'à laisser place à une élégante demoiselle, quoique totalement décoiffée. Elle attrapa le journal en grognant, avant de poser ses yeux sur la Une. Jack l'éventreur. Ah oui, c'est vrai ! Elle tourna les pages jusqu'à arriver à l'article en question, et le lu – enfin, le relu – rapidement. Perséphone releva les yeux ;

- Perséphone : CLAREEEENCE !

Elle écouta durant quelques secondes le silence, avant de soupirer. Encore une fois, son très cher frère n'était pas rentré et avait dormi à son atelier. C'était pour ça qu'elle avait lu le journal, et qu'elle avait finalement gardé la porte, transformée en panthère pour pouvoir trouver le canapé plus confortable pour s'assoupir. Mais il n'était pas revenu.

Elle avait pourtant une grande chose à lui annoncer. Elle partait en chasse ! Et pas une chasse au loup-garou, cette fois... Non, elle cherchait Jack l'éventreur ! Ce n'était pas encore officiel, elle avait juste cette idée fabuleuse. Elle voulait aussi lui dire de faire attention à lui, même si les victimes du tueur semblait n'être que des femmes. Elle grimpa dans sa chambre pour se faire présentable, attrapa un sac et fourra le journal à l'intérieur. Elle attrapa sa baguette qu'elle rangea dans une poche intérieur, et sortie. Il était encore tôt, le soleil pointait à peine le bout de son nez. Un petit vent frais traversait les rues de Londres, faisant presser le pas à la jeune femme, qu'un magnifique chat suivait.

Perséphone arriva rapidement devant la boutique de son frangin. Les rideaux étaient tirés, les volets fermés, la porte verrouillée. Elle poussa un soupire en sortant sa baguette, et fit claquer le verrou. Ouvrant doucement la porte, elle la referma sans faire de bruit avant de repérer son frère dans l'obscurité. Elle esquissa un sourire en roulant les yeux, un sourire sadique accroché aux lèvres. La sorcière s'approcha des rideaux, et compta jusqu'à trois... Pour ouvrir sèchement les rideaux, faisant soudainement entrer la lumière dans la pièce. Elle était certaine que cela avait réveillé Clarence qui avait le sommeil léger. Elle ouvrit ainsi tous les rideaux, tous les volets et même toutes les fenêtres. Un peu d'air, que diable ! La jeune femme revint ensuite vers son frangin pour déposé un baiser sur sa joue.

- Perséphone : Coucou monsieur « j'ai encore oublié que j'avais une maison avec une sœur dedans. » fit-elle avec un petit sourire. C'est l'heure de se réveiller ! J'espère que tu as de quoi faire du thé, je n'ai pas mangé, ni bu, avant de venir.

Perséphone fit un tour sur elle-même pour trouver deux chaises libres, qu'elle approcha de la table, et s'assit dessus. En voyant son chat s'installer confortablement sur les chapeaux du chapelier, la jeune femme décida d'intervenir avant qu'une catastrophe n'arrive ;

- Perséphone : Danté, laisse ces chapeaux tranquille ! Tu vas énerver Clarence. gronda-t-elle, avant de braquer son regard sur son frangin. Tu aurais mieux dormi dans ton lit à la maison. Et depuis combien de temps tu n'a pas pris un bain digne de ce nom ?... elle soupira. Enfin, il faut qu'on parle ! termina-t-elle avec un grand sourire, les yeux pétillants.

(c) Loupiotte



Dernière édition par Perséphone A. Chester le Mer 29 Mai - 18:41, édité 1 fois
 
MessageSujet: Re: As mad as a hatter, and his sister hunter | ft. Clarence   
As mad as a hatter, and his sister hunter | ft. Clarence EmptyLun 27 Mai - 23:02



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Dante Clarence Chester
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As mad as a hatter, and his sister hunter | ft. Clarence Tumblrmlrw34i04n1ronc05 Les chiens tournent toujours sur eux-mêmes avant de se coucher quelque part. De même, Dante avait un rituel assez précis avant d'oser aller piquer un somme: fermer la porte, fermer les volets, se barricader, semer des pièges physiques et magiques dans toute la pièce jusqu'à ce que son hibou n'ose plus se poser sur rien et que Belzébuth dorme sur son maître puisque tout autre lit deviendrait extrêmement douloureux. Sauf que quand on souffrait d'insomnie et de narcolepsie non diagnostiquées, il est fort possible qu'on s'endorme sans avoir sécurisé la pièce : porte et volets fermés : oui. Pièges ? Oups.

La veille, ou plus probablement quelques heures plutôt, au beau milieu de la nuit, Clarence s'était endormi sur son établi, en plein travail. Enfin, à côté de l'établi. Remettons le tout en scène : 3 heures du matin, nuit silencieuse, quelques bougies en mal en point et malodorantes éclairent ( mal ) la pièce. Le chapelier se trouve debout de sa table de travail où est posé un chapeau. Il tient sa baguette en main pour enchanter le couvre-chef. Le chapelier sent le sommeil pointer le bout de son nez; il baille, sa baguette hésite, ses jambes vacillent, il re-baille et... c'est la chute.

Quand Perséphone s'introduisit chez lui, la longue silhouette du chapelier se trouvait donc allongée au sol, sa baguette serrée entre ses doigts, et les bougies mortes de leur belle mort ( paranoïaque oui, peur des incendies, non : c'était à rien n'y comprendre. ). L'entrée brutale et violente de la lumière et de l'air frais ( ô crime !) dans son antre suffirent à tirer Clarence du sommeil.

Le bisou déposé sur sa joue lui indiqua qu'il s'agissait de Perséphone : elle, elle avait le droit. Sauf que si c'était Perséphone, il n'avait pas besoin ni de lancer un sortilège de défense, ni de se réveiller : émettant des grognement et autres imprécations bourrues, Clarence roula se cacher sous l'établi. « -Coucou monsieur « j'ai encore oublié que j'avais une maison avec une sœur dedans. C'est l'heure de se réveiller ! J'espère que tu as de quoi faire du thé, je n'ai pas mangé, ni bu, avant de venir. Non, ce n'était pas l'heure. Clarence était convaincu que ce n'était pas l'heure. Il daigna cependant marmonner, à demi-conscient, en passant une main sur ses yeux :

« - Boîte à thé sous les fesses de Belzébuth. Théière...doit être sous le chapeau à plumes. »

Oui, tout était tout à fait bien rangé, et si vous n'êtes pas content, il ne vous retiendrait certainement pas. Il allait repiquer un somme tiens, et quand l'eau serait chaude, il se traînerait ( peut-être ) en position debout pour aller faire un bisou à sa soeur. Et au passage l'empêcher de jeter des vieilleries ou récurer la crasse qui s'y amoncelait.

« -Ouste, ouste, vile créature poilue bourrée de puce nauséabondes ! »

Se mit soudain à brailler un chapeau avec un accent à faire fuir toute personne de bonne compagnie. Quoiiii encore ? Clarence se redressa d'un bond, manqua de se cogner à la table, et se décida à se relever en vacillant. « -Danté, laisse ces chapeaux tranquille ! Tu vas énerver Clarence.

« -Je fais ce... »

Que je veux avec mes chapeaux, mais le cri de protestation s'étouffa lorsque Clarence se rappela que ce n'était pas lui que Perséphone grondait, mais son chat. Chat nommé d'après lui. Et vu comme la bestiole était malpolie, ce n'était pas flatteur. Cela lui donnait toujours envie de grogner, mais comme le félin descendait de ses chapeaux sans avoir besoin de se prendre un sort dans le postérieur, Clarence alla plutôt rejoindre sa soeur qui rouspétait sur ses mauvaises habitudes :« - Tu aurais mieux dormi dans ton lit à la maison. Et depuis combien de temps tu n'a pas pris un bain digne de ce nom ?... » Sans sembler l'écouter, Clarence passa derrière elle et l'embrassa sous la joue, et lui souffla :

« -Je suis désolé. J'avais du travail. Je sais pas, on est quel jour ? »

Il alla ensuite récupérer deux tasses pas trop ébréchées qu'il nettoya d'un coup de baguette. Le jeune homme les posa sur la table avant de s'asseoir à côté de sa soeur, tirant pensivement sur ses manches et lissant son gilet : Il n'était pas si sale que ça. Enfin. Il n'empestait pas et ses vêtements étaient plutôt propres, ça allait, non ? Il avait connu pire. « Enfin, il faut qu'on parle ! » Clarence releva brusquement la tête, le regard inquiet et le rythme cardiaque accéléré, à présent bien réveillé :

« - Parler de ? Qu'est-ce qui se passe ? Tu te maries ? Déménages ? Il y a un problème ? Qu'est-ce que j'ai fait ? »

...Ne le regardez pas comme ça, mais il adorait sa petite soeur, était toujours prêt à envisager le pire, et le ton sérieux de la jeune femme l'inquiétait drôlement. Et encore, c'était un euphémisme.
 
MessageSujet: Re: As mad as a hatter, and his sister hunter | ft. Clarence   
As mad as a hatter, and his sister hunter | ft. Clarence EmptyVen 31 Mai - 18:34



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Perséphone A. Chester
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Perséphone A. Chester a écrit:




« Hello, my favorite mad ! »

Brother && Sister



Ecoutant son frère, Perséphone se dirigea vers le Fléreur pour récupérer la boîte à thé sur laquelle il était assis. La jeune femme en profita pour le caresser un petit moment, avant de le pousser de son perchoir. Elle alla ensuite chercher la théière, et fit de la place sur la table pour poser le tout. Elle alla ensuite chercher de l'eau, qu'elle chauffa magiquement, avant de s'asseoir. Clarence se leva enfin, déposa un bisou sur sa joue en passant derrière elle. L'avait-il au moins écoutée ?

- Clarence : Je suis désolé. J'avais du travail. Je sais pas, on est quel jour ?

Elle esquissa un sourire en coin et leva les yeux au ciel.

- Perséphone : Comme d'habitude. fit-elle avec un sourire. Samedi.

Clarence vint s'asseoir à côté d'elle après avoir récupéré deux tasses, qu'il pensa à nettoyer. La sorcière lança un petit accio pour récupérer des cuillères, n'ayant pas le courage d'aller se lever pour les chercher elle-même. Elle termina de servir le thé et glissa les cuillères dans les tasses, annonçant à Clarence la raison – ou du moins, l'une des raisons, et l'une des plus importantes – de sa visite. Le mouvement soudain de son frère aurait presque pu la faire sursauter, si elle ne s'y était pas attendu.

- Clarence : Parler de ? Qu'est-ce qui se passe ? Tu te maries ? Déménages ? Il y a un problème ? Qu'est-ce que j'ai fait ?

Perséphone secoua la tête en étouffant un petit rire. Il était adorable, avec ses yeux grands ouverts, plein d'inquiétude. Un jour, peut-être, elle devrait essayer de lui faire croire que oui, elle s'était trouvé un compagnon et qu'elle déménageait avec lui très loin, comme... En Roumanie, par exemple ! Et qu'elle ne pouvait malheureusement pas amener son frère, et qu'elle se marierai là-bas et... Non. Peut-être pas, en fait. Elle ne voulait pas le tuer non plus, quoi que le canular était plutôt attirant. La jeune femme lui offrit un sourire rassurant en posant une main sur son poignet.

- Perséphone : Si je déménageais, je ne suis même pas sûre que tu t'en rendrais compte, vu le temps que tu passes ici. rétorqua-t-elle sur un léger ton de reproche (tout les moyens étaient bons pour le faire revenir à la maison !), avant de continuer d'une voix plus douce ; Tu penses que je me marierai avec quelqu'un que je ne t'aurais pas présenté ? Tu n'as rien fait, et il n'y a aucun problème. assura-t-elle. Enfin...

Perséphone devait-elle prendre Jack l'Eventreur comme « un problème » ? S'en était un, certes. Il n'y avait aucun doute là-dessus. Mais ce n'était pour le moment pas un problème direct qui lui arrivait à elle. De plus, elle était presque certaine que si ça avait été le cas – si Jack était devenu son problème collant qui la poursuivait –, Clarence aurait trouvé un moyen pour l'enfermer quelque part (et certainement ici), avec plein de pièges magiques pour être certain que personne ne viendrait la toucher. Elle esquissa un sourire amusé à cette pensée, et reprit ;

- Perséphone : En fait, il s'agit plutôt de Jack l'Eventreur. elle laissa traîner un silence un court instant, afin de lui laisser le temps de se remémorer le nom du tueur. Ce n'est pas officiel, le Ministère ne m'a pas chargé de le prendre en chasse, je te rassure... Mais je pense que je vais le faire quand même. ajouta-t-elle avec un sourire ravie, sans penser que cela ne le rassurerait certainement pas. Il faut absolument l'arrêter. Ce qu'il fait aux femmes est ignoble... Tu ne trouves pas ? Alors je me suis dit que, comme je n'avais pour le moment aucune affaire de loup-garou, je pouvais bien patienter en le cherchant, lui.

La Chasseuse fit tourner sa cuillère dans sa tasse, avant de la porter à ses lèvres. Elle ne savait pas très bien comment elle allait s'y prendre, pour le moment. Ce n'était pas une décision qu'elle avait mûrement réfléchie... Puisque cette idée avait germé dans son esprit à son réveil ce matin ou, dans le meilleur cas, la veille alors qu'elle lisait le journal, et le Xème article sur le tueur en série.

(c) Loupiotte

 
MessageSujet: Re: As mad as a hatter, and his sister hunter | ft. Clarence   
As mad as a hatter, and his sister hunter | ft. Clarence EmptyMar 4 Juin - 12:11



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Dante Clarence Chester
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As mad as a hatter, and his sister hunter | ft. Clarence Tumblrmn9m1hncpo1qc61kajm La profession de Perséphone semblait être de remettre Clarence dans la réalité et d'être désespérée par son frère, comme l'attestaient son roulement d'yeux équivoques, que le chapelier balaya d'un sourire innocent jenevoisvraimentpasoùestleproblème. « -Samedi. » Ah. Ah ? Déjà ? Ah oui, donc effectivement, se procurer de l'eau propre et un pain de savon était peut-être temps. Oups. Mais l'atmosphère enfumée de son antre dissimulait l'odeur hein ? Voilà, il sentait bon le chapeau. Le sourire de Dante se transforma en une moue d'excuse : il faisait tâche par rapport à son élégante sœur qui semblait si bien élevée.

Le thé servit, Dante serra ses mains autour de la tasse, portant toujours un regard alarmé vers sa soeur. La chaleur du liquide remontait jusqu'à ses doigts et ses mitaines, y ramenant un peu de vie après la nuit passée sur le sol d'un atelier mal chauffé. Les doigts du chapelier pianotaient avec nervosité sur la tasse, alors qu'il attendait la réponse de Perséphone. Il attendait le pire, et était extrêmement doué pour imaginer le pire... et même pire si je puis me permettre. Lorsque la jeune femme posa sa main sur son poignet, il saisit vivement ses doigts entre les siens : pas question de la laisser s'échapper. Le geste se voulait rassurant, apaisant, mais l'effet était contraire : s'il avait besoin de ce geste... c'est qu'il y avait bien quelque chose, n'est-ce pas ?

« -Si je déménageais, je ne suis même pas sûre que tu t'en rendrais compte, vu le temps que tu passes ici. » Si c'était une manipulation de base pour le faire rentrer dare-dare au logis, cela marcherait : Clarence pressa fortement les doigts de la jeune femme dans les siennes, et s'apprêta à formuler une litanie d'excuses et de promesses ( qui ne seront pas tenues ) lorsque elle reprit. Mariage ? Elle comptait réellement se marier ? Il valait mieux pour elle qu'elle ne présente pas l'heureux élu, par ailleurs : les tests que lui feraient subir Clarence risquaient plus de le tuer que de le faire fuir.

« -En fait, il s'agit plutôt de Jack l'Eventreur. » … Si c'était le nom de son petit ami, il aurait pu choisir un meilleur nom. Dante fronça les sourcils avant de se remémorer les rumeurs que lui évoquait le nom. Il ne savait pas lire, il n'avait pas lu les nouvelles inquiétantes diffusées dans les journaux, ni les gros titres annonçant l'horreur. Il fréquentait des quartiers assez mal famés pour que les murmures qui s'échangeaient à ce propos soient terrifiés et dramatisent encore la réalité. Clarence fut parcourut d'un frisson, qui ne se communiqua toutefois pas à sa soeur.

« -Il faut absolument l'arrêter. Ce qu'il fait aux femmes est ignoble... Tu ne trouves pas ? Alors je me suis dit que, comme je n'avais pour le moment aucune affaire de loup-garou, je pouvais bien patienter en le cherchant, lui. »...n'ayant pas de loup-garou disponible pour me sortir les entrailles, allons demander à un tueur en série de le faire de leur part ! D'accord, Clarence était peut-être un peu paranoïaque...mais Perséphone était purement inconsciente ! Son sourire était...certes l'une des choses qu'il adorait chez elle. Mais actuellement il était aussi fou à lier : comment pouvait-il se réjouir de devenir la proie d'un psychopathe ? Après que Perséphone eut lâché cette bombe avec un grand sourire joyeuse, elle but une gorgée de thé. Pas Dante.

« -Tu es complèment folle ! » Cri indigné, hurlement halluciné. Non mais ça va pas ? Clarence bondit, renversa sa chaise, sa tasse de thé. « -Evidemment que c'est ignoble, cela va sans dire ! Raison de plus pour ne pas qu'il te le fasse à toi ! Les loup-garous c'est une chose, mais Jack l'Eventreur ! Non ! Non ! C'est te mettre en danger pour rien, pas question ! Non ! Il faut l'arrêter, des gens sont là pour ça, reste en dehors de ça ! Perséphone ! »

Il s'agitait en tous sens, arpentant la pièce comme un fou, un lion en cage. Ses bras s'agitaient, se levaient, frottaient ses boucles, ses tempes, se serrer contre lui comme s'il avait froid. Il prononça le nom de sa soeur dans un cri implorant, manquant de se jeter à genoux devant elle, et l'observa, suppliant, terrifié et désemparé.
 
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