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 Adonis Salomon Harlington. Dans la forêt des mal-aimées !

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MessageSujet: Adonis Salomon Harlington. Dans la forêt des mal-aimées !   
Adonis Salomon Harlington.  Dans la forêt des mal-aimées ! EmptyVen 8 Mar - 5:56



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Adonis S. Harlington
Adonis S. Harlington
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ADONIS SALOMON, HARLINGTON« citation. »
INFORMATIONS GÉNÉRALES.


SEXE:
ÂGE:
MÉTIER / MAISON :


ORIGINE:
SANG:
STATUT SOCIAL:

Informations Supplémentaires
citation de votre choix
◢ numéro de coffre Gringott's : 1203
◢ baguette magique : 26.75 fait de bois de noyer ayant comme composante un plume de phénix. La baguette est assez souple.
◢ effets personnels : Sa maisonnette.
◢ particularités : Déteste les femmes
Famille
citation de votre choix

◢ famille : La famille Harlington est une de sang-mêlé depuis plusieurs générations. Ils sont anglais depuis toujours. Le père d'Adonis est l'enfant aîné suivi de deux autres enfants de sexe masculin. Il a fait des choix divergents de la famille ce qui lui a valu un éloignement sec et soudain. Son mariage avec Juliette et son mode de vie n'était pas très appréciée du point de vue familial. Mais à quoi bon de tenter de ramener Agalon sur le droit chemin?

Qui veut gagner des Gallions ?
citation de votre choix


◢ à Poudlard/Beauxbâtons/Durmstrang/autres j'étais toujours celui/celle ...
    ☑ que les professeurs détestaient
    que les autres martyrisaient
    ☑ que les autres enviaient ou admiraient
    ☑ dont on ne se rappelait jamais le nom

Il est simple de constater qu'Adonis n'a jamais laissé sa place. Il avait du mal avec l'autorité. Le jeune homme de l'époque ne pouvait concevoir d'être contrôlé par un abruti. Il était l'unique maître de sa vie depuis qu'il avait les capacités de l'être.

◢ au petit déjeuner j'ai pris :
    ☑ un thé
    ☑ un jus de citrouille
    rien
    ☑ un café latte elfique double noisette crème
    ☑ un verre de lait de chèvre nature

Les boissons ! Que des boissons sans but lorsque nous sommes solitaires. L'eau lui convient parfaitement... peut-être même le whisky ? Eh bien non ! Adonis ne touchera jamais à une bonne goutte d'alcool. Il se tient loin de cette merde depuis si longtemps. Il ne succombera jamais. Quand Adonis dit, Adonis fait.

◢ mon chef...
    ☑ ... on est vraiment obligé d'en parler?
    je ne voudrais pas paraître arrogant/e mais le chef c'est moi
    ☑ j'en ai pas.
    ☑ un homme / une femme merveilleuse, aucun défaut, on devrait lui décerner l'ordre de Merlin...
    ☑ quelqu'un que j'apprécie

Le seul chef, c'est Adonis. Avec son ego surdimensionné, il ne peut mâle alpha dans la même place. Il trouvera toujours le moyen d'essayer d'éclipser son adversaire. Prenez garde, c'est un fourbe. Il ne joue pas fair-play

◢ mon bar préféré... :
    ☑ l'Amortensia
    ☑ le Chaudron Baveur
    ☑ le Lupanar
    ☑ Chez Mme Pieddodu
    ☑ Mocca Cacao !


Adonis déteste l'alcool. Il a une sainte horreur. Aucun bar n'est son favori. La tentation pourrait être si grande pour craquer comme le sale ivrogne qu'était son père.

◢ quand j'étais petit/e je voulais être... Roi.
◢ quand je rentre chez vous le soir...
    je m'enferme dans mon bureau pour faire mes comptes
    ☑ je m'affale sur le canapé et attend que mon époux(se)/mes enfants/mes serviteurs/mes amis me rejoigne(nt)/me serve(nt) un rafraîchissement/m'invite(nt) à sortir en ville
    ☑ je vérifie que le plus grand a fait ses devoirs et que la table est mise pour le dîner.
    ☑ ... il faudrait déjà que je rentre.


Les comptes pour la bonne vie de luxe qu'il se paye depuis qu'il est langue-de-plomd. Il ne pourrait supporter d'être tombé aussi bas que sa jeunesse avant de devenir l'être qu'il est présentement.

◢ l'endroit où je n'irais jamais :
    la bibliothèque municipale
    ☑ le marché aux trolls
    ☑ la cour de Victoria d'Angleterre
    ☑ les prisons pour indigents


Par pitié, pas les places publiques. Il a horreur des gens. Une bibliothèque municipal, ce n'est bon qu'à faire brûler. Quoique que ça ferait un bien joli feu. « FEU, feu ! Joli, feu ! »

Anecdotes
citation de votre choix


Adonis s’est fait prendre en train d’enfouir son nez dans les souvenirs de sa mère. Dans un élan de colère, il s’est battu. Il a passé tout près de se faire renvoyer de Poudlard
« Tu veux un verre ? » « Non » « Allez, tu vas te détendre. » « Non. » « Allez, bois ! » Il prit le verre pour le renverser sur la tête du jeune garçon qui avait tenté à vain de faire boire Adonis l’anti-alcoolo !
Adonis s’est rapproché de son oncle avec qui il a partagé de bon moment, comme le fait de lancer une simple balle dans la cour arrière de la grande maison. Un bon moment gravé dans sa mémoire. Peut-être est-ce son oncle qui a aidé Adonis à ne pas commettre un meurtre réel ? Qui sait ?

Pensine
citation de votre choix

À quoi bon le mariage ? C’est la fin du bonheur où la face cachée des personnages surgissent pour le meilleur, mais surtout pour le pire. Cela se résume toujours au pire. Les protagonistes finissent par ne plus avoir cette « magie » dont ils parlent tant. Je l’ai découvert à mes dépends bien rapidement. Ne croyez surtout pas que j’étais fiancé, encore moins marié. Non. J’étais plutôt très jeune. Je fus le fruit d’une relation amoureuse, mais surtout très sexuel. Ah oui ! Le père, il a levé la jupe de la mère. Vous voyez… ? Père aimait bien enfiler mère comme je l’ai déjà entendu dire. En fait, je n’étais pas dans les projets du père, Agalon. Il avait des projets sous la jupe de ma mère, Juliette. Passons ! Les sombres desseins de mon père sont loin d’être mes préférés. Cet homme, je le hais depuis le premier souffle de vie. Agalon était ingérable, alcoolique, pervers et violent. Je n’ai jamais aimé voir mère pleurée après avoir reçu une correction. J’aimais tant mère. Elle était le centre de mon univers. Elle était mon monde. Elle était ma mère après tout. Mon père était un parfait inconnu. J’avais peut-être trois ans quand je compris mes sentiments partagés. J’avais un grand penchant pour le sexe faible, la femme. Mon père me dominait à cette époque.

Il était une fois, moi, Adonis Salomon Harlington, jouant dehors - comme tous les jours – durant que père s’occupait de maman. Je n’ai jamais essayé de comprendre ce que père lui faisait, mais Juliette revenait parfois blessée ou en pleure. Quand maman pleurait, je devais lui faire un câlin comme lorsque moi aussi je pleurais. Maman ne pouvait pas pleurer, si elle pleurait, c’est qu’elle avait mal ! Elle ne pouvait avoir mal, c’était ma maman. J’espérais secrètement que ma maman ne se fasse mal encore une fois. Qu’est-ce que père pouvait bien trafiquer avec mère dans la maisonnette ? Pourquoi devais-je jouer seul dans la boue autour de la maison ? J’avais un périmètre délimité par Juliette. Elle ne voulait pas que je dépasse la borne là-bas, puis celle-là. J’avais quelques vieux bols que ma mère m’avait donnés. Nous n’étions pas bien riches. Père dépensait souvent l’argent qu’il gagnait durant la semaine pour s’acheter son précieux alcool. Père m’avait déjà fait sentir un liquide qu’il avait concocté dans une pièce fermée de la maison… c’était d’une horrible odeur. Bref, je n’aimais décidément le liquide que mon père concoctait, achetait et buvait. En plus, Agalon devenait étrange. J’avais terriblement peur de lui tout comme mère. Il devenait violent. Il donnait à tort et à travers des corrections à ma mère. Parfois, sa main s’abattait sur moi pour marquer ma joue, mon bras, une fesse, mon ventre… Aucune partie de mon corps n’était à l’abri de ses grandes mains. Je n’aimais décidément pas mon père et encore moins son liquide. Son précieux liquide. Mère sortit de la maison titubant jusqu’à moi. Elle semblait terrorisée. Je fronçai les sourcils malheureux. « Maman? » dis-je pour me rassurer, même si c’était bien elle. Je le savais. Ma maman était unique. Je ne pouvais me tromper. Juliette s’accroupit devant moi. « Mon petit Adonis, mon petit » . Je lâche mes bols pour écouter maman. Elle semblait avoir quelques choses à me dire. « … Tu vas garder un secret, mon petit ? ». Je cligne des yeux attendant la suite. Ma mère attendait pourtant une réponse de ma part. « Oui ». Elle caresse ma joue doucement. Je ferme les yeux profitant de ce moment de tendresse. Je sais que si père surprenait cet élément d’affection, il trouverait le moyen de casser le moment entre une mère et son fils. Il disait que ce n’était pas fait pour un homme ( un prochain homme ) l’amour et les caresses. « Ce soir, tu prépares un petit sac avec ton doudou et quelques petits jouets. Nous partirons. Agalon n’est pas une bonne personne. Il finira par nous faire du mal, Adonis. Tu comprends ? » Je cligne des yeux ne sachant quoi répondre. Agalon était mon père. Il n’était pas dans les projets. L’amour que je portais à ma mère était si grand que je ne pouvais être déloyal. Le petit garçon que j’étais devait se taire. « Mais… où allons-nous maman ? » « Loin, mon petit. Nous fuyons. Nous allons rejoindre la famille… » Je souris à Juliette. Combien de fois avait-elle parlé de sa famille dans les contrés du nord où père avait été la chercher. Maman m’avait souvent décrit papa avant leur mariage. Juliette ne venait pas d’Angleterre. Elle venait loin où il faisait très froid. Apparemment, papa au courant de ses études avaient parcourue une vaste étendue. Après tout, nous étions une famille de sorcier, même si je n’avais point vue mes propres capacités magiques. Je n’étais qu’un petit garçon encore. J’avais du temps à découvrir. « Maman… mon sac sera prêt. »

Le temps arriva où mère entra dans ma petite chambre où mon sac était caché sous le lit. J’avais mis mon doudou, quelques petites figurines en bois, mon sac de bille et quelques bonbons que j’avais gardé tout au long de l’année. Je me privais souvent pour en garder à long terme. J’étais toujours ainsi. Juliette me réveilla doucement en me faisant signe de me taire. Père ronflait sur la chaise berçante devant le feu. Il avait certainement bu l’affreuse boisson qu’il aimait tant. Je me penchai encore un peu endormi sous le lit pour ramasser mon petit sac. Maman rajouta quelques trucs dans le sac, je crus voir qu’il y avait en général de la nourriture. Elle me prit par la main. Je marchais sur la pointe des pieds espérant que père ne se réveillerait pas. Je ne voulais pas être pris sur le fait. Ma mère s’arrêta un instant me faisant face. Elle se baissa à mon niveau pour me chuchoter à l’oreille : « Je ne t’abandonnerai jamais quoiqu’il arrive, je viendrai te chercher ». Nous avions un air grave. Étrange pour un petit garçon approchant l’âge de quatre ans. J’hochai la tête. Je me suis rendu contre que les ronflements de père étaient présentement inexistant. « ESPÈCE DE SALOPE ! » rugit-il en arrivant dans le couloir tout près de la porte où nous étions. Ma mère me prit violemment par le bras prenant la fuite à pied. Elle tentait de se sauver de façon purement moldu. Que faisait-elle ? J’entendis les pas de mon père. Mon sac fût tiré par mon père. Ma mère tirait sur mon bras. J’étais tendu au maximum. « Maman. Maman. Maman ! » dis-je sans arrêt, mais son regard passa un instant sur moi, puis sur mon père. Elle me lâcha me laissant avec père. Elle avait décidé. Elle partirait sans moi. Sans moi. Douleur profonde. Ô quelle douleur. « MAMAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN ! » criai-je dans la nuit la voyant disparaître dans un craquement sonore. Elle avait pris la fuite. Je reçus une claque avant de me faire tirer par les cheveux que dans ma chambre où je passai deux journées entières pleurant la perte de ma mère et la violence de mon père.

« Dis-moi ton prénom petit. » Je reculai lorsqu’il approcha sa main de trop près de moi. J’avais passé six ans avec Agalon dans des conditions épouvantables. Le départ de ma mère l’avait secoué. Il n’avait plus personne sur qui taper à part moi. Il avait la main qui lui démangeait plus facilement, mais surtout il buvait beaucoup plus. C’était un soir où il avait beaucoup trop bu. J’avais l’habitude de le réveiller doucement le traînant parfois jusqu’à son lit ou tout simplement lui emmener une couverture. J’étais au petit soin du père, parce que j’étais effrayé. Quel reproche me fera-t-il ? Que me fera-t-il surtout ? Demain, est-ce qu’il me permettra de manger ? Je ne savais jamais comment mon père réagira. Du coup, je ne l’avais pas vu celle-là. J’avais appris les signes où je devais prendre la fuite ou m’attendre de recevoir une correction non-mérité. Je n’avais décidément pas vu ce soir-là à quel point que père était violent. Il avait envie de fracasser des têtes dont la mienne. J’avais touché son bras. Il s’était levé d’un bond en hurlant des choses dont je ne compris rien. Pourtant, je savais que ce n’était pas des qualités. Mon père me haïssait. J’étais celui qui avait apparemment brisé son mariage et son bonheur. Il ne cessait de répéter depuis son départ que c’était elle qui me voulait. Je n’étais pas un être désiré et désirable. Il leva le bras avec lequel il tenait une bouteille de vitre soit celle qui contenait le précieux alcool de père. Il la fracassa sur ma tête. Une douleur cuisante à la tête. Je m’effondrai. Maintenant, j’étais chez le frère de mon père. J’avais compris qu’Agalon avait fait une croix sur sa famille pour vivre avec ma mère. Il n’était pas très aimé dans sa propre famille, mais apparemment il avait voulu me prendre. À voir mon état, il m’avait surement en pitié. J’avais encore la tête blessée : la bouteille avait éclaté sur ma tête me lacérant la peau en même temps que de m’assommer. Mon père m’avait laissé sur le sol avant d’aller se mettre au lit. Ce ne fut que le lendemain matin qu’il se rendit compte de son erreur où il décida de se débarrasser de moi en reprenant contact avec son frère avec qui il n’avait pas discuté depuis au moins dix ans. J’en étais là. Je ne disais aucun mot à cet homme sursautant à chaque fois qu’il bougeait. Je ne voulais pas être ici. Ma mère allait me chercher ! Je ne perdais pas espoir. Elle avait promis. Elle m’avait promis. C’était la moindre des choses que de respecter. J’étais son petit garçon après tout. J’étais peut-être naïf, mais je voulais repartir chez moi. Je tournai le dos à l’homme me dirigeant vers les valises que j’arrachai aux mains des elfes de maison. Je vis du coin de l’œil mon oncle se frottant le front un peu mal à l’aise de mon comportement en me battant avec l’elfe. Je voulais récupérer cette saleté de valise. Je laissai échapper quelques grognements tout en tirant sur la valise. Je tombai sur le sol à la renverse. La valise s’ouvrit d’un coup. Une multitude d’objet féminin était étalée à la merci de la vue des autres. Je me hâtai d’amasser le tout pour cacher mon petit secret. Mon oncle, David, s’approcha de moi pour venir m’aider. « Tu n’as pas à avoir honte… » dit-il en touchant les effets personnels de ma mère. Paniqué, je lui arrachai des mains avant de fuir avec la valise brisée. Je me cachai tout en autant que mes valises. J’étais un animal effrayé qui se terrait. J’avais refusé de me nourrir, j’avais refusé de le voir dans un silence. Un silence troublant pour un enfant de mon âge. J’étais un être à part. J’avais perdu toute émotion normale. J’étais un enfant terrorisé en pleine transformation. Je m’endormis très tard dans la nuit sous la couche serrant une robe de ma mère contre moi. Elle me manquait. J’avais encore toujours espoir. Je lui rapporterai son dû.

« Adonis ! Arrête. » « RIEN à foutre. » «Tu n’oserais pas ?! » « Rien à foutre !» dis-je en détaillant la jeune femme fixement devant moi. Elles étaient tous au même niveau. Des sales connes ! Combien de temps s’était-elle plainte d’avoir gardé silence durant ma première année à Poudlard. Ils auraient dû me garder dans mon mutisme. Mon silence s’était muté en une colère, une haine et une violence que je n’avais jamais connue. J’avais vécu un réel enfer. Je le partageais à ma façon en leur faisant vivre certaines situations que personne ne voudrait vivre. N’ayez crainte, je suis peut-être un peu fou, débile, crétin et complètement dément, mais je ne violerai jamais une sale conne ! C’était dégoutant. Cette fille geignant devant moi m’avait énervé au plus haut point. Je l’avais bien averti de se taire et d’arrêter d’essayer de me rendre meilleur. Elles étaient toutes stupides ! Elles tentaient toutes de me sauver. Laissez-moi rire ! Ses choses-là : hypocrite, fourbe et menteuse qui vous suçait jusqu’au dernier souffle de vie voulaient me sauver. C’était totalement idiot. Je traînais cette charmante poufsouffle qui jouait tout bonnement les héroïnes. Je lui avais laissé des chances. N’aies-je pas été bon ? Si. Alors, il était temps de lui faire payer. « Je t’en supplie.» « Tais-toi ! » Je tirai sur sa longue tresse la trainant dans les couloirs vides du château. Elle me reluquait quand je l’ai aperçu. Saleté de bonne femme, elle ne méritait que de se faire haïr. « Adon... » Je lui mis mon mouchoir dans la bouche afin de la faire taire. Je n’étais décidément pas aimé par le corps professoral, mais les sentiments étaient partagés. Je l’emmenai jusqu’aux toilettes des filles où je la noyai par intermittence. Elle se débattait. L’entendre pleurer était une douce mélodie à mes oreilles. « Maintenant quand je te dirai tais-toi… tu comprendras le message. N’essaye pas de me sauver, bébé, tu subiras toujours pire. Un jour, je te jetterai d’une des tours. Je te regarderai t’écraser sur le sol… » Je souris. « Ton joli minois tout défait. Je me demande bien ce que tu ressemblerais… » Ses yeux écarquillés me prouvaient bien sa frayeur. J’étais fier de lui avoir fait du mal. Je ne l’avais pas tué bien que parfois la mince ligne de l’homicide n’était jamais bien loin. Elle n’avait qu’à écouter mes avertissements, mais que voulez-vous… elles étaient toutes connes. Aucune ne se rattrapait. Aucune ! Quand Adonis dit, c’est qu’Adonis a raison. « Si tu parles, je te jette du haut d’une tour… pigé !? »

« Adonis, je te dirai de laisser une chance aux gens. Peut-être qui sait de pardonner … aux sexes féminin ? » Mon regard croisa le regard de mon interlocuteur. J’avais dédain de la femme. J’avais réussi à retracer ma mère. Elle m’avait remplacé. J’avais brûlé tout souvenir d’elle. J’étais détruit. J’avais eu cet espoir que peut-être elle avait eu du mal à me retrouver. J’étais un idiot d’avoir eu autant de patience. Comment moi, Adonis, avais pu être si faible. Je n’y prendrai plus aux jeux. « Les femmes sont des chiennes. Elles mentent. Elles ne veulent que détruire. Au fond, elles se disent bonnes, mais je les vois venir. Je ne me laisserai pas prendre aux jeux. Oh non ! J’ai bien appris moi. » dis-je en parlant à mon seul ami. J’étais à ma dernière année à Poudlard. « Et les hommes, je les déteste autant. Ils sont plus pardonnables. Elles nous rendent fou. C’est de LEUR faute à elles. Je ne pardonnerai jamais à une … une… » Je laissai échapper le mot avec le dédain le plus total. « Femme ! » Mon unique ami me fit un sourire en coin. « Je suis persuadé que tu as craqué pour Cynth… » Je levai la main. « Qu’a-t-elle fait encore ? Ah oui ! Elle est partie dans les bras du premier bâtard. Les femmes ne sont que des trous à remplir. Elles sont sales et crades. Je les hais. »

À 32 ans, je suis toujours aussi seul. Je travaille au sein du ministère de la magie en tant que langue de plombs. J’ai la vie que je n’ai jamais eue. Je ne manque plus de rien. J’habite dans une grande maison, seul. Aucune personne ne me dérange. Pourtant, j’avais encore ce grand dédain pour l’espèce humaine en particulier la femme. Peu de femmes avaient entré dans mon estime. Certaines si, mais elle était des êtres à part. Au même niveau que moi, Adonis. Être supérieur à la majorité des gens. Beauté spectaculaire. Dieu en somme. J’étais l’homme par excellence. L’idéal inatteignable. Étais-je heureux du haut de mon piédestal ? je répondrai que par un haussement d’épaule. Je n’étais jamais sûr de moi-même. Je m’ennuyais. Embêter les gens me manquent. Je pouvais bien enquiquiner les secrétaires, mais elle me claquait la porte au nez. Je crois qu’elles me connaissent par réputation fuyant lorsque j’arrive. Je prévois écraser les nouveaux enfants de ma charmante mère. Je suis prêt à les exterminer jusqu’au dernier pour qu’elle souffre autant de moi. Ils souffriront autant que j’ai souffert. Je n’avais pas à vivre ce que j’ai vécu. Ils vivront ce que leur charmante Juliette m’a fait. Ils écoperont de ses erreurs. Mais j’attends l’heure… Mes sombres desseins. Pour l’instant, j’ai encore du travail. À la découverte, à moi, l’unique dieu, Adonis !


Derrière l'écran
eh ouiii, c'est fini o/

◢ prénom, pseudo : Mawie, Lou, Marie-Lou, Lalou, Lilou. C'est comme tu veux, je m'adapte.
◢ âge : 19 ans. Je suis vieille maintenant.
◢ z'êtes d'où ? Amérique du nord, Canada, Québec, Marieville.
◢ un p'tit mot pour la route ? Vous m'avez manqué <3


Dernière édition par Adonis S. Harlington le Sam 9 Mar - 7:06, édité 31 fois
 
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Adonis Salomon Harlington.  Dans la forêt des mal-aimées ! EmptyVen 8 Mar - 6:26



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Origine : Anglaise (Gloucester).
Préférence Magique : Mage Noir.
Familier : n/a.
Lord James A. Grey
Lord James A. Grey
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What a Face J'te dis bienvenue, mais tu sais quand même ce que je pense de tout, de toi, du reste, du perso. BREF. JTE VIOLE. Sous un autre perso, parce que bon... quand même...
 
MessageSujet: Re: Adonis Salomon Harlington. Dans la forêt des mal-aimées !   
Adonis Salomon Harlington.  Dans la forêt des mal-aimées ! EmptyVen 8 Mar - 6:32



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Adonis S. Harlington
Adonis S. Harlington
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    Gardes-toi une gêne... Les gens vont nous voir !
 
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Adonis Salomon Harlington.  Dans la forêt des mal-aimées ! EmptyVen 8 Mar - 9:37



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Aramis Von Baer
Aramis Von Baer
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Mawiiiiiiiiie ! Contente de te voir là !! *w* T'es plus que la bienvenue bien entendu ! A bientot dans le jeu <3
 
MessageSujet: Re: Adonis Salomon Harlington. Dans la forêt des mal-aimées !   
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http://zerovengeance.livejournal.com/

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Origine : Anglo-Germanique.
Préférence Magique : Vieille Magie.
Ansgard Mustang
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Adonis, le psychopathe ! youpi
 
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http://lostuniverse.frbb.net/

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Origine : Russe
Adam Ivanov
Adam Ivanov
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Mawiie wub
 
MessageSujet: Re: Adonis Salomon Harlington. Dans la forêt des mal-aimées !   
Adonis Salomon Harlington.  Dans la forêt des mal-aimées ! EmptyVen 8 Mar - 16:05



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Adonis S. Harlington
Adonis S. Harlington
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    BenJ' reconnu ! Merci <3
    Mais les deux autres, j'ai des doutes <3, je vais le découvrir. Merci beaucoup <3 *O* je suis contente d'être ici.
 
MessageSujet: Re: Adonis Salomon Harlington. Dans la forêt des mal-aimées !   
Adonis Salomon Harlington.  Dans la forêt des mal-aimées ! EmptySam 9 Mar - 0:18



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Mademoiselle Mustang
Mademoiselle Mustang
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Mawinouuu *.*
 
MessageSujet: Re: Adonis Salomon Harlington. Dans la forêt des mal-aimées !   
Adonis Salomon Harlington.  Dans la forêt des mal-aimées ! EmptySam 9 Mar - 0:30



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Adonis S. Harlington
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    Mais c'est quoi ce surnom ? Surprised Tu as chopé ma maladie des surnoms débiles ? uhuh <3
 
MessageSujet: Re: Adonis Salomon Harlington. Dans la forêt des mal-aimées !   
Adonis Salomon Harlington.  Dans la forêt des mal-aimées ! EmptySam 9 Mar - 7:06



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Adonis S. Harlington
Adonis S. Harlington
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    Désolée du double post. En fait, vous n'allez peut-être pas me croire. J'ai terminé
 
MessageSujet: Re: Adonis Salomon Harlington. Dans la forêt des mal-aimées !   
Adonis Salomon Harlington.  Dans la forêt des mal-aimées ! EmptySam 9 Mar - 13:43



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Sven Mustang
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Ton dossier vient d'être traité, et tu as été accepté sur la Terre d'Ad Nox. Sois en autant heureux que nous le sommes ! C'est donc ici que commence ton périple jeune aventurier, et pour cela, il te faudra beaucoup de courage. Nous te souhaitons dores et déjà de t'intégrer au mieux dans notre communauté, d'y lier des liens qui deviendront peut-être, qui sait, importants.

Alors j'ai tout simplement adoré ton personnage. D'ailleurs lire ta fiche avec Flo Rida, c'était assez marrant. Non mais franchement, ton personnage est dément, ta façon d'écrire a énormément changé, et je ne trouve rien à redire d'autres que Bienvenue Mawiiie Smile.

/!\ N'oublie cependant pas de faire un tour dans les liens ci-dessous !


 
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