 Sujet: Touch the Last Hope [PV GAELLE]
Sam 18 Avr - 15:45
| | Invité
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- Monsieur Coltrane, La médecine de St Mangouste ne peut malheureusement rien pour votre fille, Elle souffre d'une maladie infectieuse pour laquelle nous n'avons pas de remède... - Ne vous foutez pas de moi! il existe bien quelque chose pour la guérir!- Il y a bien une chose oui une plante disparue depuis plus de 120 ans, la Yerland originaire d'Ecosse, mais j'ai bien peur que tout les stocks soit épuisés depuis pas mal d'année maintenant... Les herboristes qui pourrait en posséder ne vous la donneront pas pour rien soyez en sur... Elle se vend très chère et encore faut il en trouver un herboriste en sa possesion- J'irais...- N'y pensez même pas les herboriterie de la région ne possède pas de Yerland...Vous aurez un peu plus de chance à Edimbourg... Jackson était désemparé, sa fille était entre la vie et la mort, il s'il voulait croire en l'espoir de sa survie il fallait qu'il se rende à Edimbourg. Non pas que voyager le dérangeait mais au cas où il trouverait cette plante, sera t'il revenu à temps? Et s'il n'y avait aucune trace d'une Yerland, devra t'il accepter de laisser Léa mourrir? Le madicomage préféra s'éloigner alors que Sarah était assise au chevet de son enfant resserant sa petite main frêle. Elle était tombée dans le comas depuis plusieurs jours et de la voir de la sorte donnait l'impression qu'elle avait déjà quitté le monde des vivants. Jackson se rapprocha de sa femme et lui passa une main délicate et réconfortante dans le bas de son dos. Sarah ne savait pas retenir ses larmes et celle ci coulaient sur ses joues sans le moindre effort. La maladie de sa fille avait rapproché le couple, comme si l'on a toujours besoin de malheur pour retrouver une partie de sa vie que l'on croyait belle et bien perdue. Ces derniers temps, ils ne se parlaient plus vraiment. Sarah reprochait à son mari d'être trop distant et ne penser qu'à son travail. Quant à Jackson il n'acceptait pas le fait que Sarah soit aussi égoiste et qu'elle ne comprenne pas qu'être rédacteur en chef d'un journal tel que la gazette du sorcier demandait beacoup de temps et de sacrifice. ils avaient même évoqué un soir de dispute le mot divorce, comme si cela aurait pu arranger les choses. Jackson avait préféré oublier ce mot sachant très bien que ce ne serait pas l'idéal pour ses efants. Pour qu'il aient un bonne équilibre, les enfants ont besoin de leur deux parents respectifs. >> Jackson: J'irais à Edimbourg dès demain matin, je prendrais Denver avec moi pour que tu puisse rester au près de Léa... La voix de Jackson était quelque peu tremblante, mais surtout fatiguée de tout ses évènement. Sarah ne préféra pas répondre, acquiessant juste d'un signe de tete tout en pinçant ses lèvres et en contentant ses larmes chaudes qui continuait de ruisseler jusque dans l'entrée de son cou. L'ex Griffondor déposa ensuite un léger baiser sur la joue de sa femme puis posa un dernier regard sur le corp inerte de Léa. Il quitta l'hôpital le coeur lourd de devoir laisser les deux femmes qu'il aime sans réconfort. One Day later... >> Jackson: C'est simple Denver, il suffit juste que tu tienne bien à moi et il ne t'arrivera rien?>> Denver: Papa, j'aime pas quand on transplane. Et si on prenait l'oiseau de fer Moldu?>> Jackson: On a pas le temps de prendre un Avion mon fils, pense à ta soeur... Il n'eut pas fallu un mot de plus pour que denver s'aggripe de toute ses forces à la taille de son père. Jackson prit une profonde inspiration avant de disparaitre tel un fantôme. Edimbourg la capital des fleurs et de la verdure, tout semblait sortit d'un compte de fée. En cette saison c'était tout simplement magnifique ce mélande d'odeur et de couleur, ses sifflement et chant d'oiseau qui vous font penser à une contines que vous chantait vote mère avant de rejoindre les bras de Morphée et ses gens qui semble si décontracté, qui semble vivre sans le moindre ennuis... Coltrane père et fils venait d'atterir dans un parc qui d'après la pancarte noir et blanche s'appelait Hope's park. Destin ou coïncidence dieu seul sait... si toutefois il pouvait exister dans un monde aussi chaotique. Jackson s'empressait de prendre son fils par la main et d'interpeller une Grand-mère qui avait bien du mal à mettre un pied devant l'autre "Excusez moi, je cherche l'herboristerie du coin..." Every Week before La plume à papotte avait disparut depuis que Jackson L. Coltrane était devenu redaceur en chef à la gazette du sorcier. Rien de tel que les bonnes vieilles méthods. C'est donc muni de son calpin qu'un journaliste de la gazette se tenait debout devant une jeune femme. - Alors Miss Llelwellan, Depuis combien de temps tenez vous cette herboristerie? Et puis votre handicap de ne pas avoir la vue est t'il un poid pour votre métier? je veux dire ce doit pas être facile de gerer des centaines de plantes quand on ne peut pas les voir... Le journaliste avait pour réputation d'être direct sans pour cela vouloir vexer. C'était sa méthode et elle avait souvent fait ses preuves. Pour beacoup de personne ce n'était pas évident de parler de choses un peu tabou mais ca ne dérangeais pas le moins du monde notre Timothy officiel. La jeune aveugle se tenait devant lui pret à répondre à ses questions. Ce reportage était sa propre idée, il lui avait juste fallu de demander l'autorisation à Coltrane, qui lui donna son accord immédiatemment, il était pour promouvoir ces petits commerce qui travaillait dans l'ombre mais qui était au monde magique même si les sorciers ne leurs accordait pas vraiment d'importance. |
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Sujet: Re: Touch the Last Hope [PV GAELLE]
Sam 18 Avr - 16:23
| | Invité
désolée c'est franchement court, j'ferais mieux pour la suite. u.uElle faisait un gros, très gros effort. Si, si, un très gros effort en prenant sur elle pour ne pas envoyer bouler le gratte-papier et ses questions indiscrètes. Qu'est ce qui avait bien pu pousser la celte à accepter d'y répondre ? Peut être parce que c'était le moyen le plus rapide et le plus efficace pour se débarrasser des enquiquineurs, leur donner ce qu'ils voulaient. En l'occurrence, peut être que le mettre à la porte directement aurait été plus indiqué... En tout cas ça lui aurait fait du bien. Avec un discret soupir elle se prit à regretter l'absence de Noir, caché dans le jardin pour ne pas effrayer le sorcier indiscret et conserver une once de tranquillité, qui serait sûrement vite menacée si l'existence du sinistros venait à s'ébruiter. Pianotant du bout des doigts sur son bâton, l'aveugle se força à se concentrer sur les questions du reporter.
- Alors Miss Llelwellan, Depuis combien de temps tenez vous cette herboristerie?
- Cela fait un certain temps maintenant...
Elle fronça les sourcils en entendant la suite, grimaçant intérieurement, de quel droit osait-il ? Est ce qu'un centaure savait lire la course des étoiles ?
- Et puis votre handicap de ne pas avoir la vue est-t-il un poids pour votre métier? je veux dire ce doit pas être facile de gérer des centaines de plantes quand on ne peut pas les voir...
- Pas plus que votre manque d'éducation ne semble vous empêcher d'exercer votre métier. Je veux dire que ce ne doit pas être facile de déambuler au milieu des gens et de les voir sans vraiment prêter attention à ce que vous avez sous les yeux. Reconnaître une plante à la vue est une gageure, surtout quand certaines variétés vénéneuses ressemblent comme deux gouttes d'eau à une variété sans danger pour l'homme. Il faut savoir se fier à ses autres sens, ne croyez vous pas, monsieur...?
Elle chercha un instant le nom de l'homme, sans parvenir à s'en souvenir et se rappela maussade qu'il ne s'était pas réellement présenté, hormis par "Je suis journaliste à la gazette du sorcier." Tout compte fait peut être aurait-elle du effectivement le mettre à la porte directement. Avec un nouveau soupir résigné, l'herboriste se cala davantage dans son fauteuil, cherchant dans sa tête les mille et unes meilleures manières de se débarrasser d'un gêneur. |
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