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 Caleb • Ce n'est pas toujours facile d'être gentil FINII

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MessageSujet: Caleb • Ce n'est pas toujours facile d'être gentil FINII   
Caleb • Ce n'est pas toujours facile d'être gentil FINII EmptyLun 2 Mar - 19:22



Invité
Caleb • Ce n'est pas toujours facile d'être gentil FINII Empty





CALEB, ANDERSEN.
17 ans.
Élève .

_________________________________


Spoiler:

    Passeport de Caleb.

    • Prénom Nom : Caleb (Andrew, Mickael) Andersen
    • Date de naissance : 15 mars 1984
    • Lieu de naissance : Liverpool
    • Origine Géographique :
    • État civil : Marié *out*célibataire.



    En profondeur, une esquisse.

    • Baguette magique : bois de sapin, contenant un poil de griffon
    • École fréquenté durant l'adolescence : Poudlard
    • pureté du sang : sang pur.
    • Origine Sociale : assez riche.


    Chapitre un : Qui aurait su nous le dire, qui aurait su nous l’écrire ? Qui avait la solution ? […] Fallait grandir.
    La grande Sophie.

    « Et voilà, tu sais tout. »
    L’enfance, l’époque de la pleine innocence, l’époque où ne se doute de rien, l’époque où tout est facile. On peut faire des bêtises et les parents ne nous punissent que de dessert, On peut proposer son aide, on sait qu’on ne servira a rien, parce qu’on est trop petit et que nos parents on peur pour nous. A Cette époque là on ne se doute de rien, on pense que nos parents s’aiment vraiment, que le monde est joyeux et qu’on s’amuse tout le temps. A cette époque là on veut vite devenir grand, pour être pompier ou policier, les deux seuls métiers qu’on connaît. A cette époque, si t’es nouveau tu viens jouer avec les autres, comme si tu avais toujours été là. Bien sur, il y avait des mères seules, des
    gosses de riches trop gâté qui prenaient leur nounou comme leur mère, des
    parents chétif et des parents brutaux, mais quand même, la plupart des gens
    faisaient un minimum attention a leur enfant, aussi mal l’élevaient-ils. Caleb,
    lui, était né d’une famille plutôt riche, en premier. Quelques années plus tard, deux ans exactement, une petite fille naitrait à son tour.
    Le lieu, l’époque ? Liverpool, dans les années 80. Les années où Caleb est né. A 5 ans, seulement, on commençait déjà à se confier a lui, a se prétendre son/sa meilleure amie. Lui n’osait rien dire, parce qu’il ne voulait blesser personne. Les gens, aussi bizarre que ça puisse paraître, se sentaient en confiance, avec lui, et lui parlait. Sa nounou pour l’école, même, se confiait à lui. Les vieilles dames se sentaient obligées de lui donner des bonbons et de lui dire qu’il ressemblait à leur fils quand il avait son âge. La mère de Caleb était fière de lui, parce qu’en plus, il était sage et calme a l’école. Ce n’était pas un élève brillant, mais il faisait des efforts pour réussir. Et personne ne le détestait. Cette petite fille, que vous voyez assise sur le rebord du pont, a côté de lui, s’appelle Allison. Ses parents ne sont
    pas très riches, et son père venait encore de vendre un meuble pour vivre.
    Caleb, lui, savait quoi dire. Comme toujours. Il trouvait toujours les mots qu’il fallait, même si parfois il devait mentir.
    « Ça va passer, ne t’inquiète pas. Il arrive toujours quelque chose de bien après la tempête. Et puis, peu importe si tu es pauvre ou riche, ce qui compte, c’est ce que tu es toi, alors t’en fais pas. Au pire, je pourrais te prêter des sous quand je serais grand. »
    La fillette lui sourit, et lui déposa un baiser sur la joue. Elle s’en alla, le cœur léger, en chantonnant et en trottinant, bien inoffensive, rassurée et contente. Elle dirait ça à ses parents, surement. Caleb haussa les épaules et rentra chez lui, rassuré lui aussi. Liverpool était une grande ville. Mais depuis tout petit, il habitait là, et il n’allait jamais explorer des endroits qu’il ne connaissait pas. Ses parents avaient lourdement insisté là-dessus, et il n’était pas assez courageux pour s’aventurer tout seul. Enfin, c’était à cause des histoires de la ville, aussi. Des histoires pour effrayer les enfants. Celle-ci disait que la ville abriterait un monstre et on saurait pas où il habite. Et Caleb, comme tous les petits garçons de son âge, la croyait. Il croyait a la magie, aussi. Mais lui, il avait de bonnes raisons.
    En arrivant devant chez lui, il frappa a la porte, trois coups, signe qu’il était tout seul mais qu’il arrivait.
    « Entre »
    Le petit garçon s’avança vers son père, tandis que sa mère surveillait le balai et le plumeau qui faisaient le ménage. Ses petits engins là était très forts pour casser des objets, pire que les hiboux. Son père leva les yeux sur lui, ses yeux vert comme son ancienne maison dans l’école de Poudlard : Serpentard. Sa mère, avec ses yeux bleus et ses cheveux châtains, venait elle aussi de cette maison et de cette école. Ils étaient des sorciers. Et, tous les jours, ils initiaient leurs enfants, fils et fille, a faire de la magie, pour être les meilleurs. La famille Andersen était comme ça : toujours en compétition. Caleb avait du mal a supporter et sa sœur qui l’adorait avait aussi du mal. Elle n’avait que trois ans, et était déjà obligée de faire de la magie. Elle maîtrisait déjà le sort de la lumière, bien qu’il soit faible. Les parents de Caleb travaillaient tous les deux au ministère, et avaient acquis une autorisation pour faire de la magie chez eux, mais bien sur ils avaient des systèmes de sécurité importants, qui permettaient de faire en sorte que les moldus ne voient rien.
    « Papa, Allison a pas beaucoup de sous, est-ce que tu vas lui en prêter ? »
    Le père recracha son café, liquide moldu qui, ma foi, n’était pas si mauvais. La mère grinça des dents et lui siffla des mots pas très gentils mais que Caleb ne put percevoir. Le père sortit sa baguette pour nettoyer tout ça, alors que sa fille se dandinait vers la cuisine a la recherche d’une éponge. Elle était dans sa phase « maniaque », où chaque goutte, chaque grain de poussière était en trop, et elle voulait toujours se servir des engins moldu pour nettoyer. La mère la rappela
    sèchement.
    « Ecoute, mon fils. Tu vois, les pauvres, dans la vie, ils l’ont mérité ! Il y a un moment ou un autre, ils n’ont pas fait ce qu’il fallait faire, pour leur famille ou autre. On a pas le droit de les aider, c’est eux qui doivent se battre.
    -Mais papa, nous, l’argent on l’a eu grâce a celui de papy ! »
    Ce qui n’était bien évidemment pas la bonne chose à dire. Le père plissa les yeux, et le foudroya du regard.
    « File dans ta chambre. Tu n’auras pas de dessert. Et je ne veux plus que tu fréquentes Allison. »


Dernière édition par Caleb Andersen le Mer 4 Mar - 19:02, édité 4 fois
 
MessageSujet: Re: Caleb • Ce n'est pas toujours facile d'être gentil FINII   
Caleb • Ce n'est pas toujours facile d'être gentil FINII EmptyLun 2 Mar - 19:41



Invité
Caleb • Ce n'est pas toujours facile d'être gentil FINII Empty
    Chapitre deux :La suite, c'est juste quand on ne sait pas quoi mettre tout de suite après, parce que rien n'est prévisible.
    « Papa, vas-y doucement ! Tu vas lui faire mal !
    -Je connais très bien ses limites, Caleb. »
    La voix, d’une douceur âpre était mesurée, et basse, tel un ronronnement. Caleb n’était pas assez idiot pour ne pas sentir la menace, pour ne pas sentir qu’il agaçait son père. Et pourtant, son père était peut-être la seule personne pour qui il n’avait pas de respect.
    « Ce n’est pas une raison pour vouloir à tout prix les dépasser. »
    Le père grogna, et lança un dernier sort qui fit valser la fillette. Caleb réussit à la retenir et elle s’écroula dans ses bras. Il regardait fixement son père, attentif au moindre de ses mouvements. L’homme se détourna lentement, les yeux rivés dans ceux de Caleb. Etrangement, de ses onze ans tout justes, Caleb n’avait pas peur de lui. Son père sortit, enfin, feignit de sortir, puisqu’au dernier moment, il se retourna et lança un sort. Le petit garçon hurla un «protego» et le sort ricocha, mais il en fut tout de même tout secoué. Un sourire apparut sur les lèvres du dangereux géniteur.
    « Dommage que tu sois si insolent et naïf. C’est du gaspillage. »
    Tant de phrases bien acides à lui balancer étaient tenues secrète dans l’esprit de Caleb. Son père vivait dans un manoir sur la route de Liverpool et il allait souvent à Londres. Il était dangereux, tout le monde le savait. C’était la raison qui avait poussé la mère des deux enfants à divorcer. Depuis, ils vivaient chez leur père, qui voulait faire d’eux une machine de guerre. Sa sœur était presque aussi douée que lui, ce qui faisait peur à Caleb. Elle se surpassait. Il craignait qu’elle devienne beaucoup plus forte que lui, que sont pouvoir la ronge, la tue, ou que son père s’en sorte pour pouvoir devenir ministre de la Magie, poste qu’il chérissait tant depuis toujours…
    C’était les vacances. Chaque jour, Caleb appréhendait. Son père lui avait parlé de la prestigieuse école de Poudlard, de la maison des Serpentard, de l’honneur de la famille. Le hibou n’arrivait pas. Caleb se demandait s’il devait écrire à cette école ou non. Pour l’instant, il passait ses journées a soutenir sa sœur, de plus en plus faible, a écouter les gens, a surveiller son père, à nettoyer la maison, à s’assurer du bon fonctionnement de quoi que ce soit. Ce n’était pas une corvée. C’était normal. Il rendait service parce qu’il le fallait, parce que c’était normal.
    Caleb allongea sa sœur sur le sol, puis la porta jusqu’à son lit.
    « Laisse-moi. Je ne veux pas dormir. Tu ne comprends pas, Caleb ? Tu ne comprends pas qu’il faut le satisfaire, toujours travailler plus dur pour qu’il nous laisse en paix ? Tu ne comprends pas ?
    -Tais-toi, Maïwen, tu es épuisée. Repose toi, je vais te donner a manger. Tu peux travailler, mais il ne te laissera pas tranquille pour autant. Au contraire. Repose toi, tu seras moins belle demain. Je t’ai entendue, hier, quand tu t’es levée et que tu t’es entraînée. Si tu continues comme ça, tu finiras par y laisser ta peau. Tiens-toi tranquille, je reviens.
    Sa sœur ne comprenait pas. Elle voulait devenir forte, parce qu’une de ses amies était morte, abusée par son oncle, poussée a bout par tout, après qu’elle ait arrêté le sport de combat qu’elle pratiquait depuis longtemps. Maïwen avait peur, ce qui faisait peur à Caleb. Il ne voulait pas qu’elle meure. Pour cette chose là, il s’acceptait des pensées égoïstes. Quand il revint, sa sœur avait un étrange sourire. Elle désigna la fenêtre, où une chouette se tenait, frappant au carreau. Caleb déposa le plateau sur les genoux de sa sœur, qui se mit à boire son lait a petites gorgées, tout sourires. Personne ne leur écrivait jamais. Donc s’il y avait un hibou, c’était…
    « Poudlard », murmura Caleb en lisant le cachet sur la lettre.
    Il s’assit au pied du lit de sa sœur, et lut sa lettre sans s’interrompre, un vague sourire enfantin sur les lèvres. Il sourit à sa sœur, qui repoussa son plateau et le serra dans ses bras.
    « Je le savais. Je le savais, tu étais fait pour. Tu le méritais.
    - Je t’écrirais dès que j’arriverais, et dans deux ans, tu me rejoindras. »
    Elle sourit et acquiesça, telle une promesse. Dans deux ans ils se retrouveraient là-bas, loin de leur père, loin de leur mère, ensemble, ils se feraient des amis, ils vivraient au même train que les autres. Cependant, Caleb ne pouvait pas s’empêcher d’avoir peur. Pas peur de Poudlard, non, peur de ce que son père ferait a sa sœur, lorsqu’il ne serait plus là. Qui s’occuperait d’elle ? Il devait absolument en parler a sa mère. Et pour cela, il devait d’abord parler a son père et le convaincre d’aller voir sa mère. C’était un plan compliqué, mais c’était pour Maïwen qu’il le faisait, pas pour lui, et il ne pouvait pas se refuser une telle chose. L’avenir de sa sœur reposait sur lui. Son père pouvait devenir violent, c’était par peur que sa femme l’avait quitté. Maintenant, si les deux enfants faisaient front, il ne se passerait rien. Mais un seul ? Comment la petite et fragile Maïwen, avec ses beaux cheveux lisses et ses grands yeux troublant, pouvait-elle n’être exposé à aucuns dangers ? Deux ans. Dans deux ans il pourrait s’assurer que sa sœur allait bien, il pourrait la voir tout les jours, s’occuper d’elle, la rassurer, la réconforter…Il pourrait être là en cas de besoin. Il n’avait pas peur de Poudlard, parce que tout le monde avait adoré cette école, tous les sorciers qu’il connaissait, en tous cas.
    Caleb se dégagea et alla trouver son père. Ce dernier lut longuement la lettre, eut un sourire et ébouriffa la tête de son fils. Il était fier. Malgré tout, Mr Andersen n’était pas réellement mauvais. Il voulait le meilleur de tout, que ce soit nourriture, potions ou baguette. Il voulait que son fils soit bon, c’est pour ça qu’il l’entraînait. Il savait sa fille trop avancée, il la savait épuisée, mais il voulait être certain qu’elle serait douée. Quelque part là-dessous, si on cherchait bien, il y avait une pointe de protection. Il voulait être sur que ses enfants s’en sortent, il voulait être sur qu’ils résisteraient a tout, c’était une façon de sa part de leur dire qu’il les aimait. Caleb oublia la journée, et sourit a son tour. Mais lui, il sauta dans les bras de son père, de son père complètement surpris et peu habitué a des démonstrations d’affection pareilles. Son père n’eut même pas, a cet instant, l’envie ni la force de lui dire qu’il aimerait qu’il soit dans la maison de la famille, qu’il entre dans une équipe de quidditch, sport auquel son fils avait été forcément initié. Non, il ne dit rien. Il se contenta de sourire.


Dernière édition par Caleb Andersen le Mer 4 Mar - 19:01, édité 2 fois
 
MessageSujet: Re: Caleb • Ce n'est pas toujours facile d'être gentil FINII   
Caleb • Ce n'est pas toujours facile d'être gentil FINII EmptyMer 4 Mar - 18:52



Invité
Caleb • Ce n'est pas toujours facile d'être gentil FINII Empty
    Happy Ending.
    La mère de Caleb a reprit la petite, finalement, après que Caleb lui ait parlé lors des achats au chemin de traverse. Sa mère était beaucoup plus cool que son père, voir même totalement gentille. Caleb tenait d’elle sa gentillesse, bien qu’elle puisse parfois se montrer cruelle, chose dont il n’était pas capable. Par contre, contrairement a elle, il n’était pas très méfiant, voir un peu naïf. Son père était assez extraverti, et il lui devait au moins ça. Ce ne fut pas si difficile que ça de convaincre le père, en fin de compte. Ce fut la mère qui alla lui parler, et elle lui parla tout simplement de trucs de filles, disant que sa fille allait avoir des soucis, et qu’il valait mieux quelqu’un pour la conseiller, et que c’était mieux si c’était une femme. Le père fut un peu déçu, mais la petite venait d’elle même pour s’entraîner. Chose étonnante. Elle voulait rompre les limites, elle voulait devenir forte, et elle se battait autant qu’elle le pouvait, voulant sans cesse apprendre de nouvelles choses. Elle souffrit beaucoup, pleura parfois, eut mal, et pourtant, elle continuait. Son frère n’avait pas trahis ses promesses et envoyait régulièrement des lettres à chacun des membres de sa famille. Et lors de sa troisième année, il monta dans le train avec sa sœur.
    Aujourd’hui Caleb est en septième année, et il est un peu triste que ça soit sa dernière année. Il y a eut tellement de choses, dans cette école. Tellement d’amis…Sa sœur s’est fait des amis, elle aussi. Elle est plutôt dans le même genre de caractère de sa mère, et pourtant elle en a pas mal. Elle est très jolie, aussi. Mais bon, bien que l’apparence soit utile, Maïwen est réellement quelqu’un de gentil. Impressionnante, aussi. Elle connaît beaucoup de sorts et est très douée, autant voir plus que son frère. Caleb, lui continue à aider les gens, a sourire, a vivre.
    On n’a qu’une vie…Autant en profiter pour être heureux.
 
MessageSujet: Re: Caleb • Ce n'est pas toujours facile d'être gentil FINII   
Caleb • Ce n'est pas toujours facile d'être gentil FINII EmptyMer 4 Mar - 22:46



Invité
Caleb • Ce n'est pas toujours facile d'être gentil FINII Empty
    Bienvenue sur Ad Nox ma naine <3
    Un personnage sympathique et sain dans sa tête, ça nous changera. Je ne vois qu'une seule Maison pour lui, en espérant que ça t'ira.

      Poufsouffle.


    Bon jeu
 
MessageSujet: Re: Caleb • Ce n'est pas toujours facile d'être gentil FINII   
Caleb • Ce n'est pas toujours facile d'être gentil FINII Empty



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