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 N'écoute les conseils de personne, sinon du vent qui passe et nous raconte les histoires du monde.

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MessageSujet: N'écoute les conseils de personne, sinon du vent qui passe et nous raconte les histoires du monde.   
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N'écoute les conseils de personne, sinon du vent qui passe et nous raconte les histoires du monde. Kobasouslesigneduvent2yo9


Le vent souffle où il veut ;
tu entends sa voix, mais tu ne sais ni d'où il vient ni où il va.

    Identité Générale >

    # Prénom, Nom : Koba Wakanda IV Cox
    # Date de Naissance, Age : 14 février 1987, 23 ans.
    # Profession : Joueuse de Quidditch Professionnelle. Equipe des Eagles de Los Angeles et Equipe nationale Américaine. Poste d’attrapeuse.
    # Etat Civil : Mère célibataire.
    # Baguette Magique : En bois d’If, mesurant 14 centimètres et contenant une once de souffle de Manticore des Rocheuses.
 
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Le temps, c'est un peu comme le vent.
Le vent, on ne le voit pas : on voit les branches qu'il remue, la poussière qu'il soulève.
Mais le vent lui-même, personne ne l'a vu.

    }} They call me the WindRider >

    En retard. En retard. J’ai rendez-vous quelque part. Trois phrases résonant inlassablement dans la tête de Koba. La jeune femme de 23 ans marchait rapidement dans les ruelles bondées du Chemin de Traverse. Ses pieds, emmitouflés dans des chaussures pourtant plates, se tordaient de temps à autre entre deux pavés mal agencés. Il était 11H et l’endroit était bondé, plein à craquer, débordant d’énergumènes à chapeaux pointus appelés sorciers. Koba vêtue dans simple jean et d’un haut blanc tentait tant bien que mal de se frayer un chemin jusqu’à son lieu de rendez-vous. C’était la première fois qu’elle venait en Angleterre, elle qui était profondément ancré depuis toujours aux Etats-Unis. La jeune femme trouvait cet endroit tout aussi rustique qu’étourdissant. Il fallait dire que dans son pays tout était souvent assez horizontal ou vertical. Pour Koba, qui était la personnification incarnée de la réincarnation de l’étourderie, la gaffe ou encore la maladresse, ces rues tournoyantes, étroites et complexes étaient un appel de la nature pour lui dire d’acheter une bonne fois pour toute, rappeltout. Si elle était partit à temps, elle n’aurait jamais eut à courir, il y aurait eut moins de monde et en définitive, elle ne serait pas 4 heures en retard pour son rendez-vous. Oui car quand Koba est en retard ce n’est pas l’affaire de 5 minutes ou un quelconque temps à peu près excusable, non, quand Koba est en retard, c'est-à-dire tout le temps et depuis toujours, elle l’est, à fond !

    Depuis maintenant 11 mois, Koba a une raison d’être en retard. Cette raison s’appelle Kishi, mais tout le monde appelle cette raison Lulu. C’est sa fille. Koba n’est pas mariée, n’est pas divorcée non plus, ni veuve, elle est juste mère, une mère célibataire bien qu’elle n’explique pas la naissance de son enfant, pour les raisons que vous imaginerez même si aucune d’elles ne sera juste. Alors qu’elle avançait avec peine à travers la foule du Chemin de Traverse, Lulu dormait paisiblement dans un couffin porté par l’épaule de sa mère. Chaque fois qu’elle le pouvait, celle-ci la regardait dormir et s’assurait que tout se passe bien. Heureusement pour Koba, sa fille avait un sommeil de plomb et la cohue environnante ne perturbait pas sa léthargie. C’en était même effrayant de temps en temps, si bien que la jeune femme passait son temps à caresser la joue de sa fille pour s’assurer qu’elle était bien toujours en vie. Bien sûr toute l’attention que Koba portait à sa fille n’était pas porté sur là où elle mettait ses pieds, sur les gens qui lui rentraient dedans, sur les hiboux qui lui frôlèrent la tête lorsqu’elle passa près de la Ménagerie Magique ou encore sur la direction à prendre pour se rendre à son rendez-vous. Si bien qu’il fallut encore de longues, longues, longues minutes avant qu’avec un sourire gênée et coupable elle se planta devant l’enseigne du magasin de Quidditch.

    -
    Miss Cox ! Miss Cox ! entendit Koba à peine avait-elle poussée la porte de la boutique.

    Cette voix était reconnaissable entre mille. C’était Mrs Henderson, une femme de grande taille, blonde, les cheveux montés en chignons, des lunettes rectangulaires, toujours vêtue d’un tailleur noir et blanc à souhait. Cette femme d’une cinquantaine d’année à la voix irrationnellement criarde était chargée de la carrière de Koba, elle était son agent en quelque sorte. Malgré son caractère particulièrement acerbe, elle travaillait beaucoup et bien. Mrs Henderson émergeait de la foule que contenait la boutique et qui s’était retournée en en bloc vers Koba près à lui sauter dessus.

    -
    Non mais voulez vous vous calmer ?! hurla la vielle femme à certaines personnes de la foule.

    Koba quant à elle, s’était plaqué contre la porte du magasin et ne bougeait plus. Le regard terrorisé, la bouche à demi-ouverte, ne faisant plus un geste et adoptant l’attitude de l’antilope prête à s’enfuir. Koba était claustrophobe, agoraphobe et de surcroît, avait horreur des flashs, ce qui, avec le nombre d’appareil photo braqué dans sa direction, avait faillit lui donner la pulsion de plonger rejoindre Lulu dans son petit couffin. Heureusement Mrs Henderson était là et, une fois sortit de la foule et après avoir remis son chignon et ses lunettes droites, elle vint la rejoindre.

    - Vous deviez être là pour 6H ! murmura-t-elle sèchement.
    - 7. répliqua doucement Koba avec un sourire gêné.
    - La prochaine fois je vous dirai 4, vous serez peut être là avant le déjeuner.

    Non, il était inutile de tenter de rivaliser avec le sens et la rapidité de réplique de Mrs Henderson. Cette dernière prit Koba par le bras et l’entraîna à travers la foule en lui frayant un passage à coup de regards acérés. Oui, Mrs Henderson officiait également en tant que garde du corps. Koba la suivit tête baissée, serrant contre elle le couffin de sa fille toujours endormie. La jeune femme sentait les mains des gens se poser sur sa tête juste pour la toucher, juste pour toucher Koba Cox, jeune joueuse de Quidditch prodige. Elle avait l’impression d’être dans un tunnel et n’arrivait pas à en voir le bout, Mrs Henderson était sa lumière. Après une traversée de la foule qui dura quelques minutes, Koba au bord de la syncope se rendit dans une petite salle adjacente. Aussitôt la porte refermée, le silence revint et Koba ouvrit un œil, puis un autre et finit par expirer comme si elle avait retenu sa respiration pendant tout ce temps.

    La pièce n’était pas bien grande, en face de la porte un bureau avec un fauteuil à haut dossier. En face de celui-ci deux chaises. Quelques tableaux de Quidditch accroché aux murs, une seule fenêtre donnant sur l’extérieur et apportant un peu de lumière. Ca sentait légèrement le renfermé et le planché grinçait.

    - Installez-vous au bureau Miss Cox. Vu le retard con-si-dé-rable, nous allons commencer tout de suite par les interviews. D’abord les journaux spécialisés, ensuite la presse générale, quelques radios sont là également. La presse anglaise aura priorité puis les autres suivront. Par la suite nous […]

    Tandis que Mrs Henderson énumérait le programme qu’elle avait soigneusement préparé et écrit au propre sur des fiches qu’elle avait par la suite plastifiées – ceci sous-entendait que le programme était catégoriquement inchangeable – Koba regardait les tableaux accrochés au mur. Elle avait posé le couffin de Lulu derrière le bureau, près de son fauteuil, le nouveau-né était toujours aussi paisible. La jeune femme se rapprocha du bureau et se prit le pied dans le tapis quelque peu miteux qui ornait le plancher. La chute fut évitée de justesse, la maladresse non, comme toujours. Le seul endroit où la jeune femme était d’une adresse sans égale c’était sur un balai, toute autre situation pouvait s’avérer d’une gaucherie assez spectaculaire, à la limite du crédible.

    - Miss Cox ? Miss Cox ! Vous m’écoutez ? demanda la vielle femme d’un air exaspéré en soupirant.
    - Oui je… Oui je suis prête. Heu… Une dernière question. hésita-t-elle en se retournant vers Mrs Henderson. J’ai bien compris le topo sur, aujourd’hui le Quidditch n’est pas qu’un sport c’est une industrie, les joueurs ne sont pas que des joueurs mais des stars et tout le truc stupi… stupéfiant, se rattrapa-t-elle de justesse, dont vous m’aviez fait étalage, mais je me demandais si d’une certaine façon, on pourrait éviter tout ça. C’est exactement le genre de situation sociale avec laquelle je suis inconfortable…
    - Avec quelle situation sociale êtes-vous confortable Miss Cox ? demanda-t-elle en répliquant du tac au tac.
    - Heu… Certes… Donc on peut … ? dit-elle en passant une main sur sa nuque et regardant Mrs Henderson avec un air gêné. Pas… On peut pas. Ok. Et bien. Ok. Alors… Ok. finit-elle en esquissant un sourire embarrassé avant d’aller s’assoire dans le fauteuil à haut dossier. Le temps d’un regard à Lulu, Mrs Henderson était aller chercher le premier journaliste. Celui-ci entra dans la petite pièce et vint s’assoire en face de Koba penchée au-dessus du couffin de sa fille.

    - Heu… bonjour ! dit le journaliste qui cherchait à attirer l’attention de la jeune femme.
    - Ho ! Excusez-moi. dit-elle en sursautant sur son fauteuil. Bonjour.

    Un silence s’installa lourdement. Mrs Henderson était assise dans un coin de la pièce, prête à noter tout ce qui se disait. Le journaliste fixait Koba en souriant largement tandis que celle-ci, gênée par son attitude et le silence, tourna la tête vers le mur derrière elle croyant que l’homme y fixait quelque chose.

    - Hé bien. Je… crois que vous êtes supposé me poser des questions et je suis censé y répondre. Enfin… c’est le principe d’une interview aux dernières nouvelles. Mais si vous avez une définition du mot plus récente, en bien ok, alors faisons comme ça. dit-elle en rigolant légèrement toujours aussi pétillante d'humour et de désinvolture.
    - Hein ? Ho excusez-moi. répondit-il visiblement sortit de ses songes. C’est que vous êtes encore plus belle en réalité.

    L’interview finit par démarrer puis d’autres s’enchaînèrent. Koba essayait de garder la même fraîcheur malgré l’abattage industriel de questions à laquelle elle répondait. Elle se trouvait maintenant avec une femme assez jeune et toute souriante, visiblement très contente d’être là.

    - Vous êtes pour la gente féminine un exemple de réussite dans un sport plutôt masculin. Avez-vous l’impression d’être une sorte d’égérie ?
    - Ho non, pas du tout. Et je ne pense pas que le Quidditch soit un sport masculin, même si à haut niveau il y a plus d’homme que de femmes, nous avons de très bonnes joueuses de Quidditch.
    - Vous êtes douée, jeune, belle, sportive et mère de surcroît, vous êtes le rêve de milliers de sorcières, et sans aucun doute le fantasme de millier d’homme.
    - Ho… Vous… Vous êtes sûre ? demanda-t-elle embarrassée.
    - Assurément. Et pourtant vous êtes si simple. Si simple et si parfaite, ça vous correspond ?
    - Non. Je… suis maladroite, distraite, parfois feignante, bavarde… Ho et très bordélique aussi et je… répondit-elle en essayant de trouver tous ses défauts pour pallier la gêne entraînée par tous ses compliments.

    Les interviews s’enchaînèrent, les questions défilèrent.
 
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Seul est grand celui qui transforme la voix du vent
en un chant que son propre amour aura rendu plus doux.

    }} You call me Wakanda >

    - Tu viens me rendre visite de moins en moins souvent Wakanda…
    - Ce n’est pas parce que je viens de moins en moins te voir que je ne pense pas à toi père. Je pense à toi chaque matin que le jour fait et chaque soir que la nuit vient quérir.
    - Ta carrière t’a poussé bien loin des terres de Powhatan, plus loin que je ne l’aurais imaginé. Tu es…
    - Comme le Vent, je sais père. Tu me le répètes inlassablement depuis toujours.
    - Ta mère me l’avait bien dit…
    - Etait-elle aussi libre que le Vent elle aussi ?
    - Bien sûr. Comme sa mère avant elle. Comme toutes les femmes Cherokees de la lignée vous êtes bénies par le Vent. Elle aussi passait son temps à l’écouter, tout comme toi étant jeune. L’écoutes-tu toujours Wakanda ?
    - Toujours… Cela me donne l’impression de n’être jamais seule.
    - Tu ne l’es pas, elles sont là. Grâce au Vent elles te murmurent, ta mère, ta grand-mère et toutes les femmes de ta famille. Et un jour tu murmureras à ta fille Wakanda. Les femmes Cherokees ont toujours guidées notre peuple. Et tu devrais guider les nôtres…
    - Père… Tu l’as dit toi-même et mère le savait avant même ma naissance. Je ne suis pas faite pour rester à Powhatan, ses forêts, ses lacs et ses champs sont magnifiques mais vivre en autarcie, recluse du monde… je ne peux pas. Peut-être qu’un jour les Cherokees sortiront eux de leur terre ?
    - Jamais ! Ce qui reste de notre peuple ne peut quitter Powhatan, la magie qui y réside est ce qui nous garde en vie.
    - Alors que veux-tu père ?
    - Rien. Je ne peux te demander de revenir et prendre la place qui est la tienne. Tu as ta vie en dehors de ses terres et sache qu’il n’y a pas un Cherokees qui n’en soit pas fier. D’ailleurs…
    - Oui ?
    - Peux-tu me le montrer encore une fois. J’ai l’impression de voir ta mère à chaque fois.
    - Te montrer quoi ?
    - Vole Wakanda.
    - Mais… Je n’ai pas mon balai.
    -
    - Ha oui d’accord.
 
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Il ne sert à rien de discuter contre l'inévitable.
Le seul argument contre le vent de l'Est, c'est de mettre son manteau.

    }} But I am Koba >


QUI SUIS-JE ?
KobaFatesDestinyWindFaithWakandaMotherLoveQuidditchCelebrity - IV
 
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    }} What else ? >

    # Actrice, Acteur : Liv Tyler.
    # Code du Règlement : William.
    # Pseudo IRL : What ?! You're a cop ?
    # Comment voyez vous le forum ? La fiche de Présentation ? Cool & Nice =)
    # Un Commentaire ? //
 
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Fiche terminée =)
 
MessageSujet: Re: N'écoute les conseils de personne, sinon du vent qui passe et nous raconte les histoires du monde.   
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    Bienvenue sur AN* =)
    J'aime beaucoup ton perso, je le trouve attachant. C'est marrant, décrite comme elle est, Mrs Henderson me fait penser à Super Nanny, et l'épisode des Cherokee à Pocahontas X) Oui j'ai des références culturelles très étendues mrgreen J'ai beaucoup aimé ta fiche, fluide et agréable à lire.
    N'oublie pas de réserver l'actrice si ce n'est déjà fait, de te choisir un rang et de créer ton carnet d'adresse si tu le souhaites.
    Bon jeu !
 
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Merci ^^

On a les mêmes références culturelles alors... *sort*
 
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