Un peuple.
Les Irlandais

Un cercle
Les Celtes

Un Roi
Mon père



Les celtes, un peuple ou plutôt un cercle. Pratiquant une magie dont personne ne connaît l’ampleur, ils se sont retirés dans les contrées reculées de L’Irlande, leurs pays natal, ne pouvant supporter le massacre de la Terre Mère. Il sont secret et pratique la tradition orale, comme leurs Ancêtres.

« Je suis née dans un petit village D’Irlande, pas très loin d’une forêt. Une forêt ou personne ne s’aventure car d’étrange rumeur y circule. Culte Satanistes, disparition, on raconte que la forêt serait hantée. Enfaîte, cette forêt est sacrée, cette forêt est l’une des plus importante pour nous, celtes. C’est là que les pulsations sont les plus fortes, là ou nous sommes chez nous. Cette forêt abrite mon père. Le Grands Rois. »

C’est ainsi que commence l’histoire.

« Avez-vous déjà entendu parler de ses trois druides. Ce que l'’on appelle les tisseurs ? Ce trio de Druides que tout le monde sollicite à la naissance de son fils, que l’on obtiens que très rarement. Aussi appelés les Impalpables, on ne peut jamais les trouver, c’est eux qui vous trouve. Ce sont les plus grands Devins Celtes. Enfaîte, il ne vaut mieux ne jamais les voir à une naissance. Je parle d’expérience… Ils se sont penchés sur le berceau de mon fils à sa naissance. J’aurais préféré qu’il ne le fasse pas. Pour lui. »

Trois druides face à vous, ils parlent d’une seule voix. Enfin, on en à l’impression.

« Prédit à un grand avenir, ton fils aura une vie mouvementé et ce battra contre un grand fléau. Cependant, il est maudit… les gémeaux sont en lui, en lu deux facettes sont présente se battant pour la domination. Il faudra qu’ils apprennent à utiliser la puissance de Broceliande pour pouvoir garder le contrôle… »

« On a peut voir pas de souvenirs avant quatre ou cinq ans. Pourtant, il y a quelque chose encré en moi, quelques choses à laquelle je ne peut échapper. Quelques choses que je vois lorsque je rêve, lorsque je ferme les yeux. Je vois mon épée de Damoclès. Je vois ces trois druides se pencher sur moi et me prédire mon avenir. Et à chaque fois je tremble, je sens quelques choses essayer de se réveiller en moi. Même sous les scellages que j’ai apposés sur mon corps, même lorsque je suis en Broceliande. »

« Mon fils est un maudit. Et moi, le Grand Roi Celtes, je ne peux rien faire. Je n’ai pu que le préparé à affronter les épreuves de la vie en se souciant de cette malédiction. Je n’ai pu que lui passer que mon savoir et mon expérience. »



Uc

Il est jeune, il n’a qu’une dizaine d’années mais je dois déjà être exigeant avec lui. Je doit lui apprendre à se défendre contre ce qui peut s’éveiller en lui avant qu’il ne parte loin de moi, loin de l’Irlande et loin de l’énergie bienfaisante du lieux ou j’habite. Je dois déjà lui apprendre et l’initié à nos cultes et à notre magie.
Un choix déchirant pour un père mais c’est mon devoir, je ne peut y échapper car son destin est lié au mien. C’est mon fils, c’est mon sang et c’est à cause de moi s’il est maudit. Je ne saurais jamais me pardonner cette erreur, ce malheur. Ma femme me dit souvent que ce n’est pas ma faute mais je ne peux enlever ce sentiment de culpabilité à chaque fois que je le vois.

» J’ai des crises. Certains appellent ça des crises d’épilepsie, d’autre, de simple crise d’angoisse mis moi je sais, je sais pourquoi je ressens cette haine envers le monde, envers tout le monde, tout les êtres vivant et contre la terre elle-même, il y a même dès fois ou je hais tellement que je me hais moi-même. Et j’ai peur, lorsque je sens ce picotement au niveau de la poitrine, quand je sens cet étau se refermer sur mon cœur malgré ses sceaux sur mon corps que je cache grâce à ma métamoprhomagie. ».

Uc*