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Sujet: Tutti e Due [Pv] Sam 24 Mai - 1:06
| | Invité
Penso spesso a te, quando nella via vuota, il mio cuore erra senza scopo…
Seule, dans les méandres de son esprit, il était seul. Il avait énormes de personnes qui étaient cher a ses yeux, il avait beaucoup d’amis mais, il lui manquait quelque chose, quelqu’un. Une présence qui, lorsqu’il la verrait, lui redonnerais du baume au cœur, qui lui rappel sa toscane Natal, sa maison, ses parents, les champs, la nature… Il y avait Idris mais ce n’était aps la même chose, pas la même présence, elle était comme une sœur pour lui, il y avait de l’amour entre eux mais pas le même. Amour, Amor, ce mot si court, si simple et pourtant si dure à prononcer à celle qui le provoque… Pourquoi fallait-il que se soit si dure ? pourquoi fallait-il que ce mot, ce simple mot, provoque tant d’effets ? Le battements de son cœur qui accélère, l’endorphine dans son corps, les frissons, la gêne même parfois. L’amour entraînait forcement d’autre sentiment, une autre approche de l’autre, plus d’attention, de tendresse, des limites qui ne sont plus les même… L’italien soupira. Il savait l’utiliser ce mot mais n’en avait jamais usé pour une véritable raison, comme si une barrière c’était créer entre le sentiment et lui. Une barrière facilement .
Le parc le rappela à l’ordre, il faillit tombé à cause d’une racine. Il se dirigeait vers les arbres, une guitare dans le dos, essayer de composé un peu, en ce moment il avait du mal, il n’était pas inspiré, il ne voyait rien de beau, rien d’exceptionnel, il avait l’impression d’avoir des oreillers, de voir en noire et blanc un monde ou une multitude de couleurs étaient possible. Il se sentait limité. Mais si c’était le prix à payer pour rejoindre sa famille, sa « sœur », il le payerais et avec le sourire s’il vous plait ! et s’il pouvait trouver une moitié en chemin, quelqu’un qui découvrirais qu’il est vraiment, quelqu’un de sensible et non cet Italien un peu frimeur sur les bords, légèrement charmeur… Un humain tout simplement, un simple homme qui, comme tout individu avait besoin d’être aimé et d’aimé. Mais comme aimer ? Il n’y avait pas de mode d’emploi… Bien sûr il était sorti avec beaucoup de filles mais jamais, il n’a ressenti la boule se nouer dans son estomac. Dommage.
Ma come fare quando non sei più ?
Il s’assit au pieds d’un grand arbre. Il aimait être assis près de la nature, à l’écouter… Cette sérénité, ce calme. Le monde devrait être comme cela, pas remplis de toute ses choses injuste, cruelle…Il gratta quelques note sur sa guitare, n’utilisant aucun médiator. Trouvant la sonorité des cordes tellement belles, pur, qu’elle ne devait pas être modifier par autre chose des doigts, le prolongement de volonté, de son âme. Il se sentait bien là, en accords avec lui-même, en accords avec la nature. Mais pourquoi ce léger malaise ne voulait-il pas partir, cette sensation de manque ? Que pouvait-il lui manquer ? Il ne savait pas, pourtant, il aurait pu facilement deviner. Vous trouverez sans doute la réponse dans les lignes qui vont suivre…
Sognavo di un altro mondo O l'amore, sarebbe possibile O il mio cuore sarebbe menoscuro E le ferite inesistente
Sogno o realtà ? |
| | | Sujet: Re: Tutti e Due [Pv] Sam 24 Mai - 1:36
| | Invité
Un parchemin serrré entre ses doigts et un pan de sa vie qui s'écroule aussi simplement qu'un château de carte. Pourquoi? Comment? Elle ne sait pas comment y répondre. Tout ce qu'elle sait, c'est que les mots lui brûlent le coeur et l'âme et elle regrette par dessus tout de ne pas être aveugle. Les mots la heurtent et la blessent mais elle ne parvient pas à retirer ses prunelles grises de ces mots qui signent la fin d'une époque. La fin du parchemin qui se consume entre ses mains fines. Elle ferme les yeux, sentant la brûlure des larmes venir carresser ses paupières closes. Elle sent son esprit partir et pourtant ne le lui autorise pas. Il faut qu'elle tienne, le temps pour elle de sortir loin des regards. Aussi prend elle une profonde inspiration et reprend sa route. Plus que jamais, elle se sent seule dans cette école. Certes, elle a quelques amis mais ils ne sont pas présents à cette heure là. Elle pourrait les appeler mais n'a pas envie de les déranger.
Quelques minutes plus tard, une douce brise caresse son visage mais ne chasse pas sa douleur et la sensation de vide qui s'est accentuée depuis quelques minutes. Il lui faut du temps pour s'habituer à cette nouvelle donnée dans sa vie. Elle soupire à nouveau alors qu'elle commence à avancer dans le parc. Elle aimerait être loin de cet endroit et pouvoir dormir pour oublier. Un passage à vide... Déclenché par la perte de son grand père. L'un des pilliers de sa vie vient de s'effondrer et elle ne réagit pas. Les larmes elles mêmes ne semblent plus vouloir couler. Est elle devenue si insensible? Pas le temps de s'interroger. Elle sait ce qu'elle veut et ce qu'il lui faut. Un simple dérivatif.
Chose à laquelle elle arrive en quelques instants. Face à elle, un arbre qu'elle contemple durant de longues minutes. Histoire de se remettre en question et de se laisser envahir par la seule émotion qui parvient encore à franchir la barrière de son apparente indifféence: la colère. La première question qui vient est pourquoi se sent elle seule même en présence de ses amis? Elle ne comprend pas. Il lui manque quelque chose dans sa vie sans qu'elle ne puisse y mettre un nom dessus. Elle a beau s'interroger, elle ne trouve pas. Enfin si, elle a bien une idée mais elle préfère en rire. L'amour. Ce n'est pas pour elle. Les seules personnes qui l'ont aimé sont partie... ses amis ne font que l'apprécier... Donc l'amour... du vent, du rêve... de l'illusion à l'état pur. Pourtant, quand elle y songe, elle se surprend à soupirer. Elle secoue la tête pour faire partie cette idée, persuadée que la mort de son grand père prouve bien que l'amour n'est pas pour elle.
Elle ne lâche même pas un gémissement lorsque son poing heurte avec violence le tronc de l'arbre probablement centenaire. La douleur qui irradie de son poignet dissimule celle qui paralyse son coeur. Et c'est seulement à ce moment là qu'elle s'autorise à verser quelques larmes. Des larmes de rages qui dissimulent aussi ses larmes de tristesse. Elle observe sa main d'un air absent alors que ses pleurs coulent sur ses joues sans qu'elle ne cherche à les effacer. Sa seule offrandre au deuil de son grand père. Et ils finissent par se tarir d'eux même. Elle sèche son visage et se redresse. C'est finit. Le reste de sa douleur et de son deuil sont enfermés au fin fond de son esprit et ne sont pas prêts de sortir. Reste seulement le sentiment de vide et de solitude.
Et au travers des brumes des instants passées, une musique la touche au plus profond d'elle même. Elle frémit en relevant la tête. Elle écarte une mèche tout en tentant d'identifier la provenance. C'est la voix mélodieuse qui accompagne les notes qui l'éclaire sur la direction à prendre. Elle dissimule sa main dans sa manche, reprend son masque d'indifférence et se met en marche. Quelques instants plus tard, elle surgit de derrière l'arbre, aussi silencieuse qu'une ombre. Elle attend patiemment que la chanson s'achève pour murmurer.
Iranoe -Il paraît que l'amour est possible dans ce monde...Silas. |
| | | Sujet: Re: Tutti e Due [Pv] Sam 24 Mai - 2:03
| | Invité
Avait vous déjà rêvé ? Espéré ? Essayé ? Toute ces choses qui font que la vie vos la peine d’être vécu. Il est étrange de voir comme, certaine, fois, on ne sait pas pourquoi on vit, pourquoi on est là, sur cette terre. Nous ne sommes pas promis à un grand destin, on ne se trouve rien de particulier et pourtant, on est là… Pourquoi faire ? Dios, pourquoi somme nous là, à espérer, alors que nous sommes vide ? Et si vous voulez une réponse à cette question, il n’y aura qu’une seul personne qui pourra y répondre et ce n’est pas le Dieu tant invoqué.
Cette personne qui est-elle ? Quand pourrons nous la rencontrer ? Impossible de le prévoir, impossible de savoir… Injuste ? pas tant que ça, c’est surtout logique, si nous savions qui sera la pour nous, nous complétera, cela ne serais plus amusant. Cette incertitude, cette envie, toute ses erreurs, c’est ce qui nous prouve que nous sommes en vie… C’est ce qui nous prouve que la vie n’est pas monotone, qu’elle peut changer, toujours. Un virage, une ligne droite, si on connaît le chemin, l’inconnue ne serait plus là et l’inconnue nous donne envie, nous stimule, voilà pourquoi il existe toute ses incertitudes, tout ses passage dont on se demande pourquoi il existe… La vie est à notre image, pleine de défauts.
Alors vivons et défions là ! Vivons est faisons lui un pied de nez ! C’est le mardis gras qui ris de l’échafaud
Il venait de finir sa chanson lorsqu’il entendit un bruissement, un bruit de pas, léger et gracieux et une voix féminine, lâchant comme une fatalité :
Iranoe -Il paraît que l'amour est possible dans ce monde...Silas.
Une murmure, une voix gracieuse, presque mélodieuse, comme une Ode destiné à un seul individu, un poème donné mais que l’on ne répétera jamais nul parts, qui restera dans l’esprit de celui qui l’a écouté et celui qui l’a prononcé. Il se retourna et découvrit Iranoe…
Le premier mot que l’on pouvait dire d’elle c’était…Belle ; Une apparence, une fragilité et pourtant une force gracieuse et silencieuse. Il l’invita à ce placer devant elle. La regarda la détailla. Il sentait bien ainsi. Un arbre, Iranoe et lui. Que demander de plus. Il se demandait aussi pourquoi il avait des question avant… Pourquoi ? Comment, Ou ? Que faire ? Cela avait disparu de son esprit.
Il la regarda dans les yeux.
« Non piange più, sono per te, Non piange più, sono per te”
Il savait qu’elle ne serait pas déstabilisé par la langue, elle le comprenait. Il y avait autre chose que des mots entre eux, des regards, des gestes, une aura… Il décida de continuer en Anglais et lui demanda.
« Tu as l’air boulversé, que se passe-t-il ? »
Question directe, il ne tournerait pas autours d’elle avant d’aborder un sujet sensible. |
| | | Sujet: Re: Tutti e Due [Pv] Sam 24 Mai - 2:27
| | Invité
Au fin fond d'elle même, retrouver Silas lui fait du bien. Peut être parce qu'à quelque part, il est comme elle: seul. Il est probablement l'un des rares à pouvoir comprendre ce qu'elle peut ressentir. Mais... lorsqu'il fait un mouvement pour l'inviter à se placer devant lui, sa sensation de vide disparaît comme par enchantement. Elle ne se pose pas de question à ce sujet mais se sent presque rougir sous son regard. Enfin non, elle rougit mais par réflexe, dissimule cette manifestation grâce à son don. Elle se contente d'un fin sourire avant de s'asseoir enfin. Comme pour lui rendre la pareille, elle l'observe, lui et son teint mate qui détonne tant avec son teint pâle. Avec plaisir, elle se souvient du jour où ils se sont amusés à comparer leur teint... La comparaison avait été risible mais elle demeurait un bon souvenir. Et parmi tout ce qui compose le fameux Silas, chouchou d'un bon nombre de ses camarades de dortoir, elle préfère nettement l'aura qui se dégage de lui et son regard qui lui rappelle la mer qui s'étalait devant son balcon... quand elle habitait encore au Japon.
Quand il plante son regard dans le sien, elle ne cille pas. Elle ne se sent meme pas gênée. Le poids de l'habitude. Elle n'a jamais baissé le regard devant quiconque et ne compte pas commencer aujourd'hui même si à quelque part, elle a envie de briser ce contact visuel parce qu'elle sait qu'il va la percer à jour avec une facilité déconcertante. Et elle n'aime pas ça. A sa phase en italien, elle lui répond par un simple mouvement de la tête qui dissimule parfaitement son sceptisime. L'amour pour elle? Non... Elle n'y croit pas. Elle n'y a pas droit... Même si parfois... elle se surprend à espérer mais elle tue toujours l'espoir dans l'oeuf.
En revanche, elle hausse un sourcil de surprise quand il lui demande ce qu'il se passe. Sa capacité à la déchiffrer à encore frapper. Elle se mordille la lèvre avant de répondre en dégageant une mèche de son visage.
Iranoe -Une très mauvaise nouvelle. Mais... Ne t'en fais pas, c'est passé.
Elle lui sourit en espérant qu'il ne cherche pas plus à comprendre. Elle ferme un court instant les yeux. Lorsqu'elle rouvre les paupières, c'est pour planter à nouveau ses prunelles étranges dans le regard si pur de Silas. Elle écarte à nouveau une mèche de son visage... avec sa main blessée cette fois ci. Sur le coup, elle ne s'en rend pas compte mais quand son regard capte un éclair rouge, elle plisse le nez en se maudissant. Jamais il ne lachera l'affaire. |
| | | Sujet: Re: Tutti e Due [Pv] Dim 25 Mai - 1:28
| | Invité
Il la regardait, calme, ses doigts s’étant arrêté sur les cordes. Il était sérieux, il savait la déchiffrer, même si son visage était toujours impassible, il avait rapidement appris à la connaître malgré la distance qu’elle mettait entre eux, entre tous en faite. Méfiante, elle ne faisait pas souvent confiance, elle mentait aussi, bien obligé car raconter une vérité qui faisait mal n’était pas dans sa nature. Enfin, il se formalisait pas pour ça, d’habitude, elle lui disait quel problème elle avait et de toute façon, même s’il elle ne lui disait pas, soit il le devinait soit il insistait car il savait qu’il y avait un problème. Enfin bref, tout ça pour vous dire que l’on pouvait le résumer à un seul mot : Harmonie. La parfaite harmonie qui les liaient par un lien qu’eux deux ne prenait pas en compte, ne le voyant pas ou ne voulant pas le voire plutôt. Il grata une corde qui lâcha un son pur dans le silence régnait entre les deux Protagoniste. Elle se mordilla la lèvres, il savait que ce qu’elle allait dire n’était pas la vérité.
Iranoe -Une très mauvaise nouvelle. Mais... Ne t'en fais pas, c'est passé.
Encore une fois, elle lui cachait une partie de la vérité, de ce qui se passait réellement. Il la regarda et haussa un sourcil, voulant dire « Ne me ment pas, je le sais ». Pas besoins de mots, pas besoins de geste, c’est ça qui était bien entre-eux. Encore une fois, il s’interrogea sur la nature de leur relation… Amour, Amitié, il ne savait pas. Ce qu’il savait c’est qu’il ne voulait pas s’embarrasser de ses détails maintenant, il voulait profiter à fond de ce moment privilégier et rare.And Nothin Else Matter.
IL eut un mouvement de surprise lorsqu’il vit sa main écorché. Comme une envie de savoir pourquoi, de s’intéresser à cette fille qu’il ne connaissait que depuis quelques mois. Pourquoi était-elle si importante ? Si…Si.. Il ne savait pas quoi mais elle avait quelque chose de différent, de rayonnant de…Perfetto ! Il était tellement surpris et inquiet qu’il parla en Italien et avec ses mains sans s’en rendre compte…
« Me non mentiscono! Cosa è che c'è e questa fede lo dice la verità! » Ne me mens pas! Qu'es-ce qu'il y a et cette foi dis moi la vérité![<- traduc]
Il lui pris la main, le regards inquiet. Si c’était quelqu’un qui lui avait fait ça, il allait… Il allait le tuer ou pire, il ne savait pas mais son sang chaud d’italien commençait à réellement bouillonné dans ses veines, il ne tenait plus en place. Il avait mal pour elle, il voulait faire quelque chose ! Mais quoi ? Que faire, la rassuré, la prendre dans ses bras ? Elle n’aimerait pas ça il le savait.
Elle était lui, il était Elle
Due Metà |
| | | Sujet: Re: Tutti e Due [Pv] Dim 25 Mai - 1:51
| | Invité
La capacité de Silas a la déchiffrer en étant purement et simplement agaçante et mettait sa fierté quelque peu à mal. Etait elle si prévisible qu'il parvenait à la comprendre sans même qu'elle n'entrouve ses lèvres? Pour un peu, elle en aurait maugréé de dépit. Entre eux, il y avait un lien, quelque chose en plus qui simplifiait à Silas sa perception d'Iranoe et qui permettait à celle ci de s'ouvrir un peu en sa présence. Mais Iranoe s'acharnait à se persuader que cela n'existait pas. La compréhension de Silas envers elle était un véritable mystère qui, tout en lui tapant sur le système, avait le don de la rassurer. La note pure qu'il tira de son instrument la fit frémir et comme d'habitude, elle lui dissimula une partie de la vérité. Pas pour éviter de le blesser, mais plutôt pour éviter qu'il s'inquiète et surtout... parce qu'elle ne voulait pas de sa pitié.
A son haussement de sourcil, elle lui répondit par un regard neutre, chose qui était rare en sa présence mais qui en disait beaucoup sur son manque d'envie de se confier. Iranoe Sayuri ne se confiait pas et ne parlait jamais de ce qui la tracassait réellement. Elle parvenait toujours à botter en touche avec une subtilité rare. Mais elle su qu'elle n'y parviendrait pas cette fois ci quand elle usa de sa main blesser pour accomplir un geste qui en était presque... obessionnel. Le mouvement de surprise de Silas ne la trompa pas. Elle dissimula aussitôt sa main dans sa manche mais il avait de meilleurs réflexes qu'elle... A moins que ce soit elle qui veuille qu'il l'attrape...
Durant un court instant, les paroles de Silas l'agacèrent. Comment se permettait il de lui parler ainsi? Mais l'inquiétude qui assombrissait le regard si pur de l'italien l'adoucit et elle s'en voulu de provoquer une telle inquiétude chez lui. Elle lui sourit doucement, comme pour l'apaiser, et, chose plus qu'exceptionnelle, posa sa main sur la sienne. Elle plongea son regard dans le sien, prête à s'y noyer mais eut tout de même la présence d'esprit de lui répondre d'une voix calme.
Iranoe -Je me suis fait ça en apprenant la mauvaise nouvelle... Je...
Elle se tu en retirant doucement ses mains, à regret. Elle soupira, hésitant à se confier et pourtant, elle avait besoin d'en parler. Elle baissa les yeux et secoua doucement la tête avant de murmurer, presque inaudible.
Iranoe -Je... J'ai perdu... mon... grand père...
Dire la nouvelle à haute voix la rendit encore plus réelle à ses yeux. Elle étouffa un sanglot avant de se lever dignement. Sans un regard pour Silas, elle lâcha.
Iranoe -Je... Désolée, Silas. Je crois que je ne serais pas d'une compagnie agréable cette après midi... Heureuse de t'avoir vu.
Elle soupira doucement avant de commencer à s'éloigner. |
| | | Sujet: Re: Tutti e Due [Pv] Lun 26 Mai - 21:30
| | Invité
Silas était impassible ; Toujours avoir cette force de caractère, toujours ce sentiment, cet aura lorsque l’on était avec lui, celle qui vous dit que vous êtes en sécurité, que tout se passera bien et qu’il sera la pour vous, toujours. Son regards fut bien triste en la voyant dans cette état. Mais son regards avait toujours cette force tranquille, celle qui vous mettait en confiance, celle qui vous poussait à vous confier, à lui faire confiance, à devenir son ami. Son regards trahit quelques secondes sa colère, celle pour al vie, pour le destin.. Pourquoi lui faire tant mal alors qu’elle avait vécut des épreuves qui n’étaient pas drôle, pourquoi le faire partir maintenant ? Pourquoi ? Enfin il n’était pas temps de maudire les cieux et de s’inquiéter pour cela, de se poser des questions, il fallait s’occuper de cette jeune femme, si belle, même quand elle pleurait à chaude larme. Enfin, pour autant qu’une fille comme Iranoe puisse pleurer à Chaude larme. Quelques gouttes donc, comparé aux torrents de pleure que certains personnes pouvait lâché dans les moments difficile. Elle lui plaisait terriblement d’ailleurs cette fille, il savait maintenant, il en était sûr… - Spoiler:
ou pas
. Belle, solitaire, elle l’attirait, elle était différente. Enfin. Il passa la main dans les cheveux. Il souffla et se leva, posant sa guitare hispanique sur l’arbre et la rattrapa. Il prit son bras et la fit se tourner sue elle même, l’enserrant. Elle avait la tête sur son torse, il ne savait pas comment elle allait réagir… Il souffla à son oreille : « Non sei solo, bella ragazza » Tu n’est pas seule, belle jeune fille »<- Traduc. :siffle : Il souffla sur sa nuque, il passa sa main dans son dos, pour qu’elle se calme, pour qu’elle ne parte pas loin de lui, loin de ses yeux, mais toujours proche de son cœur, comme à cet instant. Amor,Amor |
| | | Sujet: Re: Tutti e Due [Pv] Lun 26 Mai - 22:07
| | Invité
Elle n'était pas du genre à se confier. Elle n'aimait pas se faire plaindre et lire la pitié dans le regard des autres. Elle n'en voulait pas, n'en voyait pas l'intérêt. Et par dessus tout, elle ne voulait pas voir ça dans les prunelles bleues de Silas. Elle ne voulait pas gâcher ce qu'elle pouvait ressentir pour lui... Enfin, soyons sincères, ce qu'elle ressentait pour lui. Elle avait de plus en plus l'impression d'être proche de lui mais s'attachait à le nier au possible. Elle ne voulait pas, elle avait peur. De quoi? Elle ne voulait pas le savoir. La preuve, elle fuyait. Sa douleur et lui, en quelques sortes.
Elle n'avait pas eut le temps de faire quelques mètres qu'il attrapait son bras. Sous son impulsion, elle se tourna sur elle même et avec surprise, le sentit la serrer contre lui. Elle se raidit, hésitant à l'écarter de lui et à rester dans l'écrin de ses bras. Finalement, ce fut son instinct qui l'emporta. Elle tenta de s'écarter mais la voix de Silas résonna à son oreille, l'immobilisant aussi sûrement qu'un sort. Elle pas seule? Pour un peu, elle en aurait rit. Si elle était seule. C'était ce qu'elle faillit lui répondre mais...
Mais le souffle de Silas sur sa nuque et sa main sur son dos, lui firent ravaler ses mots. Plus que par les mots, il lui prouvait pas ses gestes qu'elle n'était pas seule. Il était là. Elle soupira doucement avant de se blottir contre lui, son visage cherchant instinctivement le creu de son cou. Ses mains glissèrent sur ses hanches et elle se pressa contre lui et sans rien ajouter de plus, elle éclata en pleurs. Par ses gestes, Silas avait fait rompre le barrage qu'elle s'était construit quelques minutes auparavant.
Néanmoins, cela ne dura pas. Quelques instants plus tard, ses larmes cessèrent d'elles mêmes. Elle n'était pas du genre à s'appitoyer sur elle même. Elle s'écarta légèrement de Silas pour pouvoir essuyer son visage. Elle lui fit un sourire timide.
Iranoe -Excuse moi... je...
Elle n'acheva pas sa phrase puisque c'était aisément visible dans ses prunelles. Elle soupira à nouveau et se blottit contre lui. Elle avait laissé tomber ses masques pour quelques instants particuliers avec Silas. |
| | | Sujet: Re: Tutti e Due [Pv] Mar 27 Mai - 21:48
| | Invité
Sa y’est . Il s’était lancé, enfin. Il n’avait plus peur de s’avouer cette faiblesse comme dirait William car il croyait que montrer ses sentiments , c’était se mettre en position de faiblesse ; n’importe quoi lui, mais franchement. :__ :. Il trouvait lui aussi qu’il avait tords justement, Silas. Avouer ses sentiments à la personnes concerné par ceux-ci était si bien. On était enfin libre de se comporter comme on veut avec l’élue de son cœur. La touché, l’embrasser, lui montrer tellement on l’aime, toussa toussa. Il respira un bon coup, il l’entendait pleurer dans son coups, elle pleurait maintenant avec de vrais larmes, celle du cœur et non celle des yeux. Enfin, il était bien et elle aussi, elle lui montrait maintenant.
Enfin, à ses yeux car son cœur semblait déjà au courant malgré son accélération, réaction à toutes les substances chimiques que son cerveau envoyer à son cœur. Enfin, il avait une confirmation enfaîte. Car Silas étant un homme, un humain, il avait besoins de cela, un acte lui disant que c’est bon. Car un humain même lorsqu’il dit « Je suis sur à 100% Aura toujours besoin de quelque chose pour savoir si oui ou non il avait vu juste. En même temps, autre facette complexe de ce qui fait de nous des hommes, lorsqu’il y a confirmation, on se demande toujours **Dois-je agir ? Est-ce vraiment ce dont elle a envie ? N’est-ce pas mon imagination.**. Car l’homme prends pour confirmation tout, absolument tout, un battement de cil, un regards, un geste, une parole pour interprétation. Alors, ayant déjà vécut ce genre de situation de non réciprocité, ils doutent. Là intervint une différence entre tout les hommes avec un grand H. Il y a les fonceur et le peureux.
Le fonceur ne va pas trop douter et se dira qu’il n’a rien à perdre, les peureux, eux, n’y vont pas et peuvent perdre une occasion exceptionnelle. Tandis qu’Iranoe descendait ses main sur ses hanches, il enroula ses bras autours de sa nuque, releva sa tête et l’embrassa. Un long baisé, passionné. Il jouait avec la langue de cette fille, cette fille qui était dans son cœur et accentuait ou diminuait la pression de ses lèvres. Il s’arrêta et lui souffla à l’oreille, pour que ce ne soit qu’elle qui puisse entendre. Pas même les arbres ni le vent ou même le destin.
« Ti amo mia bella”
Concludendo, l'amore esiste anche per loro Traduc : Finalement, l'amour existe aussi pour eux |
| | | Sujet: Re: Tutti e Due [Pv] Mar 27 Mai - 23:58
| | Invité
Blottie contre lui, elle sentit les bras de Silas s'enrouler autour de sa nuque et l'enjoindre à relever la tête. Dans un état second par ce qu'il venait de se passer, elle obéit sans se poser de question et lorsqu'il l'embrassa, son coeur rata un battement. Elle demeura un instant surprise mais ne tarda pas à lui rendre son baiser avec une passion au moins égale à la sienne. Elle était loin sa maîtrise d'elle.... L'Italien l'avait fait fondre avec une facilité déconcertante. Et pour la première fois de sa vie, elle suivait son instinct qui lui dictait chacun de ses gestes.... comme cette main qui remonta le long de la colonne vertébrale de Silas pour se glisser dans ses cheveux.
Intérieurement, c'était la tempête. D'un côté, l'illumination et la confirmation de ce qu'elle pressentait depuis un moment, de l'autre... la peur. Elle avait peur de ce qu'il pouvait lui dire... comme le fait que...
Silas -Ti amo mia bella
Que ça... Qu'il lui dise qu'il l'aime. Elle se figea instinctivement et une vague de panique passa dans ses yeux. Non pas qu'elle ne partageait pas ce sentiment mais se sentait loin d'être prête à l'avouer. Elle demeura quelques instants silencieuse avant de réaliser qu'il risquait d'être blessé par sa réaction. Elle sourit alors doucement et l'attira à elle pour l'embrasser de nouveau. Elle tenta de lui démontrer toute la tendresse et les sentiments qu'elle avait pour lui et lorsqu'ils se séparèrent de nouveau, elle caressa son visage et murmura à son oreille dans sa langue natale.
Iranoe -Ne m'en veux pas si je ne te réponds pas... Je ne suis simplement pas prête pour te le dire, Silas. Mais ne doute pas de ce que je ressens.
Nouveau sourire alors que ses doigts glissèrent jusqu'aux lèvres du Gryffondor. Elle déposa un rapide baiser sur ses lèvres et s'écarta de lui. En quelques secondes, elle parvint à défaire l'un des rubans qui ornaient son poignet droit. Elle le glissa dans sa main. De couleur noire, il émanait de lui une chaleur douce. Elle précisa.
Iranoe -Si tu me cherches... Il te fera savoir où je suis. Je dois filer, j'ai un rendez vous avec Lou... A plus tard, j'espère.
Ultime baiser et elle le quitta après un énième sourire. A peine a t'elle fait quelque mètres, qu'elle reprit son masque d'indifférence polie. |
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