Lola poussa la porte de l'Elfike. En même temps ça n'avait rien d'extraordiaire, elle était là très souvent vu que sa meilleure amie y travaillait.

Zaltana-Alors encore une journée à gratter?
Lola-Non pas du tout.
Zaltana-Tiens donc. Alors tu as décidé de ne plus être sérieuse?
Lola-Je suis passé au ministère voir mon père, pour le travail et puis surtout j'en avais envie.

Zaltana lui un Soft Mocca et continua son service, tout en discutant. Incroyable de voir comme cette fille pouvait être une pile électrique. Lola se retourna un petit sourire amusé aux lèvres. Un type lui sourit un peu plus loin, c'était Haydan, un type franchement sympa. Il venait souvent à l'Elfike du coup elle le connaissait bien. Un seul truc à lui reprocher, il devenait un peu trop dragueur au coup de la fille de Miguel quand il avait trop bu.
Ca c'était exactement le genre de truc qui énervait les hommes, voir une fille aussi belle qui avait l'air de vraiment savoir s'amuser, en gros le genre de fille qui à vraiment l'air trop géniale, ne voulait que rarement aller plus loin. Elle était agaçante Lola quand elle s'y mettait mais elle n'était pas du genre à sauter sauvagement sur le premier mec qui passe surtout qu'elle était très très difficile. Pour lui plaire il fallait en avoir. Vraiment en avoir. On s'appelle Almadovar ou on ne s'appelle pas Almadovar hein?

Elle quitta sa veste parce qu'il faisait sérieusement chaud à l'Elfike et elle la passa par dessus le bar à Zaltana (et ouais ça sert toujours de connaître la serveuse). On était en Octobre mais ça ne l'empêchait pas de porter une robe aux nuances bleues qui lui tombait à mi cuisse (très classe -parce qu'elle était journaliste quand même- et en même temps c'était décontracté). Elle fit un petit clin d'oeil à sa meilleure amie qui la laissa passer dans l'arrière salle pour qu'elle se refasse une beauté en vitesse après le boulot. Ses longs cheveux bruns étaient attachés à l'aide d'un pique et puis finalement après un petit coup d'oeil rapide elle estima qu'elle n'allait rien changer du tout. Lola se n'était pas le genre de fille trop superficielle, elle aimait juste avoir l'air de quelque chose. Bref.

Elle sortit de l'arrière salle en empruntant un long couloir qu'en général personne n'empruntait. Il attérissait tout au fond de l'Elfike mais les clients avaient toujours l'impression qu'il menait nul part et donc personne ne l'empruntait. Elle était encore loin d'être sortie du couloir qu'elle croisa un regard qui ne lui était pas inconnu, loin de là. Elle l'avait déjà vu cet après midi en allant voir son père au Ministère. Cedric McAlastar. L'hispanique eut un sourire assez charmeur (c'était un truc de famille faut pas chercher à comprendre). Elle avait toujours se regard très sombre et chaud, tout ce qu'il y avait de plus prenant. Elle ne pouvait pas nier que lui par exemple c'était une autre affaire que la moyenne des types qui trainaient à l'Elfike...

L’elfike. A ce bar, ce bar là, il faut l’avouer, il était pas mal sympathique lorsque l’on savait ou ce placer. Non, ce n’était pas la place la plus importante, je parle bien entendu de la vue… Vous comprendrez plus tard, ne vous inquiétez pas. Enfin bref, il revenait d’un journée de boulot, ou plutôt, je devrais dire, d’une journée à s’ennuyer. Comment voulez vous qu’il y ait de l’action si il n’y a pas de mangemorts dans l’illégalité. Ba oui, il pouvait bien les chercher, quand il les trouvait, ils n’avaient rien et c’était plutôt lui qui s’en prenait plein la tête. Bizarre non ? Un Auror qui se faisait taper sur les doigt par la Justice magique car il avait fait son travail. Enfin celui qu’il faisait à la base. Bref, une journée de Merde dans une ambiance de Merde.

Saleté de Loups.

Il avait envie d’une bonne pinte. Un truck à boire, pour se détendre et enfin pouvoir être tranquille. Enfin, tranquille, pouvait toujours avoir un Mangemort qui pouvait s pointer ans le bar mais bon, il ne se serait pas trop senti à l’aise je pense, entouré de personne pas très en accords avec leur convictions. En gros, des gens qui voulaient plutôt les attaché et les tous les brûler. Il se mit à rêver d’un grand feu de joie avec des mangemorts, ceux ci à l’endroit ou ils devaient être, dans le feu. Il avait les yeux brillant et quasiment la bave à la bouche…*ZBAF*. Heu, donc, il se dirigeait vers le bar. Il entra et là, tout les regards se posèrent sur lui, il les regarda et dit, d’un ton assez agacé :

« Quoi, j’ai un morceau de salade coincé entre les dents ? »

Et le bar continua son tapage bruyant. Commères, ils avaient tendance à énervé L’irlandais. Ils servaient à rien et il avait horreur qu’on le dévisage comme ça sa le… Rha ! Il allait avoir besoins d’une ou deux bonne pinte pour ce calmer. Il commanda alors son pichet de Bière Irlandaise et la descendit d’un trait avant d’en recommander un autre. Il balança un regards dans la pièce, tandis qu’il était au fond du bar, face à un couloirs. Dans un fauteuils confortable et en face d’un deuxième fauteuil très moelleux. Rien, il regardait les filles, toujours aussi belle et provocante mais bon, il devait ce les être taper au moins cinq fois, rien qu’avec d’autre. Elles avaient un goût fade maintenant. Bref, il passa sa main dans ses cheveux récemment coupés. Il avait prit la décision de tout coupé, comme ça, on ne le regarderait plus de travers à Poudlard. Sa nouvel coupe lui donnait un air espiègle et encore plus Taquin. Son regards bleu ressortant encore plus, vous regardant d’une façon très énervante car on avait l’impression qu’il ne vous prenez pas au sérieux. Ce qui n’était pas faux…

Life is a Game

Il vit alors quelque chose de plaisant. Peau basané, longue et fines jambes, un regards noire pénétrant et héréditaire, comme le sourire. Lola Almodavar. Il la regarda, elle aussi et l’invita à venir à sa place.

Lola ne se fit pas prier pour rejoindre l'Irlandais. C'était quelqu'un qu'elle appréciait et elle n'avait pas souvent l'occasion de discuter plus que ça avec lui. Il faut dire que l'un comme l'autre, ils n'avaient pas un boulot reposant, même si pour Lola c'était nettement moins dangereux.

Lola-Alors vous arrivez quand même à vous échapper de votre métier d'Auror de temps en temps Monsieur McAlastar...

Le ton était clairement ironique. Ils n'avaient pas tant d'écart pour se vouvoyer mais Lola était d'humeur joueuse soudain. Joueuse mais toujours gentille. Elle savait que son père était horriblement exigeant mais qu'il appréciait beaucoup Cedric. Elle sourit encore mais ne pouvait s'empêcher de remarquer le regard qu'il avait. Ses yeux bleus avaient l'air de prendre les choses avec une certaine désinvolture, de sorte que si elle n'avait pas déjà vu ce regard là avant, elle se serait demandé si elle le dérangeait. Mais après tout elle était bien là où elle était et on l'y avait invitée donc pas de soucis.

Lola- Journée de paperasse?

Du moins c'est ce qu'elle supposait vu que c'était ce que faisait la plupart des Aurors quand elle était passée voir son père un peu plus tôt dans la journée. Elle imaginait bien à quel point gratter toute la journée comme disait Zaltana pouvait être horriblement ennuyeux pour un homme habitué à vivre dans l'action.
Pour elle aussi d'ailleurs, elle aimait mieux être sur le terrain mais par les temps qui courraient curieusement le chef des Aurors n'appréciait pas trop ce genre d'initiative de sa part.

Elle sentait une douce odeur de mangue, qui lui allait mieux que tout. Comme si le parfum de ce fruit exotique laissait deviner que Lola était loin d'être sans saveur, elle avait même une saveur douce et corsée. Curieux mélange mais parfaitement appréciable. Du moins généralement il plaisait ce mélange.

Un rire. Franx, frais. Il surprends souvent le rire de l’Irlandais dans des temps aussi morose. Il surprends car il et vraie, non voilé et qu’il est frais. Ce n’est pas un rire caché, pas un rire jaune, c’est un juste, un bon, un surprenant rire qui sortait de sa bouche. Surprenant parce que la seconde d’avant il vous regarde bizarrement, comme étonné et qu’ensuite il rigole. Etrange garçon n’est-ce pas ? Toute façon, il était d’une ambiguïté sans pareille. Il pouvait vous emmerder puis vous rassuré, vous insulté puis vous faire une accolade. Enfin bref, un humain quoi. La jeune journaliste était d’humeur taquine apparemment. Elle ne souvenait pas qu’il fallait ABSOLUMENT le tutoyer ? Parce que sinon il se sentait vieux, et puis, cela faisait si longtemps qu’ils se connaissaient, cela faisaient si longtemps qu’il travailler avec son père. Combien déjà ? vingt-cinq moins dix-huit ? sept ans. En sept ans, on avait le temps de connaître suffisamment une personne pour pouvoir la tutoyer… Non ? Bon ok, quand elle avait seize ans et lui vingt, je ne vous dit pas mais là, a leurs âge, il pouvait bien se tutoyer non ? Bordel ! Enfin bref, tout ça pour vous dire que cela l’avait légèrement amuser… Comment ça les réactions d’un Irlandais n’est pas normal ? Comment ça, il était bizarre ?
Oui, et il assume d’abords ! Nanmého !

Brefouille, il se plaça de manière à pouvoir la regarder dans les yeux. Les mains croiser sous son menton, ses coudes sur ses genoux. Il avait un sourire taquin sur le visage, des yeux pétillant, comme un gosse à noël, venant de déballer THE Cadeau, celui de ses rêves, celui qu’il a soulé c’est parent pour l’avoir et qu’il gardera toujours, dans un coins ou même en souvenir. Sauf que lui, le cadeau était plus…Sympa, enfin, selon son avis. Il répondit d’un air ironique.

« J’ai autant de travaille que de danger présent dans ton travail… »

Il était tout aussi espiègle qu’elle, il savait taquiner aussi. Et il aimait qu’on le cherche aussi.
Mais bon, là, il fit un bond dans son siège…Ou presque, il lui dit :

« Oops, excuse –moi, je manqué à tout mes devoirs Mlle Almadovar…”

Il leva la main et claqua des doigts, le barman sortit la tête de son comptoir et lui demanda ce qu’il voulait d’un signe de tête, il commanda d’une voix assez forte pour qu’il entende.

« Une Tequila Paf et…. Un chocolat viennois [color]il se tourna vers Lola et lui demanda[color=green] « Enfin, si tu n’as pas changé »

Dit-il avec un sourire, il savait très bien qu’elle n’avait pas changer, il al connaissait bien.
La force tranquille de la famille, la seul à réfléchir avant d’agir…Ou presque, le sang des mexicain coulait dans ses veines alors, elle avait pas trop le choix des fois. Il récupéra les deux boissons au bout du bar qui était juste derrière lui puis il mit son chocolat chaud viennois devant la jeune fille avant de lancer deux pièces d’or au tavernier.

« Mlle est servie. Et sinon que peut attirer une si jolie fille d’un bar pareille ? »

Sourire Taquin.
Yeux-sourire.
Cedric.

Cedric- J’ai autant de travaille que de danger présent dans ton travail… »
Lola- Tiens donc...

Elle leva un sourcil faussement vexé. Monsieur était d'humeur joueuse lui aussi, elle ne lui en tenait pas rigueur c'était elle qui avait commencé,elle se contenta de le gratifié de ce petit regard de défis qui lui allait si bien.
Il eut un mouvement soudain, Lola se demanda ce qui lui arrivait:

Cedric- Oops, excuse –moi, je manqué à tout mes devoirs Mlle Almadovar… Une Tequila Paf et…. Un chocolat viennois. Enfin, si tu n’as pas changé.
Lola-Alors je suis toujours Mademoiselle Almadovar?', elle eut une petite expression amusée avant de répondre, ' Je n'ai pas changé, merci 'fit-elle en trempant ses lèvres dans la tasse que la serveuse venait d'amener, elle ne le lâchait pas du regard pour autant comme si elle était captivée par l'homme qui se trouvait face à elle, 'mais le prochain que je prends ce sera un Irish coffee double'

Curieux qu'elle parle d' "Irish" Coffee, surtout avec ce sourire là sur les lèvres. On avait pas souvent l'occasion de la voir charmeuse, presque dragueuse mais allez savoir, elle ne passait pas souvent la soirée avec Cedric McAlastar... et puis elle mettait une certaine finesse dans son jeu. Mais passons...

C'était tout à fait son genre de commencer par prendre un café ou un chocolat. Les gens la prenaient pour une petite nature mais une fois qu'elle s'était mise en condition ce n'était plus la peine de lui parler de "sans alcool" et d'ailleurs c'était la seule cliente qui avait réussi à finir un Avada Jet, le cocktail le plus coriace qu'on puisse imaginer.

Cedric- Mlle est servie. Et sinon que peut attirer une si jolie fille d’un bar pareille ? »
Lola- Je vais finir par croire que je suis sous protection rapprochée', elle but une gorgée avec toujours cette étincelle malicieuse dans le regard, ' la serveuse c'est ma meilleure amie, Zaltana. Ca a quelques avantages et puis c'est un bar sympa surtout après le boulot. Et toi? Tu attendais quelqu'un?

Elle jeta un regard autour d'eux pour se rendre compte qu'il y avait pas mal de femmes qui regardaient dans leur direction, enfin surtout dans celle de Cedric, ce qui la fit sourire.

Lola-En tout cas je vois un tas de jolies filles autour de nous qui aimeraient bien être ce quelqu'un. Je vais devoir rendre des comptes à des jalouses en sortant je crois.

Elle rit de bon coeur. Il y avait beaucoup de chaleur et de sensualité dans son rire. Bien sûr elle se fichait des filles autour et de ce qu'elles pourraient bien penser ou dire. Lola n'avait de compte à rendre à personne mais la situation était assez amusante à la vérité.

Ouf. Elle était belle. La chaleur monte. Est-ce la beauté en face de lui ou le verre de Tequila ?

Vous voulez rire, un verre le rendre comme ça ? Un peu fébrile même s’il paraissait toujours aussi fort… Ce parfum cette odeur, ce ressentit. Ouah ! Il se sentait passionné, il se sentait mièvreux. Un Irlandais chamboulé, eux si indiffèrent d’habitude, si.. Irlandais. Pur et brute comme un whisky, subtile comme son goût et sa préparation… Comme l’hydromel, ils sont chaleureux, doux, sucré. Comme la bière, ils ont du caractère, un sacré caractère même. Uoi, comme Cedric… Oui, dès fois c’est pire. Non, vous ne rêvez pas, c’est la vérité. Il n’était pas le pire, je vous rassure.

Il ferma les yeux pour apprécier le goût de sa Tequila. Une boisson qui n’était, pas de chez lui mais qu’il adorait. Pas raciste ! Il sentit alors le doux parfum de mangue qui s’élevait de la demoiselle. Mangue. Délicieux parfum, envoûtant… Bien qu’il le soit déjà, envoûté, par ses charmes, par son esprit, son corps...Sublime et cette connexion, ce petit truck entre eux, de se taquiner comme ça, en cachant des compliments dessous, subtile et totalement délicieux. Puisque l’ironie était une des choses qu’il pratiquait le plus souvent, glisser des compliments lui était facile, lui qui glissait des reproches d’habitude. Enfin, il fallait pas non plus qu’ils soient trop caché alors, il fallait s’adapter. Mais pourquoi les cacher ? Pourquoi pas les exprimé, tout simplement ? Ouai, les trucks du genres, on ne sait pas si c’est réciproque etc.. etc… Il s’en foutait. Il savait que de toute façon, s’il elle ne l’était pas, il irait se consoler avec une autre même si cela ne serait pas pareille, qu’il ne ferait que s’abusé, se mentir. Enfin, il avait aussi tellement de choses en tête, il savait que de laisser celle-ci, cela serait que plus bénéfique sur son cerveau déjà très occupé.

Lola- Je vais finir par croire que je suis sous protection rapprochée', elle but une gorgée avec toujours cette étincelle malicieuse dans le regard, ' la serveuse c'est ma meilleure amie, Zaltana. Ca a quelques avantages et puis c'est un bar sympa surtout après le boulot. Et toi? Tu attendais quelqu'un?

Il sourit, tranchant :

« Non, Non, je me prends une petite pause parce que, j’en ai peut-être aps l’air, mais je travaille. C’est pas que tu est sous surbeillance, disons que nous tenons tous à toi… »

Sourire malicieux. Regard explicite. Clignement d’œil. Il ne lui en dirait pas plus. De toute façon s’il faisait cela, Miguel l’assassinerait et Toute la famille passerais sur son cadavre alors…Autant évité parce que s’il pouvait gérer les mioches et à la limite, Alicante, Miguel c’était une autre paire de manches. Enfin, il avala une gorgé et finit son verre.

Lola-En tout cas je vois un tas de jolies filles autour de nous qui aimeraient bien être ce quelqu'un. Je vais devoir rendre des comptes à des jalouses en sortant je crois.

Nouveau sourire. Il était temps, il devait le dire, c’était le moment propice. Un éclat, une petite étincelle dans son regards, si elle voulait se rétracté, se serait maintenant. Car elle avait du déjà la voire, cette étincelle, lorsqu’il était prêt à l’action. IL se pencha par dessus la table et retraça les contours de sa joue avec son doigt en lui disant, d’un regard sincère.

« Peut-être, mais aucune ne t’arrive à la cheville…”

Sa vois c’était fait douce, plus basse, comme si il voulait conclure un pacte pars ses paroles.

Edit Miguel : Pas touche à ma fille où je te fiche aux archives !

Cedric- Non, Non, je me prends une petite pause parce que, j’en ai peut-être aps l’air, mais je travaille. C’est pas que tu est sous surbeillance, disons que nous tenons tous à toi… »

Elle savait bien qu'il travaillait beaucoup en fait, elle n'avait qu'à regarder son père pour le savoir. Elle nota le "tous" et le petit clin d'oeil, lui répondant d'un sourire. Intérieurement elle était contente qu'il n'attende personne (enfin surtout qu'il n'attende pas une autre femme). Elle hésitait à le lui dire aussi directement du coup elle prit un petit détour mais c'était aussi explicite que si elle avait dit carrément "tu attends une autre femme?".
Ca le fit sourire et il y eut une étincelle dans le regard de l'Auror et Lola sentit que ça ne la laissait pas indifférente. Elle savait bien ce que c'était que cette étincelle, et elle sentait que ça produisait un genre d'effervescence en elle.


Cedric- Peut-être, mais aucune ne t’arrive à la cheville…”

Elle baissa le regard une seconde (le truc qu'on ne voyait jamais Lola Almadovar faire) et se mordit la lèvre en relevant les yeux sur le visage de Cedric. Il y avait toujours cette étincelle mais elle c'était faite plus séductrice disons. Elle lui prit la main doucement avant de répondre:

Lola-Ca me flatte. Qu'est ce que je devrais dire de toi alors en regardant les autres hommes?', elle le regardait toujours droit dans les yeux et elle avait cette belle assurance qu'elle tenait de son père (hj: et oui alors il faut pas se plaindre papounet, je m'en sers ), elle n'était pas gênée de lui dire qu'il lui plaisait même si elle avait quand même un peu de réserve, mais c'était sa façon d'être, 'tu me plais beaucoup.'

Là par contre elle détourna son visage et regarda de côté ce qui lui donnait un petit air espiégle. Elle n'avait quand même pas oser lui dire ça? Si. Elle rougissait légérement mais elle avait le sourire aux lèvres. Elle attendait simplement de voir comment il allait réagir à ça. C'était drôle cette sensation de ne pas savoir pour une fois. Ca lui arrivait rarement d'être aussi incertaine mais ça faisait partie de ce jeu qu'il y avait entre eux depuis qu'il était arrivé.

Un barrage. Tu sais à quoi cela serait Niño ? Un barrage, cela sert à retenir. Un Barrage, c’est normalement fait pour retenir de l’eau Mais pas toujours. Ici, le barrage, c’est fait pour retenir un sentiment particulier, une sensation, une envie. Là, l’barrage, il s’est cassait la geule. Littéralement, le barrage, en mille morceaux. Depuis toujours, il n’avait fait que jouer, jouer en attendant. En attendant quoi me direz vous ? Quelqu’un, un déclic qui se ferait, qui lui dirais « Hé ! Va falloir arrêter tes conneries ! » . Voilà, c’était fait. Il n’en pouvait plus.

Un jour, une fille.
Brunes, blondes,Rousses.
Petite, grandes,belles.

Peut importait tant qu’il pouvait se noyer, oublier, tout, sa vie, ses actions. Tout ce qui composé ses cauchemars qui n’étaient que des morceaux de sa vie. Sa vie, elle n’était pas rose, il en bavait, il ne pouvait avoir quelqu’un de régulier, de peur de s’en attacher et de se la faire voler, ravir à cause de ce qu’il faisait. La mort, partie intégrante de son métier, il pouvait mourir, il donnait la mort, elle pouvait en subir les conséquences. Celle qu’il aimait. Mais là, en plus de cette complicité, c’était Lola Almadovar. Belle, avec une assurance rare et n’ayant pas le béguin en le voyant, elle était assez forte pour supporter le choc si quelque chose lui arrivait et puis, c’était la fille de Miguel… Il ne lui arriverait rien.

Regards entremêlés.
Confiance totale.
Amour.

C’était sa le mot. Celui qui ne pouvait sortir de sa bouche. Il ne pouvait prouver ses sentiments que par les actes car il était incapable de le dore. Lui et tout ses dérivations. Je t’aime, Amour et toussa. Son regards… Ah non, CE regard ! Pas celui là, en coin, il ne pouvait y résisté… Surtout lorsqu’il était assortie de cette phrase. De cette association de mot si banal mais qui, composé comme ceci était… Woa.

Lola :'tu me plais beaucoup

Pas besoins de plus. Pas besoin de moins. C’est tout. Il était aux anges. Il attrapa sa main qui était sur la table, traînant près de son chocolat chaud. IL vit sa main et la retira sur le champs. Ah non, il mit rapidement sa veste et ce concentra mais trop tard, elle devait avoir vu. Sous le coup de l’émotion, sa tension magique c’était abaissé. Laissant apparaître un temps suffisant toutes les cicatrices qui avait sur les parties apparentes de son corps. Une dizaine de grosses cicatrices sur son avant bras droit, une sur l’épaule. Enormément de petites estafilades sur son bras gauche et la longue cicatrice qui brais la droite de son visage. Comme un long serpent qui partait de son sourcil jusqu'à sa joue. Il était embarrassé… Il se sentait mal, il lui dit, en baissant les yeux.

« Désolé, tu n’aurais jamais du voir cela… »

Il se sentait vraiment mal. Est-ce qu’il lui plairait encore comme cela ? Si il la dégoûtait alors, l serait obligé de rebâtir ce barrage, et cela prendrait longtemps.

Elle voyait quelque chose changer en lui doucement. Non pas physiquement c'était plus profond, c'était dans son regard bien avant d'être sur sa peau. La belle hyspanique le regardait finalement.

Une longue cicatrice apparut le long de son visage à droite. Il lui prit la main mais la retira rapidement. Son corps s'était soudain couvert de cicatrices. A le voir on aurait cru avoir devant les yeux le pire des criminels sanguinaires. Il remit sa veste et s'empressa de faire tout disparaitre pour qu'elle ne voit pas ses blessures. Elle sentit qu'il était réellement mal à l'aise et d'ailleurs il ne la regardait plus.

Cedric- Désolé, tu n’aurais jamais du voir cela… »

Lola soupira. Elle en avait vu des cicatrices. Beaucoup et de bien plus vilaines peut-être. Elle n'en avait pas peur, et même elle s'était souvent demandé comment il se faisait qu'il qu'il n'en ai pas. Et maintenant qu'elle découvrait qu'il était méta elle comprenait mieux. Elle n'aurait pas imaginé qu'il puisse en avoir autant, il était si jeune, mais elle s'était attendu à en voir quelques unes de toutes façons. Elle était la fille de Miguel Almadovar. Son père en avait sur les mains et les bras lui aussi et une sur la joue.

Elle se rapprocha un peu de Cedric, craignant un peu qu'il ne la fuit. Elle le regarda de haut en bas, chaque détail de son visage avec beaucoup de douceur mais elle avait un air sérieux à présent. Doucement elle effleura l'endroit ou quelques instant au paravant une grande cicatrice barrait le visage de l'auror et finalement elle posa ses lèvres sur celle de Cedric, très tendrement.

Lola-Quand j'ai dit que tu me plaisais tout à l'heure, j'aurais du ajouter que c'était autant physiquement que pour ce que tu es à l'intérieur peu importe ce qui t'arriveras,' elle sourit, de nouveau elle se faisait taquine pour qu'il ne se cache pas derrière une carapace, ' et puis tu crois quoi? je suis la fille du big boss je n'ai pas peur de tes cicatrices. Je les aimerais autant que celui qui les porte si tu me laissais...'

...si tu me laissais quoi? Juste t'aimer tout simplement. Là dessus aussi elle se sentit timide et ridicule en même temps. Mais ce qu'elle voulait surtout dire par si tu me laissais t'aimer c'était je t'en pris ne te ferme pas. Elle alla chercher la main de Cedric et la serra doucement dans la sienne.

Euphorie.Avez-vous déjà ressenti un bonheur si intense qu’il effaçais tout le reste. Un bonheur tellement bon que tout le malheurs pesant sur vos épaule étaient partie l’espace de ce moment si particulier ? Et bien, voilà, c’est l’euphorie. Ce que ressentait Cedric l ‘était aussi. Pendant un instant, il oublia qu’il était un Auror, que les Mangemort était à la tête de tout, qu’une prophétie était sur le point de s’accomplir, qu’il avait un rôle à y tenir, qu’il pouvait mourir, que le monde était mal barré. Dans sa tête, il n’y avait qu’elle Lola. Un sourire envoûtant, une personnalité hors norme –A la Almadovar- et un visage sublime.

Lola Almadovar.

Il l’aimait mais n’arrivait pas à lui dire. Il ne pouvait lui dire que par les gestes. C’était affreux, c’était étrange mais L’irlandais n’était pas comme tout le monde, il avait vécut des choses que certain n’ont jamais vécut et ne seront jamais confronté même dans plusieurs vies. Plusieurs vies, voilà, il avait 25 ans mais avait vécut intensément.

Lola-Quand j'ai dit que tu me plaisais tout à l'heure, j'aurais du ajouter que c'était autant physiquement que pour ce que tu es à l'intérieur peu importe ce qui t'arriveras,' elle sourit, de nouveau elle se faisait taquine pour qu'il ne se cache pas derrière une carapace, ' et puis tu crois quoi? je suis la fille du big boss je n'ai pas peur de tes cicatrices. Je les aimerais autant que celui qui les porte si tu me laissais...

Laissait quoi. Lui donner ce qu’elle voulait, ce qu’il voulait. L’amour, le vrais, l’unique.
Il la regarda. Tendrement, ce regards voulait tout dire, il l’ai aimait, c’était la seul chose dont il était certains sur lui. Le reste, son avenir, celui du monde, il n’en avait aucune idée et pour l’instant, il s’en foutait complètement. Tout ce qui contait pour lui, c’était la belle mexicaine devant lui.

Il passa sous son menton et l’attira vers lui, l’embrassant avec tendresse, amour mais avec une fouge particulière, comme il était lui, étrange, contradictoire. Il la regarda ensuite dans les yeux et dit d’un ton des plus sérieux.

« Je t’aime. »

Trois lettres et un mot déclenchant un torrent d’émotion étrange en Cedric. Il lui demanda aussi

« Tu viens avec moi au bal d’Halloween, à Poudlard »

Il lui donna un baiser tendre et fougueux. Etait-ce seulement possible? Elle se moquait de savoir si c'était contradictoire, possible ou complétement dément. Tout ce qu'elle savait c'était qu'elle s'y abandonnait complétement à ce baiser. Il n'y avait plus d'Elfike, ni de filles jalouses autour d'eux le temps de ce baiser. Puis tout réapparu comme elle rouvrait les yeux et qu'il lui disait "je t'aime". Son coeur manqua un battement. Elle ne s'était pas attendue à ce qu'il le lui dise. Du moins pas tout de suite. Mais ces simples trois mots lui prodigaient une sensation de chaleur à l'intérieur et ça lui faisait un bien fou de les entendre.

Lola-Je t'aime aussi', fit-elle avec un sourire.
Cedric-Tu viens avec moi au bal d’Halloween, à Poudlard »

Elle rit de bon coeur. Si on lui avait dit qu'elle aurait de nouveau l'occasion d'aller à un bal à Poudlard elle ne l'aurait pas cru.

Lola-Je te ferais la surprise de ma tenue alors, et ça fera une occasion de parler à mes petits frères.

Elle savait que ses deux petits frangins aller vouloir jouer les mâles dominants mais elle en avait l'habitude. Elle était toujours attendri de les voir faire ça avec leurs soeurs mais elle avait aussi le sâle caractère de Miguel et quand elle disait quelque chose il ne fallait pas chercher à la contrarier. Et puis elle n'allait pas leur demander leur avis quoiqu'il en soit.

Elle lui prit la main avant de se lever et de proposer:

Lola-On va ailleurs?

Elle ne le disait pas mais pour une fois l'ambiance survlotée de l'Elfike l'incommodait. Elle aurait préférait être plus tanquille avec lui, sans toutes ses femmes qui la regardaient de travers. Encore qu'elle se sente parfaitement capable de l'ouvrir pour les remettre à leur place mais elle n'avait pas envie de perdre son temps ave ça. Elle voulait simplement profiter du temps qu'elle pourrait passer avec lui.

Il se demandait quelle ombre pouvait gâcher ce tableau magnifique.
Elle et lui, lui et elle, ils ne faisaient plus qu'un maintenant. Une aura lumineuse éclairait le couple, une aura de tendresse, d'amour, de liberté aussi car plus qu'un couple parfait, ils étaient tout les deux des éléctrons libre. je citerais le passage d'un livre qui m'as beaucoups plût. Un passage s'accordant parfaitement à nos deux tourteraux expliquait que si ils attiraient les autres, c'était car il était libre, comme un oiseau. Et que tout ceux qui l'approchait, subjugé par l'aura de cet individu, avait envie de le tuer. PAs dans le sens littéral bien sur... Ils voulaient tous les retenir au sol, ce qui revenait au même pour eux.

ici, ils étaient en parfait accords, libre, sur le point de s'envoler et tout les êtres autours, jaloux de cette beauté là, voulaient les empêcher de s'envoler. Bien sûr, ce n'étaient que des regards er rien ne pouvait retenir Cedric et Lola. Ils s'aimaient, voilà tout. Deux choses sont à dire sur l'amour. Deux choses qui opposent deux catégories de personnes. la première dit que l'amour rends aveugle. Les autres, eux, disent que l'amour donne des ailes. Qui a raison, qui a tords ? Ce n'est pas le plus important car le point de vue de la personne le disant change du tout au tout à un moment donné. Ce qui compte, c'est l'instant présent et les choix que l'on fait pour l'avenir. Ici, Cedric avait choisi d'aimer et il avait bien raison.

Il la regarda. Il y avait tant de tendresse dans ce regard, tant d'amour et tellement de passion que cela se passait de mot. Il était d'accords avec elle et je me demande si un jour il serait en désacords avec elle... tant l'amour qu'il lui portait maintenant effacé son sal caractère d'Irlandais!

"Envolons nous.."

Dit-il en souriant, lui prenant la main et transplanant.