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 Yesterday was a LIE.

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Yesterday was a LIE. EmptyMer 14 Mai - 14:57



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    Yesterday was a LIE. A-kristenb05 Yesterday was a LIE. A-kristenb03
    she's lost control.



    { IDENTITÉ GÉNÉRALE *

      NOM, PRÉNOM : KENNEDY, Billie, Sly.
      DATE DE NAISSANCE, AGE : 3o Janvier, 19ans.
      PROFESSION : Etudiante pour devenir Auror.
      ÉTAT CIVIL : Célibataire.
      BAGUETTE MAGIQUE : Bois de Hêtre, Crin de Licorne. 22,5 cm.


    { WHAT ELSE ?

      ACTRICE : Kristen Bell.
      CODE DU REGLEMENT : William.
      PSEUDO IRL : effy.


Dernière édition par Billie Sly Kennedy le Mer 14 Mai - 15:16, édité 3 fois
 
MessageSujet: Re: Yesterday was a LIE.   
Yesterday was a LIE. EmptyMer 14 Mai - 15:03



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*{ ETAPE 1. HISTOIRE D'AMOUR.

    « Mes Félicitations Miss Kennedy. »
    [...]


    « Dites moi Mr. Donovan, vous croyez en l'amour ? »
    « Oui, j'aime profondément ma femme depuis bientôt vingt ans, et je l'aimerais certainement jusqu'à la fin de mes jours. »
    « Magnifique, rétorqua-t-elle, alors vous pourrez facilement m'expliquer pourquoi vous étiez avec Mme. Peterson Vendredi aux alentours de deux heures du matin ? »

    Un lourd silence s'opposa entre les deux sorciers. La jeune femme, munie d'un bout de parchemin et d'une plume qui semblait écrire seule, fusillait du regard un homme d'une quarantaine d'année. Il n'était pas célèbre, certains le connaissaient au Ministère de la Magie, mais pas plus que ça à vrai dire. Miss Kennedy avait une Interview à faire pour ses études, avec pour sujet : l'amour. C'était peine facile, il lui suffisait d'aller voir celui qu'elle croisait tout le temps au motel du coin avec une femme qui n'était pas la sienne. Monsieur Donovan semblait outré d'une telle réponse, ses yeux se froncèrent, et d'un coup de baguette magique, il ferma la porte à clé, de façon à ce que personne ne l'entende.

    « Vous connaissez la métamorphose Miss Kennedy ? J'ai sans doute été pris dans un piège. Je suis peut-être qu'un employé, mais j'ai une fortune familiale, et ma femme serait heureuse de découvrir une telle chose pour pouvoir demander le divorce et empocher la moitié de mes biens. »
    « Pourquoi voudrait-elle briser l'amour qui vous lie, comme vous le disiez si bien il y a un instant ? »

    Silence. Billie avait toujours été ainsi, elle savait répondre fermement aux autres sans même se soucier de leur mal être. Non, en fait, elle en était tout à fait consciente mais n'en éprouvé que du plaisir. Ce n'était pas pour autant une personne malfaisante, méchante, sadique, ou tout autre adjectif péjoratif, c'était juste qu'elle détestait les hypocrites, les menteurs, et ceux qui trompaient leur femmes. Surtout ceux qui trompaient leur femme.

    « Je pense que vous êtes mal placée pour parler d'amour. Dois-je vous rappeler que votre ex-petit-ami est mort récemment ? Et que bien sûr, il vous a trompé avec votre meilleure amie tout le long de votre relation. Sans parler du fait que votre amie a disparue de la circulation. »

    Mais on trouve parfois meilleur que soit. Si Billie avait eut tant de facilité à approcher Monsieur Donovan, ce n'était pas parce qu'elle était favorisée (bien au contraire), mais parce qu'il s'occupait de l'enquête Caufield. Son petit-ami, Jake Caufield, était décédé depuis déjà deux mois, et par la suite, la meilleure amie de Billie fut portée disparue. Peut-être y-a-t-il un lien entre les deux, sans doute même lorsqu'on sait qu'ils ont eu une liaison durant une année entière, alors que le célèbre Caufield était en couple avec Lie. Vous pensez, qu'après tout ça, elle pourrait croire en l'amour ? Non. Elle s'était vendue, corps et âme à une personne qui l'a trompé avec une autre qu'elle portait tout aussi bien dans son cœur. Pourtant, elle ne vit que pour retrouver les traces de Stefany (sa meilleure amie). Cependant, elle ne sait si c'est par esprit de vengeance ou alors d'espoir. Aucune preuve concrètes n'avait été révélé. Juste quelques SMS, quelques lettres gardées, mais aucune photos, aucune vidéo.

    Sur les paroles de Monsieur Donovan, Billie se sentait confuse, mais ne se laisserait pas perturber aussi facilement, c'était une personne qui avait du cran et pouvait contrôler un minimum ses sentiments, même si son cœur se compressait sur sa poitrine, on ne pouvait lire sur son visage qu'un soupçon de surprise. Elle se mordilla la lèvre, et ouvrit son sac, d'où elle sortit une pochette, elle les lança au visage de « l'accusé » et le fusilla à nouveau du regard. Un regard mesquin, vengeur, très désagréable. Monsieur Donovan gardait son calme et affichait même un sourire, il savait que malgré tout, il avait réussit à la déstabiliser, mais certainement pas à lui faire oublier le sujet abordé précédemment. Il ouvrit l'enveloppe. Des papiers vierges s'y trouvaient. Il se mit à rire de bon codeur, de très bon cœur.

    « C'est quoi ça ? Un objet de chez Zonko ? Peut-être une variante des boules puantes ? »
    « Non. Parfois, on douterait de votre métier Mr. Donovan. »
    « Allez, achevez-moi, lança-t-il en riant de bon cœur »

    Il ne pouvait pas si bien dire. Elle prit sa baguette et prononça une formule très précise. C'était un de ces appareil Sorcier qui ne pouvait être modifié. On prenait une photo, et elle était véritable, on ne pouvait la faire apparaître que dix secondes à chaque fois. Un visage se dessina, celui d'une jeune femme d'une vingtaine d'année, très belle, et à ses lèvres pendaient une autre paires qui appartenaient à un visage ridé.

    « C'est dépourvu de sens. »
    « Tiens, vous ne riez plus ? »
    « Je n'y crois pas. QU'ON M'APPORTE UN CAFÉ ! »

    Billie acquiesça un sourire. Une dame entra, plutôt svelte mais très petite. Elle déposa la tasse sur la table en disant « Voilà Monsieur », et avant même qu'elle eut le temps d'en proposer une à la Journaliste, il lui demanda de prendre la porte. Cependant, l'étudiante avait un sourire mesquin aux coins des lèvres.

    « Vous êtes prêt à avouer ? »
    « Et puis quoi encore ? Cela ne prouve rien. »

    Il but une gorgée de son café. Billie reprit son enveloppe ainsi que toute les photos présentes, Monsieur Donovan ne prit même pas la peine de l'en empêcher. Il avait d'ailleurs l'air plutôt pâle.

    « Oh non. »
    « Et si. Je suppose que vous connaissez cette sensation Mr. Donovan ? Du Veritaserum. Je ne suis pas qu'une étudiante de pacotille, et ça, vous auriez déjà du vous en rendre compte lors de l'enquête, avec tous les indices que je vous ai fournis que vous n'aviez pas même été fichu de trouver. Mais tant, pis, c'est votre problème. »
    « Vous êtes méprisable. »
    « Plus tard les compliments. Tout à l'heure, vous parliez de métamorphose ? Et bien, l'employée qui vient de vous apporter votre café n'était pas réellement votre employée. Mais passons. Vous vous sentez prêt à avouer ? »
    « Non. »
    « On s'en fiche. Qu'avez vous fait Vendredi dernier dans la nuit ? »
    « J'étais avec Mme. Peterson. »
    « Et qu'avez-vous fait ? »
    « Ce que deux amants font. »
    « Vous avez eut des rapports sexuels ? »
    « Oui. »
    « Combien de fois cela est-il arrivé ? »
    « Je ne sais pas. »
    « Depuis combien de temps ça dure ? »
    « Plus de deux ans. »

    Un sourire satisfait put se lire sur le visage de Billie, elle se leva immédiatement, prit son sac en bandoulière, et dès qu'elle eut ranger sa baguette dans sa veste et posée sa main sur la poignet de la porte, elle répliqua une dernière fois :

    « Au fait, vous croyez en l'amour ? »
    « Non. »
    « Moi non plus. »

    [...]
    « T'as eu quoi Billie ? »
    « Optimal. »


Dernière édition par Billie Sly Kennedy le Mer 14 Mai - 15:21, édité 1 fois
 
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*{ ÉTAPE 2. HISTOIRE DE FAMILLE *

    « Maman, j'suis rentrée. »

    Il était tard, très tard. Par habitude, les Kennedy mangeaient toujours aux alentours de vingt heure, et il était vingt-et-une passée, chose qui pourrait en énerver plus d'un. C'est donc avec délicatesse que Billie referma la porte derrière elle, enleva son manteau qu'elle posa en vitesse sur le Canapé, puis débarqua dans la cuisine, presque essoufflée.

    « C'est pas trop tôt. »
    « Jacky, soit plus aimable avec ta sœur. Pourquoi t'es en retard ? lança Desiree en regardant Billie. »
    « Oh... Embouteillages. »
    « Ah d'autre. Figure toi qu'on vient de rentrer, et qu'il n'y avait pas un péquenot sur la route. »
    « Jacky ! »
    « Ah mais oui, j'oubliais, Bille a TOUJOURS raison. »

    L'ambiance était toujours ainsi entre les deux soeurs. Pour on ne sait qu'elle raison, Jacky faisait toujours tout pour désemparer sa grande soeur, elle n'avait beau avoir que douze ans, elle en avait dans la cervelle et n'était pas une Kennedy pour rien. Pourtant, Jacky n'était comme ça qu'avec Billie, elle seule. Les autres, elle leur souriait, elle les aidait parfois, mais Billie aux oubliettes. L'étudiante n'a jamais cherché à savoir pourquoi, elle mettait ça sous le syndrome de la jalousie ou même de l'adversité. Car il fallait l'avouer, Jacky était très attachée à Jess, mais ce dernier préférait largement Billie, bien qu'il ne le montre pas énormément. D'ailleurs, lui se contentait d'écouter, et Jack se prélassait, journal en main, habitué par une telle scène.

    « Alors, pourquoi tu étais en retard ? »
    « Et bien... »
    « Bon, on mange ? »

    La voix roque de son père la sauva. Elle ne voulait pas leur dire qu'elle enquêtait encore sur la mort de Jake ainsi que sur la disparition de Stefany, sinon ils allaient tous lui dire la même rengaine : « Arrête, c'est trop dangereux, t'es trop jeune, ... » le baratin habituel pour une femme d'à peine dix-huit ans. Donc elle prit place sur sa chaise habituelle, aux côtés de Jess, et elle pouvait déjà sentir le regard agressif de Jacky. Mais ça ne la dérangeait pas vraiment, de toute façon, elle agissait tellement souvent ainsi (pour ne pas dire tout le temps). Le repas continua sans mot supplémentaire. Jusqu'au moment où...

    « Alors Billie, tu as eu des notes récemment ? »
    « Oui, Optimal. »
    « Je reconnais bien ma fille. C'était pour quoi ? »
    « Un projet en sociologie. On devait faire une Interview sur l'Amour... »
    « Et ça a donné quoi ? »
    « Oh.. Un divorce. J'ai découverts un Adultère. »
    « Sur qui ? »
    « Donovan. »
    « AH ! Ce satané Donovan, j'en étais sûr. Et qui c'était ? »
    « La femme de Jules Peterson. »
    « Encore mieux dites moi. »

    Jacky soupira, tellement fort que ça en devint un supplice pour Billie. Elle se tourna face à elle, crispée et frustrée. C'était seulement dans ces moments, avec les personnes qui la connaissent le mieux, qu'elle pouvait se permettre d'être « elle même » (mais sans excès). Mais à peine ouvrit-elle la bouche que Jess la fusilla du regard, l'attrapant par la main, ce qui signifiait : « Calme toi. » Et ce fut repartie pour un tour, Jacky souffla à nouveau, et l'ancienne Serdaigle ne put tenir davantage.

    « Quoi ? »
    « Des nouvelles de l'affaire Caufield ? »
    « T'es méprisable. »

    Outrée, car tel était le mot, Billie ne se retint pas une seconde de plus, elle se leva de table, dévisageant sa petite sœur, et sans mot supplémentaire, elle se dirigea vers sa chambre. Cette dernière était sombre, cela devait faire des mois que l'ampoule était grillée et qu'elle ne trouvait pas le besoin nécessaire de la changer, de plus, en cas de besoin, elle pouvait utiliser sa baguette magique. C'est ça qui est beau lorsque l'on n'est plus une sorcière de premier cycle. La jeune femme s'affala sur son lit deux place. Les draps n'étaient pas fait (comme toujours), et elle s'y allongea. Des larmes perlèrent sur ses joues, et elle se contenta de fixer le plafond qui était tout aussi sombre que son propre coeur. Elle pensait à Jake. Puis à Stefany. Ils l'avaient tout deux blessés, mais elle ne pouvait s'empêcher de vouloir connaître la vérité, tout ceci aurait put être une mascarade, un coup monté. Comme quoi, c'est humain de rêver. Soudain, elle entendit trois coup distincts à sa porte.

    « Je peux entrer ? »

    Jess, comme toujours.

    « Oui. »
    « Ça va ? dit-il en ouvrant la porte. Tu devrais changer cette ampoule. »
    « Non, je suis mieux dans le noir. »

    Ses paroles étaient quelque peu étouffées par ses larmes, mais c'était tout à fait contrôlé, ce n'était pas de lourds sanglots qui s'échappait d'elle, mais plutôt les larmes qu'elle n'arrivait plus à retenir. Elle avait beau se renfermer sur elle-même, elle n'en était pas moins humaine, et avait ses moments de faiblesse, comme tout le monde.

    « Qu'est ce que je lui ai fais ? »
    « Rien. C'est Jacky... égale à elle-même. »
    « Tu vas me dire qu'elle est comme ça avec toi ? Maman ? Papa ? Non, je connais déjà la réponse. »
    « Ne t'en préoccupe pas va. »
    « Comme si je n'avais que ça à faire... »
    « Voilà. »
    « Excuse-moi, mais là, je dois bosser. »
    « D'ac, je te laisse. Prends soin d'toi. »

    Il lui déposa un baiser sur le front, puis s'en alla calmement, sans doute déçu de ne pas avoir put être plus utile à sa sœur. Elle n'était pas facilement pénétrable, surtout dans ce genre de moment. Jess était une des rares personnes qui avait eut le privilège de la voir ainsi, la consoler est un niveau au dessus, et peu y sont parvenus. Stefany et Jake, mais à vrai dire, ils se sont bien rattraper depuis, on peut dire qu'ils sont au même niveau que les autres à présent. Après quelques minutes, la sorcière se redressa, prit une veste, et transplana. Sans doute partait-elle encore à la recherche de Stefany. Comme d'habitude : sans succès.


Dernière édition par Billie Sly Kennedy le Mer 14 Mai - 15:40, édité 2 fois
 
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Fiche terminée ! =)
 
MessageSujet: Re: Yesterday was a LIE.   
Yesterday was a LIE. EmptyMer 14 Mai - 18:24



Invité
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    Bee. Pourquoi tu l'as pas faite ? Suspect

    Bref. RE bienvenue Drey ! wub
    J'la connais déjà ! XD ! Très beau personnage !

    Bref, je te la valide ! Je te mets au Ministère !
 
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