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 Sujet: « Trouver d'abord, chercher après. »
Dim 24 Mar - 22:12
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Origine : Zoulou
 Jeremiah N'Boué
 La ville de Londres était sale. Ses pavés noires et usées par les roues de calèches, gorgés de pluie, les rendaient glissants et instables. Le nuage de fumée industrielle qui commençait à se former dans la ville rendait l'atmosphère irrespirable mais, contre toute attente, le si bien nommé « fog » rajoutait un charme à la ville, laissant planer autour des immeubles en pierre un mystère qui ne semblait pas pouvoir être résout. Jeremiah détestait le brouillard londonien. Les pluies fréquentes ne pouvait que l'apaiser mais cette chose qui lui semblait contre nature le dérangeait au plus haut point. Il ne pouvait se sentir bien, entouré de cet halo impénétrable. Les formes se dessinaient près de lui, sans jamais être précise, et se dispersait comme une illusion au bout de quelques pas. Cela lui rappelait ses premières années en tant que tokoloshe, quand sa perception était encore perturbée par ce nouveau corps auquel il n'arrivait pas à s’habituer. Il frémit à l'idée de se souvenir, alors que plusieurs hommes en noir venait le frôler, la ville commençant à s'agiter. Les humains non sorciers était des gens fascinant et, contrairement à l’Afrique, les humains et les sorciers ne se côtoyaient pas en Angleterre. La créature était obligée de passer par divers passages pour se rendre au marché aux trolls et profitait de cet instant pour observer ces êtres non magique qui, avant, le chassait avec des fourches et des torches. Les anglais eux, passaient près de lui sans lui prêter attention, certain se contentant d'un regard de dégoût envers sa peau noire. Les sorciers faisait de même, souvent trop pressés pour le remarquer. Alors que les quelques rayons de soleil venait éclaircir la brume grisâtre de Londres, les pas appuyés commençait à résonner dans les rues où la créature observait avec une fascination non dissimulé les expressions des hommes qui se dirigeaient vers l'usine, le bureau, le ministère pour certains. Parfois le soir, devant son miroir, Jeremiah essayait de prendre cet air sérieux et déterminé qu'il avait aperçu le matin-même dans la rue. D'autre fois, il se fondait dans la foule et essayait, en vain, de se fondre dans cette dernière, prendre le rythme de la marche et de tirer son visage pour ressembler aux hommes autour de lui. Mais le chaos organiser de la foule le dépassait et il se retrouvait souvent sur le côté alors que la masse uniforme s'éloignait. En soupirant, il regagnait alors le marché aux trolls en espérant que quelqu'un ait besoin de ses services ce jour là.
Ce matin là, le marché semblait étonnamment calme. Un léger résidu de brouillard flottait entre les quelques étales alors que le cirque ambulant, comme à chaque début de semaine, était vide. Le tumulte émanant du Lunar Effect s'apaisait peu à peu, comme si le levé du jour marquait la fin de la fête. Jeremiah, sans vraiment y faire attention, marchait d'un pas léger vers l'emplacement habituel où ses clients savaient le trouver. Il ne prêtait pas attention aux quelques pas qui l'entouraient, sans doute des badauds inoffensifs. Il ne ressentait rien autour de lui qui lui valait la peine de s'inquiéter, et, là dessus, son instinct ne le trompait jamais. Un vieillard l'arrêta, glissant dans sa poche un parchemin froissé et quelque gallions clinquants avant de lui tapoter l'épaule et de repartir sans un mot, sans que personne n'ai pu remarquer l'échange des deux hommes. Tout en continuant d'avancer, Jeremiah sortit le parchemin de sa poche, le déplia, et commença à l'observer sans s'arrêter, ses pieds le guidant à l’endroit habituel. Il tourna la feuille plusieurs fois pour essayer de comprendre quel objet pouvait bien être dessiné la-dessus, mais les froissures du parchemin gâchait la finesse de la représentation. Le tokoloshe n'eut pas le temps de se poser une question qu'il rentra dans quelqu'un. Le choc ne fut pas brutal, loin de la, mais cela suffit à faire tomber la créature et la personne qu'il avait malencontreusement bousculé. Le tokoloshe, rapidement, rattrapa le parchemin humidifié par le sol, encore trempé de la veille, le remit dans sa poche, se releva et s'approcha de l'homme à terre. « Je suis vraiment confus. » dit-il tout en tendant sa main au pauvre homme. « J'espère que mon étourderie ne vous a causé aucun mal ? » s'enquit-il, la main toujours tendu vers l'homme à terre. |
| | | | Sujet: Re: « Trouver d'abord, chercher après. »
Sam 6 Avr - 6:19
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 Adonis S. Harlington
Adonis, agent du ministère, n’aimait pas la civilisation. Il préférait grandement la solitude. Sa meilleure amie. Sa seule véritable amie. Elle ne lui avait jamais causé du tort, même si à ses moments-là il réfléchissait sans arrêt. Il découvrait des souhaits et des espoirs cachés qu’il évacuait avec le travail. La solitude était sa force, même si elle était source de son ennui les plus évidentes. Il ne voulait pas réfléchir. La souffrance que pouvait lui procurée les rêves les plus enfouis étaient si vives. Comment pouvait-il ne pas espérer comme tous d’avoir une vie tranquille avec une petite famille ? Comment pouvait-il ne pas être insensible d’être accueilli par une personne avec qui il pouvait passer le plus clair de son temps à se confier et à batifoler ? Il était un simple homme après tout. Il avait les mêmes envies, les mêmes aspirations et les mêmes besoins. Le besoin d’être aimé était présent au plus profond de son être. Un secret qu’il tentait d’oublier en vain. Il avait décidé de vivre cette vie sans amour. Il ne permettait quiconque de s’approcher de son être afin de ne plus jamais souffrir comme autrefois. Les émotions et les sentiments lui faisaient du mal. Autrefois, un grand sentimental, un être aimant par-dessus tout… il fut trompé par sa propre mère avant d’être trahi par son propre père qui n’avait hésité retourner toute la colère envers Juliette sur le petit. Peut-être – des suppositions – qu’Adonis aurait moins souffert d’un manque si son père avait su bien s’occuper de lui ? Oui, il aurait toujours eu ce vide pour la gente féminine, mais jamais il n’en aurait autant voulu à la terre entière. Pourtant, son vieux oncle avait fait du bien au jeune garçon à l’époque plutôt très sauvage. Il avait pu profiter de bon moment en compagnie de cet homme. Il avait quitté sa maison puisqu’il s’était toujours comme une plaie. Il n’était pas son fils ; il avait tout simplement rendu service pour sa propre famille. Adonis en voulait à la terre entière pour des erreurs d’un mauvais père et d’une mauvaise mère.
Il avait quitté la cabane d’Aelys pour passer la journée à Londres auprès des siens : les langues-de-plomb. Son directeur l’avait contacté pour en connaître sur la mission dont il devait remplir. Il devait faire une énumération des conditions de vie des celtes dont il avait pu observer depuis quelques semaines déjà. Adonis évitait de parler de la grande force d’Aelys ou tout simplement du comment elle dormait la nuit. Il semblait que le langue-de-plomb désirait garder quelques informations secrètes. « Je crois que la jeune femme se doute de quelques choses. Pourquoi le département la suivrait autant ? Elle n’est pas stupide. Elle garde donc ses distances même si je l’espionne. Même si je fouine dans ses effets. Madame McNamara fait bien attention à ce que rien ne soit découvert sur son peuple… » dit-il mentant ouvertement face à son supérieur immédiat. Certaines informations n’étaient pas intéressantes pour le ministère. Il gardait jalousement ses observations bien qu’elle ne lui ait rien dévoilé de si extraordinaire. Elle ne lui parlait jamais de son village ni de son monde. Parfois, elle dévoilait quelques coutumes sans toutefois l’expliquer. C’était une femme secrète, même s’il avait l’impression qu’elle aimerait bien parfois discuter. Enfin, lui, il n’avait pas envie de discuter avec elle en général. Il restait là à l’entendre puis à lui répondre par de simples insultes plus frustrantes… toujours. C’était son attitude en général avec les demoiselles. Bref, l’entretient prit fin rapidement. « Ne baissez pas les bras, les informations viendront » dit le directeur. Pourtant, Adonis n’était pas certain qu’il avait envie de continuer dans cette voie. Il avait cette envie irrésistible de retrouver les murs du département où le silence et la solitude régnaient. « Vous devriez faire un petit détour par le camp des gitans… une nouvelle fois. Une créature intéressante s’y trouve. Une créature encore une fois plutôt inconnu… un peu plus loquace. » finit le directeur lorsqu’Adonis avait traversé les quelques mètres le séparant du bureau à la porte. Il se retourna hoche la tête positivement. Il devait obéir pour garder sa place au sein des meilleurs.
L’homme sortit du ministère les mains dans les poches se dirigeant d’un pas sur en direction d’un clan ennemi. Devait-il assommer quelques gitans au passage ? Que devait-il faire ? Peut-être devait-il que se faire voir. L’ex-Serdaigle regardait un peu partout. Il était tôt Aucun spectacle ne se donnait. Tout était si calme même pour l’agent du ministère. Il regardait de droite à gauche sans se soucier de ce qu’il pouvait bien se trouver devant lui. Il frappa de plein fouet un passant. Adonis tomba à la renverse comme l’autre individu. « Je suis vraiment confus. » Il se releva en passant ses mains sur son bel habit le nettoyant pour être de nouveau impeccable. Il ne prit la main que lui présentait l’individu. Il avait trop de fierté pour le faire. Décidément il était toujours aussi poli. « J'espère que mon étourderie ne vous a causé aucun mal ? » Adonis le toisa du regard. « Créature ? » dit-il sans se poser la moindre question. Il ne jugeait pas par sa couleur. Il s’en foutait bien plus que son sexe. « Je n’ai aucun mal. Si je ne me trompe pas, vous êtes la créature que je recherchais. Dites-mo, quel don avez-vous pour intéresser le ministère ? » |
| | | | Sujet: Re: « Trouver d'abord, chercher après. »
Mer 17 Avr - 13:30
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Origine : Zoulou
Jeremiah N'Boué
Le mot arracha un frisson au tokoloshe, ses yeux s'arrondissant de surprise. « Créature ? » demanda l'homme qu'il venait de bousculer. « Je ne vous permets pas monsieur ! » lâcha Jeremiah, feignant de s'indigner face à cette insulte raciale. Même si l'esclavage avait été abolie au début du siècle, certaines personnes avaient toujours des pensées archaïques. « Je n’ai aucun mal. Si je ne me trompe pas, vous êtes la créature que je recherchais. Dites-moi, quel don avez-vous pour intéresser le ministère ? » Le tokoloshe recula d'un pas, abaissant sa main face à l'homme qui s'était relevé seul. « Oh. » La créature en question dévisagea ce qui semblait donc être un agent du ministère, qu'il n'avait cependant jamais vu du côté du département de régulation aux créatures magiques. Et Dieu sait si ses pauvres gens avaient essayer de l'attraper à maintes reprises. Pourquoi ? S'il en avait ne serais-ce qu'une petite idée, peut-être que le tokoloshe aurait consenti à se faire attraper, mais il avait trop peur de perdre sa liberté si durement acquise. Il n'avait pas passé autant d'année de misère pour être enfermé dans une salle noire à se faire étudier par des soit disant scientifiques qui rêvaient de le disséquer pour l'étudier. Jeremiah toisa son interlocuteur alors que plusieurs quidams pressaient passait près d'eux sans prendre le temps d'observer la scène. Ils avaient du voir bien pire dans le marché que deux hommes se toisant. Celui-là, cet agent présumé du ministère, ne réveillait aucun de ses sens. Il n'était pas en danger pour l'instant. Il n'avait pas l'air réellement intéressé par lui, aucune lueur d'envie ne flottait dans ses yeux, c'était autre chose. Quelque chose comme... une obligation. Une obligation qui semblait royalement l'ennuyer. « Ce n'est pas votre métier non, de chasser les créatures ? » demanda-t-il, sans se soucier de baisser la voix alors que la cohue alentour n'avait pas remarqué leur discussion. Jeremiah fit un pas en avant. Peut-être pouvait-il encore prendre avantage de la situation. « Bien sûr que non, sinon jamais vous n'auriez demander de but en blanc à un passant s'il était une... Créature. » Il toisa Adonis, sans pour autant prendre une air supérieur, il l'analysait. Jeremiah n'était pas une créature comme les autres et, bien que certaines agents du ministère lui courent après, il était parfois facile de convaincre d'autres du bien fondé de sa nature humaine. Les créatures humanoïdes étaient souvent faciles à reconnaître, soit trop inhumaines dans leurs pensées et comportement, soit remarquables dans un détail physique qui n’échappait à personne. Le tokoloshe n'avait rien de tout ça. Peut-être au ministère n'avaient-ils que des renseignements sur sa capacité à trouver n'importe quoi, mais cela était-il une raison pour capturer un homme ?
Le problème était que Jeremiah était bel et bien une créature magique, crée par la magie et gardé en vie, on ne sait comment, par la magie. « Disons que je suis plutôt bon dans ce domaine, trouver des créatures... Peut-être qui si vous fermiez les yeux sur mes activités disons... illégales, oui, c'est le terme, je pourrais vous aidez à trouver la créature que vous cherchez à un prix très raisonnable? » dit-il, comme pour conclure un marché, sans pourtant prendre la peine de tendre la main vers le langue-de-plomb. Il ne semblait pas être le genre d'homme à serrer la main d'un quidam qui venait de le bousculer. Jeremiah avait l'impression qu'il fallait gagner cette poignée de main, sans encore vraiment savoir comment. Observant Adonis, il se tenait droit et fier, le torse gonflé, essayant de reproduire sa stature d'homme fort et confiant du sorcier. Les sorciers peu recommandable passaient toujours sans prendre la peine de faire attention à la scène, trop occupé par leurs propres occupations. De toutes les choses aberrantes que l'on pouvait trouver ici, l'agent du ministère était venu voir précisément Jeremiah. Ou, plus exactement, il avait fallu que lui bouscule un agent du ministère. Qui cherchait une créature, sûrement lui. Mais, de tout ce qu'on pouvait trouver ici, le tokoloshe était sure de lui trouver une créature atypique parfaite pour le remplacer au yeux de son supérieur. Il ne restait plus à espérer qu'Adonis tombe dans le panneau et pense que Jeremiah était bel et bien un sorcier comme les autres, comme le laissait penser son apparence physique. |
| | | | Sujet: Re: « Trouver d'abord, chercher après. »
Lun 20 Mai - 1:33
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Adonis S. Harlington
Des devoirs ! Toujours des devoirs à faire pour le compte du ministère. Il n’était jamais suffisant de suivre une folle de créature, Aelys-grande-main, il fallait en trouver une autre. Adonis lui mettrait un manche à balai où il pensait à cet affreux patron. Incapable de se trouver d’autre agent du ministère du bon département pour suivre quelques originalités de la nature. Il était un langue-de-plomb qui n’aimait guère être dans l’obligation d’entretenir quelques relations par ci, par-là afin d’en tirer les verres du nez de quelques menteurs. Le véritaserum était la plus douce et la plus rapide des solutions à son humble avis. Pourquoi perdre son temps à tenter de se faire des liens ? C’était une énorme perte de temps, mais il se devait jouer le jeu avant d’utiliser quelques potions pour tirer les verres du nez à quiconque. Pourtant, il n’arrivait pas à mettre le doigt sur la nouvelle tendance de son patron à l’envoyer à la rencontre des créatures. Le département des mystères n’étaient pas une animalerie. Pourquoi donc s’intéresser à de bêtes créatures lorsque le département débordait de question sans réponse ? Le mystère entourant chaque prophétie devait être résolu ! Pourquoi perdre son temps ici à chercher une créature ? Le registre n’était pas à jour ? Bien qu’un agent autre que lui met à jour cette fameuse liste. Sa mauvaise humeur prenait le dessus sur ses pensées parfois très incohérentes. Il était en colère contre le monde entier. Personne ne respectait sa fonction. Pourquoi lui ? Pourquoi aller à la rencontre des indésirables ? C’est en marchant dans le camp ennemi qu’il tomba nez à nez avec la créature recherché. Il n’avait remarqué la présence des gens étant obnubilé par les pensées qui le tourmentaient. Adonis se releva sans prendre la main que lui présentait l’homme. Il lissa ses vêtements demandant à haute voix s’il était une créature. Il ne fit aucune référence à sa couleur bien que sa demande soit ambiguë.
« Ce n'est pas votre métier non, de chasser les créatures ?» Oubliant un instant sa rage contre l’univers et plus précisément contre le ministère en ce moment même, il pencha la tête sur le côté analysant ce que la créature venait de lui demander. Il sourit laissant découvrir ses dents blanches. Il haussa les épaules laissant en suspend l’interrogation de Jeremiah. « Bien sûr que non, sinon jamais vous n'auriez demander de but en blanc à un passant s'il était une... Créature. » l’homme du ministère ne se souciait guère des passants. Ils n’existaient pas autant qu’eux n’existaient pas pour eux. Le monde vivait que pour eux. Ils avaient que pour eux. La vie avait changé depuis quelques années. Les sorciers étaient toujours en retard, toujours aussi pressés et peut-être même stressés. La vie changeait au fil des avancés chez les moldus tout autant chez les sorciers. Adonis en faisait partie par moment bien qu’il le voit de ses propres yeux. N’était-il pas toujours à remettre en question le temps ? L’argent et le temps étaient toujours aussi importants pour lui. Bien qu’il soit attentif à ce que la créature disait, il observait distraitement la vie aux alentours. Ils ne faisaient qu’exister dans leur bulle de conversation. « Disons que je suis plutôt bon dans ce domaine, trouver des créatures... Peut-être qui si vous fermiez les yeux sur mes activités disons... illégales, oui, c'est le terme, je pourrais vous aidez à trouver la créature que vous cherchez à un prix très raisonnable? » Adonis eut un mouvement de roulement de yeux. Il remit son regard fixement sur Jeremiah. Il jaugea la créature à qui il faisait face. Il ouvrit la bouche. « Si j’étais un chasseur, je ne vous aurai laissé le temps de vous savez que vous seriez déjà mort ou capturé. Si j’étais là pour une autre créature, croyez-moi, je ne serai pas là à discuter par plaisir avec un inconnu dans un camp ennemi au mien. » Il continuait à analyser la créature. « Mais il est vrai que vous pourriez bien me servir ? Quel est votre prix pour être ma créature de compagnie pour une ou deux semaines ? Laisseriez-vous approcher par une celte ? Elle adore la nouveauté. Ce ne serait que pour mon propre profit personnel. Je vous promet que ne vous allez être bien traité. Jamais, vous ne seriez mis en cage. Quelques limites, par contre, s’imposeront : je vous emmènerai sur les terres de Poudlard » Fier d’avoir trouvé une raison que le destin ait été à la rencontre de cette créature. Jeremiah allait lui servir d’objet à se faire pardonner. « Alors ? » dit-il impatient de connaître le verdict.
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